Bonjour, je m’appelle Jeanne, je suis brune, on me trouve pas mal même si je suis un peu forte et que je devrais perdre quelques kilos ! J’ai 26 ans. A l’époque de ce récit, je passais quelques semaines de vacances chez ma sœur Louise dix années de plus que moi. Il y avait une grande complicité entre nous. Je sais qu’elle a eu quelques aventures avec des femmes. En ce qui me concerne j’avais rompu depuis plusieurs mois avec mon petit copain, et ne vivait que d’aventures sans lendemain. Pour ma part,  j’avais eu une aventure un soir de fête avec une fille, le trip sexuel avait été parfait, mais ma partenaire n’avait pas souhaité donner suite. Ce fut mon unique expérience en la matière.

Au moins deux fois par semaine, nous partagions notre dîner avec Danièle, une fille blonde d’une vingtaine d’année, c’est la fille d’une ancienne voisine de Louise. Je n’ai jamais compris ce qu’elle fabriquait, mais cette nana était en perpétuelle galère, compétemment fauchée et s’habillant n’importe comment avec des vêtements que lui donnait les gens. Pas maquillée et coiffée sommairement. C’était dommage parce qu’un peu arrangée, on aurait certainement pu la classer parmi les « mignonnes ».

Hier soir Danièle est arrivée avec une jupe à bretelles sortant de je ne sais où ; mais en plus, elle était tellement courte qu'on voyait ses collants filés et le bas de ses fesses; heureusement qu’elle avait recouvert tout cela d’une espèce de gabardine…

On a d’abord mangé, bu un petit peu ! On s’est mise à déconner sévère... Puis Louise s’est souvenue que l’anniversaire de Danièle tombait dans deux  jours !

- Est-ce que tu aimerais qu’on te paie des fringues ?
- Oui, mais je ne sais pas trop ce qui me va ou pas !
- J’ai une idée, dit alors ma sœur, comme tu fais à peu près la même taille que Jeanne, tu vas essayer quelques unes de ses fringues, comme ça tu pourras nous dire ce qu’il te plait, et demain on ira faire les achats.

Nous nous sommes donc installées dans ma chambre et avons choisis quelques vêtements.
Louise demande à Danièle de quitter sa jupe et d’essayer une petite robe bleue mignonne comme tout. Elle s'exécute et passe la robe par dessus son chemisier et son pull. On rigole et on lui dit de quitter tout pour essayer comme il faut.

Danièle se retrouve donc en soutien gorge et collant devant nous, et remet la robe. Une fois enfilée elle tourne devant nous, toute heureuse.

- Le problème c’est qu’avec le soutif que tu as, ça fait un peu bizarre ! dit ma sœur. Laisse-moi arranger ça, on est entre femmes, non ?

Alors, sans autre cérémonie elle lui baisse la robe jusqu’à la ceinture, puis dégrafe son soutien-gorge ! Danièle se retrouve alors la poitrine à l’air devant nous, son réflexe est de la cacher en la couvrant de ses mains.

Louise, en riant lui attrape les bras et les colle le long de son corps.

- Tss, tss, je t’ai dit qu’on était entre femmes… Mais tu as une poitrine superbe ma fille !

Elle met sa main sur un sein et le caresse .Puis elle passe derrière elle, lui saisit la poitrine à pleine mains qu'elle pelote ostensiblement devant moi.

Moi ça me fait rire de voir Danièle, se trémousser, se demandant quelle attitude adopter, alors que Louise continue à lui malaxer fermement ses nichons.

- Tu rigoles, petite garce, mais je suis sûre que tu n'as pas d'aussi jolis seins ! Me lance ma sœur avec un sourire complice.
- Chiche que l'on compare ! Dis-je pensant que l’affaire en resterait là.
- Chiche ! Réplique Louise !

Du coup je rentre dans le jeu et aussitôt dit, aussitôt fait, je tombe ma robe, quitte mon chemisier et mon soutien-gorge et me met en face d'elles, le torse gonflé, les seins en avant.

- Vas-y ! Compare !

Je suis en petite culotte devant Danièle, Louise toujours derrière elle, lui lâche un sein et commence à caresser le mien.

- Difficile à dire, ils sont aussi doux et fermes !

Ma frangine nous plaque l'une contre l'autre pour que nos poitrines se touchent, téton contre téton, ce qui a pour effet de me donner la chair de poule et instinctivement, je me frotte contre la blonde. Je la prends par la taille et me serre contre elle. Je sens alors mes pointes se durcir tandis que la pauvre Danièle envahie par la chair de poule ne dit plus rien, mais se laisse faire. On se reste comme ça quelques instants, Louise s’assoit un moment et nous regarde toutes les deux :

- Fini donc de lui enlever sa robe ! Me demande-t-elle

Je m'exécute lentement en lui caressant les hanches. La robe tombe à ses pieds.

- Laissez-moi vous guider toute les deux, mes petites chéries…

Pas de réponse mais nous sommes face à face, troublées et je tiens Danièle par les hanches.

- Bon toi ma biche, quitte lui son affreux collant.

Une nouvelle fois, je m'exécute lentement, et pour mieux faire, je me mets à genoux devant elle, saisissant l'élastique du collant, je le tire vers le bas. Je sens la peau des fesses douce et lisse, je tire plus fort, la culotte vient avec, mais, trop occupée des réactions de Danièle je baisse le tout jusqu'a ses pieds, elle se retrouve nue devant moi, son pubis à hauteur de mes yeux. Une sorte d’élan pervers me pousse à passer mes lèvres sur la chatte et  l'embrasser. Ça sent un peu fort, mais ça ne me gène pas. Danièle réagit en me caressant les cheveux, pendant que je laisse traîner ma bouche sur son ventre et sur sa motte gonflée tout en lui caressant les fesses. Louise nous regarde faire, puis au bout d'un moment dit :

- A toi Danièle !
- Pardon ?
- Quitte la culotte de ma sœur !

Je me suis relevé, Danièle, timidement se met à genoux devant moi, descend ma culotte à mes pieds. Elle met du temps pour le faire et je sens ses mains s'attarder sur mes fesses puis sur mes cuisses. Elle fait exprès de me toucher la touffe et sous prétexte de descendre la culotte, passe sa main entre mes jambes pour touche furtivement ma chatte. Instinctivement, j'ai d’abord serré les jambes, mais sous sa pression les ai desserrées et même ouvertes légèrement.

- Très bien les filles, vous êtes super belles comme ça !

Louise nous a rejointes, elle relève la blonde. Maintenant elle nous caresse toute les deux, les seins, le ventre, les fesses, nous nous laissons faire avec la chair de poule toutes les deux. Puis en même temps, ma sœur passe sa main entre nos cuisses pour nous caresser le minou. Je sens ses doigts s'infiltrer en moi et je vois que pour Danièle, c'est la même chose .Je m'accroche à ma partenaire et ouvre un peu plus les cuisses .Danièle vient frotter ses seins contre moi, j’en profite pour lui caresser les fesses. Elle aussi à ouvert davantage ses jambes ce qui fait que la caresse de Louise se transforme en une masturbation en règle pour toutes les deux. Nous nous embrassons et jouissons ensemble sous les caresses de Louise.

Ma frangine, toujours habillée, s'est rassise, ouvre ses jambes et se caresse par-dessus sa culotte en nous regardant avec un petit sourire moqueur.

- Regardez-moi et continuez de vous toucher.

Louise a maintenant quitté sa culotte et relever sa jupe, jambes ouvertes elle se doigte devant nous, très vite, la tête en arrière elle commence à jouir; ce qui ne l'empêche pas de continuer à se doigter et s'exciter toute seule. Alors, on s'est approché d'elle, on l'a caressé d’abord timidement, sur les cuisses, puis j'ai découvert sa superbe poitrine où j’ai pris un grand plaisir à parcourir du bout de mes doigts. Danièle a pris la place de la main de Louise sur sa moule gluante.

Puis, abandonnant les seins de ma sœur, je suis passée derrière la blonde, approchant ma bouche de ses fesses, lui écartant les globes, je force ma langue vers son petit œillet ! Ça sent fort, cette fille a du oublier de s’essuyer ! J’ai un réflexe de recul !

- Ça pue !
- Qu’est ce qui pue ? demande Louise.
- Son, cul, ça pue la merde !
- Ah, ouais, attend je vais me rendre compte moi-même !

Sans doute vexée par mon attitude, Danièle se dégage et va pour ramasser ses vêtements ! Louise se penche vers elle, lui caresse le dos !

- Tss, tss,  Jeanne est une méchante fille, elle n’y connaît rien, montre moi tes fesses, moi je suis sûre que je vais les aimer !
- Non, laissez-moi tranquille !
- Jeanne disait ça pour rire ! N’est pas petite sœur ?

Je ne voudrais pas qu’il y ait un drame, aussi j’abonde dans le sens de Louise !

- Bien sûr que je disais ça pour rire !
- Je sais bien que je suis un peu sale… mais je n’avais pas prévu que la soirée finirait comme ça, sinon j’aurais pris une douche !
- Tu ne me comprends pas ! Repris-je ! En fait, l’odeur ne me dérange pas tant que ça…
- Alors continue de lui lécher le cul ! Coupe ma sœur.

Qu’est ce qui ne faut pas faire pour éviter un drame ! Je ne sais pas si je vais en être capable, je me verse un grand verre de vin blanc qui traînait sur la table et reviens butiner le trou du cul de notre invitée. Ça pue toujours, ça pu toujours la merde, mais bon, on s’habitue, on s’habitue même très rapidement. J’essaie de lécher, quelque part maintenant cette situation m’excite, je lèche maintenant avec acharnement, je ne me reconnais plus ! Il faut dire objectivement que l’odeur ne persiste pas, et que les traînées brunâtres qui me tombent sous la langue sont certes un peu âcre mais n'ont rien de pestilentielles ! Alors je décide de continuer, ma langue pointe le trou, je l’explore je m’en enivre !

- Alors ? Me demande  Louise ? Tu te régales ?
- Super ! C’est vraiment super de lécher un trou du cul qui pue !
- Tu m’en, as laissé ?
- Je te laisse la place !

La langue de ma sœur remplace donc la mienne dans le troufignon !

- On ne sent plus grand-chose ! C’est dommage !

Louise plonge un doigt dans le trou de Danièle, le ressort au bout d’un moment, le lèche !

- Hum c’est délicieux ? Tu veux goûter, ptite sœur !
- Vous êtes vraiment dégueulasses, toutes les deux, dit alors notre dulcinée pour se moquer !
- Ça c’est vrai !

Louises a replongé son index dans l’anus de la blonde, puis me le tend, je le lèche avec passion, je ne me reconnais plus… Puis Danièle se dégage…

- Faut que j’aille pisser !...
- Bonne idée on va te regarder ! Réplique Louise !
- Tu veux voir mon pipi ?

On se met toutes à rigoler !

- Bon vous voulez quoi ? demande Danièle
- Tu va nous pisser dessus propose ma soeur ! Ça te dit, Jeanne ?

Au point où en en est… Une fois un de mes ex m’a pissé sur les seins alors que je prenais mon bain, ça m’avait fait rigoler ! On file dans la salle de bain, on s’allonge Louise et moi dans la baignoire, l’une à côté de l’autre un peu serrées ! Danièle met ses pieds sur les rebords  au niveau de nos ventres.

Et le pipi sort, j’en reçois plein sur le ventre, c’est chaud, c’est rigolo, Louise se marre comme une bossue tandis que la pisseuse s’avance vers nos seins, puis vers nos visages, je ferme la bouche instinctivement mais quand je vois ma sœur avaler une rasade, je me décide à goûter ! Ça ne vaut pas le muscadet mais ça se boit…

- A ton tour de me faire lécher le cul ! Dit alors Louise, je crois qu'à cette heure là il ne devrait pas sentir la rose !

Elle sort de la baignoire, se met à genoux les fesses en l’air et attend la première qui sera disposée à rendre l’hommage. C’est la blonde qui se décide.

Et tandis que Danièle prodigue une jolie feuille de rose à ma jolie sœur, je reste allongée dans la baignoire en spectatrice, ma tête me tourne un peu !

Cinq minutes plus tard, Louise revient vers moi et me caresse.

- Viens me rejoindre, Danièle ! On va s’en occuper à deux !

Elles m’ont aidées à sortir de la baignoire, m’ont accompagnées sur la moquette du salon et
explorées tout le corps, dans ses moindres détails. Tout n'était que caresses et douceur. Mise sur le ventre, Danièle sous moi, nous étions chatte contre chatte, puis suivant les conseils de ma sœur, tête bêche. Louise me caresse le dos descend sur mes fesses, me les malaxent, passe sa main entre le sillon, s’arrête un instant, trouve mon petit trou et le caresse, le masse. Cette caresse, doublée de la langue de Danièle sur mon bouton me fait cambrer et elle en profite pour de nouveau me pénétrer avec son doigt. Notre amante profite de la situation et le massage de mon anus devient insistant et pénétrant. Je sens son doigt me pénétrer doucement puis se retirer. Je me cambre davantage, l'appelle, il revient et rentre facilement plus loin et commence un doux va-et-vient alternatif avec celui de Danièle. Je suis comme folle, comme une chienne et me cambre encore, suis a quatre patte, ouverte, offerte et encore plus. Je jouis, frotte ma poitrine sur la motte de Danièle. J’ouvre mes fesses, me frotte plus fort contre mon amie. Louise est de nouveau dans mon fondement. Elle pousse, entre, se retire et de nouveau entre dans la petite porte. Je crie, demande « plus » à Danièle, je la lèche à profusion. Le « plus » c'est ma sœur qui me l'offre. Son doigt s’est retiré et je sens la pression de plusieurs doigts dans mon petit trou affamé. C'est gros, énorme et ça rentre lentement, .je suis écartelée et heureuse, Ça rentre dans moi et provoque une décharge électrique si intense que je me vide, ma chatte n'est que ruisseau, fontaine. Jamais je n'ai été si comblée. Maintenant, à penser combien de doigts sont entrés,  me fait un peu peur, mais au fond de moi une envie recommencer me poursuit et en plus mon trou me fait mal, il me brûle et en redemande….

Je suis chienne et j’aime ça… je crois que je vais dormir un peu…