amour sans tabou

baniere.jpg

Jeudi 23 juillet 4 23 /07 /Juil 19:08

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par amoursanstabou - Publié dans : roman photo - Communauté : L'amour en famille
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 23 juillet 4 23 /07 /Juil 18:57

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par amoursanstabou - Publié dans : roman photo - Communauté : vous avez dit inceste
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 18 juillet 6 18 /07 /Juil 15:51

1--3--copie-1.jpg

 

C'est mon vingt-troisième anniversaire et je décide de le passer avec mes parents et leur faire une surprise. Je n'ai vu ni l'un ni l'autre depuis plus de six mois à cause de mon travail. Quand je suis arrivée, ma mère est toute étonnée de me voir :

 

« Jenny... ! Comme c’est agréable de te voir ! Pourquoi tu ne nous as pas dit que tu venais à la maison ?... J’aurais préparé un bon repas !

A-t-elle dit quand elle a mis ses bras autour de moi et m'a serrée dans ses bras et j’ai répondu en répondant à son étreinte :

– J'ai voulu vous faire une surprise Maman.

– Ton père est en haut et fait un petit somme, je vais le réveiller !

– Non, pas encore, Maman, laisse-le se reposer, je suis sûre qu'il en a besoin... ! Il a travaillé si durement toute sa vie, il aurait facilement pu prendre sa retraite depuis quelques années, mais il continue toujours à bosser !

– C’est vrai, c’est un drogué de travail... ! Bien, je lui permets de se reposer, ça nous permettra d'avoir quelque temps pour parler entre filles !

 

C’est très agréable de l'entendre dire. Ma mère et moi sommes très proches, elle ressemble plus à une grande sœur qu'à une maman. J'ai vraiment regretté notre temps passé ensemble. Nous pouvons parler de n'importe quoi.

 

-  Jenny…, vois-tu quelqu'un en ce moment ?

 Demande-elle comme nous nous sommes assises sur le canapé.

– Non, je n’ai pas le temps de voir quelqu'un en ce moment... !.. En plus, je n’ai pas la tête à ça et à toutes ces conneries en tout cas !

– Mais tu manques d’autres choses, aller au cinéma, se faire caresser..., la foufoune ?

 

Maintenant, quand je dis que nous pouvons parler de n'importe quoi, je n'ai pas voulu dire de sexe. Nous n'en avons jamais parlé avant. Je viens d’une famille très religieuse, j'ai même passé douze ans dans une école Catholique. Je n’ai pas besoin de dire que j'ai été très choquée de l'entendre aborder ce sujet. Je lui réponds :

 

- Je suppose que je manque vraiment le fait de sortir !

– Et le sexe ? Demande-elle.

– Réellement, je manque de sexe aussi… ! Lui répondis-je, très gênée.

– Tu dois penser que c’est assez bizarre de parler sexe avec moi…, Jenny... ?.. C’est assez naturel de parler de sexe..., et de plaisir aussi... !.. Si tu étais arrivée à la maison, il y a une demi-heure, tu aurais vu ton père et moi en train de faire l’amour... !.. Nous étions, juste là, sur le canapé et il me donnait la baise de ma vie !

 

Comme elle me parle, ses yeux deviennent lointains et vitreux. Je n'avais jamais entendu ma mère prononcer ce mot, pas même à ses moments les plus exaltés. Et l’entendre prendre plaisir à raconter sa relation sexuelle avec mon père me semble très surnaturel. Je dois vraiment admettre, pourtant, j'ai eu la sensation qu'une fraîcheur parcourt mon corps et l'impression que mes mamelons se sont électrisés.

 

- Ton père est un merveilleux amant, Jenny et je dois dire..., qu’il a une grande bite ! J'ai l'impression que ma mâchoire tombe.

– Oh, Maman... !

– Ne sois pas outrée Jenny, je le dis juste ainsi, tu y penseras à deux fois avant de te marier avec quelqu'un qui n'est pas trop bien monté... !.. La grandeur importe vraiment, ma fille. Elle s’est approchée et a serré ma main, elle m'a souri et a cligné de l'œil.

.. Que fais-tu pour le sexe ? T’en occupes-tu toi-même ?

– Oh, Maman... !

– Jennifer, ce n’est pas un crime de se masturber, tu te masturbes vraiment, n’est-ce pas ?

– Oui, je le fais, mais moi, je n’en parle pas !

 

J'ai l'impression que mes mamelons se sont dressés plus fort. Ma mère commence à caresser mon bras et ensuite me regarde fixement dans les yeux :

 

- Jenny, c’était quand la dernière fois où tu as eu un orgasme ?

– Je ne sais pas..., il y a une semaine, je pense ! Dis-je, tout en essayant d'éviter son regard. Il me semble que ses yeux descendent vers ma poitrine.

– Tes tétons deviennent..., durs, mmmm..., c’est parce que tu parles de sexe avec moi ?

– Un peu, je crois… ! Ai-je marmonné.

– Veux-tu t’en occuper en ce moment ?

Elle est remontée et empaume un de mes seins.

-  Ils sont très agréables, Jennifer, ton père a toujours souhaité que j'aie de plus grands seins !

 

Je ne peux pas croire ce qui m’arrive. Je suis tripotée par ma propre mère et très excitée par ça. Je respire légèrement quand elle a légèrement pressé mon sein. Un soupir s’échappe de mes lèvres.

 

-  Tu aimes ça, Jenny ? Es-tu bien ? Demande-t-elle, avec un sourire timide.

– Waouh, Maman, c'est fantastique

– Si ce n’était pas le cas, tu m'aurais arrêtée… ! A-t-elle souri.

– Pourquoi ne pas te mettre à l’aise et déboutonne ta blouse ?

.. Je parlerai un peu plus de sexe et tu vas pouvoir soulager un peu ta pression !

 

Ma propre mère suggère que je me masturbe devant elle. Je sens le jus dans mon minet qui commence à couler. Il n'y avait aucun blâme à cela, je suis complètement excitée.

 

- Aller, Jenny…, tu as le feu vert, je promets que tu l'apprécieras... !.. Et je peux voir dans tes yeux que tu as besoin de jouir... !

 

Elle me culbute doucement sur le sofa. Je regarde quand elle déboutonne ma blouse, en lui montrant mes seins. Elle halète et sourit :

 

- Terrible Jenny..., ils sont beaux ! Ton père les aimerait... !

 

C'est de trouver assez surnaturel  le fait que ma mère regarde mes seins nus, mais l'entendre dire que mon père les voudrait, a enflammé mon clitoris. Je n'avais jamais pensé à mon père d'une façon sexuelle jusqu'à ce moment. Voudrait-il vraiment voir mes seins ? J'ai hoché ma tête pour essayer de m’en persuader.

 

- Oui, ton Papa est un homme qui aime tes seins, il les regarde toujours fixement, Jenny !.. Quelquefois quand tu portes des mini chemisiers, il est très excité par toi !

 

Je suis choquée de nouveau par les mots de ma mère. Ses doigts entourent mes mamelons autour des aréoles. Elle empaume et soulève mes seins :

 

- Ils sont un peu lourds, n’est-ce pas ?

– C’est possible, je ne le remarque pas vraiment !

 

J’ai beaucoup de mal à parler. Ma mère se penche et prend un mamelon dans sa bouche, tout le temps, elle me regarde fixement dans les yeux. Elle attrape un sein et dirige sa langue sur le mamelon de l'autre. Je ne peux rien faire d’autre que de gémir. Ses mains descendent à la taille de mon jean et commencent à le déboutonner. Tout ce que je fais c’est de soulever mes fesses pour lui en faciliter l’accès. Je suis séduite par ma mère. Dans les dernières semaines pas un gars ne m’a enlevé ma culotte et, maintenant, ma mère va l’avoir dans quelques instants. Elle fait un commentaire sur ma culotte quand elle la fait glisser en bas de mes cuisses flageolantes. Elle place ma main sur mon minet et me dit :

 

- Jenny, tu penses à une bite bien raide et agréable…, une queue bien épaisse qui glisse en toi... ! .. C’est ça, Jenny, laisse-toi aller… !

 

Comme elle le dit, j'insère deux doigts dans mon minet fumant. Elle déboutonne sa propre blouse, elle glisse une main à l'intérieur. Je vois ses doigts bouger quand elle tire sur son téton.

 

- Mmmm, n'est pas agréable, Jenny ? J'aime me toucher... !.. Je parie tu n’as jamais pensé que tu m'entendrais le dire…, hum... ? Dit-elle en souriant... Je me branle tout le temps, quand ton père n’est pas autour de moi !

 

Continue-t-elle en enlevant sa blouse et mettant ses bras dans le dos pour décrocher son bustier. Elle le fait tomber le long de ses bras et, ensuite, le jette sur le plancher. Elle se penche sur moi et présente ses très petits seins devant mon visage. D'instinct j’ouvre la bouche et tète l’un d’eux.

 

Oui ma puce….Comme c’est bon, comme ça, ma Puce !

 

Elle gémit et m'encourage à la sucer plus fort. Je n'ai jamais eu de relations intimes avec une autre femme, donc j'ai juste fait que j'aime qu’on me fasse et j’ai commencé à faire tourbillonner ma langue autour de son mamelon bien dur. Elle pousse ma main plus durement contre ma motte et plaque ma paume dans mon clitoris.

 

- Jenny, vas-tu jouir bientôt ?

– Bientôt, Maman… ! Me suis-je entendue répondre, presque comme si je matais quelqu'un d'autre.

– Veux-tu que je te dise que ton père et moi avons fait avant ton arrivée ?

– Oui... !  Ai-je chuchoté.

 

Elle enfourne son sein au fond de ma bouche et commence à raconter les événements du soir :

 

- Ton père venait de sortir de la douche, son corps toujours mouillé. Je suis entrée et l’ai essuyé avec une serviette. J'ai vu son pieu devenir dur. Je lui ai souri et suis descendue sur mes genoux. Mes doigts ont commencé à le branler. J'ai pris sa belle bite dans ma main et l'ai guidée jusqu’à mes lèvres. Je l'ai regardé fixement dans les yeux quand je l'ai pris dans ma bouche. Sa main s’est posée sur ma tête et il a mis ses doigts mouillés dans mes cheveux. J'ai glissé ce pieu dans ma bouche jusqu'à ce que je puisse goûter ses pré-jus avec le bout de ma langue. Il m'a fait me relever et j’ai voulu l’emmener dans la chambre à coucher. Il m'a arrêté et m’a mené, ici, au salon. Je savais alors qu'il voulait réaliser son fantasme préféré. Veux-tu savoir ce que c'est Jenny ? J'ai répondu, son sein toujours dans la bouche :

 

-  Oui… !

– Tu es sûre, ma Puce ? C’est assez osé… !

– Dis-le-moi, Maman, s'il te plaît... ! Je suis si excitée en ce moment... !

.. En plus, c’est, peut-être, plus salace que la succion de mes propres seins par ma mère, pendant que je me touche ?

– Bon, ça va alors..., je suis montée dans ta chambre et j’ai mis un de tes vieux uniformes de collège !

– Ce n'est pas méchant, Maman, j'ai plusieurs fois porté mon costume de fin d’études pour Fernand... !

-   J'ai même mis l'uniforme d'une bonne et me suis habillée comme une infirmière pour lui !

– Je n’ai pas encore fini, Jenny, je suis revenue ici et il était assis où tu es, nu... !.. Veux-tu que je continue et entendre que je lui ai dit ?

– Oui, Maman, dis-le-moi ! Je ne vais pas tarder à jouir !

– J'ai dit : "Bonjour Papa" !

– Tu l’as appelé Papa ??? Ai-je haleté.

– Oui..., et la réponse qu'il a dite… ?

– Je ne sais pas, Maman… ! Je commence désespérément à jouir.

– Il a répondu : "Salut Jenny"... !

 

Quand elle me dit ça, je jouis si intensément que je me suis presque évanouie.

 

- Quoi... ??? Hurlé-je.

– C’est le plus grand fantasme de ton père, Jennifer..., toi... !.. Il souhaite te baiser depuis si longtemps, chaque fois que tu quittes la maison, je peux compter sur lui pour me sauter sur le dos et me baiser à fond en m'appelant Jenny... !

 

Je ne peux en croire mes oreilles. Mon propre père voudrait avoir des relations sexuelles avec moi et ma maman n’est pas contre ça.

 

- Je fais semblant tout le temps d'être toi, pour lui... !.... Il est fou de tes seins, Jenny, mes petites mandarines ne le satisfont pas tout à fait... !.. Mais je lui dis juste : Ils seront plus grands, Papa, je te promets... !

– Tu fais semblant d'être moi ? Papa veut vraiment me bai..., avoir des relations sexuelles avec moi ?

– Oui Jenny, ton père veut te baiser, je fais semblant d'être toi pour le rendre heureux... !

 

Ses mots n’étonnent et m’intriguent. Je continue à me masturber comme j’essaie de me représenter la bite de mon père qui claque dans mon minet affamé. Je ferme les yeux et je pousse un doux gémissement.

 

-  Tu aimes la pensée de ton père te baisant, Jenny ? Il a une bite tellement agréable, elle est longue, épaisse et très lisse. Comme lui, veux-tu te faire baiser, Jennifer ?....Veux-tu aller le réveiller, maintenant ? Demande-t-elle, avec un regard malicieux dans ses yeux.

– Je ne sais pas si je peux vraiment  mettre ton idée à exécution, Maman !

– Pourquoi non, bon Dieu ? Tu viens de me dire que tu souhaites être baisée par lui !

– Es-tu vraiment d’accord Maman ? Je veux dire, le fait qu'il me veuille ne te tracasse pas du tout ?

– C’est tout à fait naturel pour un père d’être attiré par sa fille, surtout quand elle ressemble tellement à sa mère comme tu l’es !.. En plus, je suis excitée par une mauvaise conduite... !.. Je crois que tu devrais monter dans la chambre, lui dire que je suis partie faire des courses ou quelque chose d’autre... !.. Vas-y avec la blouse en partie déboutonnée, permets-lui d’avoir une vue sur tes seins... .. Alors, quand tu surprendras son regard, tu lui dis que tu l’as surpris, cela ne semble pas chaud ?

 

Je dois admettre, en l'entendant, que je trouve le scénario si excitant que mon minet coule comme une fontaine. J'ai légèrement roulé mon clitoris entre mon pouce et mon index. Je lui réponds :

 

- Je suis renversée de penser que tout cela arrive, mais oui, ça m’excite follement, aussi !

– Vas-tu le faire Jenny ? J'aimerais voir la tête de ton père quand il se rendra compte qu'il va finalement pouvoir enfin te baiser !

 

Le fait d'entendre dire ce mot de la part de ma mère autant de fois me donne le vertige. Elle est impudique avec ce désir et moi aussi. J'ai souhaité que mon père me baise et j'ai enfin le droit de le faire, je vais le séduire.

 

-Vraiment Maman, tu me laisses le faire ? Aide-moi à remettre mon pantalon !

– N'attends pas, dis-lui qu'il est dans la machine à laver, dis-lui que tu as renversé quelque chose sur lui... ! Monte juste avec ta petite culotte et ton chemisier ouvert !

 

Je taquine avec les pensées de ce que je suis sur le point de faire.

 

-  Maman, pas de regrets… ?

– Jennifer, ton père va être tellement heureux..., et je te le promets, l’habitude à être baisée comme il me le fait, te réjouira beaucoup !

 

Ma mère se penche et embrasse ma joue. Nos yeux se fixent comme elle me laisse. Avant que, je ne sais ce qui arrive, elle s'est appuyée de nouveau et m'embrasse sur la bouche. Pas un baiser maternel, nullement, mais un baiser sensuel, passionné. Je sens sa langue contre la mienne et je réponds à son baiser.

 

1--2--copie-2.jpg

-  Nous aurons du bon temps ensemble, ma Puce, va t’occuper de ton père... !

 

Elle me fait me lever. Je boutonne trois boutons au bas de ma blouse et me regarde dans le miroir. Je montre la plus grosse partie de mes seins et si je bouge d’une certaine façon, mes mamelons sont également exposés. Je ne me reconnais plus. Mes cheveux sont en bataille. Mes yeux sont remplis de désir. Je contemple mon corps dans le miroir et, pour la première fois dans ma vie, je suis excitée par mes propres attributs. Mon cul est agréable et ferme, mes jambes sont longues. Mes seins suffisants, sont très fermes et bien droits. Je suis chaude et je vais et veux séduire mon propre père. Maman monte devant moi. Elle se glisse dans la chambre à coucher et rampe silencieusement jusque dans les toilettes. Quand elle ferme la porte, elle me fait un clin d’œil. Je remarque qu'elle a laissé la porte légèrement entrouverte. Je la vois enlever son jean. Elle a maintenant juste sa petite culotte. Elle me fait un signe de tête, en fait, elle imagine l'action qui va arriver.

 

Je m’approche plus près du lit où mon père dort à poings fermés. Je n'ai jamais vraiment regardé son corps auparavant. Il était très bien foutu pour un homme de quarante-quatre ans qui travaille dans un bureau. Son torse est large et ferme. Il reste encore un petit peu de son bronzage des dernières vacances. Je ne peux voir le reste de son corps parce qu'il a été couvert par un drap. Je racle ma gorge et lui fait connaître ma présence. Il ouvre à moitié les yeux, c'est ensuite, quand il se rend compte que c’est moi et pas ma mère, Il me demande, un peu ahuri :

 

- Jennifer... ! Que fais-tu ici... ?

– N’es-tu pas heureux de me voir, Papa ?

– Évidemment, oui je le suis ! Comment vas-tu ? Quand es-tu arrivée ?

– Je vais bien, je suis arrivée ici il y a une demi-heure... !.. Maman vient de partir à l'épicerie, elle a dit qu'elle rentrera plus tard... !.. Je suis restée seule en bas, donc j'ai pensé venir voir si tu étais réveillé !

– Hum, Jenny ? Pourquoi ne n’as-tu pas de pantalon ? Demande-t-il, avec un tremblement dans la voix.

– Désolée, Papa. J'ai mis du ketchup sur mon jean et Maman a exigé que je le mette à tremper tout de suite !

 

Je remarque alors son regard qui plonge dans mon décolleté que j'expose voluptueusement à ses yeux. Mon clitoris me démange. Je me suis assise sur le lit, à côté de lui.

 

- Et toi, comment vas-tu, Papa ?

 

Je m’appuie contre lui et le serre dans mes bras. Je laisse l'accolade plus longtemps qu'à l’ordinaire, donc mon père sent mes seins contre son torse nu.

 

- Je vais bien, Jenny, c’est vraiment agréable de te voir !

 

Répond-il, tout en essayant de mettre fin à notre étreinte. Je me suis reculée légèrement et j’ai vu son regard se poser sur mes seins. Je me tourne de façon à lui en montrer un peu plus et mes mamelons qui se dressent sont exposés à sa vue. C’est le moment... Je lui demande, avec un peu de taquinerie dans ma voix :

 

-  Agréable, comme ce que tu vois, Papa ? Mon père bégaie, et finalement, tente de s'excuser.

– Ma Puce, je suis désolé, je ne peux pas ne pas voir…

– Ne t'excuse pas, Papa, je ne t’en veux pas si tu mates mes seins, veux-tu les voir un peu plus ?

 Ses yeux sont écarquillés par mon offre.

– Jenny, nous ne devrions pas parler comme ça !

– Pourquoi pas, Papa ? Si tu souhaites voir mes seins, j'aimerais te les montrer... !

.. Je ferais n'importe quoi pour mon Papa ! » Lui ai-je répondu avec une réelle sincérité.

 

Comme j'ai fini de parler, je commence à déboutonner les derniers boutons. Quand j'ai terminé, je laisse tomber ma blouse sur le sol et le regarde fixement dans les yeux :

 

- Tu les aimes, Papa ?

– Jennifer, nous ne devrions pas vraiment faire ça !

 

Ses mots ne correspondent pas à ses gestes. Il reluque ouvertement mes seins, je le vois même se lécher ses lèvres. Je place mes mains sous mes seins pour les lui présenter et lui chuchote :

 

- Maman va revenir dans quelque temps, Papa, veux-tu t’amuser un peu ?

– Jenny..., je crois que nous devrions, tous les deux, nous habiller avant de faire quelque chose que nous regretterons par la suite !

– Je n’ai pas l’habitude de regretter quoi que ce soit, je sais ce que tu aimes aussi... !.. Je t’ai vu mater mes seins depuis quelques années, Papa, tu ne veux vraiment pas les toucher ?

 

Sa main se met à trembler comme je l'ai prise dans la mienne et l'ai amenée jusqu'à mon sein. Il le serre légèrement quand il l’empaume.

 

- Tu ne me réponds toujours pas, Papa..., les aimes-tu ?

– Oui Jenny, je les aime !

 

Avec cela, il a posé son autre main et caresse mon sein libre. Il demande, tout en étirant mes mamelons gonflés et raides.

 

- Qu'est-ce qui t’arrive, aujourd'hui, Jennifer ?

– J’ai envie de toi, Papa, je veux que tu me baises !

 

Il soupire comme je le lui dis. Je m’avance et enlève ma culotte.

 

- Veux-tu me baiser Papa ? Je te veux..., je veux te sentir à l'intérieur de moi... !.. Veux-tu me baiser, maintenant ?

– Oh mon Dieu, Jennifer ! Je capitule en t’entendant me demander ça... !

– Pourquoi Papa ? Maman m'a dit, il y a peu de temps, que tu as une grande bite et maintenant, je veux la voir et l’avoir toute pour moi !

 

Je lève le drap. Il porte un boxer, mais il ne dissimule pas du tout son érection. Ma mère a raison. Il avait vraiment un beau pénis. Toute l’appréhension que j'avais quand je suis rentrée a disparu et je l'ai touché. Mon père gémit quand je le masse par-dessus ses sous-vêtements en soie.

 

- Oh Jenny... !

 

Je grimpe sur le lit et enfourche mon père. Je caresse mes seins comme il regarde. J’ai l'impression que son érection s’appuie contre moi. Je plaque mon clitoris contre elle et le regarde fixement.

 

- Sais-tu les autres choses que Maman m'a dites, Papa ?

 

il me demande, alors que ses mains couvrent les miennes et englobent mes seins :

 

- Quoi encore, Poussin ?

– Elle m'a dit qu’il y longtemps que tu voudrais me baiser, qu'elle fait semblant d'être moi pour réaliser ton fantasme, c'est vrai ?

 

Il est ahuri d'apprendre que ma mère m'ait raconté leur petit secret. Il bredouille :

 

- Oui… !

– Bien Papa, maintenant, tu as ton fantasme réellement, qu'est-ce tu vas faire avec cela ?

 

Il attrape mon corps et me jette sur le lit à côté de lui. Il se met au-dessus de moi. J’écarte mes jambes. Mon père se place à l'entrée de mon minet.

 

- Tu veux savoir ce que je vais faire Jenny ? Je vais te baiser maintenant !

 

Je guide son gros pénis en moi.

 

-  Fais-le Papa, baise-moi !

 

Mon père plonge en moi. Je suis si mouillée qu’il n'a pas eu besoin de le rentrer lentement. Je souffle quand j'ai senti le coup de ses couilles contre mon cul. J’ai vraiment réalisé que je suis baisée par mon père. Le même pénis qui m'a créée, envoie maintenant des vagues de plaisir dans mon corps tout entier. Je gémis très fort et entoure mes jambes autour des cuisses de mon père.

 

- Oui, Papa ! Ah oui ! Ouiiii ! Baise-moi…, oh Papa ! Baise ta petite Jenny ! Baise ta petite fille !

 

Il grommelle quand il claque son sexe magnifique contre moi.

 

-  Oh Dieu, Jenny! Tu n’as aucune idée depuis combien de temps j'en ai rêvé !

 

Juste alors, j'ai entendu le gémissement de ma mère dans les toilettes. Mon père est pétrifié. il appelle :

 

- Cécilia ?

Elle sort des toilettes, avec la main entre ses jambes.

– Tu t'amuses bien, mon Cher ? Est-ce qu'elle baise bien ?

Demande-t-elle à mon père. Il jette son regard d'elle à moi et retourne vers ma mère.

– Avez-vous calculé ça toutes les deux ?

– Oui Papa, lui réponds-je, folle de plaisir, nous en parlerons plus tard, je veux juste que tu me baises ! Continue… !

 

Je cambre mes reins contre lui et il recommence à me pilonner.

 

5012.jpg

 

- Éjacule à l'intérieur de moi Papa, jute dans ma chatte pendant que Maman regarde !

 

Ma mère se penche et tète un de mes seins. Elle guide ma main vers son minet. Je masse son clitoris et elle gémit.

 

- Comme ça c’est bon, Jennifer, tellement excitant ! Aimes-tu le grand pieu de ton Papa ?

– Oh Dieu, oui là, Maman !

– Je t’ai dit que tu apprécierais ! Elle regarde mon père... Et cela te fait-il du bien, mon chéri ? Est-ce comme cela que tu as pensé que ça se passerait ?

 

109-copie-1.jpg

 

Mon père s’exclame :

 

-  Je ne peux pas croire que cela arrive, je suis au septième Ciel !

– Bien alors, baise-la bien... !

 

Je comprends que mon père ne va pas tarder à jouir. J’ai déjà eu deux orgasmes et sens un troisième qui arrive. J'ai crispé mes muscles intérieurs et j’ai serré sa bite le plus fort que j'ai pu. Il me baise si durement que mes seins commençaient à me faire mal à force d'être ballottés violemment dans tous les sens. Je mets mes mains en coupe et les presse.

 

- Veux-tu balancer ta semence sur mes seins, Papa ? Je parie que cela doit être un de tes fantasme, n'est-ce pas ?

– Oui, c’en est un, Jenny !

– Tu fais ce que tu veux, Papa ! Tu peux éjaculer à l'intérieur de mon petit con chaud, balancer ta semence sur mes gros seins ou même te vider dans ma bouche…, tous mes trous sont à toi…, même mon petit trou du cul !

 

Je préfère, sans mentir, qu'il explose à l'intérieur de moi, mais j'étais disposée à attendre et lui permettre de faire qu'il le fait fantasmer le plus. Il commence à grommeler plus fort et plus souvent. Je sais qu'il était sur le point de jouir.

 

-  C’est ça, Papa ! Jouis pour moi ! Jouis pour ta Jenny ! Fais-le ! Vas-y, éjacule pour moi !

– Ça y est… ! Oh Dieu…, Jenny… ! Oh oui…, je jouis... ! »

 

Avec un brusque mouvement final, il explose à l'intérieur de moi. Je jouis avec lui, l’extase absolue de sentir les jets de son sperme frappant mes parois intérieures. Il se retire de moi. J'ai un sentiment de frustration au début. Mais quand j’aperçois l'abandon total sur son visage, le reste de sa charge atterrit sur mes seins et mon ventre, je me sens très heureuse pour lui. J'ai fait une réalité de son plus profond fantasme, le plus sombre. Je frotte son sperme autour de mes seins, en lui souriant :

 

- Bien, est-ce que cela a été bon pour toi…, Papa ?

– Oh Dieu…, oui, Jennifer ! Je ne peux pas le croire ! Il halète et rit sottement.

– Mon corps entier est paralysé, Jenny ! Merci beaucoup ! Toutes les deux, vous venez de faire de moi l'homme le plus heureux du monde !

 

 

Maintenant, je vous demande, une fille peut-elle ne jamais recevoir un meilleur compliment que celui-là ?

Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : L'amour en famille
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 30 juin 2 30 /06 /Juin 18:27

1.jpg

 

2.jpg

 

 

17.jpg

 

5.jpg

 

 

20.jpg

 

7.jpg

 

 

21.jpg

 

13.jpg

 

22.jpg

 

17-copie-1.jpg

 

23.jpg

 

19.jpg

 

24.jpg

 

21-copie-1.jpg

 

25.jpg

 

22-copie-1.jpg

 

26.jpg

 

23-copie-1.jpg

 

27.jpg

 

28.jpg

 

29.jpg

 

25-copie-1.jpg

27-copie-1.jpg

 

30.jpg

 

 

29-copie-1.jpg

32.jpg

41-copie-2.jpg

 

33.jpg

 

116--2-.jpg

 

35.jpg

 

36.jpg

 

39.jpg

 

41.jpg

 

43.jpg

 

49.jpg

 

50.jpg

 

59.jpg

 

69--2-.jpg

 

70.jpg

 

75.jpg

 

76.jpg

 

89.jpg

 

93.jpg

 

95.jpg

 

97--2-.jpg

 

98.jpg

 

99.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par amoursanstabou - Publié dans : photos - Communauté : L'amour en famille
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 29 juin 1 29 /06 /Juin 16:05

 

 

 

Sans-titre-2-copie-2.jpg

 

       Christine est ma maîtresse depuis deux années. Tous les deux divorcés, nous ne vivons pas ensemble pour des raisons personnelles, mais nous nous voyons tous les week end. Mon amie a un fils unique, David qui va avoir seize ans dans quelques mois, c’est un garçon un peu tardillon physiquement mais d'autre part très intelligent il est chouchouté au possible par sa mère. Christine est très sensuelle, on s’aime d’un amour fou et sans limite. Nous recherchons toujours de la nouveauté dans nos ébats pour ne pas tomber dans la routine.

Cette histoire s’est passée l’an dernier au mois de juillet, où la sœur de Christine nous a proposé son appartement à Bayonne pour une semaine de vacances.

Nous voilà donc partis, ma chérie son fils et moi. L’appartement est petit, il y a une chambre et un salon. Nous prenons la chambre et David couchera dans le canapé convertible du salon. Nous ne pouvons donner libre cours à des ébats effrénés compte tenu de la présence de David.

Ce jeudi s'annonce comme une journée particulièrement chaude. Bien que tous les volets soient fermés, il règne une chaleur étouffante.

Christine s’adresse à son fils :


- David ! ……….  Gilles et moi on va faire une petite sieste.

- OK, moi aussi dit-il en s'allongeant sur le canapé.

Entrés dans la chambre nous enlevons les quelques vêtements que nous portons. Afin d'éviter les surprises nous gardons culotte et slip. Christine a une culotte en forme de short, en soie très échancrée sur les cotés. L'un à coté de l'autre, nous nous caressons, et échangeons quelques tendres baisers, lorsque David frappe à la porte. Rapidement nous tirons le drap pour nous couvrir un peu.

- Qu'est ce que tu veux demande Christine ?

David ouvre la porte et nous dit :

- Je n'arrive pas à dormir dans le salon…. Il fait vraiment trop chaud. Vous avez de la chance, vous, la chambre est plus fraîche.

Avec un regard vers moi du style "tans pis on verra ça plus tard" Christine dit à son fils

- Bon….. Viens t'allonger ici.

Et elle me pousse un peu pour faire une place à son fils qui s’étend mollement à sa gauche, je me dis que ça commence bien, on ne peut pas être cinq minutes tranquille.

 

Nous restons ainsi quelques instants. Christine est sur le dos, je l’étreins et discrètement commence à lui caresser la poitrine. David est venu blottir sa tête dans l'épaule de sa mère, vu l’espace restreint du lit. Légèrement surélevé, David voit ou devine mes caresses. Cette toute petite exhibition improvisée commence à m'exciter. Christine a son bras le long de mon corps, elle sent ma verge se raidir, sans se douter que la cause n’est pas tout à fait le résultat de ses caresses. Elle tourne lentement sa main et prend ma verge. J’en profite pour prendre la même position que son fils. Elle effectue quelques pressions sur mon membre qui ne font qu'empirer mon état. Elle me tend ses lèvres et on commence par un petit baiser. Puis très vite nos lèvres s'ouvrent et le baiser devient plus ardent. David, nous a souvent vu, nous embrassant voluptueusement, signe de la solidité de notre amour. Nos langues commencent leur doux ballet, ma main se fait plus pressante sur ses seins. Par nos mouvements le drap est légèrement descendu. C’est les vacances, après tout, je me fous de toute pudeur et autre tabou sachant que Christine est très ouverte sur la question. Je tente de rien cacher que ça plaise ou non à David. Finalement je constate que ce choupinet nous observe avec un certain plaisir, la curiosité de ce garçon me rappelle mon adolescence. Naturellement, je continue mes caresses sur le sein de sa mère, je sais qu’il zyeute mes agissements. Christine ne dit rien, il est vrai que son fils est habitué à la voir nue.

Ma main laisse le sein pour venir se poser sur le ventre. Ma bouche abandonne la sienne pour déposer quelques baisers sur le haut du sein qui est maintenant bien découvert. Ma chérie adore que je lui suce les seins, souvent elle jouit uniquement comme ça. Ma bouche aspire tendrement le bout maintenant bien tendu. Je constate que David n'en perd pas une miette. Il me regarde avec un grand sourire charmeur, je pense qu'il s’attache à ce spectacle. Je poursuis ma descente, Christine a fermé les yeux. Très doucement sans doute un peu gênée, elle prend mon menton et le fait remonter un peu plus haut. Je passe ma main à l'intérieur de sa culotte et mon doigt rencontre la chatte brûlante et humide, preuve que mon attention lui plait. Christine se laisse faire, son souffle est plus fort. Je sens son coquillage s’ouvrir à mes caresses indiscrètes.
Machinalement elle replie son bras autour des épaules de son fils en caressant ses cheveux, comme pour le déconcentrer du spectacle improvisé. Mais David toujours blotti contre sa mère, ne quitte pas ma bouche des yeux.
En caressant la cuisse de ma chérie, je ne peux éviter celle de son fils qui est bien en contact de celle de sa mère, je perçois une peau très douce et chaude, très différente de ce que j’ai pu connaître jusqu’à présent. Bien que je n’aie jamais eu de relation avec un homme, un désir étrange m’envahit, ma main passe de la cuisse de mon amie à celle de son fils. Mon excitation monte plus rapidement que d’habitude par cette situation inattendue, je pose mes lèvres sur la bouche de Christine, tandis que ma main caresse passivement la cuisse de David qui n’a pas bougé d’un poil, il me regarde d’un air interrogateur mais ne fait aucun mouvement pour éviter ma main. Je ne sais toujours pas si ma chérie s'est rendu compte de ce qui se passe.

 

156


Christine pousse un peu sa jambe pour que sa cuisse vienne se coller à ma verge bandée. Tout en caressant sa cuisse et celle de David, j’en profite pour tirer un peu la cuisse de David afin qu'elle couvre celle de sa mère, il se laisse aller à mon mouvement y trouvant sans aucun doute une forte sensation. Maintenant Christine a ses deux cuisses emprisonnées dans nos jambes.

- Mes deux hommes dit-elle en souriant innocemment.

David et moi sommes face à face sur chaque épaule et heureux de cette position, nos jambes entourent celle de Christine. Mon désir d’aller plus loin est très fort, je mets ma main au bas du dos de David, puis descends sur ses fesses, il me regarde toujours avec un petit sourire qui en dit long. Lentement je passe mes doigts sous le maillot pour toucher la peau extrêmement douce des fesses. Christine s'est rendue compte de ce que je fais, elle me regarde d’un air très affectueux et coquin, dans ses yeux, brille une lueur de bien-être, elle perçoit les rapports profonds que je témoigne pour son chérubin, pour elle, il ne peut rien avoir de plus beau. De nouveau elle saisit ma verge, elle regarde ma main sur les fesses à l’intérieur du slip de son fils, les caresses sur mon sexe deviennent plus précises. Je la devine de plus en plus troublée, elle doit sentir la quéquette dure de son fils contre sa cuisse.

- Tu es bien David ? dit-elle

Un petit gémissement et un hochement de tête confirment son état.

- Tu peux enlever ton maillot si tu veux. Ajout-elle.

Sans attendre sa réponse je tire sur le slip, David l'enlève rapidement s’arrangeant pour ne pas faire voir sa virilité, il vient tout de suite reprendre sa place contre sa mère. Christine pousse un petit gémissement de plaisir en sentant l’organe ferme de son fils contre elle. Je me surprends à caresser à pleine main le petit cul de David, je pousse ses fesses par un petit va et vient qui fait agiter son sexe sur la cuisse de sa maman. Et là, c’est la surprise de ma vie, se tournant vers moi elle me chuchote à l'oreille :

- Tu veux bien caresser David ? S’il te plait mon chéri, masturbe le.

J’étais loin d’imaginer une telle demande, mon étonnement me fait bredouiller quelques mots :

- Ca te ferait plaisir David ?

Il fait oui de la tête, étant aussi abasourdi que moi, loin de penser des proportions que cela prend. On se regarde tous les trois, pendant que ma main abandonne ses fesses pour se glisser entre la mère et le fils. Il se retire un peu pour me laisser la place, je prends sa bistouquette raide et dure entre deux doigts. Je commence une douce masturbation en évitant d’aller trop vite. Bien que n’ayant jamais touché un autre pénis que le mien, j’éprouve un réel bonheur à ce nouveau jeu qui me met dans une surexcitation inconnue.

- Tu aimes ? Me demande Christine à l’oreille.

- Oh oui mon amour c'est trop bon, merci.

Puis s’adressant à son fils :

- C'est mieux que quand tu te masturbes tout seul ?

Il fait un signe positif de la tête, trop pris par le plaisir. Je freine un peu mon mouvement car je sens qu'il est sur le point de jouir.

- David, ça te gène si Gilles et moi on se met nus ?

- Non. Dit-il très intimidé tout de même.

Je fais rapidement l'abandon de mon seul vêtement, je prends délicatement le bord de la culotte de Christine pour la glisser le long de ses jambes. Elle se tourne, le dos contre moi et face à son fils qui regarde le triangle bien taillé de la foufoune de sa mère. Ma verge s’encastre immédiatement entre ses fesses. Je pose une main sur sa poitrine mais elle la prend pour la poser sur le biscuit de son fils, je poursuis donc la masturbation sous le regard amusé de Christine qui a passé ses bras autour du cou de David. Elle dépose de petits baisers sur son front, ses paupières... Je me serre de plus en plus contre son dos et entre les deux sphères accueillantes de mon amour, elle a mis sa main sur la mienne pour m’accompagner dans cette masturbation féerique. Après quelques instants, je retire ma main de la verge pour que Christine la masturbe directement.

3225-copie-1.jpg
Ses doigts que je sais experts, ont pris possession de l’ardillon de son fiston, très excité par le comportement de la mère et de son fils, mes doigts s’actionnent de l'anus à la chatte dans une série de caresses effrénées. Christine vient chercher un peu d'humidité dans sa chatte qu’elle dépose sur le gland de son fils puis elle descend vers les couilles qu'elle caresse gentiment. Maintenant elle utilise ses deux mains, l'une pratique une affectueuse masturbation l'autre tripote les bourses. Par réflexe, David pose ses lèvres sur la bouche de sa mère, non seulement elle approuve mais elle offre sans aucun doute le premier baiser à son rejeton. Je vois la bouche de ma bien-aimée recouvrir les lèvres de David, j’imagine la langue pénétrant fougueusement la bouche de son fiston. Je continue mes caresses sur Christine qui deviennent de plus en plus précises.
Ils jouissent ensemble bouche contre bouche, avec des gémissements, David éjacule longtemps sur le ventre de sa maman et sur sa main. J’admire ces deux êtres qui me sont de plus en plus chers, je les laisse apprécier leur plaisir dans leur baiser infini. Puis ils se détachent en soufflant bruyamment. S'écartant de David, Christine lui demande :

- Tu as aimé mon grand ?

- Oui

- Tu n'es pas fâché que ce soit moi ?

- Ho non maman, c’est le plus beau jour de ma vie.

Christine se tourne vers moi et me dit pour que David entende :

- Je t’aime Gilles, je t’aime comme une folle.

Voyant que moi aussi je l’aime et pour preuve mon bâton attend qu’il se passe quelque chose. Christine ne peut me laisser dans cette situation. S’adressant à Gilles, elle lui demande :

- Tu veux bien nous laisser seul un moment ?

- Maman, je voudrais rester près de vous deux, je suis tellement bien ici.

- Ca ; j’ai vu que tu es bien, mais on peux bien avoir un petit moment à nous deux.

- Pourquoi je ne pourrais pas vous voir faire l’amour, je vous aime tous les deux, on est bien tous les trois.

Je désire mettre fin à cette discussion, je fais coucher ma chérie qui ne résiste pas.
Même dans mes fantasmes les plus fous je ne pouvais imaginer une Christine aussi dévergondée. Nous adoptons une position que nous aimons bien et qui, s’en le vouloir, va offrir la meilleure scène d’amour à David.

Je me suis carrément jeté sur elle. Mes mains et ma bouche parcourent son corps à une vitesse folle. Je suis aux anges ! Son ventre est en feu, je ne contrôle plus rien, je viens entre ses cuisses, et je m’enfonce en l’embrassant fougueusement.
Elle respire de plus en plus fort, elle murmure subtilement à mon oreille.

- Doucement grand fou, doucement mon chéri…… Tu te rends compte ce que nous faisons.

Nous sommes restés emboîtés l’un dans l’autre, sans bouger, un petit moment, les yeux dans les yeux, profitant de ce moment de pur bonheur.
Je me surélève un peu et pénètre beaucoup plus rapidement. Christine s’abandonne à moi à son plaisir, à mon plaisir. À ce rythme, je n’ai pas résisté longtemps et je me suis vidé dans elle pendant qu’elle explose d’un orgasme puissant. Notre jeune tourtereau a dû avoir une vue imprenable sur nos deux corps en chaleur.

- Mes chéris, dit Christine, j'ai un peu honte mais qu'est que je suis bien.

En tout cas, ajouta t-elle, avant la fin de ces petites vacances je crois que l’on va découvrir autre chose ! Vous serez mes deux amours et moi une mère honteuse et comblée. Nous avons partagé un grand éclat de rire.

Tard dans la soirée, après une longue baignade à la plage, on se fait un petit resto, puis nous sommes rentrés, Christine semble préoccupée, je lui demande ce qu’il ce passe.

- Tu te rends compte ce que nous avons fait tous les trois.

- On dit que ce n'est pas normal, mais je vous ai trouvés très complices tous les deux. Il n'y avait rien de malsain. C'était tendre. En plus c'est moi qui ai commencé !!! Lui répondis-je.

- C'est vrai dit David, c'était bien et je ne vois pas ce qu'on a fait de mal.

- On a fait beaucoup de choses qui ne sont pas conforme à la bonne morale. Dit Christine. Une relation entre la mère et le fils et entre deux hommes, ce n’est pas logique.

- Je ne crois pas Maman, moi je t’aime, je suis ton amour, Gilles est comme mon père, comme mon frère ou mon meilleur ami. Je vous aime tous les deux.

Sitôt dit, David va faire un gros bisou sur les lèvres de sa maman et la même chose sur moi, très surpris de ce geste qui me va droit au cœur.

 


- C’est vrai que vous êtes beaux tous les deux, je suis fier d’avoir deux hommes comme vous, et deux hommes qui s’aiment.

Je prends la parole en m’adressant à David :

- Tu as aimé que je te touche et que je te caresse ?

- Ho oui, j’aimerai tant recommencer.

- C’est mieux que quand tu te masturbes, demande sa mère avec un sourire narquois.

David accuse le coup en silence,

- C’est vrai que tu te branles David ?

A ma question il baisse la tête.

- Tu veux pas nous faire voir comment tu fais, tu nous dois bien ça, n’est pas Christine.

- Oui c’est vrai, aller mon grand, mets-toi dans le canapé et montre nous ……

David est obligé de s’exécuter, il baisse timidement son maillot pour faire paraître sa nouille où apparaît une jeune toison.

- Non, enlève ce maillot de bain, tu seras plus à l’aise…… Quand tu te le fais tu ne gardes pas ton slip, Lui demande sa mère.

Cette situation recommence à m’émoustiller. David quitte son petit vêtement et entame avec deux doigts un va et vient sur sa verge ramollie, la timidité ne l’aidant pas.

- Et bien dit Christine, tu n’es pas aussi enthousiasme que cette après midi, mets un peu plus de cœur à ton ouvrage………… Quand tu es seul, à quoi penses-tu ?

- Je ne sais pas si je peux le dire. Répond David.

- Si, si dis-le, tu ne dois plus rien nous caché maintenant.

Après quelques secondes de réflexion, David accouche :

- Maman, je pense à toi, toujours je pense à toi, tu es si belle.

Christine se lève va vers son fils:

- Merci mon chéri, tu me touches énormément dit-elle en l’embrassant sur les lèvres.

Puis elle prend la main de son fils pour l’accompagner dans la caresse intime.

- Aller mon grand, fais-toi du bien, on veut te voir jouir, pense à ta maman.

Christine s’assoit à coté de David en le regardant dans son œuvre. A la vue de ces deux personnes qui me sont chères, je ne peux m’empêcher de sortir mon maillot et de bricoler ma tige qui grossit à vue d’œil.
Christine caresse les cheveux de son fils pour l’encourager, son action est de plus en plus évidente, la verge est bien bandée avec le gland luisant qui dépasse légèrement du prépuce, sa mère se penche pour y déposer ses lèvres. Par un réflexe bien masculin les fesses de David se soulèvent pour venir plus en profondeur dans la bouche de sa maman, son orgasme vient de suite, elle passe une main sous les couilles, ne rejette pas l’objet, au contraire, elle s’acharne dessus, ce qui fait échapper un petit cri à David qui s’écroule dans le canapé.

- Dit chérie, tu lui fais vachement de l’effet à ton fiston.

- Lui aussi, répond Christine, Je suis toute trempe et toi, regardes ton état, aller vient dans la chambre.

Depuis Cinq minutes, nous donnons dans un corps à corps, lorsque David pénètre la chambre à poil et nous regarde. Seule une faible et douce lumière subsiste. Une musique de slow langoureux emplit faiblement l’espace. Je sens le regard tendu du jeune homme, la main sur sa bistouquette, il s’assoit sur le lit et nous contemple pour la deuxième fois le champ de bataille. David, qui a pris rapidement beaucoup d’assurance, entreprend une masturbation sur son poireau redevenu très raide, normal il est jeune. Sa mère lui lance d’un air moqueur :

- Petit salop, tu aimes nous regarder comme ça ?

- Oui maman, je suis tellement bien.

Rétorque David sans cesser de se caresser la tige. Après quelques secondes Christine qui semble en vouloir toujours plus, demande à nouveau à son fils

- Tu as envie de nous toucher David ?

- C'est vrai…… Je peux ?

Liliane prend la main libre de son fils et l'entraîne entre nos ventres.

- Va mon grand, fais ce que tu as envie, te retiens pas.

Je crois rêver, je ne reconnais plus mon amour, très libérée certes, mais je ne pensais jamais en arriver à ce stade.
David prend directement ma verge en main et commence un lent va et vient entre le pubis de sa mère et mon ventre. Je me retire un peu pour lui donner plus de place, il me masturbe comme un pro. Son autre main tente de titiller le clito de sa mère, mais son manque d’expérience l’empêche de continuer. Je me tourne pour qu’il agisse convenablement, sa mère pousse des gémissements affriolants.
Je dois mettre mon grain de sel :

- Attend David, lui dis-je. Je vais te montrer comment faire.

Je me mets sur le côté et avec une grande attention, j’écarte les poils, ouvre les lèvres pour découvrir les trésors, je lui montre comment flatter le clitoris. Il suit mon exemple, il pose son doigt entre les lèvres et commence une caresse que je suis obligé de freiner pour que sa mère n'explose pas tout de suite. Je le soutiens en passant ma main sur son thorax, pour à mon tour empoigner sa saucisse bien rigide. Je le caresse, pour moi c’est divin de tenir cette chose un peu plus petite que la mienne, c’est surtout très excitant.
Evidemment il ne va pas tenir très longtemps dans ces conditions, je le dirige délicatement vers la bouche de sa maman qui s’ouvre immédiatement pour absorber la virilité de son fiston. Je me réinstalle entre les cuisses de ma chérie, la pénètre et tous les deux jouissons très rapidement. La tête de David vient sur mon épaule, la bouche ouverte se pose sur ma peau pour étouffer son cri de plaisir dans sa jouissance. Sa maman le retient encore un peu entre ses lèvres en dégustant son bonheur.
Christine et moi ressentons le même bien-être, David est en plein épanouissement, il sort lentement de la bouche de sa mère et s'écroule contre moi, le nez dans ma toison thoracique. Je me pousse un peu, David pose sa tête sur le ventre de sa maman. Je m’empresse d’embrasser Christine, le goût du sperme de son fils est dans sa bouche et elle le sait, c’est pourquoi son baiser est profond. Nous nous écartons de David qui est couché sur le ventre, il se détend, nous regardons son petit cul aux fesses rebondies bien étalées. Elle passe sa main sur le fessier comme une caresse maternelle puis elle les écarte un peu comme pour me dire : regarde comme mon fils est beau. C’est vrai que ce petit cul est beau et attirant, sans hésiter un seul instant je pose ma bouche sur les monticules de chair puis sans tardé je vais entre les deux, dégagé par les mains de sa mère, ma langue va sur le petit trou plissé. David est parcouru de petits frissons de plaisir, je prends une énorme joie à lécher cet endroit, je me retire. Sa mère vient à son tour placer sa bouche entre les fesses de son fils, tour à tour nos langues se mélangent dans cet enchantement ravissant.
Nous endormons tous les trois enlacés et épuisés de cette journée exceptionnelle.

Sans-titre-29-copie-4.jpg


Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : vous avez dit inceste
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés