amour sans tabou

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Samedi 3 janvier 6 03 /01 /Jan 17:39

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Mercredi 17 décembre 3 17 /12 /Déc 20:13

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Mercredi 17 décembre 3 17 /12 /Déc 20:03

 

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Mercredi 17 décembre 3 17 /12 /Déc 19:59

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Mercredi 17 décembre 3 17 /12 /Déc 18:58

 

82.jpgSimone se regarda dans la glace de l’armoire, sa longue chevelure teintée en noir, son mètre soixante dix, un vague sourire illumina son visage, elle voit si l’on peut dire, qu’elle vieillit mais qu’elle est encore attirante malgré ses soixante ans. Elle enfile en hâte pour tous vêtements un corsage écru et une jupe. Déjà sa fille Jeanne sonne à la porte. Un dernier coup d’œil dans la glace : deux bourgeons brunâtres trouent le tissu au niveau de sa poitrine. « Merde, Jeanne va voir que je n’ai pas mis de soutif, tant pis plus le temps » pensa t-elle.

Inspirant pour reprendre une contenance, elle ouvre à sa fille, un bras en travers barre son chemisier.

- Bonjour p’tite Maman ! Ca va ?

Lance Jeanne de sa voix flûtée. Un grand sourire éclaire son visage.

- Bonjour ma belle. Oui, oui, entre...

Jeanne porte deux grosses bises sur les joues de sa mère et toutes les deux entrent dans l’appartement, Jeanne commence à vider son grand sac à provisions.

- Je pense que j’ai tout ce que tu m’as demandé. Les livres, tes médicaments et les photos de papa que tu m’as prêté.

- Très bien, merci ma chérie.

Jeanne perçoit un raidissement dans l’attitude de sa mère à la vue de l’album.

- Ca va, Maman ? demanda-t-elle inquiète.

- Oui, oui, juste un peu de fatigue.

La maman comprend cette remarque comme une atteinte dans son intériorité. Quant à sa fille, elle sait bien à quel point les souvenirs éprouvants sont ces photos. Son cher époux disparu, les clichés avec la petite Jeanne qu’il tient à bout de bras dans cet album. Quelques larmes d’émotion perlent sur ses joues.

- Maman, murmure Jeanne en la prenant dans ses bras, ne pleure pas.

Elle-même était gagnée par un sentiment de tristesse d’où son regard qui s'obscurci.

- Il me manque toujours plus, après toutes ces années.

- A moi aussi il me manque, maman chérie.

Et très spontanément Jeanne étreint sa mère, alors qu’elles ne se livrent jamais à de grandes démonstrations d’affection naturelles dans la famille. Elle ne sait pas si elle console sa mère, ou si elle cherche un peu de réconfort.

Pierre a été emporté par une attaque brutale quand Jeanne venait de fêter ses treize ans. Son deuil a été long et elle n’a cédé aux avances insistantes d’un soupirant que dix ans après. Ce n’était pas faute d’être courtisée. Les garçons la trouvaient belle, et froide. Brillante étudiante, d’une politesse distante, son charme un peu guindé lui vient de ce beau visage régulier qu’éclairent les deux grands yeux verts hérités de sa mère. Sa poitrine est opulente, son ventre plat et les fesses bien dessinées. Ce prétendant devenu son mari lui a fait une fille, pour en divorcer quelques années plus tard. Elle assume désespérément son rôle de mère et sa carrière professionnelle.

Simone sent bien que sa fille est aussi en manque d’affection, elle la serre un peu plus étroitement. La tête sur son épaule, elle s’empli de son parfum délicat mêlé du léger fumet émanant de ses aisselles toutes proches. Elle revoit cette enfant jouant avec son père et sent curieusement ses mamelons durcir, pressés contre le buste de sa fille. Elle murmure, en s’abandonnant à nouveau aux douloureux souvenirs :

- Il nous aimait. Il t’aimait. Je crois d’ailleurs que c’est toi qu’il préférait parce qu’il te faisait toujours des chatouilles et des bisous un peu partout.

- Oui c’est vrai, il nous aimait toutes les deux énormément.

Jeanne s’aperçoit que sa mère tremble à ces mots énigmatiques et qu’elle se blottit un peu plus sur sa poitrine. Mal à l’aise, elle rompt leur étreinte et sans bien comprendre le sens de ces propos, revint sur le motif de sa visite :

- Bon allez, s’il ne te manque rien, je file !

Et après deux petites bises d’au revoir, Jeanne disparait dans la cage d’escalier. Mais les mots étranges qu’elle vient d’entendre reviennent obstinément. Elle qui a tant aimé son père, il était un dieu pour elle et dont elle a en vain cherché le visage dans les rares aventures qu’elle a vécu. Elle reste dans le noir quelques minutes, assaillie d’images et de sentiments mélangés.

Lentement, elle remonte les marches, éprouvant un repenti d’avoir laissé sa mère si brutalement, elle connaît la considération que sa mère entretenait pour son père.

Elle sonne à nouveau à la porte, sa mère ouvre, le visage triste mais apaisé. Sans prononcer un mot, le regard planté dans celui de sa maman, elle rentre, ferme la porte et se blottit dans ses bras grands ouverts devant elle. Jeanne sent clairement sur sa poitrine les deux seins qui la pressent, et comprend que sa mère ne porte pas de sous-vêtement. A son age, dans les bras maternels, Jeanne sent son cœur battre un peu plus fort. Elle trouve sa mère si touchante aujourd’hui, si fragile, alors qu’elle était toujours si forte autrefois.

Simone caresse doucement les cheveux de sa fille comme elle le faisait toujours étant toute jeune. Un instinct de protection prime en elle. Les seins de sa fille appuient ses épaules, la douceur de ce contact les enveloppe toutes les deux. Cette tiédeur instinctive gagne son ventre, se concentrant par vagues dans son clitoris qui déjà ressuscité et commence à palpiter doucement, comme affamé de chaleur après un si long hivernage. Les yeux clos, toujours revoyant sa fille et son mari, elle murmura :

- Il était bon, gentil, chaud, avenant, affectueux.

Jeanne frissonne et resserre un peu plus son étreinte.

Malgré ses révélations, Simone garde un ton neutre. Mais sa voix s’est un peu brisée sur la fin de sa phrase.

- Oui, mon bébé, mais c’était un très bon père.

Simone comprend aux inspirations saccadées de sa fille que celle-ci se domine pour ne pas s’effondrer. Sa joue s’imbibe des larmes de sa fille, qui viennent saler l’ourlet de sa lèvre.

- Ne sois pas triste, mon ange, nous l’aimons toujours.

Jeanne est incapable de répondre, sous le choc de ces mots brûlants qui la baignent dans une immense nostalgie, la voix de sa mère est son phare. Les louanges continuent de se multiplier pour cet homme disparu

Simone prise dans l’émotion du dialogue, pose un délicat baiser sur la joue humide en souriant à sa fille qui la fixe d’un regard intense et suppliant. Sans un mot, Simone donne un baiser plus appuyé dans le cou de sa fille qui la sent se tendre davantage. Elle s’y attarde, murmurant des paroles inintelligibles d’apaisement, elle promène ses lèvres plissées jusqu'à l’oreille de sa fille qui respire rapidement, tétanisée par la douceur et l’audace de sa maman.

Comme Jeanne allait enfin dire quelque chose, Simone pose délicatement sa bouche sur la sienne. Sur les lèvres tremblotantes, elle dépose quelques petits bisous en gardant les mains sur le cou de sa fille, les yeux mi-clos, alors que celle-ci gémit un faible non, elle aspire de sa bouche entrouverte la lèvre inférieure de sa fille en la suçant longuement.

Jeanne ferme les yeux, goûtant l'étreinte insolite pendant de longues secondes, puis se laisse tomber sur le fauteuil derrière elle. Son visage reflète une douloureuse langueur. Simone la contemple, d’une fragilité terriblement attirante. L’envie de la réconforter rayonne en elle. S’asseyant à califourchon sur les cuisses de sa fille en remontant sa propre jupe, elle reprend les joues entre ses mains et lui léche très doucement les lèvres. Jeanne garde les yeux fermés en haletant de consternation et de tendresse contenues. Son corps tout entier vibre, sans qu’elle sache si elle est secouée de sanglots de honte ou de désir pour la bouche si tendre de sa mère.

- Laisse-moi te consoler, mon bébé, tu es si petite encore !

Simone continue à baiser les lèvres exposées, les agaçant du bout des siennes, les suçotant, les titillant d'une langue hésitante. Elle sent sa fille se relâcher quoique toujours larmoyante. Très naturellement, comme si elle voulait consoler une enfant, elle pose doucement la tête de sa fille sur sa poitrine en la berçant.

- Là mon bébé ! Laisse maman te câliner.

La joue de Jeanne écrase un des seins de sa mère, sa bouche touche presque le téton gauche, son souffle le caresse d'une chaleur moite. En exerçant une très légère pression sur sa nuque, Simone pousse par réflexe le visage de sa fille vers la petite pointe brune. Malgré l'impudeur de la situation, Jeanne garde docilement les lèvres closes sur le sein flasque. Simone lui passe la main dans les cheveux. Jeanne pleure maintenant comme une gamine, sans émettre aucun son. Et dans son désarroi, lentement elle retrouve le geste puéril de l'enfant qui s'abandonne au réconfort maternel, où tout devient naturel. Entrouvrant la bouche, elle mordille le téton à travers le tissu en cherchant à tâtons les boutons du chemisier. Elle dégrafe trois boutons et à l'aveuglette, fouine pour trouver le sein blanc tombant. Alors, dans un délicieux bruit de succion, Jeanne tète longuement sa maman, en s'apaisant de secondes en secondes. Sa main découvre l'autre mamelle et la caresse également.

Simone goûte chaque instant de cette communion, la renvoyant presque soixante ans en arrière, quand elle nourrissait de son bon lait cette petite bouche vorace. La sensation qu'elle éprouve au bout des seins est fabuleuse. C'est doux et chaud, elle respire plus fort tandis que sa chatte s’humidifie. Jeanne commence à haleter bruyamment, suçant de plus en plus fort le sein maternel ; Sa main fébrile et maladroite chemine sur le cou, les seins, la cuisse de sa mère.

Les tensions contraires que Jeanne avait éprouvées se dissolvent totalement quand elle sent, trahi par une excitation contagieuse, les hanches de sa mère ondulent sur ses jambes au rythme circulaire de sa tétée goulue. Elle agrippe naturellement le postérieur maternel pour accompagner ses mouvements. Simone la conforte en lui exprimant quelques mots à l’oreille:

- Oui, mon amour ! Tu es toujours mon bébé ! Tu es si belle, ma poupée.

Jeanne sent qu’elle mouille, alors que du soulagement, elle verse dans une franche excitation. Elle n’a qu’une fois éprouvée la tentation saphique avec une camarade de lycée avec qui elle campait dans le jardin de la maison. Aujourd’hui, comme un flash, elle se remémore ces petits jeux de touche pipi. Son clitoris commence à lui faire mal. Prenant brusquement l’initiative, elle colle sa bouche sur celle de sa mère, Elle l’embrasse à pleine bouche, sa langue cherche la sienne,  se baigne dans les salives en un long, profond et chatoyant baiser.

Elle achève de déboutonner le chemisier, deux seins de bonne taille, encore comestibles sur un corps un peu gras, apparaissent. Cette vision intime lui donne cependant de violentes décharges dans les jambes et le ventre. Elle glisse ses mains sous les cuisses de sa mère, et remonte sous la jupe, elle est tout de suite sur la touffe de poils collés de mouille. Sans s’étonner de ne pas trouver de culotte, Jeanne insinue son majeur au milieu, et recueille cette rosée pour l’introduire entre les bouches mêlées. Simone suce le doigt avec avidité, alors que Jeanne apprécie le goût puissant.

Elle remet sa main sur la chatte de sa mère, en agaçant timidement l’orifice du vagin. Elles séparent leurs bouches, se fixent, immobiles. Simone souffle :

- Vas-y, va en moi !

Jeanne enfonce deux doigts dans la chatte largement ouverte de par la position assise de sa mère qui accompagne les doigts de sa fille au rythme soutenu par des mouvements verticaux du bassin. Pour varier, Jeanne enfile son pouce à la place des doigts et de l'index chatouille le trou du cul un peu gras. Simone se raidit car quoiqu’au comble de l’excitation, elle sait que son anus n’est pas très net.

Sa fille comprend instinctivement la réticence maternelle, ce qui décuple son désir. Les barrières sont abolies depuis déjà un bon moment. Elle étale consciencieusement la rondelle d’un doigt, comme pour l’écraser, puis glisse doucement la première phalange entre les sphincters huileux qui se ferment comme une bouche minuscule.

- Non, pas là, mon bébé !

Jeanne en souriant ramène son doigt aventureux sur le ventre de sa mère, fait un cercle autour du nombril avachi, lui effleure le bout du sein, remonte doucement sur le cou et s’arrête sur le menton. Il y a du défi dans le regard de la fille, et son expression est mi-lubrique. Comme sa mère ne semble pas se décider, elle lui courbe doucement la nuque vers le doigt. Les lèvres ne se desserrent pas, Jeanne promène le doigt dessus, sa mère hume l’index où s’est agrémenté l’odeur entêtante d’un anus, s’étant relâché quelques heures plus tôt. Sa fille lui lèche la bouche et remet son index dans le conduit, un peu plus profondément. Elle sent les contractions régulières du rectum à mesure qu’elle s’enfonce dans le boyau étroit. Son autre main pelote la poitrine amollie. Simone se détend à mesure quelle ressent un délicieux plaisir anal.

A chaque avancée, Simone ronronne un peu plus. La voyant grimacer de plaisir, Jeanne plaque son visage sur sa poitrine. La face écrasée sur les seins de sa maman, Jeanne sait qu’elle peut à cet instant tout lui faire, elle sait que sa mère acceptera.

Jeanne s'enivre de cet arôme discret, contente de voir sa mère se comporter en dépravée, elle la regarde avec des yeux émerveillés. Elle saisit la main de sa mère, et la mène pour qu’elle se caresse elle-même. Simone comprend où sa fille veut en venir, elle s'introduisit le majeur dans son derrière puis l'introduit entre les lèvres de sa fille qui accueille comme une offrande le doigt sodomite. Jeanne ferme la bouche et suce le doigt comme si elle le ferait avec une verge. Reprenant une voix candide, Simone lance :

- Mais tu aimes bien téter ça aussi ma fille hein !

Jeanne se dégage de sa mère en la poussant pour qu’elle prenne sa place dans le fauteuil.

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Elle se laisse glisser le long des jambes de sa mère, le visage posé sur les cuisses, les bras encerclant le gros fessier. Simone à moitié enfoncée dans le fauteuil, la jupe relevée jusqu’à la ceinture, les jambes écartées, ce qui permet à sa fille de couler sa bouche au bas du ventre brûlant. Elle mordille les quelques touffes de poils pubiens où de petites perles de salive s’accrochent et trouve le bourgeon durci qu’elle aspire. Simone goûte le cunnilingus avec force. Après quelques allers retours linguaux, Jeanne darde sa langue et l’introduit très doucement dans le vagin, le plus loin possible. Simone entend sa fille respirer bruyamment et perçoit sur son petit trou le souffle rapide de sa fille.

- Ma fille, oui ma chérie ! Oui c’est trop bon !

Jeanne savoure et les paroles de sa mère qui l’incite à pousser plus loin encore les limites de cette incroyable perversité. Elle descend plus bas, pour lui donner de l’aisance, sa maman pose ses cuisses sur les accoudoirs, ce qui offre toute son intimité à sa fille. Jeanne en profite pour léchouiller l’oeillet glabre en appuyant bien sur l’étoile puis elle retourne sur la bouche de sa mère pour lui faire la même chose, tout en lui caressant les seins. Leurs gestes deviennent plus doux, au rythme des langues qui se mélangent tendrement. Simone, sans rompre le baiser, déboutonne le chemisier de sa fille. Jeanne se dégage pour pouvoir enlever tous ses vêtements et elle s’allonge à même le sol. Simone se jette sur sa fille, elle aussi a envie de goûter à tous ces trésors, elle empoigne les deux seins blancs sur un ventre légèrement bourrelé, elle croque les gros tétons en s’attardant longuement sur les pointes raffermies par l’afflux. Elle glisse ses doigts vers le pubis soyeux, trouvant une moiteur équatoriale.

Simone contemple sa fille un instant, elle est adorable, des seins généreux qui s’aplatissent sur ses flancs, et son regard si beau qui réclame d’autres caresses. Elle se penche d'emblée sur l’entrejambe. Sa chatte a une odeur assez forte, comme une algue saline mêlée de senteurs ammoniaquées et de savonnette. Jeanne manifeste son plaisir en soupirant, les mains crispées sur les cheveux de sa mère. Le contact de la bouche maternelle sur sa moule est divin et la fait vibrer de tous ses membres. Simone cueille du bout de la langue une perle de mouille pour avaler le clito assez volumineux.

Jeanne voit son orgasme naître sous des convulsions plus violentes encore, qui font éclore d’autres gouttelettes de mouille au cœur du pistil écarlate. Alors elle s'abandonne et jouit en criant, en un orgasme surpuissant qui la vide complètement. Sa mère continue à lécher la chatte ruisselante, plus doucement. Elle se repaît de ces odeurs puissantes, le nez dans le vagin et la nettoie comme une chienne l'aurait fait avec son petit.

Sans un mot mais regardant sa fille avec une rare intensité, Simone se relève enfin. Elle tendit sa main à sa fille et l'aide à s'asseoir dans le fauteuil pour s'approcher de son visage. Elle pique de doux baiser sur le menton, les lèvres, le front en lui murmurant des "je t'aime" à l'oreille et disparaît dans la salle de bains.

Quand elle en ressort, nue quelques minutes plus tard, elle voit sa fille toujours assise, qui lui sourit rêveusement. Jeanne s'habille sans hâte dans le silence repu, sentant le regard de sa mère errer vaguement sur ses formes généreuses. Quand elle a fini, elle dit à sa mère :

- Je reviendrai bientôt.

 

Jeanne a déclenché sans en avoir conscience, la machine à fantasmer, un processus qu’elle ne pourra plus maîtriser et qu’elle n’a d’ailleurs pas envie de vaincre. Chaque pensée revient pure et fraîche, sans remords ni honte, comme un espace imaginé de tendresse et de confiance absolues.

Quelques jours plus tard, Jeanne téléphone à sa mère, leur conversation, après quelques hésitations, reprend le naturel, portant sur les mille détails d'une vie ordinaire.

Elle lui demande si elle peut venir garder la petite Lucienne demain. Lucienne vient juste d’avoir six mois, c’est le bébé de Martine la fille de Jeanne, elle projette de faire quelques emplettes avec sa fille. La grand-mère qui ne demande pas mieux donne son accord puis murmure un tendre « je t’aime » à sa fille qui rétorque « moi aussi maman » et raccrocha.

Quand Martine et Jeanne reviennent des magasins, il est déjà dix-sept heures passé. Le bébé est réveillé depuis trois quarts d'heures, et braille à tue-tête.

- J'ai bien essayé de lui donner le biberon au réveil, mais rien à faire ! Elle n’est pas calmée pour autant ! Je crois qu'elle a surtout besoin de sa maman.

- Merci Mamie, on a un peu tardé.

Dit Martine, en prenant son bébé dans ses bras.

- Alors, mon bébé, on a une petite faim ?

Martine cambre un buste bien dessiné, dix-neuf ans, un peu ronde et agréable à regarder, elle porte sa poitrine en avant comme une figure de proue. Ses rondeurs sont harmonieuses, ses cuisses, ses seins, son fessier sont un peu forts mais elle n'en garde pas moins un charme provoquant d'une franche sensualité. Son visage plus fin, éclairés par des yeux bleus toujours discrètement soulignés de noir.

Martine s'assoit et très naturellement déboutonne sa chemise. Elle sort du soutien-gorge un sein blanc strié de veinules bleues en lançant malicieusement :

- Aller mon bébé casse la croûte.

Ce qui les fait rire toutes les trois.

Martine cale le nourrisson sur son ventre qui trouve instantanément le téton. Simone plaisante sur le retard de sa fille et de sa petite fille pensant qu’elles ont passées l’après midi à draguer. Son regard croise celui de sa fille qui lui sourit d’un air étrange. La blague en devient du même coup, troublante. Martine éclate de rire.

- Eh bien, en forme notre mamie ! T'as faim ? Tu peux finir le biberon si tu veux !

Jeanne se tient à côté de sa fille, remplie d'un tendre amour pour cette jeune maman et sa petite fille, elle en est très fière. Elle passa le bras autour des épaules de Martine, se pencha pour scruter la petite bouche vorace qui couvre l'aréole violette en pompant vigoureusement le liquide nourricier.

- Elle ne te fait pas trop mal, ma chérie ?

- Non, pas trop, un peu, c’est largement supportable.

Rétorqua-elle en souriant un peu gênée à sa mère. Jeanne sent l'odeur caractéristique des nouveaux-nés allaitant, cette odeur douce de lait caillé. Il s'y mêle une subtile odeur poivrée et de cannelle, montant des cheveux de Martine. Ce tableau naïf la touche particulièrement, pourtant elle a déjà assistée mainte fois à la tétée de Lucienne. Jeanne lève les yeux vers sa mère en la fixant intensément, elles revivent ensemble la scène qui les ont fondues l'une en l'autre. Martine entend le ventre de sa mère gargouiller.

- Eh, tu as faim toi aussi ?

Mais ce gargouillement révèle un appétit d'une nature différente, terriblement charnel, qui trouve un prolongement brûlant dans sa culotte. Ce qu'elle avait partagé avec sa mère, cette perdition si complète et si épanouissante, elle la projette en cette seconde sur sa fille, ses fantasmes n’ont plus de limite.

Simone regarde sa descendance, sans dire un mot, elle partage l'émotion de sa fille, elle la contemple et lui sourit complaisamment. Elle se rend à la cuisine et de là, appelle sa fille qui la rejoint aussitôt. Elles restent quelques secondes face-à-face, et la grand-mère ou arrière grand-mère écarte les bras, sa fille se pelote dedans.

- J'avais tellement envie de te revoir Maman. Dit-elle à mi-voix.

Les bouches se joignent, elles s'embrassent longuement, comme deux amantes très amoureuses séparées depuis trop longtemps. Simone murmure :

- Tu as envie de Martine, n'est-ce pas ?

Devant le silence de sa fille, Simone continue :

- Je vois bien comment tu la regardes, je te connais bien maintenant. Tu t’imagines quoi ? Qu'elle te saute dessus ou que tu lui sautes dessus ?

Jeanne bataille dans sa tête avec bien peu de volonté contre les images suscitées par sa mère, mais elle ne veut pas avouer cette incitation à la profusion, s'interdisant ces gestes supplémentaires.

Simone insiste lourdement comme si elle était jalouse :

- Aller, va t'occuper d'elle, elle n'attend que ça !

Jeanne veut échapper à ce sermon et revient tourmentée dans le salon s'asseoir auprès de Martine qui donne toujours le sein au bébé. Et après une longue minute de silence :

- Tu es très belle en maman.

Murmure Jeanne en lui posant une main caressante sur la joue. Martine, surprise la regarde, elle ne connaissait pas sa mère si démonstrative. Ces gestes ne sont pas coutumiers, elle les trouve flatteurs et son étrange impression en fut dissipée. Elle répond par un sourire, et grimace presque immédiatement sous la succion qui devient douloureuse. Jeanne le comprend immédiatement, elle écarte la chemise et laisse ses ongles glisser sur la peau douce, elle entreprend de dégager l'autre sein. Martine bredouilla un "ma……maman…" avec un vague geste d'opposition du bras, mais Jeanne le saisit et le replace avec une douce fermeté sur l'accoudoir du fauteuil.

- Il faut que Lucienne change de crèmerie, elle te fait mal.

Martine, hésitante, positionne différemment son bébé, de manière à lui offrir l’autre sein maintenant découvert. Lucienne semble rassasiée, elle n'a manifestement plus faim. Simone rentre dans la pièce, s'approche et s'assoit, une fesse sur l'autre accoudoir du fauteuil de Martine.

- Regardez-moi ça, mes filles, il est tout martyrisé ce pauvre téton, là.

Lance Simone en montrant l'aréole et le téton qu'avait tétés Lucienne.

- Laisse-moi arranger ça.

Martine, totalement interdite, voit les longues mains ridées sa grand-mère se promener sur le globe mammaire, en y exerçant une très légère pression, puis converger sur la pointe, l'effleurant pour revenir masser très délicatement le volume.

- Euh…….Mamie……. Qu’est-ce que tu fais ?

- Une recette de bonne femme pour adoucir ta jolie poitrine, ne t’inquiètes pas, je connais !

Réplique d'une douce autorité sa grand-mère si bien que Martine se laisse faire, stupéfaite mais confiante. Jeanne prend le bébé qui s’endort, lui tapote le dos pour qu’il fasse son rot et rassurer Martine. Celle–ci trouve effectivement un avantage au massage de sa grand-mère, les petites souffrances se muent en une agréable chaleur. Les seins d'une femme allaitant ne sont plus des organes sexuels mais nourriciers, aussi autorise t-elle sa grand mère à les manipuler.

Jeanne couche Lucienne dans le couffin pour qu’elle s'endorme tout à fait. Elle vient se placer sur l’autre accoudoir face à sa mère qui a déjà déboutonné le chemisier de Martine, d'une main elle masse ce beau melon blanc.

- Non, maman s'il te plaît, ça me gêne, laisse Martine tranquille !

S’insurgea Jeanne.

- Bah ! C'est ta fille, non ? Je suis bien ta mère…….Allons, allons, tu n'as rien à craindre et d'ailleurs c'est normal tout ça, nous sommes entre mères !

Simone dit ces mots avec le sourire mais d'une façon péremptoire et sans relâcher son attention sur les seins volumineux. En fait, c’est elle qui semble attirée de plus en plus. Martine ferme les paupières pour apprécier ce massage qu'elle trouve bizarre mais finalement très agréable. La jeune poitrine exhibée de Martine, son expression relâchée, naïve, il y a une indécence exquise dans ce tableau. Jeanne se sent de plus en plus excitée par ce spectacle improvisé, qu’elle aussi, glisse précautionneusement ses doigts pour éprouver le velouté compact de cette chair ferme et gonflée, elle ose de souples effleurements sur le ventre. Martine soupire un tout petit "han", clignant à peine des paupières quand les doigts baladeurs des deux femmes se trouvent dans un mouvement concerté au bout de chaque téton pour les agacer graduellement.

- On te fait mal, mon petit ?

Susurre Jeanne à l'oreille de sa fille.

Un «non » à peine audible sort de sa bouche en gardant toujours les yeux clos pour goûter pleinement la volupté qui l'engourdie. Jeanne garde la bouche sur l'oreille de sa fille, embrassant délicatement le lobe. La délicieuse chaleur de son souffle rayonne dans le cou de la jeune mère. Quelques longues minutes s'écoulent de cet abandon, où des petits soupirs de plus en plus appuyés sortent de la bouche de Martine. La chaleur moite envahie les culottes des trois mamans. La main de Jeanne serpente aventureusement entre l’abdomen et les seins de sa fille, jusqu’à ce que le bout d’un doigt soulève la ceinture de la courte jupe pour atteindre la culotte et remonter aussitôt. Martine commence à comprendre qu’il ne s’agit plus de gestes habituels entre parents et enfants, mais bel et bien de caresses audacieuses. La main câline revient sur le nombril, et descendre encore, cette fois sous l’élastique de la culotte. La jeune mère se laisse faire, quand le doigt accède au repli de la vulve, Jeanne pose ses lèvres sur le téton pointé, pour l’enrober doucement.

Martine est prise d’un attendrissement inattendu, elle gémit en se contractant, mais la plénitude qui l’entoure lui interdit tout mouvement de recul. Elle entend bien des petits bruits de bouche, elle entrouvre les paupières et voit au dessus de sa poitrine, le visage de sa mère et de sa grand mères, mêlés dans un langoureux baiser, incrédule elle est frappée par l'expression des deux visages souriants. Elle sent la main de sa grand-mère palper délicatement à l’aveuglette sa poitrine pendant que sa mère joue finement avec le capuchon de son clito. Martine est stupéfaite par ces égarements qu'elle ne comprend pas, néanmoins, elle ne peut se soustraire à ce duo, saisit par la pureté de sentiments sans égale qui se dégage de cette scène. Les deux grand-mères cessent leur baiser pour la regarder.

- Nous nous aimons, chère Martine et nous t’aimons aussi. Dit Jeanne.

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Simone se penche sur le sein gonflé de sa petite-fille qui souffle bruyamment de plaisir sous la succion délicate.

- Non………. Fait-elle pour la forme d’une petite voix faible et peu résolue.

- S’il te plait !!!

Souffla Jeanne en lui posant l’index sur la bouche puis lui masse les lèvres qui s’entrouvrent. Introduisant son majeur dans la bouche, Jeanne le fait aller et venir. Simone suce plus franchement l'aréole et ce faisant, s'installe entre les jambes, nues et fortes de sa petite-fille, ses genoux s’appuient sur les flancs de sa grand-mère qui met ses mains sur les larges cuisses de Martine, montant et descendant ses paumes jusqu'à la lisière de la jupe.

Jeanne regarde sa mère avec des yeux évocateurs. Voir sa propre fille basculer dans des émois qu'elle-même avait vécus quelques jours auparavant la décida. Elle se penche sur la bouche fraîche et goûte d'un coup de langue appuyé le beau fruit rouge à peine humide. Martine bat des paupières, elle a un très léger mouvement de repli mais sa mère n’abandonne pas. C’est un baiser brûlant qu'elles échangent, Martine ne soupçonnait pas une telle tendresse chez sa mère. Elle avait toujours été éprouvée par le peu d’affection que peut donner une mère. Une joie confuse monte en elle, et dans l'âtre rose de son petit chat, gronde un feu couvert, qui ne demande plus qu'à flamber. La grand-mère, stimulée par les agitations de ses deux femmes, relève la jupe de Martine, écarte les genoux et voit le petit triangle de la culotte blanche. Elle tire sur l'élastique, Martine se cambre naturellement pour faciliter la manœuvre. Le sous-vêtement glisse le long des cuisses et tombe sur ses chevilles. La chatte est superbe, petite, bien ourlée et parfaitement épilée. Martine, après l'accouchement, a gardé l'habitude de se raser la toison.

La grand-mère bichonne les cuisses tout en approchant son visage du sanctuaire glabre, promène son nez sur les replis de la vulve suintante. L'odeur de sa petite-fille est fraîche, malgré la forte humidité. Elle pourlèche les lèvres de haut en bas et d'un coup, absorbe la totalité du fruit qui s'ouvre instantanément. Martine gémit malgré le bouche-à-bouche avec sa mère. La grand-mère se délecte de ce nectar, sa langue part à la recherche de la source, explorant chaque repli de la fleur, ce qui rend folle sa petite-fille. Jeanne boit les cris de sa fille, se gonfle de son haleine en lui suçant la langue. Elle a ce qu’elle voulait, voir sa fille jouir, Martine se libère dans la bouche de sa grand-mère, elle s’arc-boute pour crier son plaisir, elle n’en revient pas de cette perversité mêlée, elle est complètement dévastée par l'orgasme le plus violent qu'elle n’ait jamais connu, elle gît dans le fauteuil, comme inconsciente. Lorsqu’elle retrouve ses esprits elle fond brusquement en larmes.

- Allons, ma petite fille, ne soit pas triste…….. Ce n’était pas bon ?

Lui marmonne sa mère.

- Si, justement ! Fait Martine d'une voix coupée de violents hoquets.

- Eh bien, il n'y a pas de problèmes alors. Nous t'aimons plus que tout, tu le sais !

Martine hoche la tête pour admettre sans parvenir à se calmer. Jeanne consternée lui caresse la joue du revers de la main, lorsque bébé hurle d'un coup en se réveillant. Vite, Jeanne le prend dans ses bras pour le donner à sa fille. L'instinct maternel aidant, Martine se ressaisit et pose le bébé sur ses cuisses en reniflant, prête à lui redonner le sein.

- S’il te plait maman, donne-moi vite un kleenex, ils sont juste là derrière toi.

Jeanne hésite un instant, puis en lui dit en souriant

- Pas besoin, regarde !

Jeanne nettoie le bout de téton en le pinçant de ses lèvres, le léchant, le suçant, l’allongeant, puis elle positionne la petite Lucienne dessus. Martine n'a pas le temps de protester que déjà bébé tête goulûment. Jeanne et Simone debout devant Martine, se sont enlacées en regardant la jeune et jolie maman qui allaite son bébé. Comme hypnotisée, Martine a les yeux rivés sur les deux femmes, elle ne peut s'empêcher de les trouver si attendrissantes dans cette perverse affection.

Nul n'aurait pu penser qu'elles repousseraient les limites extrêmes de leur sexualité

Elles se bécotent de longues minutes dans le silence. Jeanne caresse les seins de sa mère, l'embrasse dans le cou. Martine a du mal à imaginer sa mère faire l’amour avec sa grand-mère, perdue dans une confusion totale. Elle ramène le poupon dans le couffin et reprend sa place dans le fauteuil.

Les deux grand-mères s’allongent sur la moquette, s’étreignent, puis finalement Jeanne fait signe du doigt à Martine de venir les rejoindre. Elle a un moment d’hésitation, puis finalement, elle cède à l'irrésistible charisme de sa mère. Toute dépoitraillée, elle s’approche des deux femmes, s’agenouille, Jeanne lui prend la main et dit en la plaquant sur le ventre de sa grand-mère :

- Elle a des seins très agréables, touche.

Lentement, Jeanne fait sauter deux boutons du chemisier et pousse la main de sa fille dans l'échancrure. La grand-mère sent les doigts de Martine trembler sur ses dentelles. Elle approche son visage de sa petite fille, très près de sa bouche pour lui murmurer :

- Ils ne sont pas si beaux que les tiens mais ils sont tout à toi si tu veux.

Martine les pelote machinalement, toujours abasourdie par la situation. Il y a du jeu et de l’autorité dans l'attitude de sa grand-mère, elle se sent totalement démunie. Jeanne s'approche des deux visages et chuchote à son tour :

- N’ai pas peur ma belle, embrasse ta grand mère.

Martine prend son courage et colle longuement sa bouche sur celle de la femme âgée. Jeanne se glisse derrière sa fille pour lui masser tendrement la poitrine soulevée par sa respiration rapide. Martine réchauffée par toute cette tendresse, un ruissellement tiède suinte entre ses jambes, elle a juste le temps de reprendre son souffle que déjà sa mère récupère sa bouche.

- C’est si beau une fille qui embrasse sa maman.

La voix suraiguë de la grand-mère les tire de leur baiser. Jeanne achève de déboutonner le chemisier. Martine observe le ventre plissé, le nombril noyé sur lequel court les doigts de sa mère, la dentelle alourdie par deux seins volumineux et tombant. Motivée par un désir fou, Jeanne pousse le visage de sa fille sur le soutien-gorge de la grand-mère. Martine sent les gros bourgeons à travers les bonnets et les aspire goulûment. Jeanne descend le zip de sa jupe, s’en débarrasse, elle continue son œuvre d’éducatrice en mettant la main de sa fille dans la culotte de sa grand-mère. Le reste vient tout seul, Martine passe plusieurs fois ses doigts dans la fente gluante, éraflant à chaque passage un clitoris hyper tendu puis porte à la bouche de sa mère, la liqueur ainsi recueillie.

- Hummm……… La minette est juste à point… Sent, maman !

Jeanne renifle le doigt luisant, l’odeur âpre du coquillage de sa mère, des odeurs de varech décomposées par le soleil emplissant la pièce. Jeanne tire un bonnet en dessous d’un sein de sa mère et le présente à sa fille qui ouvre grand sa bouche pour en avaler le plus possible. De plus en plus détendue, Martine à envie de prendre du plaisir, sa founette la démange encore, elle ne peut plus résister. Elle se débarrasse dans un même mouvement de sa jupe et chemisier. Nue elle s’allonge aux cotés des deux camarades de jeu, mais Jeanne profite de l’aubaine, elle se lève et présente sur le nez de sa fille sa touffe odorante et mouillée. Surprise, elle a un brusque recul mais Jeanne la tire par les cheveux sans ménagement et se recolle sur sa bouche.

- Lèche-moi ma belle !

Martine suffoque dans cette opacité velue, mais l’excitation toujours plus ardente sous le cunnilingus contraint de sa mère qui l’attire dans ce tourbillon pervers. La découverte de cette luxure familiale lui fait découvrir un plaisir inédit faisant crouler tous les tabous. Elle savoure la grosse chatte avec voracité, en griffant les deux fesses maternelles. Les doigts de sa mère se crispent nerveusement dans sa chevelure au rythme de la langue sur son clitoris.

Toute excitée par la soudaine audace, jeanne s’allonge sur le corps de sa fille qui écarte les cuisses pour faciliter l’accès, elle enfuit son nez dans l’antre, les deux amantes gémissent sous les yeux de la grand-mère quelque peu délaissée. Elles sont entraînées dans un ballet où les respirations s’accélèrent.

Simone se colle au couple que forme sa fille et sa petite fille, elle caresse le postérieur encore un peu ferme de Jeanne bien offert de par sa position, elle écarte les deux fesses laiteuses pour dévoiler l'œillet, elle se penche pour pointer sa bouche sur la pastille ouverte, elle tend sa langue en la faisant la plus pointue possible et pénètre dans ce fourreau tiède et odorant. Puis le besoin irrépressible de se satisfaire elle aussi, elle glisse sa main vers son antre. Elle est trempée, ses doigts s’enfoncent dans la fente, son bassin accompagne le mouvement des deux autres femmes. Toutes les trois concentrées sur leur plaisir.

La chaleur envahi la croupe de Jeanne, elle tend son postérieur pour mieux estimer les bienfaits de sa mère tout en appréciant ceux de sa fille qui aspire le clitoris aux proportions démesurées. De longs murmures de plaisirs envahissent la pièce,

Les deux femmes en tête bêche savourent la montée d'un orgasme savamment contrôlé.

Quand les trois compagnes reprennent leurs esprits, en se cajolant réciproquement, il y a trop d’affection et d’attachement dans les visages, trop d’étonnement, de suffocante émotion dans le partage des trois orgasmes simultanés.

 

- Tu sais Martine, dit Jeanne, si tu veux nous pouvons continuer à jouer toutes les trois ensembles quand tu voudras.

Fin

 
Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : L'amour en famille
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