amour sans tabou

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Samedi 28 novembre 6 28 /11 /Nov 16:40
Par amoursanstabou - Publié dans : vidéos - Communauté : L'amour en famille
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Mercredi 18 novembre 3 18 /11 /Nov 18:24

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Julie était le genre de femme qui aimait bien faire le ménage dans les chambres, elle aimait ranger les vêtements de son fils qui n’était pas particulièrement méticuleux. Cependant elle ne se permettait pas de fouiller dans les affaires de Nicolas. C’est vrai que mis à part ses habits, il ne laissait pas grand-chose trainer.

Julie, depuis un certain temps avait vu des traces sèches provenant de ses rêves mouillés ou encore des kleenex collés qui se perdaient quelques fois sous le lit.

Non pas que Julie s'en fichait, mais elle trouvait tout ça assez normal. En fait elle était plutôt fière de son fils. Fière qu'il devienne ce jeune homme plein de vie tout en restant un gentil garçon. IL est vrai qu'elle aimait le regarder. C'était un jeune homme de seize ans et demi, brun, avec ce regard noir profond qui fera sûrement chavirer les cœurs plus tard. Nicolas n’était pas du tout le portrait de son père, il était plutôt chétif, à croire qu’il était issu d’une relation adultère. Julie aimait son fils de tout son cœur, mais quoi de plus normal, n'était-il pas son fils ?

Et puis, un jour comme les autres jours, elle fut étonnée de trouver dans la chambre de Nicolas, une cassette vidéo coincée entre le lit et le mur. Une bien étrange cachette pensa-t-elle. Elle regarda la cassette dans ses mains puis la rangea dans le bureau de son fiston.

Elle n'y aurait jamais repensée si son fils ne lui avait envoyé un sourire bien étrange le lendemain soir. Il venait de lui demander pour l’énième fois qu'elle n'avait pas a faire le ménage dans sa chambre et qu’il est assez grand pour le faire seul.
Mais sa mère un peu maniaque ne pouvait se résoudre à laisser l’amoncèlement s'installer. Elle soupira puis elle crut bon d'ajouter qu'il n'avait pas à s'en faire. Jamais elle ne ferait de remarque sur ce qu'elle pouvait bien trouver dans son antre.
Nicolas marqua un temps d'arrêt puis, ses yeux se rétrécissent comme s'il venait de comprendre un sens cacher dans la phrase de sa mère et enfin, il lui avait sourit avec ce "Bon, ça va, ça va" qui fit douter Julie.

Un après midi, quelques jours après ce petit incident, elle fouina dans la chambre de son fils retrouvant la cassette. Elle aurait pu penser à n'importe quoi mais cette fameuse cassette lui rappelait quelque chose. Elle l'enfonça dans l’ancien magnétoscope qu'avait récupérer Nicolas pour visionner les vieux films qu'elle et son mari avaient achetés avant l'arriver du DVD.

Et là, c'était le drame, Julie tomba assise sur le lit de Nicolas, les yeux écarquillés. Sur le petit écran de la télé de son fils, elle se vit, elle, sa mère. Elle était nue et se prélassait sur ce vieux canapé qu'ils avaient jeté depuis belle lurette. Derrière la caméra elle pouvait entendre son mari qui l'encourageait à prendre des poses lascives et à se laisser aller devant l'objectif.

Julie se souvenait de ces jeux avec Léon qui avaient presque cessés depuis la naissance de Nicolas. Son mari aimait la filmer et filmer leurs ébats. La pauvre mère appuyait sur l'avance rapide de la télécommande et retrouva chaque souvenir de ces séances coquines. Elle, seule se caressant, Léon, dans la même situation où entrain de le sucer, ou encore faisant l’amour dans toutes les positions.

Elle eut honte, mais une honte à un point qu'elle n'aurait jamais cru possible d'atteindre. D'un autre côté c'était de très bons souvenirs qui malgré tout, qui lui réchauffèrent le bas du ventre.

Dans ce lit fait à la va vite, Julie était à demi allongée, plongée dans ses pensées, elle retrouvait les odeurs de son fils. Elle l'imaginait entrain de se donner du plaisir en la regardant sur l’écran, elle, sa mère. Elle se laissa aller et s'accorda une petite caresse pour obtenir une jouissance personnelle comme si il y avait longtemps qu'elle n'en avait pas eu. Et puis, au milieu des vapeurs d'orgasme qui s'évaporaient peu à peu, elle toucha terre à nouveau. Il fallait qu'elle parle à son fils, elle ne pouvait s'y résoudre. Elle se releva, se rajusta et prit la cassette pour la renfermer dans le tiroir à secret de l’armoire de leur chambre conjugale. C'était à son père de le faire. Elle n'en voulait pas du tout à son fils. C'était à eux de faire plus attention. Il fallait qu'ils aient tous les deux une conversation d'homme à homme.

Le soir venu, Julie attendit de se retrouver lovée contre son mari pour entamer cette conversation quelque peu gênante. La réaction de Léon fut pour la moins tonitruante. Il s'en fallut de peu qu'il aille dans la chambre de son fils pour lui passer un de ces savons que Julie voulait à tout prix éviter. Léon était si furieux qu'il fit peur à Julie. La pauvre ne s'attendait pas à une telle violence et fit tout ce qu’elle put pour le calmer. Léon finit par l'écouter et s'endormir tandis que Julie trouva difficilement le sommeil. Trop de questions et trop d'incertitudes la tourmentaient alors.

La vie reprit cependant son cours normal. Normal si ce n'est que Léon était plus rigide vers son fils. Julie avait l'impression de voir le vieux coq défendre son cheptel face au nouveau coquelet. Nicolas ne comprenait pas du tout ce qui se passait, mais il prenait soin de ne pas en demander de peur de recevoir plus de réprimande qu'il ne l'aurait voulu.
Le temps passa et tout commençait à se tasser. Léon avait une libido assez importante, Julie ne s'en plaignait pas, au contraire, elle aimait les attentions de son mari et surtout la façon dont il la prenait dès que Nicolas était couché.
Elle aimait être renversée et possédée. Il faut dire que Léon était grand et baraqué. A quarante ans il n'avait plus le corps d'un athlète mais il prenait soin de lui.
C'est vrai qu'il pouvait se montrer un peu brusque, elle l'aimait comme ça et elle ne l'aurait jamais échangé pour un de ces minets romantiques plus jeunes. Elle aimait sa fougue, son caractère sanguin et sa grosse bite qui la ravageait quand il voulait bien s'en donnait la peine.

C'était un samedi soir, où Léon était en forme et comptait bien le montrer à sa femme. Julie bien contente de prendre sa dose de plaisir le laissa faire quand il commença à la tripoter dans la cuisine. Nicolas était monté depuis une dizaine de minutes, sensé regarder sa télé. Julie débarrassait la table du salon, lavant les dernières tasses qui traînaient.

A trente huit ans, Julie commençait à avoir ces formes que les femmes redoutent tant. Elle n'était pas vraiment potelée mais devant le miroir, elle voyait son corps s'arrondir légèrement et elle comptait bien se relancer dans son régime rigoureux. Léon aimait ainsi sa petite femme. Elle faisait un mètre soixante pour cinquante trois kilos. Elle avait un merveilleux petit cul qu'il tripotait dès qu'il en avait l'occasion et des seins encore ronds qu'il pouvait recouvrir d'une main.

C'est vrai qu'ils étaient différents ces deux là. Avec son mètre quatre-vingt cinq et son teint buriné, il ne donnait pas envie de le rencontrer dans une ruelle la nuit tombée. Julie était une de ces petites choses qui semblait pouvoir se briser en deux pendant un câlin trop fort. Pourtant ils se complétaient à merveille et elle était toujours aussi folle de lui après dix huit ans de mariage. C'était vraiment de la passion entre eux et quand il la poussa contre la table de la salle à manger, elle savait qu'il allait lui offrir un de ces bons moments de folle passion.

Elle aimait sentir ses grands battoirs qui lui servaient de main, remonter sa chemise de nuit. La peau rugueuse qui explorait son dos comme s'il faisait le tour du propriétaire avant d'appuyer sur sa nuque pour asseoir définitivement sa domination. Elle était déjà trempée d'impatience et lui, prenait tout son temps.

Il n'était pas un maestro des préliminaires mais ce n'est pas ce qu'elle attendait de lui qui aimait tant contempler son corps frêle. Il aimait presser sa main contre sa fente ornée d’un triangle de poils noirs bien taillé. Il pressait ses doigts imposants à l'entrée du vagin et sans plus de précaution il enfonçait son majeur dans la chatte trempée.
Julie feulait comme une tigresse prise au piège, dominée par son mâle. Léon regarda ses doigts brillants de la liqueur et satisfait, il enserra ses hanches pour la ramener contre sa tige gonflée. A chaque fois, il poussait si fort contre les parois sexuelles qu'elle serrait les dents sous la douleur. Puis la douleur se muait en plaisir, un plaisir infini de se sentir remplie par ce membre de chair qui se déployait à l'intérieur de son ventre et irradiait sa chaleur.
Le souffle coupé par la fureur de cet envahisseur, elle ne reprenait son souffle qu'à son second va et vient, quand ses chairs prenaient la mesure de l’organe demeurant en elle. Elle n’ouvrait les yeux que pour les refermer. Entre les mains énormes de son mari, son petit corps était secoué d'avant en arrière comme une poupée de chiffon. Ses seins glissaient sur la toile cirée, elle tentait de s'accrocher aux bords de la table tandis que Léon la faisait coulisser sur son ardillon.

D'ordinaire elle fermait les yeux pour que plus rien n'existe, juste ce goupillon qui la taraudait. Mais il y avait cette petite lueur rouge ! Elle l'avait aperçue juste avant que son époux accélère le rythme et se plante d'un grand coup de rein dans elle. Elle rouvrit les paupières mais elle avait du mal à distinguer quoi que ce soit, ainsi ballotée. Elle la vit pourtant de nouveau la petite lumière rouge.

Elle plissa les yeux pour voir ce que ça pouvait bien être et elle s'agrippa à la table plus fermement. Léon grogna, content qu'elle se rebiffe un peu. Une grande claque sur ses petites fesses puis un grand coup de rein lui revaudrait sa rébellion. Julie gémit de plaisir à ces stimulations mais elle restait concentrée sur cette vision inhabituelle.
Les petits appels qu'elle poussa, son mari cru à du plaisir, mais là, dans la demi-obscurité, Julie l'avait vu et elle paniquait.

Nicolas avait un genou à terre. A bout de bras il tenait le nouveau caméscope de ses parents pour immortaliser cette petite soirée. Il ne voyait pas le regard de sa mère rivé à la diode rouge de l'appareil qui indiquait l'enregistrement. Julie réfléchit aussi vite qu'elle pouvait au milieu des effluves soporifiques du plaisir qui avaient déjà pris le contrôle d'une bonne partie de son corps.

" Han… han… Léon… Chéri… attends… et si… Et si Nicolas nous… "

Léon crut rêver. Qu'était entrain de dire sa femme ?
Quoi Nicolas ? Quoi son fils ? Il était entrain de dormir ou de secouer sa nouille d’ado. Pourquoi devait-elle parler de lui maintenant ?
Ne pouvait-elle l'oublier quelques instants ! Ne pouvait-elle cesser une seconde de se comporter en mère poule !

Entre ses mains gigantesques sur le petit corps féminin, il la retourna comme une crêpe avant de la pénétrer de nouveau. De face cette fois, elle pouvait voir ce regard amoureux presque dément qu'avait son mari pendant qu'il la labourait comme un forcené. Léon pouvait la voir maintenant, il pouvait voir ses petits coups d'œil vers le haut des escaliers. Il put voir dans ses yeux la crainte, la gêne ou la peur tout simplement. Alors il sentit sa libido retomber et la frustration exploser. S'il y avait bien un moment où il ne fallait pas le déranger, s'il y avait bien un moment où il ne fallait pas l'interrompre c'était bien celui-là. Il aimait sa femme et quand il s'unissait à elle, dans ce pur moment de plaisir et d'extase, il ne désirait qu'une chose, qu'elle se donne toute à lui.

Il commença par lui crier dessus, à protéger son fils elle finirait par en faire une mauviette, une fifille à sa maman. Ses mots étaient crus et féroces mais malgré la colère, il connaissait sa femme, il la connaissait et il savait lire en elle. Elle avait peur, vraiment peur même si parfois elle aimait le mettre en boule pour obtenir encore plus de fureur dans leurs rapports.

Julie lança un dernier regard vers l'escalier. Un de trop, les yeux de Léon suivirent ceux de son épouse qui paniqua pour de bon. Dans un même mouvement il ordonna à Julie de ne pas bouger, il enjamba d'un pas l'espace qui le séparait de l'interrupteur. Nicolas n'eut pas le temps de faire le moindre geste, dans la lumière soudaine du lustre, le regard de son père le transperçait comme le canon d'un fusil.

Trop tard le garçon tenta de reculer mais Léon avait déjà gravi les marches qui les séparaient, quand sa main lourde s'abattit sur l’épaule et le bras de son fiston. Nicolas, tel un brin de paille avait à peine touché le bois des marches quand il se retrouva en bas.
Furieux ? Non, il était bien au-delà de ça. Son chétif de fils était entrain de les reluquer comme un pervers pendant qu'ils faisaient l'amour, comme un voyeur planqué dans un parc. Le pire c'est qu'il les filmait. Le regard de Léon passait de son fils au caméscope. Il le poussa énergiquement sur le tapis du salon, Nicolas évita de peu la table basse. Voyant son mari debout, nu, massif devant la silhouette de son gamin recroquevillée sur le tapis, Julie tenta d'intervenir. Le regard de Léon l'effraya, elle ne se rebiffa pas quand elle atterrit à côté de son fils.

C'était donc ça ce qu'elle voulait ! C'était donc ça le fils qu'elle voulait lui donner ! Un déficient maniaque qui préférait filmer ses parents plutôt que d'aller courir les filles ! Un obsédé détraqué qui se branlait en regardant sa mère se faire prendre. C'était ça qu'elle voulait ?

 

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Nicolas tremblait et ne disait pas un mot. Il sentait le danger. Julie tentait d'expliquer son geste, son comportement, alimentant sans le vouloir la rage de Léon qui fulminait à tout va.
Et bien puisque leur fils veut en savoir d'avantage sur les rapports entre adultes et puisque sa mère le comprenait si bien, pourquoi s'en faire ?
Il leva son fils comme une plume et, prenant un air faussement intéressé, il lui demanda si le caméscope fonctionnait.

Nicolas bredouilla un "oui" stupéfait en voyant son père allumer toutes les lampes du salon, même l'halogène dont il remonta complètement le variateur. Il lui fallait de la lumière à ce jeune cinéaste en herbe si désireux de faire ses premières expériences !
Julie pleurait, suppliant son compagnon de se calmer. Si elle redoutait ses excès de colère, si elle craignait Léon quand le ton de sa grosse voix commençait à monter, elle redoutait plus que tout, quand sa voix devenait soudainement calme. Une dispute de plus n'était rien mais là, elle savait que c'était allé au-delà.

D'une main Léon saisit la table basse qu'il fit passer derrière un des deux canapés. Une seconde plus tard, il poussait sa femme au milieu du tapis tout en ordonnant à son rejeton de la filmer. Nicolas hésitait, les regardant tous deux avec ses grands yeux embués de larmes. Mais quand son paternel répéta son ordre, il ouvrit chancelant le clapet de l'appareil et appuya sur la touche d’enregistrement.

La voix de Julie n'était plus qu'une litanie geignarde qui implorait Léon d'en rester là. Mais il avait son idée et cette fois rien de ce qu'elle dirait ne la sauverait, elle ou son fils.

" Branle-toi."

L'ordre était simple et ne souffrait d’aucune réponse.
Julie pleurait pour de bon mais Léon ne prit pas la peine de se répéter. Son regard suffisait et devant l'objectif de la caméra, Julie glissa sa main entre ses cuisses pour caresser son intimité.

"Mieux que ça !"

Julie reniflait et sanglotait mais elle savait que Léon, à cet instant, pouvait être capable du pire. Alors elle pressa ses doigts contre son clitoris et commença à le bricoler. C'était une caresse froide. Pas de plaisir, pas d'envie, juste ses doigts qui pressait son clitoris et décrivaient de petits cercles.

"Mieux que ça je t'ai dit !!! Et écarte les cuisses salope !"

Julie appuya son dos contre le canapé. Elle ne pouvait croiser le regard de son fils derrière le caméscope, elle n'en avait pas la force. Ses jambes repliées, les cuisses entrouvertes, elle frottait son petit bouton devant l'objectif.

"Ho non ma belle, il est normal que ton fils soit curieux à son âge, alors essaie de satisfaire sa curiosité !
Branle toi et bien nom de dieu !! "

Les larmes de Julie cessèrent peu à peu. Elle devait le faire, elle n'avait pas le choix. Elle devait le faire malgré la honte et la culpabilité qui l'étreignait. Elle ouvrit un peu plus les cuisses et tirant sur le renflement de peau d'une main, elle agaça son clitoris de l'autre. Son petit bouton refusait de se montrer, il refusait une excitation qui n'était pas présente.

"Oui ! Comme ça ! Souviens-toi comme t'aimais quand je te filmais salope !
Alors vas-y, qu’il en ai pour son argent, ton petit salopard de fils !"

Julie tentait comme elle pouvait d'accéder à un plaisir qui lui échappait obstinément. Elle était si sèche dedans, si sèche et si triste. Puis, peu à peu, plutôt que du plaisir, c'est de la colère qu'elle sentit monter en elle. C'était chaud et puissant, mais ça ne venait pas de l'intérieur de son ventre. Elle leva les yeux sur son conjoint, leurs regards se croisaient. Lorsqu’il vit cette lueur qui s'embrasait dans ses prunelles, il se fit plus menaçant mais surtout, il sentit son propre plaisir monter. Les souvenirs avec sa femme et une caméra revenaient dans sa mémoire, des moments de pure luxure.

Il n'en fallait pas plus pour que son gourdin se redresse, la démonstration de son excitation renforça la rage de Julie. Ses doigts s'activaient plus fermement sur sa fente. Il voulait qu'elle se donne en spectacle, alors elle allait lui en donner du spectacle. Elle ne pleurait plus, elle avait les yeux fixés sur ceux de son mari, ses cuisses s'ouvraient plus largement.

Devant elle, Nicolas comprenait que quelque chose d'autre était entrain de se nouer. Il percevait ses parents mais n'en saisissait pas tous les détails. D'un autre côté, la seule chose qui l’importe, est ce que fait sa mère. Il revoit sur l’écran de sa télé, quand il est seul dans sa chambre, les gros plans de l'époque, réalisés par son père, sur lesquels il s’est beaucoup masturbé. Mais là, c'était différent, c'est lui qui filmait cette fente, il pouvait voir les grandes lèvres s'écartaient peu à peu.

Julie se focalisait tant qu'elle pouvait sur cette rage qui l'embrasait encore plus qu'une excitation perverse. Elle se concentrait sur Léon mais elle n'était pas que femme, elle était mère aussi. Alors son regard glissa sur son fils. Elle n'avait toujours pas la force de croiser le regard de la caméra. Son fils, son petit chéri, son amour de fiston bandait lui aussi. Comme son salopard de père, cette peste de fiston, tous deux étaient excités de la voir ainsi.

C'est ça qui la perdit. Quoi qu'elle ait pu dire ou penser, à ce moment là ou même plus tard, elle découvrait la bosse sur le pyjama de son fils qui fit tout déraper. Elle aurait pu garder un peu de contrôle si sa colère avait continué d'être le moteur de ses réactions. Mais dès l'instant où elle a compris que son fils aimait ce qu'elle faisait, qu'il l'aimait et la désirait, elle, sa mère. Ce fut comme un grand gouffre qui s'ouvrit sous ses pieds pour l'engloutir toute entière.

Sans réfléchir, ses yeux toujours rivés au pyjama de Nicolas, elle plongea son majeur dans son vagin et elle émit le premier soupir depuis qu'elle l'avait surpris dans les escaliers. Léon jubila à ce même instant, il l'avait vaincu mais il en voulait plus. A nouveau l'excitation remontait effaçant peu à peu sa frustration. Cette coquine bavait devant son fils, alors oui, il allait faire de son fils un homme.

Devant l'objectif, Julie commença à se caresser plus précisément, plus naturellement. La colère s'estompait submergée par un flot d'excitation si fort qu'elle ne pouvait la contrôler. Dans sa tête tout lui criait qu'elle devait se reprendre mais son corps, son ventre, lui ordonnait de regarder ce jeune homme qu'était son fils et de lui donner ce qu'il voulait. Entre ses doigts commençait à couler son nectar. Un puis deux puis trois, elle enfonçait ses doigts dans son intimité avec de plus en plus de fermeté.

Léon poussa du pied le canapé, Julie tomba en arrière. Elle ne s'arrêta pas pour autant. Les cuisses largement ouvertes, elle plantait ses doigts dans son vagin détrempé pendant que de l'autre main elle triturait son clitoris.

"Allez montre à ton gosse comme tu peux être une belle cochonne ! Montre-lui à ce puceau à quoi ça ressemble une vraie femme !"

Julie se cambrait soulevant ses fesses et offrant toute son intimité à son fils qui ne perdait pas une miette du spectacle. Julie se déchaîna. Les petits cercles sur son bouton se muèrent en va-et-vient brefs et frénétiques. Entre son majeur et son index, son clitoris était gonflé, elle le masturbait avec force. Dans sa gaine, ses trois doigts allaient et venaient emplissant le salon de clapotis indécents.

Léon s’approcha de son fils et le poussa pour qu’il avance. Obéissant aux ordres de son père, Nicolas fit le tour de sa mère, la filmant sous tous les angles, jusqu'à ce qu'elle se laisse aller à la jouissance, le corps traversé par les vagues successives de son orgasme. Machinalement le garçon stoppa la machine, son père intervint de nouveau.

"Hé mais ce n’est pas fini, il y a encore des prises pour ton film !"

Léon s'agenouilla à côté du visage de sa femme. Sans ménagement il empoigna les cheveux pour lever sa tête vers son sexe. Julie ne posa aucune question ni aucune protestation. Elle ouvrit la bouche et absorba le membre de son mari.

Relançant l'enregistrement, Nicolas rejoignit le couple. Il était stupéfait de voir avec quelle force son père enfonçait son sexe dans la gorge de sa mère. Il était étonné de voir comment sa mère acceptait ce barreau de chaire pour le sucer. Il lui semblait presque qu'elle y prenait du plaisir alors qu'elle toussait et que cela l'empêchait de respirer.

 

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Bien-sur Julie était habituée à ce genre de pratique, elle aimait même ça. C'était puissant, dur, mais c'était les prémices de bien plus de plaisir encore. Léon retrouvait ses marques, ses habitudes. D'une main il maintenait la tête de Julie et de l'autre il s'attaqua à ses seins. Entre le pouce et l'index il agaçait les tétons. Il les faisait rouler, les pinçait. Il tirait dessus jusqu'à faire geindre sa femme avant de s'attaquer à l'autre. Nicolas tentait de tout capturer, il sentait l'atmosphère se charger de débauche. C'était quelque chose d’inédit pour lui. Voir des vidéos c'est une chose, mais les filmer, devenir partie prenante de ces jeux secrets et qu’il a tant rêvé, c'était vraiment autre chose. Devant lui son père délaissa les seins de sa mère pour venir s'occuper de son bas ventre. Son majeur et son index se plantèrent dans les chairs encore humide.

Julie poussa des gémissements plus ou moins étouffés car sa bouche était pleine. Elle geint de plus en plus fort, presque sans s'arrêter alors que Léon martyrisait la chatte enflammée de sa masturbation précédente. Et puis Léon retourna Julie qui s'agrippa à son sexe et reprit son office en s’agenouillant.

Les fesses en l'air, le visage enfoui entre les cuisses de son mari. Léon avait les deux mains libres, il en profita pour écarter les petits globes de chair du mignon cul rebondi puis sans aucune gêne, il encouragea son fils à bien zoomer sur l’œillet de sa mère.

Elle s'y était préparée pourtant mais quand il enfonça son majeur dans son petit trou, elle ne put retenir une longue protestation plaintive. Nicolas n’en perdait pas une miette, tentant d’immortaliser la scène, sa maman se détendit comme elle put. Elle sentait que la rage abandonnait son mari, pour ne plus laisser place qu'à l'excitation et au plaisir. Hélas Léon n'était pas au bout de son projet. Quand elle l'entendit demander à son fils de s'approcher elle paniqua, elle sut tout de suite que ce n'était pas les doigts de Léon qui caressaient sa touffe bien taillée. Sans cesser de planter son doigt dans le cul, Léon avait fait glisser le pyjama de son fils au sol et prit le pistolet entre deux doigts pour le guider dans les grandes lèvres maternelles dont il était issu. Quelle sensation étrange pour Nicolas qui découvre enfin ce qu’est l’amour.

Léon regarda son fils pénétrer lentement sa mère, le garçon poussa un son rauque. En réponse sa mère cria un long "non" désespéré. C'était le dernier outrage, l'obscénité ultime qu'elle voulait éviter, mais c’était trop tard. Elle sentit le sexe de son fils l'investir. Elle eut cette étrange remarque dans sa tête qu'il était plus gros qu'elle ne le pensait. Même Léon devait l'admettre, son fils était plutôt bien membré. Du coup le père ramassa la caméra et pointa le nouveau couple. Nicolas saisit les hanches de sa maman pour compléter son accouplement. Le père faisait varier la focale allant de plan large en gros plan.

Évidemment Nicolas ne put faire plus d'une dizaine d’oscillations dans la chatte chaude de sa mère avant de d’éjecter son sperme en elle. Effondrée Julie sanglotait à chaudes larmes. Léon repose son caméscope, saisit la chevelure brune de Julie et de nouveau enfonça son engin au fond de la gorge, il éjacula presque aussitôt à son tour. Julie toussait recrachant le sperme qui l'étouffait.

Julie tenta de se relever mais de suite la main de son mari l'empêcha d'aller plus loin. A quatre pattes, elle vit son fils suivre les ordres de son père et s'approcher.

Les joues encore ruisselantes de larmes et de foutres, Julie accueillit le sexe de son fils dans sa bouche. Léon n'eut aucun besoin de guider son fils. Julie sentit les doigts de son garçon glisser dans ses cheveux jusqu'à l'arrière de sa tête. Lentement mais très fermement, Nicolas pressa le visage de sa mère contre son pubis et un nouveau flot de larmes coulèrent sur ses joues.

Un mois plus tard, dans la maison du couple, un samedi soir comme les autres. La mère de famille a préparé des pizzas et une quiche. Nicolas prend l'apéritif avec ses parents dans le salon. Julie revient de la cuisine pour avec une bouteille de soda fraiche. Quand Léon lui flatte la croupe en passant avec sa grosse main, ce qui la fait frémir et sourire.
Pendant qu'elle remplit les verres posés sur la table basse, son fils pose sa main sur ses reins et remonte le long de son dos. Julie garde le sourire mais ses yeux trahissent une certaine anxiété.

Les doigts de Nicolas se referment sur la glissière de la robe. Julie se fige un instant, juste ce qu'il faut pour que son fils descende le petit morceau de métal du zip du vêtement qui s'ouvre comme une fleur au soleil. Julie à peine surprise se retourne vers son fils mais déjà son mari l'attrape par les hanches avant d'appuyer sur son dos.

Julie n'émet aucune protestation, son visage repose sur les cuisses de son fils qui lui caresse les cheveux pendant que Léon lui retire sa culotte. De ses doigts rugueux il triture son intimité et s'enfonce dans la chatte brûlante. La honte est toujours présente, mais elle n’attendait que ça. Elle souhaitait ce moment où ses deux hommes la forceraient, ce moment où ses chéris lui montreraient combien ils l'aiment, la force de leur passion.

Nicolas a tôt fait de dégrafer le soutien-gorge, il se trémousse pour faire descendre son pyjama et pendant que son père pénètre un peu sauvagement sa génitrice, Nicolas engouffre popaul dans la bouche grande ouverte qui n’en espérerait pas moins. Julie se cramponne aux hanches de son fils alors que déjà Léon la fait aller et venir sur son membre dilaté.

Quelques minutes plus tard Léon se lève pour mieux se planter dans le ventre de sa femme haletante. Quelques minutes encore et il l'attire au sol, face à lui. Elle s'empale sur le pieu de son mari avec une ferveur jubilatoire. Elle griffe le torse de son mari qui en réponse la force à se coucher sur lui. Derrière elle, elle sent les mains de son fils qui déjà écarte ses petites fesses musclées.
Julie serre les dents, lentement son fils plaque son visage entre les fesses, sa langue se met à l’ouvrage. Cette fois-ci, Julie se laisse aller complètement au plaisir. Tout à l’heure, elle avait bien essayé de se contenir un peu, mais là, les complaintes qu’elle laisse échapper ne font plus aucun doute.


Plus rien au monde ne peut lui donner plus de plaisir que de sentir son corps complètement abandonné par ses deux hommes. Elle plante ses ongles dans les épaules de son mari dont les yeux brillent de fierté et de lubricité. Elle est prise dans une tourmente entre son fils et son époux ou règne une chaleur insoutenable.

Sur un trépied trône un caméscope au clapet ouvert. Une petite lueur rouge brille sur le côté. Sur le meuble à côté de l'halogène, une autre caméra en marche avec une petite lueur rouge, brille sur le côté.

 

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Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : Vous avez dit inceste
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Mercredi 18 novembre 3 18 /11 /Nov 17:54

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Du plus loin que je souvienne, ma relation avec Maman a toujours été très fusionnelle, Elle avait dix-sept et deux mois quand je suis née, mon père plus du double, J'ai tout de suite été sa petite poupée, sa puce, son baigneur, puis sa petite chérie, Quand j'ai eu neuf ans, à l’occasion d'un événement qui a marqué notre vie, je suis devenue l'amour de sa vie, puis, rapidement, dans certaines circonstances qui motivent ce billet, son amour.

 

J'ai 31 ans et je suis toujours son amour maintenant, Elle me cajolait beaucoup, mes deux meilleurs moments, quand j'étais très jeune, c'était d'une part la grasse matinée du dimanche matin, couchée près d'elle, mon père restant dans le séjour pour régler les problèmes administratifs de la maison, je lui racontais ma semaine d'école, elle me caressait doucement les cheveux, Puis, venait ensuite l'autre moment magique, la douche avec elle, quand elle me savonnait du haut jusqu'en bas, me chatouillant, me faisant rire quand elle posait de la mousse sur mon nez, puis elle m’essuyait doucement dans une serviette bien chaude, j'aurais voulu que ça dure des heures.

 

Le soir après l'école, c'est la voisine qui me ramenait à la maison, mais un jour, j'avais neuf ans, je vis Maman qui m'attendais, j'ai tout de suite pensé à quelque chose de grave, En m'approchant, j'ai vu ses yeux rouges, les yeux que l'on a quand on a beaucoup pleuré, je l'embrassai et lui demandai ce qui lui arrivait, elle ne répondit pas et c'est dans la voiture qu'elle m'annonça que mon père nous avait quitté, il venait de partir avec ses affaires. Mon père était plutôt distant avec moi, pas sévère, mais plutôt comme s’il laissait Maman s'occuper de moi, Le dîner fut plutôt triste et nous nous sommes couchées de bonne heure chacune dans notre lit, Ce furent les sanglots de Maman qui m'ont réveillée en pleine nuit, je me suis levée et j'ai été m'allonger près d'elle, je ne savais pas trop quoi faire, c'est elle qui m'a prise dans ses bras et qui m'a doucement caressée le visage, puis le dos en sanglotant.

 

Depuis ce jour, je dormais presque toutes les nuits avec elle, sauf quelques jours par mois où elle préférait que je dorme dans ma chambre.

Puis la vie a repris doucement, nous nous épaulions l'une l'autre, elle en s'occupant de moi et moi en lui donnant tout l'amour que j'avais. Bien entendu, nous continuâmes nos grasses matinées et nos douches en commun, mais au fur et à mesure que le temps passait, j'étais troublée quand elle me savonnait ou m’essuyait. Elle était, bien sûr, plus attentionnée, mais je sentais mon corps réagir différemment.

 

Quand sa main s'approchait de mon bas-ventre, je sentais comme une boule de chaleur envahir mon ventre, c'était à la fois troublant et très agréable. Puis un soir, j'avais onze ans, j'étais dans mon lit et comme de temps en temps, j'ai essayé de retrouver cette sensation en me caressant le ventre et plus je me caressais, plus je sentais que tout se passait un peu plus bas et finalement, pour la première fois, ma caresse s'est transformée en acte sexuel, sans le savoir je me masturbais. En quelque mois, je me suis perfectionnée au point de me donner des orgasmes qui me mettaient à plat quelques minutes, dans mon lit, dans la salle de bain ou quelquefois, dans un endroit tranquille de la maison pendant que Maman était occupée. Et ce qui devait arriver arriva, j'avais douze ans, un jour que je me caressais à genoux dans un fauteuil du salon, maman est entrée dans la pièce elle m'a juste regardée puis est sortie sans rien dire.

 

Je n'osais pas bouger, la main entre mes cuisses me demandant ce qui allait suivre, maman est revenue dix minutes après, je m'attendais, bien sûr, à être grondée, mais non, elle souriait. Elle s'est agenouillée devant moi et m'a dit doucement, d’une voix fluette :

« Tu sais, ce que tu faisais, toutes les petites filles le font, moi je l'ai fait aussi quand j'étais petite, il faut juste que tu ne le fasses pas devant des gens, mais devant moi, ça ne pose pas de problème si tu en as envie, je comprendrais et je pourrais te dire ce qui est bien et ce qui est mal comme devraient le dire toutes les mamans à leurs petites filles, et elle ajouta :

 

« Tu as terminé quand je suis repartie ?

– Non, je n'osais pas, j'avais peur que tu me grondes ! »

 

Son sourire se fit plus grave :

 

« Il ne faut jamais s'arrêter quand tu commences, je te laisse seule, tu me rejoindras ensuite ! »

 

Et elle quitta le salon, me laissant seule. Je suis restée un peu interloquée, puis l'envie est revenue et j'ai terminé ce que j'avais commencé, excitée par ce qu'elle venait de me dire et sa permission implicite de recommencer. J'ai été la retrouver dans la cuisine, elle me regarda avec son sourire de Madone :

 

« Alors, c'était bien ? »

 

Je suis devenue toute rouge, j'ai fait semblant de lui donner une tape sur les fesses et je me suis exclamée :

 

« Maman ! »

 

Elle a éclaté de rire, nous étions encore plus complices.

Je m'enhardissais de plus en plus et, bientôt, je le faisais doucement dans le lit quand elle dormait à coté de moi. Rapidement, j'ai eu des doutes sur la profondeur de son sommeil, car plusieurs fois après mon orgasme contenu, elle se tournait vers moi et me demandait si j'allais bien. Les premières fois, je rougissais dans la pénombre, puis je pris l'habitude de lui dire « oui, Maman chérie ». De son côté, elle ne l'a jamais fait devant moi, du moins jusqu'à mes quinze ans, mais souvent quand elle était seule dans la baignoire, je l’entendais gémir, les mêmes gémissements que les miens. J'étais contente de savoir que je ne l'empêchais pas d'assumer ses envies.

 

Et j'améliorais ma technique, outre mes doigts, j'utilisais aussi le traversin de mon lit quand je dormais seule dans ma chambre, je m’allongeais dessus et je me frottais jusqu'à déclencher mon plaisir.

Et bien sûr, ça a à nouveau dérapé, par ma faute, évidemment. J'avais quatorze ans, et je me suis réveillée en pleine nuit, le bas-ventre en feu pour réaliser que j'étais en train de me frotter sur la jambe de Maman comme si c'était mon traversin. J'ai sauté du lit et j'ai été me recroqueviller dans un coin de la chambre, morte de honte, la tête entre les genoux, les bras au-dessus. Maman m'a appelée :

 

« Viens mon cœur, ce n'est pas grave, c'était un rêve ! »

 

Mais j'étais trop honteuse pour répondre, je ne bougeais pas. Elle s'est levée, s'est approchée de moi, m'a prise par la main et m'a forcée à me lever, puis elle m'a embrassée sur les joues et m'a ramenée au lit. J'avais la tête basse, je n'osais pas la regarder. Elle m'a prise dans ses bras et en me caressant les cheveux, m'a redit que ce n'était vraiment pas grave et que si je voulais, elle me ferait voir une autre position, mais que si j'avais envie de recommencer, elle n'y verrait pas d'objection. Je n'en croyais pas mes oreilles, mais je compris la force de son amour pour moi. Ce n'est que quelques mois plus tard que j'ai osé le refaire, mais un matin de grasse matinée, alors qu'elle et moi étions réveillées. Comme d'habitude, elle me posait des questions sur ma semaine au collège, me tenant par un bras passé dans mon dos, sa main me caressant doucement l'épaule. J'étais allongée tout contre elle et sans que je puisse m'arrêter, j'ai senti mon corps se coller au sien et mon bassin commencer doucement à onduler contre sa cuisse. Pour la première fois, je constatai que mon corps répondait mieux que mon esprit à mes envies sexuelles. Elle sentit mes mouvements, car sa main s'est un peu crispée sur mon épaule. Elle a arrêté de parler et, en la regardant, j'ai vu qu'elle fermait les yeux. Elle ne les rouvrit qu'après qu'elle ait senti que je jouissais, Elle m'a regardée, toujours avec son sourire enjôleur et m'a juste dit :

 

« Tu vois, ce n'est pas difficile et merci de me faire confiance ! »

 

C'est un peu plus tard, après avoir recommencé quelques fois, que je lui ai demandé ce qu'elle entendait par autre position. Elle m'a expliqué que je serais mieux allongée sur sa jambe, mes jambes de chaque côté de la sienne. Elle me prit par les épaules et m'a aidée à me positionner. Effectivement, c'était plus confortable et bien plus excitant, car cette fois l'orgasme est arrivé en quelques minutes. Je suis restée sur elle, les jambes tremblantes et le souffle court.

 

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Et c'est dans cette position, je venais d'avoir quinze ans, qu'un nouveau dérapage nous a rapprochées de ce qui devenait inéluctable. J'étais allongée à califourchon sur elle, plus en hauteur que d'habitude et j'ai commencé à me frotter doucement. Je sentais bien que ma cuisse frottait, elle aussi, sur la vulve de Maman, mais je ne m'en souciais pas plus que ça jusqu'au au moment où je l'ai sentie trembler, puis commencer à gémir. Je me suis arrêtée et je l'ai regardée, elle m'a juste dit, dans un souffle :

 

« Continue, mon amour, continue, s'il te plaît ! »

 

J'ai recommencé à me frotter et plus je me frottais sur sa cuisse, plus elle gémissait fort, puis elle laissa échapper des paroles incompréhensibles au début, puis j'entendais distinctement : « oui, ma chérie, oui, mon cœur », puis elle s'est arc-boutée sur le lit, à deux doigts de me faire tomber et elle a crié :

 

« Mon dieu, oui, oui, oui… ! »

 

Et elle est retombée sur le lit, elle avait du mal à respirer, moi j'étais immobile, me demandant ce qui lui était arrivé et ce n'est que quatre cinq minutes plus tard qu'elle m'a prise dans ses bras me serrant à me couper le souffle. Elle m'a regardée et m'a juste dit :

 

« Merci mon amour, tu te rends compte, tu as fait jouir ta Maman ! Il ne faudra jamais le répéter ! »

 

En entendant cela, je n'étais pas peu fière, j'en ai même oublié le plaisir personnel que je n'avais pas pris, le sien valant mille fois plus à mes yeux. C'est à cette période que nous avons commencé à nous masturber mutuellement. Maman m'aida à me perfectionner et je devins une branleuse quasi pro.

Mon seizième anniversaire avec Maman

Tout bascula vraiment à mes seize ans.

Mon seizième anniversaire fut une grande fête et maman me fit franchir une nouvelle étape dans notre course au plaisir, La veille au soir, alors que j'étais déjà couchée dans notre lit, j’entendis un peu de bruit dans le salon :


« Maman, tu viens ?


– J’arrive, ma chérie, je faisais un peu de rangement ! »

 

Effectivement, deux minutes plus tard, elle est venue se coucher près de moi, Comme tous les soirs, elle me prit dans ses bras pour me caresser, puis nous passâmes aux choses sérieuses, l'une face à l'autre, nous nous masturbâmes les yeux dans les yeux. Je fus la première à jouir, elle me suivit deux minutes plus tard, Je m'endormis dans ses bras.

 

Quand je me suis réveillée, elle me regardait en souriant, nous nous embrassâmes, mais alors que j'avais envie d'un peu plus de câlins, elle me dit :

 

« Allons déjeuner, nous avons plein de choses à faire ensuite ! »

 

Je l'ai suivie dans la salle à manger et à peine entrée, j'ai vu une jolie robe étalée sur le canapé du salon, je la regardais,  surprise :

 

« Bon anniversaire, ma chérie ! »

 

Je lui ai sauté au cou pour l'embrasser sur les deux joues et j'ai pris la robe pour l'essayer. Elle était juste à ma taille, ras du cou, mais le dos nu jusqu’à la taille et plutôt courte, elle ne cachait pas grand-chose de mes cuisses. Je l'ai enfilée et j'ai fait plusieurs tours sur moi-même pour me faire admirer par maman :

 

« Tu es très jolie mon amour, elle met en valeur tes belles jambes et ton joli dos de sportive !

.. Ce midi, nous allons au restaurant, tu vas faire sensation ! Allons déjeuner, maintenant ! »

 

J'ai retiré la robe pour ne pas la tacher et je me suis assise à la table. Quand j'ai pris la serviette de table pour la poser sur mes genoux, j'ai vu une petite boîte dessous. Je l'ouvris et je vis une petite chaîne en or avec un cœur en or également, au revers il y avait quelques mots gravés : « Pour l'Amour de ma Vie ». J’ai senti les larmes monter, je me suis levée brusquement pour embrasser à nouveau Maman, J'avais la gorge serrée, j'ai eu du mal à déjeuner. Puis nous sommes allées prendre la douche. Elle m'a savonnée, comme d'habitude, mais elle a beaucoup insisté sur mon pubis, elle m'a même chauffée à blanc et je m'attendais à ce qu'elle termine ce qu'elle avait commencé, mais non, elle m'a rincé et se préparait à m'essuyer :

 

« Maman, tu ne vas pas me laisser comme ça, je suis en feu ? »

 

Elle m'a regardée, très sérieuse :

 

« Aujourd'hui, j'ai plein de projets pour toi, tu n'en seras que plus réactive, tu as seize ans maintenant, tu es une grande fille, je te promets que tu n'oublieras pas ton anniversaire et interdit de te caresser toi-même ! »

 

Je faisais un peu la gueule en sortant de la salle de bain devant elle, elle s'en rendit compte car elle me proposa de me maquiller un peu avant de m'habiller. Bien sûr, j'ai accepté, car je la savais très douée pour cela. Elle s'occupa surtout de mes yeux, fard à paupières, ricils, un peu de blush sur les joues et un rouge à lèvres pastel. Quand je me suis regardée, j'ai failli tomber sur les fesses, j'avais cinq ou six ans de plus, je faisais vraiment jeune femme, je n'en revenais pas, puis j'ai eu une idée :

 

« Maman, j'ai envie que tu fasses des photos comme je suis là, pour avoir des souvenirs ! »

 

Elle accepta, mais parut surprise quand elle me vit ouvrir la baie vitrée du salon pour aller dans le jardin, c'était fin août, il faisait un temps merveilleux et très doux. Mais elle me rejoignit après avoir récupéré l'appareil photo et là, commença une séance de shooting à faire pâlir une troupe de mannequins anorexiques. Je prenais toutes les poses possibles contre un arbre, appuyée contre le tronc, dans la balancelle, allongée sur le gazon, en appui sur les bras, assise sur la table de jardin, rejetée en arrière, mes petits seins offerts, puis elle se prit au jeu et commença à me conseiller sur les poses qui, je dois l'admettre, étaient plus lascives les unes que les autres. Pour tout dire, elles étaient même franchement érotiques, mais plus rien ne semblait pouvoir nous retenir. Elle hésita un peu quand je fis passer mon pouce dans l'élastique de ma petite culotte, mais mitrailla la descente lascive et la séance continua alors que j'étais nue.

 

J'étais à bout de souffle et elle me fit très plaisir en me disant :


« Nous en referons de plus présentable avec ta robe en rentrant cet après-midi ».

 

Maman m'a donné un petit coup de gant de toilette humide sur les quelques traces récupérées pendant mes poses et il était temps de nous habiller pour aller déjeuner. Mes petits seins, bonnet A, n'avaient pas besoin de soutien, j'enfilais donc la robe à même la peau, je me suis aperçue que ma petite culotte était restée dans l'herbe. J'ai hésité, mais je ne l'avais jamais fait, alors non, pas de cul nu, je suis allée dans ma chambre choisir un autre sous-vêtement. Finalement, j'ai retenu un string transparent qui ne cachait rien de plus que si j'étais sans culotte, mais j’espérais que Maman ne le verrait pas avant que nous soyons parties. Quand elle est sortie de son dressing et que je l'ai vue, j'en ai eu le souffle coupé, elle portait la même robe que moi, enfin le même modèle, montrant son dos nu également jusqu'à la taille et, confirmant également par l'absence de toute bretelle, que sa poitrine était également libre sous le tissu, mais ses beaux seins en ogive gardaient leur superbe.

 

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Arrivées au restaurant Maman s'approcha du maître d’hôtel et lui demanda quelque chose à voix basse. Je l'entendis lui répondre que tout était prévu comme elle l'avait souhaité, puis il nous accompagna à notre table juste au milieu de la grande salle. Nous allions être le point de mire des autres clients et je ne tardai pas à en avoir confirmation. À peine les entrées terminées, je me penchais vers Maman et je lui dis à voix basse :

 

« Maman, tous les hommes autour regardent sous notre table, c'est gênant !

– Oui j'avais vu, mais il va falloir te faire une raison, tu n'es plus une petite fille, mais tu es une superbe jeune femme, maintenant et il va falloir t'habituer à ce que les hommes te regardent ! »

 

Et elle laissa échapper un petit rire. Finalement, elle avait raison et je pris goût à ces regards au point de croiser mes jambes régulièrement, comme pour mieux les offrir aux regards. Les leçons de maman portaient leurs fruits, je prenais de l'assurance et ça me plaisait. Puis arriva le moment du dessert, je m'attendais à que la serveuse nous présente la carte, je suis mince naturellement, mais très gourmande alors j'attendais cela avec envie, mais non, le maître d’hôtel s'est approchée de Maman et lui demanda s'il pouvait servir Maman lui répondit oui et quelques minutes après, les lumières de la salle baissèrent d'intensité et j'entendis comme des crépitements derrière moi. J'ai pensé à une panne, mais non, car dans la foulée, deux serveuses arrivèrent près de nous, escortant un garçon qui portant un gâteau sur lequel des accessoires faisaient pleins d'étincelles et ils commencèrent tous les trois à chanter :

 

« Joyeux anniversaire, joyeux anniversaire, que l'année qui vient vous apporte l'amour et le bonheur que vous méritez ! »

 

Et les clients des tables autour de nous ont chanté également. J'avais les larmes aux yeux, les serveuses m'ont embrassée sur la joue chacune de leur côté. Je ne savais quoi faire je me suis levée et je me suis jetée dans les bras de maman en pleurant et je l'ai embrassée. Elle m'a murmuré à l'oreille, comme pour m'achever :

 

« Tu mérites bien plus que ça, mon amour ! »

 

J'avais la gorge serrée, mais ça ne m'a pas empêchée de me venger sur le gâteau. En sortant, maman m'a demandé si je voulais faire un tour en ville avant de rentrer. J'ai, bien sûr, dit oui immédiatement, sachant que ça serait agréable de marcher à ses côtés. Effectivement, ce fut très agréable, nous nous tenions par la main, c'était un jeudi, il y avait beaucoup de monde dans les rues et nous avons été beaucoup regardées. J'ai même entendu un homme dire à son voisin :

 

« Tu as vu les deux belles filles devant, si je connaissais la mère, je lui demanderais la main de ses deux filles ! »

 

J'ai souri en attendant cela et j'étais très contente pour maman. Nous avons marché presque deux heures dans les rues, puis nous nous sommes arrêtées à une terrasse pour nous rafraîchir. Et là, pour la première fois, sous la brûlure des regards, j'ai pris conscience de mon pouvoir de séduction sur les hommes. J'en ai abusé avec gourmandise, offrant mes jambes jusqu'à très haut des cuisses aux regards, les croisant et les décroisant, quelques-uns ont même dû apercevoir un peu de l'étoffe blanche qui cachait mon intimité, mais je m'en moquais, j'étais avec Maman rien ne pouvait m'arriver.

Puis nous sommes rentrées à la maison. Arrivées dans le séjour Maman me regarda et me demanda :

 

« Tu es contente de ma journée ?

– Oh oui ! »

 

Et je me jetais sur elle pour l'embrasser sur les deux joues, elle sourit et me dit :

 

« C'est tout ? »

 

Je la regardais, décontenancée, je ne savais pas ce qu'elle voulait dire :

 

« Ce sont des bisous de petite fille ça, je mérite mieux de ma grande et très jolie fille, non ? »

 

J'ai aussitôt senti une boule de chaleur remonter de mon ventre vers mon visage. Elle m'a prise par les épaules, puis ses mains ont encadré mon visage, comme pour l'immobiliser et elle a approché ses lèvres des miennes. J'ai reçu comme une décharge électrique quand j'ai senti le contact de sa bouche sur la mienne, j'avais déjà embrassé des filles au collège, mais c'était plus pour énerver les garçons qui commençaient à nous tourner autour qu'autre chose. Mais là, c'étaient les lèves de maman qui se posaient pour la première fois sur les miennes. Elle resta immobile quelque instant, puis comme si elle redoutait ma réaction, mais moi j'avais le souffle court, j'ai fermé les yeux, attendant la suite, espérant la suite.

 

Elle a pris chacune de mes lèvres, l'une après l'autre entre les siennes, les tirant doucement, les relâchant, son jeu dura plusieurs minutes. Elle a écarté son visage du mien. J'ai rouvert les yeux, un peu déçue, mais elle ne me laissa pas le temps de dire quoi que ce soit, ses lèvres se sont à nouveau plaquées sur les miennes, puis j'ai senti la pointe de sa langue effleurer mes lèvres, puis pénétrer dans ma bouche. Lorsqu'elle entra en contact avec la mienne, j'ai su d’instinct ce que je devais faire, ce fut véritablement magique, intense. Une douce chaleur s'insinuait dans mon bas-ventre. J'étais troublée au plus haut point. Elle dut s'en rendre compte. Son baiser se fit plus doux encore. En même temps, je sentais ses mains glisser le long de mon corps sur ma taille, puis mes hanches.

Elle releva le tissu léger de ma robe et ses mains se posèrent sur ma peau nue, puis l'une d'entre elles s'est posée sur mon pubis et a commencé doucement à me masser. Je n'ai pu m'empêcher de frissonner en laissant échapper un gémissement. J’entendais sa respiration devenir plus forte. Je ne faisais aucun geste, mais ma respiration s’est accélérée, j'avais tout d'un coup le souffle court. Maman dut voir dans mes yeux que j'avais envie qu'elle continue. Sa main gauche s'est posée sur ma nuque, remontant dans mes cheveux, tendrement, mais fermement. J'ai fondu littéralement. Je n'étais plus moi, juste une bouche qui la recevait, je ne touchais plus terre juste accrochée à sa langue. Je ne me rendis pas compte depuis combien de temps nous nous embrassions, tout ce que je peux dire, c'est que ce fut trop court. C'était un merveilleux baiser, le premier, mais le plus beau, profond, doux, ensorceleur. Instantanément, j'ai eu le feu dans le ventre. Cela dura 10 minutes, un quart d'heure, vingt minutes, je suis incapable de le dire. Je planais littéralement, les yeux fermés, j'aurais voulu mourir comme cela, ne plus penser à rien, j’étais à elle, je lui appartenais, ce n'était plus Maman, c'était mon amante. Si j’avais été battue, je ne n'aurais rien senti. Dans cet état second, j'ai senti sa main se glisser sous le tissu de ma petite culotte, pour cette fois, se poser directement sur mon minou.

 

Plus qu'un soupir, ce fut cette fois un petit cri de plaisir qui s'échappa de mes lèvres. C’est absolument divin. La douceur de ses mains qui se glissaient contre ma peau me faisait frissonner, mêlée à la douceur de sa langue. J'ai penché la tête en arrière, prenant appui de la main droite sur le dossier d'une chaise et j'ai posé ma main gauche sur sa tête. Je lui caressais tendrement la tête, mais surtout, j'avais posé ma main là pour ne pas la laisser partir, tant ses baisers étaient délicieux. Mes jambes vacillèrent, mais je me suis tout de suite reprise. Maman m'a regardée en continuant de faire jouer sa langue. Je lui adressais un sourire, pour lui faire comprendre que j'appréciais vraiment ce moment. Je lui caressais tendrement la tête. Je n'avais jamais ressenti cela auparavant, cette douceur allait me rendre folle. Mon souffle se fit plus court, je ne pouvais plus retenir les gémissements qui se présentaient à mes lèvres. Quand elle s'est reculée, j'avais les yeux plein de larmes de plaisir, je l'ai regardée le plus tendrement possible et, dans un souffle, j'ai laissé échapper :

 

« Maman, je t'aime !


– Je sais, ma chérie !


– Non, je t’aime vraiment !


– Et moi, tu crois que je t'aime seulement comme une mère devrait aimer sa grande et jolie fille ? »

 

Tout était dit à ce moment, nous savions l'une et l'autre que toutes les barrières venaient de tomber. Elle m'a regardée, parut réfléchir et me dit doucement :

 

« Retire ta robe pour ne pas la froisser ! »

 

J'ai retiré rapidement mon vêtement, elle m'a prise par la main et m'a emmenée vers la chambre, d'une main, elle a retiré le drap et, doucement, me poussa sur le lit :

 

« Allonge-toi, mon amour ! »

 

Elle s'est agenouillée près de moi et a commencé à me couvrir de baisers le front, les joues, la bouche. Mes petits tétons eurent droit à un traitement de faveur, à nouveau, elle les fit durcir, puis le ventre, le pubis, elle glissa rapidement sur mon minou, puis descendit le long d'une cuisse jusqu'au genou, puis elle est revenue, passant à nouveau rapidement sur ma chatte et a recommencé sur l'autre cuisse. Maman continuait ses caresses sur les jambes, elle ne pouvait plus avoir de doute sur le fait que j'étais, mais que j'en désirais davantage. Ses mains se sont glissées sur l'intérieur de mes cuisses, effleurant ma vulve. Ma réaction a été instantanée, je lâchais un râle de plaisir, à la limite orgasmique. Je réalisai que je lui appartenais corps et âme, elle aurait pu me demander et faire n'importe quoi de moi. Cette pensée me fit perdre un peu plus la raison. Je sentais mon vagin se contracter, le plaisir monter en moi. Je commençais pourtant à bien connaître mon corps, mais apparemment, il restait encore quelques zones inexplorées.

 

Sa bouche continuait de me titiller, m'embrasser, mordre plus ou moins fort pendant que ses mains glissaient encore et encore sur l'intérieur de mes cuisses. Puis la pulpe de ses doigts laissa place à ses ongles, elle me griffa légèrement sur toute la longueur de mes cuisses. Elle s'est déplacée, toujours agenouillée et vint se placer entre mes jambes. Elle les prit dans ses main, puis les replia, j'avais maintenant les genoux sur l'estomac. Elle s'est penchée sur moi et j'ai senti ses lèvres se poser sur mon sexe, c'était la première fois que cela m'arrivait et c'était les lèvres de Maman.

 

Puis elle a commencé à m'embrasser, aspirant ma peau, puis j'ai senti sa langue me pénétrer délicatement. J'ai eu mon premier spasme au fur et, à mesure que la caresse se prolongeait, j'ai ai eu d'autres. Je ne pouvais plus réprimer les tremblements qui agitaient mon corps, ma tête allait de droite et gauche mes jambes s'agitaient, je n'en pouvais plus et pourtant, sa langue continuait de me fouiller, buvant la liqueur qui inondait mes cuisses. Et enfin, j'ai senti l'orgasme venir du plus profond de moi, comme une délivrance, tellement je l'attendais. Je me suis arc-boutée, les muscles tétanisés et j'ai hurlé :

 

« Maman ! »

 

Un orgasme fulgurant m'a terrassée, je sentais mon sexe s'inonder. J'ai fermé les yeux, la tête me tournait, j'avais les nerfs à fleur de peau, non, plutôt sur la peau. Maman était toujours là, elle continuait tendrement ses caresses sur mes cuisses. Lorsque j'ai ouvert les yeux, son visage n’était qu'à quelques centimètres du mien. Brusquement, je la pris par la nuque et l'attirais à moi pour l'embrasser fougueusement. Ce baiser apaisait la tempête qui venait de me terrasser. Nous nous regardions intensément, nous étions toutes les deux dans un tel état que tout semblait s'arrêter. J'étais dans un état second, puis petit à petit, je reprenais conscience, je venais de faire l'amour pour la première fois et c'était avec ma Maman, ma jolie Maman. Elle me caressa doucement la joue et me dit :

 

« Dors, mon bel ange, tu dois être fatiguée ! »

 

Effectivement cinq minutes après, je dormais, ivre de plaisir, saoule de sensations.

 

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Notre vie a continué, pleine d'amour l'une pour l'autre, maintenant que nous étions amantes. Tant que j'ai habité avec Maman, nous faisions l'amour sans nous retenir. La vie était un rêve.

Quand je suis entrée à la Fac, je ne rentrais pas tous les soirs, mais nos retrouvailles étaient intenses.

 

Notre dernière fois, c'était début juillet, puis j'ai déménagé en province pour m’installer chez celui que je viens d'épouser. Il me comble, mais mes nuits avec Maman commencent à me manquer. Heureusement, elle va venir passer une semaine à Noël avec nous et j'aurais plusieurs après-midi à lui consacrer pour que nous nous retrouvions et que nous puissions à nouveau nous aimer.

 

Le lendemain matin quand je me suis réveillée Maman était allongée sur le côté près de moi et me regardait avec son beau sourire,

- Tu as bien dormi mon amour ?

En entendant sa voix tout ce qui s'était passé hier est revenu en tourbillon dans ma tête et devant mes yeux. Maman me regardait un peu interloquée

- Tu ne me réponds pas mon cœur ça ne va pas ?

Oh mais si ça allait très bien même je lui ai littéralement sautée dessus pour l'embrasser. Je la dévorais la bouche les joues puis à nouveau sa bouche ses lèvres j'étais comme folle d'envie. Elle riait sous mon assaut puis doucement elle m'a calmée canalisée et notre baiser devint profond excitant mais tendre. A nouveau j'ai senti cette boule de feux grossir dans mon ventre j'avais envie de maman et je sentais qu'elle aussi avait envie de moi, ne serait-ce qu'au travers de ses mains qui me parcourait tout le corps. Notre baisser dura de longues minutes de plus en plus tendre de plus en plus profond, je buvais sa salive elle aspirait la mienne. Quand nos bouches se sont séparées nous avions elle et moi le souffle court la respiration haletante. Comme les miens ses seins étaient dressés j'ai eu envie, comme lorsque j'étais petite, de les téter, c'était la seule caresse que maman m'autorisait sur elle jusqu'à hier. Je savais comment la faire gémir sous mes succions. Je pris un de ses mamelons entre mes lèvres et j'ai commencé à le sucer doucement le pinçant entre mes lèvres aspirant comme pour boire son lait elle commença à gémir et je sentais son corps qui commençait à onduler sous la caresse. Puis les gémissements se sont mêlés à de petits cris lorsque je donnais de petits coups de dents sur la pointe toute dure maintenant. Ses gémissements étaient de plus en plus rauque, je décidais de changer de seins elle se calma un peu mais repris de plus fort ses gémissements et ses ondulations quelques minutes après. Je la sentais se tendre de plus en plus, il était clair qu'elle était prête à exploser mais ce n'était pas comme cela que je la voulais jouir j'ai abandonné sa poitrine puis doucement en l'embrassant doucement je suis descendu le long de son corps le ventre puis le pubis. Mais là elle me prit la tête pour m'arrêter.

- Pas maintenant ma chérie après la douche si tu veux !

J'ai essayé de passer outre son refus mais elle me tenait la tête fermement tout en me caressant les cheveux. A contrecœur j'ai dû modifier mon envie de la faire jouir. J'ai posé ma main à plat sur son sexe elle a tressailli mais n'a rien dit, J'ai commencé doucement à masser son mont de vénus passant et repassant sur son clitoris caché par les plis de sa peau. A chaque passage elle gémissait à nouveau puis elle replia une jambe et l'écarta sur le côté, je comprenais son invitation elle s'ouvrait à la caresse et se livrait à moi. J'ai fait glisser mon index sur la fente déjà humide de son sexe l'ouvrant de plus en plus finissant ma caresse sur la peau qui recouvrait son bouton d'amour, j'enfonçais mon doigts de plus en plus écartant ses lèvres finissant à chaque fois sur son clitoris la faisant gémir de plus en plus. Et bientôt à chaque pression je sentais son bouton durcir de plus en plus grossir u point que maintenant il sortait de la protection tout rose et gonflé. J'ai cessé mes caresses pour me concentrer sur la petite hampe de chair le titillant du bout du doigts, allant chercher de la cyprine dans son vagin puis revenant poser mon doigts sur le bouton. Elle gémissant de plus en plus fort et commençait à se triturer les seins, son corps ondulait et ses jambes commençaient à trembler.

 

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Poussée par je ne sais pas quel instinct j'ai pris le pli de peau qui protégeait son clitoris entre mon pouce et mon index et j'ai commencé à le masturber comme je le ferais plus tard avec des verges. Elle bombait le ventre comme pour mieux venir à ma rencontre ; sa tête à commencer à aller de droite et gauche je la sentais prête, c'était la première fois que je la branlais ainsi mais j'étais en communion avec elle. J'ai accéléré le mouvement et brusquement elle hurla m'échappa et se recroquevilla sur le côté, me tournant le dos les mains entre les cuisses et tout son corps était agité de spasmes. J'ai eu l'impression qu'elle sanglotait comme la fois où je l'ai rejointe dans son lit quand mon père était parti. Je me suis rapprochée d'elle et je lui ai doucement caressé le dos, je sentais à travers mes caresses son souffle court et les spasmes qui continuaient de l'agiter. Puis peu à peu elle s'est calmée et j'ai pu la retourner elle avait l'air béate des larmes pleins les yeux mais un beau sourire quand elle m'a regardé. Elle m'a tendu les bras et nous nous sommes enlacées.

Nous sommes restées ainsi près d'une demi-heure puis elle m'a dit d'aller prendre mon petit déjeuner mais qu'elle n'avait pas la force de se lever. Effectivement quand je suis revenue mon chocolat bu elle dormait sur e coté les jambes légèrement pliées, je me suis glissée contre elle dans son dos j'ai soulevé sa tête pour passer mon bras et je l'ai enlacée en me collant bien à son corps j'ai eu l'impression d'entendre un petit gémissement mais elle ne s'est pas réveillée. Nous sommes restées ainsi collées pendant près de trois heures. Je ne voulais pas la réveillée et j'étais bien mon nez dans ses cheveux respirant son odeur ressentant sa respiration, à un moment j'ai pensé que c'était comme cela que je voudrais mourir un jour. Elle s'est réveillée un peu avant midi quand elle s'est retournée vers moi son visage était plein de douceur elle m'a regardé m'a souri et m'a tendu les bras. J'ai été à sa rencontre et nous nous sommes à nouveau embrassées longuement mais passionnément, Puis elle a dit qu'il était temps d'aller prendre notre douche et qu'ensuite elle commanderait des pizzas par téléphone. Je l'ai suivie dans la salle de bain une fois sous la douche elle m'a demandé de lui laver le dos ce que j'ai fait avec plaisir puis quand j'ai eu fini elle s'est retournée vers moi a croisé ses mains sur la tête et m'a regardée fixement, j'ai compris que les rôles étaient inversés c'était elle l'ado et moi la mère. Inutile de dire que je me suis acquittée de la tâche avec le plus grand plaisir au point qu'elle a dû me dire quand ça devenait un peu trop chaud

- Pas maintenant mon amour nous avons tout l'après-midi pour cela !

Un peu déçue j'ai quand même noté le « tout » l'après-midi, ça promettait. Ensuite c'est elle qui m'a savonnée comme elle en avait l'habitude. Nous nous sommes séchées et elle a téléphoné pour la livraison des pizzas que nous avons mangées de bon appétit. La vaisselle faite elle m'a prise par la main en me disant

- Viens mon cœur j'ai trop envie de toi !

A peine dans la chambre elle m'a tirée sur le lit m'a fait mettre sur le dos puis s'est mise au-dessus de moi sa tête à hauteur de mon ventre et j'avais sa jolie chatte gonflée au-dessus de mon visage, c'était mon premier soixante-neuf. J'ai aussitôt senti sa langue sur mon sexe et je n'ai pas eu de mal en l'agrippant par les hanches pour relever un peu la tête pour la lécher à mon tour. J'ai été la première à jouir tellement excitée par ce que nous faisions, j'ai roulée sur le côté toute tremblante elle s'est collée à moi et s'est fait jouir contre ma cuisse. Nous sommes restées longtemps comme cela. Puis elle s'est levée en me disant


- Repose toi mon amour ce soir nous serons sages, nous partons de bonne demain pour une semaine à la mer.

 

Encore une surprise de sa part, décidément mes seize resteront dans ma mémoire.

 

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Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : L'amour en famille
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Lundi 9 novembre 1 09 /11 /Nov 19:19

Les premiers gestes, les premières paroles pour créer, développer et concrétiser.

 

 

 

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Par amoursanstabou - Publié dans : photos - Communauté : Vous avez dit inceste
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Mardi 20 octobre 2 20 /10 /Oct 19:14
Par amoursanstabou - Publié dans : vidéos - Communauté : Vous avez dit inceste
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