Mardi 19 juillet 2 19 /07 /Juil 17:46

 

 

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Mon mari, le père de mes enfants, nous a quitté il y a deux ans maintenant. Il y avait déjà un moment que cela ne marchait plus entre nous...il ne s'intéressait plus à moi, me regardait à peine et me touchait encore moins depuis un an. Bref, je ne suis pas idiote, j'ai vite compris « qu'il avait quelqu'un comme on dit et quand il s'est décidé brusquement pour son autre vie en quittant la France et nous laissant du jour au lendemain sans nouvelles ni contacts ça a été finalement un soulagement. Bien sur sa goujaterie m'a révoltée mais j'ai tout de suite été entourée par mes deux chéris. Eva avait 12 ans et Luc n'en avait pas 14 ans...ils ont été tout de suite merveilleux.

Me sentant perturbée, le soir où leur père n'est pas rentré ils ont été d'une attention merveilleuse et c'est toute heureuse que j'ai accepté qu'ils viennent dans mon lit pour que je me sente moins seule pour la nuit. Comme j'étais bien entre mes deux chéris sous cette couette. J'ai eu du mal à m'endormir ce soir-là,  voulant profiter pleinement de la douce chaleur des corps de mes amours. Quand j'ai enfin sombré dans le sommeil je tenais Eva dans mes bras et Luc était dans mon dos. C'est un peu plus tard que je me suis réveillée lorsque j'ai senti le corps de Luc plus appuyé contre moi...mon fils dormait mais il devait être dans un joli rêve car il bandait aussi. Je sentais ses genoux contre mes cuisses...et surtout sa queue raide contre mes fesses...J'en ai été à la fois honteuse et troublée...mais je me suis bien gardée de bouger. Il y avait si longtemps que je n'avais senti l'hommage d'un homme contre moi. Malgré ma honte j'ai senti la mouille venir dans ma chatte et c'est presque inconsciemment que je me suis serrée un peu plus contre le corps de ma petite Eva qui dans son sommeil avait glissé son genou entre mes cuisses en remontant ainsi un peu plus ma chemise de nuit, et moi je sentais les poils de mon pubis qui caressaient la cuisse de ma fille.

 

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Cette nuit-là j'ai ressentie un trouble comme jamais je n'en avais connu. Bien sur ces attouchements produits dans le sommeil par mes deux amours étaient faits sans intention mais ils ont provoqué chez moi comme un tremblement de terre et j'ai très peu dormi, déchirée que j'étais entre un plaisir aussi intense qu'interdit et un sentiment de culpabilité.

Au réveil je me souviens encore j'ai tenté de paraître aussi naturelle que possible m'affairant dans la préparation du petit déjeuner avant leur départ pour le collège mais tout cela m'obsédait. Et dès qu'ils ont fermé la porte derrière eux je suis allée dans mon lit, notre lit désormais, pour retrouver un peu de leurs chaleurs et leurs odeurs. Et là je me suis masturbée, je me suis branlée comme jamais je ne l'avais fait pour enfin me donner un orgasme d'une intensité inouïe. C'est le matin que j'ai compris que ma vie venait de prendre un tournant.

Pour moi tout a basculé après cette première nuit où mes chéris ont voulu venir dans mon lit pour simplement m'aider à passer un cap difficile. Leurs tendresses et leurs chaleurs, mais aussi la naïveté de leurs sensualités m'avaient totalement bouleversée. Durant la journée je n'ai cessé d'y penser et l'orgasme que je m'étais donné le matin avant de partir au travail n'a pas suffi à me combler tant mes sens étaient en émoi. Cela faisait plus d'un an que je n'avais ressenti le moindre plaisir physique et j'ai même cru un moment que toute libido m'avait abandonné. Et voilà que grâce à eux tout me revenait. J'ai eu du mal à me concentrer sur mon travail. Le souvenir de la cuisse d'Eva entre les miennes, le sexe tendu de Luc contre mes fesses, tout cela me revenait.

Le soir après le travail quand je suis rentrée mes deux enfants étaient déjà là. J'ai été submergée par la joie de les retrouver, par la chaleur de nos effusions, je pensais que quelque chose avait changé pour eux aussi mais j'avais peur de les effrayer en étant trop empressée. Cette soirée là nous n'avons cessé de nous sourire, échanger des caresses aussi furtives que chastes pour l'heure et personne n'aurait pu soupçonner dans quel état d'émotion j'étais, ainsi qu'Eva et Luc aussi comme je l'ai réalisé ensuite. Je me sentais bien dans ce cocon qu'ils avaient tissé pour moi, j'aimais voir la main d'Eva sur le bras de son frère quand elle le sollicitait à table pour un service, la caresse du mollet de Luc contre le mien sous la table qui me faisait frissonner. Nous avons prolongé ce repas pour faire durer ce moment d'intimité complice, puis ensuite dans la cuisine la vaisselle a été aussi l'occasion de frôlements, de caresses. Eva me faisait des bisous à tous propos, ou bien Luc passait sa main dans mon dos ou sur mon épaule. J'ai failli crier de joie quand une fois la vaisselle finie Eva a sauté à mon cou pour me dire :

 -  Oh maman cette nuit encore on peut dormir avec toi...Dis oui maman.. Dis oui...c'est si bien ».

 Je crois que j'ai dû piquer un fard tant j'étais troublée, en tous cas c'est un flot de mouille qui est venu dans ma chatte quand Eva s'est collée contre moi. Ce que j'ai trouvé merveilleux cette soirée, c'est que tout est arrivé dans une totale complicité, dans un désir mutuel. Je me souviens encore de passer au salon en tenant enlacés, bien collés contre moi, mes deux chérubins, savourer les bisous qu'ils me faisaient dans le cou et moi leur disant d'une voix rauque « allons vite au lit mes amours ».

Je suis allée rapidement à la salle de bain pour passer mon tee-shirt de nuit et quand je suis arrivée dans la chambre ils étaient déjà dans mon lit. Eva avec son tee-shirt jaune celui de « Titi » comme elle disait, et Luc torse nu. Quand ils ont tiré la couette pour m'inviter à les rejoindre j'ai vu qu'il n'avait mis que son bas de pyjama. Je me suis glissée entre eux deux en riant pour cacher ma nervosité. Je me sentais aussi bête qu'une nouvelle mariée. Eva a éteint la lumière avant de venir se lover contre moi mêlant ses jambes aux miennes. Luc s'est collé contre mon dos et il n'a pas fallu longtemps avant que je sente sa queue raide sur mes fesses. Mais cette fois il ne dormait pas. Je ne dormais pas, nous n'en avions aucune envie tous les trois. Eva avait enfoui son visage dans mon cou et je la picorais de petits baisers en lui caressant le dos. Luc se frottait contre moi en caressant mes flancs et m'embrassant le haut du dos. Le matin je savais déjà que ma vie allait basculer, elle était en train de basculer, pour nous trois unis dans un élan de sens et d'amour. C'est Eva qui la première approcha sa bouche de la mienne. C'est moi qui la première caressa ses lèvres de ma langue. C'est elle qui la première accueilli ma langue dans sa bouche tiède. Elle se collait à moi frottant sa cuisse contre ma chatte alors que mes mains étaient passées sous son « Titi » et que je lui caressais son petit cul déjà bien rebondi pour une gamine. Dans le même temps Luc dans mon dos retroussait mon tee-shirt pour mieux embrasser mon dos et frotter sa bite chaude et raide de désir contre mes fesses.

Après le premier et long baiser échangé avec Eva j'ai laissé Luc ôter mon tee-shirt. J'avais envie de leurs mains partout sur mon corps. De les sentir. De les voir. Mes chatons se frottaient contre moi...me caressaient...me léchaient. J'étais devenu leur maman chatte il pouvait tout me faire. Ma bouche allait de celle de Luc à celle d'Eva dans un émouvant mélange de salive. A moitié couchés sur moi ils s'embrassaient à pleine bouche avant de venir me mordiller un sein ou me couvrir le visage de bave tiède. Comme j'étais heureuse Odile, tout mon corps exhalait le plaisir et quand Luc à rallumer la lumière le plaisir des yeux a encore amplifié celui de nos odeurs et de nos corps mélangés. La verge de Luc m'a paru énorme, comme il bandait comme il était beau. Je me suis agenouillée pour le prendre en bouche. J’étais comme enivrée par l'acre odeur de son gland. C’était la première fois que je prodiguais cette caresse. A la vérité mon ex-mari était d'une sensualité si faible qu'il se contentait de me baiser, quand il le faisait, c'est à dire très rarement, sans préliminaires particuliers et je dois toute ma culture en la matière à la lecture de romans pornographiques que je lisais en cachette.

Pendant que je suçais la queue raide et juteuse de Luc ma petite chérie frottait son visage contre mes fesses. Je sentais sa langue sur ma raie, sur ma moule gluante de plaisir et j'ai eu un premier orgasme dans cette posture de chienne amoureuse. Après cette première explosion j'ai imploré Luc de venir me baiser je le voulais  dans ma chatte, je voulais sentir son foutre couler. Quel bonheur j'ai ressenti cette nuit-là en mangeant l'abricot juteux de ma petite minette pendant que son frère me pilonnait. Nous avons joui ensemble dans une communion des sens. Une communion qui ne nous a jamais quittés depuis, qui nous a ouvert de merveilleux espaces de plaisir et de jouissance.

 

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Le lendemain de notre première nuit tout a changé pour nous trois. Je nous revois encore nous réveillant aussi lascifs les uns que les autres. Ma petite Eva lové contre moi émergeait à peine, sa bouche entrouverte caressait mon téton. Dans mon dos Luc s'ébrouait doucement. Comme la plupart des hommes il bandait au réveil et je sentais son organe déjà raide contre mes fesses. Moi j'étais aux anges. Ma moule était pleine de mes jus et du foutre de mon garçon. Mes cuisses étaient poisseuses des traces de nos plaisirs et j'en ressentais, autant de plaisir que de fierté.

J'ai commencé à caresser doucement ma petite Eva, ma douce brunette, ma minette amoureuse. Ma main se faisait douce sur son dos, son petit cul si rebondi, et elle n'a pas tardé à se mouvoir à son tour venant frotter sa cuisse contre me chatte. Elle a voulu ma bouche, je lui ai donné ma langue, offert ma salive de maman amoureuse et je l'ai ensuite accompagnée quand elle a voulu se glisser contre mon corps encore ensommeillé pour venir embrasser mes cuisses, remonter lentement vers mon antre, savourant la douceur de sa langue sur mes cuisses. Et enfin m'ouvrir pour qu'elle puisse venir caresser ma chatte, longuement, lentement, buvant à la source de la vie.

Luc caressait les cheveux de sa sœur, l'aidant dans cet acte d'amour. Il m'embrassait à pleine bouche, puis me léchait le visage. Oh comme j'aimais cette double caresse. Mon gamin était fou d'amour. Je voulais tout pour eux. Il bandait,  il aimait. Il est venu ensuite sur moi, m'offrant ses cuisses qui me serraient, sa belle tige tendue qui venaient caresser ma joue, ma bouche. De ma langue j'ai cherché ses couilles, sa raie, je me trémoussais sous les merveilleux coups de langue de ma minette et je le suçais, je lui léchais la raie, il se branlait contre moi pour partager cette communion de la chair. Nous étions si gorgés d'envie,  qu'il a bientôt giclé sur ma poitrine, m'aspergeant de son foutre chaud alors que je donnais à boire ma cyprine dans un orgasme fou. Ma petite fille ne s'oubliait pas dans ce moment de joie et elle aussi est venue dans un bel orgasme en se branlant et en jouissant au diapason de notre plaisir. Ce fut un instant fou, aussi inoubliable qu'impartageable. Un secret merveilleux.

 

Nous sommes restés comme cela sans bouger après l'explosion de nos sens. Savourant ces ondes de plaisirs. Je sentais Luc plus lourd sur moi. Sa verge encore épaisse était douce à lécher. Eva, quittant ma chatte, était remontée sur mon ventre pour venir laper l'offrande de son frère. Et nous nous sommes embrassés, tous les trois, follement, avant de nous laisser sombrer dans la douce somnolence qui suit la jouissance.

Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : Vous avez dit inceste
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