Mardi 21 mars 2 21 /03 /Mars 14:40

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Comme d'habitude, après la douche, nous nous sommes allongés un instant sur mon lit. Il fait très chaud et nous sommes restés nus. Tom s'est allongé contre moi, sur le côté, sa cuisse relevée repose sur la mienne et il caresse mon sein. Mon bras le long du corps repose sous lui et du bout des doigts je peux à peine toucher le bout de sa tige ; instinctivement il se remonte et vient déposer sa bite et les deux couilles au creux de ma main.

 

- J'aime bien quand tu prends ma bite dans ta main

- Elle est tellement douce à caresser... et très dure, j'aime quand tu bandes.

 

Nous restons ainsi un long moment, moi lui caressant tour à tour sa bite tendue ou ses petites couilles rondes, douces, lui me pelotant un sein ou caressant ma chatte épilée, Nous nous sommes assoupis ainsi un moment ; je me réveille, il dort encore mais il a bougé dans son sommeil : il est maintenant sur le dos, sa bite a ramolli et repose sur son ventre plat. Je regarde avec beaucoup de plaisir mon fils de dix ans dormir nu auprès de moi. Nous faisons ainsi depuis deux ou trois ans où nous avons pris l'habitude de nous doucher ensemble, et comme je vis seule avec lui, je lui ai appris qu'il est normal pour une mère et son fils de se voir nus et se toucher. J'adore savonner son petit corps en m'attardant particulièrement sur ses belles fesses rondes et sa petite trilogie. Je nettoie avec une attention particulière le petit trou de son cul et le gland rose de sa bite que je décalotte doucement avec un immense plaisir. Il me le rend bien car je lui ai aussi appris à bien laver mon anus et ma chatte ; il semble y prendre aussi beaucoup de plaisir et s'applique de son mieux.

 

C'est pour lui un jeu innocent de jouer avec le corps de sa maman, mais moi, ça me trouble de plus en plus et je ne me lasse pas de tripoter les organes de mon fils à chaque occasion ; j'y trouve d'autant plus de plaisir que je les vois grandir lentement au fil du temps. Inconsciemment au début, je sais maintenant que ces attouchements innocents ont un but que je réaliserai un jour : me libérer sexuellement avec mon fils, l'aimer, le faire jouir et me faire pénétrer par cette merveilleuse petite bite pour en jouir à mon tour. Mais il faut pour ça que je passe à l'initiation, aux jeux sexuels et cette période de repos après la douche en fait partie. J'ai aussi pris l'habitude de l'embrasser maintenant sur sa petite bouche plutôt que sur les joues et il me le rend bien ; il m'a dit qu'il aimait mes lèvres sur les siennes. Quand nous parlons de sexe, je caresse sa bite qui durcit rapidement et il me caresse un sein ou la chatte. Nous ne parlons plus de zizi, de nénette ou de tétés, mais nous disons bite, couille, chatte, bander.

 

Mais revenons sur mon lit. Tom est là, à côté de moi endormi sur le dos. Je vais le réveiller doucement, le faire bander et après je le branlerai pour la première fois ; je ne sais pas s'il va jouir ni s'il sait déjà se branler tout seul. Je me penche sur lui dépose un premier baiser sur ses lèvres, je descends vers un téton que j'embrasse aussi, Tom dort encore. Ma bouche descend, je suis tout près de sa bite, je n'ai jamais été aussi proche. J'ai envie de la prendre dans ma bouche et sucer enfin ce petit bâton, mais je ne veux pas bruler les étapes. Je pose un léger baiser sur la bite molle qui commence aussitôt à s'allonger et durcir un peu. Tom sort enfin de sa torpeur et sent ma bouche embrasser sa bite encore une fois.

 

- Oh maman, tu me fais bander !

- Désolée, je t'ai réveillé ?

- Oui mais c'est si bon quand tu t'occupes de ma bite.

- Je vais le faire mieux que d'habitude, je vais te montrer quelque chose de nouveau. Je prends la bite maintenant dure comme du bois entre mes doigts, je décalotte doucement le petit gland et j'y dépose un baiser.

 

- Je vais te branler, tu sais ce que c'est ?

- Non maman, c'est agréable ?

- Oui, très agréable ; à la fin tu vas voir, tu vas peut être jouir, et tu pourras le refaire tout seul

- C'est quoi jouir ?

- C'est avoir un très gros plaisir avec plein de sensations délicieuses dans le sexe.

- Oui, alors vas-y, j'aime beaucoup que tu touches ma bite.

 

Lentement, tout doucement je commence à branler la petite bite ; Tom apprécie, quelques mouvements de bassin le montrent bien. Son gland s'est maintenant un peu lubrifié, je le branle plus facilement et j'accélère la masturbation ; les mouvements de Tom ne trompent pas il aime être branlé et j'espère qu'il va jouir. J'ai assez branlé les bites de mes copains et de mes cousins quand j'étais ado, je sais quand et comment faire jouir un homme et voir son sperme gicler ; mais là je ne sais pas comment va réagir mon fils de dix ans, s'il n'est pas trop jeune pour jouir sans sperme.

 

Tom se crispe un peu, ses mouvements sont plus saccadés, je sens que le but est proche. Je ralentis un peu la branlette, j'allonge la course de mes doigts... Tom est tout raide... mes doigts remontent lentement le prépuce sur le gland... redescendent en le décalottant... je recommence... Tom se crispe donne trois coups de reins vers l'avant comme s'il voulait enfoncer sa bite dans l'étui de mes doigts. –

 

- Maman, je jouis, je crois que je jouis !

- Oui mon Tom, jouis bien, encore.

 

Je le branle encore quelques instants. Puis Tom se détend se relève un peu pour embrasser mes lèvres,

 

- C'est ça branler et jouir ?, tu avais raison c'est délicieux, on le refera.

- Je te l'avais bien dit, faut toujours faire confiance à sa maman ! Tu as vu le mouvement, tu peux le faire tout seul, branler ta bite dans ta main, on appelle aussi ça se masturber.

- D'accord j'essaierai dans un moment, là, ça m'a fatigué. Mais toi tu n'as pas de bite, tu ne peux pas te masturber et jouir ?

- Mais si bien sûr, mais autrement, je peux caresser ma chatte et mon clitoris, tu sais le petit bouton que je t'ai montré hier. Je peux aussi entrer mes doigts ou un objet dans le trou de ma chatte et me faire jouir comme avec une bite.

- Alors montre-moi, masturbe-toi et fais-toi jouir, après je me masturberai aussi, puis tu pourras m'apprendre à te branler et te faire jouir à mon tour.

 

J'hésite mais je ne peux pas refuser, je dois me masturber devant mon fils c'est indispensable pour la suite et en fait ça m'excite beaucoup ; et puis Tom est si réceptif à mon éducation sexuelle ! Je m'allonge, j'écarte mes jambes pour qu'il voie bien et je commence à caresser ma chatte, le plaisir monte et j'en oublie la présence de mon fils. Mais non, je me branle pour lui, il faut qu'il me voie jouir ! Je dois rester bien consciente, j'ajoute un doigt dans mon vagin, je mouille comme jamais, je me branle, je me branle... Je me crispe, je crie, je jouis, je me détends. C'est merveilleux, je me suis masturbée avec mon fils comme spectateur, j'ai joui énormément et il a aimé, je le vois bien à sa splendide érection et son air satisfait. Je me redresse, prends son visage entre mes mains et dépose un baiser appuyé sur sa bouche, insérant ma langue juste entre ses lèvres douces pour la première fois.

 

- À moi maintenant, je vais me branler, me masturber comme tu m'as appris.

 

Et sans aucune gêne Tom s'allonge sur le dos, prend sa bite dans sa main et commence le va-et-vient de sa branlette, c'est normal devant sa maman. Ou il a tout compris ou c'est d'instinct, mais je vois que sa masturbation lui apporte beaucoup de plaisir, il semble un moment chercher le bon rythme accélérant ou ralentissant le branle de sa bite En peu de temps les signes du plaisir croissent puis il ralentit comme s'il voulait faire durer le plaisir et retarder la jouissance. Un dernier coup de rein, un petit cri et il se détend.

 

- Maman, je me suis masturbé et je me suis fait jouir, tu m'as appris quelque chose de super !

- Tu pourras te branler tous les soirs avant de t'endormir comme je le fais moi même.

- À toi, apprends-moi à te branler, on pourra aussi se masturber sur ton lit après la douche comme aujourd'hui.

 

Je montre donc à Tom avec conseils à l'appui, comment branler et faire jouir sa maman... et ses futures copines. Il faut dire que Tom doit être doué car ses doigts graciles font merveille, il ne lui faut pas longtemps pour me faire jouir et mes petits cris de plaisir l'amusent beaucoup. Il est quand même étonné de retirer ses doigts tout trempés de mon vagin. Je dois lui expliquer la nécessité d'une lubrification, pour un meilleur plaisir lorsqu'un garçon baise la chatte d'une fille ; mais il ne semble pas intéressé pour passer à ce stade, je suis d'accord, je veux le sucer avant.

 

Ce week-end Tom est parti dormir chez son copain Benoît pour l'anniversaire de celui-ci.

 

Je me sens un peu seule le soir sans mon petit mâle et sa bite ; heureusement j'ai fait quelques photos de nos branlettes et c'est en les visionnant que je me masturbe avant de dormir, et avec l'aide d'un gode dans l'anus et du vibromasseur dans la chatte j'atteins un très bel orgasme. Depuis ma complicité sexuelle avec Tom je n'avais pas ressorti ces deux compagnons et je les retrouve avec plaisir.

 

Le dimanche soir Benoît et son père raccompagnent Tom à la maison. Benoît a presque un an de plus que Tom mais il n'est pas plus grand, il est aussi beau garçon et je me demande s'il jute déjà ou s'il jouit encore à sec comme Tom, mais je suis certaine qu'il se masturbe car il me regarde drôlement.

 

Jacques, le père de Benoît est un bel homme, il remplacerait bien Tom avec une queue bien plus grosse ; mais je me suis promise de ne pas remplacer le père de Tom tant que je n'aurai pas fini son initiation sexuelle, c'est à dire tant qu'il ne m'aurait pas baisée.

 

Une fois Benoît et Jacques partis nous nous déshabillons tous les deux, nous nous retrouvons sur mon lit après une douche très "tactile".

 

- Ta jolie bite m'a manqué, je me suis masturbée deux fois. Mais toi tu n’as pas pu te branler avec la présence de Benoît, tu as dormi dans sa chambre ?

- Ils avaient mis un matelas par terre, mais très inconfortable alors comme Benoît a un grand lit dans sa chambre je suis allé avec lui.

- Dormir ?

- Non pas tout de suite, avec Benoît on a parlé d'un peu de tout pour finir par parler de sexe. Il m'a raconté qu'il s'était branlé cet été avec son cousin ; mais en fait c'était pour savoir si je me masturbais aussi comme lui.

- Tu n'as rien dit pour nous deux ?

- Non, t'inquiète ! On a commencé à se chatouiller, puis à se toucher alors j'ai compris qu'il était d'accord pour qu'on se branle. On a enlevé nos pyjamas, on s'est un peu tripoté la bite et les couilles puis il m'a proposé de me branler,

- Tu l'as laissé faire ?

- Oui, il sait très bien branler, j'ai bien joui. Et je l'ai branlé aussi.

- Elle est jolie, sa bite ?

- Très jolie, bien dure et droite comme la mienne mais un peu plus grosse et j'ai vu comme un peu de duvet au bas de son ventre.

- Il commence peut être la puberté, il a juté quand tu l'as branlé ?

- Oui, juste un peu de blanc sur le gland, comme tu m'as expliqué.

- Alors tu as passé une bonne soirée ? Continue à me raconter.

- Oui une bonne soirée ; après on n'a pas remis les pyjamas on a dormi tous nus, il a l'habitude avec son père.

- Ils font comme nous ?

- Son père est venu nous réveiller, il n'a pas eu l'air étonné de nous voir nus. Il a même soulevé les draps pour nous voir, il a dit "Ha !, vous ne bandez pas ? ". C'est là que j'ai réalisé qu'il était nu lui aussi avec sa grosse bite bien dressée.

- Il vous a touchés ?

- Il a rapidement passé sa main sur nos bites puis il est parti préparer les déjeuners en disant "Branlez-vous, je reviens"

- Vous l'avez fait ?

- Oui, Benoît m'a branlé le premier, puis son père est entré avec un plateau juste quand Benoît jouissait. On a déjeuné tous les trois sur le lit de Benoît, assis en tailleur, les bites dressées entre nos jambes écartées, ça faisait un joli spectacle !

- Jacques aussi était à poil ?

- Bien sûr, et il m'a parlé de Benoît, comment il faisait son éducation sexuelle, comme toi il lui a appris à se masturber et à le branler.

- Alors Jacques branle Benoit et Benoit branle aussi Jacques ?

- Oui, comme nous ! Ils m'ont montré...

- Leur branlette ?, Jacques a juté ?

- Oui, Benoît l’a branlé et l'a fait juter, c'est blanc, un peu visqueux, comme une crème. Après Jacques m'a branlé et pendant ce temps j'ai commencé à tripoter sa grosse queue et ses couilles.

- Tu as aimé ça, une grosse queue d'adulte pleine de poils ?

- Non, il se rase la bite et les couilles, pas un poil. Après m'avoir fait jouir il m'a demandé de le branler, je l'ai fait et il m'a trouvé bon branleur, il a joui en jutant du sperme sur ma main.

- Tu en auras bientôt du sperme, tu vois Benoît commence. Ils t'ont donc raconté qu'ils se branlent entre père et fils ?

- Ils m'ont tout raconté, ils ont aussi commencé à se doucher ensemble puis à se toucher et finalement Jacques a commencé à lui apprendre le sexe. Maintenant ils font aussi d'autres choses.

- Ha bon ?, lesquelles ?

- Ben. Jacques prend la bite de Benoît dans sa bouche et il la suce comme une glace jusqu'à ce que Benoît jouisse, il paraît que c'est le meilleur du sexe.

- Oui, dans la bouche c'est bien le meilleur, et Benoît le suce aussi ?

- Oui, mais Jacques ne veut pas jouir et mettre son sperme dans la bouche de Benoît car il est trop petit, alors il se retire avant et ça ne plait pas à Benoît. Il m'a dit qu'il avait gouté le sperme sur sa main que c'était trop bon, il lui tarde que Jacques le trouve assez grand pour avaler toute une giclée de sperme.

- Il a tort, c'est très bon le sperme, moi j'aime l'avaler et à son âge Benoît peut le faire, moi je le faisais à son âge. Et ils ne font pas autre chose ?

- Tu veux dire entre garçons, se mettre la bite dans le cul ?

- Oui, ou s'enculer si tu préfères !

- Si justement, après le déjeuner Benoît m'a tout raconté, comment il encule Jacques et comment Jacques l'encule malgré sa grosse bite maintenant ça ne lui fait plus mal mais beaucoup de plaisir. Il m'a dit pour me rendre jaloux "Tu n'as pas de chance, ta maman ne pourra jamais t'enculer" juste te sucer.

- Non, mais je pourrai te mettre un gode.

- Un gode ?

- Oui, une fausse bite en plastique, j'en ai plusieurs de différentes tailles. Et finalement tu as aussi raconté nos branlettes ?

- Oui, je te demande pardon, j'avais promis. Après avoir branlé Jacques ça m'a échappé qu'on se branlait ensemble, mais je crois qu'en réalité ça leur a bien plu, surtout à Jacques qui a eu un petit sourire mystérieux.

- Tu n’aurais pas dû, mais c'est fait ! Pour te punir je vais te sucer, Benoît et Jacques ne l'ont pas fait ?

- Non, j'aurais aimé, mais je préfère que tu sois la première.

 

Tout excitée par ses récits et la chatte trempée, je me suis penchée sur la bouche de Tom dont ma langue a pris possession, il a aussitôt répondu à mon baiser en mêlant sa langue à la mienne, un baiser passion comme, ça me manquait depuis longtemps.

 

- Tu veux un gode avant ou après que je te suce ?

- Après, suce-moi vite, je suis impatient.

 

Alors je me baisse, je prends la belle tige bien raide dans ma bouche, je la décalotte avec mes lèvres puis la suce longuement, d'abord le petit gland, puis la bite entière. Quand Tom jouit, j'ai cru qu'il s'évanouissait tellement sa réaction a été forte ; je sens un goût âpre sur son gland, avait-il juté un tout petit peu de sperme ? J'avais trop léché le gland il n'y a aucune trace. Une autre fois ?

 

Puis, comme promis, on passe au gode ; j'en choisis un plutôt long mais pas trop large que je juge idéal pour le dépucelage du petit trou de mon Tom. Avec une bonne dose de gel lubrifiant, j'introduis facilement le gode dans l'anus de Tom et je commence un va-et-vient tout en branlant la petite queue de Tom. Il jouit une nouvelle fois.

 

- C’est bon avec le gode, un peu comme si tu m'enculais

 

Après avoir ressorti le gode, je le laisse reprendre ses esprits, mais il a déjà avancé sa main vers ma chatte pour me branler.

 

- Non, ta punition n'est pas finie, c'est à toi de me sucer. En tout cas ta bite a bon goût.

- Comment fais-je ?

- Un peu comme quand tu me branles mais avec la bouche et la langue au lieu de tes doigts. Viens entre mes jambes.

 

Et Tom a déjà compris, il commence lentement à lécher la fente, les lèvres et le clitoris ; j'essaie de ne pas trop mouiller : Il n'est pas habitué au goût d'une chatte. Finalement, pour un premier cunnilingus Tom s'en sort assez bien et me procure un très bel orgasme.

 

- C’était très bien, mon Tom, une autre fois on essayera un 69.

- 69 ?

- Oui, on se met tête-bêche et on peut chacun sucer l'autre en même temps qu'on est sucé.

- Ha oui !, Benoit m'en a parlé avec son père.

- M : Ah, son père ! Je vais lui parler. Tu vas inviter Benoît à dormir à la maison le prochain weekend, il va sûrement l'accompagner.

- Mais on n'a pas de place !

- Mais si, comme chez Benoît vous dormirez ensemble dans ton lit, vous pourrez vous branler, je vous amènerai le petit déjeuner comme Jacques...

 

Jacques et Benoît arrivent plus tôt que prévu et avec Tom on s'est habillés pour les recevoir. Moi très légèrement, une jupe assez courte un haut plutôt décolleté et bien sûr sans sous-vêtements.

 

- Maman, tu es canon et très sexy, j'espère que tu vas faire bander Jacques et Benoît.

- Si j'écarte un peu les jambes, à coup sûr.

 

Les présentations sont vite faites, je pense bien plaire à Jacques avec ma tenue ; je les trouve, père et fils plutôt beaux, en tout cas bien à mon goût pour la suite. J'invite Jacques à rester diner plutôt que de rentrer seul tout de suite, il accepte et nous allons discuter de nos fils assis sur le canapé et devant un apéritif. Les deux garçons sont invités à aller se doucher pendant ce temps. La douche me parait longue et ponctuée d'éclats de rire. On continue nos discussions sur l'éducation avec Jacques qui m'appelle vite par mon prénom : Marion.

 

Les garçons déboulent dans le séjour après la douche pour prendre quelques biscuits d'apéritif, ils sont nus sous leur serviette de bain enroulée à la taille. Quand Benoît passe à portée de Jacques, il étend le bras pour saisir la serviette de bain et la défait brusquement en disant :

 

- C'est bien dommage de cacher de si beaux garçons avec de si jolis attributs, dit-il à son fils.

 

Je crois que c'est à ce moment que Jacques a lancé une soirée qui s'annonce bien ! À son tour Tom vient près de moi visiblement pour que je lui enlève sa serviette.

 

- Ils sont beaux, nos garçons ! Dis-je à Jacques.

 

Avec Jaques, nous contemplons sans gêne les deux adolescents qui s'exposent nus, debout devant nous les mains croisées derrière le dos et leurs petites bites tendues fièrement vers le ciel.

 

- Oui, on ne saurait lequel choisir, me répond Jacques.

- Benoît vous ressemble beaucoup, il a votre visage et il est un peu plus développé que Tom.

- Oui, il me ressemble de partout ! Et il commence bien la puberté, il jute un peu.

 

Ça y est, on a commencé à parler de sexe ! Je mouille un peu et je vois que le pantalon de Jacques se tend.

 

- Tom vous a raconté comment je m'occupe bien de l'éducation de Benoît ?

- Et aussi sexuelle, c'est important de parler de sexe aux enfants.

- Mais ce n'est pas facile de parler de ça.

- Le plus simple c'est par l'exemple.

- Oui, vous le savez c'est par l'exemple que j'ai montré à Benoît comment faire.

- Tom m'a raconté comment vous vous impliquez physiquement.

- Oui, vous aussi je crois.

- Mais en parent unique on ne peut pas tout montrer, je crois que vous êtes allé au fond des choses ?

- Oui, au fond... . On devrait échanger nos rôles, on se complétera.

 

C'est l'heure de préparer le repas, Jacques insiste pour m'aider, il se frôle à moi autant qu'il peut et je lui offre un maximum de perspectives sur mes cuisses et mes petits seins au travers du décolleté.

 

Puis, le repas prêt, nous allons chercher les garçons dans la chambre de Tom dont la porte est restée ouverte. Je m'attendais à les voir se tripoter mais le spectacle est bien au-delà. Les deux garçons sont sur le lit, couchés sur le côté, en train de se sucer en 69. En nous voyant arriver un petit signe nous invite à les regarder terminer leurs ébats. Tom jouit le premier puis Benoît jute dans la bouche de Tom, un peu surpris mais heureux de gouter enfin un peu du sperme de son ami.

 

- Très joli, on vous attend en bas pour diner, leur dis-je.

 

Nous redescendons, suivis de près par les enfants, toujours nus et j’entends Tom dans mon dos nous interpeller.

 

- Mais c'est indécent, vous n'allez tout de même pas manger tout habillés ? À poil comme nous !

 

Je suis leur hôte, je dois donner l'exemple ; sans hésiter et presque soulagée j'enlève le haut aussitôt, puis la jupe tombe et je me présente nue à la vue de Jacques et Benoît. Jacques a aussi vite fait pour enlever sa chemise, il a un beau torse musclé et imberbe. Il a défait la ceinture de son pantalon mais avec la pression de la queue gonflée en-dessous il a du mal à ouvrir la braguette. Benoît se précipite et d'un geste sûr il ouvre la fermeture éclair et sort la bite bien raide de son père. Puis nous passons à table pour un repas normal entre amis... sauf à la fin. Les garçons enlèvent les assiettes pour le dessert, puis ils reviennent de la cuisine avec une bombe de crème chantilly. Ils s'assoient sur le bord de la table, Benoît devant moi, Tom devant Jacques, leurs bites bien bandées et tendues vers l'avant et y déposent une bonne dose de chantilly ; je suis gênée.

 

- C'est le dessert, vous pouvez nous manger, nous lance mon fils.

- D'accord, vous aurais le vôtre après. Lui rétorque Jacques.

 

Et pour me mettre à l'aise, Jacques commence le premier à lécher la crème sur la bite de Tom.

 

- Allez-y, mangez aussi, m’encourage-t-il.

- Non, après, je préfère te regarder sucer mon Tom, il est aux anges.

 

Jacques sait y faire sans doute un long entrainement à sucer Benoît. Ou qui d'autre ? Tom ne tarde pas à jouir

 

- Jacques, tu suces presque aussi bien que maman.

 

Je ne fais pas attendre Benoît trop longtemps et je me mets aussi à le sucer, la chantilly d'abord puis la bite, lentement, longuement ; son père me regarde avec délice. Puis Benoît jouit enfin, il se retenait au mieux et je sens une goutte couler de son gland sur ma langue ; trop peu de sperme, mais il a sacrément bon goût !

 

- Je crois que c'est quand même ta mère qui suce le mieux, sort Benoît.

- Venez prendre votre dessert sur le canapé, les garçons.

 

Nous nous asseyons côte à côte au bord du canapé avec Jacques, les jambes écartées, bien accessibles. Nous avons droit à notre nappage de chantilly puis les garçons se mettent à genoux devant nos sexes et ils commencent à nous sucer. Benoît est un peu maladroit au début, c'est sa première chatte ! Tom a du mal à avaler la grosse queue de Jacques ; mais ils aiment le sexe, s'appliquent bien et nous font jouir presque ensemble. Seul Tom a du mal avec le sperme abondant de Jacques et il ne tente pas de tout avaler, il préfère le laisser couler de sa bouche sur la queue de Jacques.

 

- C'est bon le sperme, Jacques, j'aime bien mais il y en avait trop

- T'excuse pas, c'est normal, ça viendra avec l'habitude, tu le resuceras plus tard.

- C'est quand même très bon une chatte, très gouteux aussi, merci Marion.

 

Puis je me découvre la grosse queue de Jacques tripotant ses couilles rasées de frais, sa bite bien raide ; juste la bonne taille pour moi : assez longue mais de trop gros diamètre. Et au tour de Jacques de me tripoter caressant mes seins, ma chatte, il me complimente sur la rondeur et la fermeté de mes petits seins comme il les aime et la bonne lubrification de ma chatte.

 

La soirée se déroule ainsi entre tripotage branle et suce, au hasard des partenaires. Puis les garçons décident que Jacques et moi nous devons baiser ensemble et surtout qu'ils doivent regarder ce spectacle qui s'annonce magnifique. Alors on monte dans ma chambre, les garçons assis au bord du lit, nous commençons par quelques caresses.

 

- Vous pouvez vous branler en nous regardant, leur dit Jacques.

- Vous pouvez aussi nous caresser, nous toucher partout, ajouté-je.

 

Et ils ne se font pas prier pour exciter nos sens, leurs mains, leurs bouches et leurs sexes se baladant partout autour de nous. Nous baisons comme de vieux amants qui se connaissent bien sexuellement et savent se procurer des orgasmes simultanés et intenses. Nous retombons épuisés sur le lit couchés sur le dos, offerts à nos enfants qui se précipitent pour nous lécher, nettoyer nos sexes du sperme de Jacques et de ma mouille. Benoît vient lécher ma chatte en premier pendant que Tom nettoie la bite de Jacques. Puis avant de changer de place ils viennent nous faire goûter leurs trophées qui changent de bouche se mélangeant sans distinction entre homme, femme, garçon. Les baisers au goût de sperme sont délicieux sur les lèvres de mes trois amants, Tom et Benoît échangent leur premier baiser. Enfin Tom avale un peu de sperme de Jacques qui sortait encore de ma chatte et Benoît finit de sucer son papa.

 

La séance se termine par une douche collective avant d'aller se coucher, moi dans les bras de Jacques, Tom dans ceux de Benoît.

 

 

Finalement Jacques ne repart que le lendemain matin car il travaille l'après-midi. Cela nous laisse du temps pour dormir (un peu) et pour baiser, branler, sucer (beaucoup).

 

En fin de matinée je m'habille et sors faire quelques courses pendant que les garçons dorment encore, nus sur le lit de Tom. A mon retour ils se réveillent à peine, et étonnés de me voir habillée, ils ont tôt fait de me remettre à poil ! Deux pipes et un cunnilingus plus tard en guise d'apéritif et nous passons à table. Mais la nuit a été courte et agitée, une courte sieste sans sexe nous repose. C'est vers 15 heures que je suis réveillée par le gode que Tom et Benoît font jouer dans ma chatte ; en quelques va-et-vient je suis remise en forme, et bien mouillée je jouis vite. J'embrasse les deux jeunes bouches à pleine langue, puis ils se roulent une bonne pelle entre eux ; j'avais oublié l'éducation sexuelle de Benoît et l'adhésion de Tom à celle-ci.

 

- Ça avait l'air super quand vous avez baisé avec Jacques, il semble que vous avez énormément joui, me dit Tom.

- Oui, Jacques est un très bon coup, il se sert si bien de sa bite !

- Je la bien connais sa bite, lance Benoît, elle est super. Mais nous ce qu'on ne connait pas c'est la chatte, comment ça fait quand on baise dans une chatte.

- Je veux bien vous faire essayer, mais vous êtes puceaux, c'est important : comment et avec qui on est dépucelé.

- Tu avais choisi, maman, avec qui ?

- Moi, c'est ton grand-père, c'est sa bite que je voulais et grand-mère était d'accord, c'est elle qui m'avait appris à le branler et le sucer. Elle était là quand on l'a fait pour mes douze ans. Grand-père m'a dépucelée et il a joui dans ma chatte c'était une sensation merveilleuse. Puis grand-mère a versé du champagne sur ma chatte en recueillant dans une coupe le mélange de champagne, de sperme de grand-père et d'un peu de sang de mon pucelage ; ensuite on en a bu une gorgée à tour de rôle.

- Maman, ça serait bien que tu nous dépucelles aujourd'hui.

- J'attends ça depuis le premier jour où je t'ai vu bander. Mais toi, Benoît que va dire Jacques ?

- On en a déjà parlé : il m'a dit "je t'ai dépucelé du cul, je n'ai pas de femme mais tu sauras trouver la bonne".

- Et tu aimerais que ce soit moi ?

- Oui, tu es bonne !

- C'est ça, flatte ma mère ! Mais je suis son fils j'ai la priorité, en plus je serai le premier ado qui la  baise.

- Pfff, une p'tite bite qui ne jute pas ! Le taquine Benoît.

- Allons les garçons ne vous chamaillez pas. Ce sera Tom d'abord et Benoît ensuite.

- Je peux rester vous regarder ?

- T : Bien sûr, Benoît, tu seras mon témoin et regarde bien comment il faut faire !

 

On va d'abord prendre une douche tous les trois, six mains qui ont beaucoup à explorer, caresser, mais personne ne jouit, on se réserve.

 

On se retrouve peu après sur mon lit, l'impatience des garçons leur donne deux érections magnifiques, je suis gâtée. Je m'allonge sur le dos, jambes bien ouvertes et Tom vient sur moi. Un baiser profond commence à nous unir, je sens la petite bite dure contre mon ventre, mon cœur bat vite. Tom essaie maladroitement de pousser sa queue dans ma chatte, je la prends en main et je la guide dans mon vagin. La sensation est délicieuse, la bite trop petite glisse facilement à l'intérieur de mon corps, j'essaie de serrer mes muscles au mieux, Tom le sent et me sourit. Benoît nous regarde en se branlant lentement.

 

- Ça y est, mon Tom, tu es dans la chatte de ta mère ; donne-lui du plaisir et surtout prends en toi-même pour ta première baise.

- Oui maman, c'est tellement doux dans toi, je vais essayer de te faire jouir.

 

Puis il commence le va-et-vient tant attendu, lentement, doucement, il accélère, ralentit. La bite est vraiment petite, je ne sais pas s'il va me faire jouir mais je commence à perdre mon contrôle et j'y vais d'un mouvement des reins pour l'accompagner. Benoît s'approche, il a lâché sa queue pour caresser mes seins et les fesses de Tom, il glisse même une main entre nos corps pour toucher nos sexes unis, ma chatte, les couilles de Tom. Puis tout s'accélère, le rythme de nos respirations, les coups de bite de Tom, il s'arrête un instant, il va jouir, non il reprend lentement, puis en deux coups de queue il nous fait jouir tous les deux, il crie, je crie, nous sommes heureux. Enfin la tension retombe on se détend avec un immense baiser où se mêlent nos langues. Tom se retire doucement, à regret, Benoît et lui contemplent la bite de Tom et ma chatte humide et gonflée de plaisir.

 

- Benoît, tu nous nettoies ?

- Bien sûr, avec plaisir et je vais vous faire goûter.

 

Il nettoie d'abord Tom à grand coups de langue, la bite, les couilles ; puis il vient me lécher, il recueille la mouille de ma chatte et tour à tour vient nous embrasser en échangeant le précieux liquide, c'est délicieux. Mon fils m'a baisée et je déguste le fruit de notre amour, c'est extraordinaire. J'ai fait l'amour avec mon fils, mon envie d'inceste est comblée, et après mon dépucelage par mon père la boucle est bouclée.

 

Je prends un long moment de repos à caresser les deux corps des gamins impubères, et j'invite Benoît qui s'impatiente à venir baiser ma chatte à son tour. Il n'est pas plus adroit que Tom bien qu'il doive savoir guider sa queue en enculant son père, et c'est la main de Tom qui le guide dans la chatte de sa mère puis entre ses jambes, il lui caresse les couilles pour l'encourager. La bite un peu plus grosse est plus agréable que celle de Tom mais nous ne jouissons pas plus vite ; mon excitation est retombée et Benoît est plus maladroit mais c'est quand même un bel orgasme qu'il me procure. Benoît, lui, est tout heureux :

 

- J'ai baisé, j'ai baisé ! Marion tu es super bonne... J'ai juté dans ta chatte !

 

Et c'est au tour de Tom de venir nous nettoyer avec sa langue et échanger ma mouille avec les autres. Je lui trouve un goût un peu différent, peut-être le peu de sperme de Benoît ?

 

Mais les enfants sont toujours prêts et Tom propose une nouvelle expérience : Me baiser à deux, ce qui me plait bien, leurs bites sont petites et à deux ça devrait le faire ! Ils manquent d'expérience pour cette position mais je l'ai déjà fait avec mes deux cousins. Je mets Tom sur le dos, je m'empale sur sa queue, me penche en avant jambes écartées et Benoît vient glisser la sienne dans mon anus. Même sans lubrifiant la queue est fine et entre facilement pour mon grand plaisir, il y a si longtemps que je n'ai pas été enculée.

 

En fin de journée après son travail Jacques vient chercher Benoît, nous lui racontons nos expériences de l'après-midi, il me remercie d'avoir dépucelé son fils. Puis, c'est bien sûr encore l'occasion d'embrasser, caresser, peloter, branler, sucer et baiser. Toutes les combinaisons bite, bouche, chatte, anus y passent, tous nos trous sont comblés, toutes les couilles sont vidées. Puis, à regret Jacques et Benoît s'en vont après les derniers baisers langoureux.

 

Ce soir-là Tom et moi dormons enlacés mais trop fatigués pour le moindre jeu sexuel. Comme on se l'était promis nous avons passé de nombreux week-ends ensemble à baiser comme des fous, puis Jacques a été muté loin de chez nous et on s'est perdus de vue.

 

Je n'ai qu'un regret, c'est de n'avoir connu que des bites dans ces jeux sexuels, j'aurai bien aimé y trouver au moins une autre fille adulte ou de l'âge des garçons peu importe. J'ai encore le souvenir de bonnes séances de gouinage avec ma cousine, ça me manque un peu, maintenant que j'ai assouvi mon désir de Tom. Je vais chercher, je vais trouver, Tom aimera ça mais il ne le sait pas encore.

 

 

Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : inceste
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