Jeudi 20 octobre 4 20 /10 /Oct 18:26

 

3047



 

 

C'est un de ces moments fantastiquement langoureux. L'intensité de l'orgasme a laissé mon esprit vide. Mon corps est si faible que je reste allongé sur le canapé, de peur que je ne puisse juste m'écrouler sur le sol. J'ouvre les yeux et vois le dos de Manon, légèrement hâlé, ses fesses pâles, montant et descendant mécaniquement, automatiquement, sur mon pieu mollissant. Ma femme est encore en train de terminer son intense et puissant orgasme, je suis lessivé.

J'entends un bruit, et là, dans la porte j'aperçois Sarah, notre plus jeune fille. Elle a seulement  quinze ans, mais elle est tellement mature. Elle nous a regardé faire l'amour... observant ma longue et épaisse bite coulissant dans la chatte de sa mère jusqu'à ce que finalement nous avons tous les deux atteint le septième ciel. Sarah nous regarde avec passion, sa propre excitation frôle le voyeurisme. L'entrejambe de son collant blanc est plaqué sur les lèvres de sa jeune chatte et son excitation l'a souillé jusqu'à assombrir la mince bande de tissu tirée dans sa fente. C'est une magnifique fille, ses longs cheveux blonds en cascade sur son dos, ses longues jambes musclées et bronzées. Je ressens le besoin de dire quelque chose à ma femme, que notre fille nous regarde faire l'amour... la prévenir... mais je suis tellement exténué que je ne peux pas parler. D'une certaine manière, il ne semble pas que ce soit important... tout cela me semble si... si naturel.

Ma bite se ramollit et le nœud sort hors de sa chatte. Il est lubrifié avec nos fluides, brillant dans la lumière du feu qui brûle à côté de nous. Le mouvement rythmique de Manon est si subtil maintenant que je ne peux discerner les contractions de ses épaules, je ne peux pas détecter la petite montée et la chute de son corps. Elle me chevauche encore, et sous la fente de ses fesses je peux voir les gouttelettes visqueuses, résultant de notre friction, dégoulinant d'elle et se coller sur les poils de mes cuisses. Sa main droite passe derrière entre ses cuisses entrouvertes, et je sens les doigts de Manon s'enrouler autour de ma queue molle. Manon se relève, balançant sa jambe sur ma poitrine. Je peux voir ses cuisses briller de nos sécrétions. Elle se dirige vers la chaise où sont posées nos serviettes. De sa silhouette projetée sur le mur j'observe Manon qui se nettoie. Je regarde autour de la salle éclairée uniquement avec les flammes, mais elle ne peut voir Sarah. Manon quitte la pièce. Je me couche nu sur mon dos et ferme les yeux.

Sarah ne se retourne pas quand j'arrive dans la véranda, elle regarde dehors soit l'obscurité glacée du jardin ou les mouvements rapides des cumulus dans le ciel étoilé. Je sens que je dois parler à ma fille, lui dire quelque chose... lui expliquer... Je sens qu'elle est troublée par ce qu'elle a vu, mais je ne sais pas ce que c'est. Je m'avance pour poser mes mains sur ses épaules dans un geste paternel. Elle ne bronche pas, elle sait que je suis là. Je veux appuyer mon corps contre elle, mais elle est indubitablement bouleversée... il me semble qu'il est difficile pour nous deux de se réconcilier... retrouver notre intimité après l'acte dont elle a été le témoin. J'ai, tout à coup, un besoin irrépressible de partager avec elle. Sarah partage notre amour de parents, mais n'a jamais réellement été témoin de notre amour physique jusqu'à maintenant. Je peux comprendre qu'elle courbe son dos, et la façon dont ses épaules se dérobent sous mes paumes. Je demande à Sarah si elle veut revenir à l'intérieur à côté de la cheminée qui crépite. Il fait froid sous la véranda. Elle se retourne, et pour la première fois se rend compte que je suis toujours nu. Ses yeux semblent briller malicieusement dans la lumière des flammes et il me semble y détecter un petit sourire quand ma bite touche par inadvertance sa cuisse. Je frissonne à ce contact mais pas à cause du froid.

– Viens à l'intérieur, avant que ton pauvre papa n'attrape une pneumonie.

Lui dis-je avec un petit sourire. Je la fais asseoir sur le canapé en face du feu et pars à la recherche de ma femme. Manon est dans la cuisine. Je lui raconte tout, à l'exception du fait que l'idée de notre propre fille nous a vu faire l'amour m'a super excité. Mais Manon n'est pas une imbécile. Elle se blottit contre mon torse.

– Tu veux la baiser, non ?

Que puis-je dire. Je hausse les épaules évasivement et juste la regarde gauchement. Je ne peux jamais mentir avec succès à Manon.

– C'est bon... Laisse-moi faire.

Murmure-t-elle.

– Maintenant, va lui tenir compagnie pendant que je nous prépare à boire.

Je secoue la tête incrédule, mais je fais ce que dit Manon... d'ailleurs je le fais toujours. Sarah est toujours sur le canapé où je l'ai quittée, elle gigote d'inquiétude. Nous sommes assis à côté, séparés par la largeur d'une paume de main pour la bienséance, elle dans son justaucorps brillant pendant que le même regard que sa mère, serein mais avec un soupçon alléchant de malice. Les taches de rousseur sur ses joues brillent à la lueur des flammes. Je peux sentir la chaleur de la flamme. Il me tarde de savourer ce jeune petit animal, se régalant de sa chair tendre avec mes mains, mais c'est inapproprié. Manon entre dans la pièce. Elle porte un plateau avec une bouteille de vin et trois verres, elle le pose sur la table devant le canapé. Elle est vêtue d'une robe de soie translucide qui arrive à peine en haut de ses cuisses et qui avec les flammes cache peu de choses. Ses cheveux brun clair tombent sur ses épaules.

Cinq minutes se sont écoulées quand je reviens au salon, après avoir pris une douche. Du haut de l'escalier je peux apercevoir Manon et Sarah assises côte à côte sur le canapé. Leurs silhouettes sont pales mais la robe de ma femme fait une tache lumineuse sur la blancheur du justaucorps de Sarah. Je descends les escaliers et m'avance vers le canapé. Pendant un instant je pense que Sarah pleure. Sa tête est pratiquement enfouie sous l'aisselle de sa mère qui lui caresse le dos. Mes pieds nus me donnent une démarche silencieuse mais Manon me regarde comme je m'approche. Je saisis le message silencieux qu'elle m'adresse. Lentement les caresses de Manon descendent les bretelles du justaucorps des épaules de Sarah. Je pose mes mains sur le cou de Sarah, mes doigts demeurent sur sa nuque. J'aide à pousser les bretelles vers le bas des bras de ma fille et pose mes mains sur ses épaules comme je l'ai fait plus tôt dans la véranda. Encore une fois, je veux appuyer mon corps contre son dos. Manon caresse la joue et le cou de Sarah. Je regarde ma femme qui baisse lentement le haut du justaucorps. J'aperçois sa jeune poitrine ferme émerger à la lumière, les mamelons de Sarah sont tendus, presque aussi gros que ceux de sa mère et ils sont bien raides. Il me tarde de les pincer, ou du moins poser mes mains sur ses seins comme je le fais sur ses épaules, mais je regarde le nez et la bouche de Manon tracer une ligne de baisers et de pressions entre les seins de sa fille.

 

1 (3)

 

Pendant un moment, je suis ravi. Regarder ma femme avoir une étreinte intime avec notre fille est difficile à croire, mais la vue est incroyable. Je regarde la poitrine de ma fille révélée dans toute sa splendeur. Elle est si jeune et si belle. Je me sens attiré par elle, contraint d'adorer son jeune corps de rêve que ma femme est en train de dénuder lentement, je me mets à genoux, je presse mon visage sous les cheveux de ma fille et l'embrasse dans le cou. Je sens le souffle. Je ferme les yeux et enfoui mon visage sur sa nuque et me noie dans sa chevelure blonde et soyeuse. A l'aveugle, ma main gauche commence l'exploration de son corps. Je descends lentement ma main sur son avant-bras et mon esprit imagine la scène, sa peau colorée par ses taches de rousseurs. Instinctivement, je sais que Manon a changé. Comme je l'embrasse les cheveux de Sarah ma main remonte sur ses côtes et mes doigts sentent le bas de son sein gauche. Mes doigts remontent sur son sein jusqu'à ce que je sente son mamelon entre mon majeur et mon index. Je serre mes doigts, serrant sa poitrine et pinçant son mamelon tendrement, doucement. Dieu, je caresse ma propre fille ! Quel bonheur.

Pour voir ce que fait Manon je recule mon visage des cheveux de Sarah. Celle-ci est presque à genoux sur le canapé. Le justaucorps de Sarah est baissé juste au-dessous de sa taille et repose sur ses hanches. Ma main droite glisse de l'épaule de Sarah et fait ce que fait ma gauche. Je prends son sein et pince doucement ses mamelons entre mes doigts. Enhardi par ses gémissements, ma bouche cherche la sienne, la trouve, et nous nous embrassons violemment. Les yeux de Sarah se ferment lorsque nos lèvres se touchent, je regarde vers le bas et regarde la langue de Manon tourbillonner autour du nombril de notre fille. Une partie de moi ne peut pas croire que ça arrive, que je regarde ma femme rendant hommage à notre fille avec sa bouche.

Manon maintenant tire le justaucorps vers le bas avec sa main gauche tandis que sa main droite caresse le dessus des cuisses. Presque imperceptiblement les jambes de Sarah commencent à s'écarter. Je l'embrasse plus fort, et je vois la tache humide sur l'entrejambe de son justaucorps s'agrandir. La vision est incroyablement excitante.

Manon relève la tête. Rapidement elle lève les jambes de Sarah et les dépose en longueur sur le canapé. Ce mouvement rompt mon baiser avec Sarah, dont la tête tombe sur le siège. Je me mets à genoux derrière le canapé. Manon tire sur le justaucorps de la taille de Sarah, et je regarde Sarah qui lève ses hanches de manière à permettre à sa mère de la déshabiller entièrement. Mes yeux se promènent des chevilles de ma fille jusqu'à son entrejambe. Sa fraiche pilosité est dans la lumière des flammes, la touffe blonde couvrant sa chatte dodue est pratiquement transparente.

Ma bite se dresse à la vue du sexe adorable de ma fille indécemment exposé. Manon pose sa tête sur le haut des cuisses de Sarah, et je souffle quand j'aperçois la langue de ma femme lécher timidement la fente de sa fille. Les jambes de Sarah s'écartent, instinctivement, et la langue de sa mère se promène sur son clitoris et entre ses grandes lèvres. Mes doigts touchent ses tempes et descendent sur sa pommette et jusqu'à son menton. Elle tourne son visage pour que sa bouche puisse atteindre mon index et le sucer. Elle lève son regard vers moi, Je vois dans ses yeux de la malice qui semble me faire comprendre qu'elle préfèrerait sucer la bite de son papa. Je sors mon doigt de la bouche de Sarah. Mes doigts de déplacent sur le galbe de ses seins. Sa peau est douce. Mes mains sont instinctivement attirées par ses seins incroyablement fermes. Je me penche sur le dos du canapé et saisit un mamelon dans ma bouche. Mes dents se serrent autour du téton bien bandé, je recule mon visage le serrant toujours, essayant de l'étirer plus, puis je fais la même chose à son jumeau. Ma langue danse autour des aréoles gonflées à la base de chaque mamelon. De sucer les mamelons de ma fille comme ça rend ma bite dure comme une roche qui essaye de s'échapper de mon pantalon.

Soudain, Sarah gémit bruyamment et je sens tout son corps frissonner. Quand je regarde vers elle je vois les joues rougissantes de Manon... toute la bouche de Manon est plaquée contre la chatte de notre fille et elle suce le jeune clito comme elle suçait ma queue un peu plus tôt. Bien que je ne puisse pas le voir, je sais que quand elle suce, sa langue travaille. J'ai déjà vu ma femme avec d'autres femmes avant et j'imagine sa langue frétillante sonder tous les recoins savoureux de la jeune chatte de Sarah, dardant profondément dans le petit vagin étroit de notre fille, effleurant pour exciter son clito engorgé. Je regarde les mouvements de hanches de Sarah, sachant ce que Manon est en train de lui faire avec sa langue, qu'elle fait jouir sa propre fille... notre fille... lui procurer un orgasme avec sa bouche.

Sarah se détend, ma femme stoppe son cunnilingus et me regarde, ses lèvres et son menton sont luisants des sécrétions de notre fille. Je quitte mon pantalon. Je marche devant le canapé après avoir déplacé la table basse pour nous donner un peu plus de place je me mets à genoux à côté de Manon, qui est en train d'embrasser et de la lécher entre son nombril et sa fente étroite. Elle tremble, et il est difficile pour nos lèvres de l'embrasser ensemble, mais je sens sa main instinctivement courir jusqu'à ma cuisse, doucement toucher mes couilles, puis placer son pouce et ses doigts autour de la base de ma bite. Je la sens remonter le long de mon pieu, s'arrêter sous le gland turgescent, puis le pressant doucement. Je ne peux pas croire ce qui m'arrive. J'ai eu beaucoup de femmes qui ont caressé mon pieu en érection avant, mais aujourd'hui c'est ma propre douce et sexy fille... ma fille... mon bébé... notre enfant ! Il me semble que c'est la première fois qu'une femme touche ma queue...

Les doigts de Sarah massent mon prépuce, en essayant de le tirer sur le gland. Je peux sentir Sarah m'attirer vers elle. Manon se déplace de côté pour laisser la place à notre fille et je rampe sur le canapé. Pendant ce temps, les doigts de ma fille sont serrés autour de mon pénis, le câlinant, le pressant. Je regarde ma fille dans les yeux et je vois mon propre désir bestial s'y réfléchir. Il n'y a pas besoin de demander... elle veut ce que je désire encore plus que moi ! Comme je me baisse Sarah guide la tête de ma bite contre les lèvres luisantes de son jeune abricot, en la frottant deux ou trois fois à travers sa fente avant de la faire entrer avidement dans l'anneau serré de sa chatte juvénile.

 

109

 

 

Je pousse mes hanches vers l'avant, je rentre facilement. Comme tout père, je suis un peu déçu. Ma petite fille n'est plus vierge, et je maudis silencieusement celui qui a pris ce plaisir. Cependant, le sentiment de perte ne dure qu'un moment car ma bite est pressée par les muscles peu utilisés de ma fille. Les parois de sa petite chatte compriment bien ma queue, mais la laisse glisser facilement. Ce ne ressemble pas aux plaisirs confortable de la chatte de sa mère. Le sexe de mon bébé est chaud, humide et très, très étroit !

Ain de ne pas blesser son petit coquillage, je commence à faire de lents mouvements de va-et-vient. Je profite de chaque coin de sa jeune chair chaude, ondulant sur ma longueur. Ses cuisses enserrent mes hanches, se plaquent lentement contre mon corps, serrent ma taille puis le creux de mes reins. Je garde ma poussée. Je me retire pour mettre ses jambes sur mes épaules et la pénétrer de nouveau. Je n'accélère pas ce rythme délibérément lent, mais je sens que ma fille souhaite me voir la baiser plus fort et plus vite. Manon relève la tête de Sarah et se trouve maintenant sur le canapé, berçant sa tête dans son entrejambe. Sa robe est ouverte, et je vois ses mamelons roses bien raides. Je regarde le visage de ma femme me regardant baiser notre fille, elle est extrêmement excitée et murmure des encouragements dès que je commence à labourer la chaude petite fente glissante de Sarah avec de plus en plus de force.

– Baise-la ! Baise sa petite chatte... Elle est bien excitée !

Grogne Manon. Les mots de ma femme sont incroyablement crus. Je la regarde ses yeux emplis de désir sauvage pendant que je baise notre magnifique fille consentante. Dans un geste maternel, Manon essuie la sueur sur le front de Sarah. Son corps est légèrement secoué à chaque poussée de ma bite dans notre fille. Je sens l'odeur émanant de la chatte de ma fille qui semble émaner de tous les pores de son corps, mais mon regard est fixé sur ma femme. Je suis sur le point de jouir la bite bien serrée.

– Non, pas encore...

Murmure ma femme, elle secoue la tête. À contrecœur, je retire ma queue du petit abricot et regarde ses grands yeux, elle semble déçue.

Manon m'aide à me coucher et aide notre fille à monter sur moi. Je penche ma tête sur le bras du canapé et je regarde ma femme qui positionne notre fille sur mon pieu brillant, je sens son index à la base de ma queue comme elle dirige sa longueur encore une fois dans sa petite chatte. Les lèvres souples de sa chatte de gamine engloutissent mon gland quand elle s'abaisse sur moi. Sarah commence à monter et descendre sur ma bite à un rythme lent qui correspond au tempo paresseux que je prenais pour baiser sa mère plus tôt.

Les yeux de Sarah se sont fermés, sa petite bouche mignonne est ouverte et elle halète. Son pubis écrase le mien quand elle appuie ses jeunes hanches minces sur mon bassin. Les parois de sa chatte étroite pressent ma bite puissamment, elle est de beaucoup plus étroite que sa mère, mais en même temps cela m'apporte considérablement plus de jouissance. Ses petits seins sont écrasés contre ma poitrine, nous sommes tous les deux en sueur. Les mamelons raides de Sarah frottent contre les miens. Je ferme mes yeux et commence à la laisser me baiser. Notre belle et sexy gamine fait coulisser sa minette sur ma queue avec suffisamment d'acharnement pour me faire rapidement jouir. J'essaie de me retenir... Je veux faire que notre première baise  soit vraiment mémorable.

Les mains de Manon interviennent. Elle est derrière notre fille et empaume ses petits seins. Au début, je pense que c'est pour nous aider mais elle essaie de la tirer à elle sur le canapé. Ma queue se trouve avec un angle qui rend difficile notre coït. Dans une frénésie sexuelle ma femme tente de poser son entrejambe sur le visage de notre fille, mais je peux voir que cela rend Sarah mal à l'aise. Je prends la main de Manon pendant que je glisse sur le canapé pour être maintenant allongé sur le dos. Sarah attrape ma bite et me chevauche de nouveau, réinsérant mon long pieu de nouveau dans sa jeune chatte serrée. Bientôt, elle commence à monter et descendre sur la longueur de ma bite, jetant sa tête en arrière et gémissant de plaisir avec cette pénétration profonde. Sa chatte coulisse facilement. Je suis surpris par sa technique et je me demande combien d'autres bites l'ont déjà baisée comme ça... pas beaucoup parce qu'elle n'a seulement que quinze ans et elle est aussi serrée qu'une vierge, mais j'envie chacun d'entre eux avec la jalousie d'un père.

 

8-copie-2

 

Sarah a accéléré son rythme, elle sautille maintenant sur moi, comme elle a vu sa mère le faire à cet endroit même il y a moins d'une heure. Manon s'est assise sur le bras du canapé et baisse lentement ses hanches. Je tends la main pour la toucher. J'aperçois des gouttes de cyprine entre ses lèvres rouges et gonflées. Ma femme est très excitée. Elle abaisse son entrejambe sur mon visage de sorte que mon nez soit plaqué sur son anus et ma bouche et ma langue sur sa chatte. J'avance mes lèvres et ma langue sur elle, goûtant chaque goutte qui émane de son trou terriblement moite. Je ne peux pas le croire. Je suis couché sur mon canapé, avec l'abricot étroit de ma fille qui s'empale sur mon pieu de plus en plus vite. J'ai une main posée sur la base de mon pieu et le pouce de l'autre enfoncé dans le petit anus que je pense encore vierge. Il me semble avoir deux bites... baisé ou être baisé à des rythmes différents. Et toutes les deux sont sur le point de jouir.

Manon se penche en avant et embrasse sa fille. Une des mains de Manon caresse le point ou notre fille et moi sommes soudés, ses doigts caressent le clitoris de Sarah dans le même rythme. Manon titille les petits seins Sarah les serrant et en les pressant. Sarah pose une main sur le périmé de sa mère, ma langue suce l'index qu'elle a placé dans ma bouche. Elle le retire et caresse les fesses de sa mère, je sens monter le désir de Sarah. Manon frotte violemment sa chatte sur mon visage. Ma main gauche attrape celle de Manon, lui prends l'index et l'enfonce dans l'anus serré de ma femme. Manon gicle dans ma bouche. Je pense que mon bassin va se briser sous le martèlement de Sarah. Ma queue est aspirée par le puissant orgasme de ma fille, et comme en même temps mon éjaculation remplit sa chatte. Sarah se lève légèrement puis s'enfonce de nouveau. Manon plaque sa chatte sur mon visage, puis, avec un grand cri, elle jouit aussi et remplit ma bouche avec son jus. Notre fille se laisse glisser sur le tapis devant le canapé complètement épuisée. Nous poussons la table basse et nous vautrons sur le tapis devant la cheminée, nous caressant et tendrement et nous remettons de notre première baise familiale.

Nous avons pris une décision... un pacte de famille... pas de secret.. pas de portes fermées... et surtout pratiquer le sexe... sans tabous !

 

 

Sarah a vingt ans maintenant et est mariée à un jeune gars prénommé David. Heureusement, David vient d'une famille tout aussi large d'esprit. Sinon, il aurait claqué la porte de la maison le jour du mariage de Sarah quand il a trouvé Manon et moi lui souhaitant "bon voyage" en la baisant sur le même canapé où tout a commencé il y a huit ans. Il s'est contenté de sourire, se mit à poils, et a poussé son énorme bite dans ma femme plus que prête, l'a baisée et l'a amenée à jouir lui procurant orgasme après orgasme, à l'étage, j'ai fait de même pour notre fille jeune mariée. Embrasser la mariée n'a jamais été aussi amusant !

 

Sarah et David viennent régulièrement ici maintenant et le même pacte familial régit toujours notre famille. Parfois, Ils viennent en amenant une partie de sa famille tout aussi large d'esprit que lui...

 

Sans titre 30

Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : L'amour en famille
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Avril 2024
L M M J V S D
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés