Récits

Mardi 21 mars 2 21 /03 /Mars 14:40

30

 

 

 

 

Comme d'habitude, après la douche, nous nous sommes allongés un instant sur mon lit. Il fait très chaud et nous sommes restés nus. Tom s'est allongé contre moi, sur le côté, sa cuisse relevée repose sur la mienne et il caresse mon sein. Mon bras le long du corps repose sous lui et du bout des doigts je peux à peine toucher le bout de sa tige ; instinctivement il se remonte et vient déposer sa bite et les deux couilles au creux de ma main.

 

- J'aime bien quand tu prends ma bite dans ta main

- Elle est tellement douce à caresser... et très dure, j'aime quand tu bandes.

 

Nous restons ainsi un long moment, moi lui caressant tour à tour sa bite tendue ou ses petites couilles rondes, douces, lui me pelotant un sein ou caressant ma chatte épilée, Nous nous sommes assoupis ainsi un moment ; je me réveille, il dort encore mais il a bougé dans son sommeil : il est maintenant sur le dos, sa bite a ramolli et repose sur son ventre plat. Je regarde avec beaucoup de plaisir mon fils de dix ans dormir nu auprès de moi. Nous faisons ainsi depuis deux ou trois ans où nous avons pris l'habitude de nous doucher ensemble, et comme je vis seule avec lui, je lui ai appris qu'il est normal pour une mère et son fils de se voir nus et se toucher. J'adore savonner son petit corps en m'attardant particulièrement sur ses belles fesses rondes et sa petite trilogie. Je nettoie avec une attention particulière le petit trou de son cul et le gland rose de sa bite que je décalotte doucement avec un immense plaisir. Il me le rend bien car je lui ai aussi appris à bien laver mon anus et ma chatte ; il semble y prendre aussi beaucoup de plaisir et s'applique de son mieux.

 

C'est pour lui un jeu innocent de jouer avec le corps de sa maman, mais moi, ça me trouble de plus en plus et je ne me lasse pas de tripoter les organes de mon fils à chaque occasion ; j'y trouve d'autant plus de plaisir que je les vois grandir lentement au fil du temps. Inconsciemment au début, je sais maintenant que ces attouchements innocents ont un but que je réaliserai un jour : me libérer sexuellement avec mon fils, l'aimer, le faire jouir et me faire pénétrer par cette merveilleuse petite bite pour en jouir à mon tour. Mais il faut pour ça que je passe à l'initiation, aux jeux sexuels et cette période de repos après la douche en fait partie. J'ai aussi pris l'habitude de l'embrasser maintenant sur sa petite bouche plutôt que sur les joues et il me le rend bien ; il m'a dit qu'il aimait mes lèvres sur les siennes. Quand nous parlons de sexe, je caresse sa bite qui durcit rapidement et il me caresse un sein ou la chatte. Nous ne parlons plus de zizi, de nénette ou de tétés, mais nous disons bite, couille, chatte, bander.

 

Mais revenons sur mon lit. Tom est là, à côté de moi endormi sur le dos. Je vais le réveiller doucement, le faire bander et après je le branlerai pour la première fois ; je ne sais pas s'il va jouir ni s'il sait déjà se branler tout seul. Je me penche sur lui dépose un premier baiser sur ses lèvres, je descends vers un téton que j'embrasse aussi, Tom dort encore. Ma bouche descend, je suis tout près de sa bite, je n'ai jamais été aussi proche. J'ai envie de la prendre dans ma bouche et sucer enfin ce petit bâton, mais je ne veux pas bruler les étapes. Je pose un léger baiser sur la bite molle qui commence aussitôt à s'allonger et durcir un peu. Tom sort enfin de sa torpeur et sent ma bouche embrasser sa bite encore une fois.

 

- Oh maman, tu me fais bander !

- Désolée, je t'ai réveillé ?

- Oui mais c'est si bon quand tu t'occupes de ma bite.

- Je vais le faire mieux que d'habitude, je vais te montrer quelque chose de nouveau. Je prends la bite maintenant dure comme du bois entre mes doigts, je décalotte doucement le petit gland et j'y dépose un baiser.

 

- Je vais te branler, tu sais ce que c'est ?

- Non maman, c'est agréable ?

- Oui, très agréable ; à la fin tu vas voir, tu vas peut être jouir, et tu pourras le refaire tout seul

- C'est quoi jouir ?

- C'est avoir un très gros plaisir avec plein de sensations délicieuses dans le sexe.

- Oui, alors vas-y, j'aime beaucoup que tu touches ma bite.

 

Lentement, tout doucement je commence à branler la petite bite ; Tom apprécie, quelques mouvements de bassin le montrent bien. Son gland s'est maintenant un peu lubrifié, je le branle plus facilement et j'accélère la masturbation ; les mouvements de Tom ne trompent pas il aime être branlé et j'espère qu'il va jouir. J'ai assez branlé les bites de mes copains et de mes cousins quand j'étais ado, je sais quand et comment faire jouir un homme et voir son sperme gicler ; mais là je ne sais pas comment va réagir mon fils de dix ans, s'il n'est pas trop jeune pour jouir sans sperme.

 

Tom se crispe un peu, ses mouvements sont plus saccadés, je sens que le but est proche. Je ralentis un peu la branlette, j'allonge la course de mes doigts... Tom est tout raide... mes doigts remontent lentement le prépuce sur le gland... redescendent en le décalottant... je recommence... Tom se crispe donne trois coups de reins vers l'avant comme s'il voulait enfoncer sa bite dans l'étui de mes doigts. –

 

- Maman, je jouis, je crois que je jouis !

- Oui mon Tom, jouis bien, encore.

 

Je le branle encore quelques instants. Puis Tom se détend se relève un peu pour embrasser mes lèvres,

 

- C'est ça branler et jouir ?, tu avais raison c'est délicieux, on le refera.

- Je te l'avais bien dit, faut toujours faire confiance à sa maman ! Tu as vu le mouvement, tu peux le faire tout seul, branler ta bite dans ta main, on appelle aussi ça se masturber.

- D'accord j'essaierai dans un moment, là, ça m'a fatigué. Mais toi tu n'as pas de bite, tu ne peux pas te masturber et jouir ?

- Mais si bien sûr, mais autrement, je peux caresser ma chatte et mon clitoris, tu sais le petit bouton que je t'ai montré hier. Je peux aussi entrer mes doigts ou un objet dans le trou de ma chatte et me faire jouir comme avec une bite.

- Alors montre-moi, masturbe-toi et fais-toi jouir, après je me masturberai aussi, puis tu pourras m'apprendre à te branler et te faire jouir à mon tour.

 

J'hésite mais je ne peux pas refuser, je dois me masturber devant mon fils c'est indispensable pour la suite et en fait ça m'excite beaucoup ; et puis Tom est si réceptif à mon éducation sexuelle ! Je m'allonge, j'écarte mes jambes pour qu'il voie bien et je commence à caresser ma chatte, le plaisir monte et j'en oublie la présence de mon fils. Mais non, je me branle pour lui, il faut qu'il me voie jouir ! Je dois rester bien consciente, j'ajoute un doigt dans mon vagin, je mouille comme jamais, je me branle, je me branle... Je me crispe, je crie, je jouis, je me détends. C'est merveilleux, je me suis masturbée avec mon fils comme spectateur, j'ai joui énormément et il a aimé, je le vois bien à sa splendide érection et son air satisfait. Je me redresse, prends son visage entre mes mains et dépose un baiser appuyé sur sa bouche, insérant ma langue juste entre ses lèvres douces pour la première fois.

 

- À moi maintenant, je vais me branler, me masturber comme tu m'as appris.

 

Et sans aucune gêne Tom s'allonge sur le dos, prend sa bite dans sa main et commence le va-et-vient de sa branlette, c'est normal devant sa maman. Ou il a tout compris ou c'est d'instinct, mais je vois que sa masturbation lui apporte beaucoup de plaisir, il semble un moment chercher le bon rythme accélérant ou ralentissant le branle de sa bite En peu de temps les signes du plaisir croissent puis il ralentit comme s'il voulait faire durer le plaisir et retarder la jouissance. Un dernier coup de rein, un petit cri et il se détend.

 

- Maman, je me suis masturbé et je me suis fait jouir, tu m'as appris quelque chose de super !

- Tu pourras te branler tous les soirs avant de t'endormir comme je le fais moi même.

- À toi, apprends-moi à te branler, on pourra aussi se masturber sur ton lit après la douche comme aujourd'hui.

 

Je montre donc à Tom avec conseils à l'appui, comment branler et faire jouir sa maman... et ses futures copines. Il faut dire que Tom doit être doué car ses doigts graciles font merveille, il ne lui faut pas longtemps pour me faire jouir et mes petits cris de plaisir l'amusent beaucoup. Il est quand même étonné de retirer ses doigts tout trempés de mon vagin. Je dois lui expliquer la nécessité d'une lubrification, pour un meilleur plaisir lorsqu'un garçon baise la chatte d'une fille ; mais il ne semble pas intéressé pour passer à ce stade, je suis d'accord, je veux le sucer avant.

 

Ce week-end Tom est parti dormir chez son copain Benoît pour l'anniversaire de celui-ci.

 

Je me sens un peu seule le soir sans mon petit mâle et sa bite ; heureusement j'ai fait quelques photos de nos branlettes et c'est en les visionnant que je me masturbe avant de dormir, et avec l'aide d'un gode dans l'anus et du vibromasseur dans la chatte j'atteins un très bel orgasme. Depuis ma complicité sexuelle avec Tom je n'avais pas ressorti ces deux compagnons et je les retrouve avec plaisir.

 

Le dimanche soir Benoît et son père raccompagnent Tom à la maison. Benoît a presque un an de plus que Tom mais il n'est pas plus grand, il est aussi beau garçon et je me demande s'il jute déjà ou s'il jouit encore à sec comme Tom, mais je suis certaine qu'il se masturbe car il me regarde drôlement.

 

Jacques, le père de Benoît est un bel homme, il remplacerait bien Tom avec une queue bien plus grosse ; mais je me suis promise de ne pas remplacer le père de Tom tant que je n'aurai pas fini son initiation sexuelle, c'est à dire tant qu'il ne m'aurait pas baisée.

 

Une fois Benoît et Jacques partis nous nous déshabillons tous les deux, nous nous retrouvons sur mon lit après une douche très "tactile".

 

- Ta jolie bite m'a manqué, je me suis masturbée deux fois. Mais toi tu n’as pas pu te branler avec la présence de Benoît, tu as dormi dans sa chambre ?

- Ils avaient mis un matelas par terre, mais très inconfortable alors comme Benoît a un grand lit dans sa chambre je suis allé avec lui.

- Dormir ?

- Non pas tout de suite, avec Benoît on a parlé d'un peu de tout pour finir par parler de sexe. Il m'a raconté qu'il s'était branlé cet été avec son cousin ; mais en fait c'était pour savoir si je me masturbais aussi comme lui.

- Tu n'as rien dit pour nous deux ?

- Non, t'inquiète ! On a commencé à se chatouiller, puis à se toucher alors j'ai compris qu'il était d'accord pour qu'on se branle. On a enlevé nos pyjamas, on s'est un peu tripoté la bite et les couilles puis il m'a proposé de me branler,

- Tu l'as laissé faire ?

- Oui, il sait très bien branler, j'ai bien joui. Et je l'ai branlé aussi.

- Elle est jolie, sa bite ?

- Très jolie, bien dure et droite comme la mienne mais un peu plus grosse et j'ai vu comme un peu de duvet au bas de son ventre.

- Il commence peut être la puberté, il a juté quand tu l'as branlé ?

- Oui, juste un peu de blanc sur le gland, comme tu m'as expliqué.

- Alors tu as passé une bonne soirée ? Continue à me raconter.

- Oui une bonne soirée ; après on n'a pas remis les pyjamas on a dormi tous nus, il a l'habitude avec son père.

- Ils font comme nous ?

- Son père est venu nous réveiller, il n'a pas eu l'air étonné de nous voir nus. Il a même soulevé les draps pour nous voir, il a dit "Ha !, vous ne bandez pas ? ". C'est là que j'ai réalisé qu'il était nu lui aussi avec sa grosse bite bien dressée.

- Il vous a touchés ?

- Il a rapidement passé sa main sur nos bites puis il est parti préparer les déjeuners en disant "Branlez-vous, je reviens"

- Vous l'avez fait ?

- Oui, Benoît m'a branlé le premier, puis son père est entré avec un plateau juste quand Benoît jouissait. On a déjeuné tous les trois sur le lit de Benoît, assis en tailleur, les bites dressées entre nos jambes écartées, ça faisait un joli spectacle !

- Jacques aussi était à poil ?

- Bien sûr, et il m'a parlé de Benoît, comment il faisait son éducation sexuelle, comme toi il lui a appris à se masturber et à le branler.

- Alors Jacques branle Benoit et Benoit branle aussi Jacques ?

- Oui, comme nous ! Ils m'ont montré...

- Leur branlette ?, Jacques a juté ?

- Oui, Benoît l’a branlé et l'a fait juter, c'est blanc, un peu visqueux, comme une crème. Après Jacques m'a branlé et pendant ce temps j'ai commencé à tripoter sa grosse queue et ses couilles.

- Tu as aimé ça, une grosse queue d'adulte pleine de poils ?

- Non, il se rase la bite et les couilles, pas un poil. Après m'avoir fait jouir il m'a demandé de le branler, je l'ai fait et il m'a trouvé bon branleur, il a joui en jutant du sperme sur ma main.

- Tu en auras bientôt du sperme, tu vois Benoît commence. Ils t'ont donc raconté qu'ils se branlent entre père et fils ?

- Ils m'ont tout raconté, ils ont aussi commencé à se doucher ensemble puis à se toucher et finalement Jacques a commencé à lui apprendre le sexe. Maintenant ils font aussi d'autres choses.

- Ha bon ?, lesquelles ?

- Ben. Jacques prend la bite de Benoît dans sa bouche et il la suce comme une glace jusqu'à ce que Benoît jouisse, il paraît que c'est le meilleur du sexe.

- Oui, dans la bouche c'est bien le meilleur, et Benoît le suce aussi ?

- Oui, mais Jacques ne veut pas jouir et mettre son sperme dans la bouche de Benoît car il est trop petit, alors il se retire avant et ça ne plait pas à Benoît. Il m'a dit qu'il avait gouté le sperme sur sa main que c'était trop bon, il lui tarde que Jacques le trouve assez grand pour avaler toute une giclée de sperme.

- Il a tort, c'est très bon le sperme, moi j'aime l'avaler et à son âge Benoît peut le faire, moi je le faisais à son âge. Et ils ne font pas autre chose ?

- Tu veux dire entre garçons, se mettre la bite dans le cul ?

- Oui, ou s'enculer si tu préfères !

- Si justement, après le déjeuner Benoît m'a tout raconté, comment il encule Jacques et comment Jacques l'encule malgré sa grosse bite maintenant ça ne lui fait plus mal mais beaucoup de plaisir. Il m'a dit pour me rendre jaloux "Tu n'as pas de chance, ta maman ne pourra jamais t'enculer" juste te sucer.

- Non, mais je pourrai te mettre un gode.

- Un gode ?

- Oui, une fausse bite en plastique, j'en ai plusieurs de différentes tailles. Et finalement tu as aussi raconté nos branlettes ?

- Oui, je te demande pardon, j'avais promis. Après avoir branlé Jacques ça m'a échappé qu'on se branlait ensemble, mais je crois qu'en réalité ça leur a bien plu, surtout à Jacques qui a eu un petit sourire mystérieux.

- Tu n’aurais pas dû, mais c'est fait ! Pour te punir je vais te sucer, Benoît et Jacques ne l'ont pas fait ?

- Non, j'aurais aimé, mais je préfère que tu sois la première.

 

Tout excitée par ses récits et la chatte trempée, je me suis penchée sur la bouche de Tom dont ma langue a pris possession, il a aussitôt répondu à mon baiser en mêlant sa langue à la mienne, un baiser passion comme, ça me manquait depuis longtemps.

 

- Tu veux un gode avant ou après que je te suce ?

- Après, suce-moi vite, je suis impatient.

 

Alors je me baisse, je prends la belle tige bien raide dans ma bouche, je la décalotte avec mes lèvres puis la suce longuement, d'abord le petit gland, puis la bite entière. Quand Tom jouit, j'ai cru qu'il s'évanouissait tellement sa réaction a été forte ; je sens un goût âpre sur son gland, avait-il juté un tout petit peu de sperme ? J'avais trop léché le gland il n'y a aucune trace. Une autre fois ?

 

Puis, comme promis, on passe au gode ; j'en choisis un plutôt long mais pas trop large que je juge idéal pour le dépucelage du petit trou de mon Tom. Avec une bonne dose de gel lubrifiant, j'introduis facilement le gode dans l'anus de Tom et je commence un va-et-vient tout en branlant la petite queue de Tom. Il jouit une nouvelle fois.

 

- C’est bon avec le gode, un peu comme si tu m'enculais

 

Après avoir ressorti le gode, je le laisse reprendre ses esprits, mais il a déjà avancé sa main vers ma chatte pour me branler.

 

- Non, ta punition n'est pas finie, c'est à toi de me sucer. En tout cas ta bite a bon goût.

- Comment fais-je ?

- Un peu comme quand tu me branles mais avec la bouche et la langue au lieu de tes doigts. Viens entre mes jambes.

 

Et Tom a déjà compris, il commence lentement à lécher la fente, les lèvres et le clitoris ; j'essaie de ne pas trop mouiller : Il n'est pas habitué au goût d'une chatte. Finalement, pour un premier cunnilingus Tom s'en sort assez bien et me procure un très bel orgasme.

 

- C’était très bien, mon Tom, une autre fois on essayera un 69.

- 69 ?

- Oui, on se met tête-bêche et on peut chacun sucer l'autre en même temps qu'on est sucé.

- Ha oui !, Benoit m'en a parlé avec son père.

- M : Ah, son père ! Je vais lui parler. Tu vas inviter Benoît à dormir à la maison le prochain weekend, il va sûrement l'accompagner.

- Mais on n'a pas de place !

- Mais si, comme chez Benoît vous dormirez ensemble dans ton lit, vous pourrez vous branler, je vous amènerai le petit déjeuner comme Jacques...

 

Jacques et Benoît arrivent plus tôt que prévu et avec Tom on s'est habillés pour les recevoir. Moi très légèrement, une jupe assez courte un haut plutôt décolleté et bien sûr sans sous-vêtements.

 

- Maman, tu es canon et très sexy, j'espère que tu vas faire bander Jacques et Benoît.

- Si j'écarte un peu les jambes, à coup sûr.

 

Les présentations sont vite faites, je pense bien plaire à Jacques avec ma tenue ; je les trouve, père et fils plutôt beaux, en tout cas bien à mon goût pour la suite. J'invite Jacques à rester diner plutôt que de rentrer seul tout de suite, il accepte et nous allons discuter de nos fils assis sur le canapé et devant un apéritif. Les deux garçons sont invités à aller se doucher pendant ce temps. La douche me parait longue et ponctuée d'éclats de rire. On continue nos discussions sur l'éducation avec Jacques qui m'appelle vite par mon prénom : Marion.

 

Les garçons déboulent dans le séjour après la douche pour prendre quelques biscuits d'apéritif, ils sont nus sous leur serviette de bain enroulée à la taille. Quand Benoît passe à portée de Jacques, il étend le bras pour saisir la serviette de bain et la défait brusquement en disant :

 

- C'est bien dommage de cacher de si beaux garçons avec de si jolis attributs, dit-il à son fils.

 

Je crois que c'est à ce moment que Jacques a lancé une soirée qui s'annonce bien ! À son tour Tom vient près de moi visiblement pour que je lui enlève sa serviette.

 

- Ils sont beaux, nos garçons ! Dis-je à Jacques.

 

Avec Jaques, nous contemplons sans gêne les deux adolescents qui s'exposent nus, debout devant nous les mains croisées derrière le dos et leurs petites bites tendues fièrement vers le ciel.

 

- Oui, on ne saurait lequel choisir, me répond Jacques.

- Benoît vous ressemble beaucoup, il a votre visage et il est un peu plus développé que Tom.

- Oui, il me ressemble de partout ! Et il commence bien la puberté, il jute un peu.

 

Ça y est, on a commencé à parler de sexe ! Je mouille un peu et je vois que le pantalon de Jacques se tend.

 

- Tom vous a raconté comment je m'occupe bien de l'éducation de Benoît ?

- Et aussi sexuelle, c'est important de parler de sexe aux enfants.

- Mais ce n'est pas facile de parler de ça.

- Le plus simple c'est par l'exemple.

- Oui, vous le savez c'est par l'exemple que j'ai montré à Benoît comment faire.

- Tom m'a raconté comment vous vous impliquez physiquement.

- Oui, vous aussi je crois.

- Mais en parent unique on ne peut pas tout montrer, je crois que vous êtes allé au fond des choses ?

- Oui, au fond... . On devrait échanger nos rôles, on se complétera.

 

C'est l'heure de préparer le repas, Jacques insiste pour m'aider, il se frôle à moi autant qu'il peut et je lui offre un maximum de perspectives sur mes cuisses et mes petits seins au travers du décolleté.

 

Puis, le repas prêt, nous allons chercher les garçons dans la chambre de Tom dont la porte est restée ouverte. Je m'attendais à les voir se tripoter mais le spectacle est bien au-delà. Les deux garçons sont sur le lit, couchés sur le côté, en train de se sucer en 69. En nous voyant arriver un petit signe nous invite à les regarder terminer leurs ébats. Tom jouit le premier puis Benoît jute dans la bouche de Tom, un peu surpris mais heureux de gouter enfin un peu du sperme de son ami.

 

- Très joli, on vous attend en bas pour diner, leur dis-je.

 

Nous redescendons, suivis de près par les enfants, toujours nus et j’entends Tom dans mon dos nous interpeller.

 

- Mais c'est indécent, vous n'allez tout de même pas manger tout habillés ? À poil comme nous !

 

Je suis leur hôte, je dois donner l'exemple ; sans hésiter et presque soulagée j'enlève le haut aussitôt, puis la jupe tombe et je me présente nue à la vue de Jacques et Benoît. Jacques a aussi vite fait pour enlever sa chemise, il a un beau torse musclé et imberbe. Il a défait la ceinture de son pantalon mais avec la pression de la queue gonflée en-dessous il a du mal à ouvrir la braguette. Benoît se précipite et d'un geste sûr il ouvre la fermeture éclair et sort la bite bien raide de son père. Puis nous passons à table pour un repas normal entre amis... sauf à la fin. Les garçons enlèvent les assiettes pour le dessert, puis ils reviennent de la cuisine avec une bombe de crème chantilly. Ils s'assoient sur le bord de la table, Benoît devant moi, Tom devant Jacques, leurs bites bien bandées et tendues vers l'avant et y déposent une bonne dose de chantilly ; je suis gênée.

 

- C'est le dessert, vous pouvez nous manger, nous lance mon fils.

- D'accord, vous aurais le vôtre après. Lui rétorque Jacques.

 

Et pour me mettre à l'aise, Jacques commence le premier à lécher la crème sur la bite de Tom.

 

- Allez-y, mangez aussi, m’encourage-t-il.

- Non, après, je préfère te regarder sucer mon Tom, il est aux anges.

 

Jacques sait y faire sans doute un long entrainement à sucer Benoît. Ou qui d'autre ? Tom ne tarde pas à jouir

 

- Jacques, tu suces presque aussi bien que maman.

 

Je ne fais pas attendre Benoît trop longtemps et je me mets aussi à le sucer, la chantilly d'abord puis la bite, lentement, longuement ; son père me regarde avec délice. Puis Benoît jouit enfin, il se retenait au mieux et je sens une goutte couler de son gland sur ma langue ; trop peu de sperme, mais il a sacrément bon goût !

 

- Je crois que c'est quand même ta mère qui suce le mieux, sort Benoît.

- Venez prendre votre dessert sur le canapé, les garçons.

 

Nous nous asseyons côte à côte au bord du canapé avec Jacques, les jambes écartées, bien accessibles. Nous avons droit à notre nappage de chantilly puis les garçons se mettent à genoux devant nos sexes et ils commencent à nous sucer. Benoît est un peu maladroit au début, c'est sa première chatte ! Tom a du mal à avaler la grosse queue de Jacques ; mais ils aiment le sexe, s'appliquent bien et nous font jouir presque ensemble. Seul Tom a du mal avec le sperme abondant de Jacques et il ne tente pas de tout avaler, il préfère le laisser couler de sa bouche sur la queue de Jacques.

 

- C'est bon le sperme, Jacques, j'aime bien mais il y en avait trop

- T'excuse pas, c'est normal, ça viendra avec l'habitude, tu le resuceras plus tard.

- C'est quand même très bon une chatte, très gouteux aussi, merci Marion.

 

Puis je me découvre la grosse queue de Jacques tripotant ses couilles rasées de frais, sa bite bien raide ; juste la bonne taille pour moi : assez longue mais de trop gros diamètre. Et au tour de Jacques de me tripoter caressant mes seins, ma chatte, il me complimente sur la rondeur et la fermeté de mes petits seins comme il les aime et la bonne lubrification de ma chatte.

 

La soirée se déroule ainsi entre tripotage branle et suce, au hasard des partenaires. Puis les garçons décident que Jacques et moi nous devons baiser ensemble et surtout qu'ils doivent regarder ce spectacle qui s'annonce magnifique. Alors on monte dans ma chambre, les garçons assis au bord du lit, nous commençons par quelques caresses.

 

- Vous pouvez vous branler en nous regardant, leur dit Jacques.

- Vous pouvez aussi nous caresser, nous toucher partout, ajouté-je.

 

Et ils ne se font pas prier pour exciter nos sens, leurs mains, leurs bouches et leurs sexes se baladant partout autour de nous. Nous baisons comme de vieux amants qui se connaissent bien sexuellement et savent se procurer des orgasmes simultanés et intenses. Nous retombons épuisés sur le lit couchés sur le dos, offerts à nos enfants qui se précipitent pour nous lécher, nettoyer nos sexes du sperme de Jacques et de ma mouille. Benoît vient lécher ma chatte en premier pendant que Tom nettoie la bite de Jacques. Puis avant de changer de place ils viennent nous faire goûter leurs trophées qui changent de bouche se mélangeant sans distinction entre homme, femme, garçon. Les baisers au goût de sperme sont délicieux sur les lèvres de mes trois amants, Tom et Benoît échangent leur premier baiser. Enfin Tom avale un peu de sperme de Jacques qui sortait encore de ma chatte et Benoît finit de sucer son papa.

 

La séance se termine par une douche collective avant d'aller se coucher, moi dans les bras de Jacques, Tom dans ceux de Benoît.

 

 

Finalement Jacques ne repart que le lendemain matin car il travaille l'après-midi. Cela nous laisse du temps pour dormir (un peu) et pour baiser, branler, sucer (beaucoup).

 

En fin de matinée je m'habille et sors faire quelques courses pendant que les garçons dorment encore, nus sur le lit de Tom. A mon retour ils se réveillent à peine, et étonnés de me voir habillée, ils ont tôt fait de me remettre à poil ! Deux pipes et un cunnilingus plus tard en guise d'apéritif et nous passons à table. Mais la nuit a été courte et agitée, une courte sieste sans sexe nous repose. C'est vers 15 heures que je suis réveillée par le gode que Tom et Benoît font jouer dans ma chatte ; en quelques va-et-vient je suis remise en forme, et bien mouillée je jouis vite. J'embrasse les deux jeunes bouches à pleine langue, puis ils se roulent une bonne pelle entre eux ; j'avais oublié l'éducation sexuelle de Benoît et l'adhésion de Tom à celle-ci.

 

- Ça avait l'air super quand vous avez baisé avec Jacques, il semble que vous avez énormément joui, me dit Tom.

- Oui, Jacques est un très bon coup, il se sert si bien de sa bite !

- Je la bien connais sa bite, lance Benoît, elle est super. Mais nous ce qu'on ne connait pas c'est la chatte, comment ça fait quand on baise dans une chatte.

- Je veux bien vous faire essayer, mais vous êtes puceaux, c'est important : comment et avec qui on est dépucelé.

- Tu avais choisi, maman, avec qui ?

- Moi, c'est ton grand-père, c'est sa bite que je voulais et grand-mère était d'accord, c'est elle qui m'avait appris à le branler et le sucer. Elle était là quand on l'a fait pour mes douze ans. Grand-père m'a dépucelée et il a joui dans ma chatte c'était une sensation merveilleuse. Puis grand-mère a versé du champagne sur ma chatte en recueillant dans une coupe le mélange de champagne, de sperme de grand-père et d'un peu de sang de mon pucelage ; ensuite on en a bu une gorgée à tour de rôle.

- Maman, ça serait bien que tu nous dépucelles aujourd'hui.

- J'attends ça depuis le premier jour où je t'ai vu bander. Mais toi, Benoît que va dire Jacques ?

- On en a déjà parlé : il m'a dit "je t'ai dépucelé du cul, je n'ai pas de femme mais tu sauras trouver la bonne".

- Et tu aimerais que ce soit moi ?

- Oui, tu es bonne !

- C'est ça, flatte ma mère ! Mais je suis son fils j'ai la priorité, en plus je serai le premier ado qui la  baise.

- Pfff, une p'tite bite qui ne jute pas ! Le taquine Benoît.

- Allons les garçons ne vous chamaillez pas. Ce sera Tom d'abord et Benoît ensuite.

- Je peux rester vous regarder ?

- T : Bien sûr, Benoît, tu seras mon témoin et regarde bien comment il faut faire !

 

On va d'abord prendre une douche tous les trois, six mains qui ont beaucoup à explorer, caresser, mais personne ne jouit, on se réserve.

 

On se retrouve peu après sur mon lit, l'impatience des garçons leur donne deux érections magnifiques, je suis gâtée. Je m'allonge sur le dos, jambes bien ouvertes et Tom vient sur moi. Un baiser profond commence à nous unir, je sens la petite bite dure contre mon ventre, mon cœur bat vite. Tom essaie maladroitement de pousser sa queue dans ma chatte, je la prends en main et je la guide dans mon vagin. La sensation est délicieuse, la bite trop petite glisse facilement à l'intérieur de mon corps, j'essaie de serrer mes muscles au mieux, Tom le sent et me sourit. Benoît nous regarde en se branlant lentement.

 

- Ça y est, mon Tom, tu es dans la chatte de ta mère ; donne-lui du plaisir et surtout prends en toi-même pour ta première baise.

- Oui maman, c'est tellement doux dans toi, je vais essayer de te faire jouir.

 

Puis il commence le va-et-vient tant attendu, lentement, doucement, il accélère, ralentit. La bite est vraiment petite, je ne sais pas s'il va me faire jouir mais je commence à perdre mon contrôle et j'y vais d'un mouvement des reins pour l'accompagner. Benoît s'approche, il a lâché sa queue pour caresser mes seins et les fesses de Tom, il glisse même une main entre nos corps pour toucher nos sexes unis, ma chatte, les couilles de Tom. Puis tout s'accélère, le rythme de nos respirations, les coups de bite de Tom, il s'arrête un instant, il va jouir, non il reprend lentement, puis en deux coups de queue il nous fait jouir tous les deux, il crie, je crie, nous sommes heureux. Enfin la tension retombe on se détend avec un immense baiser où se mêlent nos langues. Tom se retire doucement, à regret, Benoît et lui contemplent la bite de Tom et ma chatte humide et gonflée de plaisir.

 

- Benoît, tu nous nettoies ?

- Bien sûr, avec plaisir et je vais vous faire goûter.

 

Il nettoie d'abord Tom à grand coups de langue, la bite, les couilles ; puis il vient me lécher, il recueille la mouille de ma chatte et tour à tour vient nous embrasser en échangeant le précieux liquide, c'est délicieux. Mon fils m'a baisée et je déguste le fruit de notre amour, c'est extraordinaire. J'ai fait l'amour avec mon fils, mon envie d'inceste est comblée, et après mon dépucelage par mon père la boucle est bouclée.

 

Je prends un long moment de repos à caresser les deux corps des gamins impubères, et j'invite Benoît qui s'impatiente à venir baiser ma chatte à son tour. Il n'est pas plus adroit que Tom bien qu'il doive savoir guider sa queue en enculant son père, et c'est la main de Tom qui le guide dans la chatte de sa mère puis entre ses jambes, il lui caresse les couilles pour l'encourager. La bite un peu plus grosse est plus agréable que celle de Tom mais nous ne jouissons pas plus vite ; mon excitation est retombée et Benoît est plus maladroit mais c'est quand même un bel orgasme qu'il me procure. Benoît, lui, est tout heureux :

 

- J'ai baisé, j'ai baisé ! Marion tu es super bonne... J'ai juté dans ta chatte !

 

Et c'est au tour de Tom de venir nous nettoyer avec sa langue et échanger ma mouille avec les autres. Je lui trouve un goût un peu différent, peut-être le peu de sperme de Benoît ?

 

Mais les enfants sont toujours prêts et Tom propose une nouvelle expérience : Me baiser à deux, ce qui me plait bien, leurs bites sont petites et à deux ça devrait le faire ! Ils manquent d'expérience pour cette position mais je l'ai déjà fait avec mes deux cousins. Je mets Tom sur le dos, je m'empale sur sa queue, me penche en avant jambes écartées et Benoît vient glisser la sienne dans mon anus. Même sans lubrifiant la queue est fine et entre facilement pour mon grand plaisir, il y a si longtemps que je n'ai pas été enculée.

 

En fin de journée après son travail Jacques vient chercher Benoît, nous lui racontons nos expériences de l'après-midi, il me remercie d'avoir dépucelé son fils. Puis, c'est bien sûr encore l'occasion d'embrasser, caresser, peloter, branler, sucer et baiser. Toutes les combinaisons bite, bouche, chatte, anus y passent, tous nos trous sont comblés, toutes les couilles sont vidées. Puis, à regret Jacques et Benoît s'en vont après les derniers baisers langoureux.

 

Ce soir-là Tom et moi dormons enlacés mais trop fatigués pour le moindre jeu sexuel. Comme on se l'était promis nous avons passé de nombreux week-ends ensemble à baiser comme des fous, puis Jacques a été muté loin de chez nous et on s'est perdus de vue.

 

Je n'ai qu'un regret, c'est de n'avoir connu que des bites dans ces jeux sexuels, j'aurai bien aimé y trouver au moins une autre fille adulte ou de l'âge des garçons peu importe. J'ai encore le souvenir de bonnes séances de gouinage avec ma cousine, ça me manque un peu, maintenant que j'ai assouvi mon désir de Tom. Je vais chercher, je vais trouver, Tom aimera ça mais il ne le sait pas encore.

 

 

Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : inceste
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 20 octobre 4 20 /10 /Oct 18:26

 

3047



 

 

C'est un de ces moments fantastiquement langoureux. L'intensité de l'orgasme a laissé mon esprit vide. Mon corps est si faible que je reste allongé sur le canapé, de peur que je ne puisse juste m'écrouler sur le sol. J'ouvre les yeux et vois le dos de Manon, légèrement hâlé, ses fesses pâles, montant et descendant mécaniquement, automatiquement, sur mon pieu mollissant. Ma femme est encore en train de terminer son intense et puissant orgasme, je suis lessivé.

J'entends un bruit, et là, dans la porte j'aperçois Sarah, notre plus jeune fille. Elle a seulement  quinze ans, mais elle est tellement mature. Elle nous a regardé faire l'amour... observant ma longue et épaisse bite coulissant dans la chatte de sa mère jusqu'à ce que finalement nous avons tous les deux atteint le septième ciel. Sarah nous regarde avec passion, sa propre excitation frôle le voyeurisme. L'entrejambe de son collant blanc est plaqué sur les lèvres de sa jeune chatte et son excitation l'a souillé jusqu'à assombrir la mince bande de tissu tirée dans sa fente. C'est une magnifique fille, ses longs cheveux blonds en cascade sur son dos, ses longues jambes musclées et bronzées. Je ressens le besoin de dire quelque chose à ma femme, que notre fille nous regarde faire l'amour... la prévenir... mais je suis tellement exténué que je ne peux pas parler. D'une certaine manière, il ne semble pas que ce soit important... tout cela me semble si... si naturel.

Ma bite se ramollit et le nœud sort hors de sa chatte. Il est lubrifié avec nos fluides, brillant dans la lumière du feu qui brûle à côté de nous. Le mouvement rythmique de Manon est si subtil maintenant que je ne peux discerner les contractions de ses épaules, je ne peux pas détecter la petite montée et la chute de son corps. Elle me chevauche encore, et sous la fente de ses fesses je peux voir les gouttelettes visqueuses, résultant de notre friction, dégoulinant d'elle et se coller sur les poils de mes cuisses. Sa main droite passe derrière entre ses cuisses entrouvertes, et je sens les doigts de Manon s'enrouler autour de ma queue molle. Manon se relève, balançant sa jambe sur ma poitrine. Je peux voir ses cuisses briller de nos sécrétions. Elle se dirige vers la chaise où sont posées nos serviettes. De sa silhouette projetée sur le mur j'observe Manon qui se nettoie. Je regarde autour de la salle éclairée uniquement avec les flammes, mais elle ne peut voir Sarah. Manon quitte la pièce. Je me couche nu sur mon dos et ferme les yeux.

Sarah ne se retourne pas quand j'arrive dans la véranda, elle regarde dehors soit l'obscurité glacée du jardin ou les mouvements rapides des cumulus dans le ciel étoilé. Je sens que je dois parler à ma fille, lui dire quelque chose... lui expliquer... Je sens qu'elle est troublée par ce qu'elle a vu, mais je ne sais pas ce que c'est. Je m'avance pour poser mes mains sur ses épaules dans un geste paternel. Elle ne bronche pas, elle sait que je suis là. Je veux appuyer mon corps contre elle, mais elle est indubitablement bouleversée... il me semble qu'il est difficile pour nous deux de se réconcilier... retrouver notre intimité après l'acte dont elle a été le témoin. J'ai, tout à coup, un besoin irrépressible de partager avec elle. Sarah partage notre amour de parents, mais n'a jamais réellement été témoin de notre amour physique jusqu'à maintenant. Je peux comprendre qu'elle courbe son dos, et la façon dont ses épaules se dérobent sous mes paumes. Je demande à Sarah si elle veut revenir à l'intérieur à côté de la cheminée qui crépite. Il fait froid sous la véranda. Elle se retourne, et pour la première fois se rend compte que je suis toujours nu. Ses yeux semblent briller malicieusement dans la lumière des flammes et il me semble y détecter un petit sourire quand ma bite touche par inadvertance sa cuisse. Je frissonne à ce contact mais pas à cause du froid.

– Viens à l'intérieur, avant que ton pauvre papa n'attrape une pneumonie.

Lui dis-je avec un petit sourire. Je la fais asseoir sur le canapé en face du feu et pars à la recherche de ma femme. Manon est dans la cuisine. Je lui raconte tout, à l'exception du fait que l'idée de notre propre fille nous a vu faire l'amour m'a super excité. Mais Manon n'est pas une imbécile. Elle se blottit contre mon torse.

– Tu veux la baiser, non ?

Que puis-je dire. Je hausse les épaules évasivement et juste la regarde gauchement. Je ne peux jamais mentir avec succès à Manon.

– C'est bon... Laisse-moi faire.

Murmure-t-elle.

– Maintenant, va lui tenir compagnie pendant que je nous prépare à boire.

Je secoue la tête incrédule, mais je fais ce que dit Manon... d'ailleurs je le fais toujours. Sarah est toujours sur le canapé où je l'ai quittée, elle gigote d'inquiétude. Nous sommes assis à côté, séparés par la largeur d'une paume de main pour la bienséance, elle dans son justaucorps brillant pendant que le même regard que sa mère, serein mais avec un soupçon alléchant de malice. Les taches de rousseur sur ses joues brillent à la lueur des flammes. Je peux sentir la chaleur de la flamme. Il me tarde de savourer ce jeune petit animal, se régalant de sa chair tendre avec mes mains, mais c'est inapproprié. Manon entre dans la pièce. Elle porte un plateau avec une bouteille de vin et trois verres, elle le pose sur la table devant le canapé. Elle est vêtue d'une robe de soie translucide qui arrive à peine en haut de ses cuisses et qui avec les flammes cache peu de choses. Ses cheveux brun clair tombent sur ses épaules.

Cinq minutes se sont écoulées quand je reviens au salon, après avoir pris une douche. Du haut de l'escalier je peux apercevoir Manon et Sarah assises côte à côte sur le canapé. Leurs silhouettes sont pales mais la robe de ma femme fait une tache lumineuse sur la blancheur du justaucorps de Sarah. Je descends les escaliers et m'avance vers le canapé. Pendant un instant je pense que Sarah pleure. Sa tête est pratiquement enfouie sous l'aisselle de sa mère qui lui caresse le dos. Mes pieds nus me donnent une démarche silencieuse mais Manon me regarde comme je m'approche. Je saisis le message silencieux qu'elle m'adresse. Lentement les caresses de Manon descendent les bretelles du justaucorps des épaules de Sarah. Je pose mes mains sur le cou de Sarah, mes doigts demeurent sur sa nuque. J'aide à pousser les bretelles vers le bas des bras de ma fille et pose mes mains sur ses épaules comme je l'ai fait plus tôt dans la véranda. Encore une fois, je veux appuyer mon corps contre son dos. Manon caresse la joue et le cou de Sarah. Je regarde ma femme qui baisse lentement le haut du justaucorps. J'aperçois sa jeune poitrine ferme émerger à la lumière, les mamelons de Sarah sont tendus, presque aussi gros que ceux de sa mère et ils sont bien raides. Il me tarde de les pincer, ou du moins poser mes mains sur ses seins comme je le fais sur ses épaules, mais je regarde le nez et la bouche de Manon tracer une ligne de baisers et de pressions entre les seins de sa fille.

 

1 (3)

 

Pendant un moment, je suis ravi. Regarder ma femme avoir une étreinte intime avec notre fille est difficile à croire, mais la vue est incroyable. Je regarde la poitrine de ma fille révélée dans toute sa splendeur. Elle est si jeune et si belle. Je me sens attiré par elle, contraint d'adorer son jeune corps de rêve que ma femme est en train de dénuder lentement, je me mets à genoux, je presse mon visage sous les cheveux de ma fille et l'embrasse dans le cou. Je sens le souffle. Je ferme les yeux et enfoui mon visage sur sa nuque et me noie dans sa chevelure blonde et soyeuse. A l'aveugle, ma main gauche commence l'exploration de son corps. Je descends lentement ma main sur son avant-bras et mon esprit imagine la scène, sa peau colorée par ses taches de rousseurs. Instinctivement, je sais que Manon a changé. Comme je l'embrasse les cheveux de Sarah ma main remonte sur ses côtes et mes doigts sentent le bas de son sein gauche. Mes doigts remontent sur son sein jusqu'à ce que je sente son mamelon entre mon majeur et mon index. Je serre mes doigts, serrant sa poitrine et pinçant son mamelon tendrement, doucement. Dieu, je caresse ma propre fille ! Quel bonheur.

Pour voir ce que fait Manon je recule mon visage des cheveux de Sarah. Celle-ci est presque à genoux sur le canapé. Le justaucorps de Sarah est baissé juste au-dessous de sa taille et repose sur ses hanches. Ma main droite glisse de l'épaule de Sarah et fait ce que fait ma gauche. Je prends son sein et pince doucement ses mamelons entre mes doigts. Enhardi par ses gémissements, ma bouche cherche la sienne, la trouve, et nous nous embrassons violemment. Les yeux de Sarah se ferment lorsque nos lèvres se touchent, je regarde vers le bas et regarde la langue de Manon tourbillonner autour du nombril de notre fille. Une partie de moi ne peut pas croire que ça arrive, que je regarde ma femme rendant hommage à notre fille avec sa bouche.

Manon maintenant tire le justaucorps vers le bas avec sa main gauche tandis que sa main droite caresse le dessus des cuisses. Presque imperceptiblement les jambes de Sarah commencent à s'écarter. Je l'embrasse plus fort, et je vois la tache humide sur l'entrejambe de son justaucorps s'agrandir. La vision est incroyablement excitante.

Manon relève la tête. Rapidement elle lève les jambes de Sarah et les dépose en longueur sur le canapé. Ce mouvement rompt mon baiser avec Sarah, dont la tête tombe sur le siège. Je me mets à genoux derrière le canapé. Manon tire sur le justaucorps de la taille de Sarah, et je regarde Sarah qui lève ses hanches de manière à permettre à sa mère de la déshabiller entièrement. Mes yeux se promènent des chevilles de ma fille jusqu'à son entrejambe. Sa fraiche pilosité est dans la lumière des flammes, la touffe blonde couvrant sa chatte dodue est pratiquement transparente.

Ma bite se dresse à la vue du sexe adorable de ma fille indécemment exposé. Manon pose sa tête sur le haut des cuisses de Sarah, et je souffle quand j'aperçois la langue de ma femme lécher timidement la fente de sa fille. Les jambes de Sarah s'écartent, instinctivement, et la langue de sa mère se promène sur son clitoris et entre ses grandes lèvres. Mes doigts touchent ses tempes et descendent sur sa pommette et jusqu'à son menton. Elle tourne son visage pour que sa bouche puisse atteindre mon index et le sucer. Elle lève son regard vers moi, Je vois dans ses yeux de la malice qui semble me faire comprendre qu'elle préfèrerait sucer la bite de son papa. Je sors mon doigt de la bouche de Sarah. Mes doigts de déplacent sur le galbe de ses seins. Sa peau est douce. Mes mains sont instinctivement attirées par ses seins incroyablement fermes. Je me penche sur le dos du canapé et saisit un mamelon dans ma bouche. Mes dents se serrent autour du téton bien bandé, je recule mon visage le serrant toujours, essayant de l'étirer plus, puis je fais la même chose à son jumeau. Ma langue danse autour des aréoles gonflées à la base de chaque mamelon. De sucer les mamelons de ma fille comme ça rend ma bite dure comme une roche qui essaye de s'échapper de mon pantalon.

Soudain, Sarah gémit bruyamment et je sens tout son corps frissonner. Quand je regarde vers elle je vois les joues rougissantes de Manon... toute la bouche de Manon est plaquée contre la chatte de notre fille et elle suce le jeune clito comme elle suçait ma queue un peu plus tôt. Bien que je ne puisse pas le voir, je sais que quand elle suce, sa langue travaille. J'ai déjà vu ma femme avec d'autres femmes avant et j'imagine sa langue frétillante sonder tous les recoins savoureux de la jeune chatte de Sarah, dardant profondément dans le petit vagin étroit de notre fille, effleurant pour exciter son clito engorgé. Je regarde les mouvements de hanches de Sarah, sachant ce que Manon est en train de lui faire avec sa langue, qu'elle fait jouir sa propre fille... notre fille... lui procurer un orgasme avec sa bouche.

Sarah se détend, ma femme stoppe son cunnilingus et me regarde, ses lèvres et son menton sont luisants des sécrétions de notre fille. Je quitte mon pantalon. Je marche devant le canapé après avoir déplacé la table basse pour nous donner un peu plus de place je me mets à genoux à côté de Manon, qui est en train d'embrasser et de la lécher entre son nombril et sa fente étroite. Elle tremble, et il est difficile pour nos lèvres de l'embrasser ensemble, mais je sens sa main instinctivement courir jusqu'à ma cuisse, doucement toucher mes couilles, puis placer son pouce et ses doigts autour de la base de ma bite. Je la sens remonter le long de mon pieu, s'arrêter sous le gland turgescent, puis le pressant doucement. Je ne peux pas croire ce qui m'arrive. J'ai eu beaucoup de femmes qui ont caressé mon pieu en érection avant, mais aujourd'hui c'est ma propre douce et sexy fille... ma fille... mon bébé... notre enfant ! Il me semble que c'est la première fois qu'une femme touche ma queue...

Les doigts de Sarah massent mon prépuce, en essayant de le tirer sur le gland. Je peux sentir Sarah m'attirer vers elle. Manon se déplace de côté pour laisser la place à notre fille et je rampe sur le canapé. Pendant ce temps, les doigts de ma fille sont serrés autour de mon pénis, le câlinant, le pressant. Je regarde ma fille dans les yeux et je vois mon propre désir bestial s'y réfléchir. Il n'y a pas besoin de demander... elle veut ce que je désire encore plus que moi ! Comme je me baisse Sarah guide la tête de ma bite contre les lèvres luisantes de son jeune abricot, en la frottant deux ou trois fois à travers sa fente avant de la faire entrer avidement dans l'anneau serré de sa chatte juvénile.

 

109

 

 

Je pousse mes hanches vers l'avant, je rentre facilement. Comme tout père, je suis un peu déçu. Ma petite fille n'est plus vierge, et je maudis silencieusement celui qui a pris ce plaisir. Cependant, le sentiment de perte ne dure qu'un moment car ma bite est pressée par les muscles peu utilisés de ma fille. Les parois de sa petite chatte compriment bien ma queue, mais la laisse glisser facilement. Ce ne ressemble pas aux plaisirs confortable de la chatte de sa mère. Le sexe de mon bébé est chaud, humide et très, très étroit !

Ain de ne pas blesser son petit coquillage, je commence à faire de lents mouvements de va-et-vient. Je profite de chaque coin de sa jeune chair chaude, ondulant sur ma longueur. Ses cuisses enserrent mes hanches, se plaquent lentement contre mon corps, serrent ma taille puis le creux de mes reins. Je garde ma poussée. Je me retire pour mettre ses jambes sur mes épaules et la pénétrer de nouveau. Je n'accélère pas ce rythme délibérément lent, mais je sens que ma fille souhaite me voir la baiser plus fort et plus vite. Manon relève la tête de Sarah et se trouve maintenant sur le canapé, berçant sa tête dans son entrejambe. Sa robe est ouverte, et je vois ses mamelons roses bien raides. Je regarde le visage de ma femme me regardant baiser notre fille, elle est extrêmement excitée et murmure des encouragements dès que je commence à labourer la chaude petite fente glissante de Sarah avec de plus en plus de force.

– Baise-la ! Baise sa petite chatte... Elle est bien excitée !

Grogne Manon. Les mots de ma femme sont incroyablement crus. Je la regarde ses yeux emplis de désir sauvage pendant que je baise notre magnifique fille consentante. Dans un geste maternel, Manon essuie la sueur sur le front de Sarah. Son corps est légèrement secoué à chaque poussée de ma bite dans notre fille. Je sens l'odeur émanant de la chatte de ma fille qui semble émaner de tous les pores de son corps, mais mon regard est fixé sur ma femme. Je suis sur le point de jouir la bite bien serrée.

– Non, pas encore...

Murmure ma femme, elle secoue la tête. À contrecœur, je retire ma queue du petit abricot et regarde ses grands yeux, elle semble déçue.

Manon m'aide à me coucher et aide notre fille à monter sur moi. Je penche ma tête sur le bras du canapé et je regarde ma femme qui positionne notre fille sur mon pieu brillant, je sens son index à la base de ma queue comme elle dirige sa longueur encore une fois dans sa petite chatte. Les lèvres souples de sa chatte de gamine engloutissent mon gland quand elle s'abaisse sur moi. Sarah commence à monter et descendre sur ma bite à un rythme lent qui correspond au tempo paresseux que je prenais pour baiser sa mère plus tôt.

Les yeux de Sarah se sont fermés, sa petite bouche mignonne est ouverte et elle halète. Son pubis écrase le mien quand elle appuie ses jeunes hanches minces sur mon bassin. Les parois de sa chatte étroite pressent ma bite puissamment, elle est de beaucoup plus étroite que sa mère, mais en même temps cela m'apporte considérablement plus de jouissance. Ses petits seins sont écrasés contre ma poitrine, nous sommes tous les deux en sueur. Les mamelons raides de Sarah frottent contre les miens. Je ferme mes yeux et commence à la laisser me baiser. Notre belle et sexy gamine fait coulisser sa minette sur ma queue avec suffisamment d'acharnement pour me faire rapidement jouir. J'essaie de me retenir... Je veux faire que notre première baise  soit vraiment mémorable.

Les mains de Manon interviennent. Elle est derrière notre fille et empaume ses petits seins. Au début, je pense que c'est pour nous aider mais elle essaie de la tirer à elle sur le canapé. Ma queue se trouve avec un angle qui rend difficile notre coït. Dans une frénésie sexuelle ma femme tente de poser son entrejambe sur le visage de notre fille, mais je peux voir que cela rend Sarah mal à l'aise. Je prends la main de Manon pendant que je glisse sur le canapé pour être maintenant allongé sur le dos. Sarah attrape ma bite et me chevauche de nouveau, réinsérant mon long pieu de nouveau dans sa jeune chatte serrée. Bientôt, elle commence à monter et descendre sur la longueur de ma bite, jetant sa tête en arrière et gémissant de plaisir avec cette pénétration profonde. Sa chatte coulisse facilement. Je suis surpris par sa technique et je me demande combien d'autres bites l'ont déjà baisée comme ça... pas beaucoup parce qu'elle n'a seulement que quinze ans et elle est aussi serrée qu'une vierge, mais j'envie chacun d'entre eux avec la jalousie d'un père.

 

8-copie-2

 

Sarah a accéléré son rythme, elle sautille maintenant sur moi, comme elle a vu sa mère le faire à cet endroit même il y a moins d'une heure. Manon s'est assise sur le bras du canapé et baisse lentement ses hanches. Je tends la main pour la toucher. J'aperçois des gouttes de cyprine entre ses lèvres rouges et gonflées. Ma femme est très excitée. Elle abaisse son entrejambe sur mon visage de sorte que mon nez soit plaqué sur son anus et ma bouche et ma langue sur sa chatte. J'avance mes lèvres et ma langue sur elle, goûtant chaque goutte qui émane de son trou terriblement moite. Je ne peux pas le croire. Je suis couché sur mon canapé, avec l'abricot étroit de ma fille qui s'empale sur mon pieu de plus en plus vite. J'ai une main posée sur la base de mon pieu et le pouce de l'autre enfoncé dans le petit anus que je pense encore vierge. Il me semble avoir deux bites... baisé ou être baisé à des rythmes différents. Et toutes les deux sont sur le point de jouir.

Manon se penche en avant et embrasse sa fille. Une des mains de Manon caresse le point ou notre fille et moi sommes soudés, ses doigts caressent le clitoris de Sarah dans le même rythme. Manon titille les petits seins Sarah les serrant et en les pressant. Sarah pose une main sur le périmé de sa mère, ma langue suce l'index qu'elle a placé dans ma bouche. Elle le retire et caresse les fesses de sa mère, je sens monter le désir de Sarah. Manon frotte violemment sa chatte sur mon visage. Ma main gauche attrape celle de Manon, lui prends l'index et l'enfonce dans l'anus serré de ma femme. Manon gicle dans ma bouche. Je pense que mon bassin va se briser sous le martèlement de Sarah. Ma queue est aspirée par le puissant orgasme de ma fille, et comme en même temps mon éjaculation remplit sa chatte. Sarah se lève légèrement puis s'enfonce de nouveau. Manon plaque sa chatte sur mon visage, puis, avec un grand cri, elle jouit aussi et remplit ma bouche avec son jus. Notre fille se laisse glisser sur le tapis devant le canapé complètement épuisée. Nous poussons la table basse et nous vautrons sur le tapis devant la cheminée, nous caressant et tendrement et nous remettons de notre première baise familiale.

Nous avons pris une décision... un pacte de famille... pas de secret.. pas de portes fermées... et surtout pratiquer le sexe... sans tabous !

 

 

Sarah a vingt ans maintenant et est mariée à un jeune gars prénommé David. Heureusement, David vient d'une famille tout aussi large d'esprit. Sinon, il aurait claqué la porte de la maison le jour du mariage de Sarah quand il a trouvé Manon et moi lui souhaitant "bon voyage" en la baisant sur le même canapé où tout a commencé il y a huit ans. Il s'est contenté de sourire, se mit à poils, et a poussé son énorme bite dans ma femme plus que prête, l'a baisée et l'a amenée à jouir lui procurant orgasme après orgasme, à l'étage, j'ai fait de même pour notre fille jeune mariée. Embrasser la mariée n'a jamais été aussi amusant !

 

Sarah et David viennent régulièrement ici maintenant et le même pacte familial régit toujours notre famille. Parfois, Ils viennent en amenant une partie de sa famille tout aussi large d'esprit que lui...

 

Sans titre 30

Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : L'amour en famille
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 19 juillet 2 19 /07 /Juil 17:46

 

 

148

 

 

Mon mari, le père de mes enfants, nous a quitté il y a deux ans maintenant. Il y avait déjà un moment que cela ne marchait plus entre nous...il ne s'intéressait plus à moi, me regardait à peine et me touchait encore moins depuis un an. Bref, je ne suis pas idiote, j'ai vite compris « qu'il avait quelqu'un comme on dit et quand il s'est décidé brusquement pour son autre vie en quittant la France et nous laissant du jour au lendemain sans nouvelles ni contacts ça a été finalement un soulagement. Bien sur sa goujaterie m'a révoltée mais j'ai tout de suite été entourée par mes deux chéris. Eva avait 12 ans et Luc n'en avait pas 14 ans...ils ont été tout de suite merveilleux.

Me sentant perturbée, le soir où leur père n'est pas rentré ils ont été d'une attention merveilleuse et c'est toute heureuse que j'ai accepté qu'ils viennent dans mon lit pour que je me sente moins seule pour la nuit. Comme j'étais bien entre mes deux chéris sous cette couette. J'ai eu du mal à m'endormir ce soir-là,  voulant profiter pleinement de la douce chaleur des corps de mes amours. Quand j'ai enfin sombré dans le sommeil je tenais Eva dans mes bras et Luc était dans mon dos. C'est un peu plus tard que je me suis réveillée lorsque j'ai senti le corps de Luc plus appuyé contre moi...mon fils dormait mais il devait être dans un joli rêve car il bandait aussi. Je sentais ses genoux contre mes cuisses...et surtout sa queue raide contre mes fesses...J'en ai été à la fois honteuse et troublée...mais je me suis bien gardée de bouger. Il y avait si longtemps que je n'avais senti l'hommage d'un homme contre moi. Malgré ma honte j'ai senti la mouille venir dans ma chatte et c'est presque inconsciemment que je me suis serrée un peu plus contre le corps de ma petite Eva qui dans son sommeil avait glissé son genou entre mes cuisses en remontant ainsi un peu plus ma chemise de nuit, et moi je sentais les poils de mon pubis qui caressaient la cuisse de ma fille.

 

3334

 

 

Cette nuit-là j'ai ressentie un trouble comme jamais je n'en avais connu. Bien sur ces attouchements produits dans le sommeil par mes deux amours étaient faits sans intention mais ils ont provoqué chez moi comme un tremblement de terre et j'ai très peu dormi, déchirée que j'étais entre un plaisir aussi intense qu'interdit et un sentiment de culpabilité.

Au réveil je me souviens encore j'ai tenté de paraître aussi naturelle que possible m'affairant dans la préparation du petit déjeuner avant leur départ pour le collège mais tout cela m'obsédait. Et dès qu'ils ont fermé la porte derrière eux je suis allée dans mon lit, notre lit désormais, pour retrouver un peu de leurs chaleurs et leurs odeurs. Et là je me suis masturbée, je me suis branlée comme jamais je ne l'avais fait pour enfin me donner un orgasme d'une intensité inouïe. C'est le matin que j'ai compris que ma vie venait de prendre un tournant.

Pour moi tout a basculé après cette première nuit où mes chéris ont voulu venir dans mon lit pour simplement m'aider à passer un cap difficile. Leurs tendresses et leurs chaleurs, mais aussi la naïveté de leurs sensualités m'avaient totalement bouleversée. Durant la journée je n'ai cessé d'y penser et l'orgasme que je m'étais donné le matin avant de partir au travail n'a pas suffi à me combler tant mes sens étaient en émoi. Cela faisait plus d'un an que je n'avais ressenti le moindre plaisir physique et j'ai même cru un moment que toute libido m'avait abandonné. Et voilà que grâce à eux tout me revenait. J'ai eu du mal à me concentrer sur mon travail. Le souvenir de la cuisse d'Eva entre les miennes, le sexe tendu de Luc contre mes fesses, tout cela me revenait.

Le soir après le travail quand je suis rentrée mes deux enfants étaient déjà là. J'ai été submergée par la joie de les retrouver, par la chaleur de nos effusions, je pensais que quelque chose avait changé pour eux aussi mais j'avais peur de les effrayer en étant trop empressée. Cette soirée là nous n'avons cessé de nous sourire, échanger des caresses aussi furtives que chastes pour l'heure et personne n'aurait pu soupçonner dans quel état d'émotion j'étais, ainsi qu'Eva et Luc aussi comme je l'ai réalisé ensuite. Je me sentais bien dans ce cocon qu'ils avaient tissé pour moi, j'aimais voir la main d'Eva sur le bras de son frère quand elle le sollicitait à table pour un service, la caresse du mollet de Luc contre le mien sous la table qui me faisait frissonner. Nous avons prolongé ce repas pour faire durer ce moment d'intimité complice, puis ensuite dans la cuisine la vaisselle a été aussi l'occasion de frôlements, de caresses. Eva me faisait des bisous à tous propos, ou bien Luc passait sa main dans mon dos ou sur mon épaule. J'ai failli crier de joie quand une fois la vaisselle finie Eva a sauté à mon cou pour me dire :

 -  Oh maman cette nuit encore on peut dormir avec toi...Dis oui maman.. Dis oui...c'est si bien ».

 Je crois que j'ai dû piquer un fard tant j'étais troublée, en tous cas c'est un flot de mouille qui est venu dans ma chatte quand Eva s'est collée contre moi. Ce que j'ai trouvé merveilleux cette soirée, c'est que tout est arrivé dans une totale complicité, dans un désir mutuel. Je me souviens encore de passer au salon en tenant enlacés, bien collés contre moi, mes deux chérubins, savourer les bisous qu'ils me faisaient dans le cou et moi leur disant d'une voix rauque « allons vite au lit mes amours ».

Je suis allée rapidement à la salle de bain pour passer mon tee-shirt de nuit et quand je suis arrivée dans la chambre ils étaient déjà dans mon lit. Eva avec son tee-shirt jaune celui de « Titi » comme elle disait, et Luc torse nu. Quand ils ont tiré la couette pour m'inviter à les rejoindre j'ai vu qu'il n'avait mis que son bas de pyjama. Je me suis glissée entre eux deux en riant pour cacher ma nervosité. Je me sentais aussi bête qu'une nouvelle mariée. Eva a éteint la lumière avant de venir se lover contre moi mêlant ses jambes aux miennes. Luc s'est collé contre mon dos et il n'a pas fallu longtemps avant que je sente sa queue raide sur mes fesses. Mais cette fois il ne dormait pas. Je ne dormais pas, nous n'en avions aucune envie tous les trois. Eva avait enfoui son visage dans mon cou et je la picorais de petits baisers en lui caressant le dos. Luc se frottait contre moi en caressant mes flancs et m'embrassant le haut du dos. Le matin je savais déjà que ma vie allait basculer, elle était en train de basculer, pour nous trois unis dans un élan de sens et d'amour. C'est Eva qui la première approcha sa bouche de la mienne. C'est moi qui la première caressa ses lèvres de ma langue. C'est elle qui la première accueilli ma langue dans sa bouche tiède. Elle se collait à moi frottant sa cuisse contre ma chatte alors que mes mains étaient passées sous son « Titi » et que je lui caressais son petit cul déjà bien rebondi pour une gamine. Dans le même temps Luc dans mon dos retroussait mon tee-shirt pour mieux embrasser mon dos et frotter sa bite chaude et raide de désir contre mes fesses.

Après le premier et long baiser échangé avec Eva j'ai laissé Luc ôter mon tee-shirt. J'avais envie de leurs mains partout sur mon corps. De les sentir. De les voir. Mes chatons se frottaient contre moi...me caressaient...me léchaient. J'étais devenu leur maman chatte il pouvait tout me faire. Ma bouche allait de celle de Luc à celle d'Eva dans un émouvant mélange de salive. A moitié couchés sur moi ils s'embrassaient à pleine bouche avant de venir me mordiller un sein ou me couvrir le visage de bave tiède. Comme j'étais heureuse Odile, tout mon corps exhalait le plaisir et quand Luc à rallumer la lumière le plaisir des yeux a encore amplifié celui de nos odeurs et de nos corps mélangés. La verge de Luc m'a paru énorme, comme il bandait comme il était beau. Je me suis agenouillée pour le prendre en bouche. J’étais comme enivrée par l'acre odeur de son gland. C’était la première fois que je prodiguais cette caresse. A la vérité mon ex-mari était d'une sensualité si faible qu'il se contentait de me baiser, quand il le faisait, c'est à dire très rarement, sans préliminaires particuliers et je dois toute ma culture en la matière à la lecture de romans pornographiques que je lisais en cachette.

Pendant que je suçais la queue raide et juteuse de Luc ma petite chérie frottait son visage contre mes fesses. Je sentais sa langue sur ma raie, sur ma moule gluante de plaisir et j'ai eu un premier orgasme dans cette posture de chienne amoureuse. Après cette première explosion j'ai imploré Luc de venir me baiser je le voulais  dans ma chatte, je voulais sentir son foutre couler. Quel bonheur j'ai ressenti cette nuit-là en mangeant l'abricot juteux de ma petite minette pendant que son frère me pilonnait. Nous avons joui ensemble dans une communion des sens. Une communion qui ne nous a jamais quittés depuis, qui nous a ouvert de merveilleux espaces de plaisir et de jouissance.

 

5067

 

Le lendemain de notre première nuit tout a changé pour nous trois. Je nous revois encore nous réveillant aussi lascifs les uns que les autres. Ma petite Eva lové contre moi émergeait à peine, sa bouche entrouverte caressait mon téton. Dans mon dos Luc s'ébrouait doucement. Comme la plupart des hommes il bandait au réveil et je sentais son organe déjà raide contre mes fesses. Moi j'étais aux anges. Ma moule était pleine de mes jus et du foutre de mon garçon. Mes cuisses étaient poisseuses des traces de nos plaisirs et j'en ressentais, autant de plaisir que de fierté.

J'ai commencé à caresser doucement ma petite Eva, ma douce brunette, ma minette amoureuse. Ma main se faisait douce sur son dos, son petit cul si rebondi, et elle n'a pas tardé à se mouvoir à son tour venant frotter sa cuisse contre me chatte. Elle a voulu ma bouche, je lui ai donné ma langue, offert ma salive de maman amoureuse et je l'ai ensuite accompagnée quand elle a voulu se glisser contre mon corps encore ensommeillé pour venir embrasser mes cuisses, remonter lentement vers mon antre, savourant la douceur de sa langue sur mes cuisses. Et enfin m'ouvrir pour qu'elle puisse venir caresser ma chatte, longuement, lentement, buvant à la source de la vie.

Luc caressait les cheveux de sa sœur, l'aidant dans cet acte d'amour. Il m'embrassait à pleine bouche, puis me léchait le visage. Oh comme j'aimais cette double caresse. Mon gamin était fou d'amour. Je voulais tout pour eux. Il bandait,  il aimait. Il est venu ensuite sur moi, m'offrant ses cuisses qui me serraient, sa belle tige tendue qui venaient caresser ma joue, ma bouche. De ma langue j'ai cherché ses couilles, sa raie, je me trémoussais sous les merveilleux coups de langue de ma minette et je le suçais, je lui léchais la raie, il se branlait contre moi pour partager cette communion de la chair. Nous étions si gorgés d'envie,  qu'il a bientôt giclé sur ma poitrine, m'aspergeant de son foutre chaud alors que je donnais à boire ma cyprine dans un orgasme fou. Ma petite fille ne s'oubliait pas dans ce moment de joie et elle aussi est venue dans un bel orgasme en se branlant et en jouissant au diapason de notre plaisir. Ce fut un instant fou, aussi inoubliable qu'impartageable. Un secret merveilleux.

 

Nous sommes restés comme cela sans bouger après l'explosion de nos sens. Savourant ces ondes de plaisirs. Je sentais Luc plus lourd sur moi. Sa verge encore épaisse était douce à lécher. Eva, quittant ma chatte, était remontée sur mon ventre pour venir laper l'offrande de son frère. Et nous nous sommes embrassés, tous les trois, follement, avant de nous laisser sombrer dans la douce somnolence qui suit la jouissance.

Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : Vous avez dit inceste
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 30 avril 6 30 /04 /Avr 17:27

 

148.jpg

 

 

 

Quand j'ai eu Loïc, je venais de me marier avec Fred, un garçon qui m’a trouvée vierge.

Puis deux ans après, il m’a donné une fille, Julie. Nous élevions nos deux enfants sans trop nous en rendre compte.

Fred a monté sa boîte, ça marchait fort, si bien que j’ai dû quitter mon emploi pour être la secrétaire de mon mari. Quelques années plus tard, il s’agrandissait en installant le siège à Paris, ce qui l’obligeait à s’absenter une grande partie de la semaine, alors que moi, je restais dans notre petite localité du sud-ouest pour continuer à faire marcher ce commerce qui est devenu une agence et, surtout, pour m’occuper des enfants qui, maintenant, vont au lycée. Nous ne sommes pas des fêtards et gagnons bien notre vie.

 

Je me retrouve donc seule avec Loïc et Julie, plusieurs jours durant de la semaine.

Pour être franche, je dois dire qu’avec mes enfants, ce n’était pas le grand amour et je ne faisais aucun effort pour me rapprocher d’eux, un père toujours absent et une mère toujours au travail n’est pas pour créer des liens familiaux.

Ils sont cachotiers et distants, ce qui n’arrangeait pas les choses. C’est vrai que mon travail m’accaparait énormément, mais j’avais envie de mettre fin à cette relation peu bénéfique. Je décidai donc un soir où nous étions seuls devant cette télé lassante, d’ouvrir le dialogue pour chercher à les apprivoiser et me rapprocher d’eux. J’ai ressenti qu’ils n’étaient pas réticents et ouverts à mon dialogue, certainement qu’ils en avaient besoin, un jeune homme de dix-sept ans et une jeune fille de quinze ans, c’est toujours un peu perdu. De jour en jour mes enfants se rapprochaient davantage et devenaient plus intimes dans nos conversations. On se sentait de plus en plus à l’aise tous les trois. Une fois que Fred était parti, Julie et Loïc se détendaient complètement.

 

Nous partagions de vraies discussions de copains, ils me parlaient d'eux et je tentais de me montrer tout aussi franche. Je découvrais que ma fille était toujours aussi candide, voire ingénue et que mon fils la protégeait comme l’aurait fait un père. Ils étaient frais, simples et si pleins de vie. Je ne regrettais pas un instant d’avoir brisé ce mur qui nous séparait. Ils me posaient des tas de questions sur leur naissance, comment ça c’était passé, quelques fois, leur interrogatoire devenait un peu gênant, ils voulaient tout savoir à partir de la conception. Avec une certaine réticence, je leur révélai, en quelques mots, ce qu’ils savaient déjà sur l’amour et la reproduction. Je me fis donc évasive, voire même fuyante. Pour ma part, je n’ai jamais abordé le sujet avec ma mère, bien trop coincée... Du coup, moi aussi, je faisais comme elle, je perpétuais une tradition pour le moins ridicule. Après une grande réflexion, je me suis recadrée et bien décidée à reprendre les choses en main avec mes enfants. Ainsi le lendemain-soir, ils réattaquaient le même sujet, ne voulant pas passer pour une mère pincée, je lançai, l'air de rien, une anecdote du temps de ma grossesse qui les fit bien rire.

 

Je préférais y aller peu à peu sans devancer leurs questions.

Je relatai donc, sans trop m'appesantir sur les détails, comment ils sont venus au monde l’un et l’autre. Julie, cependant, demanda plus de précisions sur l’amour en lui-même. De mon côté, j’essayais de dévoiler, en m’adressant aux deux ados, le plus que je pouvais sans tomber dans la grossièreté.

Au Bureau, je ne pensais qu’aux questions éventuelles qu’ils pouvaient me poser pour en préparer les réponses. Ainsi passe la semaine et à l’arrivée de mon mari, je lui en parlais quand nous étions au lit et je devenais une véritable cocotte minute, prête à exploser, malgré le manque évident de câlins de sa part. Il ne m’a jamais trompé et il était fou d'amour pour moi, mais il ne savait guère y faire avec les femmes. J’avais de la peine à m’endormir, je restais sur ma faim, pourrait-on dire ! Si cela continue, je vais prendre un amant et ce sera bien fait pour lui s’il est cocu ! J’ai tellement envie de câlins.

 

Le lundi matin, comme d’habitude, mon mari prend le train pour Paris, nous laissant tous les trois jusqu’au vendredi. Le soir, pendant le dîner, c’est ma fille qui demanda, la première, comment se sont passées les nuits du week-end, je ne pus retenir un petit rire mi-sarcastique, mi-effondrée par un petit sentiment de honte.

Je me rendis compte qu'ils m'observaient plus qu'à l'accoutumée. Leurs regards se faisaient plus appuyés, plus précis.

Je pense que ça devait les amuser de contempler leur mère comme une femme mûre. Et il arrivait que je les embrasse bruyamment sur les joues pour leur montrer que leurs regards ne me gênaient pas.

 

*****

 

Pourquoi ce fameux mercredi, jour férié, mon mari étant resté à Paris, suis-je montée à l’étage ? Pour changer de tenue je crois. J'avais ôté ma robe et ouvris la porte du placard pour en choisir une autre. À ce moment-là, j'entendis les voix de Julie et Loïc, alors que je pensais qu’ils étaient sortis. J'en conclus que seule la cloison du fond de placard de cette maison ancienne servait de séparation entre les deux chambres. Je n'entendais pas distinctement leurs paroles. Je ne suis cependant pas curieuse, pourtant je collai mon oreille pour mieux saisir leur conversation et ce que j'entendis me stupéfia.

J'identifiai la voix de Julie qui émettait des sons saccadés.

 

J’ai de suite compris ce qui pouvait se passer dans la chambre de ma fille et loin de penser à des relations incestueuses entre mes deux enfants. Je sortis de ma chambre pour aller sur la pointe des pieds devant la porte de la chambre, mon indiscrétion me poussa à ouvrir la porte sans bruit pour les apercevoir nus tous les deux sur le lit. Vous imaginez ma surprise. D’abord interloquée, choquée, puis charmée à la vue de leurs deux corps si savamment enlacés. Ils ne me virent pas tout de suite, tant ils étaient occupés à bien se mignoter. Je restai sur le pas de la porte, à la fois stupéfaite, dépitée, intriguée et contemplative. La vue de ces deux ados joliment épousés, se livrant à des caresses dont on ne peut plus précises, me troubla profondément. J’allais refermer la porte pour m’éloigner et reprendre mes esprits, quand ils sentirent ma présence et se tournèrent vers moi, pas du tout gênés et me firent signe de rester, puis après quelques secondes de venir m’asseoir sur le bord du lit. Mille questions se posèrent dans ma tête, qu’allaient-ils me dire pour essayer d’expliquer leurs mœurs pour le moins libres et encore plus surprenantes, pour la mère que j’étais ?!

 

Ils étaient beaux, en dépit de quelques mèches de cheveux dérangées au cours de leurs ébats. Comme ils se ressemblaient, le visage, les traits, les yeux, les cheveux, les lèvres, les attitudes… Je pensais : « Deux démons de chair en vérité ! » Ma fille voulut me prendre dans ses bras, je reculai… J’étais à la fois déçue, surprise de tels agissements. Depuis combien de temps cela durait-il ? Je ne me sentais pas bernée, non, mais je m’en voulais de n’avoir jamais rien vu ou ressenti. Je me dis qu’il était certes très difficile d’avouer un tel secret à sa mère malgré mon esprit d’ouverture depuis quelques semaines. J’étais inquiète, mais malgré tout intriguée et curieuse de ce qu’ils allaient pouvoir m’avouer, maintenant que j’avais tout vu.

Ma fille parla la première :

 

« Eh bien, oui, Maman , Loïc et moi sommes amoureux et depuis longtemps, c’est notre secret, notre jardin secret, comme deux amants, voilà…, cela ne change en rien notre amour pour toi maman, mais je suis très attachée à cette relation que tu jugeras sans doute scandaleuse, mais qui nous lie très intimement… ! »

 

Tout à coup, je m’aperçus que je n’avais pas renfilé une autre robe, j’étais seulement vêtue de mon soutien-gorge et de ma culotte, pensant être seule à la maison.

Je regardai ma fille qui, nue et sans la moindre gêne, me laissa contempler sa fine poitrine ferme, ses petits seins hauts, bien dardés, un ventre plat et blanc, terminé par une merveilleuse et fine toison brune.

Elle posa l’une de ses mains sur ma joue et dit :

 

« Oui, maman, tu ne l’aurais sans doute jamais su, si vous tu ne nous avais pas surpris ainsi dans nos folies…

.. Jamais tu n’entres dans notre chambre quand nous y sommes… !

.. Loïc et moi nous nous aimons, c’est vrai, nous sommes liés d’un vrai amour indestructible, dont nous avons besoin… ! »

 

J’étais abasourdie et ne savais que dire… Ils essayèrent de me rassurer, d’apaiser mon désarroi, me serrant contre eux, leurs mains dans mes cheveux, leurs haleines toutes proches, la chaleur de leurs corps nus si près qu’ils finirent par me troubler…

 

« Maman, reprit Loïc, ne pouvons-nous pas vivre notre amour ? Julie est ma chérie, je sais que ta passion avec papa s’est dégradée depuis que ses affaires marchent bien et avec tous ses voyages à Paris, tu sais, maman, je la désire, je l’aime, j’aime faire l’amour avec elle…, comprends-tu, maman ? »

 

Je réfléchis, silencieuse, l’une de ses mains caressant machinalement, mais délicieusement, ma cuisse…, allaient-ils ainsi me troubler, au point de me faire comprendre, admettre et accepter leur idée dans la licence la plus complète ?

 

Je me trouve tremblante, mais réconfortée par ma fille qui me tient la main. Pourtant, nous nous connaissions mieux depuis quelques semaines. Je suis quand même gênée au point de vouloir repartir. Mes enfants me rassurent, ils me répètent que nous sommes maintenant très proches les uns des autres pour pouvoir faire ça sans honte ni complexe, bien au contraire, que je devrais être heureuse de nous voir ainsi s’aimer.

 

L’ambiance est un peu électrique, mais se détend progressivement.

Malgré tout, je sens mon sang battre dans mes artères. Mes deux enfants sont en train de m’associer, petit à petit, à leur duo par leur attitude, ils m’attirent entre leurs bras en voulant me faire sombrer et me faire admettre leurs "vices" intimes, sans que je n’aie pu même dire un seul mot… Les silences de la chair sont parfois plus éloquents et convaincants que les mots les plus forts. La chair parle, les désirs aussi, l’être vibre sans le vouloir et fait preuve de faiblesse contre laquelle il sombre… Je suis en train de sombrer.

 

 

Après quelques secondes de méditation, nous pouffons tous les trois. Nous nous levons, habillons, puis regagnons le salon.

Loïc s’absente quelques minutes pour revenir avec une bouteille de champagne et trois flûtes qu’il dépose sur la table basse. Pour arroser quoi ? Leur succès ? Ma défaite ? Ma faiblesse qu’ils avaient devinée ? Ne semblaient-ils même pas un peu soulagés de savoir que maintenant…, je sais…

 

« Voilà ce à quoi nous avons pensé… Dit ma fille, d’une voix basse.

.. Si tu n’acceptes pas cet amour qui me lie à Loïc, nous serons très malheureux…

.. Très malheureux tous les trois ! »

 

Puis elle reprend :

 

« Alors, pourquoi ne serions-nous pas heureux de temps en temps, tous les trois, ne formerions-nous pas une petite famille harmonieuse, épanouie… ?

.. Malgré papa qui n’est pratiquement jamais là…

.. Un secret entre nous trois, nous te promettons, maman, que tu seras comblée ! »

 

Elle dit cela avec un tel aplomb que j’en suis désarmée.

 

« Allez, trinquons à notre secret ! »

 

Je heurte ma flûte à la leur et prends une gorgée fraîche et pétillante qui me fait du bien… Julie m’embrasse, Loïc aussi et…, sur mes lèvres.

Le péché, l’envie, le désir, la recherche de l’inavouable, voilà à présent ce qui nous guide tous les trois.

 

Le soir au dîner, nous nous éternisons à table, parlant de tout et de rien, nous nous marrons franchement parfois. Naturellement, leur escapade de cette après-midi est vite venue occuper nos propos. C’est d’ailleurs Julie qui, la première, a évoqué le sujet.

Ma fille ne tourne jamais autour du pot. Elle m’en fait encore la démonstration ce soir.

 

« Tu sais, maman, tu es la plus belle femme que je n’ai jamais vue !

– Rien que ça ? Je réponds, le sourire aux lèvres.

– Rien que ça, oui maman, quand j’ai vu ton corps, tes courbes parfaites, la douceur de ta peau !

– Euh… ! »

 

Je viens de m’empourprer. J’aurais bien voulu être ailleurs.

 

« Je te vois rougir, maman, mais il n’y a pas de raison !

– Vous savez, mes enfants, je n’ai pas le même âge que vous ! »

 

Les propos de Julie envahissent mon esprit, augmentant le nombre de mes questions. J'observe Loïc et je me rends compte, qu'effectivement, ils sont en train de changer tous les deux, de mûrir, de devenir des adultes. Je me sens gauche, maladroite, mais les mots sortent difficilement de ma bouche. J'ai sans cesse en tête ces images récentes qui réapparaissent. Le mignon goupillon érigé de mon fils devant sa sœur, leurs mains sur mon corps, mes cuisses ouvertes face à ma fille.

C'est encore Julie qui libère un peu la tension qui est en train de s'accumuler en cette fin de repas en lançant joyeusement :

 

« Et si on jouait aux cartes, au lieu de regarder la télé ?

– Excellente idée, fait Loïc, en commençant à débarrasser la table, installez-vous au salon, j'arrive ! »

 

Nous nous sommes assis autour de la table basse et Loïc ramène un jeu de cartes.

 

« À quoi joue-t-on ? Demande-t-il, en battant le jeu.

– Pas à la bataille, c'est nul ! Lance Julie.

– Tu as raison, dis-je, au rami ?

– On joue tout le temps au rami…, et si on faisait un poker ? Glisse Loïc.

– Tu sais bien que je n’aime pas beaucoup ce jeu ! Fais-je, d'une voix tranchante.

– Alors un strip poker ? Propose Julie, en riant.

– Mais… Je bafouille, inquiète de la tournure que prend la situation.

– Allez maman… Enchérit Loïc qui vient, de bon cœur, à la rescousse de sa sœur.

.. Nous nous connaissons maintenant et nous sommes en famille !

– Ne t’inquiète pas, maman, ce n’est qu’un jeu entre nous ! » Ajoute Julie.

 

Je ne suis pas très à l’aise, mais leur délicatesse extrême durant cette soirée me pousse à abandonner toute controverse.

 

« Loïc, donne les cartes ! » Ordonne Julie, en battant des mains.

 

Je n'ai que de vagues notions de ce jeu que je n'ai jamais apprécié. Par contre, les enfants semblent bien au fait des règles car ils jouent très bien. Ce qui devait arriver arrive et je perdis rapidement. Julie par contre, réussit à gagner, c'est à elle de décider. Elle me regarde un court instant, puis demande à Loïc de retirer son tee-shirt, le mettant ainsi torse nu. En jouant le deuxième tour, je me dis que la situation devient inconvenante, indécente, mais je n'arrive pas à le dire, encore moins à refuser de jouer, alors que je passe pour une femme autoritaire au bureau.

 

Quand Loïc gagne, il me regarde et me demande de retirer mon haut. Impuissante à résister, je me lève et sous leurs yeux, je retire mon chemisier, montrant mon soutien-gorge en dentelle légèrement transparente. En rougissant, je me rassieds et distribue les cartes à mon tour. Je m'aperçois que ma fille regarde ma poitrine.

 

« Vous avez soif, les filles ? » Demande Loïc en se levant.

 

Puis il ajoute :

 

« On ouvre une autre bouteille de champ’ ? »

 

Il est vrai que dans le frigo, il y a toujours deux ou trois bouteilles de champagne.

 

« Pourquoi-pas ? » Dis-je en grimaçant.

 

Pendant qu'il va chercher la bouteille et les coupes, je reste un peu gênée alors que ma fille observe sans arrêt mes seins.

 

« Ces dames sont servies, lance mon fils en posant nos boissons, voyons vos cartes, mesdames ! »

 

Je n'ai qu'une simple paire de neuf, Loïc une double paire et Julie exhibe triomphalement un beau brelan. Sans hésiter, elle me dit :

 

« Maman, enlève ta jupe, s'il te plaît ! »

 

Soulagée de ne pas devoir quitter mon soutif, je me lève et fais glisser ma jupe. Je me rends compte que je le fais d'une façon sensuelle, en cambrant les reins plus que nécessaire. Je lis la surprise dans les yeux de mes enfants. Lentement, je reprends ma position assise, délicieusement excitée. Le tour suivant voit la perte de ma fille, et pour cette fois c'est moi qui ai la main la plus forte. Le regard plein de douceur, je demande à Julie de retirer sa robe. Elle s'exécute rapidement et le plus naturellement du monde en montrant son corps juste pourvu de sa culotte. Même si Loïc l'a souvent vue nue, je me sens troublée par cette proximité entre eux. Je vois, en effet, que Julie ne s’était pas embarrassée d’un soutien-gorge, ce qui me permet, encore une fois, d’admirer la beauté de ma fille.

 

En souriant, elle distribue les cartes pour un nouveau tour. J'aimerais tant interrompre cette partie avant qu'elle ne soit trop engagée, mais l'enthousiasme de mes partenaires m'en empêche. Heureusement, c'est Loïc qui vient de perdre et je m’empresse de lui demander de retirer son pantalon ce qu'il fait sans rechigner.

Toujours, Julie regarde davantage mon corps que celui de son frère qu'elle connait bien. Ne voulant pas perdre un de mes deux derniers habits, je tente de faire une suite, mais il me manque une carte et comme je n'ai aucune combinaison, je sais que je vais perdre. Résignée, j'attends la punition qui tombe par la bouche de ma fille :

 

« Maman, fais-nous voir tes seins ! »

 

La culpabilité ne cesse de me torturer, mais un autre sentiment indéfinissable s’y mêle, ressemblant à une poussée d’adrénaline, à une excitation malsaine alors que je ne cesse d’observer mon fils en slip. Rouge de honte, les mains tremblantes, je dégrafe mon soutien-gorge.

 

« Ah non, maman, fait Loïc, mets-toi debout ! »

 

Les jambes un peu flageolantes, je me relève, j'ai la sensation d’être un peu saoule quand, enfin, je réussis à ouvrir ma pièce de lingerie. Je fais glisser mes bretelles et en creusant les épaules, je retire mon soutif, dévoilant mes seins. Je ressens un léger bien-être d'avoir supprimé la prison qui comprimait ma poitrine, signe qu’il y a chez moi une certaine excitation.

Pour des raisons obscures, je suis submergée par une violente bouffée de chaleur, machinalement, je prends mes globes en main pour les malaxer, faisant ainsi pointer davantage mes tétons. D'un mouvement de tête, j'agite ma chevelure en regardant avec fierté mes deux spectateurs en souriant. Ils ont l’air heureux de voir leur mère ainsi s'exhiber. Acceptant leurs regards, je bombe le torse en remontant les épaules et je pose mes mains sur mes hanches afin de bien leur montrer que je n'ai aucune gêne.

 

« Comme ils sont beaux, maman ! Fait doucement ma fille, toute émue.

– À qui de donner ? » Dis-je en m'agenouillant, les fesses sur les mollets.

 

Il nous reste plus qu’un seul sous-vêtement à tous les trois, à égalité. Le prochain perdant devra montrer son intimité aux deux autres. Je ne sais pas si c'est l'effet du champagne, mais je me sens complètement désinhibée. De la façon dont je suis assise, ils peuvent regarder autant qu'ils veulent mes seins qui bougent à chacun de mes gestes.

La donne m'a fourni un brelan et c'est Loïc qui perd à cause d'une paire de 8.

 

J'hésite de lui donner l'ordre de retirer son slip, c’est en souriant, pas du tout gêné, qu’il se met debout et, d'un coup, fait glisser son slip à ses pieds. Sa verge jaillit comme un diable de sa boîte ce qui fait rire Julie. Il reste un instant debout, exhibant fièrement son organe. Je le trouve admirablement beau, légèrement moins important que celui de son père, mais beau. Il se rassied et distribue les cartes en me souriant d'un drôle d'air. Julie qui n'a eu qu'un rapide coup d'œil vers son frère, ne quitte pas des yeux ma poitrine. La fin du jeu approche, car celle de nous deux qui gardera sa culotte aura gagnée. Je mesure l'indécence de ce jeu, mais pourtant, je n'éprouve plus aucune culpabilité maintenant. Je crois même que j'ai envie de perdre pour leur montrer que je suis plus hardie qu’ils ne le pensent. Aussi, volontairement, j'écarte trois cartes dont une paire de dames. Quand nous retournons nos jeux, je sais que j'ai déjà perdu et cela accentue mon excitation.

 

« À poil, à poil, maman ! » Font en chœur Loïc et Julie, en frappant des mains.

 

Je ne sais plus qui je suis, où je suis et ce que je fais.

Un peu trop rapidement à mon goût, je me mets debout en leur tournant le dos et dandinant des fesses, je fais glisser ma culotte en me penchant pour la poser jusqu'à terre. Julie applaudit en criant « Bravo maman ». Puis je me retourne, les poings sur les hanches pour leur exhiber fièrement mon pubis garni d'une belle toison noire.

 

Tous les deux se sont levés, leur verre à la main pour me féliciter de ma prétendue beauté. Je n’en crois rien, c’est plutôt un grand témoignage de gentillesse pour avoir joué à leur jeu sordide.

 

Je suis aux anges avec mes enfants et la tête ailleurs, quand soudain, je sens les mains de Loïc se poser sur mes épaules et descendre dans une douce caresse le long de mes bras, ce qui me fait agréablement frissonner. Je le perçois comme un geste naturel et affectueux, je ne suis ni surpris,e ni offusquée.

Alors que Julie m’embrasse sur les joues, me prenant affectueusement la tête entre ses mains, je sens les mains de mon fils descendre dans mon dos. Exaltée, ma poitrine s’est durcie immédiatement d’excitation sans que j’y puisse rien. Il est vrai que je suis en manque depuis pas mal de temps, mais ce n’est pas une justification.

 

« Dis donc, Loïc, faut pas te gêner ! » Lui dis-je, sur un ton amusé, dissimulant à peine mon trouble, sans pour autant me dégager, pensant que c’était juste une petite familiarité et ne voulant pas apparaître trop vertueuse.

 

Je suis complètement prise de cours, ne sachant plus ce qui se passe. Au même moment, Julie, en me souriant, passe doucement ses mains sur ma poitrine et les laisse descendre lentement, dépassant le niveau de ma taille pour caresser mes cuisses nues. Je ne maîtrise absolument plus rien de la situation.

Dans sa position, ma fille me serre contre son frère et je me trouve prise entre eux deux, ne pouvant me dégager sans un mouvement un peu brutal qui ne justifie pas. Pétrifiée, ne sachant plus ce qui m’arrive, et toujours convaincue que c’est un simple et bref petit jeu entre ces deux garnements.

 

Profitant de mon hésitation et sentant que je n’émets pas de véritable protestation, Loïc m’attire lentement en arrière, de manière à me faire plus ou moins asseoir entre ses jambes sur le canapé, le dos contre sa poitrine, me gardant dans ses bras qu’il a passés sous les miens pour me maintenir ainsi. Julie s’est agenouillée devant moi et pose son visage sur mes cuisses.

 

Tout s’est passé si vite et sans brusquerie, d’une façon qui paraît tellement naturelle que je suis restée sans réagir, sans avoir le temps de réaliser ce qui se passe, en me laissant faire comme une droguée. Je prends soudain conscience que je suis entièrement nue entre les mains de mes enfants et qu’il me faut protester, mais il est bien trop tard. Dans ma tête, tout s’est arrêté subitement, impossible de réagir, emportée par un délire démentiel. Je ne peux rien faire d’autre que de les laisser faire.

Très vite, la situation a fait monter ma fougue, je sens que je commence à mouiller malgré moi.

 

« Montre-toi plus, maman, tu es belle, la plus belle des mamans ! » Murmure Julie, sur un ton que je ne lui connais pas, tout en s’installant entre mes jambes.

 

Horriblement confuse qu’elle puisse ainsi voir mon intimité profonde, cela m’a pourtant fortement troublée et a attisé mon excitation, si bien que j’ai, de moi-même, écarté les cuisses autant que je le peux.

 

« C’est que tu es une très belle femme, maman ! » Insiste Loïc dans mon oreille.

 

Je suis à la fois étonnée et agréablement surprise de ce compliment venant d’un jeune homme qui, de plus, est mon fils. Il n’est pas très courant de recevoir ce genre de remarques, venant de ses jeunes ados.

 

« Merci, vous êtes gentils tous les deux ! »

 

Je ne peux m’empêcher de reprendre aussitôt :

 

« Mais il y a votre père !

– Et alors, maman, tu n’as pas d’amant ? Pas d’aventures ?

– Mais non, je suis fidèle à votre père ! »

 

En disant ces paroles, Loïc s’est plaqué encore plus contre moi. Je sens son corps contre mon dos et la main qu’il conserve sur l’arrondi de mon épaule se transforme en une main caressante.

L’alcool doit être la cause de mon manque de réaction. Il me faut un moment pour comprendre la situation. Loïc se sent fortifié devant ma faiblesse et alors que ses lèvres vont lentement vers ma nuque, ses mains saisissent mes hanches dans un geste de possession. Alors qu’il pose des baisers dans mon cou.

Il me suffirait de dire « non » et tout redeviendrait normal. Après tout, c’est mignon et pas désagréable, cependant des lèvres effleurent ma nuque.

 

Une voix en moi me dit que je suis une hypocrite, que je sais très bien à quoi m’attendre, continue de me susurrer ma conscience. Ose dire que tu n’en as pas envie ? Ton mari te néglige. Ne sens-tu pas au creux de tes reins ce désir qui monte ? Et si ce sont tes propres enfants qui te l’apportent, ce n’est pas vraiment tromper !

 

Mais je ne peux pas, je ne veux pas que ça se termine comme ça ! Je suis littéralement, complètement, que dis-je, intégralement tombée amoureuse de ces garnements. Le méga coup de foudre. Leurs parfums m’ont envoûtée, l’odeur de leur peau. Je suis en colère, frustrée, perdue, honteuse, honteuse de mes sentiments, déjà esclave de mes enfants ! Perdue, apeurée dans le gouffre qui, devant moi, s’ouvre, créé par l’absence de mon mari ! Par l’insuffisance d’amour qu’il a pour moi.

 

Les lèvres passent sur ma joue et rampent vers mes lèvres. Une statue ! Je suis une statue. À la fois terrifiée de ce qui peut arriver, mais aussi de ce que je peux faire cesser par un seul mouvement.

Quel goût délicieux de ces lèvres sur les miennes, de ces lèvres fraiches de mon gamin. Des lèvres dont une pointe de chair semble sortir pour venir lécher les miennes, plus marquées d’un maquillage rouge vif, pas du tout prévu pour un baiser. Mais la langue ne s’attarde pas, elle avance, repousse et s’aventure dans ma bouche que je lui cède. Alors commence une douce bataille de nos langues faisant connaissance et qui jouent au chat et à la souris. Loïc, malgré sa douceur, se comporte comme un amant, comme mon mari au temps où il avait encore soif de mes lèvres et ne les considérait pas encore comme un orifice parfait pour son sexe d’homme.

 

Je tente de faire un demi-tour pour répondre correctement à son baiser. Oui, je n’ai pas honte de dire que c’est bon, inconnu, agréable. Nos visages se touchent, nos nez se heurtent dans ce qu’il faut bien appeler un baiser fougueux et sensuel. Il emprisonne ma tête entre ses mains comme pour en prendre le contrôle. Mais ce n’est plus nécessaire, je fonds sous ses baisers. Julie est venue s’assoir de l’autre côté enthousiasmée par cette étreinte avec son frère.

 

Ce sont des mains douces qui s’emparent de ma poitrine, de mes seins pour les envelopper et les caresser. Mes tétons sont maintenant des pointes que Loïc suce ou malaxent entre ses doigts. C’est bon, doux, tendre et excitant.

 

Il me semble que je suis encore endormie ?

 

Un vent léger et frais me caresse, qu’un subtil parfum envahit la pièce. Ces mains douces sur mon corps ; Mon dieu, c’est quoi ce rêve ?

 

Un souffle se pose sur mon ventre, bientôt rejoint par de douces et chaudes lèvres.

Mon dieu ! Qu’est-ce que c’est bon !

Des mains se posent sur mes cuisses et remontent délicatement…

 

Ma conscience me dit qu’il ne faut pas te réveiller ! Pas maintenant ! Mon dieu ! Ne me réveillez pas maintenant !

 

Mais la descente continue, les baisers courent maintenant sur mon ventre, s’attardent vers mon nombril, je ne sais de qui proviennent toutes ces douceurs, ma fille ? Mon fils ? Ou les deux !

Les lèvres continuent de descendre. Le souffle est une brise tiède sur mon minou qui doit s’entrouvrir sous la caresse.

Il faudrait une page entière pour pouvoir traduire le premier contact de cette bouche et de cette langue pointue sur ma fente. Le frisson qui me prend est un tremblement de terre qui me secoue si fort, que je m’agrippe au velours du canapé comme une noyée à une barque. La surprise n’est pas dans le geste que je voyais venir et que j’avais accepté, mais dans son résultat. En quelques secondes de ces caresses, je ne suis plus qu’une femelle en chaleur, une adolescente qui sent venir son premier orgasme. La langue lèche et la bouche aspire mon bouton pendant que mes seins sont saisis par d’autres lèvres. Mon clito semble gonfler, gonfler et devient si sensible que les caresses oscillent entre plaisir et douleur.

 

Ces jeunes m’épatent, qui me surprennent par leur habileté, ils savent deviner ce qu’une femme attend. Des doigts tordent mes tétons, tirent les pointes, les martyrisent, mais que c’est bon, que c’est bon !

Encore et encore, lèvres, langues et mains s’activent.

L’orgasme monte, monte et libère des flots de jus, que mes amants reçoivent comme une récompense.

La jouissance m’a littéralement anéantie. J’ai l’impression que tout sortait de mon corps, de mes reins, en passant par ma colonne et ma tête pour redescendre ensuite et sortir, exploser, dans cette bouche !

 

Tout flotte autour de moi, je me sens légère, vaporeuse. Suis-je morte ?

Il me faut un moment pour me ressaisir, retrouver où je suis et qui vient de m’emmener si loin, si haut.

Sans un mot, Julie et Loïc échangent un baiser presque sage, plus une promesse qu’un acte sensuel.

 

 

J’ai à peine une hésitation. Au point où j’en suis, autant aller jusqu’au bout. Boire le calice jusqu’à la lie, comme on dit. Sauf que la lie de mon calice, c’est la promesse du plaisir, même si ce n’est pas vraiment un plaisir atteint honnêtement.

 

Je sors de mes songes pour admirer mes deux anges, réjouis de m’avoir fait vivre l’impensable, ce qui était inconcevable pour moi, ha ! Ils peuvent être fiers, je me dirige vers Julie et m’agenouille devant elle, je pose mon visage sur ses cuisses par reconnaissance. Son odeur est agréable, mélange de parfums et d’odeurs intimes distillées au plus profond de sa grotte.

 

Pourtant sa main saisit la mienne et me guide vers d’autres cieux. Elle me donne à flatter la verge de son frère, souhaitant partager ainsi la mère que je suis. Elle repose sur la base de l’organe, doux mais dur, souple mais tendu. Ma main en fait le tour, mais la longueur est plus difficile à mesurer. En tout cas, il répond à mes caresses et vibre alors que j’entreprends de le masturber lentement.

 

Je suis au service de mes enfants. Je suce, je lèche, je caresse, je masturbe. Ils sont à ma merci et dépendent de moi pour leur plaisir. Le plaisir, c’est aussi le mien. Je sens une chaleur en moi que je voudrais partager. Ma fente est humide et je dois couler comme jamais depuis longtemps.

 

Je m’active avec délice et chaque caresse que je procure participe à mon propre émoi. Ma fille doit sentir cela car elle s’éloigne de son frère pour m’en céder la place. J’avance, abandonnant la queue, pour me mettre à quatre pattes et me pencher.

Je dois avoir une attitude de « courtisane » la tête plongée entre les cuisses de ma fille et les fesses à l’air, mais même si je suis leur mère, je sais ce qui m’attend. La main de Loïc me fait sursauter, je la sens glisser sur mes fesses, écarter le sillon et venir se plaquer sur ma chatte brulante. Un doigt furtif entre sans vergogne dans ma grotte, avant-garde de ce qui doit venir. Le message doit être passé au gros de la troupe car c’est maintenant son beau phallus qui se propose.

 

Il pousse. Je m’arc-boute, pensant à une introduction difficile. Mais non, le pieu entre sans coup brutal, sans résistance, preuve que toute cette situation m’a excitée, produisant le liquide glissant que la nature a produit. La petite voix dans ma tête devient lubrique et prononce des mots que jamais mes lèvres n’ont osé laisser sortir.

 

« Tu te rends compte de ta chance ! Un beau jeune homme et une femme splendide rien que pour toi !

.. Lèche la chatte de ta fille, pousse ta langue dans sa grotte, recueille le suc de son con, enduis son clito avec sa liqueur !

.. Et le cul, n’oublie pas son cul, sa rondelle, teste sa résistance !

.. Et ce garçon, mon fils qui vient de te prendre comme une femme légère, soumise !

.. Ah, sa queue, longue et étroite, qui prend ta virginité !

.. Mais oui, ta virginité, ton vagin n’a connu depuis si longtemps que la bite de ton mari, qu’il a oublié ce que cela faisait de se faire prendre par un autre, plus jeune, différent !

.. Tu sens comme sa queue respire, bat au rythme du sang que le cœur envoie !

.. Profite ! Profite ! »

 

C’est la voix de la raison ? Pas sûr ! En tout cas, je l’écoute et me laisse aller. Mon fils a maintenant pris la dimension de ma grotte et s’occupe à en augmenter la profondeur. Il me travaille avec entrain, ne remet pas à demain ce qu’il peut faire aujourd’hui. Sa queue est un piston qui coulisse et me fait du bien.

Encore, encore…

 

Chaque avancée me pousse vers la chatte de Julie. En me baisant, il imprime un rythme que mes lèvres et ma langue transmettent avec avidité. Mon fils me bourre et je laboure sa sœur. Je ne suis que la courroie de transmission, mais que c’est bon !

Chaque seconde me procure un plaisir que je ne peux exprimer par la parole, mes lèvres se faisant elles-mêmes une tombe de l’intimité de ma fille. Mais Julie et Loïc parlent pour moi. Ma gorge ne renierait pas les « c’est bon », les « encore » et tous ces petits bruits qui font une bonne étreinte.

 

155.jpg

 

Combien de temps m’a-t-il honoré de son ardillon qui semblait gonfler de minute en minute ? Combien de temps ai-je respiré l’odeur de plus en plus forte de la boutonnière de Julie ? Je ne sais pas. Je me souviens juste des secousses qui ont annoncé la montée du plaisir de Loïc et que je m’attendais à recevoir au plus profond de ma grotte.

Julie et moi avons joui presque en même temps et je me souviendrai longtemps de ce plaisir, de ces plaisirs nouveaux. Sentir la divine liqueur de ma fille suinter de son minou, ce jus si particulier, à la fois identique, mais différent du mien, que mon mari me porte quelquefois aux lèvres, voilà une sensation qui, à elle seule, me fait oublier tout ce que cette situation a de spécial.

 

Reprenant ma place, assise entre mes deux coquins, nous reprenons quelques gorgées de champagne sans un mot, je réalise tout ce que la situation a de cocasse. Il me suffit de tourner la tête pour passer de ma fille d’un côté à mon fils de l’autre côté avec sa verge au repos, pendant délicatement vers le coussin du canapé, entrainant les bourses, elles aussi relâchées. C’est attendrissant, cette chose molle et flasque capable de se transformer en bâton de pouvoir, sceptre masculin devant lequel, nous, femmes, nous inclinons souvent pour un plaisir réciproque.

 

Je découvre la verge qui m’a provoqué un orgasme il y a quelques instants.

 

Il suffirait que je… Et je le fais. Je n’ai qu’à me pencher un peu et légèrement, avancer mon visage, pour que mes lèvres entrent en contact avec le bout rose. Une aspiration et le voilà dans ma bouche. Son odeur est forte, un petit reste de sperme séché, mais cela ne me déplaît pas. Mes lèvres progressent en rampant et bien vite, je peux tenir la queue entière dans ma bouche. Mes lèvres butent sur le pubis, les bourses touchent mon menton et mon nez reçoit de forts effluves, mélanges de transpiration et de sperme. Cela ne me rebute pas, au contraire, j’apprécie le côté animal qui s’en dégage.

 

Mais l’animal ne reste pas lové sans réagir. Je le sens se réveiller comme un serpent se dresse pour attaquer. Bien vite, je dois reculer sous la croissance du membre qui se déploie, gonfle et s’allonge. Bâton de chair dans l’axe parfait des bourses. Moi aussi je me déplace. C’est beau la jeunesse !

 

Pas question d’utiliser mes mains, seules mes lèvres doivent pouvoir cueillir le bout et le redresser par ma bouche. Je sais qu’à cet instant ma chevelure procure des sensations particulières sur la peau de mon fils, c’est ce que me dit son père à chaque fois. Cela ne rate pas et lorsque j’ai sa verge dans ma bouche et que je chasse mes cheveux de mes yeux, Loïc me sourit. Je ne peux pas le lui rendre. Qui sait sourire la bouche pleine ? Mais j’ai d’autres moyens. Ma langue joue et mes lèvres serrent la base de son gland. J’aspire, je pompe, je l’astique.

 

Mais je ne suis plus seule. Une main vient s’emparer des couilles. Une main jeune, bientôt suivie par une autre qui serre la base de la bite. Julie veut participer. J’abandonne un instant la queue de son frère pour l’étreindre en déposant de petits bisous sur son visage, puis elle s’empare de ma bouche et nous échangeons un baiser, baiser qui me paraît si naturel que je me demande si cette aventure ne m’a pas convertie un peu en lesbienne. Peu importe, il n’est pas temps de réfléchir. D’ailleurs, c’est elle qui se penche pour enfourner la friandise et l’astiquer avec vigueur.

 

Chacune à notre tour, nous nous activons sur le bâton et chaque fois, nous l’abandonnons un peu plus gonflé, un peu plus enduit de salive, salive qui coule sur les clochettes et qui nous fait tirer des filets lorsque nous le quittons. Nous rions de ces fils et jouons comme deux gamines à les saisir pour les faire éclater.

C’est à celle qui l’engloutira le plus profond. C’est à celle qui lui arrachera le soupir de plaisir le plus fort. À ce petit jeu, mon fils donne des signes précurseurs. Nous changeons de plus en plus vite. Laquelle sera la dernière ?

Des mains saisissent ma tête. C’est ma fille qui me cède la place, mais elle m’impose le rythme, celui que son frère souhaite, certainement le fruit de leur bonne collaboration. Les signes se transforment en vibrations, en battements qui annoncent la montée de sa semence. Les mains se font plus lourdes sur ma tête et bloquent tout désir de me retirer. Elle veut que je recueille le sperme dans ma gorge et, peut-être, craint-elle que je m’y refuse. Pas du tout, c’est une faveur que j’accorde souvent à mon mari. Il apprécie, comme certainement tous les hommes. Et, justement, c’est l’occasion de voir si les liqueurs d’hommes sont différentes, comme on peut le lire. Moi je n’en connais qu’une…

 

Les jets sont puissants et généreux. Ils frappent le fond de ma gorge et ma bouche les rassemble au fond de ma gorge pour l’avaler consciencieusement. J’aime les regards qu’ils me portent comme s’ils me découvraient. Jusqu’à maintenant ils devaient me considérer comme une mère détournée un instant du droit chemin par le concours de la solitude, de l’alcool et de leurs charmes. Ils ont raison bien sûr, mais mes enfants ne sont tout de même pas des puceaux effarouchés. Ils ont une vie sexuelle et ils n’ont pas idée de ce qu’ils peuvent faire pour divertir leur maman pour ne pas laisser la lassitude s’installer. Julie et Loïc, acceptent le baiser que je leur apporte.

 

 

Retrouvant un peu de lucidité sur la situation, sur ce que je venais de faire et la position dans laquelle je me trouvais, j’ai réfléchi à la vitesse de la lumière. Si je ne faisais pas quelque chose immédiatement, que je ne bougeais pas, je n’aurais plus l’excuse de la surprise pour justifier mon attitude. Et, au-delà, que deviendrait notre relation et comment pourrais-je encore les regarder en face, eux, mes enfants avec qui je venais de me livrer complètement dans ma plus totale intimité, allant jusqu’à leur offrir mon plaisir sans la moindre retenue ?

 

En un éclair, je me suis levée, j’ai murmuré un : « Excusez-moi », et j’ai filé me réfugier dans ma chambre. J’avais un infini besoin de me retrouver seule et de reprendre mes esprits. Je suis restée prostrée un bon moment assise sur mon lit, avant de faire ma toilette et de me coucher.

 

A travers la cloison, j’ai deviné qu’ils faisaient l’amour.

 

 

Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : Sexe en famille
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 30 avril 6 30 /04 /Avr 17:17

45.jpg

 

 

 

 

Le lendemain, dans l’après-midi, Julie est passée me rendre visite au bureau, ce n’est pas son habitude pendant ses heures de cours. Je lui demande ce qu’il se passe, si elle est malade, non elle a simplement un besoin urgent de me parler seule.

Nous allons dans une petite pièce discrète qui sert de réfectoire et de repos avec, pour tous mobiliers, une table, un frigo, une micro-onde, quatre chaises et un clic-clac.

Je m’assieds sur la banquette et je vois que Julie tire le verrou derrière elle et vient s’assoir à côté de moi. Nous restons toutes les deux sans parole un moment, puis elle se décide à parler.

 

« J’ai peur, maman, peur de ce qui s’est passé hier soir ! »

 

Je tourne la tête timidement vers elle et plonge dans ses yeux. C’est ce que je redoute.

 

« Tais-toi, Julie ! »

 

Je lui fais faire un quart de tour pour la serrer contre moi, son dos contre ma poitrine.

Je dépose de petits bisous dans sa chevelure comme pour la rassurer, je murmure des mots doux, apaisants, quelques larmes d’émotion coulent sur son visage.

 

Inutile de dire que je ne m’attendais pas à la trouver dans mon bureau cet après-midi.

 

Et voilà qu’elle a choisi ce moment pour vider son cœur de cette soirée incroyable. Et c’est pour cela que nous sommes, maintenant, serrées l’une contre l’autre, dans la pénombre de cette petite pièce. Et c’est ainsi qu’elle me raconte tout…, l’amour extraordinaire qu’elle vit avec son frère. Elle ne m’épargne rien, et même si elle choisit les mots avec soin, des images de plus en plus nettes de mes deux enfants consommant un amour qui me manque terriblement, ces images s’inscrivent dans mon esprit.

 

Mon menton posé sur sa tête, le parfum de ses cheveux, la douce pression de son dos sur ma poitrine font naître des images érotiques de plus en plus précises.

 

Je suis envahie d’un trouble profond associé à une forte envie de l’embrasser, la caresser éperdument. Je me penche pour lui donner un bisou au coin de ses lèvres, puis mes lèvres se posent légèrement sur les siennes. Elle ne proteste pas, je suis aussi fautive qu'elle. Ou, plus exactement, j'y prends autant de plaisir. Comment puis-je me laisser aller à ressentir un tel plaisir avec ma propre fille. Pourtant, je ne peux rien y faire. Je suis honteusement prisonnière de cet appétit d’amour qui m’a tant manqué.

 

Quelle expérience incroyable que de sentir et caresser ce jeune corps pressé contre le mien. Elle ronronne, se roule contre moi et soupire de bonheur, alors que je ne sais plus où placer mes mains pour ne pas dépasser une limite qu'elle a elle-même franchi. Elle saisit mes mains pour s'enrouler dans mes bras.

Elle lève la tête, surprise, ses yeux plongent à nouveau dans les miens. Est-ce mon délire, ou est-ce un désir au moins aussi grand que le mien que j’y lis ? Elle qui semble si amoureuse de son frère, de mon fils, il y a un instant…

 

Je suis perdue…, et je n’ai rien à perdre…, alors mes doigts enserrent un peu plus sa main et je me penche vers ses lèvres. Le soupir qu’elle laisse échapper au moment où nos bouches se touchent enfin, déchaîne en moi une vague de désir. Je ne résiste plus à l’envie d’enfoncer ma langue à la rencontre de la sienne, et de presser mon corps contre le sien.

 

Nos mains se croisent, s’emmêlent, se cherchent, pendant que nos bouches se découvrent, nous arrachant quelques gémissements. Je peux respirer ses longs cheveux, y enfoncer mes doigts, et retenir son visage alors qu’elle cherche son souffle sous mes baisers ardents. Je ne peux plus m’arrêter de la goûter, avec tous mes sens, j’ai peur qu’elle reprenne ses esprits et mette fin à cette douce folie. Pourtant ses gestes répondent aux miens et sont sans équivoque.

Mais je ne veux pas que ce moment soit gâché par des remords et je préfère interrompre un instant notre étreinte, avant que nous le regrettions.

 

Plusieurs fois on a essayé d’entrer dans la pièce de repos, mais sans insister, le personnel sait que je suis avec ma fille.

 

« Que se passe-t-il, ça ne va pas ? Julie me scrute d’un œil inquiet.

– Que faisons-nous, je croyais que tu ne rêvais que ton bel amoureux ?

– Mon amoureux, je le vois dans toi, maman ! »

 

La fièvre qui nous anime n’a plus de limite, cette fois et je ne veux pas contenir les émotions qui débordent de mon cœur.

 

« Ta bouche est tellement douce, tu me donnes le vertige ! » Murmurai-je.

 

Mes lèvres pincent délicatement son oreille et mes mains sont maintenant sous son chemisier, frôlant ses tétons dressés.

 

« Si tu savais à quel point je t’aime, je suis trempée de désir, j’adore sentir tes mains sur mes seins ! » Me souffle-t-elle.

 

Ma fille se dégage de mon étreinte et me sourit amoureusement. Elle sait que personne ne viendra nous déranger, elle enlève rapidement son bustier, puis elle m’aide à faire de même en dégageant mes seins du soutien-gorge qui les enserre.

 

« Ils sont magnifiques, maman ! »

 

Puis, elle se penche vers eux et aspire une pointe entre ses lèvres. Je ne peux retenir un long gémissement et sentir une libération de mouille humidifier ma culotte.

 

J’empaume délicatement ses petits seins, ils sont doux et fermes et les tétons sont bien logés au creux de mes mains.

 

Je ne peux m’empêcher de lui faire part de mes craintes :

 

« Tu es tellement belle, Julie, j’ai honte de ne pas être à la hauteur !

– Comment peux-tu dire une chose pareille, petite maman ?

.. Tu ne te rends pas compte de la sensualité que tu dégages, tu es extrêmement désirable et je vais te le prouver ! »

 

Julie m’allonge sur le canapé-lit et s’installe le long de mon corps. Pendant que sa bouche reprend mon sein, sa main relève ma jupe et remonte à l’intérieur de mes cuisses. Il y a longtemps que l’on ne m’a caressée ainsi, mais cette fois-ci, le désir est tellement grand que je me mets à trembler comme une feuille sous ses mains.

 

« Tu as froid ?

– Non, j’ai juste envie de toi…, et c’est insoutenable ! »

 

Ma fille me sourit, et m’embrasse doucement.

 

« Ne nous pressons pas, nous avons tout notre temps, ta secrétaire a dû reporter tes rendez-vous si tu en avais, elle pense que j’ai des choses importantes à te dire et, moi aussi, j’ai tellement envie de toi que j’en ai mal au ventre.

Sa main atteint enfin mon entrejambe trempé et frotte lentement mon clitoris dressé au travers ma culotte.

 

« Dis maman…, tu es vraiment excitée, on dirait !

– Tu en doutais encore ? Oh, je n’en peux plus, viens plus près ! »

 

Ses lèvres parcourent mon corps de petits baisers et sa langue laisse des tracés humides sur mon ventre. Sa main a contourné l’élastique et caresse ma fente, en évitant soigneusement le clito cette fois.

 

L’action conjuguée de ses doigts autour de mon sexe et de ses lèvres sur mon ventre devient véritablement insupportable et je ne résiste pas à lui faire subir le même supplice.

Je roule sur elle et après une séance échevelée de déshabillage et de caresses humides, entremêlées, je me retrouve à califourchon sur ses jambes.

 

Je peux enfin détailler le corps entièrement nu de ma fille sous le mien et je sais qu’elle fait de même.

Ses seins aux pointes dressées appellent la caresse. Sa fente délicatement taillée en triangle semble montrer le chemin du bonheur, sa peau douce glisse sous mes doigts et son ventre qui se soulève au gré de mes caresses, promet des vagues de plaisir incontrôlables.

 

Tout en retenant ses bras d’une main, je m’attaque, moi aussi, à ses tétons dressés. Mes coups de langue la font rapidement feuler en silence.

 

« Je vais craquer, caresse ma chatte maman, s’il te plaît… !

.. Et…, oh oui, descends ta main sur mon ventre, plus bas, encore plus bas, oui…, c’est trop bon ! »

 

Ma main atteint son bijou, autour duquel je dessine des cercles, puis j’insère un doigt dans sa fente brûlante et trempée. Je remonte pour trouver son clito tendu lui aussi. Cette fois, c’est un râle de plaisir qu’elle laisse échapper que j’’étouffe en un baiser, ne voulant pas ameuter le personnel.

 

Pendant que ma main caresse son antre humide, je frotte doucement mon pubis contre sa cuisse ferme, mais cela ne suffit guère à me satisfaire. Et je préfère me redresser pour découvrir sa vulve ouverte.

 

Ses grandes lèvres s’entrouvrent pour découvrir l’entrée du vagin et le clito impatient. La vue de cette chose ainsi offerte est tellement excitante que je ne résiste plus longtemps et plonge la tête vers son entrejambe.

C’est bien ma fille et j’ai envie de la faire jouir, de lui faire sentir qu’elle est à moi et que je suis toujours sa mère, je lèche son berlingot, tout en glissant deux, puis trois doigts dans sa fente.

 

« Ma fille, ma belle petite fille, que ta chatte a bon goût, tu es à moi, mon amour, je t’aime tant ! »

 

Mes paroles semblent la galvaniser et elle n’est plus que gémissements sous mes coups de langues répétés. Encouragée par ses soupirs, je bois son jus, j’aspire son clito autant que possible et mes doigts s’agitent de plus en plus dans la foufoune distendue.

Un oui prolongé sort de sa bouche, ses cuisses se resserrent convulsivement sur ma tête alors que je continue à œuvrer, comme si je voulais la déchirer. Enfin, ses fesses se cambrent une dernière fois, puis tout son corps retombe lourdement sur le cosy. Quelques soubresauts de plus en plus espacés marquent la fin de l’orgasme. Je retire ma main doucement, lui arrachant un dernier sursaut et je m’allonge près d’elle.

 

Plus excitée que jamais, j’attends cependant qu’elle reprenne lentement son souffle, ce qu’elle ne tarde pas à faire.

Ma fille roule alors sur moi et me souffle dans un baiser :

 

« Maman, tu m’as fait crier, mais tu ne perds rien pour attendre, ma belle, je suis sûre que tu as envie de jouir comme jamais, je me trompe ? »

 

Ses mots crus fouettent un peu plus mes sens, si cela était encore possible et c’est la voix pleine de désir contenu que je réponds :

 

« Fais de moi ce que tu veux, ma chérie !

– Alors, mets-toi à quatre pattes ! »

 

Je m’exécute rapidement, ses mains écartent mes fesses, je sens son souffle sur ma peau, mais je n’ose pas me retourner. Mon corps recommence à trembler de désir, malgré moi, dans l’attente de sentir ses lèvres, ses doigts me pénétrer.

 

Sa main se pose sur ma toison et la recouvre entièrement, en un geste d’appartenance. Je me cambre un peu plus. Un doigt se glisse entre mes lèvres, et frôle mon bouton dressé. J’étouffe mon gémissement dans mon poing.

 

Son doigt commence un lent va-et-vient dans ma vulve détrempée. Chaque passage sur ma motte me fait frissonner et gémir de plus en plus fort, je sens le plaisir monter rapidement, trop rapidement ! Et tout à coup, je sens quelque chose d’humide se poser sur mon petit trou. Je n’en reviens pas ! Ma fille est en train de me lécher l’anus à grands coups de langues et, passé l’effet de surprise, la sensation est simplement divine.

 

Afin de calmer un peu le jeu, sa main a lâché ma chatte, pour aller se poser sur mon sein. Effectivement, je pense que je n’aurais pas pu tenir plus de quelques secondes sous l’action de sa bouche et de ses doigts.

Je me laisse aller à cette caresse que je n’aurais jamais imaginée et dont je n’aurais jamais pu anticiper la douceur et la sensualité.

D’ailleurs, je sens dégouliner lentement un liquide le long de mes cuisses, je ne sais si cela vient de mon intimité ou de sa bouche. J’ondule lentement mon bassin sous son museau, maintenant il faut que je jouisse ou je vais devenir folle.

 

Ma fille comprend aussi que je ne vais plus tenir très longtemps, elle glisse un coussin sous mon ventre et m’allonge doucement. Je suis encore toute à sa disposition quand elle recommence à me manger. Mon impatience est à son comble, et c’est tout mon corps qui vient à la rencontre de ses doigts fouisseurs, pendant que j’enfonce ma tête dans l’angle du canapé.

 

« Laisse-toi aller maman, tu mérites beaucoup ce plaisir ! »

 

Alors je me lâche pendant que la vague ravageuse monte dans mon ventre.

 

« Oui, j’aime ça, Julie, continue, j’aime, oui, j’aime, je t’aime… ! »

 

Ma fille enfonce alors un doigt dans mon œillet et un dans ma chatte, déclenchant enfin un orgasme qui explose dans mon corps, remonte dans mon crane, jusqu’à la racine de mes cheveux. De ma poitrine, sort un cri animal que j’ai beaucoup de mal à étouffer.

 

Mon corps ondule encore plusieurs fois, puis les spasmes s’estompent, je retombe sur le clic-clac, les doigts de ma fille toujours fichés en moi.

Doucement, elle retire sa main et s’allonge contre moi sur cet endroit étroit.

 

« Ça va, maman ? Me glisse-t-elle à l’oreille.

– Tu m’as épuisée, Julie, jamais je n’oublierai ce merveilleux moment ! »

 

Je rougis violemment, en me rappelant les folles paroles qui m’ont échappées pendant l’orgasme. Oui, je lui ai dit que je l’aimais, j’espère que cet aveu un peu rapide ne l’a pas choquée.

 

« Je suis désolée, je ne voulais te mettre mal à l’aise, mais tes caresses m’ont vraiment rendue folle, Julie !

– Mais ça ne va pas, maman…, c’est toi qui me rends folle !

.. Tu viens de me faire le plus beau cadeau que je puisse avoir ! »

 

Sa bouche reprend doucement la mienne et cette fois, c’est une caresse pleine de tendresse que nous échangeons, alors que nos mains reprennent un lent ballet. Nous savons maintenant que nous avons toute la vie devant nous pour nous aimer et partager.

 

 

Comment en suis-je arrivée là ? Je suis entrée dans un monde de dépravation et de vice. C’est déjà assez grave, mais le pire est que j’aime cela ! Comment la femme respectable que j’étais, il y a encore quelques semaines, a-t-elle pu laisser la place à celle qui se vautre dans la luxure avec ses propres enfants. Je pense, je réfléchis encore et encore dans ma voiture en rentrant très tardivement à la maison. J’ai dû téléphoner comme tous les soirs à mon mari et finir des dossiers en retard. Il est vint-trois heures lorsque je rentre chez moi, les enfants sont couchés, comme d’habitude, mon dîner est préparé par une jeune femme qui vient tous les jours pour s’occuper du ménage et des repas.

 

Alors que je termine ma dinette en regardant bêtement la télé, mon fils vêtu d’un peignoir entre dans la cuisine, me dit bonsoir en me donnant un baiser sur chaque joue et se place en face de moi. Il se sert un verre d’eau et regarde furtivement le programme à la télé. Après quelques minutes de silence :

 

« Tu vas bien, maman…, tu dois être fatiguée… !

– Oui, un peu !

– Julie m’a tout dit pour cet après-midi ! »

 

Ma tête tourne et c’est un peu comme si je perdais connaissance… Aussitôt, Loïc se lève et vient à côté de moi. Il est à genoux contre ma chaise. Il me parle doucement de sa voix chaude, je sens qu’il ne me veut que du bien. Il pose une main sous mes cuisses et l’autre sous mon épaule droite. Comme une plume, il me soulève, m’emmène dans le salon et m’allonge sur le canapé. Il place un coussin sous mes pieds en prenant soin de m’ôter mes chaussures. Que m’arrive-t-il ? Je suis encore perdue dans un rêve… Mon fils me débite des paroles rassurantes en me caressant le front et les cheveux… Il part vers la petite salle d’eau juste à côté et revient, une petite serviette blanche immaculée, trempée d’eau froide, humecte mon front. La fraîcheur me calme, mais je suis lasse, alanguie. Je n’ai aucune envie de me relever, Je voudrais que Loïc reste là.

Il me parle doucement, mais je ne comprends pas ce qu’il me dit. Son visage est très proche. Il est à genoux. Il se penche vers moi. Son regard clair se perd dans mes yeux.

 

Très doucement, son visage s’approche du mien. Je vois et comprends parfaitement ses intentions. Que m’arrive-t-il ? Les belles lèvres de mon fils rejoignent les miennes. Un petit mouvement de ses lèvres et sa langue vient caresser les miennes. Mes lèvres ne résistent pas à la douceur de ce contact. Ma bouche s’entrouvre, ne faisant plus obstacle à sa langue chaude et dure qui m’investit.

 

« Nous ne devons pas faire ça, Loïc, et demain matin, tu as cours !

– Maman, qu’as-tu fait cet aprèm’ avec Julie, maman… ?

.. Je veux juste que tu décompresses, je veux ton bonheur, tu es tout pour nous, belle petite maman ! »

 

Pour favoriser ses mots, il glisse son bras droit autour de mes épaules et m’oblige très doucement à renouveler un baiser. Je n’ai aucun mouvement de recul, bien au contraire.

Son bras autour de mes épaules me serre contre lui. Je me blottis contre lui. Mais mon fils n’est pas moins homme. Si sa main droite est très sage autour de mes épaules, il n’en est pas de même pour la gauche. Je la sens qui se pose sur ma hanche droite. Je sens la chaleur de cette paume à travers le tissu souple. Lentement, cette main commence un lent va-et-vient de ma hanche au haut de ma cuisse. Mon instinct de femme respectable resurgit :

 

« Loïc, nous allons faire une…

– Chut… ! »

 

Décidément, ces petits vauriens se sont donnés le mot, deux fois dans la journée, quand-même !

 

Il me ferme les lèvres des siennes. Elles sont chaudes et douces et je ne résiste pas. Je réponds à son baiser, mais je me libère et réussis à lui dire :

 

« Loïc, s’il te plaît, laisse-moi te dire…

– Que veux-tu me dire maman ?

– Loïc, je suis ta mère, ce n’est pas parce que j’ai pris quelques minutes de plaisirs avec ta sœur que je suis une femme facile et je me demande bien ce que je fais ici avec toi…, mon fils ?

– Maman, tu te fais du mal en disant ces bêtises, Julie et moi nous t’aimons vraiment ! »

 

Mais la tentation est trop forte et une pulsion envahit mon corps. C’est moi, comme une midinette, qui lui tend mes lèvres et le reprend goulûment. Mes paroles et mes gestes sont en totale contradiction. Je laisse sa main posée sur ma cuisse. Je ne cherche pas à empêcher ses mouvements. Doucement, elle glisse sur ma cuisse et rencontre le bas de ma jupe. Sa chaleur m’électrise, je l’embrasse à pleine bouche. Je ne peux pas résister à cet appel charnel. Lentement, la main remonte sous ma jupe. Chaque pause est marquée par une appréciation de la fermeté de ma chair par de petites palpations. Je l’enlace par le cou.

 

Son bras droit enveloppant mes épaules, sa main en profite. Elle glisse sur mon chemisier et rencontre la masse de mon sein droit emprisonné dans le soutien-gorge. Je ne résiste pas, je me fais docile. Je suis dans ses bras en jupe et chemisier avec sa main toujours bien avancée sur ma cuisse. De nouveau, nos lèvres se sont rejointes. Sa langue se met à danser un ballet sauvage dans ma bouche, tournant et retournant autour de ma langue et suçant celle-ci, comme si c’était un petit sexe.

 

Cette sarabande me fait craquer. J’oublie tout et je jette, par dessus ma conscience, tous mes préjugés de mère de famille sérieuse. Le baiser m’enflamme et mon corps ne peut se retenir. Il commence à onduler. Ma respiration s’accélère. Sa main enfouie sous ma jupe apprécie le grain de ma peau. Lentement, elle remonte plus haut. C’est à cet instant, que mon bassin se met à bouger, à réclamer une caresse plus précise.

 

Loïc retire son bras de mes épaules. Tout en continuant à me dévorer la bouche, ses doigts longs et agiles s’aventurent sur le devant de mon chemisier. Ils sont à la recherche de boutons… Malgré sa jeunesse, mon fils semble avoir une certaine expérience. Les boutons sautent les uns après les autres de leurs boutonnières respectives. D’un revers de main, il écarte les pans offrant à son regard ma poitrine gonflée. Mes seins emprisonnés bombent au-dessus de la dentelle et les pointes tendent outrageusement la dentelle. Mais mon fiston se recule pour me regarder comme s’il ne m’a jamais vue.

 

« Tu es merveilleuse…, tu es belle, maman ! »

 

Aussitôt, il se jette sur mon sein et, à travers la dentelle, pince mon téton. La sensation est éblouissante et, encore une fois aujourd’hui, je bascule dans un autre monde. Sa main remonte complètement sous ma jupe et ses doigts font connaissance avec la dentelle de ma culotte.

Je lui facilite la tâche en me libérant de mon soutif. Mes seins sont libres de toute entrave et s’offrent aux caresses et titillements de mon garçon. Mon ventre réagit vivement à ses caresses pleines de douceur. Je sens mon entrejambe se transformer en fontaine. Nos bouches ne se quittent plus. Je ne me reconnais plus. Une pulsion me traverse. Je glisse ma main dans son peignoir pour palper l’ampleur de son excitation.

 

Je l’empaume pour lui rendre sa caresse intime. Il se redresse doucement, remonte ma jupe en haut de mes cuisses. Je prends appui sur mes talons pour lui permettre de passer les rondeurs de mes fesses. Il m’aide à me relever et la jupe continue son ascension. Au passage, il emmène mon chemisier et le tout est jeté sur le tapis du salon. Ses mains redescendent et, avec beaucoup de délicatesse, saisit l’élastique de ma culotte et l’entraîne vers mes pieds. Le mouvement est tellement lent que mon fils peut se repaître de la vision de mon corps, de mon sexe poilu. Je suis maintenant entièrement nue, Loïc, en moins d’une seconde, jette son peignoir qui rejoint mes vêtements. L’objet est en érection vient battre brutalement son ventre.

 

Puis il s’agenouille et, lentement, découvre ma fourrure. Il couvre ma peau de ses baisers, jusqu’au moment où il se noie dans mon buisson en s’enivrant des odeurs qu’il exhale. L’idée que mon fils puisse plonger ses lèvres et son nez dans ma forêt intime me révulse et me transporte à la fois. De la honte au plaisir. Ces efflorescences vénéneuses, cette liqueur du diable qui inonde maintenant tout le haut de mes cuisses…, et le reste…, sans que je puisse déterminer si c’est de la pisse ou autre chose… Je frémis, je tremble alors que je sens son nez farfouiller de plus en plus bas.

 

Ses doigts s’animent, me soupèsent, m’étirent, m’enveloppent, me pincent. Sa bouche entière est maintenant en moi, mais mon corps en veut plus. J’essaie de l’attirer plus haut, mais il prend un malin plaisir à butiner ma fleur qui s’ouvre à sa caresse. Je tire un peu ses cheveux pour sentir sur ma bouche un baiser, mais il résiste tant que j’abandonne, et que je m’abandonne à l’infernale succion. Je sens mes seins durcir, mon ventre se contracter, puis des ondes langoureuses me font vibrer pendant de longs instants.

 

Je rejette la tête en arrière, je hurle ! Une dernière crispation, complètement folle, complètement intense !

Point final. Anéantissement. Je repose les pieds sur le canapé. Je serre les cuisses. Je suis morte. Je me détends. Je ne peux plus bouger. Je reprends conscience, me relève sur les coudes. Mon fils me regarde, souriant. Ce sourire est fatal, beau, transcendantal. J’ai honte, son visage ruisselle de ma mouille. Et il me regarde toujours, souriant tendrement, de ses yeux si bleus qu’on pourrait s’y noyer. Alors, avec douceur, je me relève davantage, tends la main vers son sexe orgueilleusement pointé, et l’attire vers mon ventre. Il arrête, l’espace d’un instant, mon geste et me dit :

 

« Alors, jolie maman, un joli petit pied, on dirait !

– Loïc, mon chéri, tu me rappelles ton père quand nous étions juste mariés, mais en plus, c’est avec toi, mon garçon ! »

 

Puis je reprends :

 

« Tu m’as donné tant de plaisir avec ta bouche, je n’ai même pas eu le temps de sentir ta virilité ! »

 

D’une main friponne, je retourne vers le beau phallus : l’explorant de mes ongles, je le sens fin et long. Je le frôle et l’agace, mais je le sens m’échapper. Loïc me prend les jambes, les pose sur ses épaules, je suis ouverte à lui, béante. Sa hampe vient frapper l’entrée de ma grotte, encore toute humide. L’accueil est chaleureux, elle trouve porte ouverte, se glisse en moi comme si c’était son moule, progresse langoureusement, me remplit de bonheur. Repoussant mes genoux sur ma poitrine, il me plie en deux pour m’envahir jusqu’à mon utérus. Je gémis, c’est trop bon. Puis mon garçon entame un lente chevauchée, je suis comme une poupée de son, qui s’agite, pourfendue par un mâle en folie.

 

Son rythme s’accélère, au gré de nos envies, nos corps se tendent, vibrent, sa semence m’envahit, je suis au nirvana, nous gémissons ensemble, nos sucs mélangés, nos êtres entre eux soudés. Nous retombons tous deux, toujours encastrés l’un dans l’autre. Nos corps sont en sueur, mais nos âmes apaisées. Je suis bien, je veux rester ainsi le plus longtemps possible, malgré la fatigue de cette journée exceptionnelle.

 

C’est vrai que je revois, à cet instant, la jeunesse que j’ai vécue avec mon mari, les mêmes gestes, les mêmes intentions que son fils, alors que maintenant, quand il en a envie… Couchée sur dos, j’écarte les jambes et je me fais tartiner de sève masculine en deux temps trois mouvements. Cependant, j’aime énormément mon mari, je ne sais quel avenir m’attend avec ses aventures insolites.

 

Très courte nuit, très longue journée en ce vendredi, je suis contente de rentrer à la maison, de manger un morceau et de me coucher. Comme d’habitude, je pars le matin avant les enfants et j’arrive après eux, ils sont dans leur chambre en m’attendant pour diner. Aujourd’hui, j’ai beaucoup pensé à mes enfants, à nos rapports qui vont prendre un nouveau tournant, je dois absolument faire le point de cette situation avec eux ce soir, leur père arrive demain dans la soirée.

 

Devons-nous garder ce secret entre nous trois ou informer mon mari de ces évènements, il ne sera pas possible de toujours dissimuler cet état de choses dans le foyer et qui, de toutes façons, tôt ou tard, il finira par savoir et ce sera la catastrophe. Après une longue conversation avec mes enfant en dînant, nous avons convenu de le mettre au parfum de nos petites aventures qui, selon nous trois, n’ont rien de très méchant et puis nous serons tranquilles. Pour ce faire, nous établissons un petit plan pour bien faire passer la pilule.

 

Dans deux heures, je dois aller chercher Fred à la gare TGV comme d’habitude et, selon notre plan, je dois le séduire à nouveau en quelque sorte, le chauffer au maximum pour lui faire oublier le travail. Je commence à me préparer. J’ai déjà pris ma douche, il me reste à parfaire la taille de ma toison intime qu’il adore tant. Ensuite, vient le choix de ma toilette. Il fait beau, je m’habille léger. Première chose, les sous-vêtements, j’opte pour un bel ensemble Aubade avec soutien-gorge et shorty en dentelle très sexy. En deuxième, un chemisier sans manche, un peu transparent, sur lequel je mettrai un gilet, si je trouve qu’il fait frais. En troisième, une jupe en toile de jeans courte, qui dévoile largement mes cuisses. En dernier, les chaussures, j’aurais bien mis des hauts talons, mais, pour conduire, ce n’est pas pratique, donc je me contente de ballerines. Même comme cela, je pense que je vais attirer les regards. Les enfants ont complètement changé mon comportement en quelques jours, je vois la vie…, presqu’en rose.

 

Arrivée au parking, je regarde l’heure : je suis en avance. Je reste dans la voiture, mon esprit vagabonde, comment va se comporter mon mari ? Sera-t-il fatigué du voyage ? Il n’a plus la manière et l’esprit amoureux comme dans notre jeunesse. Une semaine de séparation m’excite toujours les sens, mais lui beaucoup moins, il n’y a que son job qui compte. Il y a longtemps qu’il ne m’a pas vue accoutrée de cette manière, j’imagine déjà ses yeux qui me déshabillent du regard, qui cherchent à deviner ce que cachent mes atouts, mais peut-être que je rêve. Une inspiration subite me vient à l’esprit : Fred aimait quand j’étais très légèrement vêtue. Aussi, je sors de la voiture, ouvre la portière arrière pour me dissimuler un peu, je relève ma jupe et je me contorsionne pour enlever la délicate lingerie qui protège mon intimité. Je suppose que mon chéri appréciera mon initiative. Comme il y une quinzaine d’années, il adorait me savoir habillée coquinement. J’entre à nouveau dans la voiture et je pose mon shorty, bien en évidence, sur le siège passager.

 

L’heure est venue, je sors de ma voiture et je me dirige vers l’arrivée des passagers. L’air chatouille mon entrejambe, c’est vrai que ma jupe est bien courte, il va me falloir faire attention si je ne veux pas déclencher un esclandre. Quoique ? En même temps, ça m’amuse et je suis épatée de mon assurance. Je monte l’escalier, sans me presser, ce qui laisserait le temps à un mateur de bénéficier du spectacle. D’ailleurs, arrivée en haut, je jette un coup d’œil rapide et je remarque un homme qui, visiblement, tente de profiter de sa position basse. Il détourne rapidement la tête, mais cela m’a suffi pour voir où se dirigeait son regard. Je souris intérieurement : j’attire toujours les regards de ces messieurs, c’est un joli compliment.

 

J’attends mon Fred, je suis toute émoustillée par ma prestation, je me dis que je deviens vraiment cochonne. Je le vois, je lève la main, mais il m’a déjà vue, il s’approche de moi et me donne un petit bisou comme d’habitude, mais je me colle à lui de tout mon corps, les gens autour de nous n’existent plus nous sommes seuls au monde. Fred me regarde :

 

« Comment tu es habillée ? »

– Mon chéri, j’ai voulu te faire une bonne surprise pour nous rappeler notre jeunesse !

– Mais enfin, Geneviève, tu n’y penses pas, tu n’as plus vingt ans !

– Pourquoi ? Ҫa ne te plait pas ?

– Franchement…, toi, tu m’étonneras toujours !

– Mon chéri…, je crois que tu n’as pas fini d’être étonné !

– Ah bon ! »

 

Il se recule, me regarde de haut en bas et de bas en haut, puis il me dit :

 

« Je crois comprendre ce que tu veux dire, petite coquine ! »

 

Son ventre se colle au mien, je me sens moite d’émotion, jusque-là, tout se passe bien, j’ai bien suivi les conseils de mes enfants. Fred me prend par la main et nous nous dirigeons vers un ascenseur avec sa valise. Ce n’est toujours pas dans ses habitudes, mais dès que nous sommes dans la cabine…, un homme reste toujours un homme !

 

« Alors, comme ça, tu n’as pas de culotte ? » Me demande-t-il en passant sa main sous ma petite jupe pour me peloter les fesses.

 

Il flatte mon postérieur, avant de descendre sur mon minou qu’il trouve humide. Il remonte un doigt entre mes fesses, ma petite entrée doit aussi être humide.

 

« Tu ne vas pas me dire que c’est le fait que je te caresse qui te met dans cet état ? »

 

L’ouverture de la porte de l’ascenseur me dispense de lui répondre immédiatement. J’attends qu’il n’y ait plus personne à nos côtés pour lui dire combien je l’aime et l’admire. Depuis quelques mètres, il cajole lentement mes fesses par dessus le tissu. Ce côté du parking est moins fréquenté et nous pouvons nous laisser aller.

 

« Tu es de plus en plus friponne, mon amour ! »

 

Nous arrivons à la voiture, j’ouvre le coffre, Fred dépose sa valise. Je prends le volant. Mon mari va s’asseoir et trouve le shorty sur son siège.

 

« Cette pauvre culotte a perdu au change ! Elle devait être bien entre tes jolies cuisses ! Tant pis pour elle, tant mieux pour moi ! Allez, dans ma poche, comme ça tu ne l’oublieras pas dans la boîte à gants, ça fait désordre ! »

 

Dès que nous avons quitté le parking, la main de mon chéri s’insère entre mes cuisses. Sans s’arrêter, elle remonte vers mon minou, tout content de ces nouvelles caresses. Il me demande des précisions sur ce reverdissement. J’essaie d’être la plus détendue possible, mais entre l’évocation de ce que je viens de faire et les tendres effleurements que Fred me prodigue, j’ai du mal. Malheureusement, le fait de conduire ne me permet pas d’être dans la meilleure position pour bénéficier au mieux des attouchements érotiques de mon chéri. Il me demande :

 

« Les enfants sont à la maison ?

– Oui, bien sûr !

– Dommage… ! »

 

Cependant, nos caresses mutuelles ont dû lui donner des envies, car avant d’arriver chez nous, il me fait prendre une autre route que celle que nous empruntons habituellement. Avant que je lui pose la question, il me dit :

 

« Tu te rappelles de ce petit bois où on se faisait des câlins dans cette deux chevaux ?

– Tu veux aller là-bas… ? Tu n’as pas faim ? »

 

Quel bonheur, il ne me parle même pas du travail !

 

Peu après, je bifurque dans un chemin empierré qui passe entre deux champs de blé. Une zone un peu plus large à l’entrée de ce fameux bois me permet de faire demi-tour. Fred sort de la voiture et vient ouvrir ma portière. Il me fait tourner sur mon siège, écarte mes cuisses et plonge sur mon minou encore humide. J’attends avec plaisir la chatouille de sa langue qui glisse dans ma fente et remonte en quête de mon clito. Je prends sa tête entre mes mains, pour la coller à ma chatte et lui faire sentir mon désir. L’ivresse des sens me gagne. Sa langue entre en moi, il joue avec mes petites lèvres, les étire, les suce, il lèche et titille mon clito dans tous les sens, il me rend dingue. Tous ces moments délicieux passés vingt ans plus tôt se remémorent dans ma tête, je m’abandonne au plaisir qui vient. Mon bouton déboussolé envoie des signaux de bonheur le long de ma colonne, jusqu’à mon cerveau.

 

Profitant de ma jouissance, il déboutonne mon chemisier et se débrouille pour dégrafer mon soutien-gorge. Il cajole mes seins, tendus par le plaisir. Mes tétons érigés sont presque douloureux, cela ne m’empêche pas de ressentir des ondes de bonheur parcourir ma poitrine. Puis Fred me prend par la main et m’entraîne à l’extérieur de la voiture.

 

Cette fois-ci, c’est moi qui prends l’initiative : je déboucle sa ceinture et descends la fermeture, descends son pantalon et son slip. Sa tige m’apparaît dans toute sa fermeté. Je la prends et je commence à faire aller et venir mes lèvres autour. J’aime bien m’occuper de son sexe, c’est un juste retour des choses, vu le plaisir qu’il m’a donné avec sa bouche. Pourtant, il n’est pas un adorateur des préliminaires, ces dernières années, il avait tendance à faire ça "vite fait" et souvent "mal fait". Je l’ai excité au maximum, je le sens bien mûr pour tomber dans notre plan.

 

Il prend mes mains et me met en appui sur le hayon. Puis, il remonte ma jupe sur mes hanches, je ressens la douceur de l’air sur mes fesses dénudées. Une main s’insère entre mes cuisses. Ses doigts commencent à choyer mon pubis pour atteindre l’entrée de ma grotte humide de plaisir. Un doigt s’immisce, puis un deuxième, puis ils débutent leur va-et-vient. Je laisse échapper quelques petits soupirs. Je tortille des hanches pour que ses doigts aillent au plus profond, qu’ils me remplissent. Prise d’une frénésie, je ne cache plus rien de mon plaisir. Si quelqu’un passait, à ce moment-là, il verrait une femme complètement débraillée, la jupe remontée et dévoilant tout son cul, en train de se faire doigter.

 

Je sens sa virilité chaude contre mes fesses qui pointe à l’entrée de ma minette.

 

« Eh bien, Geneviève, ma cochonne, tu es toute mouillée ! Que t’arrive-t-il ?

– Il m’arrive que je t’aime, Fred ! »

 

Il accentue sa pression et je m’ouvre comme une fleur au soleil, me liquéfie, m’inonde de bonheur inattendu. Mon mari me pénètre d’un coup de reins, à la hussarde. Je laisse échapper un glapissement, tellement l’impression est forte. Je ne peux m’empêcher encore de faire une comparaison avec mon fils, plus doux et plus attentif. Ça faisait si longtemps que je n’avais pris un tel plaisir avec mon mari. Il va et vient dans mon ventre, s’enfonçant de toute sa longueur avant de ressortir presque entièrement. À peine quatre à cinq coups de reins, et je commence à décoller. Il arrive enfin à maîtriser son rythme pour m’amener au septième ciel, il sort posément, presque complètement, pour se réintroduire à fond avec vigueur, maintenant, il opère délicatement, sans brutalité.

 

Les yeux fermés, toute à mes sensations érotiques, je m’entends gémir. Chaque coup de reins supplémentaire m’extorque un cri de jouissance. C’est la énième fois cette même semaine, jamais je n’avais vécu une telle prouesse.

 

Grace à mes enfants, à nos enfants, je me fais bien besogner par mon mari. Au fond de moi, je pense : « Prends-moi comme ça, ardemment. Tu n’as pas besoin de faire attention, je suis toute à toi ! Manifeste ton envie de moi, montre-moi que je t’ai manqué, que tu as une envie dingue de mon corps. Pourvu que tu ne t’arrêtes pas…

 

Une montée de plaisir qui vient du fond de mon bas-ventre grandit à chaque coup de reins de Fred. Je gémis, je l’implore :

 

« Chéri, n’arrête pas, continue comme ça, retiens-toi, j’aime trop, j’ai trop envie ! »

 

Je pousse mes reins en arrière, à la rencontre de son membre pour qu’il entre au plus profond, je le veux en entier. Je viens à la rencontre des coups de boutoir de mon homme, mes fesses cognent contre son ventre. La sensation est ineffable. Je ferme les yeux pour mieux ressentir la vague de jouissance, qui continue à grandir. Je ne suis plus qu’un vagin pourfendu par une tige de chair et qui va exploser de plaisir. J’en pleurerais de bonheur. Un dernier coup de reins, j’ai le sentiment qu’il est encore plus gros, plus ferme, plus raide. La jouissance déferle : j’ai l’impression de hurler et de basculer dans le néant, soudée au chibre de mon chéri.

 

Je suis heureuse d’être remplie ainsi par mon mari malgré cette position inconfortable. Il me surprend, je me surprends, il bouge doucement avec des mouvements courts et lents. À chaque fois, ses boules effleurent mes fesses et je trouve ce contact particulièrement jouissif. Entre nous, le désir est communicatif, je me sens investie par son sexe et surtout par la présence de son doigt qui s’agite entre mes fesses. Cela ne m’empêche pas de penser à mes enfants, j’aimerais qu’ils voient combien leur père est encore amoureux de leur maman.

 

Je persiste quand-même à crier pour qu’il continue. Je suis depuis longtemps en ascension vers le septième ciel. Rarement, j’ai joui à intervalles aussi rapprochés. Je continue de gémir, jusqu’à me faire hurler par le plaisir qui revient. Fred n’en finit pas de me perforer. Soudain, je sens qu’il va éjaculer en moi, qu’il va m’arroser de sa semence retenue depuis une semaine. Ses mains se crispent sur mes hanches, il atteint le fond de mon vagin et projette son sperme dans mon corps qui n’attend que ça, j’ai l’impression qu’il n’arrête pas d’éjaculer, le temps est suspendu. Cela déclenche un nouvel orgasme qui me fait vibrer de la tête aux pieds, peut-être que je hurle mon bonheur et mon plaisir.

 

Fred se retire, il m’aide à me retourner et m’embrasse comme un amoureux. Il me regarde dans les yeux :

 

« Geneviève, je t’adore, tu es ma friponne adorée ! Je ne sais pas ce qu’il t’arrive aujourd’hui, mais tu devais être particulièrement excitée, j’ai le sentiment que tu as bien joui !

– C’est tout simplement l’amour, mon chéri, c’est pour te prouver qu’il n’y a pas que le boulot, il y a la vie !

– Tu es une vraiment une petite coquine ! Allez viens ! Je me serais bien occupé de ton petit cul, mais je suis fatigué par le voyage ! Ne t’inquiète pas, tu ne perds rien pour attendre !

– J’ai réservé une table dans ce resto où on allait dans le temps…, tu te souviens ?

.. Attends…, je dois faire pipi ! »

 

Je retrousse ma courte jupe sur mes cuisses, pressée de satisfaire mon besoin urinaire, Restant debout, j’écarte les jambes et je laisse fuser mon urine chargée de la semence de mon époux pour arroser le sol moussu. C’est la première fois, en vingt ans, qu’il me voit uriner de la sorte. Incrédule, il demeura sans voix, à fixer l’expulsion urinaire. Lorsqu’enfin, le jet se tarit, je vais pêcher dans un vide poche de l’auto un mouchoir en papier afin d’essuyer l’intérieur de ma fente toute imprégnée.

 

Pris d’un désir soudain, Fred s’interpose :

 

« Attends, laisse-moi faire ! » Se propose-t-il.

 

Étonnée par cette demande étrange, je laisse cependant mon chéri s’emparer du mouchoir de papier, trop surprise par cette exigence pour songer à la lui refuser. Il s’agenouille à mes pieds en prenant garde de ne pas poser ses genoux dans la mousse humidifiée par ma miction. Avec des gestes d’une extrême douceur, il entreprend d’essuyer ma chatte humide, la frôlant et la tamponnant délicatement à l’aide du fin papier. Il décide d’accentuer la félicité qu’il venait de me procurer en abandonnant le mouchoir de papier imbibé, il pince entre ses doigts mes grandes lèvres, les écarte délicatement l’une de l’autre. Il approche son visage de ma faille luisante afin de s’y désaltérer, il plonge sa langue dans les replis humides à la recherche de ce qui peut rester.

 

« C’est fini, mon Fred, laisse-moi, je suis à bout ! »

 

Je m’agrippe d’une main tremblante sur son crâne, toujours accroupi entre mes cuisses frémissantes. Je repousse le visage trempé de mon époux en me disant que cette fois, c’est sûr, il est bon pour accéder à notre plan.

 

Saisie par la tendresse et la passion qui brille dans ses yeux, j’encercle son cou et approche mon visage pour lui poser tendrement mes lèvres sur les siennes.

 

« Je t’aime… ! » Murmuré-je faiblement.

 

D’une langue souple et adroite, je vais chercher la sienne dans un baiser plein d’une passion amoureuse depuis longtemps oubliée. Peu à peu, la vie avait transformé les amants que nous étions en un couple comme tant d’autres, pris par les obligations professionnelles.

 

Encore une fois, je me distingue en me disant que j’ai encore marqué un point. Au restaurant, nous parlons bien évidemment un peu du travail, des enfants, puis il me complimente pendant que nos jambes se frôlent sous la table. Un vrai dîner d’amoureux.

Assez tard dans la nuit, nous arrivons à la maison en nous bécotant comme de jeunes tourtereaux.

 

 

Je ne pouvais en espérer plus, pour l’instant, tout c’est passé à merveille et j’ai repris goût de l’amour avec mon mari. Nous prenons une douche ensemble comme au bon vieux temps, puis enfilons chacun notre peignoir pour nous diriger vers notre chambre.

La porte de la chambre de Julie qui se trouve en face de la nôtre est entrouverte, Fred a l’idée de jeter un œil dans la demi-pénombre de la chambre et là… !

 

 

« Mais c’est quoi ce bordel, Geneviève, dis-moi que je rêve ? »

 

 

En effet sous le regard stupéfait de mon chéri, nos enfant sont allongés, nus sur le lit. A la vue de leur père, ils se lèvent pour venir l’enlacer. Jusque-là tout se déroule comme nous l’avons anticipé.

Julie l’enlace un peu plus fort que d’habitude pour l’embrasser sur les joues.

 

 

« Bonjour mon papa adoré ! »

 

 

Puis elle se détache pour laisser la place à son frère qui, à son tour, l’enlace et dépose également deux bisous.

 

 

« Mais que faites-vous à poil, tous les deux, dans le lit ? » S’interloqua mon mari, complètement ébahi sous l’effet de cette surprise inattendue.

 

 

– On t’attendait papa chéri… Nous sommes très contents de te voir, ce soir, nous savons que maman t’a bien accueilli, maintenant c’est notre tour, n’es-pas Fred ?

– Oui mais ça ne m’explique pas ce que vous faites, tous les deux, à poil. dans ton lit ? Répéta Fred d’un ton nettement plus élevé.

– Allons mon chéri, on a passé une soirée exceptionnelle et maintenant tu t’en prends aux enfants sans bonne raison… !

.. Tu n’es pas fier d’avoir une fille et un garçon si beau, si épanoui, qui sont parmi les plus doués de leur lycée… !

.. Tu n’es presque jamais avec nous, tu n’as pas vu qu’ils manquaient d’amour ?

.. Depuis quelques jours, j’ai repris mon rôle de mère sans pour autant délaisser le bureau ! »

 

Pendant ce temps, les enfants continuent à faire de gentilles politesses à leur papa en le cajolant et se serrant contre lui. Il est devenu silencieux certainement par le fait de la pure réalité de notre vie nourrie jusque-là uniquement du travail et sans aucune affection. Je vois bien que dans sa tête il cogite ne sachant absolument plus quoi faire, prisonnier de l’emprise des enfants et de moi-même. D’un geste synchronisé, nous l’entrainons dans notre chambre, chancelant, il suit le mouvement pour s’affaler sur le lit et dans cette petite chute son peignoir s’entrouvre laissant apparaître une verge en demi-érection.

 

D’un regard complice entre les enfants et moi, comme pour nous dire qu’il ne faut surtout ne pas abandonner ce que nous avions décidés pour rendre notre Fred un peu plus familier. Par de petits chatouillis quasi innocents occasionnés pas six mains mon mari est resté muet ne sachant certainement plus ce qui lui arrive, mis à part une bien belle érection d’où commence à perler quelques gouttes de liquide intime. La verge dressée n’échappe pas aux caresses où chacun y met du sien pour une excitation maximum de notre protecteur.

Emportée par la situation, à la fois fière et excitée de voir mon chéri se soumettre à notre complot, aussi je prends l’initiative par un doux massage sur le membre tendu pendant que Lucie et Loïc continuent leurs caresses de plus en plus voluptueuses. Il est un peu difficile, dans le demi- obscurité de la chambre, de bien voir ses yeux, mais je crois qu’il prend un immense plaisir, c’est un homme !

 

Mes propres sens me tiraillent, m’exaspèrent, je veux reprendre la marche triomphale vers son propre plaisir et le mien. Je me redresse un peu, approche une langue gourmande de l’organe impatient. Je pose délicatement ma langue sous la hampe de verge, escalade doucement le membre par le dessous, recueille, délicieusement gourmande, la perle de rosée et revient à la base de la queue, lèche d’une large langue râpeuse les couilles contractées, remonte sous le phallus, darde ma langue en stylet que je promène sur le dessin des veines saillantes. Prodigieusement sadique, je m’arrête à chaque fois juste avant d’atteindre enfin le gland, et reprend mon manège. Ce manège affole, transporte ce pauvre Fred qui n’en peut plus de toutes ces agaceries.

 

 

Lucie et Loïc, ont cessés leurs câlineries pour saisir chacun une main de leur père et la serrer au milieu de leurs cuisses, tant ils sont émerveillés par l’amour que je prodigue à leur papa.

Mes lèvres se posent enfin sur le gland congestionné, je l’avale brutalement, l’enferme dans ma bouche, l’y maintient avant que de le relâcher pour mieux l’avaler tout entier. Un coup d’estoc prodigieux, qui tend le corps de Fred dont je maintiens les fesses pour qu’il ne m’échappe pas. Je vais et viens sur le membre tendu, l’inonde de salive. Mais je sais bien qu’il ne pourra plus tenir très longtemps à ce régime, qu’il est proche de la rupture, son besoin de jouissance est trop fort pour être contenu. Je me redresse, le chevauche en amazone déterminée. Avant d’enfourner l’ardillon distendu, je prends le temps encore de jouer avec, juste pour faire plaisir à Lucie et Loïc. Je le frotte sur mon clito et le laisse glisser entre mes lèvres douloureusement gonflées.

 

C’est le moment que choisi Loïc pour venir derrière moi et prendre à pleine mains mes seins excités. Je sens la chaleur sourdre tout au creux de mes reins et décide de trancher dans le vif. Le bijou magnifique de mon fils, je vais me l’avaler, me l’engloutir dans mon petit couloir. Je me penche en avant, je mordille les lèvres de mon mari qui résiste de toutes ses forces à la tentation de lâcher son plaisir et laisse enfin le morceau de Loïc s’enfoncer dans mes chairs les plus intimes.

 

La verge pénètre doucement, millimètre par millimètre, le cercle étroit de mon fessier relâché pour s’introduire dans l’anneau qui l’étrangle. Jamais je n’aurais imaginé ou espéré une pareille aventure, deux membres virils se rejoignent au travers de mes chairs, ils se chevauchent, se superposent. J’entame un très lent balancement sur la verge de Fred, prenant le soin de laisser à Loïc le temps de se calquer sur le mouvement de mes hanches. Je profite au maximum du mouvement asymétrique des deux bites qui m’habitent. Je me sens chienne, impudique, et pourtant triomphante de contrôler ces deux membres qui me fouillent.

 

Ce qui est le plus étonnant c’est le silence même de cette danse, ou personne ne s’exprime par des mots ou râles de plaisirs.

Excité par ce spectacle plus ou moins improvisé, Lucie se cambre en maintenant la main de son père entre ses cuisses, comme si elle voulait s’en servir pour se masturber. Elle frotte les doigts sur sa fente au rythme de mes mouvements.

 

Les mouvements s’accélèrent, s’emballent, les pistons se dérèglent, les va-et-vient s’affolent, mais peu importe alors, le bonheur est bien là, à portée, je n’attends que l’explosion que je souhaite simultanée des deux chevilles en moi. Et le foutre jaillit, me brûle le cul et la moule, des jets puissants, ravageurs, qui me propulsent enfin dans l’éther infini et me jettent dans l’orgasme, me ballottent comme un fétu de paille dans une monstrueuse tempête libératrice pour me plonger dans un océan de douleur bienfaisante, extatique. Le bonheur me submerge.

 

À bout de forces, épuisée par l’effort, je perds mes dernières forces pour m’abattre sur le torse de mon chéri en sentant tout le poids de mon fils sur mon dos. Je réalise combien, oui. ô combien, je souhaiterais à cet instant, pouvoir plaquer mes lèvres sur celles de Loïc, combien je voudrais pouvoir le remercier de ce bonheur, lui couvrir le visage de petits baisers tendres.

Toujours amarrée à Fred, je glisse sur le côté, enfouit mon visage sous son bras libre. Je sens dans son vagin, la queue qui se dégonfle, perd de sa superbe, s’amollit. Je sens entre mes fesses, l’autre verge qui s’en va, se libère à regret. Mon fils s’écarte et s’étend sur le lit, renferme dans ses bras protecteurs sa sœur qui a dû également bien s’éclater et vient déposer sur sa joue un tendre et long baiser d’amour. Julie se tourne alors vers lui et leurs lèvres se joignent, se soudent et s’abandonnent. Des larmes de reconnaissance inondent son visage et noient son regard perdu.

 

En ce dimanche matin, j'ai l'impression que rien de tout ça n'est arrivé, que ce n'était qu'un rêve mouillé comme il m'arrive quand je suis en manque.

 

 

Je reviens, cependant, vite à la réalité, je suis nue dans mon lit et en sortant dans le couloir, c'est toute aussi nue que je croise ma fille. Sans plus de cérémonie, elle me souhaite le bonjour avec un petit bisou sur les lèvres. Elle m'apprend que son père est sorti avec Loïc. En un sens je suis soulagée que notre soirée se soit bien passée même mieux que nous l’avions prévue.

Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : Sexe en famille
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Avril 2025
L M M J V S D
  1 2 3 4 5 6
7 8 9 10 11 12 13
14 15 16 17 18 19 20
21 22 23 24 25 26 27
28 29 30        
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés