Samedi 18 juillet 6 18 /07 /Juil 15:51

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C'est mon vingt-troisième anniversaire et je décide de le passer avec mes parents et leur faire une surprise. Je n'ai vu ni l'un ni l'autre depuis plus de six mois à cause de mon travail. Quand je suis arrivée, ma mère est toute étonnée de me voir :

 

« Jenny... ! Comme c’est agréable de te voir ! Pourquoi tu ne nous as pas dit que tu venais à la maison ?... J’aurais préparé un bon repas !

A-t-elle dit quand elle a mis ses bras autour de moi et m'a serrée dans ses bras et j’ai répondu en répondant à son étreinte :

– J'ai voulu vous faire une surprise Maman.

– Ton père est en haut et fait un petit somme, je vais le réveiller !

– Non, pas encore, Maman, laisse-le se reposer, je suis sûre qu'il en a besoin... ! Il a travaillé si durement toute sa vie, il aurait facilement pu prendre sa retraite depuis quelques années, mais il continue toujours à bosser !

– C’est vrai, c’est un drogué de travail... ! Bien, je lui permets de se reposer, ça nous permettra d'avoir quelque temps pour parler entre filles !

 

C’est très agréable de l'entendre dire. Ma mère et moi sommes très proches, elle ressemble plus à une grande sœur qu'à une maman. J'ai vraiment regretté notre temps passé ensemble. Nous pouvons parler de n'importe quoi.

 

-  Jenny…, vois-tu quelqu'un en ce moment ?

 Demande-elle comme nous nous sommes assises sur le canapé.

– Non, je n’ai pas le temps de voir quelqu'un en ce moment... !.. En plus, je n’ai pas la tête à ça et à toutes ces conneries en tout cas !

– Mais tu manques d’autres choses, aller au cinéma, se faire caresser..., la foufoune ?

 

Maintenant, quand je dis que nous pouvons parler de n'importe quoi, je n'ai pas voulu dire de sexe. Nous n'en avons jamais parlé avant. Je viens d’une famille très religieuse, j'ai même passé douze ans dans une école Catholique. Je n’ai pas besoin de dire que j'ai été très choquée de l'entendre aborder ce sujet. Je lui réponds :

 

- Je suppose que je manque vraiment le fait de sortir !

– Et le sexe ? Demande-elle.

– Réellement, je manque de sexe aussi… ! Lui répondis-je, très gênée.

– Tu dois penser que c’est assez bizarre de parler sexe avec moi…, Jenny... ?.. C’est assez naturel de parler de sexe..., et de plaisir aussi... !.. Si tu étais arrivée à la maison, il y a une demi-heure, tu aurais vu ton père et moi en train de faire l’amour... !.. Nous étions, juste là, sur le canapé et il me donnait la baise de ma vie !

 

Comme elle me parle, ses yeux deviennent lointains et vitreux. Je n'avais jamais entendu ma mère prononcer ce mot, pas même à ses moments les plus exaltés. Et l’entendre prendre plaisir à raconter sa relation sexuelle avec mon père me semble très surnaturel. Je dois vraiment admettre, pourtant, j'ai eu la sensation qu'une fraîcheur parcourt mon corps et l'impression que mes mamelons se sont électrisés.

 

- Ton père est un merveilleux amant, Jenny et je dois dire..., qu’il a une grande bite ! J'ai l'impression que ma mâchoire tombe.

– Oh, Maman... !

– Ne sois pas outrée Jenny, je le dis juste ainsi, tu y penseras à deux fois avant de te marier avec quelqu'un qui n'est pas trop bien monté... !.. La grandeur importe vraiment, ma fille. Elle s’est approchée et a serré ma main, elle m'a souri et a cligné de l'œil.

.. Que fais-tu pour le sexe ? T’en occupes-tu toi-même ?

– Oh, Maman... !

– Jennifer, ce n’est pas un crime de se masturber, tu te masturbes vraiment, n’est-ce pas ?

– Oui, je le fais, mais moi, je n’en parle pas !

 

J'ai l'impression que mes mamelons se sont dressés plus fort. Ma mère commence à caresser mon bras et ensuite me regarde fixement dans les yeux :

 

- Jenny, c’était quand la dernière fois où tu as eu un orgasme ?

– Je ne sais pas..., il y a une semaine, je pense ! Dis-je, tout en essayant d'éviter son regard. Il me semble que ses yeux descendent vers ma poitrine.

– Tes tétons deviennent..., durs, mmmm..., c’est parce que tu parles de sexe avec moi ?

– Un peu, je crois… ! Ai-je marmonné.

– Veux-tu t’en occuper en ce moment ?

Elle est remontée et empaume un de mes seins.

-  Ils sont très agréables, Jennifer, ton père a toujours souhaité que j'aie de plus grands seins !

 

Je ne peux pas croire ce qui m’arrive. Je suis tripotée par ma propre mère et très excitée par ça. Je respire légèrement quand elle a légèrement pressé mon sein. Un soupir s’échappe de mes lèvres.

 

-  Tu aimes ça, Jenny ? Es-tu bien ? Demande-t-elle, avec un sourire timide.

– Waouh, Maman, c'est fantastique

– Si ce n’était pas le cas, tu m'aurais arrêtée… ! A-t-elle souri.

– Pourquoi ne pas te mettre à l’aise et déboutonne ta blouse ?

.. Je parlerai un peu plus de sexe et tu vas pouvoir soulager un peu ta pression !

 

Ma propre mère suggère que je me masturbe devant elle. Je sens le jus dans mon minet qui commence à couler. Il n'y avait aucun blâme à cela, je suis complètement excitée.

 

- Aller, Jenny…, tu as le feu vert, je promets que tu l'apprécieras... !.. Et je peux voir dans tes yeux que tu as besoin de jouir... !

 

Elle me culbute doucement sur le sofa. Je regarde quand elle déboutonne ma blouse, en lui montrant mes seins. Elle halète et sourit :

 

- Terrible Jenny..., ils sont beaux ! Ton père les aimerait... !

 

C'est de trouver assez surnaturel  le fait que ma mère regarde mes seins nus, mais l'entendre dire que mon père les voudrait, a enflammé mon clitoris. Je n'avais jamais pensé à mon père d'une façon sexuelle jusqu'à ce moment. Voudrait-il vraiment voir mes seins ? J'ai hoché ma tête pour essayer de m’en persuader.

 

- Oui, ton Papa est un homme qui aime tes seins, il les regarde toujours fixement, Jenny !.. Quelquefois quand tu portes des mini chemisiers, il est très excité par toi !

 

Je suis choquée de nouveau par les mots de ma mère. Ses doigts entourent mes mamelons autour des aréoles. Elle empaume et soulève mes seins :

 

- Ils sont un peu lourds, n’est-ce pas ?

– C’est possible, je ne le remarque pas vraiment !

 

J’ai beaucoup de mal à parler. Ma mère se penche et prend un mamelon dans sa bouche, tout le temps, elle me regarde fixement dans les yeux. Elle attrape un sein et dirige sa langue sur le mamelon de l'autre. Je ne peux rien faire d’autre que de gémir. Ses mains descendent à la taille de mon jean et commencent à le déboutonner. Tout ce que je fais c’est de soulever mes fesses pour lui en faciliter l’accès. Je suis séduite par ma mère. Dans les dernières semaines pas un gars ne m’a enlevé ma culotte et, maintenant, ma mère va l’avoir dans quelques instants. Elle fait un commentaire sur ma culotte quand elle la fait glisser en bas de mes cuisses flageolantes. Elle place ma main sur mon minet et me dit :

 

- Jenny, tu penses à une bite bien raide et agréable…, une queue bien épaisse qui glisse en toi... ! .. C’est ça, Jenny, laisse-toi aller… !

 

Comme elle le dit, j'insère deux doigts dans mon minet fumant. Elle déboutonne sa propre blouse, elle glisse une main à l'intérieur. Je vois ses doigts bouger quand elle tire sur son téton.

 

- Mmmm, n'est pas agréable, Jenny ? J'aime me toucher... !.. Je parie tu n’as jamais pensé que tu m'entendrais le dire…, hum... ? Dit-elle en souriant... Je me branle tout le temps, quand ton père n’est pas autour de moi !

 

Continue-t-elle en enlevant sa blouse et mettant ses bras dans le dos pour décrocher son bustier. Elle le fait tomber le long de ses bras et, ensuite, le jette sur le plancher. Elle se penche sur moi et présente ses très petits seins devant mon visage. D'instinct j’ouvre la bouche et tète l’un d’eux.

 

Oui ma puce….Comme c’est bon, comme ça, ma Puce !

 

Elle gémit et m'encourage à la sucer plus fort. Je n'ai jamais eu de relations intimes avec une autre femme, donc j'ai juste fait que j'aime qu’on me fasse et j’ai commencé à faire tourbillonner ma langue autour de son mamelon bien dur. Elle pousse ma main plus durement contre ma motte et plaque ma paume dans mon clitoris.

 

- Jenny, vas-tu jouir bientôt ?

– Bientôt, Maman… ! Me suis-je entendue répondre, presque comme si je matais quelqu'un d'autre.

– Veux-tu que je te dise que ton père et moi avons fait avant ton arrivée ?

– Oui... !  Ai-je chuchoté.

 

Elle enfourne son sein au fond de ma bouche et commence à raconter les événements du soir :

 

- Ton père venait de sortir de la douche, son corps toujours mouillé. Je suis entrée et l’ai essuyé avec une serviette. J'ai vu son pieu devenir dur. Je lui ai souri et suis descendue sur mes genoux. Mes doigts ont commencé à le branler. J'ai pris sa belle bite dans ma main et l'ai guidée jusqu’à mes lèvres. Je l'ai regardé fixement dans les yeux quand je l'ai pris dans ma bouche. Sa main s’est posée sur ma tête et il a mis ses doigts mouillés dans mes cheveux. J'ai glissé ce pieu dans ma bouche jusqu'à ce que je puisse goûter ses pré-jus avec le bout de ma langue. Il m'a fait me relever et j’ai voulu l’emmener dans la chambre à coucher. Il m'a arrêté et m’a mené, ici, au salon. Je savais alors qu'il voulait réaliser son fantasme préféré. Veux-tu savoir ce que c'est Jenny ? J'ai répondu, son sein toujours dans la bouche :

 

-  Oui… !

– Tu es sûre, ma Puce ? C’est assez osé… !

– Dis-le-moi, Maman, s'il te plaît... ! Je suis si excitée en ce moment... !

.. En plus, c’est, peut-être, plus salace que la succion de mes propres seins par ma mère, pendant que je me touche ?

– Bon, ça va alors..., je suis montée dans ta chambre et j’ai mis un de tes vieux uniformes de collège !

– Ce n'est pas méchant, Maman, j'ai plusieurs fois porté mon costume de fin d’études pour Fernand... !

-   J'ai même mis l'uniforme d'une bonne et me suis habillée comme une infirmière pour lui !

– Je n’ai pas encore fini, Jenny, je suis revenue ici et il était assis où tu es, nu... !.. Veux-tu que je continue et entendre que je lui ai dit ?

– Oui, Maman, dis-le-moi ! Je ne vais pas tarder à jouir !

– J'ai dit : "Bonjour Papa" !

– Tu l’as appelé Papa ??? Ai-je haleté.

– Oui..., et la réponse qu'il a dite… ?

– Je ne sais pas, Maman… ! Je commence désespérément à jouir.

– Il a répondu : "Salut Jenny"... !

 

Quand elle me dit ça, je jouis si intensément que je me suis presque évanouie.

 

- Quoi... ??? Hurlé-je.

– C’est le plus grand fantasme de ton père, Jennifer..., toi... !.. Il souhaite te baiser depuis si longtemps, chaque fois que tu quittes la maison, je peux compter sur lui pour me sauter sur le dos et me baiser à fond en m'appelant Jenny... !

 

Je ne peux en croire mes oreilles. Mon propre père voudrait avoir des relations sexuelles avec moi et ma maman n’est pas contre ça.

 

- Je fais semblant tout le temps d'être toi, pour lui... !.... Il est fou de tes seins, Jenny, mes petites mandarines ne le satisfont pas tout à fait... !.. Mais je lui dis juste : Ils seront plus grands, Papa, je te promets... !

– Tu fais semblant d'être moi ? Papa veut vraiment me bai..., avoir des relations sexuelles avec moi ?

– Oui Jenny, ton père veut te baiser, je fais semblant d'être toi pour le rendre heureux... !

 

Ses mots n’étonnent et m’intriguent. Je continue à me masturber comme j’essaie de me représenter la bite de mon père qui claque dans mon minet affamé. Je ferme les yeux et je pousse un doux gémissement.

 

-  Tu aimes la pensée de ton père te baisant, Jenny ? Il a une bite tellement agréable, elle est longue, épaisse et très lisse. Comme lui, veux-tu te faire baiser, Jennifer ?....Veux-tu aller le réveiller, maintenant ? Demande-t-elle, avec un regard malicieux dans ses yeux.

– Je ne sais pas si je peux vraiment  mettre ton idée à exécution, Maman !

– Pourquoi non, bon Dieu ? Tu viens de me dire que tu souhaites être baisée par lui !

– Es-tu vraiment d’accord Maman ? Je veux dire, le fait qu'il me veuille ne te tracasse pas du tout ?

– C’est tout à fait naturel pour un père d’être attiré par sa fille, surtout quand elle ressemble tellement à sa mère comme tu l’es !.. En plus, je suis excitée par une mauvaise conduite... !.. Je crois que tu devrais monter dans la chambre, lui dire que je suis partie faire des courses ou quelque chose d’autre... !.. Vas-y avec la blouse en partie déboutonnée, permets-lui d’avoir une vue sur tes seins... .. Alors, quand tu surprendras son regard, tu lui dis que tu l’as surpris, cela ne semble pas chaud ?

 

Je dois admettre, en l'entendant, que je trouve le scénario si excitant que mon minet coule comme une fontaine. J'ai légèrement roulé mon clitoris entre mon pouce et mon index. Je lui réponds :

 

- Je suis renversée de penser que tout cela arrive, mais oui, ça m’excite follement, aussi !

– Vas-tu le faire Jenny ? J'aimerais voir la tête de ton père quand il se rendra compte qu'il va finalement pouvoir enfin te baiser !

 

Le fait d'entendre dire ce mot de la part de ma mère autant de fois me donne le vertige. Elle est impudique avec ce désir et moi aussi. J'ai souhaité que mon père me baise et j'ai enfin le droit de le faire, je vais le séduire.

 

-Vraiment Maman, tu me laisses le faire ? Aide-moi à remettre mon pantalon !

– N'attends pas, dis-lui qu'il est dans la machine à laver, dis-lui que tu as renversé quelque chose sur lui... ! Monte juste avec ta petite culotte et ton chemisier ouvert !

 

Je taquine avec les pensées de ce que je suis sur le point de faire.

 

-  Maman, pas de regrets… ?

– Jennifer, ton père va être tellement heureux..., et je te le promets, l’habitude à être baisée comme il me le fait, te réjouira beaucoup !

 

Ma mère se penche et embrasse ma joue. Nos yeux se fixent comme elle me laisse. Avant que, je ne sais ce qui arrive, elle s'est appuyée de nouveau et m'embrasse sur la bouche. Pas un baiser maternel, nullement, mais un baiser sensuel, passionné. Je sens sa langue contre la mienne et je réponds à son baiser.

 

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-  Nous aurons du bon temps ensemble, ma Puce, va t’occuper de ton père... !

 

Elle me fait me lever. Je boutonne trois boutons au bas de ma blouse et me regarde dans le miroir. Je montre la plus grosse partie de mes seins et si je bouge d’une certaine façon, mes mamelons sont également exposés. Je ne me reconnais plus. Mes cheveux sont en bataille. Mes yeux sont remplis de désir. Je contemple mon corps dans le miroir et, pour la première fois dans ma vie, je suis excitée par mes propres attributs. Mon cul est agréable et ferme, mes jambes sont longues. Mes seins suffisants, sont très fermes et bien droits. Je suis chaude et je vais et veux séduire mon propre père. Maman monte devant moi. Elle se glisse dans la chambre à coucher et rampe silencieusement jusque dans les toilettes. Quand elle ferme la porte, elle me fait un clin d’œil. Je remarque qu'elle a laissé la porte légèrement entrouverte. Je la vois enlever son jean. Elle a maintenant juste sa petite culotte. Elle me fait un signe de tête, en fait, elle imagine l'action qui va arriver.

 

Je m’approche plus près du lit où mon père dort à poings fermés. Je n'ai jamais vraiment regardé son corps auparavant. Il était très bien foutu pour un homme de quarante-quatre ans qui travaille dans un bureau. Son torse est large et ferme. Il reste encore un petit peu de son bronzage des dernières vacances. Je ne peux voir le reste de son corps parce qu'il a été couvert par un drap. Je racle ma gorge et lui fait connaître ma présence. Il ouvre à moitié les yeux, c'est ensuite, quand il se rend compte que c’est moi et pas ma mère, Il me demande, un peu ahuri :

 

- Jennifer... ! Que fais-tu ici... ?

– N’es-tu pas heureux de me voir, Papa ?

– Évidemment, oui je le suis ! Comment vas-tu ? Quand es-tu arrivée ?

– Je vais bien, je suis arrivée ici il y a une demi-heure... !.. Maman vient de partir à l'épicerie, elle a dit qu'elle rentrera plus tard... !.. Je suis restée seule en bas, donc j'ai pensé venir voir si tu étais réveillé !

– Hum, Jenny ? Pourquoi ne n’as-tu pas de pantalon ? Demande-t-il, avec un tremblement dans la voix.

– Désolée, Papa. J'ai mis du ketchup sur mon jean et Maman a exigé que je le mette à tremper tout de suite !

 

Je remarque alors son regard qui plonge dans mon décolleté que j'expose voluptueusement à ses yeux. Mon clitoris me démange. Je me suis assise sur le lit, à côté de lui.

 

- Et toi, comment vas-tu, Papa ?

 

Je m’appuie contre lui et le serre dans mes bras. Je laisse l'accolade plus longtemps qu'à l’ordinaire, donc mon père sent mes seins contre son torse nu.

 

- Je vais bien, Jenny, c’est vraiment agréable de te voir !

 

Répond-il, tout en essayant de mettre fin à notre étreinte. Je me suis reculée légèrement et j’ai vu son regard se poser sur mes seins. Je me tourne de façon à lui en montrer un peu plus et mes mamelons qui se dressent sont exposés à sa vue. C’est le moment... Je lui demande, avec un peu de taquinerie dans ma voix :

 

-  Agréable, comme ce que tu vois, Papa ? Mon père bégaie, et finalement, tente de s'excuser.

– Ma Puce, je suis désolé, je ne peux pas ne pas voir…

– Ne t'excuse pas, Papa, je ne t’en veux pas si tu mates mes seins, veux-tu les voir un peu plus ?

 Ses yeux sont écarquillés par mon offre.

– Jenny, nous ne devrions pas parler comme ça !

– Pourquoi pas, Papa ? Si tu souhaites voir mes seins, j'aimerais te les montrer... !

.. Je ferais n'importe quoi pour mon Papa ! » Lui ai-je répondu avec une réelle sincérité.

 

Comme j'ai fini de parler, je commence à déboutonner les derniers boutons. Quand j'ai terminé, je laisse tomber ma blouse sur le sol et le regarde fixement dans les yeux :

 

- Tu les aimes, Papa ?

– Jennifer, nous ne devrions pas vraiment faire ça !

 

Ses mots ne correspondent pas à ses gestes. Il reluque ouvertement mes seins, je le vois même se lécher ses lèvres. Je place mes mains sous mes seins pour les lui présenter et lui chuchote :

 

- Maman va revenir dans quelque temps, Papa, veux-tu t’amuser un peu ?

– Jenny..., je crois que nous devrions, tous les deux, nous habiller avant de faire quelque chose que nous regretterons par la suite !

– Je n’ai pas l’habitude de regretter quoi que ce soit, je sais ce que tu aimes aussi... !.. Je t’ai vu mater mes seins depuis quelques années, Papa, tu ne veux vraiment pas les toucher ?

 

Sa main se met à trembler comme je l'ai prise dans la mienne et l'ai amenée jusqu'à mon sein. Il le serre légèrement quand il l’empaume.

 

- Tu ne me réponds toujours pas, Papa..., les aimes-tu ?

– Oui Jenny, je les aime !

 

Avec cela, il a posé son autre main et caresse mon sein libre. Il demande, tout en étirant mes mamelons gonflés et raides.

 

- Qu'est-ce qui t’arrive, aujourd'hui, Jennifer ?

– J’ai envie de toi, Papa, je veux que tu me baises !

 

Il soupire comme je le lui dis. Je m’avance et enlève ma culotte.

 

- Veux-tu me baiser Papa ? Je te veux..., je veux te sentir à l'intérieur de moi... !.. Veux-tu me baiser, maintenant ?

– Oh mon Dieu, Jennifer ! Je capitule en t’entendant me demander ça... !

– Pourquoi Papa ? Maman m'a dit, il y a peu de temps, que tu as une grande bite et maintenant, je veux la voir et l’avoir toute pour moi !

 

Je lève le drap. Il porte un boxer, mais il ne dissimule pas du tout son érection. Ma mère a raison. Il avait vraiment un beau pénis. Toute l’appréhension que j'avais quand je suis rentrée a disparu et je l'ai touché. Mon père gémit quand je le masse par-dessus ses sous-vêtements en soie.

 

- Oh Jenny... !

 

Je grimpe sur le lit et enfourche mon père. Je caresse mes seins comme il regarde. J’ai l'impression que son érection s’appuie contre moi. Je plaque mon clitoris contre elle et le regarde fixement.

 

- Sais-tu les autres choses que Maman m'a dites, Papa ?

 

il me demande, alors que ses mains couvrent les miennes et englobent mes seins :

 

- Quoi encore, Poussin ?

– Elle m'a dit qu’il y longtemps que tu voudrais me baiser, qu'elle fait semblant d'être moi pour réaliser ton fantasme, c'est vrai ?

 

Il est ahuri d'apprendre que ma mère m'ait raconté leur petit secret. Il bredouille :

 

- Oui… !

– Bien Papa, maintenant, tu as ton fantasme réellement, qu'est-ce tu vas faire avec cela ?

 

Il attrape mon corps et me jette sur le lit à côté de lui. Il se met au-dessus de moi. J’écarte mes jambes. Mon père se place à l'entrée de mon minet.

 

- Tu veux savoir ce que je vais faire Jenny ? Je vais te baiser maintenant !

 

Je guide son gros pénis en moi.

 

-  Fais-le Papa, baise-moi !

 

Mon père plonge en moi. Je suis si mouillée qu’il n'a pas eu besoin de le rentrer lentement. Je souffle quand j'ai senti le coup de ses couilles contre mon cul. J’ai vraiment réalisé que je suis baisée par mon père. Le même pénis qui m'a créée, envoie maintenant des vagues de plaisir dans mon corps tout entier. Je gémis très fort et entoure mes jambes autour des cuisses de mon père.

 

- Oui, Papa ! Ah oui ! Ouiiii ! Baise-moi…, oh Papa ! Baise ta petite Jenny ! Baise ta petite fille !

 

Il grommelle quand il claque son sexe magnifique contre moi.

 

-  Oh Dieu, Jenny! Tu n’as aucune idée depuis combien de temps j'en ai rêvé !

 

Juste alors, j'ai entendu le gémissement de ma mère dans les toilettes. Mon père est pétrifié. il appelle :

 

- Cécilia ?

Elle sort des toilettes, avec la main entre ses jambes.

– Tu t'amuses bien, mon Cher ? Est-ce qu'elle baise bien ?

Demande-t-elle à mon père. Il jette son regard d'elle à moi et retourne vers ma mère.

– Avez-vous calculé ça toutes les deux ?

– Oui Papa, lui réponds-je, folle de plaisir, nous en parlerons plus tard, je veux juste que tu me baises ! Continue… !

 

Je cambre mes reins contre lui et il recommence à me pilonner.

 

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- Éjacule à l'intérieur de moi Papa, jute dans ma chatte pendant que Maman regarde !

 

Ma mère se penche et tète un de mes seins. Elle guide ma main vers son minet. Je masse son clitoris et elle gémit.

 

- Comme ça c’est bon, Jennifer, tellement excitant ! Aimes-tu le grand pieu de ton Papa ?

– Oh Dieu, oui là, Maman !

– Je t’ai dit que tu apprécierais ! Elle regarde mon père... Et cela te fait-il du bien, mon chéri ? Est-ce comme cela que tu as pensé que ça se passerait ?

 

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Mon père s’exclame :

 

-  Je ne peux pas croire que cela arrive, je suis au septième Ciel !

– Bien alors, baise-la bien... !

 

Je comprends que mon père ne va pas tarder à jouir. J’ai déjà eu deux orgasmes et sens un troisième qui arrive. J'ai crispé mes muscles intérieurs et j’ai serré sa bite le plus fort que j'ai pu. Il me baise si durement que mes seins commençaient à me faire mal à force d'être ballottés violemment dans tous les sens. Je mets mes mains en coupe et les presse.

 

- Veux-tu balancer ta semence sur mes seins, Papa ? Je parie que cela doit être un de tes fantasme, n'est-ce pas ?

– Oui, c’en est un, Jenny !

– Tu fais ce que tu veux, Papa ! Tu peux éjaculer à l'intérieur de mon petit con chaud, balancer ta semence sur mes gros seins ou même te vider dans ma bouche…, tous mes trous sont à toi…, même mon petit trou du cul !

 

Je préfère, sans mentir, qu'il explose à l'intérieur de moi, mais j'étais disposée à attendre et lui permettre de faire qu'il le fait fantasmer le plus. Il commence à grommeler plus fort et plus souvent. Je sais qu'il était sur le point de jouir.

 

-  C’est ça, Papa ! Jouis pour moi ! Jouis pour ta Jenny ! Fais-le ! Vas-y, éjacule pour moi !

– Ça y est… ! Oh Dieu…, Jenny… ! Oh oui…, je jouis... ! »

 

Avec un brusque mouvement final, il explose à l'intérieur de moi. Je jouis avec lui, l’extase absolue de sentir les jets de son sperme frappant mes parois intérieures. Il se retire de moi. J'ai un sentiment de frustration au début. Mais quand j’aperçois l'abandon total sur son visage, le reste de sa charge atterrit sur mes seins et mon ventre, je me sens très heureuse pour lui. J'ai fait une réalité de son plus profond fantasme, le plus sombre. Je frotte son sperme autour de mes seins, en lui souriant :

 

- Bien, est-ce que cela a été bon pour toi…, Papa ?

– Oh Dieu…, oui, Jennifer ! Je ne peux pas le croire ! Il halète et rit sottement.

– Mon corps entier est paralysé, Jenny ! Merci beaucoup ! Toutes les deux, vous venez de faire de moi l'homme le plus heureux du monde !

 

 

Maintenant, je vous demande, une fille peut-elle ne jamais recevoir un meilleur compliment que celui-là ?

Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : L'amour en famille
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