amour sans tabou

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Jeudi 23 janvier 4 23 /01 /Jan 20:58

 

 

 

 

 

 

Chapitre 4

Je retire doucement ma main dégoulinante de son sexe et je remonte vers son visage que je couvre de petits bisous pour la calmer.

-   Ma chérie, ma chérie, calme-toi… Je t’aime.

Nous restons allongées, tendrement enlacées, sans plus bouger. Je ferme les yeux.

-    Il doit commencer à se faire tard. Il va falloir rentrer.

-    Déjà !

-     Mathieu nous attend pour le dîner. Il a voulu te préparer une spécialité pour t’accueillir.

-    Il sait toujours aussi bien cuisiner ?

-   Oui, oui, et il sait aussi plein d’autres choses !

Elle rit tout bas et reste debout, pensive, le regard perdu dans la nuit qui s’installe sur Lausanne.

Je l’interroge.

-   Tu l’aimes très fort ?

Elle reste silencieuse, puis je l’entends dire, comme pour elle-même, sur un ton à la fois rêveur et sérieux.

-   Ho oui…..c’est vraiment lui, l’homme de ma vie.

Est-ce l’effet de la pénombre ou celui de la fatigue ? Cette phrase toute simple me paraît étrange et pleine de mystère. Les yeux, soudain me piquent un peu et je prie en silence pour que son amour reste toujours vivant. Étrangement, je n’éprouve aucune jalousie. Je suis seulement heureuse que le cœur de Lise soit rempli par un si fort et si beau sentiment.

-   Allez, prépare-toi !

Je me renfrogne dans mes pensées « Pas si vite ! Pas comme ça ! Lise, ne rompt pas le charme de notre premier rendez-vous secret ! Je veux rester encore un peu, faire durer cet instant le plus longtemps possible dans cette chambre, notre première chambre d’amantes »

Elle a dû entendre mon petit recueillement, car elle reprend :

-   Ne fais pas cette tête ! On aura encore plein de moments pour nous ce week-end. Mathieu  est toujours très pris par son travail.

 

Nous arrivons en taxi devant une belle villa isolée sur le bord du lac.

Mathieu a hérité de cette maison après le décès de ses deux parents,  il y a une dizaine d’années. Mais tu sais, à l’échelle de Lausanne, notre « fortune » reste très modeste.

Ma sœur ouvre le portillon noyé dans les gigantesques troènes avec un badge électronique. Nous traversons une petite partie du jardin admirablement fleuri et subtilement éclairé, pour ouvrir la porte principale de la résidence.  J’entends une musique en sourdine, musique romantique, il me semble reconnaître une pièce de Schuman. Tout est calme, un peu de lumière filtre de la cuisine. Lise suspend nos manteaux dans l’entrée et me guide tout de suite vers ma chambre.

-   Viens, tu seras bien ici. Je suis vraiment heureuse que tu sois venue. Tu aurais dû le faire plus tôt. C’est un vrai bonheur de nous être retrouvées !

Elle vient vivement se serrer contre moi et m’embrasse à pleine bouche.

-   Arrête ! Tu es folle, ton mari !

-   Ne t’inquiète pas, il est en train de cuisiner et il est bien trop occupé pour venir.

Elle ne se lasse pas de m’embrasser mais ma nervosité m’empêche de m’abandonner. J’ai une trouille bleue que Mathieu  nous surprenne. Comprenant qu’elle n’arrivera pas à me rassurer, Lise renonce à ses caresses et m’emmène vers la cuisine d’où s’échappent de délicieuses odeurs de pâtisserie.

-   Mathieu ! On est là !

En effet, Mathieu est penché sur le four, surveillant la cuisson d’un gâteau dont l’odeur me met l’eau à la bouche. Il se redresse et nous sourit gentiment. Je croise son regard bienveillant.

-   Bonsoir ! dit-il avec un délicieux accent suisse……Nous sommes vraiment heureux que vous ayez pu venir. Lise était très impatiente de vous recevoir et moi aussi. Vous devez être fatiguée après ce voyage. Je vous ai préparé de quoi vous restaurer. J’espère que vous aimerez.

Mathieu est un homme affable, élégant et courtois,  en chemise bordeaux et pantalon à pinces. Ses cheveux châtains s’éclaircissaient aux tempes de reflets argentés qui renforçaient son charme, au moins autant que ses pattes d’oie trahissaient son naturel souriant. Il est un peu plus petit que ma sœur avec une bonne quinzaine d’années de plus. Lise se serre tendrement contre lui. J’ai un petit pincement de jalousie en la voyant si radieuse mais la bassesse de ce sentiment fugitif ne résiste pas une seconde au spectacle de son bonheur.

 C’est pourtant lui qui semble presque timide devant nous. Bref, je suis sous le charme.

-   Je suis sûre que je vais me régaler, ça sent vraiment très bon.

La cuisine est effectivement délicieuse. Mathieu nous sert un petit vin suisse très frais pour accompagner les plats. Nous nous levons pour débarrasser la table et je sens soudain toute la fatigue de la journée me tomber dessus. Lise s’en aperçoit et me propose d’aller me coucher sans plus attendre :

-   Tiens voilà des serviettes de bains et un peignoir. Bonne nuit ma chérie !

Je m’endors en pensant à elle.

 

Le soleil entrant à flots dans la chambre, me réveille.

Je m’étire, repousse la couette et m’assied au bord du lit, les cheveux en bataille. Je me traîne paresseusement vers la fenêtre. La vue sur l’arrière de la maison  est splendide, le soleil d’automne reflète sur une grande piscine me donne l’impression qu’il fait déjà très chaud à cette heure matinale. Enfin, pas si matinale que ça, il est presque midi, c’est la honte. J’avais vraiment besoin de repos ! J’enfile le peignoir de bain que Lise m’a donné hier soir, je me brosse rapidement les cheveux pour être présentable et je trouve la cuisine. Mathieu est en train de finir son petit-déjeuner. Il m’accueille d’un large sourire et me propose toutes sortes de bonnes choses pour une espèce de brunch improvisé.

Lise entre dans la cuisine :

Je me lève en la serrant dans mes bras, elle me fait une bise de chaque côté des lèvres, effleurant à peine leur commissure pour m’indiquer qu’elle aussi en voulait plus, mais pas devant Mathieu.

-    Bonjour ma chérie ! Tu as bien dormi ? Tu as vu ce temps ? C’est vraiment une journée à glander à la piscine, non ?

-    Je suis partante.

-   Alors on va se faire un super petit déjeuner ou déjeuner vu l’heure qu’il est. Comme ça, on pourra profiter de toutes l’après-midi  bien ensoleillé. Tu verras, c’est très agréable pour le bronzage !

 

 

Mathieu parti faire quelques emplettes, nous prenons notre temps pour bien déjeuner.

-   Lise, je n’ai pas de maillot de bain !

-    Moi non plus !

J’en reste muette. Elle hausse les épaules.

-   Ici, personne ne nous voit. On est libre.

-   Et Mathieu ?

-   Ne t’inquiète pas, il a l’habitude et de toute façon il a horreur des bains de soleil. Il préfère travailler à son bureau, son job lui prend beaucoup de temps.

Je suis un peu réticente, mais je me laisse finalement convaincre. De toute façon, je n’ai pas vraiment le choix.

Lorsque nous nous sommes retrouvées seules au bord de la piscine, nous nous sommes massées avec de l’ambre solaire. C’est un enchantement, le bonheur d’être là, vivante, pour quelques heures privilégiées qui rendent presque irréelle la routine consciencieuse et bornée de ma vie d’avocate fiscaliste.

Le soleil me réchauffe. Je suis bien, allongée à côté de ma sœur. Nous nous amusons à nous enduire mutuellement de lotion solaire en n’oubliant pas d’en profiter pour faire glisser nos doigts dans nos intimités les plus sensibles. Je passe ma main sur sa poitrine qui frémit sous la caresse, les yeux fermés. Elle se retourne sur le ventre,  je passe ma main luisante de lotion entre ses fesses. Je la masse doucement en y passant un peu plus de temps, et même beaucoup plus de temps qu’il n’est convenable. Elle se cambre légèrement pour faciliter mon entreprise. Au moins, voilà un petit trou du cul qui n’aura pas de coup de soleil ! Mon audace m’étonne. Je jette un coup d’œil rapide et anxieux, vers la grande baie vitrée,  Je ne sais si Mathieu est de retour ou si il est dans son bureau, il est très professionnel et bien trop absorbé par son ouvrage.      

Nous sommes à présent entièrement couvertes de lotion. La moitié du flacon a dû y passer tellement nous y avons pris de plaisir. Allongées côte à côte, nous échangeons de longs baisers sensuels, nos peaux luisantes glissent l’une sur l’autre, chaque geste fait naître des ondes de douceur amoureuse qui résonnent jusqu’au plus profond de mon être. Nos corps semblent se découvrir à nouveau comme pour la première fois. Nous prenons tout notre temps, d’ailleurs qu’est-ce que le temps ? Je ne sais plus. Le temps, ce sont des petites secondes, des petites minutes et ici il n’y a plus rien de petit, il n’y a plus que l’immensité de nos désirs et de nos vies ouvertes comme nos corps, comme nos sexes.

-   Je meurs de soif ! Tu veux boire quelque chose ? Ne bouge pas, je te rapporte un verre bien frais.

 

Toujours nue, Lise marche  souplement vers la maison et disparaît dans le salon. J’entends des rires, la voix de Mathieu. Je ne comprends pas ce qu’il dit. Ses paroles sont étouffées par la vitre. J’ai soif moi aussi et j’attends avec impatience la boisson que Lise m’a promise. Elle tarde à revenir. Mais qu’est-ce qu’elle fiche ? Je n’entends plus son rire, ni leurs voix. Tout est silencieux, juste quelques rires étouffés. Je commence à comprendre tout doucement que ma sœur et son mari doivent être en train de s’embrasser. Sûrement même que Mathieu est en train de caresser sa jolie femme nue et offerte. Et tout ça à moins de dix mètres de moi… J’en ai la gorge sèche rien que d’y penser, moi qui était déjà morte de soif ! Je déglutis pour me soulager mais mon trouble grandit. Me relevant sur les genoux, je regarde par-dessus le massif de fleurs, mais je ne vois rien. Intriguée, je passe le long du mur de la maison et m’approche en marchant à quatre pattes pour atteindre la grande porte-fenêtre. Je jette un coup d’œil rapide et découvre ma sœur chérie agenouillée devant Mathieu.

 

J’ai un mouvement instinctif de recul. Elle est en train de le sucer ! Je suis sûre que cette fichue cochonne se doutait bien que, ne la voyant pas revenir, je viendrais voir ce qui se passe. Cette découverte me bouleverse au point de m’amener les larmes aux yeux. Tremblante, je m’allonge sur le ventre, la tête contre la vitre. Je respire aussi fort que si j’avais couru un cent mètres. Je m’avance à nouveau prudemment pour mieux voir. Mon beau-frère se tient d’une main à un fauteuil et caresse les cheveux de Lise qui le suce consciencieusement. Je suis fascinée. Ma chérie a la bouche remplie par la queue dressée de son mari.

Immobile contre la vitre, allongée sur le ventre, je reste captivée par le spectacle. Lise frotte son visage tout du long de cette superbe verge gonflée de désir, glisse son nez entre les cuisses de son époux, sa langue, que je sais si douce, vient lécher les petites balles, remonter le long du sexe, lécher encore furieusement cette belle colonne de chair qu’elle déguste d’abord à petits coups de langue puis qu’elle se met à téter en arrondissant sa bouche pour l’avaler. Elle le pompe éperdument. Parfois elle l’avale complètement et je la vois s’enfoncer profondément dans sa gorge. Pour reprendre sa respiration, elle laisse échapper l’objet de son adoration qui dodeline devant son visage, luisant de salive. De sa main droite elle commence à se caresser  la poitrine et son intimité d’un geste nerveux. J’ai soudain un besoin irrépressible de me satisfaire moi aussi. Ma main se glisse sous mon ventre, vers ma fente. Je suis trempée, mes doigts s’enfoncent dans ma chatte ruisselante, mon bassin accompagne mon geste d’un mouvement de balancier. J’entends les gémissements de Lise au travers de la paroi de verre, ces gémissements que je connais si bien, ceux qu’elle pousse lorsqu’elle va jouir.

Une fraction de seconde, je croise son regard perdu, noyé dans le plaisir qui monte. Ma chérie, tu savais que j’étais là à te regarder ! Je t’aime ! Je sais qu’elle a compris que je prends du plaisir, moi aussi. Ce regard échangé me fait l’effet d’un coup de fouet et une seconde plus tard, je laisse échapper un cri étranglé. Tout explose en moi, mon ventre, ma tête. Je jouis comme une bête, nue, à plat ventre sur le carrelage, je bave tellement c’est bon. Dans un effort surhumain je me relève un peu, juste à temps pour voir le joli corps bronzé de ma sœur agité de soubresauts obscènes, comme disloqué par le plaisir. En me laissant retomber épuisée sur le sol, je pense : « On est vraiment salopes toutes les deux ! »

 

Après quelques secondes de repos, je reprends mes esprits et je me relève pour voir où ils en sont. Mathieu est nu, ses vêtements sont éparpillés en désordre sur la moquette. Je prends le temps de le regarder plus attentivement. Son corps est très agréable avec des muscles bien dessinés. Il est à la fois rond et fin, sans le ventre proéminent des hommes de son âge. Je remarque aussi deux jolies fesses bien rebondies dont la peau claire semble d’une grande douceur. Il a vraiment un joli petit cul. Il se penche vers Lise qui se calme doucement. Je la vois rire, Mathieu rit aussi, il la caresse et la fait se retourner. Ma sœur se met docilement à quatre pattes devant lui. Elle tend son cul en arrière, il semble qu’elle sache exactement ce qu’il veut d’elle, ils doivent sûrement avoir l’habitude de baiser dans cet endroit, en toute liberté. Lise jette un coup d’œil rapide et discret vers la fenêtre pour vérifier si je suis toujours à là. Son visage prend une soudaine expression de surprise ravie au moment où Mathieu l’enfile en levrette. La voici qui repart de plus belle dans le plaisir. Mathieu lui donne de longs coups de reins alternativement langoureux et brutaux. Il tient sa femme par les hanches et, lentement, il la pénètre, s’éloignant et se rapprochant d’elle. C’est superbe, je voudrais pouvoir m’approcher pour mieux voir, pour mieux sentir ce mouvement puissant qui doit faire naître dans le ventre de mon amour,  un plaisir profond. Les gémissements de Lise s’intensifient, ses cris sont plus aigus.

Ils crient très fort tous les deux maintenant. À chaque à-coup, Mathieu pousse un cri rauque, comme un grognement. Lise gémit en continu, de plus en plus fort, on dirait qu’elle pleure. Ils semblent tous les deux déchaînés, ils bougent dans tous les sens. J’ai peur que Mathieu  finisse par s’apercevoir de ma présence. Et puis j’ai envie de les laisser arriver au terme de leur accouplement dans une vraie intimité. Discrètement, je retourne vers la piscine et je me laisse aller sur la serviette de bain. Elle sent la lotion solaire. Je repense au derrière de Lise, cette jolie petite bague que j’ai si longuement enduit de lotion tout à l’heure, à cette pastille qui se dilatait si gentiment sous mes doigts. Je respire profondément pour me détendre quand j’entends Lise crier longuement, un beau cri de libération, puis c’est de nouveau le silence.

 

Chapitre 5

 

Détendue, je laisse le soleil me caresser, je ferme les yeux et somnole. Lise me ramène à la réalité en venant se serrer contre moi. Nous sommes enlacées dans un tendre désordre. En ronronnant comme une chatte, elle se blottit sur ma poitrine. Sa bouche n’a plus le même goût. Je sens  l’homme dans son baiser. Elle semble planer dans une douce euphorie. Elle écarte ses cuisses pour s’offrir de nouveau à mes caresses.

Elle chuchote.

-   C’était bon, merveilleusement bon.  Je suis tellement heureuse,  j’aime tellement quand il me prend !

-   Tu savais que je viendrais voir hein ?

Elle rit.

J’insiste, je m’échauffe en lui parlant.

-   Tu le savais hein ? Coquine, tu le savais, bougre de petite salope, que j’irais te regarder.

 Elle continue à rire les yeux fermés en s’abandonnant à mes chatouilles. Mes doigts se faufilent dans son intimité et viennent se poser sur sa chatte. Mon amour sent vraiment fort le sexe et le sperme. C’est bon qu’elle me  communique ses odeurs, les traces que son homme a laissé sur elle, en elle. Mes doigts s’enfoncent dans sa fente et glissent facilement dans son vagin encore visqueux.

Elle gémit.

-   Fais-moi jouir ma chérie, j’ai encore envie de jouir de toi. Fais-le ! Maintenant !

J’agite lentement mes quatre doigts dans son vagin, il n’y a plus que mon pouce qui n’y rentre pas. Elle gémit de bonheur et me regarde aller et venir en elle, les yeux mi-clos, concentrée sur ses sensations. Une forte odeur de sperme se dégage lorsque je me retire de son sexe. J’approche ma main gluante de mon visage pour mieux sentir. J’aime cette odeur. Je m’enfonce à nouveau avec bonheur dans son sexe ruisselant. Son plaisir commence à monter. Elle m’encourage.

-   Continue, continue, c’est trop bon, ne t’arrête surtout pas. Tu sens comme je suis trempée ? Tu aimes quand je suis pleine du jus de mon mari ?

Elle gémit de plus en plus fort, j’ai peur que Mathieu ne l’entende crier, je voudrais l’arrêter mais elle ne m’en laisse pas la possibilité. Les fesses relevées, elle se cabre pour mieux venir s’enfoncer sur ma main en criant de plus belle. Elle est magnifique dans le plaisir. Si seulement elle criait et gigotait un peu moins fort ! C’est impossible que Mathieu ne finisse pas par remarquer quelque chose. Il me semble sentir sa présence derrière moi, je suis presque sûre qu’il nous regarde. Je risque un petit coup d’œil sournois vers la maison mais il n’y a personne. Je suis pourtant convaincue qu’il était là, il y a une seconde, à nous regarder. Je me sens très mal à l’aise et je me concentre sur mes caresses pour accélérer l’orgasme de Lise. Elle arrive très vite à destination, son beau visage rougi par l’effort et l’excitation se tord dans un cri qui s’apaise dans une plainte de bonheur. Immobile, elle s’endort presque instantanément dans un abandon attendrissant.

Sa détente a été si complète qu’elle est restée devant moi les cuisses écartées, impudique. Son sexe rose et humide fait monter vers moi une forte odeur d’amour. Je porte mes doigts dans ma bouche, je goûte, c’est salé.

Si j’ai tout de suite aimé, depuis ma toute première fellation, le goût, la douceur du sexe masculin et sa raideur câline, je n’avais pas jusqu’ici d’opinion tranchée en ce qui concerne le sperme. Quelques amants s’étaient lâchés dans ma bouche sans que j’en ressentisse quoique ce soit de particulier, sinon un peu de dégoût et une vague jubilation, toute cérébrale, d’être ainsi arrosée de semence masculine. Aujourd’hui, je goûte la liqueur que son mari a répandue dans son ventre, pour la première fois, je remarque que j’aime cette saveur salée. C’est grâce à ma sœur chérie que je découvre ce plaisir et l’intimité absolue du mélange des jus de l’amour, le sirop de sa chatte et celui de Mathieu.

Tout est de nouveau silencieux. Nous nous reposons l’une contre l’autre. Je m’inquiète un peu du moment où je devrai à nouveau croiser le regard de Mathieu.  Il a entendu ?  Il a vu ? Le rouge de la honte monte à mon front quand j’entends soudain sa voix.

-   Ohé, les belles, vous aller prendre froid ! Faites attention : le soleil va bientôt nous abandonner et la température va chuter très vite.

-    D’accord, on va s’habiller !  lui crie Lise.

C’est vrai que depuis quelques minutes, la température a légèrement fraîchi. Je frissonne.

Elle s’en aperçoit.

-   Viens, dit-elle en m’entraînant,  on va s’habiller dans le cabanon.

 

J’ai à peine le temps de m’entourer d’une serviette pour couvrir ma nudité. Dans ce petit bungalow qui sert de local technique et de toilettes, il fait encore très chaud à l’intérieur. Mathieu me sourit gentiment. Je suis affreusement gênée, je ne sais toujours pas si il nous a vu.

-   Alors Julie ? Ça vous plait cette petite villégiature ?  demande-t-il avec un petit air narquois et amusé dans le regard.

 

Je bredouille vaguement un oui désemparé. Ma sœur vient à mon secours en apportant deux pulls et deux casquettes. Elle se promène devant nous, les fesses à l’air, sans aucune pudeur. Mathieu ne nous quitte pas des yeux. Je fais semblant de trouver ça très naturel et en faisant mille contorsions, j’arrive à enfiler le pull sans que ma serviette ne tombe.  Je me détends un peu et ma gêne s’estompe en voyant que Mathieu ne fait aucune remarque sur les événements qui se sont déroulé tout à l’heure. Il a peut-être réellement rien entendu du tout ? Mais son regard à l’instant semblait dire le contraire…

Abandonnant la serviette restée nouée sur mes hanches, je prends la casquette dans une main et de l’autre, je relève mes cheveux pour les rassembler en arrière. Fatalité ! Au moment précis où je prends  la casquette, ma serviette se dénoue et tombe sur le sol. Me voilà à mon tour les fesses à l’air. Lise éclate de rire.

-   Et voilà ! On est toutes les deux dans le même uniforme !

Rouge de confusion, je n’ose pas regarder notre admirateur qui n’en perd pas une miette.

-   Regarde Mathieu, insiste Lise, la jolie petite équipe que tu as !

Puis elle ajoute en passant son bras sous le mien :

-   Allez ! Ne t’en fais pas, tu es adorable. Regarde Mathieu, regarde tes deux petites vacancières. Tu veux bien être notre moniteur ?

Je commence à comprendre ce qu’elle a en tête.

-   Vous avez envie de jouer aux petites estivantes, les filles ?

-    Oui, oui ! Trépigne lise en faisant des mines de petite fille.

-   Et vous, Julie ? Vous avez envie de jouer avec nous ? me demande timidement Mathieu, d’une voix légèrement voilée.

-    Oh oui, dis oui ! Chuchote Lise à mon oreille. Fais-moi plaisir !

Je n’ai que quelques secondes pour me décider, quelques secondes pendant lesquelles se bousculent dans mon esprit toutes mes contradictions, mes craintes, mes rêves, mes hypocrisies. Tout se mélange et se trouble. Sa question est pourtant formulée d’une façon parfaitement innocente, mais je me doute bien de ce vers quoi ces jeux vont nous entraîner. De ma réponse va dépendre la suite des événements. Je sens ma sœur anxieuse à mes côtés. L’ambiance est brusquement très tendue dans la petite maisonnette où nous nous serrons. Mille pensées me traversent.  Me suis-je fait manipuler ? Ai-je vraiment envie de ce qui m’est proposé ? Et si, comme une idiote, je réponds non, aurai-je encore une autre fois dans ma vie la chance de vivre une telle situation ? En contrariant Lise, ne vais-je pas mettre en danger notre amour ? Pourtant, jamais elle n’a trompé ma confiance et je suis sûre que cette fois-ci encore, elle ne me décevra pas. Je ne veux pas non plus la décevoir. Je déglutis, je prends mon courage à deux mains et, rouge comme une pivoine, je me tourne vers Mathieu et réponds simplement, sans chercher à cacher mon émotion et ma timidité :

-    D’accord …. Je veux bien jouer avec vous !

Ma réponse détend instantanément l’ambiance de notre drôle de trio. Radieuse, Lise me prend par la taille, me fait tourner le dos à son mari et se mettant à mes côtés dans la même position, elle se cambre en m’entrainant dans son mouvement  pour lui montrer nos fesses.

-   Alors Monsieur le surveillant, comment trouvez-vous le derrière de vos deux petits scouts ?

-   Délicieux, vraiment délicieux. J’ai vraiment les plus jolis scouts du monde…

 

Elle se tortille devant lui pour l’aguicher. Encore un peu gênée au début, je m’enhardis grâce aux encouragements de ma chérie. À mon tour je m’amuse à faire ressortir mes fesses pour les mettre en valeur.

-   Tu vas devoir inspecter ton équipe !

-    Alors, dans ces conditions, tout le monde au garde à vous !  S’écrie Mathieu.

 

Nous ressortons de la cabane et nous faisons mine de défiler comme des petits soldats en marchant au pas l’une derrière l’autre. Nous arpentons le jardin de long en large, la main droite à la visière pour saluer comme il se doit notre « commandant » qui nous observe passionnément. Nous défilons devant lui, nos postérieurs à l’air. Ce petit jeu innocent me permet de garder une contenance mais je tremble d’appréhension et d’excitation devant ce qui risque de suivre. Je croise le regard brillant et rieur de Mathieu qui s’amuse beaucoup, je lui fais un petit clin d’œil coquin. Lise s’en aperçoit et en profite pour me faire un bisou dans le cou.

-   Attention mes petits soldats, pas d’indiscipline !

-   Oh non, mon bel officier, nous serons très obéissantes ! répond Lise qui, je le sens à sa voix, commence à s’échauffer.

-   Allons, allons, dit Mathieu, reprenons, une, deux, une, deux. Section halte ! Saluez ! Tournez-vous l’une vers l’autre ! À mon commandement… bisous !

Docile, un petit sourire amusé sur mes lèvres, je me tourne vers ma sœur et dépose sur sa joue un chaste baiser. Mais ce n’est pas du tout ce qu’elle a en tête. Saisissant mon visage entre ses mains pour être bien sûre que je ne me sauve pas, elle pose ses lèvres sur les miennes et m’embrasse goulûment. Je reste toute raide dans ses bras, j’hésite encore sur la conduite à tenir et je n’arrive pas à me laisser aller.

-   Commandant, mon camarade ne joue pas le jeu ! Dénonce-t-elle d’un air faussement scandalisé.

-Mais c’est très mal. Vraiment très mal, joli petit soldat. Ne savez-vous pas qu’on doit toujours obéir à son commandant ? Je crains qu’il ne nous faille vous punir…

Au mot de punition, je me sens les jambes en coton. Mon Dieu, pourvu que ça n’aille pas trop loin ! Je ne me sens pas prête, pas prête du tout pour des choses comme ça ! Je bredouille, affolée :

-    Oui, oui, je promets, j’obéirai !

-    Non, non il faut une punition ! Une punition ! Une punition !  Réclame Lise, surexcitée.

Ma gêne atteint un paroxysme. Je me sens honteuse. Je demande piteusement grâce.

-   D’accord, je vous promets que je ne recommencerai plus !

-   Bien, voilà qui est très bien. Alors embrassez votre camarade pour vous réconcilier.

 

Cette fois-ci, plus moyen de me dérober. Mon cœur battant à tout rompre, je me tourne vers mon amante qui s’offre voluptueusement à mon baiser. Nos langues se mêlent et se dégustent longuement sous le regard attentif du « commandant ». Je décide de faire comme s’il n’était pas là et je me jette toute entière dans ce baiser. Les yeux fermés, je sens bien cette fois  Mathieu s’approcher de nous, ses bras nous entourent l’une et l’autre. J’ai le vertige, sa main me caresse doucement le dos, celle de ma chérie la rejoint. Me voici enlacée par ce couple amoureux, ils me serrent contre eux, entre eux, très tendrement. Ma sœur abandonne ma bouche pour celle de son mari. Je les regarde s’embrasser, mon visage n’est qu’à quelque centimètres, j’ai très chaud d’un seul coup, je suis bouillante, comme si j’avais la fièvre. Elle s’interrompt pour m’embrasser à nouveau. Sa bouche a un goût différent. Je n’ose plus bouger, je ne sais pas ce que j’ai le droit de faire, ni même ce que j’ai envie de faire, je ne sais pas non plus très précisément ce que je ne veux pas faire, je ne sais plus rien, je ne veux plus rien savoir, je veux juste continuer, laisser les gestes s’enchaîner et me laisse guider sans résistance.

 

Mon amour goûte alternativement mes baisers et ceux de son mari. Elle pose sa main sur ma tête. En silence, soudain sérieuse, elle guide mon visage vers celui de Mathieu, elle me pousse vers lui. J’ai compris ce qu’elle veut et mon cœur bat à tout rompre lorsque je pose enfin mes lèvres sur celles de mon beau-frère. Je tremble comme une feuille,  je sens mon entrejambe qui s’inonde tandis que j’échange avec lui un premier baiser maladroit. Les mains de mes deux amis explorent mes formes, celle de Lise se glisse entre mes fesses, je l’entends chuchoter à l’oreille de Mathieu : « Chéri, elle est trempée ! » J’abandonne Mathieu pour reprendre ma respiration, elle en profite pour se jeter sur lui et l’embrasser avec voracité. Mon émotion est si forte que je tiens à peine debout et je crois bien qu’ils sont eux aussi dans le même état. Sans nous concerter, nous nous agenouillons tous les trois sur le dallage sans interrompre nos baisers.

Timide, je n’ose rien faire sans l’aide de ma sœur. Elle guide ma main jusqu’à la bosse saillante du pantalon. Encouragée par cette autorisation muette, j’en éprouve le volume d’une main légère. Lise ouvre la braguette et m’encourage à glisser ma main à l’intérieur du vêtement, me permettant ainsi de caresser cette chose virile emprisonnée dans un slip moulant. Mathieu bande merveilleusement.

Il entoure ma taille pour me serrer contre lui. Je suis toute alanguie de sentir ainsi sa puissance me ployer contre lui, il me force à me cambrer pour lui donner accès à mes seins. Ses mains soulèvent mon pull et le voici qui me pelote tout en m’embrassant à pleine bouche. J’ai l’impression que je ne vais pas tarder à mon tour à me faire « culbuter » ! Pendant ce temps, sa tendre épouse s’est occupée de le déculotter tout à fait. Nous nous concentrons toutes les deux sur le relief du slip, elle glisse une main à l’intérieur et se penche pour amener son visage à la hauteur de l’organe. Ma convoitise est telle que je ne résiste pas à l’envie de la rejoindre. Mathieu pousse un léger gémissement lorsqu’il sent nos mains se rejoindre autour de son membre. C’est un émerveillement que de le déshabiller et voir s’épanouir la verge enfin libérée. Mathieu se redresse péniblement en s’accrochant à une espèce de figurine de jardin, nous restons agenouillées devant lui, la bébête à la hauteur de nos deux visages.

Je comprends instantanément ce dont il a envie, qui est aussi très précisément ce dont j’ai très envie moi-même. À en juger par l’excitation de Lise, elle doit elle aussi avoir la même idée en tête. Agenouillées devant lui, nous échangeons un clin d’œil complice. Sa langue commence à faire sa gourmande en léchouillant cette magnifique virilité. Je suis émerveillée par la beauté de cette scène. Je m’approche encore plus près pour sentir son odeur douce et affolante, je me mets à imiter ma sœur sur cette tendre colonne de chair. Impossible de résister d’avantage à l’envie de sucer. En espérant que Lise ne m’en voudra pas de la précéder,  comme ensorcelée, je remonte vers le gland que j’avale et suce consciencieusement, avec douceur et précision pour ne pas passer pour une prude, je me fais la plus douce possible. Je sais que je suis une bonne petite suceuse à ce que l’on m’a dit. Mathieu a l’air d’apprécier et ma chérie me regarde en frottant son visage contre le mien, embrasse ma joue gonflée par la gaule de son mari, sa main droite s’agite sans discontinuer sur son entrejambe. Pendant que je reprends un peu ma respiration, elle prend ma place et se met à son tour à pomper  avec enthousiasme, sans pour autant interrompre sa masturbation. Nous passons de longues et divines minutes à nous régaler à tour de rôle. Parfois, nous échangeons un baiser. Nous partageons le même vertige, la même adoration folle de ce beau morceau.

Mais Mathieu commence à donner des signes alarmants, il grogne et gémit de plus en plus fort. Du coup, je le suce avec encore plus d’application… Il explose soudain et une première giclée chaude se répand dans ma bouche. Je garde précieusement le sperme sans le déglutir, juste pour faire durer le plaisir. Son éjaculation est si violente que son coup de reins me déséquilibre. Je bascule en arrière. Assise sur mes fesses, je regarde Lise qui le finit à la main. Elle offre son visage pour que le sperme gicle sur elle. Les yeux fermés, elle se laisse couvrir par le reste de semence  jusqu’à l’ultime goutte. Épuisé, Mathieu s’assoit sur le pavage, ma sœur se tourne vers moi et me sourit accroupie, les cuisses ouvertes, je lui retourne son sourire et ouvre ma bouche, le sperme coule sur mon menton. Le filet de sperme épais s’étire sur mon ventre.  À quatre pattes, Lise s’approche de moi. Elle fait signe à son mari :

-   Mathieu, regarde ce qu’on fait ! Tu vas adorer mon chéri.

Il se redresse pour la regarder venir m’embrasser. Sans que nous ayons eu besoin de nous concerter, ma sœur et moi, nous léchons les traces de spermes avec grands soins, nos langues se mêlent, on en rajoute encore un peu dans nos dégueulasseries en bavant pour mêler nos salives à son sperme. Parfois un filet de bave et de sperme relie nos visages. Nous le laissons complaisamment s’étirer entre nous et s’écouler sur nos seins.

Mathieu nous regarde faire avec dans les yeux le même émerveillement que celui d’un enfant devant le jouet de ses rêves.

-   Ça te plait, mon chéri, de nous voir toutes barbouillées de ta liqueur ? Allez, dis-le que ça te plait mon grand chéri de nous voir dans cet état, hein ? Tu n’es qu’un gros cochon ! Regarde bien comme on est cochonnes nous aussi !

Lise est déchaînée, je ne savais pas qu’elle pouvait aller si loin. Je n’ose rien dire mais toutes ces obscénités qui sortent de sa bouche me troublent terriblement, je l’admire d’oser dire et faire de telles choses. Moi, j’ai encore pire dans mon esprit, mais je suis bien trop timide pour pouvoir m’exprimer comme elle.

Mathieu vient s’agenouiller à nos côtés. Sa langue rejoint les nôtres dans leur petit ballet dégustatif. On fait durer le plaisir. Il est visiblement aux anges d’avoir à sa disposition deux belles femmes, les deux sœurs  si complaisantes. Son outillage est au repos mais je me promets de tout faire pour lui redonner bien vite sa vigueur. Je me sens pleine d’appétit. Après tout, ma chérie s’est déjà envoyée en l’air au moins deux fois aujourd’hui, alors que je n’ai eu droit pour l’instant en tout et pour tout qu’à une seule et misérable branlette. J’ai bien le droit de m’amuser aussi !

M’installant entre les cuisses de Mathieu, je prends sa petite zézette toute molle dans ma bouche et je commence à jouer avec elle, avec ma langue et mes doigts, je la tête avec une infinie douceur. Comme elle est toute petite à présent, ce n’est pas trop fatiguant, c’est très agréable, très doux et parfumé. Au-dessus de moi, ils continuent de s’embrasser. Après quelques minutes, je sens la vigueur de Mathieu se réveiller doucement. J’entends Lise lui dire :

-   C’est une bonne suceuse ma sœur, hein ?

-   C’est très bon, très doux, répond Mathieu d’une voix sourde.

-   Tu vas la baiser, mon chéri ? J’ai envie que tu la prennes bien à fond, mon amour. Elle t-a bien mérité je crois…. non ?

 

Sous ma langue, je sens la verge se dilater et se raidir d’avantage. Encouragée par ce résultat, je suce de plus belle en écoutant les bêtises que Lise chuchote à l’oreille de son mari.

-   Tu sais, je ne suis pas sûr d’avoir encore assez de force ! Je n’ai plus vingt ans !

-   Ne t’inquiète pas mon amour, elle a tout ce qu’il faut pour te faire raidir en quelques minutes,  je vais préparer son petit cul pour toi mon amour, pour que tu rentres en elle comme dans du beurre.

Tout en finissant sa phrase, Lise s’allonge entre mes jambes et glisse sa tête entre mes jambes. Pour lui faciliter la tâche, j’écarte largement mes cuisses sans cesser de sucer Mathieu. Sa langue se pose sur mon coquillage qui est tellement sensible et excité que je manque de jouir instantanément à son contact. Sa langue me rend folle, elle est vraiment  boulimique  aujourd’hui ! Maman ! Je suis dans tous mes états. Et j’aime ça ! J’aime ça vraiment très fort que je me sens totalement en confiance à présent, prête à m’abandonner, prête à toutes les impudeurs. Ma sœur a réussi à faire de moi une véritable dévergondée.

Mathieu se penche vers moi, m’obligeant à abandonner l’objet tant convoité. Il me relève et me fait mettre à quatre pattes sur le revêtement inconfortable pour l’évènement. Lise se tortille  afin de se mettre tête-bêche sous moi, pendant que son mari se place derrière moi,  ses doigts écartent agréablement  les lèvres de ma chatte et enfin je sens son gland dans une douceur incroyable cajoler l’entrée de ma foufoune. Ma petite chatte  qui n’a pas reçu de coup de bite depuis pas mal de temps, est ouverte bien accueillante. Lise, la tête entre mes cuisses, m’offre une vue plongeante sur son intimité. Elle est aux premières loges pour voir ce spectacle original, son mari qui me prend.   Instinctivement, je tends mon cul en arrière, en cadence avec les coups de reins de mon étalon. Je délire….Putain !  Vas-y, mon chéri ! Vas-y, baise-moi à fond. Mon Dieu ! J’avais oublié la sensation merveilleuse de cette tige de chair brûlante en moi, j’avais oublié sa douceur inouïe. La langue de Lise sur mon clito m’électrise ! Je suis incapable de lui faire quoique ce soit pour la remercier, je vois bien sa chatte qui s’agite sous mes yeux, mais trop absorbée par ce bonheur immensurable, je reste désœuvrée.   Les coups de boutoir de Mathieu sont un tel bonheur que je n’arrive pas à me concentrer, malgré tout  je prends de l’altitude, je sens Mathieu se tendre de plus en plus fort,  j’en deviens folle et Lise qui continue de plus belle, je  m’envole toujours plus haut, toujours plus fort, une chaleur intense naît dans mon ventre, très profond, ça gonfle, ça palpite, ça irradie dans tous les sens.  J’ai chaud partout ! Puis la chaleur de Mathieu se répand en moi. Je pense que je vais mourir de plaisir.  Je n’entends plus rien de ce qui se passe autour de moi et je m’effondre comme une loque, à plat ventre, enfin satisfaite, enfin rassasiée, anéantie.

 Nous titubons tous les trois jusqu’à l’intérieur de la villa où je m’écroule sur le vaste canapé en cuir fin.    

 Mon excitation est retombée et je dois faire un gros effort sur moi-même pour rester impudique. Étrangement, cette violence perverse que j’inflige à ma propre pudeur fait naître dans mon ventre un surcroît de plaisir. Nos regards avec ma sœur se trouvent, ne se quittent plus. Il me semble qu’elle lit dans mes pensées. Mathieu nous contemple, le visage ouvert, détendu, souriant.

-   Je suis le plus heureux des hommes avec deux jolies chattes comme vous.

Je n’ose pas répondre. Certains mots ne parviennent pas à franchir mes lèvres. Peut-être suis-je au bout de mes réserves d’audace.  Reprenant une position un peu moins indécente, je me redresse.

-   Tu es bien Julie ? me demande Lise. Tu n’es pas trop choquée ?

-   Je n’ai jamais fait une chose pareille et j’avoue que j’ai eu un peu peur. J’avais peur d’être gourde, de ne pas être à la hauteur.

-    Tu sais Julie, nous aussi on avait un peu peur.

-   Oui, dit Mathieu, nous ne sommes pas des habitués de ce genre de sport, j’ai toujours apprécié ta présence, admiré ta beauté, mais jamais je n’aurais pu imaginer un tel événement, je te respectais trop.  Lise et moi nous amusons parfois à fantasmer sur d’autres partenaires, mais jamais sur toi, sa sœur.  Je suis vraiment ravi.  En fait, je n’espère qu’une chose : que tu ais  envie de recommencer un jour prochain !

-   Ho oui avec grand plaisir !

-   On croirait que tu l’invites à prendre le thé.  Plaisante Lise.

 

C’est vrai que c’est assez décalé comme situation.  Je n’aurais jamais imaginé m’entendre dire si simplement : « Ta sœur et moi avons beaucoup apprécié de vous bouffer et de vous enfiler. J’espère que vous reviendrez vous faire baiser de nouveau un jour prochain. » Et moi qui répond sur le même ton : « Mais bien sûr, mais comment donc, Monsieur le Marquis, tout le plaisir était pour moi ! » Ces mondanités loufoques nous font rire tous les trois.

Nous nous décidons à remettre une petite culotte. Je suis tellement bouleversée et épuisée par tout ce qui vient de m’arriver que mes doigts tremblent et peinent à refermer les boutons de ma robe.

Lise vient gentiment m’aider à me rhabiller.

En remettant de l’ordre dans mes idées, j’éprouve un petit pincement au cœur. J’ai l’impression d’avoir franchi en quelques heures un pas géant dans ma vie sexuelle, je suis une femme heureuse de respirer, de rire et je me sens énormément plus forte.

Lise me propose de venir nous refaire une santé dans la salle de bain.

La salle de bain est superbe. Une immense baignoire assez grande pour nous accueillir tous les trois se remplit à gros bouillons. Je me doute bien de ce qui m’attend. Caro et moi glissons vite dans le bain agité comme un jacuzzi. Mathieu vient nous rejoindre. J’en profite pour le regarder d’un peu plus près. Son corps de cinquantenaire est un peu affaissé mais encore très agréable. Curieusement, moi qui me suis si souvent moquée de mes amies qui sortaient avec des « vieux », je n’éprouve aucune réticence physique à son égard. Il a apporté des petits gâteaux et des boissons rafraîchissantes. Confortablement installés, nous bavardons tranquillement.

J’imaginais qu’ils allaient m’entraîner dans une partouze débridée, mais à ma grande surprise nos bavardages suffisent à notre plaisir. Mathieu ne tente pas un geste déplacé ni aucune allusion salace.

Il a remis la pièce de Schuman que j’avais entendue à mon arrivée. Nous parlons de musique, de nos goûts respectifs, de nos enthousiasmes, de nos dégoûts. C’est une sensation nouvelle pour moi qu’une telle détente, une telle intimité avec ma sœur et mon beau-frère. Nos jambes se touchent dans l’eau, nos corps acceptent la douceur de ce contact et nous restons tous les trois enlacés, flottant dans l’eau tiède.

Mathieu sort le premier en nous annonçant qu’il va préparer le repas. Lise et moi le suivons peu après.

Ce soir-là, après le repas, je suis allée me coucher le cœur et le corps en paix. Seule, mais heureuse.

 

FIN


Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : La beauté des filles et des femmes
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Jeudi 23 janvier 4 23 /01 /Jan 20:57

 

 

 

 

 

Chapitre 3

 

Ce jour-là, Lise n’a pas trouvé la force de repartir. Elle a téléphoné à la compagnie aérienne pour annuler sa réservation et en prendre une autre pour le lendemain. Nous avons fait l’amour toute la journée, toute la soirée, et encore ensuite.

En me réveillant dans la nuit, j’ai senti sa chaleur contre moi et j’ai eu envie d’elle, envie de lui donner du plaisir. Sous mes caresses elle s’est réveillée à son tour, ronronnant sous mes câlins. J’ai glissé ma tête sous la couette et je suis descendue vers sa chagatte. Mon impudeur et mon audace étaient amplifiées par l’obscurité. Je me suis mise tête-bêche à côté d’elle, espérant qu’elle comprendrait ce dont j’avais envie. Elle n’a pas tardé à se glisser elle aussi entre mes cuisses pour me déguster le minou. Je ne savais pas qu’un  soixante-neuf  entre filles pouvait être aussi décoiffant, aussi formidable.

Je crois que j’ai joui au moins dix fois cette nuit-là. Plus je jouissais, plus elle jouissait et plus le chemin de notre plaisir devenait facile. Nous avons baisé jusqu’à l’épuisement, ne nous interrompant que lorsque nos ébats nous laissaient anéanties de bonheur. Au petit matin, cette fois-ci, c’est sans fausse pudeur que nous nous sommes jetées l’une sur l’autre. Nous connaissions désormais nos corps, nos désirs, nos points les plus sensibles. Confortablement installées l’une dans l’autre, nous nous sommes régalées de nos sexes, de nos culs.

Nous sommes endormies le nez de l’une dans la chatte de l’autre. Enfin, endormies est bien un grand mot ! Disons plutôt que nous avons somnolé quelques heures dans un état second.

Ce matin-là, ce sont deux zombies, épuisés par ces longues heures de folie et de frénésie sexuelle, qui se sont traînées jusqu’à la salle de bain. Nous sommes restées un long moment à nous savonner mutuellement sous le jet d’eau brûlante. Étroitement serrés dans la petite cabine qui n’avait pas connu telle affluence depuis bien longtemps, nos deux corps couverts de mousse glissaient doucement l’un contre l’autre. Après tant d’émotions, la chaleur apaisante de la douche a finalement eu raison de nos forces. Epuisées, nous sommes vite retournées au lit pour glisser dans un profond sommeil.

C’est la faim qui nous a fait sortir de notre torpeur. Comme il ne restait plus grand chose dans mon frigo, je suis vite descendue acheter quelques bricoles à l’épicerie du quartier. Quand je suis remontée, la valise de Lise attendait déjà dans l’entrée. J’ai détesté cette valise. Me retenant à grand peine de ne pas la démolir à coups de pieds, je décidai de la traiter par le mépris.

Elle avait mis le couvert sur la table de la cuisine. Vêtue en tout et pour tout d’une petite culotte, elle m’attendait, sagement assise devant son assiette. Suivant son exemple, je me suis aussitôt remise dans la même tenue. Deux Ève au paradis de leur intimité grignotèrent en bavardant innocemment, essayant à toutes forces d’oublier l’heure qui tournait et rapprochait inexorablement le moment du départ.

Pendant qu’elle s’habillait, il me fallut téléphoner pour lui commander un taxi.

Dans l’entrée, je l’aidai à enfiler son manteau.

-   On reste en contact.

-   Oui, bien sûr, c’est promis.

 

Nous avons échangé un long et ultime baiser passionné. Je pleurais en l’étreignant devant la porte du palier. J’ai entrouvert la porte d’un geste irréfléchi, j’avais envie qu’on nous voie, envie d’un témoin pour notre passion, j’étais tellement fière d’être devenue son amante.

-   Il faut que j’y aille maintenant. Le taxi m’attend depuis un moment, je risque d’être en retard à l’aéroport.

Après un dernier baiser, elle s’écarte vivement et la porte de l’ascenseur se referme derrière elle. Elle n’est plus qu’une ombre indécise derrière la vitre opaque, elle disparaît, elle a disparu. La porte du hall de l’immeuble claque en se refermant, le taxi démarre, le bruit de son moteur s’éloigne rapidement et s’éteint. Seule, désemparée, éperdue, je reste immobile, comme assommée.

En quelques heures, tout a changé, toute ma vie a été bouleversée, balayée par un grand vent de tempête, un vent de folie. Je suis épuisée par cette nuit de baise frénétique, par ces émotions violentes et nouvelles. La fatigue répand une détente voluptueuse dans tout mon corps, jusqu’au cœur de mes os, jusqu’au plus profond de mon ventre.

 Je me relève péniblement et je me traîne jusqu’à l’ordinateur. Mon image se reflète vaguement sur l’écran qui s’allume doucement. Je tape les premiers mots de mon premier e-mail à ma première amante.

Mon cher petit ange

Tu es partie depuis dix minutes et déjà tu me manques. J’ai faim de toi, de tes caresses, de ta douceur, de ta beauté, de ton calice. Je te veux encore contre moi, dans mes bras. Je veux sentir à nouveau la douceur de nos pointes de seins qui se caressent, jouir dans ta bouche et te sentir jouir dans la mienne. Oh ma chérie, dis-moi que toi aussi tu me veux. Reviens vite ! Écris-moi vite, mon petit ange, écris-moi !

Dans la soirée, j’avais reçu sa réponse à laquelle j’avais moi-même répondu aussitôt, fiévreusement. Depuis j’étais comme droguée. Dix fois, vingt fois par jour, même au bureau, je vérifiais si un nouveau message d’amour de ma Lise chérie ne m’attendait pas. Je n’avais plus qu’une obsession : voir son adresse dans la liste des nouveaux messages, ressentir une nouvelle fois ce choc auquel j’étais désormais accrochée comme une toxicomane à son shoot d’héroïne, un choc dans mon ventre, violent et doux, au plus intime de mon corps où naissait une intense boule de chaleur qui grandissait, m’emplissait, se transmettait à mon cœur, faisant battre mon sang dans mes tempes, rosir mon teint, gonfler ma poitrine et s’entrouvrir mes lèvres tandis que mes cuisses se serraient convulsivement sur l’émotion humide de ma fente.

Les premiers messages qui suivirent ce fameux week-end « bousculant » furent brefs, presque violents, comme des cris. Puis nous avons commencé à prendre notre temps, à explorer plus tranquillement nos désirs. Je me demandais si mes collègues n’allaient pas finir par remarquer quelque chose d’inhabituel dans mon comportement.

Je conservais précieusement tous nos échanges. Peut-être elle aussi les avait-elle conservés et les lisait-elle et relisait-elle encore en s’attardant sur les mots les plus crus et excitants, sur les images délicieusement indécentes qu’ils évoquaient dans son esprit.

J’aimais l’imaginer le feu aux joues, les yeux brillants, la chaleur grandissante de son entrejambe annonçant le doux réveil de sa chatte qui s’ouvre et se gonfle, humide, puis trempée de désir. Elle m’écrivait vouloir offrir son cul à mes regards et à mes caresses. Elle me disait qu’en lisant mes messages, elle ne pouvait s’empêcher de glisser sa main sous sa robe pour baisser sa culotte sur ses cuisses et offrir un peu de fraîcheur à sa chatte, enfoncer ses doigts dans sa chaleur moelleuse et se câliner doucement d’un doigt léger.

Ses mots m’affolaient.

Après deux semaines de cette folie, je n’y tins plus. Je décidai que je devais absolument me rendre à Lausanne auprès d’elle. Je n’avais plus que cela en tête. Je voulais, je devais prendre un train, un avion, courir vers elle, courir vers son corps aimé et aimant et la serrer dans mes bras.

Sitôt ma décision prise, tout s’organisa très vite. Elle m’attendrait le week-end suivant. Son mari serait là mais elle me promit que nous aurions du temps pour nous.

-   Viens assez tôt vendredi. Si tu arrives dans l’après-midi, nous pourrions nous retrouver dans un petit hôtel près de la gare, l’Hôtel des Carmélites.

Pour la première fois depuis longtemps, j’ai réussi à prendre une demi-journée de congé. Négligeant les dossiers urgents sur mon bureau et la cinquantaine de messages accumulés dans mes mails, je sors bien avant midi, toute excitée par la perspective de retrouver ma sœur.

Après ce départ fracassant, je passe rapidement chez Yvan, mon coiffeur attitré, qui doit me faire belle pour mon voyage. Je lui demande de me faire irrésistible. Je veux aller vers mon amour dans mes plus beaux atouts.

Yvan veut bien sûr à toute force savoir pour qui je me mets en frais avec un tel enthousiasme.

-   Monsieur votre ami va craquer quand il va vous voir si jolie.

Remarque-t-il en me raccompagnant vers la caisse.

En m’approchant de lui pour glisser un pourboire dans sa poche, je ne résiste pas au plaisir de le provoquer en lui chuchotant d’un air complice :

-   Non, non Yvan ! Pas « Monsieur » mon ami, mais tout simplement ma sœur !

Le pauvre coiffeur en reste tout désarçonné, se demandant visiblement si c’est du lard ou du cochon.

Toute excitée par ma soudaine audace, je sors du salon de coiffure le sourire aux lèvres. J’ai envie de chanter, de danser. Mes yeux doivent le dire très fort car sur le trottoir, plusieurs inconnus me saluent en souriant.

Je passe en coup de vent chez moi pour me changer. Je m’inspecte devant la glace pour m’en assurer, je me contemple avec satisfaction, je me trouve très bien et très sexy, exactement ce que je souhaitais.

Je m’installe côté fenêtre dans le calme d’un wagon de première classe qui se remplit lentement.

Calée confortablement dans mon siège, je me sens bien mais en même temps, j’éprouve un sentiment un peu bizarre. C’est bien la première fois que je m’offre un voyage de cette nature, poussée uniquement par mon désir, poussée par mon cul. Une formulation un peu brutale, mais je dois reconnaître que c’est bien mon cul qui me tenaille et me pousse irrésistiblement vers mon amante. J’en suis à la fois fière et honteuse, mais je n’ai de toute façon pas le choix. J’ai un besoin absolu du corps de Lise, de sentir ses caresses à elle sur mon corps à moi qui n’en peut plus.

 

Seize heures cinquante-deux, arrivée en gare de Lausanne. Me voici sur le trottoir devant la gare. Les autres voyageurs se précipitent du côté de la station de taxi. Un peu ahurie, je regarde autour de moi. C’était donc si simple de venir jusqu’ici, dans la ville de mon amour ?

Je sors de mon sac à main le petit plan récupéré hier sur l’internet, traverse la petite place et m’engage dans une petite rue piétonnière qui grimpe sur le coteau. Je vérifie la plaque pour m’assurer que c’est bien la bonne rue. Ma petite valise à roulettes brinqueballe sur les pavés de la rue qui monte en pente raide. Sur la façade de l’hôtel, des drapeaux flottent au vent. Au fur et à mesure que je m’approche, je sens que tous les scénarios érotiques délirants que je dressais dans le train s’évanouissent et que je ne suis pas plus sûre de moi-même que je ne le fusse à dix ans, quand j’ai passé mon audition pour la classe de danse du conservatoire.

Toute tremblante, j’entre dans l’hôtel,  je m’adresse à la réception qui joint ma sœur au téléphone:

-    Madame Wagner ? Ici la réception. Madame Duparc est ici. Entendu. À votre service.

Elle se tourne vers moi.

-   Elle vous attend dans sa chambre. Les ascenseurs sont à droite. C’est au quatrième étage.

Je passe rapidement aux toilettes, d’une part parce que j’ai une envie de pisser terrible depuis que je suis descendue du train, mais aussi et surtout pour essayer de me calmer. Je tremble de tous mes membres et mon cœur bat à tout rompre. J’ai l’impression que je vais m’évanouir ! Il faut absolument que j’arrive à reprendre mes esprits.

La porte 415 est légèrement entrouverte. Je déglutis et respire profondément avant de la pousser doucement.

La chambre surchauffée est plongée dans la pénombre, comme Lise me l’avait promis. Suivant scrupuleusement ses instructions, je referme doucement la porte et j’avance sans bruit dans la pièce. Je n’ose pas regarder vers le lit où je devine une forme allongée sous la couette. J’abandonne ma valise, ôte mon manteau, mes chaussures valsent et je commence à me déshabiller en tournant le dos au lit.

Je sens sur moi le regard de mon amante qui garde le silence. Sa présence n’en est que plus intense. J’ai l’impression d’être observée par une inconnue. Est-ce vraiment toi qui es là, ma chérie ? Et si je m’étais trompée de chambre… Respirant lentement et profondément, je m’efforce de ralentir mes gestes. Déboutonnant ma robe d’une main tremblante, je la laisse lentement glisser par terre. Mon premier strip-tease… Instinctivement, je me cambre légèrement pour faire ressortir mes fesses. Caressant mes cuisses d’un geste langoureux, je remonte mes mains sur mes hanches et tire l’élastique de ma culotte vers le haut pour faire rentrer le tissu dans la raie de mes fesses. Je tortille mes fesses de la façon la plus suggestive qui me semble possible sans basculer dans le ridicule. Avec des gestes lascifs, j’enlève lentement mes bas… J’entends la respiration de Lise qui n’en perd pas une miette… Ôtant mon soutien-gorge, je caresse avec un vrai soulagement la peau douce et fine de ma poitrine enfin libérée, voluptueuse. Ma petite culotte va bien vite rejoindre sur le tapis le reste de ma toilette et me voici nue.

La chambre est toujours silencieuse, mais dans ma tête les battements de mon cœur font un vacarme du diable. Toujours muette, j’avance vers le lit. La couette s’ouvre soudain et c’est une bouffée de douceur charnelle qui m’accueille. Je plonge dans un océan de parfum de femme, dans l’odeur de son corps amoureux, l’odeur pure et affolante de l’amour. Je me serre vivement contre ma frangine en laissant échapper un cri de bonheur. Tout mon être est avide du sien. Nous restons longuement serrées l’une contre l’autre, sans bouger, sans parler, sans respirer. Un étau se relâche dans ma poitrine, soulageant enfin l’infinie tension de mon cœur.

Mon amour est brûlante, ses mains se joignent aux miennes et les étreignent, nos fronts s’appuient l’un sur l’autre. Ses cheveux soyeux m’enveloppent d’une fine caresse odorante. Mon bonheur s’épanouit comme une fleur au soleil. Sa joue contre la mienne, infiniment douce, ses lèvres enfin posées sur les miennes, légères et miraculeuses. Et soudain notre premier baiser, un vrai baiser d’amoureuses, un vrai baiser fou qui semble ne jamais devoir cesser, l’envie de me fondre en elle. Nos langues s’enroulent, se dégustent, avides. Nous nous dévorons à pleine bouche. Enfin je suis à ma place exacte, celle précisément où je ne pouvais pas ne pas me retrouver, là où mon destin, où mon désir devaient me mener. Je suis vivante, je suis là avec ma sœur chérie.

Nous restons ainsi soudées de longues minutes. Mes yeux qui se sont accoutumés à l’obscurité croisent le regard pétillant de Lise qui me sourit. Je me blottis tendrement contre elle en soupirant :

-   J’attendais ça depuis si longtemps !

-   Et moi donc ! Je devenais folle à t’attendre dans ce lit.

Nous rions doucement en nous regardant.

-   Que tu es belle ma chérie !

Elle rit plus fort.

-   Je n’en pouvais plus ! Que tu as mis longtemps à monter depuis la réception !

-    Je suis passée aux toilettes, j’avais trop envie de faire pipi.

-   Tu aurais pu faire ici.

Elle marque un léger temps d’arrêt, puis poursuit d’une voix changée :

-   Devant moi !

Mon émotion remonte d’un cran. Je suis de nouveau troublée comme une pucelle. Me serrant contre elle, je murmure en fermant les yeux :

-   Je ferai tout ce que tu veux. Je veux tout faire, tout essayer avec toi. Je t’aime.

-    Laisse-moi te regarder.

 

Elle repousse la couette. Le lit est ferme, doux, le tissu de la couette est d’une douceur d’ange. Le confort suisse n’est pas une légende.

Je lui souffle timidement à l’oreille :

-    Regarde tout ce que tu veux, fais tout ce que tu veux avec moi, ma beauté adorée.

Penchée sur moi, je sens son visage explorer mon corps. Son souffle chatouille délicieusement ma peau. Elle respire mon parfum.

-    J’aurais aimé prendre une douche après le voyage avant de te rejoindre.

-   Je préfère sentir ton odeur. Tu sens bon. Tu sens très bon ma chérie.

Ses cheveux glissent sur mes seins. Leur caresse me fait frissonner. Ses mains s’arrondissent sur ma poitrine qu’elle masse lentement. Elle sait précisément comment faire naître et grandir mon plaisir et je me laisse aller sans réticence, je m’offre à elle, à ses caresses d’une douceur infinie, en toute confiance. Nos jambes s’emmêlent et je sens le doux renflement de sa motte se presser sur ma cuisse. Son entrejambe est encore plus chaud que le reste de son corps. Je sens le léger mouvement de bascule de son bassin qui vient appuyer sur moi pour se frotter. Instinctivement, mes hanches se mettent elles aussi à faire des petits mouvements de va-et-vient et je sens que je commence à mouiller sa cuisse. Nous sommes entraînées dans le ballet que font nos fessiers qui se pressent. Je pense bêtement : « C’est sûrement ce qu’on appelle un ballet rose ». Nos respirations s’accélèrent et j’ai l’impression de fondre lorsqu’à mon tour, je la sens tremper ma cuisse également. Nos bouches se rejoignent et nous échangeons un deuxième baiser, moins vorace mais beaucoup plus voluptueux.

Elle s’allonge sur moi et je sens le poids léger de son corps ferme. Mes mains courent sur sa peau, sur ses fesses, descendent vers son cul, vers sa chatte. Elle écarte les cuisses pour me faciliter l’accès, elle est trempée, plus trempée que moi si c’est possible. Je sens ses mains se poser sur ma fente et commencer à s’agiter doucement. Elle caresse mon clito avec une telle délicatesse que je me sens partir aussitôt, je perds tout contrôle sur mon corps. Nous nous branlons mutuellement avec une telle concentration que j’en oublie toute notion du temps. J’ai tellement accumulé de tensions depuis des jours que je me laisse surprendre par un orgasme aigu et violent. Je crie en jouissant, je jouis en criant, cabrée sur le lit et je retombe anéantie.

Après quelques secondes d’abandon, je me mets doucement à rigoler. Lise me regarde et se met à rire elle aussi et nous voilà prises toutes les deux par un fou rire irrépressible.

-   Eh bien ! me dit-elle quand nous nous calmons un peu, il était temps que tu arrives !

-   Je n’en pouvais plus ! Toutes ces semaines, ces messages que tu m’envoies, tout ça me rend dingue !

-   Que je t’envoie ? Mais tu m’en envoies aussi ! Tu ne crois pas qu’ils me font de l’effet à moi aussi ?

Je réponds en faisant mine de bouder :

-   Oui mais toi, tu as ton mari !

-   C’est vrai ! D’ailleurs, il doit me trouver très « chaude » en ce moment !

Nous rions et nous nous embrassons de nouveau. Je suis un peu calmée mais tout mon corps est d’une extrême sensibilité. Les caresses de ma sœur me transportent. Nous roulons enlacées sur le lit comme on roule sur la pente d’un pré en été, en haletant et en riant comme des enfants. Je tiens Lise sous moi, la pointe de mes seins vient doucement caresser sa poitrine. Je descends vers son ventre. Tandis qu’elle presse convulsivement son pubis contre moi, je descends encore plus bas, vers sa petite colline décorée d’une fine et douce toison brune, son petit Mont de Vénus qui ne laisse rien caché de son intimité. L’odeur de sa chatte monte vers moi. J’enfouis mon nez dans ses poils et je la respire avidement. Son pubis se tend vers moi, implorant silencieusement une caresse plus précise. Je me recule un peu et m’installe confortablement entre ses cuisses, mes lèvres à quelques millimètres de celles de son coquillage. Je veux la faire souffrir, qu’elle soit folle d’impatience de se faire bouffer, je l’agace en effleurant à peine de mes lèvres sa petite fente gonflée et ruisselante. Elle gémit.

-    Oui ! Oui ! Je t’en prie ! Viens maintenant ! Mange-moi ma chérie !

Je ne résiste plus et je me jette sur elle. Sa mouille dégouline dans ma bouche, coule sur mon menton ; ma langue, mon nez s’enfoncent en elle, avidement. Je pince ses lèvres entre les miennes et je les suce, ma langue va chercher son clitoris. Elle dégouline de plus belle sur mon menton. Mes doigts se joignent à ma langue, s’enfoncent dans son vagin moelleux. Prenant garde à ne pas la blesser avec mes ongles, j’enfonce un doigt, puis deux, puis trois. Gardant mes doigts serrés, je les fais doucement aller et venir à l’orée de sa grotte. Ils font un petit bruit mouillé et ressortent luisants de mouille. Je réalise soudain que je suis en train de baver d’excitation devant ce spectacle, comme un enfant devant une pâtisserie. Ma salive se mélange à sa mouille et j’adore enfoncer mes doigts un peu plus profondément dans cette chair sensible. Elle respire très fort, son cul s’avance, cherchant mes doigts pour venir se les enfoncer encore plus profondément. J’ajoute un quatrième doigt et c’est finalement toute ma main qui s’enfonce lentement dans son vagin. Elle pousse des petits cris et donne des coups de reins pour mieux se faire enfiler.

Elle implore que je la baise à fond.

J’hésite à lui obéir par crainte de la blesser, mais elle est déjà partie vers son plaisir. Se soulevant sur ses coudes, elle regarde d’un air affolé ma main enfoncée dans sa chatte. Il n’y a plus que mon poignet qui dépasse. Elle semble fascinée par ce spectacle, hypnotisée. Ses yeux restent mi-clos et son bassin vient peser sur ma main comme pour chercher à l’enfoncer encore. Son visage est sérieux, tendu, concentré sur son plaisir qui monte. Elle grince des dents. Puis ses cris vont crescendo jusqu’à ce qu’elle hurle son plaisir, son visage rejeté en arrière. D’un ultime coup de bassin, elle enfonce mes doigts à fond dans son ventre, se laisse retomber en arrière et éclate en sanglots, ou plutôt elle se met à rire, ou peut-être les deux à la fois.

 

 

à suivre

Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : La beauté des filles et des femmes
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Jeudi 23 janvier 4 23 /01 /Jan 20:55

 

 

 

 

 

Chapitre 2

 

Nous interrompons quelques secondes notre baiser, mais nous restons silencieuses l’une et l’autre, tendues de trop d’impatience, de trop d’anxiété. Nos lèvres se rejoignent de nouveau. Nos baisers d’abord prudents et légers se font de plus en plus sensuels. Une sorte d’avidité soudaine nous saisit. Nous voici assoiffées l’une de l’autre, prises d’un appétit féroce de goûter nos lèvres.

Je sens un goût nouveau dans ma bouche. Un goût salé. Je me recule légèrement.

Lise pleure.

Je m’affole :

-   Qu’y a-t-il ?

-    Je suis si heureuse d’être là, d’être enfin là, de t’embrasser enfin ! Je pleure de plaisir, ma chérie, je pleure de bonheur.

« Ma chérie » a-t-elle dit. Je sens ma propre émotion à son paroxysme. À mon tour, des larmes coulent sur ma joue, se mêlant aux siennes, à nos salives. Nous restons serrées l’une contre l’autre, intense moment d’émotion partagée, de bonheur vertigineux. J’attendais ce moment, sans même le savoir, depuis si longtemps !

Je suis soudain totalement hors de moi. Je me jette contre ma sœur avec frénésie. Mes mains parcourent nerveusement ses épaules. Ses caresses se font elles aussi plus violentes. Nous sanglotons en nous embrassant. Je suis complètement trempée. Je coule de partout, j’ai l’impression qu’il va bientôt y avoir une flaque sous moi. Je n’imaginais pas les caresses entre filles comme ça. Je pensais que serait moins intense, moins rude qu’avec un homme, j’imaginais des mièvreries, des câlins sans consistance. Je me rends compte qu’au contraire le chemin du plaisir s’annonce encore plus escarpé, la pente encore plus vertigineuse.

D’un mouvement, elle fait glisser le peignoir de ses épaules. Je pose ma joue sur sa rondeur soyeuse, je respire voluptueusement son odeur et caresse son épaule de mes lèvres. Je lèche doucement. Ma salive exalte son parfum. Je me régale comme jamais je ne me suis régalée. J’ignorais pouvoir ressentir une telle envie de femme. Je m’interroge. Suis-je soudain devenue homosexuelle, gouine, comme on dit ? Oh et puis, je m’en fiche, on verra bien plus tard. Pour l’instant, je ne veux qu’une chose : continuer, rester dans ses bras, respirer son odeur, goûter sa peau, ses lèvres, me laisser emporter par l’ivresse qui nous a saisies toutes les deux.

Lise me sourit. Le peignoir s’entrouvre. C’est elle qui a dénoué la ceinture pour m’encourager à de nouvelles caresses. Sa poitrine est là, offerte, tendre, lourde et ferme. Je me redresse et je lui souris largement en croisant son regard lumineux. Je lui suis tellement reconnaissante de s’offrir ainsi à mon regard, à mes caresses, à mes baisers.

Elle murmure.

-   Julie, tu n’es pas obligée de…

Je chuchote contre son oreille.

-    Tais-toi ! J’en ai envie moi aussi. Mais j’ai un peu peur. Je n’ai jamais…

-    C’est la première fois qu’une fille t’embrasse ?

-    Oui, c’est la première fois.

-   J’ai envie de toi. Julie, tu sais que tu es très attirante ?

-   Déconne pas ! Tu es mille fois plus jolie que moi.

-   C’est vrai, je suis une déesse ?

Elle rit, puis reprend.

-   Mais toi, tu as quelque chose que je n’ai pas, que je n’aurai jamais.

-   Quoi donc ?

-   Ton regard. Tes yeux sont magnifiques. Quand tu me regardes, je fonds littéralement. Et cela a toujours, toujours été comme ça ! »

J’en reste estomaquée… Mon Dieu, elle y a pensé, à l’époque… Mais pas moi !

Elle doit prendre mon silence pour autre chose, un refus peut-être, et semble vouloir changer de conversation. Elle pose sa main droite sur ma cuisse, me caresse tendrement le genou puis remonte le long de la jambe.

-   Hum, tu es toute douce. Tu t’es épilée ce matin ? Hier ?

Je la laisse faire, anxieuse et impatiente de sentir sa main arriver plus haut. Ma voix tremblante chuchote un « oui » étranglé. J’écarte légèrement les cuisses en me renversant encore un peu plus en arrière sur le canapé, les yeux fermés. De ce geste, je lui ai tout dit, je me suis livrée à elle. Lise continue à me caresser les jambes sans hâte. On la croirait calme mais je sens que sa main tremble un peu. Sa respiration frôle ma joue, son visage se penche vers moi, ses lèvres touchent les miennes. Nous nous embrassons à pleine bouche. Je n’ouvre pas les yeux, pour mieux savourer.

Sa main poursuit sa promenade vers ma culotte et ma chatte qui n’en peut plus de mouiller. Avec son autre main, elle remonte mon tee short sur mes épaules, découvrant le haut de ma poitrine. Elle se redresse devant moi. Son geste achève de faire tomber son peignoir. La voilà nue, à genoux sur le canapé. Ses seins sont à la hauteur de mon visage. Je me serre contre sa poitrine et je plonge dans un océan, je suis au paradis. J’embrasse ses seins, d’abord timidement, avec douceur et attention, puis je m’attarde sur ses mamelons que j’imagine être aussi sensibles que les miens. Mais ces petites délicatesses ne me suffisent plus et je me mets à la peloter avec force.

C’est au moment précis où je lâche enfin la bride à mon désir que sa main atteint mon pubis.

Je gémis à ce contact. Je pense si fort « prends-moi, caresse moi, baise-moi ! » qu’un « oui ! » rauque sort involontairement de ma gorge. « Oui, ma chérie, prends-moi, déshabille-moi ! Je n’ai qu’une hâte : que tu libères ma petite moule trempée qui n’espère que tes doigts. » Est-ce que je pense ou est-ce que je parle ? Je ne sais plus…

 

À califourchon sur mes genoux, elle entreprend de me déshabiller. Ma jupe troussée jusqu’au nombril laisse apparaître ma lingerie. Je me dis en moi-même que j’ai rudement bien choisi la culotte pour l’occasion.

 

Elle se recule pour m’admirer. Elle se penche en s’accroupissant devant moi, sur le tapis. Je ne me contrôle plus. J’écarte les cuisses, lui donnant libre accès à mon intimité et lui offrant une vue en gros plan de ma petite culotte légèrement transparente. Lise  s’avance jusqu’à me toucher. Je frémis des pieds à la tête en sentant la pression de son visage contre mon entrejambe. Elle respire mon odeur. Je suis tellement excitée que je suis sûre que ma mouille a dû traverser le fin tissu du sous-vêtement.

-   Hmm, dit-elle d’une voix rauque, tu sens bon !

Elle se redresse et me regarde d’un air mutin

-   Regarde le bout de mon nez ! Coquine, c’est toi qui l’as mouillé !

Je me sens rougir de confusion. Elle rit.

-    Je crois que tu as besoin d’un peu d’air, il doit faire une chaleur terrible dans cette petite culotte !

Elle se penche à nouveau mais c’est pour saisir de ses deux mains les côtés du slip. Je comprends qu’elle va me déculotter. J’ai toujours adoré cet instant délicieux où l’on peut juger de l’habileté de son partenaire. Mais cette fois-ci le partenaire est une partenaire, une fille, une femme. Les yeux fermés, renversée en arrière, je soulève mes fesses pour faciliter l’opération. J’aime cet instant précis où ma chatte est libérée, où elle peut s’épanouir à l’air libre. Je resserre mes cuisses pour permettre au vêtement de glisser plus facilement puis je reste immobile, attendant la suite avec une curiosité anxieuse. Ma sœur se penche sur ma chatte, son visage se pose sur ma motte, sur ma petite touffe soigneusement épilée. Elle prend le temps de me respirer, mes pensées courent à cent à l’heure « Imagine-toi ! Regarde-toi ! Te voilà avec une fille le nez fourré dans ta chatte. Oh Lise ma chérie, vas-y, vas-y, bouffe moi ! Je t’en prie, n’attends pas plus ! Je deviens folle. »

Ma frangine me saisit soudain par le dessous des cuisses qu’elle relève, me forçant à passer mes jambes au-dessus de ses épaules. Ce mouvement a pour deuxième effet d’écarter largement mes jambes et de placer mon sexe trempé devant son visage coloré par l’excitation.

J’explose de bonheur quand je sens enfin sa bouche sur ma fente. Je ruisselle, mon cul s’ouvre, s’offre. Je caresse doucement ses cheveux. « Oh ma chérie ! Bouffe-moi ! Vas-y bordel ! J’en peux plus ! Tu me rends dingue ! »

 

Elle promène ses lèvres sur ma vulve que je sens gonfler et qui doit être toute rouge et luisante. Lise trouve mon clitoris et le câline avec la langue. Je n’en peux vraiment plus maintenant, je saisis sa tête de mes deux mains et, en remontant mon bassin, je viens presser mon con contre son visage. Je veux qu’elle me bouffe vraiment. Sa bouche aspire mes lèvres, les pince, remonte pour téter mon clito, le mordiller. Je suis tellement excitée que je suis cambrée, tendue comme un arc, mes épaules reposant à peine sur le dossier du canapé et mes pieds poussant sur son dos pour presser du mieux possible mon cul sur le visage de ma chérie. Je me branle sur elle autant qu’elle me bouffe. Son nez, sa langue me pénètrent partout, ses doigts s’enfoncent dans mon con, m’envoyant des ondes de bonheur dans le ventre, dans le cul. Elle enfonce un doigt, puis deux, puis trois, puis quatre. « Oui, enfonce toi en moi, viens… » Je suis écartée, je veux être écartelée. Je mouille toujours plus abondamment mais ça n’a pas l’air de gêner ma chérie qui pousse de petits grognements de satisfaction en me bouffant le cul dans un clapotis obscène. Je me sens plus femelle que je ne l’ai jamais été avec un homme. Je caresse ses cheveux, ses épaules avec mes mains. Je frotte mes jambes le long de son corps comme pour l’emprisonner. Je baisse une jambe, glisse un pied entre ses cuisses et pose mon gros orteil sur sa chatte. Je sens une chaleur intense et son jus vient tremper mon pied. Je tends ma jambe pour presser fort son intimité. « Vas-y ma chérie, branle-toi sur moi. Prends ton pied avec le mien ! » Comme si elle devinait mon intention, elle resserre les cuisses et emprisonne mon pied contre son vagin. Je sens les mouvements de son bassin qui vient chercher son plaisir sur moi.

 

Nous haletons toutes les deux et je sens mon plaisir monter de plus en plus fort. Je sens soudain un doigt s’enfoncer dans mon cul. J’ai le fessier tellement trempé que mon petit trou s’ouvre docilement et l’accueille avec bonheur. J’imagine ses jolies mains si soignées, ses doigts fins et élégants s’enfoncer dans mon cul, dans mon con. Cette image, jointe au geste brutal de Lise qui, sans cesser de me bouffer, m’enfonce soudain son majeur dans le cul en le tournant, achève de m’emporter dans un orgasme irrépressible et violent.

Je m’entends pousser une série de cris aigus quand le plaisir m’emporte et explose comme un feu d’artifice dans mon ventre et dans ma tête.

Elle abandonne soudain mon pied et c’est avec sa main qu’elle me suit dans le plaisir, me rejoignant en poussant des gémissements étouffés tout en enfonçant frénétiquement son nez dans ma chatte, chacun de ses gestes démultipliant son plaisir et le mien, elle se presse de toute sa force contre mon cul, comme si elle voulait y rentrer.

Après un ultime coup de rein, je me laisse retomber, épuisée et ravie.

Nos gémissements se sont tus et nous restons immobiles, comme foudroyées. Lise est toujours entre mes jambes, le nez dans ma chatte. Je suis renversée sur le canapé, la jupe retroussée jusqu’aux aisselles, les seins à l’air, le cul à l’air. On doit faire un drôle de tableau !

Lise ouvre les yeux, sourit, recule un peu le visage. Son œil accroche mon slip posé sur le divan.

-   Wow ! Super petite culotte. Qu’est-ce que c’est mignon.

-    Tu aimes ?

-   Ouais ! J’adore ! J’en ai une autre de la même collection. »

 

Ce dialogue est complètement surréaliste après ce qui vient de se passer entre nous. Un fou rire irrésistible nous entraîne. Lise se relève, le visage trempé de mouille, elle rit comme une folle, moi aussi. Deux filles folles à lier, nues, en train de se rouler par terre de rire.

Je suis prise d’une envie de pisser frénétique.

-    Il faut… absolument… que j’aille pisser ! Arrête ! Je vais mourir de rire et je vais pisser ! J’ai trop envie !

 

Elle joue un instant à me retenir mais, comprenant que nous courons à la catastrophe, elle me lâche.

Incapable d’arrêter de rire, je cours pliée en deux vers la salle de bain. J’y arrive juste à temps. Ouf ! J’hésite à enfiler un peignoir et c’est finalement toute nue que je retourne dans le salon. Sur le canapé, une énorme tache sombre d’au moins quinze centimètres de diamètre marque l’emplacement de mes fesses. Je suis sidérée ! J’ai vraiment mouillé autant ?

Assise au pied du canapé, Lise est restée dans la position où je l’avais laissée. Elle contemple la tâche en souriant, la caresse du bout de ses doigts sublimes puis me regarde d’un air amusé.

-   Eh bien, quel joli travail ! dit-elle en faisant mine de me gronder. Tu en seras quitte pour apporter la housse au pressing.

-   Et qu’est-ce que je vais lui raconter moi, au gars du pressing ?

On rigole toutes les deux. Je l’aide à se relever.

-   Viens ma chérie, viens vite dans mon lit.

Nous courons main dans la main pour nous glisser prestement sous la couette. Nues l’une contre l’autre, rassasiées de plaisir, enfin détendues, nos corps enlacés dans la douce odeur du sexe, nous restons à savourer notre bonheur. Nous savons que notre désir va renaître et que notre plaisir sera encore plus intense. Nous sentons que quelque chose de très fort vient d’arriver. Je sais que nous allons encore rire ensemble, nous moquer gentiment l’une de l’autre en nous promettant de recommencer bientôt, et de recommencer encore et encore jusqu’au plus ultime plaisir, jusqu’à la folie… Baiser toutes les deux, jouir à en mourir et recommencer, tranquillement, sans retenue, avec toute l’impudeur de nos deux désirs jumeaux, de nos deux désirs purs de tout enjeu de domination, de toute arrière-pensée.

 

à suivre 

 

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Jeudi 23 janvier 4 23 /01 /Jan 20:48

 

 

 

 

 

Chapitre 1

Ce dimanche matin je traîne au lit. Dehors il fait gris même un peu froid. J’écoute rêveusement le CD que j’ai acheté hier, les suites pour violoncelle solo de Bach. À notre dernière rencontre, Lise m’avait offert une autre version. Lise est ma sœur ainée que je n’ai pas vue depuis si longtemps, elle m’a téléphoné la semaine passée pour m’annoncer sa visite pour aujourd’hui.

Étudiantes, nous étions tout le temps collées ensemble et jamais,  nous ne nous sommes ennuyées et encore moins disputées. Elle avait passé deux ans ici pour finir son troisième cycle, deux années… fabuleuses, et puis elle était partie à Montpellier pour finir ses études.

Quand je pense à elle, une soudaine envie de mer monte à mon esprit, le même appétit de sel cristallisé sur une peau dorée qui montait lorsque je l’écoutais me raconter ses dernières aventures avec ses princes charmants. Elle me fascinait, j’admirais son élégance, son charme, ses yeux profonds, sombres comme ses cheveux, sa peau lisse, tendue sur des rondeurs presque enfantines. En fait elle me ressemblait comme deux gouttes d’eau.

Elle doit arriver vers midi. Un coup d’œil au réveil. Mes souvenirs m’ont emmenée bien loin. À côté de moi, le plateau de mon petit-déjeuner, des miettes partout ! Le reflet dans le miroir de la table de nuit : je me vois fripée, les cheveux en bataille au milieu des draps en pagaille. Alerte rouge !

Douche, ravalement de façade, rangement de la chambre, habillage… Et pourtant, je ne suis pas une rapide dans ce domaine… mais c’est Lise qui arrive, ça mérite une exception aux (mauvaises) habitudes…

J’enfile une jupe cloche et un tee short pour être à l’aise et que j’adore, je m’installe avec un dernier café sur mon canapé, les pieds nus repliés sous ma jupe.

On sonne.

Mon cœur part à fond. Je saute du canapé, je suis soudain devant la porte. Je respire profondément. Une fraction de seconde, j’ouvre. Je ne vois d’abord que ses yeux qui m’hypnotisent instantanément.

Le temps ne passe plus. Nous restons face à face quelques longues secondes. Nous nous sourions. Trois ans, c’est long… Et puis je me jette dans ses bras, elle en fait autant. Nous nous embrassons en riant. Nous sautillons de joie sur le palier, comme des collégiennes, nous tenant les mains.

-   C’est super, c’est vraiment super.

Nous nous écartons à bout de bras pour mieux nous regarder. Les phrases fusent, se croisent, se coupent :

-   Tu es toujours superbe. 

-   Tu es encore plus belle qu’il y a trois ans. 

-   Trois ans ? Autant que ça ? J’ai l’impression qu’on s’est quittées hier. 

-   C’est vrai. J’ai l’impression qu’il ne s’est rien passé depuis que tu es partie.

Et puis le calme revient. Je me penche vers sa valise.

-   Viens ! Rentre vite ! Tu as fait bon voyage ?

De palabres en palabres, on rigole, je lui propose d’aller prendre une douche pendant que je prépare un petit casse-croute.

Les mots se bousculent dans ma bouche, elle rit gentiment :

-    Julie ! Ça fait trop de questions à la fois ! Tu es terrible ! Laisse-moi le temps de reprendre mon souffle. Avec  ce long voyage, j’ai vraiment l’impression de marcher à côté de mes pompes.

Je la laisse se diriger vers la salle de bain et je vais dans la cuisine mettre en route la machine à café. Je suis excitée comme une puce et, en même temps, je me sens pleine d’une joie tranquille en l’entendant s’activer dans la salle de bain. La douche coule.

De sentir à nouveau ma sœur dans mon appartement me donne l’impression d’être à la maison, d’être chez nos parents.

L’odeur du pain que je fais griller se répand dans l’appartement, bonne odeur d’un dimanche heureux. Je nous prépare un plateau avec des œufs brouillés, des céréales, des fruits sur une coupelle, un yaourt et je décore le plateau avec un minuscule bouquet artificiel de myosotis en papier. Je pose le tout sur la table du salon.

Puis elle arrive vêtue de mon peignoir,

-   Superbe ! Tu es superbe ! Toujours aussi superbe grande sœur.

Elle s’assied sur le canapé, je me serre tendrement contre elle.

-   Je suis tellement heureuse de te revoir. On n’aurait jamais dû attendre si longtemps !

-   C’est vrai. C’est idiot de se perdre de vue comme ça, alors qu’on s’est toujours si bien entendues.

Elle passe affectueusement son bras sur mon épaule et me tourne vers le miroir pour me regarder dans les yeux. Nous restons un instant,  silencieuses.  Je murmure :

-   C’est vraiment super que tu sois là.

Elle farfouille dans mes cheveux, en un geste protecteur. Soudain, elle se penche et me place un gros bisou qui fait « clac » sur ma joue.

L’émotion de l’avoir si près de moi me noue la gorge. Je me secoue.

-   Allez, on mange un peu,  je meure de faim.

Elle sent bon le propre, n’a pas encore mis de parfum et je sens sa douce chaleur auprès de moi. C’est comme si nous nous étions quittées la veille, comme si nous reprenions une conversation interrompue pendant seulement quelques minutes. Et pourtant nous avons tellement de choses à nous raconter…

-    Et alors, lui dis-je enfin, c’est comment le mariage ?

Elle rit.

-  Tu sais, ça a vraiment été une surprise pour moi, je ne prévoyais pas de me marier aussi vite. Et puis Denis a vraiment changé ma vie.

-   Comment il a changé dans ta vie ? Allez, vilaine cachottière, raconte-moi tout, avoue ! Hein ? Tu te souviens de l’effet que tu lui faisais ? Et moi qui ne pouvais pas dormir, à côté, à cause de vos hurlements !

Nous sommes écroulées de rire. J’ai renversé un peu de café sur mon châle en faisant la folle, j’éponge avec un torchon, elle m’aide avec une serviette en papier.

Nous reprenons notre souffle.

-   Et toi, me dit-elle, tu as quelqu’un ou tu es toujours célibataire ?

-    Je n’en ai pas encore trouvé un qui va changer ma vie hélas ! Et puis, les mecs m’énervent en ce moment !

Elle me sourit. Elle sent bon, elle est gaie, elle est contre moi. Son peignoir s’est ouvert pendant nos petits combats et je sens soudain sa cuisse nue toucher la mienne comme par inadvertance, me communiquer sa chaleur. Elle me regarde. J’ai ses deux jolis yeux rieurs plantés dans les miens.

-   Et avec une fille ? Tu as déjà essayé ?  Laisse-t-elle tomber avec naturel.

Hein ? Quoi? Je rêve ? Je me sens soudain complètement nigaude. Je pense à toute vitesse : « Non, je n’ai jamais vraiment essayé ça. Je me souviens juste de quelques jeux de touche-pipi quand j’étais petite fille, mais depuis, plus rien, ne serait-ce même qu’en pensée. » Je me sens soudain à la fois anxieuse, gênée, curieuse, impatiente et effrayée. Mais pourquoi cette question ? Qu’est-ce que ça veut dire ? Comment lui répondre ? Lise, ma grande sœur,  que me dis-tu ? J’ai peur de te répondre. J’ai peur de gâcher ce bel instant, ta cuisse contre la mienne, ton regard, cette question indiscrète posée si innocemment. Et si je me trompais ?

J’ai peur, soudain, de ce qui va peut-être, de ce qui risque de se passer. Je me sens aussi vulnérable que si j’avais dix ans. J’ai envie de fuir à toutes jambes. Lise! On a vécu ensemble pendant deux ans quand on était étudiantes. Rien, jamais ! Des hommes pour chacune ! Tant et tant d’occasion où il aurait pu se passer quelque chose, et pourtant… rien ! Nues toutes les deux, parfois ensemble dans la baignoire… et rien ! Alors pourquoi maintenant ? Que se passe-t-il ? Non ! Je suis folle ! Elle n’a rien sous-entendu, c’est moi qui m’imagine… Mon cœur bat, mes joues sont rouges, je le sais, je le sens… Mon émotion s’amplifie. Non, impossible ! Je respire profondément, je me calme un peu. Mes yeux se posent sur sa bouche, je n’entends plus le son de sa voix, je regarde ses lèvres, son sourire, ses dents, la pointe de sa langue… Je me surprends soudain à prier intérieurement : « Lise s’il te plait, continue ! Drague-moi, séduis-moi je t’en supplie… » Je ne sens plus que la chaleur de sa cuisse contre la mienne. Il me semble que plus rien n’existe que ce contact brûlant entre nos deux corps. J’ai la gorge nouée et j’ai très chaud. J’ai pendant une fraction de seconde la tentation d’en profiter pour me lever, fuir ainsi le contact troublant de sa cuisse. Mais au lieu de ça, voilà que je me laisse aller en arrière sur le dossier moelleux du canapé ! Mais qu’est-ce que je fais ? Je suis folle ou quoi ? Je m’aperçois que je n’ai fait ce mouvement que pour avoir une excuse plausible pour laisser peser d’avantage ma cuisse contre la sienne. Nos jambes sont maintenant serrées l’une contre l’autre. Ma jambe fraîchement épilée contre sa cuisse brune et ferme qui jaillit du peignoir bleu. Elle n’a pas relâché sa pression et je me laisse aller d’avantage contre elle. Mon Dieu ! Qu’est-ce que je fais, mais qu’est-ce que je fais ? Mon émotion change de nature, descend de mon visage et de ma poitrine vers le bas, vers mon ventre où je sens naître une douce chaleur au plus intime de mon corps. J’ai la bouche sèche et le cœur qui palpite. Va-t-elle le sentir ? Va-t-elle comprendre ce que je n’avais jamais moi-même compris jusqu’à cet instant ?

Et puis soudain, la panique : Si je me suis trompée, quelle horreur ! J’en mourrais de honte et de dépit.

Je voudrais trouver quelque chose à lui répondre, cessée d’avoir l’air complètement idiote, mais je crains que le son de ma voix ne me trahisse. Dans un souffle, je réussis à bredouiller :

-   Non, je n’ai jamais essayé…. Je ne sais pas si j’aimerais… Je me demande bien ce que ça me ferait…

Elle passe son bras gauche derrière moi, le pose négligemment sur le dossier du canapé. Je la sens s’appuyer légèrement contre moi. Maintenant, c’est tout son côté gauche qui s’appuie contre mon corps. À cet instant, tout pourrait encore s’interrompre et on prétendrait qu’il ne s’est rien passé d’autre que des gestes d’amitié comme le font parfois deux sœurs.

Je me sens soudain très heureuse, excitée bien sûr, mais surtout étrangement, extraordinairement vivante. Je sens la vie qui circule à toute vitesse dans mes veines. C’est le plus beau matin de ma vie. Lise est assise tout contre moi. Nous restons immobiles, soudain silencieuses. J’ai de plus en plus chaud, je laisse mon corps peser vers le sien. J’espère qu’elle sentira, qu’elle comprendra, qu’elle osera, car moi je n’oserai jamais.

Mais au fond de moi, je sais confusément qu’elle a tout compris, tout deviné depuis un moment déjà, depuis qu’elle a senti ma cuisse s’abandonner contre la sienne, qu’elle m’a senti accepter, accueillir sa présence, depuis que ce contact chaleureux irradie nos deux corps d’ondes de bonheur, depuis que ce contact s’est prolongé au-delà du convenable. Quelques secondes de trop et ce n’était plus un simple contact fortuit. C’était déjà le signe évident de mon consentement que tout mon corps, tout mon être lui envoyait passionnément. Je prie en retenant ma respiration « Oh mon Dieu, faites qu’elle ne se moque pas de moi, faites que je ne me sois pas trompée ! » Mais je sens bien qu’elle aussi a compris que nous n’avons plus qu’à cueillir ensemble le beau fruit de notre désir, pour le déguster lentement, sans précipitation.

Elle pose tendrement sa tête sur mon épaule, le nez dans mes cheveux. Je ferme les yeux et j’incline légèrement ma tête vers la sienne pour m’y appuyer à mon tour. C’est très doux. Nous restons serrées l’une contre l’autre. Sa respiration est plus courte et je la sens brûlante sur ma peau, comme la mienne, comme si nous avions la fièvre l’une et l’autre. Je sens l’odeur de son corps, son parfum de femme. Je sens sa chaleur se répandre en moi. Je fonds, ma chatte répand une douce chaleur dans mon ventre, dans tout mon corps. Je suis déjà trempée de désir. Un petit déclic se fait dans ma tête à l’idée que ma sœur aussi, doit déjà être toute mouillée. À cette seule pensée, je sens ma culotte inondée.

-   Tu sens bon, murmure-t-elle dans mon cou, tu es si douce…

-   Toi aussi !

Ma voix n’est qu’un pauvre souffle.

La musique s’est arrêtée, mais je ne voudrais pour rien au monde me lever pour changer le CD et prendre le risque de rompre le charme. Dans le calme de mon petit salon, on n’entend plus que nos respirations. Enfin, ses lèvres déposent un premier baiser dans mes cheveux, puis un deuxième. Elle a enfoui son visage dans mon cou comme pour y cacher son trouble et son ivresse. Sa bouche ne veut plus se détacher de moi. Je tourne imperceptiblement la tête vers elle. Ses lèvres touchent doucement ma joue. Je suis bouleversée, mon cœur bondit dans ma poitrine et un petit animal chaud, soyeux et dégoulinant de mouille hurle son désir dans mon ventre. Les yeux fermés, je m’abandonne dans ses bras avec un soupir de ravissement absolu. Ses lèvres glissent sur ma joue, s’approchant avec une lenteur exaspérante du coin de mes lèvres.

Nous échangeons enfin un premier baiser timide. Goût étrange et affolant du café et de la cigarette qu’elle fumait à l’instant. Je me serre contre elle et, gardant les yeux mi-clos, comme si les ouvrir et croiser son regard risquait d’interrompre cet instant délicieux, je profite discrètement du spectacle de notre tendre corps à corps. Je veux à présent qu’elle aille plus loin, que nos caresses ne s’arrêtent plus, que tout retour en arrière soit impossible, qu’aucune honte, aucun remord ni souci de bienséance ne fasse plus jamais obstacle à nos désirs, à mon désir que je sens grandir et m’entraîner irrésistiblement. Je n’entends plus que le bruit mouillé de nos baisers.

 

à suivre 

 

 

Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : La beauté des filles et des femmes
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Vendredi 19 janvier 5 19 /01 /Jan 16:55

 

 

 

 

Il y a quelques mois encore Elsa n’était une petite fille, un peu garçon manqué comme le répétait souvent mère.

Aujourd’hui c’est une demoiselle, ces formes se sont adoucies, remplies, elle a pris des courbe là où une femme doit en avoir.

Dans sa tête aussi elle a changé, elle a pris conscience de son pouvoir de séduction, de sa féminité, et elle commence à en jouer.

Si elle a encore parfois des jeux d’enfants, son espièglerie s’est transformée, ont laissé place à une fausse ingénuité purement féminine.

Plus intimement aussi, elle est maintenant une vraie femme, ses seins encore petits pointent sous son corsage.

Des poils de plus en plus nombreux parsèment ses aisselles et surtout commencent à cacher son mont de venus sous un tendre duvet qu’elle surveille chaque jour.

Aujourd’hui elle est chez des amis avec son père et sa mère. Ce couple d’amis a 2 jeunes enfants qui n’intéressent guère Elsa, aussi fait-elle de la balançoire pour occuper son temps.

Chaque jour, presque naturellement elle observe son père, s’apercevant qu’il a une persistante sur le jeu de ses jambes et surtout de ses cuisses qui l’irritent si bien que parfois elle s’attire des remontrances sévères devant son comportement incompréhensible. Un soir alors qu’il lit le journal dans le salon elle s’installe sur le pouf dans le salon. Un mouvement, en se retournant, elle voit le regard de son père qui se pose sur elle.

En se mettant sur le ventre elle s’arrange pour que sa jupe se trousse haut sur ces cuisses.

Ca marche ! Le regard de papa se pose aussitôt sur sa chair dénudée, intérieurement elle jubile. Avec un naturel purement féminin (même si elle n’en a pas conscience) elle plie les genoux et s’amuse à taper ses pieds l’un contre l’autre et dans le même temps glisse vers l’arrière. Ce mouvement découvre un peu plus ses cuisses. Son cœur bat fort, elle est troublée de ce qu’elle ose faire, et redoute la réaction de papa. Ce dernier avec une évidente mauvaise fois continu de lire tout en jetant furtivement des regards de plus en plus appuyés sur les jambes de sa fille. Le trouble d’Elsa est tel qu’elle sent sa petite chatta se mouiller. C’est la première fois que cela arrive tout seul, est c’est délicieux. Elle accentue sa pose, et la parole paternelle la refroidit instantanément “ Elsa, fait attention tu n’es plus une enfant maintenant ”. Pendant plusieurs jours elle lui en veut, le boudant effrontément sans jamais bien sur pouvoir s’expliquer. Chaque jour qui passe voit Elsa découvrir son corps et sa sexualité, souvent elle se caresse chaque soir et trouve cela délicieusement bon même si elle ne sait pas encore se donner du plaisir. Un soir alors qu’en petite culotte et nuisette elle lit à genoux sur son lit son fessier tourné vers la porte, papa entre, d’une douce claque sur ses fesses il l’averti “ fais attention à ta tenue ma chérie tu n’es plus une enfant et tu peux donner des idées.

"Mais papa c’est toi qui me vois et je suis ta fille ”.


“ Ce n’est pas une raison, même moi ça me trouble alors quelqu’un d’autre... ”.

Après avoir déposé un chaste baiser sur son front il sort et Elsa toute troublée savoure encore ses paroles et le contact de sa main sur ses fesses. Elsa est de plus en plus intéressée par son père il devient le centre de son intérêt elle essaie par tous les moyens d’attirer son attention. Chez des amis un soir alors qu’elle lit assise dans un fauteuil dans un coin du salon, éloignée du petit groupe, elle voit son papa qui la regarde et lui sourit. Heureuse d’être ainsi cajolée du regard elle s’assied en tailleur sur le fauteuil et laisse sa jupe se trousser. Quelques instants plus tard elle est heureuse de voir le regard de son papa qui plonge entre ses jambes. Elle accentue l’écartement de ses jambes. Un peu plus tard son père regarde à nouveau vers elle, vers ses jambes, puis vers elle. Il fronce les sourcils son regard allant des cuisses ouvertes à ses yeux. Elle ne cède pas au contraire dédaignant toute pudeur elle écarte un peu plus les genoux tant que les accoudoirs le lui permettent. Le pater la fixe intensément puis glisse son regard entre ses cuisses sans gène et sourit. Une heure plus tard à table Elsa est placée face à son père, elle le fixe intensément.

D’abord interloqué, il semble deviner et comme par hasard se penche sous la table pour ramasser un objet tombé. Les deux pieds posés sur le barreau de la chaise qui lui relèvent les jambes, Elsa écarte ses cuisses et s’offre effrontément aux regards de son papa. Quelques secondes plus tard il se relève et semble lui sourire d’un air complice.

Quelques jours plus tard elle réédite à la maison l’épisode du repas chez les amis, papa réagit conformément a ces souhaits elle laisse tomber son couteau, aussitôt son géniteur se penche, elle écarte ses jambes et durant un temps un peu trop long pour être réaliste il glisse son regard entre les cuisses de sa fille. Avec des variantes ces petites scènes se reproduisent plusieurs fois et une relation trouble, très équivoque se crée entre le père et la fille. Souvent les regards qu’ils échangent sont pleins de sous-entendus et les sourires qu’ils échangent en disent long sur leur complicité. Tant et si bien que Sylvie la maman un soir s’en ouvre a Gilles alors qu’ils font l’amour. Ce dernier narquois fait semblant de ne pas comprendre puis finalement joue le rôle de l’offensé


“ jalouse ”.


“ Pas du tout, mais c’est Elsa qui me surprend ”.


Silence.


“ Salaud ça t’excite, je sens que tu grossis, ça te fais bander, je suis sur que tu t’imagines en train de lui faire l’amour ”.


“ Hum!, c’est vrai que c’est excitant d’imaginer un jeune corps, nu,... ; ”.


“ Même celui de ta fille ”.


“ Pourquoi pas » ?


Vous êtes bien tous les mêmes les hommes, tous des salauds en puissance ”.


Bandé au maximum Gilles fait l’amour a sa femme doucement pour ne pas partir trop vite. Gilles insiste


“ Tu sais bien que de tout temps les hommes ont aimé les jeunes filles. ”.


“ En tous cas cela te fait du bien tu bandes un maximum et c’est moi qui en profite ”.

Un soir se produisit un incident mémorable. A genoux sur le lit, tenant Sylvie par les hanches, le regard fixé sur sa croupe majestueuse Gilles la prenait en levrette. La tête posée sur se bras repliés Sylvie gémissait à chaque fois que Gilles s’enfonçait en elle. Cette position qu’ils affectionnaient tous deux leurs procurait des plaisirs différents mais également forts. Gilles s’interrompit un court instant intrigué par un bruit. Il découvrit très vite que la porte venait de s’entrebâiller. Il reprit aussitôt ses va et vient pour ne point perturber Sylvie et le voyeur. Discrètement il voit la porte qui s’ouvre un peu plus et en contrejour une fine silhouette qu’il reconnaît bien apparaît. Sans se tourner, faisant mine de rien il ralentit ses va et vient sortant quasi complètement sa verge du ventre chaud, puis il entre à fond, et ressort lentement certain d’être vu.

Quelques minutes plus tard ils jouissent très forts tous les deux. Elle le félicite car elle a eu un superbe orgasme. Il la remercie mais sourit intérieurement de ne pouvoir expliquer pourquoi il était aussi excité. Le lendemain papa est dans la salle d’eau quand Elsa entre. Il lui fait


“ dis donc tu es drôlement curieuse toi ”.

Elle hésite a peine et le regardant au travers du grand miroir qui leur fait face réponds : « J’ai de qui tenir »

La vivacité de la réponse et la répartie le fond sourire “ 1 à 1 balle au centre, pense-t-il. Se fixant toujours au travers du miroir, ils se comprennent a demi mot, après quelques secondes de silence il avoue doucement en baissant les yeux


"Tu ne portes plus de jupe"


A ces mots le cœur de Elsa bondit elle se sent bien, heureuse.


“ Si, si bien sur je vais en remettre, pourquoi tu aimes ”.


“ Oui beaucoup, c’est plus féminin ”.


Elsa comprend si bien le sens de féminin qu’elle n’hésite même pas à lui demander: 


“ Que veux-tu que je mette dessous ”.


Aussitôt elle regrette d’être allé trop loin peut être, d’avoir brisé le mur du silence qui entourait leur secret. Levant les yeux il la fixe et ne dit rien.

Heureuse, très heureuse, comblée elle se rapproche de lui et se hissant sur la plante des pieds lui donne un rapide baiser sur le coin de la bouche


"Je t’aime papa ”

Les jours qui suivent sont merveilleux pour Elsa, la complicité qu’elle a avec son père lui plaît et elle ne manque aucune occasion de se montrer à son père, très souvent furtivement car il faut rester discrète, elle se souvient de la première fois ou elle a pu en toute impudeur et avec beaucoup de perversité se montrer. C’était dans la voiture, ils rentraient tous les trois de week-end. Depuis un bon bout de temps son père lui jetait des coups d’œil régulier dans le rétroviseur. IL fallut un certain temps avant qu’elle ne comprenne. Cachée de Sylvie par le dossier du siège avant elle s’installât confortablement. Gilles orienta le rétroviseur pour bien voir et aussi pour qu’elle même puisse entrevoir. Elle écarte les cuisses en tournant le bassin vers lui. Dans le rétroviseur elle se voit un peu son indécence et sa témérité lui font chaud au ventre.

Quand elle sent le regard de son père rivé sur la fourche ouverte et dénudé de ses cuisses elle sent une sensation bizarre, son sexe s’humidifie, c’est gênant mais vraiment délicieux. Pour la première fois elle sent le regard sur son intimité, c’est une sensation drôle et forte qui la parcoure. Un peu plus tard a la maison elle jouira avec ses doigts pour la première fois.

Le couple avait pris en location un petit appartement à la montagne pour une semaine. Chaque fois que cela était possible le père et la fille s’adonnaient a leurs plaisirs lui de voyeur elle d’exhibitionniste. De plus en plus souvent Elsa aimait se faire jouir après s’être montrée. Une fois elle eut une peur bleue. Alors qu’elle offrait à son père une vue sur ses dessous elle se rendit compte que sa mère, assise dans le prolongement de son père avait les yeux tourné vers elle. Elle referma aussitôt ses jambes. Il n’y eut aucune réaction de Sylvie ce qui la rassura. En faisant l’amour ce soir-là, Sylvie dit à Gilles :


“ Tu n’as pas remarqué que parfois Elsa prend des poses bizarres on dirait qu’elle s’exhibe qu’elle veut se montrer ”.


Pas totalement dupe du petit jeu Gilles lui réponds


“ Oui il me semble parfois qu’elle fait comme une gamine ”


“ Tu as déjà vu sa chatte ”.


Choqué et intrigué par la question Gilles s’arrête


“ Pourquoi cette question ”.


"Je ne sais pas juste comme ça, tu aimerais la voir"


"La chatte de notre fille ?”


"Oui…………Ca doit être jolie une chatte de jeune fille, et toi tu aimerais la voir"


"Je ne sais pas ça dépendrait des circonstances"

Chacun d’eux ressent les effets que cette conversation à sur l’autre mais n’ose encore le dire.


Ils font l’amour merveilleusement et jouissent très forts tous les deux.


Ils arrivent dans la station tôt le matin. Le temps est très ensoleillé et ils apprécient le spectacle de la petite ville sous la neige ainsi que la campagne environnante recouverte d’une peau blanche presque immaculée. En effet l’appartement est très petit. Une entrée ridicule qui débouche sur une pièce en L. C’est le salon coin cuisine mentionné dans la pub. Une porte donne dans une chambre ou trône un grand lit et un petit lit de camp a coté du grand lit. Biens sur les WC sont dans la salle d’eau ou il y a malgré tout une baignoire. Après s’être installés ils se baladent toute l’après-midi. Gilles va faire les courses pendant que les deux femmes installent l’appartement. Il est heureux de les retrouver riants aux éclats. Quand il veut savoir, elles se regardent d’un air complice et éclatent de rire. Pour arroser ce début de vacances il propose un apéro. Il prépare trois Whisky orange. Bien dosées tous les trois mais avec suffisamment de jus d’orange pour en cacher le goût pour les femmes. Quand les verres sont vides il remarque de suite les effets, et en ressert un “ plus léger ”. Quand ils passent à table l’ambiance est détendue. Les femmes rient pour un rien et lui se sent euphorique. Il propose juste un petit verre de rouge pour le fromage.

Sylvie fait remarquer que cela fait beaucoup d’alcool pour Elsa, mais n’insiste pas devant la réaction de cette dernière. En pyjama Gilles revient de la salle d’eau quand il voit Elsa couchée a côté de sa mère.


“ Et moi ou je me mets ! ”


Fait-il interrogateur. Sylvie le rassure en écartant les draps


"Là bien sûr, j’ai eu de la peine pour Elsa, notre lit est assez grand pour nous trois"


Ils regardent la télé posée sur une petite étagère murale face au lit Gilles en profite pour discrètement glisser sa main sous la longue chemise de nuit de Sylvie. D’abord elle tente de résister, mais très vite elle faiblit et laisse les doigts se glisser très haut entre ses cuisses. Elle s’efforce simplement de tout cacher à Elsa. Les doigts de Gilles s’activent avec talent et elle s’amollit même si ils ne peuvent être aussi efficaces que d’habitude étant donné la situation. Le souffle de Gilles lui chauffe l’oreille.

"Laisse-moi te trousser que je puisse te caresser"


Elle secoue la tête négativement, mais le plaisir la gagne et elle ne fait rien quand il trousse la chemise sous les draps.

Quelques minutes plus tard alors qu’il sent qu’elle s’amollit sous ses doigts que son sexe mouille abondamment brusquement il écarte les draps découvrant le bas du corps à demi nu de Sylvie.


« J’en ai marre je veux te voir, je veux profiter de ton corps chérie . »


Affreusement gênée Sylvie d’abord surprise tente de réagir et de rabattre les couvertures. Mais il tient bon.


« Chérie n’ai pas honte tu es très belle et puis Elsa est aussi une femme et c’est notre fille ».


Se penchant un peu au-dessus d’elle il embrasse le visage la comblant de baiser et de paroles d’amour. Il finit par lui prendre les lèvres et tout en l’embrassant goulûment la trousse de sa main. Sylvie tente de repousser le vêtement mais l’alcool aidant et devant la force de Gilles qu’elle ne peut combattre elle faiblit.


« Gilles j’ai honte, tu te rends compte, devant Elsa, non arrête, arrête s’il te plaît, s’il te plaît chéri»


« Mais chérie, il ne s’agit que de notre fille, c’est une femme comme toi, laisse toi faire ma chérie je veux profiter de toi de ton corps, je t’aime chérie, tu es très belle tu n’a pas a avoir honte je t’assure ».


Un peu rassérénée par ces douces paroles chuchotées Sylvie se laisse convaincre et se laisse trousser. Elle tourne la tête vers sa fille comme pour avoir un soutient. Cette dernière lui sourit gentiment. Gilles entreprends alors de lui trousser la chemise de nuit, mais il lui faut l’occuper pour qu’elle le laisse agir alors il l’embrasse avec fougue.

Bientôt Sylvie à sa chemise de nuit boudinée au-dessus de ses seins, Gilles la caresse d’une main douce, frôlant sa peau, elle lui sourit se laissant faire. Il devine dans son regard qu’il ne peut s’attarder sur certaines zones ce qui risque de la gêner. Doucement tout en la caressant légèrement il la flatte en paroles, s’extasiant sur la beauté de son corps la chaleur de sa peau le grain fin de son épiderme.

Souriante, les yeux dans les siens elle se détend s’amollissant lentement aux caresses. Maintenant il lui chuchote des choses tout contre son visage. Elle sourit, ses caresses se font plus précises, il s’attarde un peu plus vers les seins, descend un peu plus bas jusqu'à frôler les poils de son pubis. Plus il parle près plus il devient audacieux, maintenant il pelote les seins s’amusant avec les tétons durcis, puis il descend poser sa main sur les poils soyeux Quand ses lèvres se posent sur celles de Sylvie, Elsa voit la main de son père presser fermement le sexe de sa maman, elle devine un doigt qui se crochète et semble s’enfoncer, alors que les cuisses s’écartent légèrement. Pendant quelques secondes les doigts de son père fourragent dans les poils de Sylvie qui semble apprécier, vu les mouvements légers de son bassin puis il s’écarte retirant ses doigts.


« Chérie retire ta chemise elle te gène et elle me gêne »


« Mais... . »


« Non, tu ne vas pas recommencer »


Et autoritairement il commence a vouloir faire glisser le vêtement par dessus sa tête. Sylvie ne proteste plus et l’aide. Très vite elle se retrouve nue. Gilles la couve du regard et prend plaisir à regarder son corps.


« Comme tu es belle ma chérie, tu es vraiment belle, n’est-ce pas Elsa »


« Oui papa, maman est très belle, oui très belle »


Sylvie d’abord choquée par ce rappel de l’existence d’une tierce personne, apprécie le compliment. Gilles reprend ses caresses du corps de son épouse mais cette fois il est un peu plus audacieux. En premier il s’attarde sur les seins les pelotant franchement, les malaxant, titillant les tétons dardés, les embrassants parfois. Sa main descend sur le ventre glisse sur la peau douce sous le nombril et se pose doucement sur le pubis. Elsa ne voit pas très bien mais devine qu’il s’amuse avec les lèvres qu’elle pressent gonflées comme le sont les siennes. Quand il pose sa bouche sur celle de Sylvie ses doigts en bas deviennent plus curieux, plus agiles, Elsa les voit disparaître alors que Sylvie écarte un peu les cuisses en grognant. Alors qu’il va plus loin glissant sa main entre les cuisses écartées pour aller vers l’arrière, Sylvie grogne un “ non ” étouffé et resserre aussitôt les cuisses. Maintenant Sylvie se laisse aller, les jambes écartées, elle geint sous les caresses de Gilles qui s’écarte d’elle pour l’admirer.

Le souffle court soulève la poitrine aux tétons tendus de désir. Il la noie de paroles douces et aimables puis dit tendrement à sa fille :


« Touche Elsa, touche la peau de ta maman comme elle est douce »


Il prend la main de sa fille et la pose d’autorité sur le nombril. Sylvie à un frisson a ce contact, elle semble réticente au regard qu’elle jette a Gilles mais ne dit rien. Il promène la main d’Elsa sur la peau douce et chaude, d’abord sur les zones les plus inoffensives, puis peu à peu.


« Touche sa poitrine comme elle est chaude, touche »


Conduite par la main de son père Elsa se prête avec plaisir au jeu et sa main apprécie le contact avec les seins, les aréoles et surtout les tétons dont le contact fait frissonner Sylvie. Bientôt la main de sa fille officie toute seule sans que Sylvie ne s’offusque. Gilles serrant fort dans sa main celle de Sylvie qui lui sourit amoureusement, il se baisse pour l’embrasser a pleine bouche en lui disant doucement quelque “ je t’aime ”. Il s’écarte à nouveau puis se penche pour déposer un doux baiser sur le nombril de sa femme.


« Tu devrais l’embrasser sa peau a une saveur particulière »


Sylvie se laisse prendre au jeu et ne réagis pas de suite quand les lèvres de sa fille se posent sur sa peau. Après c’est trop tard, les lèvres de la jeune fille bougent sur son corps.


« Embrasse-lui les seins ».


« Gilles non, non pas ça, non Gilles.... »


Mais elle ne fait rien pour empêcher sa fille et quand doucement les lèvres d’Elsa embrassent pour la première fois la rondeur d’un de ses seins elle murmure :


« Non, j’ai honte, j’ai honte »


Gilles se penche contre elle la rassure par des mots doux alors que Elsa continue de baiser ses seins. Quand elle prend un téton entre ses lèvres pour le sucer Sylvie veut écarter sa tête avec la main, mais il réagit plus vite et retient son mouvement, alors elle ferme les yeux et l’on voit son corps s’arquer légèrement sous la caresse. Elle ferme les yeux et goutte son plaisir. Quand elle rouvre les yeux elle fixe Gilles d’un regard plein de plaisir et interrogateur tout en serrant très fort sa main. Il la rassure du regard et tout en la regardant dit


« Laisse toi aller, c’est si doux »


Les lèvres d’Elsa parcourent le pourtour des seins de doux et furtifs baisers. Doucement Gilles se penche vers son épouse.


« Tu aimes »



Elle acquiesce en clignant des paupières, il lui chuchote très doucement :


« Laisse-toi faire ma chérie »


Puis il l’embrasse amoureusement. Elle se donne au baiser pleinement, complètement. De sa main en aveugle il cherche puis trouve la nuque de sa fille et doucement il la guide plus bas vers le nombril puis plus bas encore. Sylvie s’agite un peu quand elle sent les lèvres qui effleurent ses poils mais il accentue son baiser désarmant toute envie de réaction. Sylvie se fige alors que les lèvres dElsa baisent ses poils, juste au dessus du sexe. Elle donne un coup de reins et grogne quand elle sent les lèvres de sa fille qui se posent sur son vagin. Gilles la maintient immobile sous le poids de son baiser et il la sent se figer un court instant puis mollir et enfin ronronner de plaisir. Gilles devine aux réactions de Sylvie que Elsa l’embrasse et la lèche doucement. Dans les cheveux de sa fille sa main donne une dernière caresse et monte se poser sur un sein de Sylvie. Les secondes qui passent sont douces pour les trois, il quitte enfin les lèvres de sa chérie pour la regarder de près réagir et gémir sous les caresses de leur fille.

Il s’écarte un peu plus pour pouvoir regarder sa fille penchée au dessus du bas ventre qui lèche et embrasse avec application. Sylvie a les cuisses franchement écartées et parfois donne des petits coups de reins pleins de désir. Le spectacle est merveilleux il en jouit pleinement même s’il ne s’agit pas de son plaisir.

Toute imprégnée d’une odeur âcre et forte, Elsa lèche pour la première fois une chatte comme la sienne qui est de surcroit celle de sa mère.

L’odeur ne lui est pas inconnue ni le goût elle aime. Elle découvre les plis et replis de son sexe au travers de celui de sa maman. Elle découvre les zones sensibles, les lèvres grasses juteuses, elle reconnaît sous sa langue le petit bout sensible tout en haut caché dans les replis et qui grossit quand on le sollicite.

Gilles est heureux, Sylvie va jouir grâce à sa fille.

Les mains de Sylvie se posent dans les cheveux de sa fille, ses jambes s’écartent au maximum, ses reins se soulèvent, elle gère la manœuvre, elle guide Elsa, son bassin est presque entièrement soulevé, elle écrase le visage sur son pubis, elle grogne.


« Elsa, Elsa chérie, c’est délicieux, c’est merveilleux, ça vient, ça vient, oui, ouiiiii.... »


L’orgasme la déchire, des spasmes l’agitent elle crie son plaisir, plusieurs fois puis retombe sur sa poitrine se soulevant au rythme de sa respiration. Les derniers coups de langue de la jeune fille lui arrachent des spasmes incontrôlés.

Elle ferme les yeux reprenant son souffle. Quelques instants plus tard elle est heureuse quand elle sent son homme qui s’installe au-dessus d’elle et qu’elle sent battre contre son flan la verge qui va la pénétrer.

Ils prennent le petit déjeuner silencieusement, laissant Elsa endormie. Au retour des courses, Elsa déjeune, ils l'embrassent et la vie reprend son cours. Gilles les invite au restaurant pour le repas du soir. Les femmes se mettent belles Elsa porte un pull moulant sur une jupe très courte et des cuissardes qui lui donnent cette attitude provocante que savent avoir les adolescentes.

Ses petites fesses superbement mises en valeur par la jupe étroite attirent le regard de Gilles. Sylvie elle, porte un superbe ensemble, jupe et tailleur assortis. Sa jupe au dessus du genou moule ses formes épanouies. L’attraction qui en émane diffère de celle que présente Elsa mais le charme tranquille et mûre qu’elle recèle n’est pas sans saveur. A table Gilles leur fait face. Le repas est très agréable et l’ambiance à la fois intime et chaleureuse. Gilles s’attache à les servir à boire suffisamment, en fin de repas ces dames rient pour un oui ou pour un non. Il est heureux de cette connivence, même si parfois dans les petits secrets qu’elles échangent au creux de l’oreille il a l’impression d’être le responsable involontaire de leur hilarité. Le dessert vient d’être servi, Gilles profite de l’instant de calme pour poser ses mains sur chaque mains des femmes et dire :


« Je suis un père très heureux, c’est super, hier soir c’était vraiment un moment merveilleux, j’ai beaucoup aimé, ... et vous ».


Elsa baisse la tête et regarde furtivement son père par en dessous et jette des coups d’œil inquiets vers sa maman. Celle-ci rosit puis rougi franchement et veut répliquer en bégayant


« Tu,... Tu .... ça n’aurais pas dû exister, n’en parlons plus ».


« Mais chérie tu ne pas dire ça, tu as bien pris ton plaisir, tu ne peux pas dire le contraire »


Il regarde Elsa comme pour chercher son appui.


« Tu me fais honte chéri, tu me fais faire des choses, .... Des choses ...affreuses »


Gilles l’interrompt


« Ne dis pas ça ma chérie, tu exagères, hier soir tu étais vraiment heureuse et tu as trouvé beaucoup de plaisir que tu refuses de reconnaître aujourd’hui »


N’osant croiser le regard de Gilles elle bafouille puis soudain s’interrompt. Un serveur porte une bouteille de Champagne trois coupes et des sablés. Devant la surprise des femmes alors que le serveur dépose une coupe devant chacune d’elle :


« C’est pour arroser nos vacances et (fixant Sylvie) hier soir »


Quelques instants plus tard ils lèvent leurs verres et trinquent joyeusement.


« A nos vacances, a hier soir"


Elsa répète doucement, Sylvie hésite, Gilles lui sourit gentiment, Elsa la regarde tendrement, finalement un sourire éclaire son visage et elle répète a son tour la phrase. Pendant qu’elles boivent.

A la sortie du restaurant ils marchent pour regagner la voiture, il les prends ensemble une sous chaque bras. Ils font ainsi quelques pas en riant. Il se penche vers

Sylvie pour l’embrasser sur la bouche, pendant que son autre main pelote un sein de sa fille, quelques secondes plus tard, naturellement il se penche vers Elsa qu’il embrasse sur la bouche alors que sa main pelote un sein de Sylvie. Elsa en reste toute retournée et pendant quelques secondes n’est plus vraiment avec eux. L’ambiance est détendue ils rient de tout et de rien. En démarrant, d’un coup d’œil dans le rétro Gilles croise le regard interrogateur de sa fille, il y répond par un large sourire.

Durant tout le trajet au travers d’œillades discrètes il s’aperçoit qu’Elsa est un peu perturbée. Une fois dans le petit appartement après s’être débarrassé de leurs manteaux Gilles demande a Sylvie de préparer un café, les femmes choisissent une infusion. Pendant que dans le petit coin cuisine Sylvie s’affaire Gilles se laisse aller dans un fauteuil face à Elsa qui s’assied dans le petit canapé. Il la regarde, interrogateur et malicieux, elle semble chercher la signification de ce regard puis sans gêne elle croise haut ses jambes. Sans fausse honte il laisse glisser son regard sur les cuisses très largement dénudées au-dessus des cuissardes. L’ensemble est des plus érotique, il la remercie d’un sourire radieux et complice. Il parle du lendemain pour meubler le silence gênant qui s’installe dans leur intimité muette.


« Je veux vous emmener au lac bleu , on peut faire une partie du trajet en voiture, mais il faut finir en raquette. C’est magnifique en cette saison, on risque de ne pas rencontrer trop de monde ; par contre il faut s’équiper ; bonnet de neige, lunettes de soleil – indispensables, gants et eau plus nourriture si on veut piqueniquer »


Tout en parlant, son intérêt pour les cuisses dénudées de sa fille ne se dément pas, il faut l’arrivée de Sylvie précédée d’un plateau pour que son regard cherche un autre centre d’intérêt. Cette dernière marque un temps d’arrêt devant le retroussis de sa fille mais très vite se reprend et dépose le plateau sur la petite table basse.

La conversation reprend sur la sortie du lendemain. Il s’installent dans une phase de pré-préparation, l’enthousiasme est général, l’ambiance détendue, les filles s’esclaffent pour un rien. Gilles remarque simplement que Sylvie se montre aussi, les jambes relativement écartées, la jupe du tailleur troussée presque au niveau des bas. Il la contemple sans fausse pudeur, et en croisant son regard moqueur il voit qu’il ne s’agit pas de hasard. Ils rient beaucoup imaginant comme une aventure leur sortie de demain, une ou deux fois il leur fait signe de faire attention à être moins bruyantes, c’est sans espoir, Sylvie assaillie par une crise de fou rire est carrément pliée en deux. Sa main est posée sur la cuisse dénudée d’Elsa, son autre main se porte vers son entre jambe en même temps qu’elle resserre les cuisses. Elle veut se figer dans une attitude sérieuse, mais ce qui lui arrive est trop fort et ajoute a son hilarité. Tout contre l’oreille dElsa elle murmure


« J’en pisse dans ma culotte »


Puis repart d’un éclat de rire incontrôlé, quelques secondes elle se fige pour se calmer, mais presque aussitôt elle pousse sa main vers son bas ventre en serrant les jambes et ne peux retenir un éclat de rire aussi beau et violent qu’incontrôlable. Quelques secondes plus tard calmée elle s’avachit contre le dossier du canapé et reprend son souffle guettant sur le visage de ses voisins un sourire compatissant. Gilles s’agenouille a ses pieds et en posant ses mains sur ses genoux pour les écarter :


« Donne-moi ta culotte que je vois »


« Gilles, non mais tu rigoles, tu n’y penses pas »


« Bien sûr que si que je veux voir ça, aller laisse toi faire »


Il force les jambes de sa femme à rester écartées et essai d’avancer sur les cuisses. Sylvie de sa main sur le poignet de Gilles veut l’arrêter, mais le fou rire semble la reprendre et elle mollit. Son autre main est toujours posée sur la cuisse nue d’Elsa, elle se tourne vers cette dernière et semble implorer son avis. La main d’Elsa se pose doucement sur la sienne et souriante lui dit :


« Laisse toi faire ça te calmera »


Sans quitter sa fille des yeux Sylvie a un léger mouvement des reins quand elle sent les mains de Gilles qui cherchent l’élastique de sa culotte. Quelques secondes de plus et leurs regards convergent vers les genoux de Sylvie ou les mains de Gilles réapparaissent tenant le trophée. Vite très vite il le lui quitte en lui faisant soulever les deux jambes puis il porte la petite pièce de tissu sous ses narines, hume avec plaisir et écartant les doigts vérifie la présence d’une large auréole mouillée en son centre. Sylvie le fixe muette et totalement sidérée incapable de réagir, maintenant il tend le tissus a sa fille « goutte » Elsa presse avec beaucoup de plaisir le tissus contre ses lèvres et son nez.

Gilles a glissé a nouveau ses mains sous la jupe de Sylvie et les fait remonter en écartant le tissus. Quand elle s’aperçoit qu’il la dénude elle veut réagir et tirer sa jupe vers le bas il résiste et la persuade de se laisser faire :


« Chérie, fais voir tu dois être toute mouillée on va t’essuyer, aller fais-moi voir »


Gilles cherche d’abord à la dénuder ses mains progressent lentement sur les chairs tendres de l’intérieur des cuisses. Il s’évertue à trousser la jupe au fur et a mesure de sa progression. Le regard de Sylvie toujours fixé sur le visage de sa fille qui s’imprègne littéralement des odeurs de la culotte, elle ne réalise son état que lorsque Gilles l’attrape par les fesses et la force a s’avancer, a s’avachir dans le canapé.


« Chéri je suis toute nue, arrête, arrête... »


La maintenant par une pression sur ses épaules, elle ne se défend que mollement puis se laisse aller.


« Elsa va te sécher avec sa langue, avec sa bouche, doucement gentiment, très gentiment »


Tout en disant cela il sort de l’écartement de ses jambes dans lequel il était, et continu sans effort de l’immobiliser pendant que la jeune fille s’agenouille a sa place entre les jambes nues de sa maman.

La main dans les cheveux de sa fille il conduit son visage vers l’entre jambe chaud de son épouse qui a comme un frisson de plaisir, son souffle se ralenti.

La main de Gilles quitte les cheveux de sa fille et vient prendre celle de

Sylvie qu’il pose à la place de la sienne. Doucement il s’écarte légèrement des deux femmes. Sylvie respire lentement, elle regarde

Sa fille dont la tête entre ses jambes surplombe son pubis. Elsa lui sourit et semble attendre. Les yeux de Sylvie se ferment un peu, elle se laisse glisser un peu plus dans le canapé et en ouvrant un peu plus les cuisses s’offre a Elsa dont la tête, poussée avec douceur, descend lentement dans la fourche odorante de ses cuisses. Elle frissonne dès le premier baiser et gémit doucement quand la langue chaude parcours ses poils récupérant ses gouttes dorées. Elsa s’applique et semble avoir plaisir a lécher les lèvres gonflées puis les poils mouillés de sa mère. Elle passe partout, revient, insiste, s’attarde et semble vouloir ne laisser aucune trace du pipi de Sylvie. Cette dernière, geint doucement et se donne sans retenue. Gilles est heureux du spectacle qui lui est donné de voir, la tête de sa fille entre les cuisses de sa maman, et de voir ainsi les deux femmes heureuses de s’aimer.

Maintenant Sylvie est totalement avachie, les jambes ouvertes elle se laisse aller. Les mains d’Elsa l’aident a ouvrir les pétales du minou pour y glisser sa langue.


« Oui, Oui, comme ça,... comme ça c’est bon, c’est bon,........ C’est délicieux, oui, oui encore »


La jeune fille récupère les sucs de chaque recoin qu’elle explore et monte agacer le petit bouton pour s’amuser à tirer un maximum de frisson à sa mère. Gilles regarde d’un œil concupiscent intéressé par la croupe jeune et vierge qui s’agite sous ses yeux et dont le court vêtement laisse entrevoir des paysages sublimes. Le spectacle le fascine et commence à l’exciter sérieusement.

Sylvie râle et remercie son amante du plaisir qu’elle reçoit, les yeux clos la bouche entre ouverte elle est toute attentive aux caresses qui la font vivre.


« Oui comme ça, continue, c’est délicieux, oui je vais t’en donner, hein, dis-moi que tu veux bien que je t’en donne, dis le moi, j’ai envie, j’ai vraiment envie, j’aimerais tant t’en donner, dis-moi, tu en veux »


La jeune fille ne réagit pas encore a ces propos, Gilles, lui aussi est attentif, il espère, mais il ne sait pas comment Elsa va réagir. Sylvie semble se parler toute seule, s’exciter de paroles enivrantes.


« Oui ma chérie, ahhhh, ahhh, comme c’est bon, oui, oui continue,.... j’aime...... Prépare toi ma chérie, prépare toi, ça vient, je vais t’en donner, hein, dis-moi que tu en veux, dis moi que tu attends que je t’en donne »


Elsa lèche avec un plaisir évident, parfois elle enfonce la langue dans le vagin ruisselant, parfois elle lisse les poils du pubis de grands coups de langue, parfois elle excite le clitoris. Gilles qui sent venir la crise chez Sylvie ne sait trop comment faire et comment réagir rapport a Elsa.


« C’est là ma chérie, c’est là je le sens, tu es prête chérie, viens, viens vite, vite.... la, ... la oui comme ça »


Sylvie des deux mains presse la tête de sa fille sur sa chatte. Celle-ci plaque sa bouche ouverte sur le sexe chaud de sa maîtresse.


« Chérie, chérie c’est là, c’est là , oui,.... oui, ... oui, bois moi ma chérie, bois, bois, ahhh,.... ahhh ,oui, oui..... »


Le souffle court Gilles observe la scène, il voit les muscles du ventre de Sylvie qui se contractent pour aider à l’expulsion, il voit sa gamine qui appuie sa bouche sur l’abricot, et déglutit, une, deux, trois fois en prenant soin de ne pas bouger. Le ventre de Sylvie bouge vite sous la respiration saccadée, Elsa aspire de l’air par une commissure.

Le jet fuse par la commissure et va mouiller les poils pour glisser entre les fesses, Elsa a refermé le passage et à nouveau recueille le jet dorée. Elle déglutit par deux fois avant de s’écarter pour reprendre son souffle. Maintenant elle lèche doucement les lèvres humides puis passe doucement dans les poils où perle par endroit la rosée dorée de sa maman. Cette dernière gémit doucement sous ces petits coups de langues furtifs et délicieusement chauds. La langue se glisse entre les pétales et s’enfonce toute entière provoquant un frisson suivi d’un râle de Sylvie. Son souffle est court, de petits coups de reins jettent son sexe vers le visage juvénile. Elsa sourit des réactions qu’elle provoque s’amusant du désir de sa mère l’obligeant à se confier, à reconnaître son désir.

« Ma chérie, tu es délicieuse, ma fille chérie, ahhh comme tu es bonne, comme c’est bon, ahhh ouiiii, encore, encooore »


Elle saisit la nuque avec ses mains et la plaque fermement sur son pubis qu’elle frotte contre le visage de son enfant et très vite elle ne peut retenir son plaisir qu’elle crie. Gilles voit sa fille courbée entre les cuisses de sa femme, la croupe de jeune pubère, saillante et bien dessinée par la courte jupe moulante, les cuisses a la peau fine jeune donc douce qu’il devine chaude et excitante, il en est tout retourné tout tourneboulé, sa verge lui fait mal. Déjà Elsa par ses léchouilles continues, agace sa mère qui geint et va crier son plaisir pour la seconde fois.

Gilles se penche tout contre le visage de sa fille, les odeurs qu’il découvre sont merveilleuses de suavité et de désir, dit doucement a son oreille :


« Met lui un doigt dan le cul elle aime ça »


Sans arrêter ses mouvements de langue et avec un naturel instinctif, elle plonge son index dans le vagin onctueux puis elle l’insère entre les fesses.


« Non, nooon,... noooon »


Dit Sylvie en soulevant légèrement les fesses ( on ne sait si c’est pour se soustraire a l’intromission ou pour la faciliter) elle gémit de plus en plus vite puis s’écroule et jouit une troisième fois avec des spasmes violents qui jettent son sexe contre le visage de la jeunette . Quelques secondes plus tard elle se lève prestement, écarte Elsa de la main :


« Excusez-moi je reviens »


Alors qu’elle referme la porte des toilettes derrière elle Gilles regarde sa fille qui quitte sa position à genoux pour s’asseoir sur le canapé, il la détaille et esquisse un léger sourire auquel elle répond. Il la trouve très perverse et précoce. Doucement il pose ses doigts sur le pourtour de sa bouche pour récupérer les sucs encore visibles de Sylvie.

Il lui sourit, elle le lui rend, ouvre la bouche pour parler quand l’ouverture d’une porte l’interrompt, Sylvie les rejoint et reprends sa place sur le canapé, maintenant elle se trouve entre son mari et sa fille. Silence. Il est très difficile de parler après ce qui vient de se passer, lui seul peut dire quelques choses, il réfléchit, hésite....., se tourne vers Sylvie :


« Elsa est douée, tu ne trouves pas »


L’interrogée rosie, rougis, s’empourpre, bégaie, son regard va de l’un a l’autre :


« Tu te rends compte de ce que tu me fais faire, de ce que tu fais faire à notre fille, t’en rends-tu compte, c’est honteux, c’est...., c’est...., j’en ai honte, pour moi, pour toi, .... pour vous »

Surpris par cette réaction il la fixe incrédule ne sachant comment répondre, Elsa regarde tantôt l’un tantôt l’autre sans émotion apparente.

 

« Ecoute ma chérie, tu ne vas me dire que cela ne te plaisais pas, que tu ne voulais pas. En tout cas tu ne t’es pas beaucoup défendue, ou alors c’était un combat intérieur dont on a rien vu (il regarde sa fille avec un sourire entendu) mais en tout cas moi je n’ai rien vu »

Toujours rougissante, le regard fuyant Sylvie ne sait comment répondre :


« Je ne voulais pas moi, je ne demandais rien c’est toi qui a voulu, moi,...., moi....., je,.. je.. »


Gilles la coupe :


« Toi, ... toi tu nous laissé faire, toi tu as pris un bon pied, tu as bien, très bien jouis,et c’est bien comme cela, il faut te l’avouer, tu y a trouvé un très grand plaisir et il n’y a pas de honte a cela »


Il pose sa main sur le genou de son épouse et la fixe du regard. Elle baisse les yeux et devant l’interrogation muette relève la tête :


« C’est vrai, tout ça c’est vrai mais ça me gène d’être comme ça, ça me gène un peu surtout avec notre fille »


Il savoure ces aveux qui sont un début.


« Et toi Elsa, as-tu l’impression que l’on t’a forcée, as-tu honte »


Elle ne répond pas et regarde la main de son père qui est très haut sur la cuisse de » sa mère a toucher le sexe.


« Chérie, trousse ta jupe je veux voir ta chatte, s’il te plaît montre la moi »


« Non, non j’ai honte, je ne peux pas le faire, non »


« Bon alors je vais demander a Elsa de le faire pour toi »


Sylvie se tourne vers sa fille et semble quêter un message, une parole de son regard interrogateur. La jeune fille lui sourit amicalement :


« Maman, j’ai beaucoup aimé te faire jouir, c’était bon, très bon pour moi »


Sous cet aveux elle rougis un peu plus, se tourne vers son homme :


« Vous êtes fous, vous êtes pervers, j’en ai honte, mais c’est …. »


Souriante elle se soulève pour trousser sa jupe et entrouvrir ses cuisses. Gilles se penche vers elle et en lui murmurant un “ merci ” du fond du cœur l’embrasse a pleine bouche. Sa main se mêle à celle de sa fille dans les poils de Sylvie qui soupire, qui gémit qui cries quand on lui tire sur un poil. Ils rient tout les trois de rien du tout, heureux.

 
Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : Sexe en famille
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