Récits

Vendredi 3 avril 5 03 /04 /Avr 16:09

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Lors d’une fin de soirée à la maison avec ma sœur Cathy et ma fille Laure, âgée de 16 ans, allongées, toutes trois dans le canapé, notre conversation dériva vers des souvenirs très intimes, après que Laure  fût endormie, blottie entre nous deux. Je lui rappelais alors que nous jouions à nous embrasser quand elle était petite. Cathy se laissa transporter à cette époque et raconta comme elle regrettait ces moments d'intimité entre sœurs, ces moments où nous découvrions nos corps sans qu'il ne soit question d'autre chose que de plaisir et de confiance.

 

Tous ces souvenirs que nous partagions, ajoutaient à notre excitation naissante. Je regardais les doigts de ma sœur se promener délicatement le long de la jambe de ma fille. Dès qu'elle atteignait le milieu de sa cuisse, elle redescendait sur son mollet. Ce n'est qu'au bout de quelques minutes, alors que nous parlions de nos bains partagés, qu'elle franchit cette limite invisible. Elle remarqua mon regard sur ses doigts et fit marche arrière.

 

Elle sut lire la confiance et la complicité dans mon regard, car quelques secondes plus tard, ses doigts remontaient jusqu'à la limite de sa chemise de pyjama. Laure répondit à cette caresse en soupirant et en se tournant un peu contre moi. Elle gardait les yeux fermés et je n'étais plus certaine qu'elle n’était pas en train de simuler le sommeil. En écho aux caresses de ma sœur, je descendais mes propres mains sur les épaules de ma fille comme pour l’encoconner.

 

Ma sœur et moi, nous nous remémorions les nuits passées ensemble et les moments intimes, seules au retour de l'école dans notre chambre. Nous n'avions jamais transgressé les règles de bonne conduite entre sœurs, mais elle m'avoua combien, en grandissant, il lui devenait difficile de ne pas me sauter dessus pour profiter de mes charmes, alors que je pensais la même chose. 

 

Notre différence était qu'elle avait privilégié sa vie personnelle et était restée célibataire. Moi, j'étais tombée enceinte et je voulais cette fille que j'aimais tant. Mais à cet instant, je regardais les mains de ma sœur qui repoussaient la chemise de ma fille, dévoilant, à chaque fois, un peu plus la culotte de coton qui couvrait ses charmes juvéniles. Cathy n'allait ni trop vite, ni trop loin. En même temps qu'elle me parlait, je pouvais lire l'interrogation dans ses yeux. Je ne lui répondis pas directement, je laissais juste mes doigts jouer avec le premier bouton de la chemise de ma fille. Dès qu'il céda, je repoussais le col de son vêtement, dégageant sa gorge. Il n'en fallut pas plus à ma sœur pour faire de même avec le bas de la chemise.

 

Laure finit par se tourner posant sa tête sur ma poitrine en  feignant le sommeil,  j’en étais certaine maintenant. Je pense que ma sœur croyait qu’elle somnolait toujours. Elle stoppa ses mouvements dès qu'elle sentit Laure bouger et attendit quelques secondes avant de reprendre son petit jeu. Enfin, notre petit jeu. Nous parlions à cet instant de comment notre mère nous attifait quand nous étions gamines. Il faut dire que notre mère avait le chic pour acheter des vêtements vraiment colorés et souvent très justes. Tout en déballant notre venin sur notre mère, je dégrafais, sans vraiment m'en rendre compte, le second bouton de la chemise de ma fille. Cathy avait maintenant ce petit sourire qui ravivait encore plus de souvenirs. Ce sourire, elle l'avait quand nous entamions une conversation « intime » dans la quiétude de notre chambre d'enfant. Je dus rougir en ouvrant un peu plus largement la chemise de ma fille, dévoilant en partie sa jeune poitrine.

 

Ma frangine remontait ses deux mains sur les cuisses de Laure qui soupirait gentiment dans son sommeil, aussi factice fût-il. Doucement, Cathy appuyait sur l'intérieur des cuisses de sa nièce qui se laissait ouvrir. J’ouvre le troisième bouton et dégage largement la chemise pour exposer la jeune poitrine de ma fille. Mes doigts vinrent rapidement vagabonder sur les mamelons bruns. Cathy me regardait faire. Ses yeux oscillaient entre les petits seins de Laure et la culotte qu'elle avait complètement découverte, pour enfin me regarder à nouveau.

 

Ne voulant pas dénoncer l'astuce de ma fille, je  jouais très délicatement avec ses tétons. Néanmoins, je sentais sa respiration s'accélérer  sous mes doigts, peut-être qu’elle pouvait croire à un rêve érotique stimulé par nos caresses. On  prenait toutes les précautions comme pour la charmer, remontant centimètre par centimètres, le haut des cuisses de ma fille. Bientôt les doigts de Cathy rencontrèrent la limite du coton léger qu'elle repoussa délicatement.

 

Je voyais apparaître le duvet blond qui ornait l'intimité de ma fille. Quelle étrange sensation, étrange et enivrante, que celle d'offrir ainsi ma fille à ma sœur. Cette impression m'enivre encore aujourd'hui. Mon intimité ruisselait devant le corps offert de ma fille qui nous laissait en jouer à notre guise. Cathy dévoila la fente de sa nièce et je remarquai immédiatement les reflets luisants qui témoignaient de sa propre excitation. Sous mes doigts, ses tétons se durcirent vraiment quand elle sentit l'air ambiant effleurer son intimité nue. Laure nous offrait son corps. Alors je finis de déboutonner sa chemise. Qu'elle était belle ma fille, mon bébé. Allongée, offerte, sa chemise grande ouverte, le visage coincé contre l'intérieur de mes seins pour ne pas laisser paraître sa conscience.

 

Qu'elle était attirante avec sa peau pâle et la finesse de ses muscles. Cette peau si douce, qui donnait l'impression d'être si fragile. Cathy descendait délicatement le devant de sa culotte, décollant le tissu de son abricot. L'élastique fin descendit sur le pubis de ma fille et, rivant ses yeux dans les miens, ma sœur fit lentement glisser le sous-vêtement. J'étais une mère indécente. Cette femme avait beau être ma sœur, je lui donnais ma fille, je la laissais se servir d'elle et j'en retirais un plaisir inimaginable. Nous ne parlions presque plus. Je ne pouvais me concentrer sur autre chose que sur ma sœur qui enlevait lentement le seul vêtement de ma fille. Pour complètement débarrasser Laure de ce morceau de tissu, Cathy dut descendre du  se lever du canapé. Un bref regard lui suffit à lui faire comprendre mon envie, mon approbation. Elle retira donc elle aussi sa culotte et en se rasseyant.

 

Ma sœur était tellement excitée que je voyais sa fente s'ouvrir tel un fruit trop mûr. Dès qu'elle se fût installée, elle se pencha de nouveau sur ma fille. Ses mains remontèrent le long des jambes fines de Laure et quand elles atteignirent les berges de son intimité, elle se pencha un peu plus et déposa un doux baiser sur le pubis légèrement duveteux. Un second baiser, puis un troisième, Cathy couvrait chaque parcelle de cette peau en principe privée. Ses lèvres furent suivies de sa langue et, bientôt, toute l'intimité de ma fille, son pubis, sa fente, tout était couvert de la salive brillante de sa tante.

 

Laure se trémoussait de plus en plus. Sa main avait glissé sous ma cuisse et elle pressait son visage contre ma peau. Le souffle brûlant de ma fille sur ma poitrine qu’elle cherchait de plus en plus à s’introduire,  redoublait le ruissellement de ma chatte. Je me sentais, trempée, brûlante, complètement enivrée par ce qui arrivait. Dès que Cathy appuya sa langue contre le bourrelet de peau qui couvrait son clitoris, Laure ne put retenir un gémissement. Elle plaqua sa bouche ouverte contre ma peau  cherchant le bout de mon sein et  le pris entre ses lèvres puis ses deux bras m’étreignent comme si elle avait peur qu'on l'enlève, qu'on la tire en arrière.

 

Cathy voyant le plaisir de ma fille ne se retint plus, elle pressa sa langue contre la fente déjà mouillée. Laure déplia ses jambes pour s'ouvrir autant que possible pendant que sa tante léchait avidement sa minette. Elle avait encore la chatte fine, avec juste un début de bourrelet au bas de ses grandes lèvres. Pourtant, Cathy, du bout des doigts, l'ouvrit largement et dégagea le petit clitoris de mon bébé.

 

Laure me mordillait le téton, j’appuyai sur sa tête pour accentuer la sensation. Elle était totalement submergée par l'explosion de sensations auxquelles elle ne s’attendait pas. Cathy repoussa les cuisses de ma fille en arrière. J'avais les yeux rivés sur son entrejambe. Voir la langue de ma sœur s'enfoncer dans le vagin de ma fille et l'entendre gémir, encore et encore. J'étais, moi-même, totalement embrasée par la scène et je me demandais si j'allais atteindre mon propre orgasme, juste stimulée par les bruits, les râles, les images et le parfum de sexe qui emplissait le salon à cet instant.

 

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Laure, instantanément, poussa ses fesses à la rencontre de la bouche barbouillée de la fine toison. Laure appuyait ses pieds sur le lit pour lever  davantage ses fesses.  Cathy se servit de sa main ainsi libre pour se nicher dans le jeune fessier. Les deux doigts légers caressaient la douce rondelle de ma fille qui pleurait presque sous l'effet du plaisir qu'on lui offrait. Laure atteignit rapidement son orgasme à partir de là. Je me sentis fondre, littéralement, quand son petit corps s'est arc-bouta, tendu de plaisir. Dès que Laure retrouva son souffle Cathy repris sa respiration et à mon tour je câlinais son clitoris. Elle finit par nous supplier d'arrêter quand un troisième orgasme la foudroya.

Rien de tout ça n'était normal, mais ça me paraissait si naturel. Comme il me paraissait naturel, à cet instant, de me redresser par-dessus ma fille et d'embrasser ma sœur à pleine bouche. Cathy  répondait à mon baiser pendant que Laure entre nos corps  en profita pour nous caresser à son tour. Nous n'allâmes pas plus loin ce soir-là. Nous passâmes juste un long moment à nous embrasser et à nous caresser gentiment. Comme nous nous laissâmes couler sur le velours de canapé, Laure s’éloignait et s’asseyait  sur le tapis à contempler sa mère et sa tante s'embrasser encore et encore, ne nous interrompant que pour nous avouer combien cette tendresse nous avait manqué.

Après quelques jours de cette mémorable aventure,  un nouvel événement non moins mémorable est à nouveau survenu au sein de mon couple.

Après une ballade hivernale où nous étions rentrés trempés jusqu’aux os, nous avions, Lucas, mon mari et ma fille, tous les trois pris une douche et squatté le canapé. Laure était collée contre moi, les pieds dirigés vers son père et le dos contre moi. Je me souviens que nous parlions du lycée et de ses résultats en nette progression. La conversation dévia sur nos propres souvenirs d’étudiant  et nous comparions nos expériences scolaires sur fond d'humour et d'ironie.

Presque machinalement, je faisais courir mes mains sur les bras de ma fille qui se laissait aller de plus en plus complètement contre moi. Je suivais le mouvement, m'appuyant contre l'accoudoir dans mon dos et me laissant couler sur le canapé peu à peu. Laure glissait, elle aussi, s'allongeant presque sur moi, entre mes cuisses qui s'ouvraient pour la recevoir.

 

En face de nous, Lucas, tentait de s'installer lui aussi. De mon côté, j'avais dépassé le cap du trouble, cela se traduisit rapidement par la danse de mes doigts sur le ventre de ma fille et leur ballade descendante vers ses cuisses. Laure ne me repoussa pas,  encourager par notre dernière expérience, elle s'affala encore plus et écarta ses jambes comme par soulagement. À force de glissades, ses pieds étaient maintenant posés sur les jambes de son père.

Restant concentrée sur les cuisses de ma fille, je fis lentement remonter son haut de pyjama sur son ventre. Dès qu'elle sentit le tissu sur ses hanches, Laure glissa un peu en avant, laissant le vêtement quitter complètement ses fesses. Dans le processus, elle écarta encore un peu plus ses cuisses et complètement embrasée, je vis le spectacle de son intimité entièrement nue et offerte. Offerte est bien le mot, elle s'offrait à son père et moi, dans toute la splendeur de sa jeunesse impudique.

 

Ce n'est que par petites touches que je me rapprochais du saint des saints. Mes doigts tremblotaient en glissant lentement de ses cuisses à son trésor interdit, mais offert. Mais elle me donnait toutes les autorisations que j'aurais pu rêver. Elle se pressait contre moi et se cambrait, appuyant plus fort son bassin contre mes mains. C'était moi qui commençais à douter. Le show que nous offrions à Lucas était pour le moins osé. Je parcourais donc l'intérieur des cuisses de ma fille, mais à chaque aller-retour, mes doigts glissaient, irrémédiablement de plus en plus, vers l'intimité de ma fille.

 

Dès que j'effleurais la fentine de Laure, elle laissa échapper un miaulement sucré et révisa son intimité contre la pulpe de mes doigts. Emportée et presque terrorisée,  je regardais mon mari, mais celui-ci était tout aussi enivré que moi. Son seul souci, à cet instant, était de cacher l'énorme érection qui déformait son short.

 

Alors, à mon tour, je m'enfonçais dans la débauche et répondis à la supplique de ma fille. Mes mains remontaient moins sur ses cuisses pour se focaliser, peu à peu, sur l’intimité déjà bien mouillée. Après s'être raclé la gorge, nerveusement, Lucas poursuivait la discussion tout en nous dévorant des yeux. Je tentais de le suivre, mais j'avais vraiment beaucoup de mal à me concentrer sur  les lèvres finement ourlées de la minette de ma fille.

 

Laure ne faisait plus d'effort pour sauver les apparences. Elle entrecoupait ses rares interventions par des ronronnements lascifs. Elle remontait son visage vers le mien et je ne pouvais plus me retenir de l'embrasser tendrement. Elle répondit immédiatement, en enroulant ses bras autour de mon cou. Dans cette position, elle se souleva légèrement, m'offrant encore plus de liberté à ma main contre sa petite minette.

 

J'étais à la fois terriblement embarrassée, brûlante de désir, mais aussi choquée, littéralement. Pour la première fois depuis que je m'étais laissée entraîner dans cette découverte de mes sens et de ma libido, pour la première fois que je voulais tenter mon mari, je le vis caresser son membre devant le spectacle que nous lui offrions. Il avait franchi cette ligne que la morale nous impose pour venir se plonger dans la découverte de ce plaisir interdit.

 

J'étais stupéfaite et même un peu inquiète qu'il ne boude plus son plaisir, même si, dans un même temps, cela amplifiait le mien. C'est elle qui rompit notre baiser pour poser sa tête sur mon sein et resta lovée contre moi pendant que je caressais délicatement sa fente humide. Il nous fallut un peu de temps pour reprendre nos esprits et nous faire à cette nouvelle étape. Mais nous réussîmes à passer outre l'incongruité de la scène.

 

Je vis le regard de Laure se poser avec insistance sur l'érection manifeste de son père. En retour, je voyais son regard s'intensifier quand mon majeur parcourait le sillon humide de notre fille.

Nous eûmes une conversation longue et difficile. Mon pauvre chéri était le champ de la monstrueuse bataille qui se livrait entre ses instincts, ses désirs et sa morale, ses tabous. J'avais connu ce conflit alors je tentais de l'aider. Je lui donnai mon raisonnement, ma logique, mais surtout, j'insistais sur le fait qu'en rien, absolument rien, je n'avais poussé ma fille à faire quoi que ce soit. En fait, j'avais même tout fait pour la repousser.

 

 

 

Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : L'amour en famille
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Lundi 16 mars 1 16 /03 /Mars 18:51

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Dans les années soixante, j’avais une douzaine d’années, je fantasmais énormément sur ma mère, je cherchais toujours à la voir nue, ce qui arrivait quelques fois en rentrant volontairement dans sa chambre sachant qu’elle s’habillait ou changeait de vêtements, j’en sortais avec une forte réprimande. Alors que pour ma sœur, je n’ai jamais eu le moindre désir.
Le jour où j’ai eu les oreillons, j’ai gardé le lit pendant quelques jours, ma mère était souvent près de moi, elle avait peur des problèmes qui pouvaient en découdre sur mon appareil génital, elle touchait mon sexe pour voir je ne sais quel gonflement éventuel. Les doigts de maman qui palpaient ma petite verge et mes deux boules ressemblaient à des caresses, c’était sublime pour moi, c’est depuis ce jour que mon réel fantasme sur le corps de ma mère, est né, j’ai bien regretté la fin de cette maladie.

Quelques années plus tard, j’étais en apprentissage chez un artisan local quand un copain de travail m’a donné quelques revues interdites où l’on voyait des femmes nues de l’âge de ma mère dans diverses poses, je me masturbais sur ces magazines chaque fois que j’étais sûr d’être seul à la maison en imaginant que c’était maman. Ma sœur, treize mois de plus que moi était interne dans un lycée d’une grande ville et réintégrait le domicile le vendredi-soir pour repartir le lundi-matin.
Je faisais bien gaffe que la maison soit vide, j’étais sûr que mes parents n’allaient pas rentrer avant une ou deux heures, en général, c’était le jeudi ou j’allais passer la journée dans une école professionnelle, je rentrais plus tôt que mes parents,  pourtant un jour mon père m’est tombé dessus, j’étais cramoisi, extrêmement gêné, j’ai remonté mon futal et déguerpi en vitesse.

Le soir au moment de dîner, je m’attendais à un sermon des plus sévères, il n’en était rien, mon père expliqua à ma mère ce qu’il a vu puis ils se posèrent la question à savoir ce qu’ils vont faire maintenant. Je m’aperçois que je soulève un problème familial, ce qui me gène encore plus. J’entretiens avec mon père des relations excellentes, nous sommes comme de vrais copains, quand nous sortons ensemble, il n’hésite pas à faire des commentaires sur les filles dans la rue.

Maman me demande un peu bêtement :

-   Pourquoi tu fais ça Alain ?

Sur le moment je ne sais que dire, c’est mon père qui répond :

-  C’est normal, je faisais la même chose à son âge

-  Mais ces femmes dans ces revues ne sont pas très jeunes, elles ont mon âge, c’est normal ça ? Demande maman.

Je ne sais pas ce qu’il me prend, mes parents ont l’air modérés, surtout mon père, alors je vide mon sac :

-  Parce que je pense à toi maman.

-  Comment ça tu penses à moi, que me racontes-tu là ?

-  Ce n’est pas de ma faute, quand je vois ces femmes nues, je pense à toi et j’ai envie de me caresser.

-  Tu entends ça Jean, il s’excite en pensant à moi………. En regardant ces putes à poils…. Je rêve !

 
-  Si maman, même que tu es beaucoup plus belle que toutes ces femmes dans les magazines, j’ai toujours envie de tes caresses, tu es si douce maman.

Je sens que ma mère est touchée par ma déclaration spontanée, mon père reste muet avec un petit sourire en coin.

-  Ben Jean, tu dis rien……C’est moi qui l’excite, tu crois que c’est normal ? Tu as déjà vu ça quelque part ?

-  Il est comme moi ma chérie, répond papa, tu es belle, je suis bien obligé de le comprendre.

-  Mais enfin…..Je suis sa mère ! Il faut faire quelque chose !

« Ha oui……. Et quoi ?  Demande mon père.

Je vois que mon père est de mon côté,

-  Plutôt que de le laisser faire ça en cachette, ce qui n’est pas aisé pour lui, ce serait mieux qu’il le fasse dans sa chambre tranquillement quand il en a envie.  Ajoute mon père.

-  Oui c’est vrai, tu as peut-être raison. Dit ma mère.

Voyant mes parents s’apitoyer sur mon sort, j’ose demander un petit plus d’une voix timide et riante :

-  Ce serait bien si maman voulait remplacer ces femmes de Paris-Hollywood.

C’est fait, j’ai dit une connerie. Mon père me sourit en me donnant un coup d’œil.

-  Mais c’est vrai ça, qu’en penses-tu chérie ?

Décidément mon père me surprend, il ajoute :

-  Ca te gêne de te mettre à poil devant Alain ?

-  Non, ce n’est pas la question, surtout que c’est lui qui ne se gêne pas, il ne manque pas une occasion pour essayer de me voir nue, n’est ce pas Alain ?

On en est resté là, je suis allé me coucher quelques instants plus tard, comme d’habitude et sans commentaire supplémentaire. Je bouquine un peu, après une demi-heure environ,  quelques coups à la porte de ma chambre qui s’ouvre poussée par mon père suivi de ma mère en peignoir tous les deux. Mon père referme la porte et se plante derrière ma mère, il ouvre et retire le peignoir de maman qui est nue, mon père s’adresse à moi en allant s’asseoir sur mon siège de bureau :

-  Aller, caresse-toi maintenant !

Ahuri, je demande d’un air bête.

-  Là devant vous ?

-  Pourquoi, demande maman, je ne suis pas belle ce soir ?

Je comprends que mon pater à sérieusement discuté avec ma mère.

-  Ho si maman, je n’ai jamais rien vu de si beau, tu es la plus belle du monde. 

Mon père reprend d’un air sournois :

-  Alors vas-y, fais-nous voir ce que tu fabriques en cachette, tu vois bien que nous sommes très gentils avec toi, ta mère est là comme tu l’as voulu.

Pour voir, je vois ! Je vois aussi que c’est bien mon père qui a eu cette idée, je ne peux me défiler, je regarde maman, c’est tellement beau ce corps nu. Je pousse mon bouquin et touche ma bistouquette sous le drap en admirant ce corps extraordinaire, des seins moins gros que ceux des femmes de Paris-Hollywood, mais plus mignons, le triangle noir très fourni qui cache le plus important pour moi.


-  Alors Alain, on est moins exigeant maintenant ! Tu as peur de moi, tu peux me regarder sans te cacher et faire ce que tu as envie.

En lâchant ces quelques mots ma mère fait un tour sur elle-même et s’assoit sur le lit à côté de moi, puis tire le drap d’un seul coup :

-  Voyons un peu ce que tu nous caches.

Quelque peu embarrassé,  je n’ai pas eu le temps de retenir le drap, je suis un peu honteux de ma position avec ma main dans mon slip. Ma mère tire mon sous-vêtement vers mes pieds pour le sortir, je me laisse faire comme si j’étais handicapé, je regarde papa qui manipule sa verge grossissante, je l’ai vu plusieurs fois à poil, mais jamais j’ai vu son sexe en érection. C’est fou ce que maman est belle, son odeur, le contact de ses mains me rend dingue.
J’entame timidement un mouvement masturbatoire d’une main, ma verge se raidit malgré tout rapidement, je pose l’autre main sur le bras de maman sur lequel elle s’est appuyée, bien qu’étant habitué à toucher ma mère, ce soir c’est complètement différent, la douceur de sa peau m’envahit, je deviens moite.

Jamais, je n’ai eu d’attouchements avec une fille, à cette époque, les mœurs n’étaient pas ce qu’ils sont aujourd’hui, mes parents le savent bien.


Ma mère s’adresse à mon père :

-  Tu as vu chéri, notre Alain est un vrai homme, regarde comme il bande !

Je regarde papa qui fait comme moi, je suis surpris par la grosseur de sa verge et ses roustons qui reposent sur le siège, son sourire me réconforte et m’enlève toute timidité envers mes parents. Incapable de résister au désir, je tente de caresser un sein, ma mère repousse ma main.

-  Non Alain ce n’est pas possible.  Dit-elle sans trop de conviction.

Je reviens à la charge quelques secondes après, maman regarde papa qui sourit ; elle ne s’oppose plus, je caresse cette peau d’une douceur incomparable, un long frisson lui parcourt le corps, je lui demande si elle a froid.

-  Non mon grand……… Je suis un peu bouleversée.

Je m’approche de maman pour la soutenir comme lorsque je viens me faire consoler, mon visage tombe à la hauteur de sa poitrine. Je frotte ma joue sur la peau tendre en cherchant naturellement le mamelon grumeleux que je prends dans ma bouche pour le téter de mon mieux.

-  Oh, mon petit chéri… Que fais-tu à ta maman ?  Dit-elle la gorge nouée en passant sa main dans mes cheveux.

Je veux mettre fin à ce sentiment coupable, mes mains se posent sur la poitrine avec délicatesse, je suis pris d’une étrange sensation avec mon sexe qui durcit de plus en plus. Maman s’ouvre à mes caresses, ma bouche ne quitte pas le mamelon, c’est trop bon et puis je n’ose plus regarder mes parents. Je ne suis plus moi-même, c’est tellement différent, ma bouche glisse vers l’autre sein, toujours aucune résistance, au bout d’un moment maman prend mon visage dans ses mains, elle me regarde, je la regarde, je vois comme si c’est la première fois, une merveilleuse bouche aux lèvres charnues, elle approche son visage et colle ses lèvres sur les miennes. Le bout de sa langue essaie de pénétrer ma bouche très délicatement et là, commence un manège inconnu pour moi, je sens que ma tige va éclater. Tout s’enchaîne, les mains douces de maman se promènent sur mon corps, me caressent la poitrine puis ses doigts agiles s’emparent de ma verge qu’elle manipule exactement comme il faut, c’est inattendu, je n’aurais jamais imaginé un tel bonheur, je ne tiens plus, les yeux fermés, je jouis dans la main de maman c’est trop fort pour moi. Elle ne quitte pas ma bouche, elle est prise de secousses. Je sens qu’il se passe quelque chose, maman remue beaucoup, elle se dégage de ma bouche en poussant de petits gémissements. J’ouvre les yeux pour sortir de ce rêve, je vois papa, la tête entre les cuisses de maman faire je ne sais quoi mais sûrement pas du mal. J’ai rapidement compris ce qu’il se passait entre la bouche de mon père et la chatte de ma mère qui prend un pied terrible, certainement un peu grâce à moi, sur le moment j’en suis fier.
La tête posée sur mon oreiller, maman semble abasourdie, je ne peux pas rester comme ça, je pose ma main sur sa joue, dépose un baiser sur le coin de ses lèvres puis colle passionnément ma bouche à la sienne avant de descendre sur ses épaules que j'embrasse un peu partout. Mon père se retire un peu et attire mon visage vers cette forêt noire, il me pousse légèrement la nuque et me dit doucement à l’oreille :

-  Embrasse ta maman ici avec ta langue, suce-la bien mon grand.

Pour la première fois je découvre la vraie femme, médusée, je laisse mon regard s’attarder sur la beauté des hanches un peu rembourrées et la luxuriante toison triangulaire, dessin parfait sur ses cuisses largement écartées par les bienfaits de papa. L’accès à la longue fente ruisselante est ouvert, terriblement ému, mon désir augmente à très grande vitesse.
Ses murmures incompréhensibles me font comprendre de continuer le travail de papa, j’avance ma bouche vers l’entrée mystérieuse, mon visage s’incruste entre les cuisses charnues, une forte odeur m’envahit. Plongé dans les chairs écarlates, j’enfonce ma langue dans la cavité léchant avec gourmandise les parois gorgées de suc. J’essayais de suivre les méthodes décrites dans les histoires de mes chers illustrés.
Immédiatement maman se cambre sur le lit en agitant son bassin.
Les cuisses refermées autour de mon visage, je broute maladroitement les chairs, maman s’abandonne sans pudeur au cunnilingus que je lui prodigue généreusement. Papa m’encourage par des caresses allant de ma nuque jusqu’au bas de mes reins, je me suis remis à bander assez vigoureusement. La main de mon père s’attarde sur mes fesses qu’il pousse pour que je m’emboîte sur la jambe de maman, ma quéquette bandée sur sa cuisse me fait faire un va et vient. Un doigt s’insinue entre mes fesses sans forcer pour aller sur mes boules. Il les taquine pour me stimuler davantage, je connais papa, il n’est jamais le dernier dans les bons coups, sur le moment je prends ses gestes pour un amusement, ce n’est qu’après que j’ai compris qu’il y prenait du plaisir.

Mon père prend à son tour ma bistouquette coincée entre mon ventre et la jambe de ma mère, je me laisse faire dans l’euphorie du moment en oubliant un peu maman, il commence une douce manipulation, j’éprouve à nouveau le bonheur, ma mère s’est redressée sur le lit pour me demander :

-  Tu aimes ?


 -  Ho oui maman, c’est trop bon, merci.

-  C’est mieux que quand tu te caresses tout seul ?  Ajoute mon père.

J’en profite pour me retourner, à demi allongé et adossé contre la poitrine de maman assis entre ses jambes, je n’ai pas pu donner de réponse à papa étant donné la circonstance. Maman caresse ma poitrine, papa met tout son art dans ses cajoleries, une main sur ma tige, de l’autre il triture mes roustons. Ses caresses deviennent de plus en plus précises lorsque je sens que ça vient, la bouche de ma mère vient remplacer la main de mon père, j’ai tout lâché dans sa gorge.

 

Après quelques instants de répit, maman me regarde en s’essuyant la bouche d’un revers de main :

 

-  Bravo mon grand, tu reprends vite des forces et ton père te connaît tout entier maintenant.


Sur le moment je n’ai pas réalisé ce que voulait dire ma mère, mes pensées appréciaient ces instants sublimes. Les seuls mots qui sont sortis de ma bouche :

-  Je vous aime, je vous aime.

Je répétais plusieurs fois cette phrase, je m’allonge sur le lit, mes parents disparaissent de la chambre en me laissant distiller mon plaisir dans mes rêves.

Nous n’avons pas reparlé de cette expérience tout de suite, ce n’est qu’un soir après le dîner en regardant la télé que mon père s’est branché sur le sujet en me recommandant d’être surtout très discret sur ce que nous avons fait, que cela doit rester uniquement entre nous. Je profite de cette occasion unique pour poser une question qui me tient depuis cette fameuse soirée :

-  Dis papa, dis maman, on pourra recommencer à faire le même jeu ?

 

 

Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : vous avez dit inceste
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Dimanche 25 janvier 7 25 /01 /Jan 16:25

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La circulation à Paris ne s’arrange pas du tout, les bouchons du dimanche soir, les retours de week-end, je pense que c’est de pire en pire.  Je reviens de chez Martine, ma jeune sœur, enfin dix huit mois de moins que moi. J’ai tout le loisir de laisser mon esprit vagabonder sur cette après midi. Enfoncée dans le siège de ma Mini, je sens encore les doigts de Martine sur mon ventre, dans mon ventre, sa langue douce, sa langue tiède, sa langue audacieuse sur le même itinéraire, et plus loin encore. Ses mots d’amour résonnent encore à mes oreilles, des mots gourmands comme la langue qui m’a goûté, des mots goinfres comme la bouche qui m’a fouillée, aspirée, qui s’est bâfrée, des mots qui me dévorent.

Moi c’est Monique, sans vouloir prendre beaucoup de lignes pour me présenter, je dois commencer par le début. J’avais seize ans au moment des faits, ma sœur un an et demi de moins, nous partagions la même chambre. Martine ressemble à maman, même blondeur, même style et moi je tiens de papa, bel homme, très brun, genre italien  Nous nous entendions particulièrement bien hormis les disputes inévitables entre deux sœurs dans un même espace. Rien de bien méchant, juste des querelles idiotes comme elles le sont toutes. Nous sommes dans les années quatre vingt, dans une petite ville de la Gironde en pleine campagne. Le sexe était encore quelque chose de secret, on en parlait pas ouvertement comme aujourd’hui.

Cette journée de grande chaleur, j’étais nue sur mon lit à quelques pas de celui de ma sœur, le peu d’air qui entrait par la fenêtre me faisait de bien. Je ne peux trouver d’excuses pour succomber à mes séances de masturbation nocturnes. Avec ma sœur juste à coté, je faisais mon possible pour rester silencieuse tandis que du bout des doigts je maltraitais mon clitoris prêt à exploser. Je mordais le revers de l'oreiller pour éviter de geindre trop fort. C'est ainsi que ma sœur, un peu effrayée par le bruit de mes frottements, alluma sa lampe de chevet. Debout à côté de mon lit, elle me contemplait, dubitative. J'avais les jambes grandes ouvertes. Ma main triturait sans merci ma fente. J'avais un coin de l'oreiller dans la bouche et les yeux fermés si fort que j'avais, selon Martine, l'air en colère. Sa stupeur passée, elle me scruta, elle étudiait chacun de mes gestes, de mes râles, sans mot dire. Puis, quand dans un éclair intérieur je sentis le plaisir me libérer, je serrais mes jambes, aussi fort que pouvais. Et là, je restais interdite. Tout s'y mêlait, le plaisir, la honte, la surprise, la peur, la colère, le désir même... J'ai du ressentir, l'espace de ces quelques secondes de silence, une gamme extraordinaire d'émotions qui jaillissaient et s'évaporaient tel le bouquet final d'un feu d'artifice.

Martine n'avait pas bougé d'un iota. Elle me fixait, un peu perdue, un peu effarée. Puis, toujours sans prononcer une parole, elle repartait vers son lit. Je la rattrapais par le bras.

-  Je... heu... ça fait longtemps que tu regardes ? 

Elle me scrutait. Son regard allait de mon entrejambe à mes seins, puis balayait mon visage pour revenir sur le lit.

–  Je... non... enfin... tu faisais quoi ?

–  D'après toi ?

–  Ha non c'est moi qui ai demandé avant !

-  Chuuuuut... va pas réveiller la maison s'il te plait. 

Je tentais vainement de me recomposer. Je me sentais si honteuse face à ma sœur. Son regard me lançait tous les reproches du monde mais je savais très bien que je voyais dans ses yeux, ce que je pouvais me reprocher à moi-même, rien de plus.

-  Bon, alors écoute, je veux bien te dire mais ça, il faudra vraiment le garder pour nous, ok ? 

Je voulais me montrer aussi rassurante que possible.

–  Pourquoi j'ai déjà répété des trucs moi ?

–  Oui... et même... enfin bref... ce n’est pas le moment. Ce que je veux dire c'est que là, si je t'explique et que les parents l'apprennent, je vais me faire tuer et toi tu finiras dans un couvent...

–  Bon ok je t'écoute, mais essaie pas de me raconter des salades...

-  D'accord. 

J'aspirais profondément une goulée d'air avant de me lancer dans une explication que je savais déjà mauvaise avant de l'entamer.

- Tu vois, comme il fait chaud, et comme je pensais à ce garçon, tu sais celui qu'on a vu cet après-midi devant l’église.

–  C'est bon abrège.

Martine n'avait pas l'air renfrogné mais sérieuse, comme si elle avait peur de manquer quelque chose de crucial.

–  Bon ok, donc à cause de tous ces trucs je me suis sentie... heuuu... émoustillée...

Elle semblait comprendre là où je voulais en venir mais sans pouvoir mettre un sens précis sur mes mots.

-  Oui, voilà, et puis j'avais envie d'être dans les bras de ce garçon, vraiment envie. Alors j'ai fermé les yeux et j'ai rêvé que ça arrivait.

Les cuisses de ma sœur commençaient frotter contre le drap, peut être parce qu'il était trop chaud sur sa peau ou peut-être parce qu'une certaine excitation la gagnait. Je ne savais pas très bien. Ce que je savais, en revanche, c'est que ma propre excitation revenait en force et que ça pouvait fausser mon jugement. S'il y avait un moment où il fallait que je garde l'esprit clair c'était bien ce moment là. Alors, à mon tour je scrutais son visage et ses expressions, j'y lisais le doute, des questions.

-  Bon, je veux bien, tu rêves et t'es toute... heu... bizarre en pensant à ce garçon. Mais pourquoi tu frottais si fort là en bas ? Petite salope, tu te touchais ! 

Ce n'était pas vraiment sa question mais plutôt le fait qu'elle pointe mon intimité du doigt qui me fit sursauter. Elle me dévisagea tentant de comprendre pourquoi je semblais à nouveau si tendue.

–  T'as qu'à me montrer ! Montre-moi comment tu fais...

–  T'es sûre ? Ce n’est pas vraiment un truc que je devrais te montrer tu sais...

–  Si, si, montre-moi...

Je me reculais pour appuyer mon dos contre mon oreiller tout en écartant les jambes, genoux repliés. Je ne la quittais pas une seconde du regard pour être certaine qu'elle savait ce qu'elle faisait et si je devais vraiment poursuivre.

-  Non... pas sur toi, ça j'ai déjà vu... montre moi sur moi. 

Je restais un instant interloquée. Je ne m'attendais pas à ça et ne savais plus quoi faire. Pourtant, malgré son étrange idée,  j’avais en face de moi ma petite sœur bien décidée. Elle me vit hésiter et, pour affirmer sa volonté, elle s'appuya contre le mur, sur le côté de mon lit et écarta ses jambes.

– Vas-y, j'ai déjà tout vu de ce que tu te faisais, je veux que tu me montres pour tout comprendre et pouvoir profiter. Ca fait un moment que je t'entends t'agiter tous les soirs dans ton lit. Alors ce soir j’ai osée allumer. Alors maintenant je veux tout savoir. J'te promets, je ne dirais rien aux parents... Promis !

Malgré ses encouragements et son explication je demeurais coite, incapable de bouger. Je la dévisageais, puis mon regard descendit le long de ce corps que j'avais vu tant de fois mais que je découvrais maintenant. Je regardais ses lèvres, pleines, sensuelles, sa poitrine légèrement plus petite que la mienne, mes yeux poursuivirent leur route jusqu'à son mont de vénus ou foisonne une petite toison aussi blonde que la mienne est noire. Sa posture en était outrageuse, les cuisses écartées, les jambes pliées. Contrastant avec cette innocence qui se dégageait de tout son être, sa posture et son regard avec quelque chose de presque vulgaire. Lentement, un peu gauche, je m'approchais d'elle, les doigts tendus vers sa peau. Je l'effleurais à peine.

– Tu es vraiment sûre que tu veux que... Enfin, je veux dire qu'on est... Et que tu veux que je...

- Oui, vas-y. Tu disais qu'il fallait être excitée... ben je le suis... alors je veux que tu me montres... Je t'en prie

J'étais pétrifiée par la peur. La peur d'aller trop loin, la peur de faire quelque chose d'irrémédiable. Et pourtant, je pris conscience que mon souffle s'unissait au sien. Alors du bout des doigts j'effleurais un bout de ses seins. Je me redressais et accentuais un peu la pression. Nous ne parlions plus. Dans la chambre, il n'y avait plus que nos deux respirations qui s’ajustaient l'une sur l'autre. Sans y réfléchir, dans un mouvement naturel, je me penchais un peu plus en avant et mes lèvres se joignirent à mes doigts. Il n'était plus question de penser de toute façon. Nous n'en étions plus capables. Il ne s'agissait plus que de ressentis et de partage. Toute seule ma main glissa sur son ventre, comme entraînée par son propre poids. Mes doigts jouèrent avec son nombril pendant qu'entre mes lèvres je taquinais ses tétons durcis. Je ne savais plus ce que je faisais, mon instinct avait pris le contrôle. Je répétais peut-être des gestes que j'avais vus dans des magazines un peu osés ou bien était-ce un fantasme issu de mes séances de plaisir solitaire.

Combien de fois avais-je vu ce corps dénudé, peut être autant de jours que ma sœur avait vécu. Mais maintenant je savourais le parfum de sa peau et de sa sueur. Toujours aussi lentement, je quittais son ventre pour apporter mes baisers dans l'écrin de son nombril. Ma main épousait les formes de son mont de vénus. Je la sentis se tendre à ce contact. J'en profitais pour regarder son visage, une dernière fois avant de commettre l'irrémédiable. Mais elle avait déjà fermé les yeux, elle était déjà perdue dans la contemplation de ses émotions, de ses sensations. A mon tour, je fermais les yeux et je laissais ma bouche et ma main s'abandonner à leur délicieuse besogne. Mes doigts tâtonnèrent maladroitement. Il leur fallait retrouver leurs marques sur ce corps qu'ils ne reconnaissaient pas. Puis, découvrant plus de similitudes que de différences, retrouvant ce paysage qui leur était si familier, ils reprirent cette danse moite que je leur avais fait danser un peu plus tôt sur ma propre intimité. Je m’ingérerais entre ses lèvres et dévoilais son clitoris, l'entrée de son vagin. Tantôt j'appuyais mes caresses, tantôt j'effleurais tout juste son sanctuaire.  J'étais heureuse de voir qu'elle était déjà réceptive. Son nectar coulait le long de sa fente jusqu'à la naissance de ses fesses. Plus je progressais, plus j'appuyais sur son clitoris qui gonflait fièrement contre le bout de mes doigts.

Le souffle de Martine devenait plus désordonné. Je savais ce qu'elle endurait, ce qu'elle percevait maintenant. Tout ce nouveau monde qui s'ouvrait à nous deux dans un plaisir différent. Ses mains agrippèrent le drap, sa tête roulait, son souffle n'était plus qu'une succession d'halètements. Je savais que trop bien ce que présageaient ces mouvements désordonnés. Je faisais comme pour moi, effectuais les mêmes gestes, elle s'arque-bouta, une main coincée entre ses dents pour étouffer ce cri qu'elle ne pouvait plus retenir. Les gémissements avaient grandis en une plainte sourde et grave. Ses yeux restaient clos, elle luttait contre cet embrasement qu'elle subissait peut-être pour la première fois. Je la contemplais, ma main emprisonnée entre ses cuisses. Je n'osais aucun mouvement. Je la regardais, l'observais. C'était ma sœur assise là, comme moi, découvrant la sexualité à deux. Lentement elle ouvrit les yeux pour les porter sur moi. Elle avait ce regard que jamais je n'oublierais, comme quand quelqu'un vient de vous confier le plus grands des secrets. Tout comme moi, elle venait de découvrir la puissance de ce plaisir que l’on peut recevoir d’une autre personne. Nous avons passé le reste de la nuit lovées l'une contre l'autre. Malgré la chaleur rien ne nous aurait séparées cette nuit là. Ces mots, tant de fois répétés comme « ma chérie », prenaient une toute nouvelle couleur et pourtant... Pourtant nous devions découvrir qu'il ne s'agissait là que de nuances, qu'il y avait encore bien des choses à vivre, a éprouver...

Nous avons poursuivi nos jeux deux trois fois par semaine, nous nous retrouvions dans mon lit ou dans le sien. Certains soirs Martine prenait soin de moi, d'autres c'était mon tour. Nous ne planifions rien. Rien n'était prémédité. C'était plus comme un juste échange, une écoute l'une de l'autre. En tant que sœurs, nous étions déjà très proches, mais ce que nous échangions alors, n'avait rien de comparable. Comme par exemple la première fois que nos bouches se croisèrent. Ce n'était plus juste une complicité que nous partagions, mais quelque chose de bien plus profond. Durant nos câlins, nos corps se lovaient de plus en plus serrés. Martine aimait s'enrouler dans mes bas, sentir mes lèvres couvrir sa nuque de baisers, mon souffle balayer son cou, une main sur sa poitrine de plus en plus sensible et l'autre épousant son intimité. Lèvres contre lèvres, un « je t'aime » s'échappa de son cœur pour atteindre le mien. Elle rougit en exposant si clairement ses sentiments alors qu'elle m'offrait presque un second orgasme par ces simples mots. Elle vit que je pleurais, qu'elle m'avait touchée bien plus profondément qu'auparavant. Partant de mes lèvres et de mon intimité, elle avait transporté tout mon corps jusqu'à faire fondre mon cœur. Ainsi nos caresses devenaient à la fois plus raffinées et plus tendres. Nous n'avions aucune conscience d'où cet amour étrange allait nous conduire.

On changeait de jour en jour, nous partagions nos fantasmes, nos rêves, nos désirs, tout devenait plus précis, plus clair. En même temps tout un tas de nouvelles sensations s'ouvraient à nous. Des choses que notre éducation ne m'avait pas permis d'imaginer. Nous abordions de nouveaux sujets dans nos discussions. Pourtant je ne pouvais nier que de nouveaux désirs grandissaient en moi. Un notamment, mon père. Je le voulais plus proche, plus soucieux de nous, plus disponible. Les jours passaient et je voyais en ce père aux milles activités, un père idéal mais inaccessible. D'avoir sauté le pas avec ma sœur changea ma façon d'appréhender ces fantasmes que je projetais sur mon père. Sans penser à un rapprochement physique d'emblée, je commençais à regarder l'homme avant le père.

Un de ces matins où je forçais mon esprit à rester dans les brumes des derniers rêves, où je me caressais délicatement, tout doucement, je sentis ma sœur s'éveiller dans mon dos. Elle m'embrassait les épaules et se plaqua contre moi pour remplacer ma main de la sienne. Je frissonnais, tremblais presque. Au creux de l'oreille, elle me souffla :

–  Qu'est-ce qui t'arrive ?

–  Rien, je me suis réveillée toute... humide.

-  Non, j'te parle pas de ça... Enfin si... 

Martine cherchait ses mots.

–  De quoi alors ?

–  D'hier, je t'ai vue espionner papa dans la salle de bain. Et puis d'autres fois aussi.

-  Pardon ? 

Interloquée, je montrais un début d'indignation. Je redoutais de savoir où elle voulait en venir et que je me sois montrée aussi transparente.

–  Ouai, ça fait plusieurs matins que tu te lèves pile poil au moment où papa sors de sa chambre.

–  Ben... heu... tu en penses quoi toi de papa ?

Tout en me parlant, elle augmentait sa pression sur mon clitoris. Sa respiration trahissait sa propre excitation, issue, je supposais, des caresses qu'elle me prodiguait et de la conversation qui prenait un tournant érotique. Nous livrer l'une à l'autre avait souvent cet effet.

– Tu veux quoi ? Faire des choses avec lui ?

Nous avions encore certains scrupules à définir nos jeux comme étant du sexe. Nous ne parlions encore moins de « faire l'amour ». Nous disions juste « ça », ou les « choses », laissant dans le vague le véritable sens de nos agissements. Ca n'empêchait que la question de ma sœur me laissa interdite. Ma sœur venait de pointer du doigt un désir que je préférais laisser dans le flou. Me poser la question m'obligeait à trouver une réponse et poser des mots m'obligeait à faire face aux raisons de mes pulsions.

–  Et je ne devrais pas ? Tu trouves ça pas bien ?

–  Ce n’est pas ma question. Ma question c'est : est-ce que t'as envie de lui dire ? De le faire participer ?

-  Tu es folle, il nous jetterait dehors si il savait,

–  Alors tu veux quoi ?

–  Je ne sais pas vraiment. Tu le trouves pas craquant toi ?

-  Oui, c’est sur, mais j'ai trop peur de ce qu'il pourrait dire s'il découvrait que... 

Elle me murmurait ses mots dans un souffle qui m'enivrait autant que ses doigts indiscrets. Elle frottait elle-même son pubis contre mes fesses pendant qu'elle appuyait contre l'entrée de ma fente.

- Des fois je rêve qu'il me touche... qu'il me touche comme tu le fais là

Je reculais mes fesses accentuant le frottement de sa foufoune et de son côté, elle accélérait les petits cercles sur mon intimité trempée.

- Je te comprends, ça m'arrive aussi des fois j’aimerai qu’il me touche comme un peu partout.

Dans mon dos, elle écartait ses cuisses pour mieux écraser son clitoris contre la rondeur de mes fesses. Je sentais une légère humidité couvrir ma peau. Emportée par son propre plaisir, elle enfouit son majeur dans mon vagin, plaquant sa paume contre mon petit bouton proéminent. Son plaisir me contaminait comme je savais amplifier le sien. Je m'abandonnais au bonheur et l'entendis me rejoindre au paradis quelques secondes plus tard. Sans aucun doute possible, je savais l'aimer. D'un amour particulier, trop peut-être, mais sans plus aucune limite.

Je rejetais ma mère de mon petit monde à cette époque. Ce n'était pas que je ne l'aimais pas, juste que je préférais l'isoler, elles et ses préjugés, ses remarques, hors de mes préoccupations. La routine repris rapidement. Les petites disputes, les grands éclats de rire, le travail et la maison...  Et pourtant je ne pouvais m'empêcher de me sentir autre, différente. Peut-être était-ce ces nouvelles discussions, bien plus longues et plus intéressantes avec ma sœur. Je déployais milles astuces pour séduire mon père. Je laissais la porte de notre chambre ouverte pour ne la fermer que lorsque ma sœur se changeait ou pour la nuit. Le reste du temps, même quand je m'habillais, la porte restaient plus ou moins grande ouverte. Je ne verrouillais pas, non plus, la salle de bain. La laissant même parfois légèrement ouverte quand je faisais ma toilette. Il m'arrivait aussi de vérifier si mon père avait mis le loquet quand il l'occupait. Les rares fois où mon stratagème fonctionnait, mon père, inlassablement, maugréait et me demandait d'éviter les courants d'air.

Une nuit j’ai réussie à l’observer, l'esprit encore un peu embrumé par le sommeil que j'avais quitté précipitamment. J'osais à peine respirer en contemplant mon père, debout devant le lavabo, entièrement nu. Il éclaboussait son visage d'eau. Mes yeux montaient le long de ses jambes musclées, ses cuisses sculptées, ses fesses fermes et son sexe ! Son pénis me paraissait énorme. Un torse puissant et des pectoraux bien dessinés à mes yeux d’adolescente. Son visage portait pour moi l'essence d'une virilité avec laquelle aucun autre homme ne pourrait jamais rivaliser. Tout en lui, attisait mon désir. Tout était rassurant, sécurisant mais aussi enivrant. Immobile, je le regardais inspecter son reflet dans le miroir puis le temps s'arrêta. Mon père avait posé sa main sur son pénis et le caressait doucement. Ses doigts lentement allaient et venaient le long de sa hampe qui prit de l'ampleur. J'étais médusée, suspendue à ce moment d'intimité qu'il m'offrait sans le savoir. Il répondait à cette érection inopinée mais je n'en savais rien. Je ne savais même rien de la masturbation des hommes, j'avais tout à découvrir. Je le regardais tentant de comprendre chacun de ses gestes. Son sexe se dressait peu à peu. J'avais l'impression qu'il pouvait grossir indéfiniment. Puis il s'interrompit. Il s'éclaboussa de nouveau le visage. Encore perdue dans la contemplation de ce qu'il venait de faire, je ne réagis pas assez vite. La panique remplaça instantanément l'excitation alors qu'il se retournait déjà. Il était trop tard pour que je m'esquive. Sa main se dirigea machinalement sur l'interrupteur, mais avant de tout éteindre, son regard se heurta au mien. C'était son tour de me fixer, de rester figé, immobile. Nous sommes demeurés ainsi quelques secondes, pas plus, mais ça me parut une éternité durant laquelle, la panique était si puissante que j’en étais paralysée. Puis son regard s'anima descendant sur mon corps. Je vis alors cette ride qui marquait son front quand quelque chose le prenait au dépourvu et le dérangeait. J'avais honte de ce que j'avais fait. Jamais ça n'aurait dû arriver et j'entendais déjà ses cris alors que sa bouche commençait à peine à s'ouvrir. Mais aucun son ne sortit. Sa réaction suffit à nous sortir ensembles de notre torpeur et en même temps nous nous décidâmes à bouger. Maladroits dans cette situation embarrassante, le malaise s'empira quand nous partîmes dans la même direction manquant de nous heurter l'un à l'autre. De concert nous bredouillâmes des excuses ridicules alors que nos corps s'étaient rapprochés. Je voulu me tourner, mais mon père m'imita ce qui fit frôler ma main à son sexe. Surprise, je sursautais et posais mon regard sur l’objet qui avait fortement diminué de volume. Mon père prit une profonde respiration pour dire un  « excuse-moi » irrité qui lâcha avant de poursuivre sa route jusqu'à sa chambre. Je m'engouffrais dans la salle de bain dès que je retrouvais le contrôle de mon corps. Dans la pénombre j'examinais le dessus de ma main qui avait touché ce trophée avant de la porter à mon nez pour en découvrir le parfum. Un frisson que je n'étais pas prête d'oublier et qui allait longtemps alimenter mes fantasmes.

Après cet incident, les choses se compliquèrent encore. Impossible de surprendre de nouveau mon père qui, à chaque fois qu'il rentrait à la maison, il prenait la précaution de crier nos prénoms pour savoir où nous nous trouvions et ce que nous faisions. Le soir j'appuyais chaque fois un peu plus mon bisou. Je ne mettais plus qu'un teeshirt pour aller me coucher, plus de culotte ni de soutien-gorge. Je choisissais mes teeshirts avec un col de plus en plus large. Mais rien n'y fit, aucune réaction, aucune émotion n'était perceptible chez mon père. Ma sœur m'avoua être gênée de me voir outrageusement habillée devant papa. Mais ce fut maman qui me cria tout simplement dessus.

- Tu n'es pas toute seule ici que diable ! Et si nous faisions tous pareil, ça donnerait quoi ? Les gens penseraient quoi ?                           

 Le ton de ma mère était sarcastique comme à l'accoutumée. Elle me traitait de catin ou pire encore. Je sentis presque une sorte de rivalité dans ses mots.

Nous attendions avec impatience les vacances de fin d’année. Il était prévu que nous passions une semaine de ski dans la maison de notre tante. Puis durant la dernière semaine avant le départ, deux coups de théâtre se succédèrent. Le premier c'était notre tante qui nous annonçait qu’elle était retenue professionnellement et qui lui était impossible de venir. Puis le lendemain mon père nous apprit qu'entre les jours de congés qu'il avait à prendre et le calme dans sa société, il allait nous accompagner lui-même au ski. Nos plans tombaient à l'eau mais d'un autre côté, une semaine avec notre père, ça changeait toute la donne. Nous gambergions avec ma sœur, sur ces dix jours de ski et d’amour. Cependant, ma tante nous avait déjà réservé les locations de matériel et les remontées pour la semaine. Il eut été indécent de gâcher tout ça. Et puis elle pourrait toujours nous rejoindre pour le weekend. Martine et moi, histoire de détendre un peu l'ambiance à la maison, lui promîmes de lui faire un reportage photos de tout notre séjour.

Mon père avait demandé le caméscope à mon oncle, super appareil du moment où on pouvait enregistrer sur cassette et voir aussitôt à la tété. Quand on y pense, de nos jours on ne tergiverserait pas autant pour ce genre d'appareil.

C'est donc dans une animosité non dissimulée que nos sautâmes dans la voiture en partance pour les Pyrénées. A notre arrivée notre père soupira de satisfaction, il en avait assez de notre silence et de nous voir tirer la gueule. Nous prîmes possession de suite de la maison. Le feu dans la cheminée puis nos bagages dans les chambres. Sans réfléchir, nous avons été avec ma sœur dans la chambre que nous occupions d'habitude. Nous allions partager la salle de bain qui se situait entre nos deux chambres et ça n'était vraiment pas pour nous déplaire. Nous partîmes récupérer skis et forfaits juste après manger. Notre tante nous avait aussi réservé un stage avec un moniteur mais celui-ci ne durait que trois jours. Mon père nous promis de nous payer le reste mais nous préférâmes opter pour des balades en sa compagnie. C'était le dimanche et ce séjour se présentait finalement bien.

Le soir venu, il nous fallut à Martine et moi un petit moment pour nous détendre complètement et nous endormir. Nous n'osâmes pas aller plus loin que nous enlacer et nous embrasser. Nous ne savions jusqu'à quel point le son pouvait porter à travers la salle de bain dans cette maison presque vide. La journée avait été pour le moins excitante et palpitante mais lovées l'une contre l'autre nous nous abandonnâmes dans les bras de Morphée.

J'étais la première dans la salle de bain, ce lundi matin. L'esprit encore embrumé de sommeil, je restais un certain temps à regarder mon reflet dans le miroir sans vraiment le voir. Je poussai alors un petit cri en découvrant mon père, juste à côté de moi, penché pour me faire un bisou pour la bonne journée. Machinalement je lui fis la bise et ces quelques secondes suffirent pour que la panique s'empare de moi. En effet, mon père ne portait qu'une serviette autour de la taille et devait donc être présent dans la salle de bain sans que je le voie. Je me regardais dans le grand miroir de la salle de bain, encore choquée et paniquée. Le temps de me remettre je me promis d'être plus prudente.

En tous cas, à dix heures nous étions au bas des pistes et le moniteur donna rendez-vous à notre père pour quinze heures. La neige était merveilleuse, le moniteur beau comme un dieu et le soleil resplendissait. Une journée somme toute parfaite donc.

Quand nous retrouvâmes notre père, à la fin de la journée de ski, il tenait le caméscope. Ma sœur bouda quand il nous raconta, toujours entrain de rire, qu'il avait filmé la chute qu'elle venait de faire. Voyant qu'elle faisait encore la tête quand nous rentrâmes à la maison, papa lui lança :

-  Hey, mon ange, une jeune femme aussi jolie que toi, c'est bien du gâchis si tu fais la tête.

Mon père venait d'accoler mon ange, jeune femme et jolie dans la même phrase et je n'étais pas certaine qu'il en saisisse bien l'impact. En tous cas ma sœur ne savait plus pourquoi elle râlait.

Pendant notre cours, papa avait fait les courses. Le repas du soir fut particulièrement jovial et nous montâmes peu après, laissant notre père finir d'étudier le manuel de sa camera. Nous ne l'entendîmes même pas monter, nous étions bien trop fatiguées pour ça. Le lendemain matin, papa nous réveilla. Plus exactement, je me suis réveillée en découvrant mon père assis sur le bord du lit à nous contempler dormir. Il me sourit avec un « bonjour ma chérie » qui me fit frissonner. Je pensais avoir fait une très longue nuit mais m'aperçut qu'il faisant encore sombre dans la maisonnée. Mon père m'expliqua à voix basse pour ne pas réveiller ma sœur qu'il avait neigé toute la nuit et neigeait encore. Le moniteur de ski avait appelé pour dire que notre cours avait été annulé. Le risque d'avalanche était trop grand et des gens s'étaient perdus, il faisait partie de l'équipe de recherche. Un peu dépitée, je me frottais les yeux pour en retirer le sommeil et me faire à la pénombre ambiante. Ce n'est qu'alors que je constatais que mon père n'avait sur lui qu'une serviette à la taille comme la veille. Cette fois, je profitais de la situation pour me régaler des yeux de son torse velu d'homme. Il me répéta de ne pas réveiller ma sœur. Un millier d'idées me traversa la tête et je me décidais de ne plus hésiter et saisir l'occasion comme elle se présentait. Je n'attendis donc pas que mon père se lève et je me glissais hors de la couette, feignant de toujours être à moitié endormie. Je savais que dans mon mouvement, ma tenue de nuit ne cacherait plus grand-chose et que mon père pourrait tout voir de mon intimité. Je ne fus pas déçue. Je vis l'arrêt que son regard marqua à la vue de mon pubis. Il ne dit rien et, contente, je poussais encore ma chance, debout, je m'étirais levant bien haut les bras. J'avais beau bailler j'étais tremblante à l'intérieur. Je n'osais pas baisser les yeux sur mon père qui, se retrouva en une seconde, face à face avec mon ventre et mon intimité complètement nus. Papa ne prononça pas la moindre parole. Il se leva, juste, et posa ses mains de chaque côté de mon visage pour placer un tendre bisou sur mon front en me souhaitant de nouveau une bonne journée. Je bredouillai un « bonjour » ridicule alors qu’il était déjà sur le seuil de la porte. J'avais imaginé, l'espace d'une seconde, que son baiser se fut posé sur mes lèvres et mes jambes en vacillaient encore.

– Je n'y crois pas ! Cochonne que tu es ! Tu ne t’es pas gênée pour tout lui montrer !

De toute évidence ma sœur n'avait rien manqué de notre conversation. Je lui coupais la parole, inquiète.

– Chuuuuuuuuut ! T'es folle, il pourrait nous entendre !

– Et après ? Après ce que tu viens de faire... Ca t’arrangerais non ?

– Non ! Enfin peut-être, mais pas comme ça.

– T'es trop mimi ma chérie, tu lui mets ton minou devant le nez mais tu ne veux pas qu'il m'entende te gronder de l'avoir fait...

- Maiiiiis ! Tu vas voir, toi ! 

Et une bataille de polochon démarra. Le combat faisait rage dans la chambre que notre père entra armé de son ’’Betamax’’. Nous ne l'entendîmes même pas de suite à cause de nos rires et nos cris perçant. Mais dès qu'on l'aperçut, la bataille redoubla. La pièce était emplie des bruits sourds de polochons qui s'écrasaient et de nos menaces ridicules. Je la poursuivis à travers toute la chambre, sautant de lit en lit. Quand je l'attrapais, nous nous roulâmes sur le premier lit à côté de nous et je lui infligeais une longue série de chatouilles. Je l'immobilisais à califourchon sur son torse. Ses pieds fendaient l'air en tous sens dans mon dos. Elle me suppliait d'arrêter et je lui ordonnais de me promettre de ne plus se moquer de moi. Elle finit par céder et j'en profitais pour la forcer à avouer devant la caméra que j'étais sa grande sœur, la plus forte et la plus jolie et la plus intelligente et...

Après un passage à la salle de bain, nous rejoignîmes notre père dans le salon une fois le petit déjeuner pris et la cuisine nettoyée. Il était en train de visionner la bataille de polochon. Notre bataille nous avait semblée bien innocente mais notre père avait vraiment tout filmé, tout ! Nous voyions bien les coups de polochons et les chatouilles, mais aussi une vue imprenable sur nos parties intimes, nos fesses et même, par ci, par là, un bout de sein qui s'agitait au rythme des chatouilles que j'infligeais à ma sœur. Nous étions cramoisies de honte. En tous cas il savait se servir d'une caméra, à croire qu’il avait dû y passer une bonne partie de la nuit pour apprendre le maniement. Il faisait varier les angles, la position passant par-dessus, par-dessous, de côté. Pour chacune de nos attaques, pour chacune de nous poursuite, ce que nous ne prenions que pour un jeu prenait des allures d'exhibition érotique sur l'écran de la télé. Martine et moi restions atterrées et silencieuses.

– Et bien ? Vous voilà bien silencieuses d'un coup.

Notre père pouvait se moquer. Sur l'écran nos popotins était exposés alors qu'il avait fait pause au moment où nous courrions pour aller aux toilettes.

- Ben, c'est que c'est un peu gênant quand même. On ne pensait pas que...

Je bredouillais lamentablement.

– Que quoi ? Pourquoi gênant ?

- Ben... C'est qu'on voit tout. 

 Martine n'était guère plus à l'aise.

- Et alors ? C'est comme ça que vous êtes non ? Et puis quand on est aussi jolies que vous on peut se permettre de ne rien cacher. 

 J'étais perdue et ma sœur n'avait pas l'air bien plus assurée. Notre père avait l'air tellement sincère, c'était troublant.

- Vous passez votre temps à vous trimballer à moitié à poil, pourquoi ça vous étonne ou vous dérange de le voir maintenant ? Tant qu'à filmer nos vacances autant que ça soit fidèle à votre personnalité²  non ?

Et voilà ! Ca nous pendait au nez aussi. A jouer les malignes, il fallait bien que notre père nous fasse payer un jour. Depuis le temps que j'essayais de le titiller, je devais me douter que ça me retomberait dessus un moment ou l'autre.

- Je suis désolée papa. Mais tu sais, c'est surtout moi qui me promène sans pas grand-chose dessus. Martine n'y est pour rien. 

En parlant j'imaginais déjà les éclats de rire lors de la prochaine réunion de famille avec nos fesses en gros plan à la télé. Mais à la limite je pouvais le supporter, par contre je n'acceptais pas que ma sœur subisse ça à cause de moi.

- De quoi tu parles chérie ? A t'entendre on dirait une punition. 

Il jubilait le bougre. Il tenait sa vengeance et comme pour les chatouilles, il voulait m'entendre le supplier. Je pouvais difficilement lui en vouloir même si j'avais déjà passé de meilleurs moments.

- Bon ok papa. Je sais que je suis allée un peu trop... loin avec toi. C'est vrai. Alors punis-moi si tu veux, c'est normal. Mais Martine n'y est pour rien et elle n'a pas à payer pour ce que j'ai fait. C'est pas juste de la piéger avec moi. Je m'en fiche qu'on se moque de moi à cause de cette vidéo mais on voit aussi Martine, elle ne mérite pas ça.

Ma voix commençait à s'emballer et à chevroter.

– Hein ? Ma puce tu crois vraiment que je serais capable de faire ça ? De me servir de ça pour vous punir ? Si votre comportement me dérangeait je vous l'aurais dit, tout simplement. Ces images ne sont que des souvenirs de vacances. Nos souvenirs de nos vacances. Les chutes en ski, les balades et les paysages ça sera pour tout le monde, mais ça c'est pour nous et  rien que pour nous. Mon père marqua un temps d’arrêt pour nous laisser bien comprendre ce qu'il nous disait. Son discours avait quelque chose de préparé mais je m'en fichais. Mon cœur commençait à se calmer et ma nervosité diminuait. Dans ses yeux je vis que ma sœur partageais mon sentiment, nous l'aimions vraiment fort notre papa.

– Ecoutez toutes les deux, vous êtes mes trésors. Alors oui parfois vous êtes un peu... turbulentes. Mais ça ne m'empêche pas d'être terriblement fier de vous. Rien de ce que vous ayez fait ne peut changer ça. Vous êtes intelligentes, gentilles et toujours pleines d'énergie. Alors oui, des fois je ne partage pas l'avis de votre mère mais si on ne fait pas front tous les deux ensembles, je ne donne pas longtemps avant que vous nous mangiez tout crus. Mais ici il n'y a que nous trois et c'est les vacances, non ? On a qu'à dire que c'est un espace de liberté. Alors arrêtez de vous en faire, on est là pour en profiter. Je suis certain qu'un jour on regardera ces vidéos ensembles et qu'on en rira bien. Allez, faites moi un gros bisou et on va essayer de trouver quelque chose pour remplir notre journée.

Nous sautâmes au cou de notre père et l'embrassâmes, soulagées voire hilares. Ma sœur me sortit de ma réflexion en s'exclamant :

– Hé mais et toi papa ?

– Moi ?

– Ben oui tu nous as bien eues mais toi tu t'en tires à bon compte !

- Quoi ? 

Je commençais à comprendre et je me campais, à genoux à côté d'eux, sur le canapé et plantais mon regard dans celui de mon père, perdu à son tour.

- Ben oui quoi, nous on s'amuse, on fait n'importe quoi et toi tu nous filmes et on voit nos fesses et tout et tout... mais toi ? Tu ne crois pas que tu va t'en tirer aussi facilement hein ? 

Je faillis éclater de rire. Ma sœur avait planté son regard dans celui de mon père et lui servait son sourire carnassier. Et tout comme moi, mon père avait peur ! En une seconde Martine avait glissé ses mains sous le teeshirt de papa et tentait de le chatouiller alors qu'armée d'un coussin qui ornait le canapé, je lui assénais des coups sur la tête.

– Hé mais ça va pas non ? Alors vous voulez le prendre comme ça ? ! Vous allez voir !

La bataille fit rage. Nous nous lancions à l'assaut de notre père à coups de chatouilles, rires et piaillements. Il devait se maudire pour ce que nous faisions subir à ses oreilles mais, en fait, il s'en fichait. Il était heureux, nous aussi.

L'après-midi, le temps ne semblait pas vouloir s'améliorer. Nous avions souvent le nez collé à la fenêtre à regarder la neige s'amonceler encore et encore. La voiture avait disparu dans une épaisse gangue blanche qui elle-même disparaissait à son tour. Je frissonnais un peu et regardais mon père ajouter une bûche au feu. Je le contemplais, pensive. J'admirais son corps qui se découpait dans la lumière chaude et vacillante des flammes. Plus je le regardais plus je le trouvais beau. Je pourrais tomber amoureuse de mon père, aussi banal et convenu que ça puisse paraître. J'enroulais mes bras autour de mon torse et me serrait fort. Il faisait bon dans la maison, même un peu chaud, pourtant je sentis un formidable frisson courir le long de ma colonne vertébrale. Martine se rapprocha de notre père et resta quelques minutes à regarder les flammes danser. Un peu en retrait je les observais, mes deux amours. Il y avait tellement de différences entre leurs deux corps, entre cette frêle jeune fille et la robuste douceur de cet homme. Tellement de différence et pourtant tellement d'harmonie aussi, étrangement. Il lui apportait l'assurance, la sécurité. Elle lui donnait de la douceur, un peu de fragilité. Papa brisa le silence et décida qu'il était temps de faire une partie de jeu de société. Je soupirais, mi déçue, mi soulagée.

Mon père animait le jeu d'une main de maître. Il lançait de gentilles blagues, des plaisanteries faciles, mais à travers d'anodines question en apparence, je m'aperçus qu'il nous testait, qu'il cherchait à en savoir un peu plus. Plus tard dans la soirée, papa était monté dan sa chambre, je croisais le regard de ma sœur et se fut plus fort que nous. Nous éclatâmes toutes les deux d'un grand rire sonore que nous tentâmes d'étouffer un peu tard. Je m'approchais de ma sœur toujours sur le canapé et lui volais un baiser alors que les pas de notre père résonnaient dans les escaliers. Je lui fis un clin d'œil à Martine et l'invita à me suivre, il était temps d'avoir notre revanche. Petit passage par le guéridon dans l'angle de la pièce pour récupérer le caméscope et j'entraînais ma sœur vers les escaliers. Un petit signe pour lui dire de ne plus faire de bruit. Nous étions en mode commando. Nous entendîmes la porte de la salle de bain se fermer. Nous gravîmes les premières marches de l'escalier et nous nous arrêtâmes. Le bruit de la douche retentit lorsque nous arrivâmes dans le couloir de l'étage. J'étais contente qu'il n'y ait aucune clé pour fermer les portes des différentes pièces de la maison. En embuscade devant la porte de la salle de bain, je mettais le caméscope en route et dit à ma sœur d'ouvrir doucement.  Je filmais la main de ma sœur qui s'enroulait délicatement sur la poignée. Doucement, très doucement elle tourna la poignée et entrebâilla la porte. Je lui fis signe de ne plus bouger. Je pouvais déjà filmer le reflet de papa dans le grand miroir au mur. Il se savonnait sous la douche. Le dos tournait vers nous, il ne pouvait pas nous voir. Je faisais de nouveau signe à ma sœur de ne faire aucun bruit et accroupies nous entrâmes très lentement dans la salle de bain. La pièce se remplissait de vapeur d'eau qui rendait tout ça un peu irréel.

Ni ma sœur, ni moi, ne perdions une miette du spectacle que nous offrait notre père sans le savoir. Il nous fallait, cependant, nous décider, je fis mine de surprendre notre père mais Martine avait d'autres plans. Elle m'arrêta dans mon élan et commença à retirer ses vêtements. Je la regardais, au bord de la panique. Je n'avais rien contre l'idée de prendre une douche avec notre père mais pour une revanche ça me semblait un peu radical. J'avais vraiment peur de la réaction de papa. Hélas, je ne pouvais plus l'arrêter. Elle profita que notre paternel prenne le shampooing pour se laver la tête, pour se glisser dans la baignoire. Il était de l'autre côté et la baignoire qui était bien assez grande pour qu'il ne sente pas sa présence. Les yeux fermés, de la mousse sur tout le crâne, le bruit de l’eau qui coule, elle avait le champ libre. Elle ne se gêna d'ailleurs pas pour étudier notre père de près, c'était le cas de le dire. Ses yeux s'attardèrent, d'ailleurs, assez longtemps sur l’appareil génital qui était au repos. Je filmais bien entendu toute la scène et Martine tira très doucement sur le rideau me laissant zoomer sur les fesses et le sexe de mon père à loisir. Je cadrais ensuite sur les deux et fit signe à ma sœur que tout était paré.

– Passe-moi le savon pour que je te lave le dos papa.

- Hein !!! ? ! 

Papa manqua de glisser et de tomber dans la baignoire. C'était un vrai sursaut qu'il venait de faire en entendant la voix de sa fille derrière lui.

- Mais qu’es que tu fous ici ? ?

De la mousse encore plein les yeux, il tenta de regarder ma sœur mais referma de suite les paupières. Je tremblais, mon père ne semblait pas du tout goûter notre petite blague. Je n'arrêtais pas de filmer pour autant.

– Attends, je vais t'aider à te rincer sinon ça pique les yeux.

Elle décrocha le pommeau de douche elle rinça le visage de mon père qui jurait et grognait. Il fallait désamorcer tout ça avant que ça ne dégénère.

– Vengeance !

– Hein ? Quoi vengeance ? ! Parce que t'es là toi aussi ? !

Mon père me vit armée du caméscope et comprit le prétexte. Je me permis de me déplacer le long de la baignoire et de faire varier les angles de vues. Mon père avait les mains sur son sexe tout en tentant de rationnaliser tout ça.

– Mais je ne suis pas venu vous filmer dans la douche, moi !

– Non mais c'était tout comme. T'as tout filmé de nous pire que si on était toute nue ! Ben maintenant c'est ton tour ! 

-  Je ponctuais presque chacun de mes mots d'un petit rire histoire de vraiment mettre l'accent sur l'humour et de désarmer la situation incongrue.

–  Ben voyons ! Et je devrais te croire ? !

- Wouha ! Et puis j'avais raison, t'es trop, trop beau papa ! 

Ma sœur me venait en aide et j'en avais bien besoin. Mon père se tourna, se rappelant sa présence à nouveau et je préférais ne pas insister. Il finit de se rincer le visage et quand il put rouvrir complètement les yeux, il nous fusilla du regard. Quand son regard se posa sur Martine, il se rendit compte de sa totale nudité, je le vis hésiter un instant. C'est alors qu'il reporta son regard sur moi. Mais cette fois, je ne vis plus de colère. Juste une sorte d'indignation et un peu de gratitude aussi.

–  Bon et c'est quoi le programme ?

–  Voir si Martine arrive à te savonner le dos, tiens !

–  Bon ok, ok, je m'avoue vaincu. Je suppose que je n'ai pas le choix.

Papa tourna le dos à ma sœur et lui fit passer le savon et le gant. Après un rapide coup d'œil dans ma direction il ouvrit le rideau de douche en grand. L'espionner était déjà quelque chose de très excitant, mais de pouvoir le regarder, sans craindre sa colère, là ça dépassait tout ce que nous avions pu imaginer. Ma tension retombait, du moins la tension nerveuse due à la peur. Je m'assis sur les toilettes, filmant encore ce petit bout scène. Je ne pouvais plus rien manquer et je laissais monter la tension de l'excitation. Déjà ma sœur s'escrimait à atteindre les épaules de mon père. Le petit sourire amusé sur son visage montrait que lui aussi était détendu, du moins sur le plan nerveux. Il glissa un regard par-dessus son épaule et s'accroupit non sans avoir gratifié Martine d'un petit tirage de langue. Ca pouvait paraître gamin ou futile, mais au moins nous savions, ma sœur et moi, qu'il se prêtait à notre jeu de sa propre volonté et en gardait un certain contrôle. Nous pouvions jouer avec lui parce qu'il le voulait bien.

Je prenais soin de filmer chaque nouvelle expression qui traversait le visage de ma sœur. Je pus ainsi le voir ce moment précis où elle jeta aux orties tous ses préjugés et ses craintes. Elle laissa le gant de toilette tomber au fond de la baignoire et fit mousser le savon entre ses doigts fins. Dès que mon père sentis sa main nue sur ses épaules, je le vis frissonner à son tour. Elle descendit légèrement sur son dos, remonta sur ses épaules. Une nouvelle fois elle fit mousser les savons entre ses doigts pour, ensuite, le déposer sur le petit rebord. Et c'est de ses deux mains qu'elle entama ce massage savonneux de papa. Elle prenait tout son temps, inspectant de la pulpe de ses doigts tous les petits détails qui rendait ce dos unique. Elle suivait les muscles tendus dans cette position et y revenait un peu plus fermement. Ses mains paraissaient si petites sur ce corps d'homme. Des petites mains qui glissaient le long de la colonne vertébrale jusqu'à atteindre les fesses musclées. Dans son mouvement elle devait se rapprocher. Juste ce qu'il fallait pour déposer de petits baisers sur les épaules qu'elle venait de caresser.  Papa ne disait rien, du moins rien d'audible. Juste quelques soupirs de contentement et d'aise. Ma sœur était toute à sa découverte, envoutée par cette peau tant convoitée. Moi, je filmais. Je zoomais pour bien saisir le détail de ce petit jeu bien innocent jusque là. Mais je sentais dans mon ventre cette douce chaleur qui me rappelait que je trouvais ça vraiment érotique et très excitant. Je n'osais prononcer aucun commentaire. Je laissais juste le bruit de l'eau en fond sonore.

Les baisers de ma sœur couvraient toute la moitié supérieure du dos de mon père et il se laissa attendrir si bien que sous ce doux contact qu'il manqua de tomber en arrière. On ne peut pas dire que le spectacle était plein de rebondissements mais il était tellement fort, tellement intense que je savais que jamais je ne me lasserais de le revoir. Mon père se releva et se tourna pour remercier sa fille en déposant sur son front un tendre baiser. Mais quand de nouveau il se redressa, sa verge se retrouvait tendue devant le visage effaré de Martine, elle ne pouvait en détacher ses yeux. C'était si incongru, si démesuré, ce membre d'homme devant son jeune visage. Mon père ne fit pas durer plus longtemps se moment d'intense sensualité mais aussi de gêne. Il prit le gant à son tour et avec ce sourire si rassurant, il posa un genou au fond de la baignoire et rendit la pareille à sa fille. Dès qu'il posa le gant couvert de mousse sur la peau de ma sœur, elle frémit de tout son corps et laissa échapper un petit soupir qui en disait long sur son état. Chacun des gestes de papa était rempli d'une tendresse infinie. Il parcourait chaque centimètre de sa peau. Il remontait sur son torse, descendait sur son ventre, ses hanches, ses jambes. Tout comme elle l'avait fait, mon père découvrait le corps de ma sœur comme jamais il ne lui avait été permis de le faire. Il remonta le long de la jambe pour redescendre sur l'autre sans même effleurer son intimité. J'étais certaine que ma sœur gémissait de plaisir et d'anticipation. L'ambiance était si électrique, si chargée d'émotions, les gémissements de ma sœur n'étaient pas utiles pour se rendre compte de son désir. Chaque fois que le gant remontait sur une cuisse, sa bouche s'entrouvrait. Un peu comme un poisson hors de l'eau, elle semblait chercher son air pour reprendre son souffle.

Quand papa passa sa main dans le dos de sa fille pour savonner, elle ne résista pas à l'invitation et appuya son corps frêle contre le torse robuste de notre père. J'avais énormément de mal à tout filmer de ma place en voyant le sexe de mon père coincé contre les deux ventres. Il y avait tant de tendresse dans les gestes de mon père que cette scène étrange semblait presque naturelle, normale. Quand il descendit sur les fesses de ma sœur, son sexe coulissa contre son ventre laissant une traînée brillante que l'eau n'arrivait pas à effacer. Tout naturellement, elle posa ses mains sur les hanches de papa pour s'y tenir. Sous l'œil de l'objectif, ce geste pourtant logique, donnait l'impression qu'elle rentrait maintenant dans le jeu, qu'elle devenait active. Chaque muscle de son corps saillait comme si elle se tétanisait à chaque caresse de papa qui resta dans cette étrange position. Ma sœur restait plaquée contre lui. Papa se recula à cet instant, séparant leurs corps et posa le gant sur le ventre de ma sœur. Il savonna de la poitrine à son nombril, mais gardait ses yeux rivés dans les siens. Je ne compris ce qui se passait que lorsque je vis le petit hochement de tête de ma sœur. Elle venait de s'offrir à lui, sans un mot, sans manière, le plus simplement du monde lorsque le gant descendit jusqu'à son mont de vénus.

Je ne savais plus où donner de l'objectif. Il y avait tant d'amour dans le regard de mon père, tant de passion dans celui de ma sœur. Elle était belle, ainsi offerte à la main de notre père qui prenait tout son temps pour glisser sur sa taille ne descendant que rarement sur son pubis bombé. Elle savourait elle aussi cette caresse indicible et pourtant si merveilleuse. C'est un floc mouillé qui me fit descendre la caméra de nouveau sur le ventre de ma sœur. Mon père avait laissé le gant glisser de sa main. Le regard toujours rivé à celui de ma sœur, c'était de ses doigts nus qu'il caressait maintenant son ventre et son pubis. Lentement Martine écartait ses jambes invitant papa à continuer sur cette voie. J'étais vraiment émue. Dans les gestes de papa, leur délicatesse, leur hésitation mais aussi leur maladresse. Pourtant dès que le majeur de papa glissa sur le clitoris de sa fille, elle se tenait à son bras. Maintenant, il était trop tard, il était déjà intoxiqué, envouté. Martine lui avait jeté ce sort qui m'avait auparavant perdue et le doigt de mon père glissait lentement dans la fente.

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Je zoomais sur les lents mouvements que papa faisait lentement, très lentement, coulisser son doigt le long de son abricot. Puis j'ouvrais le cadre et filmais ces deux êtres, ces deux amours de ma vie qui, serrés l'un contre l'autre, s'aimaient passionnément. En rythme avec les caresses de papa, Martine se tendait sur ses jambes, les écartait toujours un peu plus. Je vis son visage  se crisper quand le majeur de mon père pressa contre l'entrée de sa grotte. Ma sœur tentait de se raccrocher à son bras, ses épaules. Elle avait les yeux fermés, sa tête posée contre le torse puissant. Quand je zoomais à nouveau sur l'intimité de ma sœur, l'entrée de la grotte avait cédé. Mon père n'avait même pas pénétré une phalange que je la voyais déjà au bord de l'orgasme. Je me demandais si mon père allait tenir longtemps lui aussi, son bâton roulait contre le ventre de Martine qui s’agrippait au bras puissant de papa pour lui maintenir la main au même endroit. A chaque nouveau va et vient il n'y avait que l'extrémité du doigt paternel qui s'enfonçait, mais ça déclenchait inexorablement un râle rauque et lascif chez ma sœur. Je n'entendais pas ce que papa soufflait à l'oreille de Martine, je ne pouvais filmer que son sourire, contente et aimante, les yeux fermés. La sentant vaciller, mon père glissa sa main libre derrière ses fesses, la laissant s'agripper à lui pour garder l'équilibre. Cette main sur son derrière n'était pas pour la calmer, bien au contraire. Elle allait et venait, comme si elle ne savait choisir sur quel doigt se presser. Quand elle se cramponna à lui dans un grand grognement rauque, il pressa un peu plus ses doigts. Je pense que c'était plus par réflexe qu'autre chose, mais ça emporta Martine encore plus loin dans son orgasme. Tout son corps se contractait entre les bras de papa alors qu'elle ne cessait de répéter qu'elle l'aimait encore et encore. Mon père tenta de relâcher son étreinte mais Martine poussa un autre gémissement aigu. Il s'arrêta net et ma sœur commença peu à peu par s'affaler dans ses bras. Dans cette position étrange, elle se laissa couler le long de son torse. Quand enfin l'orage de plaisir s'éloigna, mon père l'entoura de ses bras et la recueillit pour éviter qu'elle ne tombe.

Quand elle se décolla enfin de papa, elle ne manqua pas de contempler son ventre couvert de ce liquide visqueux qui m'avait, moi-même, intrigué. J’en ris encore aujourd’hui quand je me remémore cette scène. Elle en testa la consistance entre ses doigts, les porta à son nez pour en découvrir le parfum, puis à la langue pour en connaître le goût. Je compris ce qu'elle venait de goûter et j'eus le feu aux joues juste en y pensant. Quand je vis son regard s'illuminer et son sourire espiègle, là je fus jalouse. Elle venait de goûter le sperme de notre père et de toute évidence elle aimait ça. J'avais l'impression que les yeux de papa allaient sortir de sa tête. Ma sœur, debout, de nouveau, devant lui, récupérait ça et là un peu de sa semence de sur son ventre et son torse et s'en délectait comme elle l'aurait fait d'une crème dessert. Malgré le bruit de l'eau qui coulait, je pus nettement entendre « Hoooo papa que je t'aime ! ». Ce qui m'émut vraiment, c'était les larmes qui mouillaient les yeux de notre père. Il n'y avait aucune culpabilité, aucune gêne, aucune peur sur le visage de papa, juste de l'amour, beaucoup d'amour et un bonheur infini.

Je n'avais qu'une envie, les rejoindre. Mais en posant la caméra, je réfléchissais à qui je voulais rejoindre vraiment. Ma sœur ? Mon père ? Les deux ? J'étais plus qu'attirée par mon père mais à cet instant, c'était ma sœur que je voulais tenir dans mes bras. Je voulais qu'elle me raconte en détail chaque émotion qu'elle avait traversée pour cette première fois. Quelle ironie, lui qui nous parlait d'intimité un peu plus tôt. Papa enroula Martine dans une serviette pour la sécher. J'en profitais pour prendre une douche à mon tour. Avant que je ne fasse couler l'eau sur mon corps bouillant, je croisai le regard de mon père. Pas besoin de mots pour comprendre sa question. Je lui souris et la réponse était toute aussi limpide. Je les entendis à peine sortir de la salle de bain. Ma tête bouillait. Tant de questions fusaient soudain et si peu de résolutions que je pouvais prendre seule. Ca me donnait le vertige. Martine est plus jeune que moi et pourtant je me retrouvais à penser à elle comme l'autre part de moi-même, comme ma moitié.

Quand je les rejoignis dans la cuisine, la table était déjà mise. Ce qui me frappa était le silence qui régnait. Mon père et ma sœur échangeaient des banalités pour ne pas rester sans rien dire. Mais je fus saisie de voir ma sœur si contente. Je tentais de détendre l'atmosphère mais il parut vite évident qu'il était hors de question de parler de ce qui venait de se passer. Après le dîner, nous regardâmes la télé, assises l’une à coté de l’autre sur le canapé. Papa se leva pour revenir après quelques minutes armé de son caméscope. Nous filmer ma sœur et moi, une image sage ! Pendant que mon père zoomais sur mon visage, ma sœur glissa sa main sur ma cuisse pour la caresser. Devant la caméra je me crispais soudain.

Moins discrète, quand papa filma le visage de Martine, je glissais ma main dans son dos sous son teeshirt. Mon père vit de suite cette fois pourquoi ma sœur eut les yeux qui s'exorbitèrent d'un coup. Avec l'ongle de mon pouce je remontais sa colonne vertébrale sachant qu'immanquablement cela déclencherait en elle un frisson monumental. Heureusement, papa joua le jeu sans se poser de question. Mais dès qu'il ne filmait plus, nous reprenions une attitude « correcte ». C'est tout ce qu'il nous fallait pour relancer le jeu entre nous.

Notre père poursuivit son reportage. Du moins nous filmait-il pendant que nous faisions un compte rendu de ce que nous avions l'habitude de faire. Enfin pas tout bien sur, ça c'était pour l'autre cassette. Ainsi pendant que je faisais un exposé sur la journée, Martine s’était levée, fit quelques pas dans le salon, pour baisser jean et culotte et dandiner son popotin au nez de papa. Ce dernier tenta de glisser une main sur elle mais elle s'esquiva rapidement. Du coup il pointa l'objectif sur elle. Portée par l'effronterie de ma sœur, je relevais mon teeshirt et exposais mon soutif en me tortillant. Papa me fit les gros yeux et j'éclatais de rire.

J'eus à peine le temps de laisser retomber mon teeshirt que la caméra me fixait. Je l'entraînais à l'étage pour montrer notre chambre. Pendant que je décrivais le bazar de ma sœur et l'ordre de mon côté, Martine fit glisser à nouveau son jean et glissa son majeur dans sa fente avant de le porter à sa bouche. Papa avait vraiment du mal à se concentrer, de ce fait, je commençais à raconter n'importe quoi devant l’objectif. J'en profitais pour imiter ma sœur et j'ouvrais en grand la braguette de mon pantalon et glissais une main dans ma culotte et feignais de me caresser.

Martine sauta sur le lit, cuisses grandes ouvertes évoquant une caresse. Je traitais ma sœur de folle et mon père avoua qu'elle exagérait. Pour autant elle ne se démonta pas. Elle prit son air de petit ange et remuant son index sur sa culotte quand papa descendit les escaliers quatre à quatre pour récupérer la fameuse cassette plus privée.

A son retour papa nous trouva entrain de nous embrasser à pleine bouche. J’avais demandé à Martine deux secondes avant, si elle était certaine de vouloir faire ça et sa réponse était sans appel. Je me retrouvais donc à quatre pattes à côté de ma sœur qui enroulait son bras autour de mon cou. Papa ne dit rien en entrant, il lança l'enregistrement et commença à faire le tour du lit. Cette fois, ce n'était plus ni de la découverte ni un petit jeu en catimini. Cette fois Martine voulait montrer qui elle était vraiment et moi-même, je ne comptais rien cacher non plus au point ou nous en étions

Ma sœur vit mon père du coin de l'œil et se redressa. Sans briser notre baiser, elle se mit à quatre pattes comme moi, juste en face de moi. Nous étions deux petits chats entrain de jouer avec leur langue à celle qui volera le chewing-gum imaginaire de l'autre. Papa passait derrière l'une ou l'autre, nous tortillions notre popotin pour dire coucou à la caméra, nous comprîmes qu'il appréciait vraiment notre petit spectacle. Je posais ma main sur la joue de ma sœur pour l’inviter à se relever afin de nous retrouver corps à corps pour mieux nous étreindre. A force de nous trémousser l’une contre l’autre, nous finissons par nous renverser sur le lit. Sans chercher à nous relever, Martine se lova sur moi et glissa son visage sur ma poitrine. 

Les petits coups de langue sur mes tétons étaient tellement bons, tellement gorgés de plaisir. Et ces vagues de chaleur électrique qui se déversait dans mon corps empêchant toute pensée lucide autre que la conscience de mon plaisir. Je ne tardais pas à l'imiter et me penchais sur son torse pour embrasser ses mamelons gonflés. Papa se rapprocha alors de mon visage pour me voir laper la poitrine de ma sœur. Il continua cependant rapidement son tour pour se retrouver derrière moi. Martine avait poursuivit sa descente et me parcourait le ventre de sa langue. Elle avait du mal à garder son équilibre avec mes chatouilles. J'entendais mon père rire, laissant un peu aller de sa propre tension à nous regarder ainsi nous ébattre. Elle descendit encore, je me redressais dès que je sentis sa petite langue courir sur mon pubis. Comme je m'y attendais, elle ne se fit pas prier pour taquiner mon clitoris comme elle l'avait fait à mes tétons. Mon petit bouton était agacé, trituré et même sucé.

Pour le plus grand régal de papa, Martine écarta ma fente déjà bien mouillée. Je sentais son souffle s'insinuer entre mes grandes lèvres. J'entendais papa commenter le spectacle me faisant rougir comme une pivoine. Il n'empêche que lorsque l'index de ma sœur est venu visiter l'entrée de ma petite grotte, je n'ai pu retenir un long « oui » de plaisir. Il me tardait tant de sentir les caresses de ma sœur sur mon intimité. Je ne réprimais aucun des gémissements qui montaient de mon ventre. Je me courbais sur moi-même. Je voulais la laisser se repaître de ma minette mais je voulais aussi goûter à la sienne. Dès que je posai mes lèvres sur son petit bouton, je l'entendis glousser de satisfaction.

Papa râlait en hésitant, il ne voulait pas quitter le spectacle qu’on lui offrait, il s’activait avec sa caméra en essayant de faire un gros plan de ma bouche sur la petite chatte de Martine.. Après quelques minutes de ce traitement délicat, papa repartit derrière moi pour filmer Martine  qui profitait  de montrer son savoir faire avec ses doigts fins dans mon clito excité. Elle accéléra son rythme, elle voulait me faire exploser, me rendre folle pour que mon père voit, enfin, ce dont elle était capable. Elle s'acharnait sur mon bouton d'amour et de l'autre elle s'emparait de mon intimité comme un véritable amant. Ma sœur savait comment me faire crier de plaisir, et, devant mon père et son caméscope, je me sentais encore plus emballer. Instantanément, Martine poussa sur ses pieds pour m'offrir encore mieux ses belles fesses rebondies. Je caressais du bout de mon index la petite bague entre les deux joufflus. Papa s'installa derrière la tête du lit, face à l'intimité de Martine qui poussait de petits cris de plaisir. Alors, devant l'objectif, je suçais mon index et pénétrais le petit anneau  jusqu'à le faire complètement disparaître.

Martine réagit immédiatement à cette introduction en délaissant mon intimité, elle rectifia sa position pour permettre à papa une meilleure prise de vue. Elle s'ouvrait complètement à mes caresses et à la camera. Ainsi exposée, offerte, je jetais un coup d'œil au caméscope et avec un petit sourire, je fis coulisser mon doigt sans difficulté dans ce petit trou. Mon va et vient s'accéléra sous les cris de ma sœur, alors que de l’autre main continuait à astiquer son clitoris. Martine me disait des mots d’amour. Ce n'est que lorsqu’elle s’abandonna et se couchât à mes cotés complètement épuisée que cette scène torride pris fin. Son corps s'agitait encore tout seul pendant que nous nous embrassions passionnément. Papa tout en sueur, dû s'asseoir sur le lit pour faire une petite pause. Il frottait son sexe à travers son pantalon comme si quelque chose le gênait, ce qui n'échappa ni à mon regard ni à celui de Martine. Cela nous prit cinq minutes avant de recouvrer nos esprits, Martine caressa machinalement mon ventre et ma touffe, on se détendait oubliant tout la reste.

Je restais allongée, là, devant papa. Je ronronnais comme un gros chat savourant chaque attouchement de Martine. Dans les yeux de mon père, je lisais la même contradiction des émotions. Une sorte de gravité, d'inquiétude. Il avait perdu le contrôle et nous l'avait tacitement laissé. Mais là, devant lui, c'était moi qu'il contemplait, le plaisir allait être le mien. Martine voulait m'offrir ce moment, offrir à notre père cette fantasmagorie et l’entrainer doucement mais surement dans nos jeux secrets. Le regard de mon père était nerveux, presque fuyant. Il n'osait se confronter à mon propre regard, au regard de ses filles qui lui offraient ce qu’il n’avait jamais osé rêver. Je voyais ses yeux descendre sur mon intimité et tout le mal qu'ils avaient de s'en détourner. Je voyais sa bouche entrouverte qui tentait de retrouver une respiration normale.

Je sentais mes joues rougir, mes yeux briller, mais je voulais me montrer, m'afficher. Je voulais que ce jour là, mon père voit tout de moi, vraiment tout.

Pendant une seconde, Martine ne sut plus où donner des doigts, alors commença une douce et lente masturbation à laquelle l’élément liquide donnait une dimension tactile, sensitive et sonore. Sous cette masturbation ingénieuse, Je me mis à onduler du bassin, cuisses largement écartées. Elle connaissait parfaitement la marche à suivre, elle plaqua ses lèvres contre mon intimité et en lécha minutieusement les parois onctueuses, aspira et téta le petit capuchon, Je suffoquais, je ne pouvais plus tenir. Martine avait d'autres idées en tête, elle m’abandonna sans même me concerter. Profitant du moment abasourdi de papa, Martine déboucla le ceinturon de papa qui paraissait paralysé, ne pouvant faire aucun un geste pour s'esquiver. Néanmoins il bredouilla une question bien futile alors.

- Hein ? Mais qu'est-ce que tu fais ? Non... vous êtes certaine que... ? 

Nous restâmes muettes, ma sœur fit coulisser le zip de la braguette du jean. La respiration rauque de papa emplissait la pièce. Il avait du mal à reprendre tout en ayant compris, sa plus jeune fille faisait glisser son pantalon le long de ses jambes et s'accroupit pour lui retirer ses chaussures. Spontanément notre père leva une jambe puis l'autre et une minute plus tard, il n'avait plus sur lui que sa chemise. Je savais que ma sœur devait user de toute sa volonté pour ne pas caresser au passage la verge dressée mais elle voulait le voir nu, comme sous la douche, mais de ses propres mains cette fois.

Martine interpela le caméscope comme si mon père et lui avaient fusionné. Elle l'invita à se rapprocher, à venir voir de plus près. Papa s'approcha, bien entendu, Martine du bout des doigts écarta ma fente sans la moindre gêne pour venir découvrir mon clitoris qui m'envoya un grand frisson dans tout mon corps. Je soupirais pendant que Martine me manipulait sans complexe. Elle  mouillait son index dans sa bouche avant de l’enfoncer lentement, très lentement, dans ma grotte qui s'ouvrait à son tour. Papa s'approchait encore pour mieux cadrer sur ma fente luisante.

Quand Martine retira son doigt de ma chatte, je m'attendais à subir à nouveau son assaut mais non. Papa était tout près et c'est directement sur sa tige que sa main se porta. Mes yeux s'agrandirent en la voyant faire et mon père baissa instantanément la caméra sur cette petite main par pur réflexe. Tous deux nous suivions les doigts fins de Martine qui s'enroulaient autour de la virilité. Le contraste entre les deux, rendait ce membre encore plus gros qu'il nous paraissait. Je compris que Martine voulait attirer cette chose vers moi tout en la masturbant tendrement. C’est sous nous deux regards incrédules et fiévreux que Martine arriva à ses fins, elle caressa ma chounette avec le bout du gland. C'est à partir de là que les mots me manquèrent. Comment dépeindre l'intensité du plaisir qui monta de mon ventre. Je sentis mon coquillage inonder et mon corps tout en nage.

Cette petite garce ne se lassait pas de faire aller et venir ce membre le long de ma fente jusqu'à même couvrir mon petit œillet de ce jus translucide qui s’échappe du méat. Je sentais bien que la pression de l’ardillon contre mon intimité se renforçait, mais ce n'est que lorsque papa dut mettre un genou sur le lit que je compris que ma sœur continuait de le pousser vers moi. Martine s’écarta doucement pour laisser la place à papa, tous les deux, on se rendait compte de notre désirs, je me coulais peu à peu contre papa qui ressemblait à un animal pris au piège, il n’osait plus bouger.

J'avais toujours peur, peur de cette première fois, peur de la douleur, cette fameuse douleur dont avec mes copines nous avions tant parlé sans rien en savoir. Mais tous mes doutes, mes derniers scrupules, tout ça c'était évaporé. Je guidais la verge à l’intérieur de ma fente et je le laissais faire, il savait, je lui laissais le contrôle. Lentement  l’énorme membre pressait plus fort encore et encore. Martine avait saisi la camera et faisait aller et venir le zoom, nous cadrant tous les deux. Je fermais les yeux, je ne voyais plus rien, c'était comme si cette pression dans mon ventre occupait toute ma conscience. Il n'y avait plus que ça qui existait et rien d'autre. Je faisais tous pour m’ouvrir à mon père. 

Les mains de papa prirent possession de mes hanches, il prenait son temps pour bien se positionner entre mes cuisses. Une nouvelle pression et fini la virginité, fini la jeune fille. C'était si fort, si puissant, que je devais me cramponner à la couette pour garder le contact avec la réalité. Il n'y avait que ce contact brûlant de ce sexe géant contre ma petite fente qui existait dans mon esprit ravagé par le plaisir et l'appréhension. Une pression supplémentaire et une douleur m’envahie, je parle d'une vraie douleur, d'avoir mal comme jamais. Et puis, en une milliseconde la douleur fut elle-même submergée par le plaisir. De vraies étoiles dansaient devant mes paupières que j'avais fermées sans m'en rendre compte. L'étrange image fantasmée de nos sexes se forma dans le cinéma de mes yeux complètement clos. Les mains de mon père attiraient mon bassin à lui et une brûlure fulgurante embrasa tout mon corps. Mes petites lèvres laissaient passer ce doux serpent qui s'insinuait en moi. Papa prenait vraiment son temps et toutes les précautions, et pour moi-même ça semblait durer une éternité merveilleuse d'un plaisir effrayant.

Quand mon père se retira tout aussi lentement, j’ai eu une impression de vide qu'il laissait derrière lui était presque intolérable.  Je connaissais enfin la sensation d'avoir mon intimité envahie, fouillée même notamment par les doigts de ma sœur. Mais une telle sensation de plénitude intérieure faisait s'envoler mon esprit vers des cimes de jouissance qui m'échappait jusque là. A nouveau mon père vint buter contre le col de mon utérus, mais même cette sensation là déversait en moi des vagues d'un plaisir si puissant que j'en perdais le souffle. Il avait pris possession de toute ma grotte et en même temps de tout mon être. Papa entamait un lent va et vient en moi et je criais bientôt mon plaisir sous le regard indiscret de la caméra de Martine. Papa lui aussi grognait, geignait, je pris pour la première fois conscience de cette chose vivante en moi. Papa se contracta encore plus violemment et une impression de chaleur intense m'envahit, je sentais qu'il m’inondait. C'était du feu liquide qui imprégnait chaque recoin de mon intimité.

Ma respiration ralentissait, revenait à la normale. Toutes les émotions que je venais de découvrir affluaient en moi m'emportant comme dans un tourbillon. J'entendais papa me demander si j'allais bien. Il voulait me consoler, me cajoler. Alors que moi, tout ce que je voulais c'était le sentir à nouveau en moi. Qu'il reprenne possession de mon corps et l'emmène au paradis. Mais, au lieu de ça, il s'allongea pour me dire combien il m'aimait. Il m'annonçait avec cette étrange fierté que j'étais maintenant une femme. Du bout des doigts il essuya la sueur et les larmes qui roulaient sur mes joues. Des larmes d'un bonheur tout neuf. Nous nous enlaçâmes, Martine nous rejoignit après un dernier plan sur nos deux corps nus. Chacune de chaque côté de notre père, nous avons dormis bien sagement.

 

 

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Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : vous avez dit inceste
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Mercredi 17 décembre 3 17 /12 /Déc 18:58

 

82.jpgSimone se regarda dans la glace de l’armoire, sa longue chevelure teintée en noir, son mètre soixante dix, un vague sourire illumina son visage, elle voit si l’on peut dire, qu’elle vieillit mais qu’elle est encore attirante malgré ses soixante ans. Elle enfile en hâte pour tous vêtements un corsage écru et une jupe. Déjà sa fille Jeanne sonne à la porte. Un dernier coup d’œil dans la glace : deux bourgeons brunâtres trouent le tissu au niveau de sa poitrine. « Merde, Jeanne va voir que je n’ai pas mis de soutif, tant pis plus le temps » pensa t-elle.

Inspirant pour reprendre une contenance, elle ouvre à sa fille, un bras en travers barre son chemisier.

- Bonjour p’tite Maman ! Ca va ?

Lance Jeanne de sa voix flûtée. Un grand sourire éclaire son visage.

- Bonjour ma belle. Oui, oui, entre...

Jeanne porte deux grosses bises sur les joues de sa mère et toutes les deux entrent dans l’appartement, Jeanne commence à vider son grand sac à provisions.

- Je pense que j’ai tout ce que tu m’as demandé. Les livres, tes médicaments et les photos de papa que tu m’as prêté.

- Très bien, merci ma chérie.

Jeanne perçoit un raidissement dans l’attitude de sa mère à la vue de l’album.

- Ca va, Maman ? demanda-t-elle inquiète.

- Oui, oui, juste un peu de fatigue.

La maman comprend cette remarque comme une atteinte dans son intériorité. Quant à sa fille, elle sait bien à quel point les souvenirs éprouvants sont ces photos. Son cher époux disparu, les clichés avec la petite Jeanne qu’il tient à bout de bras dans cet album. Quelques larmes d’émotion perlent sur ses joues.

- Maman, murmure Jeanne en la prenant dans ses bras, ne pleure pas.

Elle-même était gagnée par un sentiment de tristesse d’où son regard qui s'obscurci.

- Il me manque toujours plus, après toutes ces années.

- A moi aussi il me manque, maman chérie.

Et très spontanément Jeanne étreint sa mère, alors qu’elles ne se livrent jamais à de grandes démonstrations d’affection naturelles dans la famille. Elle ne sait pas si elle console sa mère, ou si elle cherche un peu de réconfort.

Pierre a été emporté par une attaque brutale quand Jeanne venait de fêter ses treize ans. Son deuil a été long et elle n’a cédé aux avances insistantes d’un soupirant que dix ans après. Ce n’était pas faute d’être courtisée. Les garçons la trouvaient belle, et froide. Brillante étudiante, d’une politesse distante, son charme un peu guindé lui vient de ce beau visage régulier qu’éclairent les deux grands yeux verts hérités de sa mère. Sa poitrine est opulente, son ventre plat et les fesses bien dessinées. Ce prétendant devenu son mari lui a fait une fille, pour en divorcer quelques années plus tard. Elle assume désespérément son rôle de mère et sa carrière professionnelle.

Simone sent bien que sa fille est aussi en manque d’affection, elle la serre un peu plus étroitement. La tête sur son épaule, elle s’empli de son parfum délicat mêlé du léger fumet émanant de ses aisselles toutes proches. Elle revoit cette enfant jouant avec son père et sent curieusement ses mamelons durcir, pressés contre le buste de sa fille. Elle murmure, en s’abandonnant à nouveau aux douloureux souvenirs :

- Il nous aimait. Il t’aimait. Je crois d’ailleurs que c’est toi qu’il préférait parce qu’il te faisait toujours des chatouilles et des bisous un peu partout.

- Oui c’est vrai, il nous aimait toutes les deux énormément.

Jeanne s’aperçoit que sa mère tremble à ces mots énigmatiques et qu’elle se blottit un peu plus sur sa poitrine. Mal à l’aise, elle rompt leur étreinte et sans bien comprendre le sens de ces propos, revint sur le motif de sa visite :

- Bon allez, s’il ne te manque rien, je file !

Et après deux petites bises d’au revoir, Jeanne disparait dans la cage d’escalier. Mais les mots étranges qu’elle vient d’entendre reviennent obstinément. Elle qui a tant aimé son père, il était un dieu pour elle et dont elle a en vain cherché le visage dans les rares aventures qu’elle a vécu. Elle reste dans le noir quelques minutes, assaillie d’images et de sentiments mélangés.

Lentement, elle remonte les marches, éprouvant un repenti d’avoir laissé sa mère si brutalement, elle connaît la considération que sa mère entretenait pour son père.

Elle sonne à nouveau à la porte, sa mère ouvre, le visage triste mais apaisé. Sans prononcer un mot, le regard planté dans celui de sa maman, elle rentre, ferme la porte et se blottit dans ses bras grands ouverts devant elle. Jeanne sent clairement sur sa poitrine les deux seins qui la pressent, et comprend que sa mère ne porte pas de sous-vêtement. A son age, dans les bras maternels, Jeanne sent son cœur battre un peu plus fort. Elle trouve sa mère si touchante aujourd’hui, si fragile, alors qu’elle était toujours si forte autrefois.

Simone caresse doucement les cheveux de sa fille comme elle le faisait toujours étant toute jeune. Un instinct de protection prime en elle. Les seins de sa fille appuient ses épaules, la douceur de ce contact les enveloppe toutes les deux. Cette tiédeur instinctive gagne son ventre, se concentrant par vagues dans son clitoris qui déjà ressuscité et commence à palpiter doucement, comme affamé de chaleur après un si long hivernage. Les yeux clos, toujours revoyant sa fille et son mari, elle murmura :

- Il était bon, gentil, chaud, avenant, affectueux.

Jeanne frissonne et resserre un peu plus son étreinte.

Malgré ses révélations, Simone garde un ton neutre. Mais sa voix s’est un peu brisée sur la fin de sa phrase.

- Oui, mon bébé, mais c’était un très bon père.

Simone comprend aux inspirations saccadées de sa fille que celle-ci se domine pour ne pas s’effondrer. Sa joue s’imbibe des larmes de sa fille, qui viennent saler l’ourlet de sa lèvre.

- Ne sois pas triste, mon ange, nous l’aimons toujours.

Jeanne est incapable de répondre, sous le choc de ces mots brûlants qui la baignent dans une immense nostalgie, la voix de sa mère est son phare. Les louanges continuent de se multiplier pour cet homme disparu

Simone prise dans l’émotion du dialogue, pose un délicat baiser sur la joue humide en souriant à sa fille qui la fixe d’un regard intense et suppliant. Sans un mot, Simone donne un baiser plus appuyé dans le cou de sa fille qui la sent se tendre davantage. Elle s’y attarde, murmurant des paroles inintelligibles d’apaisement, elle promène ses lèvres plissées jusqu'à l’oreille de sa fille qui respire rapidement, tétanisée par la douceur et l’audace de sa maman.

Comme Jeanne allait enfin dire quelque chose, Simone pose délicatement sa bouche sur la sienne. Sur les lèvres tremblotantes, elle dépose quelques petits bisous en gardant les mains sur le cou de sa fille, les yeux mi-clos, alors que celle-ci gémit un faible non, elle aspire de sa bouche entrouverte la lèvre inférieure de sa fille en la suçant longuement.

Jeanne ferme les yeux, goûtant l'étreinte insolite pendant de longues secondes, puis se laisse tomber sur le fauteuil derrière elle. Son visage reflète une douloureuse langueur. Simone la contemple, d’une fragilité terriblement attirante. L’envie de la réconforter rayonne en elle. S’asseyant à califourchon sur les cuisses de sa fille en remontant sa propre jupe, elle reprend les joues entre ses mains et lui léche très doucement les lèvres. Jeanne garde les yeux fermés en haletant de consternation et de tendresse contenues. Son corps tout entier vibre, sans qu’elle sache si elle est secouée de sanglots de honte ou de désir pour la bouche si tendre de sa mère.

- Laisse-moi te consoler, mon bébé, tu es si petite encore !

Simone continue à baiser les lèvres exposées, les agaçant du bout des siennes, les suçotant, les titillant d'une langue hésitante. Elle sent sa fille se relâcher quoique toujours larmoyante. Très naturellement, comme si elle voulait consoler une enfant, elle pose doucement la tête de sa fille sur sa poitrine en la berçant.

- Là mon bébé ! Laisse maman te câliner.

La joue de Jeanne écrase un des seins de sa mère, sa bouche touche presque le téton gauche, son souffle le caresse d'une chaleur moite. En exerçant une très légère pression sur sa nuque, Simone pousse par réflexe le visage de sa fille vers la petite pointe brune. Malgré l'impudeur de la situation, Jeanne garde docilement les lèvres closes sur le sein flasque. Simone lui passe la main dans les cheveux. Jeanne pleure maintenant comme une gamine, sans émettre aucun son. Et dans son désarroi, lentement elle retrouve le geste puéril de l'enfant qui s'abandonne au réconfort maternel, où tout devient naturel. Entrouvrant la bouche, elle mordille le téton à travers le tissu en cherchant à tâtons les boutons du chemisier. Elle dégrafe trois boutons et à l'aveuglette, fouine pour trouver le sein blanc tombant. Alors, dans un délicieux bruit de succion, Jeanne tète longuement sa maman, en s'apaisant de secondes en secondes. Sa main découvre l'autre mamelle et la caresse également.

Simone goûte chaque instant de cette communion, la renvoyant presque soixante ans en arrière, quand elle nourrissait de son bon lait cette petite bouche vorace. La sensation qu'elle éprouve au bout des seins est fabuleuse. C'est doux et chaud, elle respire plus fort tandis que sa chatte s’humidifie. Jeanne commence à haleter bruyamment, suçant de plus en plus fort le sein maternel ; Sa main fébrile et maladroite chemine sur le cou, les seins, la cuisse de sa mère.

Les tensions contraires que Jeanne avait éprouvées se dissolvent totalement quand elle sent, trahi par une excitation contagieuse, les hanches de sa mère ondulent sur ses jambes au rythme circulaire de sa tétée goulue. Elle agrippe naturellement le postérieur maternel pour accompagner ses mouvements. Simone la conforte en lui exprimant quelques mots à l’oreille:

- Oui, mon amour ! Tu es toujours mon bébé ! Tu es si belle, ma poupée.

Jeanne sent qu’elle mouille, alors que du soulagement, elle verse dans une franche excitation. Elle n’a qu’une fois éprouvée la tentation saphique avec une camarade de lycée avec qui elle campait dans le jardin de la maison. Aujourd’hui, comme un flash, elle se remémore ces petits jeux de touche pipi. Son clitoris commence à lui faire mal. Prenant brusquement l’initiative, elle colle sa bouche sur celle de sa mère, Elle l’embrasse à pleine bouche, sa langue cherche la sienne,  se baigne dans les salives en un long, profond et chatoyant baiser.

Elle achève de déboutonner le chemisier, deux seins de bonne taille, encore comestibles sur un corps un peu gras, apparaissent. Cette vision intime lui donne cependant de violentes décharges dans les jambes et le ventre. Elle glisse ses mains sous les cuisses de sa mère, et remonte sous la jupe, elle est tout de suite sur la touffe de poils collés de mouille. Sans s’étonner de ne pas trouver de culotte, Jeanne insinue son majeur au milieu, et recueille cette rosée pour l’introduire entre les bouches mêlées. Simone suce le doigt avec avidité, alors que Jeanne apprécie le goût puissant.

Elle remet sa main sur la chatte de sa mère, en agaçant timidement l’orifice du vagin. Elles séparent leurs bouches, se fixent, immobiles. Simone souffle :

- Vas-y, va en moi !

Jeanne enfonce deux doigts dans la chatte largement ouverte de par la position assise de sa mère qui accompagne les doigts de sa fille au rythme soutenu par des mouvements verticaux du bassin. Pour varier, Jeanne enfile son pouce à la place des doigts et de l'index chatouille le trou du cul un peu gras. Simone se raidit car quoiqu’au comble de l’excitation, elle sait que son anus n’est pas très net.

Sa fille comprend instinctivement la réticence maternelle, ce qui décuple son désir. Les barrières sont abolies depuis déjà un bon moment. Elle étale consciencieusement la rondelle d’un doigt, comme pour l’écraser, puis glisse doucement la première phalange entre les sphincters huileux qui se ferment comme une bouche minuscule.

- Non, pas là, mon bébé !

Jeanne en souriant ramène son doigt aventureux sur le ventre de sa mère, fait un cercle autour du nombril avachi, lui effleure le bout du sein, remonte doucement sur le cou et s’arrête sur le menton. Il y a du défi dans le regard de la fille, et son expression est mi-lubrique. Comme sa mère ne semble pas se décider, elle lui courbe doucement la nuque vers le doigt. Les lèvres ne se desserrent pas, Jeanne promène le doigt dessus, sa mère hume l’index où s’est agrémenté l’odeur entêtante d’un anus, s’étant relâché quelques heures plus tôt. Sa fille lui lèche la bouche et remet son index dans le conduit, un peu plus profondément. Elle sent les contractions régulières du rectum à mesure qu’elle s’enfonce dans le boyau étroit. Son autre main pelote la poitrine amollie. Simone se détend à mesure quelle ressent un délicieux plaisir anal.

A chaque avancée, Simone ronronne un peu plus. La voyant grimacer de plaisir, Jeanne plaque son visage sur sa poitrine. La face écrasée sur les seins de sa maman, Jeanne sait qu’elle peut à cet instant tout lui faire, elle sait que sa mère acceptera.

Jeanne s'enivre de cet arôme discret, contente de voir sa mère se comporter en dépravée, elle la regarde avec des yeux émerveillés. Elle saisit la main de sa mère, et la mène pour qu’elle se caresse elle-même. Simone comprend où sa fille veut en venir, elle s'introduisit le majeur dans son derrière puis l'introduit entre les lèvres de sa fille qui accueille comme une offrande le doigt sodomite. Jeanne ferme la bouche et suce le doigt comme si elle le ferait avec une verge. Reprenant une voix candide, Simone lance :

- Mais tu aimes bien téter ça aussi ma fille hein !

Jeanne se dégage de sa mère en la poussant pour qu’elle prenne sa place dans le fauteuil.

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Elle se laisse glisser le long des jambes de sa mère, le visage posé sur les cuisses, les bras encerclant le gros fessier. Simone à moitié enfoncée dans le fauteuil, la jupe relevée jusqu’à la ceinture, les jambes écartées, ce qui permet à sa fille de couler sa bouche au bas du ventre brûlant. Elle mordille les quelques touffes de poils pubiens où de petites perles de salive s’accrochent et trouve le bourgeon durci qu’elle aspire. Simone goûte le cunnilingus avec force. Après quelques allers retours linguaux, Jeanne darde sa langue et l’introduit très doucement dans le vagin, le plus loin possible. Simone entend sa fille respirer bruyamment et perçoit sur son petit trou le souffle rapide de sa fille.

- Ma fille, oui ma chérie ! Oui c’est trop bon !

Jeanne savoure et les paroles de sa mère qui l’incite à pousser plus loin encore les limites de cette incroyable perversité. Elle descend plus bas, pour lui donner de l’aisance, sa maman pose ses cuisses sur les accoudoirs, ce qui offre toute son intimité à sa fille. Jeanne en profite pour léchouiller l’oeillet glabre en appuyant bien sur l’étoile puis elle retourne sur la bouche de sa mère pour lui faire la même chose, tout en lui caressant les seins. Leurs gestes deviennent plus doux, au rythme des langues qui se mélangent tendrement. Simone, sans rompre le baiser, déboutonne le chemisier de sa fille. Jeanne se dégage pour pouvoir enlever tous ses vêtements et elle s’allonge à même le sol. Simone se jette sur sa fille, elle aussi a envie de goûter à tous ces trésors, elle empoigne les deux seins blancs sur un ventre légèrement bourrelé, elle croque les gros tétons en s’attardant longuement sur les pointes raffermies par l’afflux. Elle glisse ses doigts vers le pubis soyeux, trouvant une moiteur équatoriale.

Simone contemple sa fille un instant, elle est adorable, des seins généreux qui s’aplatissent sur ses flancs, et son regard si beau qui réclame d’autres caresses. Elle se penche d'emblée sur l’entrejambe. Sa chatte a une odeur assez forte, comme une algue saline mêlée de senteurs ammoniaquées et de savonnette. Jeanne manifeste son plaisir en soupirant, les mains crispées sur les cheveux de sa mère. Le contact de la bouche maternelle sur sa moule est divin et la fait vibrer de tous ses membres. Simone cueille du bout de la langue une perle de mouille pour avaler le clito assez volumineux.

Jeanne voit son orgasme naître sous des convulsions plus violentes encore, qui font éclore d’autres gouttelettes de mouille au cœur du pistil écarlate. Alors elle s'abandonne et jouit en criant, en un orgasme surpuissant qui la vide complètement. Sa mère continue à lécher la chatte ruisselante, plus doucement. Elle se repaît de ces odeurs puissantes, le nez dans le vagin et la nettoie comme une chienne l'aurait fait avec son petit.

Sans un mot mais regardant sa fille avec une rare intensité, Simone se relève enfin. Elle tendit sa main à sa fille et l'aide à s'asseoir dans le fauteuil pour s'approcher de son visage. Elle pique de doux baiser sur le menton, les lèvres, le front en lui murmurant des "je t'aime" à l'oreille et disparaît dans la salle de bains.

Quand elle en ressort, nue quelques minutes plus tard, elle voit sa fille toujours assise, qui lui sourit rêveusement. Jeanne s'habille sans hâte dans le silence repu, sentant le regard de sa mère errer vaguement sur ses formes généreuses. Quand elle a fini, elle dit à sa mère :

- Je reviendrai bientôt.

 

Jeanne a déclenché sans en avoir conscience, la machine à fantasmer, un processus qu’elle ne pourra plus maîtriser et qu’elle n’a d’ailleurs pas envie de vaincre. Chaque pensée revient pure et fraîche, sans remords ni honte, comme un espace imaginé de tendresse et de confiance absolues.

Quelques jours plus tard, Jeanne téléphone à sa mère, leur conversation, après quelques hésitations, reprend le naturel, portant sur les mille détails d'une vie ordinaire.

Elle lui demande si elle peut venir garder la petite Lucienne demain. Lucienne vient juste d’avoir six mois, c’est le bébé de Martine la fille de Jeanne, elle projette de faire quelques emplettes avec sa fille. La grand-mère qui ne demande pas mieux donne son accord puis murmure un tendre « je t’aime » à sa fille qui rétorque « moi aussi maman » et raccrocha.

Quand Martine et Jeanne reviennent des magasins, il est déjà dix-sept heures passé. Le bébé est réveillé depuis trois quarts d'heures, et braille à tue-tête.

- J'ai bien essayé de lui donner le biberon au réveil, mais rien à faire ! Elle n’est pas calmée pour autant ! Je crois qu'elle a surtout besoin de sa maman.

- Merci Mamie, on a un peu tardé.

Dit Martine, en prenant son bébé dans ses bras.

- Alors, mon bébé, on a une petite faim ?

Martine cambre un buste bien dessiné, dix-neuf ans, un peu ronde et agréable à regarder, elle porte sa poitrine en avant comme une figure de proue. Ses rondeurs sont harmonieuses, ses cuisses, ses seins, son fessier sont un peu forts mais elle n'en garde pas moins un charme provoquant d'une franche sensualité. Son visage plus fin, éclairés par des yeux bleus toujours discrètement soulignés de noir.

Martine s'assoit et très naturellement déboutonne sa chemise. Elle sort du soutien-gorge un sein blanc strié de veinules bleues en lançant malicieusement :

- Aller mon bébé casse la croûte.

Ce qui les fait rire toutes les trois.

Martine cale le nourrisson sur son ventre qui trouve instantanément le téton. Simone plaisante sur le retard de sa fille et de sa petite fille pensant qu’elles ont passées l’après midi à draguer. Son regard croise celui de sa fille qui lui sourit d’un air étrange. La blague en devient du même coup, troublante. Martine éclate de rire.

- Eh bien, en forme notre mamie ! T'as faim ? Tu peux finir le biberon si tu veux !

Jeanne se tient à côté de sa fille, remplie d'un tendre amour pour cette jeune maman et sa petite fille, elle en est très fière. Elle passa le bras autour des épaules de Martine, se pencha pour scruter la petite bouche vorace qui couvre l'aréole violette en pompant vigoureusement le liquide nourricier.

- Elle ne te fait pas trop mal, ma chérie ?

- Non, pas trop, un peu, c’est largement supportable.

Rétorqua-elle en souriant un peu gênée à sa mère. Jeanne sent l'odeur caractéristique des nouveaux-nés allaitant, cette odeur douce de lait caillé. Il s'y mêle une subtile odeur poivrée et de cannelle, montant des cheveux de Martine. Ce tableau naïf la touche particulièrement, pourtant elle a déjà assistée mainte fois à la tétée de Lucienne. Jeanne lève les yeux vers sa mère en la fixant intensément, elles revivent ensemble la scène qui les ont fondues l'une en l'autre. Martine entend le ventre de sa mère gargouiller.

- Eh, tu as faim toi aussi ?

Mais ce gargouillement révèle un appétit d'une nature différente, terriblement charnel, qui trouve un prolongement brûlant dans sa culotte. Ce qu'elle avait partagé avec sa mère, cette perdition si complète et si épanouissante, elle la projette en cette seconde sur sa fille, ses fantasmes n’ont plus de limite.

Simone regarde sa descendance, sans dire un mot, elle partage l'émotion de sa fille, elle la contemple et lui sourit complaisamment. Elle se rend à la cuisine et de là, appelle sa fille qui la rejoint aussitôt. Elles restent quelques secondes face-à-face, et la grand-mère ou arrière grand-mère écarte les bras, sa fille se pelote dedans.

- J'avais tellement envie de te revoir Maman. Dit-elle à mi-voix.

Les bouches se joignent, elles s'embrassent longuement, comme deux amantes très amoureuses séparées depuis trop longtemps. Simone murmure :

- Tu as envie de Martine, n'est-ce pas ?

Devant le silence de sa fille, Simone continue :

- Je vois bien comment tu la regardes, je te connais bien maintenant. Tu t’imagines quoi ? Qu'elle te saute dessus ou que tu lui sautes dessus ?

Jeanne bataille dans sa tête avec bien peu de volonté contre les images suscitées par sa mère, mais elle ne veut pas avouer cette incitation à la profusion, s'interdisant ces gestes supplémentaires.

Simone insiste lourdement comme si elle était jalouse :

- Aller, va t'occuper d'elle, elle n'attend que ça !

Jeanne veut échapper à ce sermon et revient tourmentée dans le salon s'asseoir auprès de Martine qui donne toujours le sein au bébé. Et après une longue minute de silence :

- Tu es très belle en maman.

Murmure Jeanne en lui posant une main caressante sur la joue. Martine, surprise la regarde, elle ne connaissait pas sa mère si démonstrative. Ces gestes ne sont pas coutumiers, elle les trouve flatteurs et son étrange impression en fut dissipée. Elle répond par un sourire, et grimace presque immédiatement sous la succion qui devient douloureuse. Jeanne le comprend immédiatement, elle écarte la chemise et laisse ses ongles glisser sur la peau douce, elle entreprend de dégager l'autre sein. Martine bredouilla un "ma……maman…" avec un vague geste d'opposition du bras, mais Jeanne le saisit et le replace avec une douce fermeté sur l'accoudoir du fauteuil.

- Il faut que Lucienne change de crèmerie, elle te fait mal.

Martine, hésitante, positionne différemment son bébé, de manière à lui offrir l’autre sein maintenant découvert. Lucienne semble rassasiée, elle n'a manifestement plus faim. Simone rentre dans la pièce, s'approche et s'assoit, une fesse sur l'autre accoudoir du fauteuil de Martine.

- Regardez-moi ça, mes filles, il est tout martyrisé ce pauvre téton, là.

Lance Simone en montrant l'aréole et le téton qu'avait tétés Lucienne.

- Laisse-moi arranger ça.

Martine, totalement interdite, voit les longues mains ridées sa grand-mère se promener sur le globe mammaire, en y exerçant une très légère pression, puis converger sur la pointe, l'effleurant pour revenir masser très délicatement le volume.

- Euh…….Mamie……. Qu’est-ce que tu fais ?

- Une recette de bonne femme pour adoucir ta jolie poitrine, ne t’inquiètes pas, je connais !

Réplique d'une douce autorité sa grand-mère si bien que Martine se laisse faire, stupéfaite mais confiante. Jeanne prend le bébé qui s’endort, lui tapote le dos pour qu’il fasse son rot et rassurer Martine. Celle–ci trouve effectivement un avantage au massage de sa grand-mère, les petites souffrances se muent en une agréable chaleur. Les seins d'une femme allaitant ne sont plus des organes sexuels mais nourriciers, aussi autorise t-elle sa grand mère à les manipuler.

Jeanne couche Lucienne dans le couffin pour qu’elle s'endorme tout à fait. Elle vient se placer sur l’autre accoudoir face à sa mère qui a déjà déboutonné le chemisier de Martine, d'une main elle masse ce beau melon blanc.

- Non, maman s'il te plaît, ça me gêne, laisse Martine tranquille !

S’insurgea Jeanne.

- Bah ! C'est ta fille, non ? Je suis bien ta mère…….Allons, allons, tu n'as rien à craindre et d'ailleurs c'est normal tout ça, nous sommes entre mères !

Simone dit ces mots avec le sourire mais d'une façon péremptoire et sans relâcher son attention sur les seins volumineux. En fait, c’est elle qui semble attirée de plus en plus. Martine ferme les paupières pour apprécier ce massage qu'elle trouve bizarre mais finalement très agréable. La jeune poitrine exhibée de Martine, son expression relâchée, naïve, il y a une indécence exquise dans ce tableau. Jeanne se sent de plus en plus excitée par ce spectacle improvisé, qu’elle aussi, glisse précautionneusement ses doigts pour éprouver le velouté compact de cette chair ferme et gonflée, elle ose de souples effleurements sur le ventre. Martine soupire un tout petit "han", clignant à peine des paupières quand les doigts baladeurs des deux femmes se trouvent dans un mouvement concerté au bout de chaque téton pour les agacer graduellement.

- On te fait mal, mon petit ?

Susurre Jeanne à l'oreille de sa fille.

Un «non » à peine audible sort de sa bouche en gardant toujours les yeux clos pour goûter pleinement la volupté qui l'engourdie. Jeanne garde la bouche sur l'oreille de sa fille, embrassant délicatement le lobe. La délicieuse chaleur de son souffle rayonne dans le cou de la jeune mère. Quelques longues minutes s'écoulent de cet abandon, où des petits soupirs de plus en plus appuyés sortent de la bouche de Martine. La chaleur moite envahie les culottes des trois mamans. La main de Jeanne serpente aventureusement entre l’abdomen et les seins de sa fille, jusqu’à ce que le bout d’un doigt soulève la ceinture de la courte jupe pour atteindre la culotte et remonter aussitôt. Martine commence à comprendre qu’il ne s’agit plus de gestes habituels entre parents et enfants, mais bel et bien de caresses audacieuses. La main câline revient sur le nombril, et descendre encore, cette fois sous l’élastique de la culotte. La jeune mère se laisse faire, quand le doigt accède au repli de la vulve, Jeanne pose ses lèvres sur le téton pointé, pour l’enrober doucement.

Martine est prise d’un attendrissement inattendu, elle gémit en se contractant, mais la plénitude qui l’entoure lui interdit tout mouvement de recul. Elle entend bien des petits bruits de bouche, elle entrouvre les paupières et voit au dessus de sa poitrine, le visage de sa mère et de sa grand mères, mêlés dans un langoureux baiser, incrédule elle est frappée par l'expression des deux visages souriants. Elle sent la main de sa grand-mère palper délicatement à l’aveuglette sa poitrine pendant que sa mère joue finement avec le capuchon de son clito. Martine est stupéfaite par ces égarements qu'elle ne comprend pas, néanmoins, elle ne peut se soustraire à ce duo, saisit par la pureté de sentiments sans égale qui se dégage de cette scène. Les deux grand-mères cessent leur baiser pour la regarder.

- Nous nous aimons, chère Martine et nous t’aimons aussi. Dit Jeanne.

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Simone se penche sur le sein gonflé de sa petite-fille qui souffle bruyamment de plaisir sous la succion délicate.

- Non………. Fait-elle pour la forme d’une petite voix faible et peu résolue.

- S’il te plait !!!

Souffla Jeanne en lui posant l’index sur la bouche puis lui masse les lèvres qui s’entrouvrent. Introduisant son majeur dans la bouche, Jeanne le fait aller et venir. Simone suce plus franchement l'aréole et ce faisant, s'installe entre les jambes, nues et fortes de sa petite-fille, ses genoux s’appuient sur les flancs de sa grand-mère qui met ses mains sur les larges cuisses de Martine, montant et descendant ses paumes jusqu'à la lisière de la jupe.

Jeanne regarde sa mère avec des yeux évocateurs. Voir sa propre fille basculer dans des émois qu'elle-même avait vécus quelques jours auparavant la décida. Elle se penche sur la bouche fraîche et goûte d'un coup de langue appuyé le beau fruit rouge à peine humide. Martine bat des paupières, elle a un très léger mouvement de repli mais sa mère n’abandonne pas. C’est un baiser brûlant qu'elles échangent, Martine ne soupçonnait pas une telle tendresse chez sa mère. Elle avait toujours été éprouvée par le peu d’affection que peut donner une mère. Une joie confuse monte en elle, et dans l'âtre rose de son petit chat, gronde un feu couvert, qui ne demande plus qu'à flamber. La grand-mère, stimulée par les agitations de ses deux femmes, relève la jupe de Martine, écarte les genoux et voit le petit triangle de la culotte blanche. Elle tire sur l'élastique, Martine se cambre naturellement pour faciliter la manœuvre. Le sous-vêtement glisse le long des cuisses et tombe sur ses chevilles. La chatte est superbe, petite, bien ourlée et parfaitement épilée. Martine, après l'accouchement, a gardé l'habitude de se raser la toison.

La grand-mère bichonne les cuisses tout en approchant son visage du sanctuaire glabre, promène son nez sur les replis de la vulve suintante. L'odeur de sa petite-fille est fraîche, malgré la forte humidité. Elle pourlèche les lèvres de haut en bas et d'un coup, absorbe la totalité du fruit qui s'ouvre instantanément. Martine gémit malgré le bouche-à-bouche avec sa mère. La grand-mère se délecte de ce nectar, sa langue part à la recherche de la source, explorant chaque repli de la fleur, ce qui rend folle sa petite-fille. Jeanne boit les cris de sa fille, se gonfle de son haleine en lui suçant la langue. Elle a ce qu’elle voulait, voir sa fille jouir, Martine se libère dans la bouche de sa grand-mère, elle s’arc-boute pour crier son plaisir, elle n’en revient pas de cette perversité mêlée, elle est complètement dévastée par l'orgasme le plus violent qu'elle n’ait jamais connu, elle gît dans le fauteuil, comme inconsciente. Lorsqu’elle retrouve ses esprits elle fond brusquement en larmes.

- Allons, ma petite fille, ne soit pas triste…….. Ce n’était pas bon ?

Lui marmonne sa mère.

- Si, justement ! Fait Martine d'une voix coupée de violents hoquets.

- Eh bien, il n'y a pas de problèmes alors. Nous t'aimons plus que tout, tu le sais !

Martine hoche la tête pour admettre sans parvenir à se calmer. Jeanne consternée lui caresse la joue du revers de la main, lorsque bébé hurle d'un coup en se réveillant. Vite, Jeanne le prend dans ses bras pour le donner à sa fille. L'instinct maternel aidant, Martine se ressaisit et pose le bébé sur ses cuisses en reniflant, prête à lui redonner le sein.

- S’il te plait maman, donne-moi vite un kleenex, ils sont juste là derrière toi.

Jeanne hésite un instant, puis en lui dit en souriant

- Pas besoin, regarde !

Jeanne nettoie le bout de téton en le pinçant de ses lèvres, le léchant, le suçant, l’allongeant, puis elle positionne la petite Lucienne dessus. Martine n'a pas le temps de protester que déjà bébé tête goulûment. Jeanne et Simone debout devant Martine, se sont enlacées en regardant la jeune et jolie maman qui allaite son bébé. Comme hypnotisée, Martine a les yeux rivés sur les deux femmes, elle ne peut s'empêcher de les trouver si attendrissantes dans cette perverse affection.

Nul n'aurait pu penser qu'elles repousseraient les limites extrêmes de leur sexualité

Elles se bécotent de longues minutes dans le silence. Jeanne caresse les seins de sa mère, l'embrasse dans le cou. Martine a du mal à imaginer sa mère faire l’amour avec sa grand-mère, perdue dans une confusion totale. Elle ramène le poupon dans le couffin et reprend sa place dans le fauteuil.

Les deux grand-mères s’allongent sur la moquette, s’étreignent, puis finalement Jeanne fait signe du doigt à Martine de venir les rejoindre. Elle a un moment d’hésitation, puis finalement, elle cède à l'irrésistible charisme de sa mère. Toute dépoitraillée, elle s’approche des deux femmes, s’agenouille, Jeanne lui prend la main et dit en la plaquant sur le ventre de sa grand-mère :

- Elle a des seins très agréables, touche.

Lentement, Jeanne fait sauter deux boutons du chemisier et pousse la main de sa fille dans l'échancrure. La grand-mère sent les doigts de Martine trembler sur ses dentelles. Elle approche son visage de sa petite fille, très près de sa bouche pour lui murmurer :

- Ils ne sont pas si beaux que les tiens mais ils sont tout à toi si tu veux.

Martine les pelote machinalement, toujours abasourdie par la situation. Il y a du jeu et de l’autorité dans l'attitude de sa grand-mère, elle se sent totalement démunie. Jeanne s'approche des deux visages et chuchote à son tour :

- N’ai pas peur ma belle, embrasse ta grand mère.

Martine prend son courage et colle longuement sa bouche sur celle de la femme âgée. Jeanne se glisse derrière sa fille pour lui masser tendrement la poitrine soulevée par sa respiration rapide. Martine réchauffée par toute cette tendresse, un ruissellement tiède suinte entre ses jambes, elle a juste le temps de reprendre son souffle que déjà sa mère récupère sa bouche.

- C’est si beau une fille qui embrasse sa maman.

La voix suraiguë de la grand-mère les tire de leur baiser. Jeanne achève de déboutonner le chemisier. Martine observe le ventre plissé, le nombril noyé sur lequel court les doigts de sa mère, la dentelle alourdie par deux seins volumineux et tombant. Motivée par un désir fou, Jeanne pousse le visage de sa fille sur le soutien-gorge de la grand-mère. Martine sent les gros bourgeons à travers les bonnets et les aspire goulûment. Jeanne descend le zip de sa jupe, s’en débarrasse, elle continue son œuvre d’éducatrice en mettant la main de sa fille dans la culotte de sa grand-mère. Le reste vient tout seul, Martine passe plusieurs fois ses doigts dans la fente gluante, éraflant à chaque passage un clitoris hyper tendu puis porte à la bouche de sa mère, la liqueur ainsi recueillie.

- Hummm……… La minette est juste à point… Sent, maman !

Jeanne renifle le doigt luisant, l’odeur âpre du coquillage de sa mère, des odeurs de varech décomposées par le soleil emplissant la pièce. Jeanne tire un bonnet en dessous d’un sein de sa mère et le présente à sa fille qui ouvre grand sa bouche pour en avaler le plus possible. De plus en plus détendue, Martine à envie de prendre du plaisir, sa founette la démange encore, elle ne peut plus résister. Elle se débarrasse dans un même mouvement de sa jupe et chemisier. Nue elle s’allonge aux cotés des deux camarades de jeu, mais Jeanne profite de l’aubaine, elle se lève et présente sur le nez de sa fille sa touffe odorante et mouillée. Surprise, elle a un brusque recul mais Jeanne la tire par les cheveux sans ménagement et se recolle sur sa bouche.

- Lèche-moi ma belle !

Martine suffoque dans cette opacité velue, mais l’excitation toujours plus ardente sous le cunnilingus contraint de sa mère qui l’attire dans ce tourbillon pervers. La découverte de cette luxure familiale lui fait découvrir un plaisir inédit faisant crouler tous les tabous. Elle savoure la grosse chatte avec voracité, en griffant les deux fesses maternelles. Les doigts de sa mère se crispent nerveusement dans sa chevelure au rythme de la langue sur son clitoris.

Toute excitée par la soudaine audace, jeanne s’allonge sur le corps de sa fille qui écarte les cuisses pour faciliter l’accès, elle enfuit son nez dans l’antre, les deux amantes gémissent sous les yeux de la grand-mère quelque peu délaissée. Elles sont entraînées dans un ballet où les respirations s’accélèrent.

Simone se colle au couple que forme sa fille et sa petite fille, elle caresse le postérieur encore un peu ferme de Jeanne bien offert de par sa position, elle écarte les deux fesses laiteuses pour dévoiler l'œillet, elle se penche pour pointer sa bouche sur la pastille ouverte, elle tend sa langue en la faisant la plus pointue possible et pénètre dans ce fourreau tiède et odorant. Puis le besoin irrépressible de se satisfaire elle aussi, elle glisse sa main vers son antre. Elle est trempée, ses doigts s’enfoncent dans la fente, son bassin accompagne le mouvement des deux autres femmes. Toutes les trois concentrées sur leur plaisir.

La chaleur envahi la croupe de Jeanne, elle tend son postérieur pour mieux estimer les bienfaits de sa mère tout en appréciant ceux de sa fille qui aspire le clitoris aux proportions démesurées. De longs murmures de plaisirs envahissent la pièce,

Les deux femmes en tête bêche savourent la montée d'un orgasme savamment contrôlé.

Quand les trois compagnes reprennent leurs esprits, en se cajolant réciproquement, il y a trop d’affection et d’attachement dans les visages, trop d’étonnement, de suffocante émotion dans le partage des trois orgasmes simultanés.

 

- Tu sais Martine, dit Jeanne, si tu veux nous pouvons continuer à jouer toutes les trois ensembles quand tu voudras.

Fin

 
Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : L'amour en famille
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Lundi 8 décembre 1 08 /12 /Déc 18:37

112--2-.jpgA quinze ans j’étais fascinée par les fesses de femme, moi qui suis juste devenue femme. Enfin je viens avec du retard par rapport à mes copines d’être réglée. Donc je suis devenue une vraie femme à quinze ans. Je ne rêvais que d’une chose, toucher, caresser des belles fesses de femme. Je n’ai pas besoin de frotter longtemps mon bouton pour partir quand je m’imagine à embrasser un beau fessier, ou admirer sur les magasines les superbes culs des mannequins. Comme je voudrais que ma bouche s’enfonce dans un postérieur, mais tout cela n’était que fantasme jusqu’au jour où Karine est venue à la maison pour les quelques jours de vacances. Nous avons échangé certains attouchements, le soir dans notre lit, qui se prolongeaient une partie de la nuit, ce qui nous laissaient les yeux cernés le lendemain matin, mais c’était les vacances heureusement. Karine est ma cousine, elle a pourtant six mois de moins que moi, elle est physiquement beaucoup plus mûre, mais je pense que je suis plus délurée qu’elle. Nous n’avions pas beaucoup l’occasion de nous voir, séparées par six cents kilomètres. C’est ainsi que nous avons préparées de merveilleuses grandes vacances.
Tout a commencé quand je l'ai embrassé dans un coin, elle n'a pas fait la sainte nitouche, bien au contraire. Et le soir, nous sommes allées plus en avant... Bien plus en avant... Je l'avais déshabillé entièrement et elle se laissait faire. Puis je baisotais ses oreilles et murmurais :

- Il parait qu'entre femmes, c'est bien meilleur.

Elle ne répondit pas et me tendit sa bouche. Nos langues s'étaient déjà caressées une première fois, et là, elle se donna encore plus et s'abandonna sur la couche et durant que nos organes linguaux se titillaient mutuellement avec frénésie, j'avais déjà mes doigts sur son minou et même à l'intérieur. Puis ce fut à mon tour de me déshabiller puis nous nous sommes enlacées nues dans les draps. Comme c'était bon... Nous nous frottions l'une contre l'autre, nous caressant tour à tour et c'est même elle qui la première embrassa mes seins puis je sentis sa langue sur les pointes. Je lui dis :

- Suce moi... ça me fait du bien...!

Nous roulâmes plusieurs fois l'une sur l'autre, ventre contre ventre, nous caressant cette fois les fesses. Je les pressais très fort, rien qu'à cette sensation, j'étais très excitée.
Tard dans la nuit, on s'est caressées mutuellement, recherchant sur nos boutons une jouissance qui venait doucement mais qui était bien meilleure que quand je le faisais moi mème. Puis fatiguées, nous nous sommes endormies. Puis quand Karine se leva, je l'agrippais. C'était la première fois que je voyais ses fesses de si près. Je lui dis :

- Oh comme j'ai envie d’embrasser ton corps.

Elle se retourna et dit :

- Il est tard. Nous devons nous lever car on pourrait s'inquiéter.

Mais j'avais eu le temps d'apercevoir dans son regard une étrange lueur. Elle croyait sans doute que je lui parlais de sa chatte, mais moi c'étaient ses fesses, mais peu importe. J'ai compris que ça ne lui déplairait pas.

Nous devions nous quitter le lendemain et il nous restait donc la nuit, nous n'avons pas attendu le soir. Ma mère étant sortie pour quelques heures, je ne sais pourquoi, j'eus envie de me précipiter avec Karine dans les toilettes alors que nous aurions aussi bien pu aller dans ma chambre ou même ailleurs puisque nous entendions forcément la voiture revenir. Dans les toilettes, c'était plus excitant. Elle s’est assise sur la cuvette, je me suis mise à genoux devant elle, j'ai baissé sa culotte alors qu'elle caressait ma chevelure. Bien qu'ayant pensé autrement, je me dis que je devais d'abord lui lécher le minou. Ce que je fis tout de go en introduisant mes doigts dans le creux de ses fesses. Karine ne se montra pas insensible à mes attouchements et je crois bien qu'elle jouit. Après un moment, je la regardais et portais mes doigts à mes narines. Je lui dis :

- Comme il sent bon ton derrière.

Elle me regarda étrangement en se disant certainement que je suis un peu folle, elle remit de l'ordre dans sa toilette et nous sortîmes. J'étais peu satisfaite et je l'accostais de nouveau alors qu'elle s'asseyait sur le divan. De là, nous pouvions tout voir sans être vues. Nous pouvions apercevoir le portail s'ouvrir et la voiture pénétrer dans la cour. J'assaillais ma cousine et pris ses lèvres. Elle ne se débattait pas, mais je la sentais peu enjouée. Elle s'abandonna tout de même à mes caresses et à ma bouche dans son cou et sur sa gorge. Mais je compris ce qui la retenait. En fait, elle avait une peur bleue de ma mère. Ce qui l’amène à me dire timidement :

- Nous n'allons pas gâcher nos vacances, attendons ce soir ma jolie, je ne suis pas tranquille comme chez moi.

En effet ce soir là, je fis ce que je voulais et elle se laissa faire. Nous nous fîmes jouir manuellement par devant, nues toutes les deux. Plus tard, elle a comprit mes attentes et moi j’ai pu déchiffrer qu’elle n’était pas si novice qu’elle ne le paraissait. Elle s’abandonne en se retournant, je regardais les deux mappemondes qui m’attiraient. Je m’installais entre ses cuisses. Je humais à plein nez sa douce odeur intime. Je me mis à caresser de deux doigts ses lèvres juteuses, les ouvrants délicatement tel un pistil de fleur. La chair était humide à souhait. Son bassin ondulait sous ma douce caresse. Je commençais à glisser ma langue sur sa chair liquéfiée. Je buvais sa douce liqueur. Tout en la doigtant, je constatais que mon doigt pénétrait plus facilement que dans ma petite grotte, je suçais les lèvres. La tête plongée dans l’oreiller, aucun son ne sortait de sa bouche à part les râles de son plaisir. Elle soulevait son derrière pour me donner plus d’aisance. Je pouvais enfin téter son clitoris et employer tout ce que je croyais bien faire, afin de l’amener à un orgasme. J’arrivais à mes fins et la belle hurla de bonheur me barbouillant de ses liqueurs intimes.
Je le sentais très chaude et allais progressivement dans la raie de son derrière. Le désir de goûter, de connaître la sensation, je m'en rapprochais et ce fut d'abord mon nez qui l'effleura. Sous mes attouchements, Karine se laissait faire, elle ronronnait de plaisir. Enfin, ma langue explora la rosette dont je forçais l'écartement. J'étais folle de joie et d’appétit et je me mis à gémir à mon tour.
Puis, par petites touches, je suçais, je me régalais, je serais restée là des heures, la tête enfouie à cet endroit. Ma cousine apprécia en remontant davantage son postérieur. Quand enfin je m'allongeais près d'elle, elle me souffla à l’oreille :

- C'est bon ce que tu m'as fait... Je serais incapable de te rendre la pareille.

- Ça n'a pas d'importance. Moi j'aime tant, et que tu me le fasses ne me procurerait pas autant de joie.

- Mais tu n'as pas joui ?

- Oh si... Je me suis caressée en même temps, je n’ai jamais eu autant de plaisirs.

- Cochonne !

- Qu'est-ce que ça peut te faire si tu aimes.

- Oui, j'aime drôlement.

- Alors je te le ferais durant toutes les vacances.

- Tu plaisantes.

- Non ! Je suis folle de tes fesses. J’en avais tellement envie depuis si longtemps !

- De lécher mon derrière ?

- Oui ! Lécher l'intérieur de tes fesses, j’ai juste porté mes doigts à mon bouton et je suis partie toute seule.

- Tu es quand même cochonne.

- Ca va être comme ça toutes nos vacances, si tu le veux bien !

- Oui Sophie, et ma mère est tellement plus cool que la tienne.

- Je sais que ta mère est mille fois plus sympa que la mienne, c’est pourtant sa sœur. Ma mère ne tient pas trop que je parte là-bas, elle dit aussi que ta mère aime les femmes, tu crois que c’est vrai ?

- Non seulement je le crois, mais j'en suis sûre. Et c'est pourquoi, même si elle nous prenait en défaut, elle ne nous en voudra pas…... Mais tu verras je pense que tu auras des surprises.


*****


Alors ces vacances chez ma cousine allaient être pour moi ce que jamais je n'aurais osé ni imaginer, ni espérer.

Cette merveilleuse tante Françoise, trente-huit ans, deux ans plus âgée que maman, elle a un air de famille évident, mais on voit dans son visage un très net épanouissement qui n’existe pas chez ma mère. Tante m'embrasse avec tendresse à la gare où elle est venue me chercher avec Karine. Durant le parcours qui mène à la propriété, nous restons enlacées ma cousine et moi, sa mère n’a pas l’air d’en tenir rigueur. Elle a du nous voir dans le rétroviseur. Ma copine me murmure :

- Maman nous laissera faire tout ce qu'on veut, elle a entièrement confiance en moi.

Il faut dire que ma tante habite une très grande et jolie maison dans la banlieue de Montpellier, Elle est divorcée et mon oncle lui a laissé la maison. Elle vit très à l’aise. Le premier soir, je m'en donne à coeur joie avec Karine qui s'abandonne nue à toutes mes caresses...

- Tu crois que ta mère s'imagine pour nous ? Lui demandais-je.

- Peut-être, mais quelle importance.

- Je voudrais te demander...

- Oui ?

- J’ai constaté qu’il y a entre vous deux une relation très particulière, tu n'as rien fait avec elle ?

Ma cousine parait un instant embarrassé. Puis elle dit :

- Juste quelques attouchements mais sans plus. J'aime autant le faire avec toi. Je pense qu’elle doit préférer les femmes de son âge et puis c’est ma mère.

La curiosité est plus forte que moi, je veux savoir :

- Mais qu’as-tu fait avec elle exactement ? J’ai envie de savoir, dis-moi ?

- Avec maman, bof, juste quelques caresses une fois, dans le lit, un jour où nous étions un peu déprimées. Par contre, il nous arrive souvent de nous embrasser sur la bouche.

- Tu crois que je pourrais faire quelque chose avec elle, si tu n’es pas jalouse ?

- Et bien tu n'as qu'à te laisser aller quand elle t'embrasse et tu verras bien. Et je ne suis absolument pas jalouse, au contraire maman m’a appris à jouir du bonheur de ceux que l’on aime. Je ferais tout pour que ton séjour ici soit pour toi un vrai paradis.

- Merci ma Karine, j'ai envie de folie, des fesses de femmes, je voudrais en trouver une en particulier, belle avec un fessier d’enfer.

Je n'en finissais pas de poser des questions à Karine et après nous êtres bien faites jouir mutuellement, nous nous endormons.

La journée s'annonce belle et à neuf heures et demie, il fait déjà chaud. Nous déjeunons sur la terrasse. Tante m'embrasse. Je m'abandonne mais elle n'insiste pas trop. Elle porte un déshabillé qui lui va à ravir et sous lequel je devine des formes pleines. Nous sommes face à face, Karine sur le côté. Ma tante porte des lunettes de soleil et nous regarde sans que nous puissions voir ses prunelles. C'est plus mystérieux.

Tout de suite, je me suis sentie très libre avec tante Françoise. Il y a déjà comme une sorte de complicité entre nous, pas tout à fait la mème entre elle et sa fille. C'est du genre, "moi je vis ma vie, fait de même si tu en as envie"

- Bien dormi toutes les deux ? Bien reposées ?

Nous répondons ensemble par l’affirmative. Elle ajoute :

- Ici chacun est libre de faire ce qui lui plait ! Tu es ici pour passer tes vacances et pour profiter de la piscine et du bon air. Je te demande simplement ma petite Sophie de ne pas répéter tout ça à ma chère sœur, tu sais comment est ta mère !
Ce soir, je donne une petite soirée avec des amies, si vous voulez en faire partie, vous êtes les bienvenues ? Je sais que mes amies ne sont pas de votre âge, mais ce n’est pas une obligation. Sinon vous pouvez sortir en boite.

Karine s’informe auprès de sa mère pour mon plaisir :

- Maman, ce soir, il y aura du monde ?

- Je... Je ne sais pas, ce sont presque toujours les mêmes que tu connais. Tu as expliqué à Sophie

 

- Heu…Oui... Enfin non. J’ai tout le restant de la journée pour lui exposer tes soirées un peu spéciales.

Tante Françoise semblait un peu gênée sur le moment. Nous passons effectivement la journée à se détendre dans et autour de la piscine, alors que sa mère est allée faire les courses. Karine me raconte ce que sont ces fameuses soirées. Quand tante revient vers dix sept heures, on l’aide à ranger les provisions, elle nous donne quelques précisions :

- Ce soir il y aura pas mal de monde, il y aura trois ou quatre nouvelles d’après ce que je sais, ce qui fait que nous devrions êtres une vingtaine. Je vous propose de faire le service en échange d’un bon billet, il suffit de remplir les verres à la demande. Vous êtes d’accord ?

On se regarde avec Karine et clamons un oui avec la bouche en cœur.

- De toutes façons vous ferez ce que vous voulez tant que toutes les invitées ne sont pas en manque de boissons.

- Maman, comment on s’habille ?

Il me tardait de vivre cette soirée malgré un trac fou. Le soir, nous nous sommes donc vêtues et maquillées dans la chambre de Karine, peut-être d'une manière trop voyante, mais après tout, nous avions l'air de vraies femmes tout en restant des ados. Nos robes longues et nos maquillages très accentués en étaient que plus outrageants. Enfin prêtes, nous descendîmes, Karine me dit:

- Il y aura peut-être une jolie femme avec un cul pas possible, qui te tapera dans l’œil.

 

 



Il y avait seulement deux femmes présentes qui babillaient sur un sofa. Nous mettons notre rôle à exécution en leur demandant ce qu’elles désirent comme boisson. Les invitées arrivent tranquillement, les unes seules et certaines en couples. Elles glissent de généreux billets dans une petite tirelire placée à l’entrée et commandent du champagne. Le grand réfrigérateur en est pourvu ainsi que d'autres boissons alcoolisées et jus de fruit. Nous avons juste à mettre les verres, la bouteille et elles se débrouillent.

Quand tante Françoise fit son entrée, elle nous félicita pour notre tenue, je sentis son regard peser sur moi, ne pouvant résister, je baissais les yeux. Elle mit son index sous mon menton pour relever mon visage puis déposa un baiser léger sur mes lèvres et alla rejoindre ses amies. Une musique de danse lente et légère emplissait le vaste salon. Un couple de femmes évolue dans un slow prometteur.
Tout en faisant ce qui nous a été demandé, j'observais les personnes présentes, j’étais folle à l’idée de pouvoir m’en faire une, mais ce n’était qu’un fantasme, puis ma tante qui venait de m'embrasser, j'avais encore la saveur de ses lèvres sur les miennes.
Karine me sort de mes rêves :

- C'est chaque fois différent, mais un peu la même chose. Les couples se forment, dansent, s'embrassent, se font des choses, enfin se caressent. Dit-elle en secouant les épaules.

Nous observons les invitées en papotant quand Karine me tape du coude :

- Oh Sophie ! Ton rêve... C'est une femme comme ça qu'il te faut.

Il n'était pas possible que cette magnifique créature qu’elle me montre du menton n’ait pas entendu. Je devins rouge de confusion. Je me demandais vraiment à quel jeu jouait Karine, je sentis le regard de cette femme peser sur moi. Je baissais la tête, elle était tout près, à quelques pas de nous. Elle s’approcha et se mit à me caresser le cou, les joues, puis son visage s'approcha du mien et je sentis ses joues me frôler avant que ses lèvres se posent sur les miennes en un court mais tendre baiser. J'eus juste le temps de sentir ses lèvres pulpeuses et un peu mouillées. Puis elle revint à sa place comme si de rien n'était. Karine semble connaître pas mal de monde, elle me présente puis les convives cherchent une place pour s’asseoir.

Je ne peux m'empêcher d'aimer cette ambiance tamisée où flottent des odeurs de parfums féminins. Deux couples évoluent sur la piste. Rien qu'à les voir danser, je frissonne, deux femmes entre elles, c'est doux, c'est tendre, joue contre joue, corps contre corps. J'ai envie de danser alors j'invite Karine. La preuve est faite que personne n'a besoin de nous. Les habituées arrivent, versent leur obole, puis se servent une boisson. Après avoir dansées tendrement et étroitement enlacées Karine et moi, retournons dans notre petit coin. J'aime bien car nous pouvons voir tout ce qui se passe et personne ne nous juge. J’admire mon béguin, je n'ai d'yeux que pour elle dans sa longue robe fourreau de velours noir qui la moule à ravir. Elle salue presque toutes celles qui sont là, allant de tables en tables pour enfin revenir près de nous.

- Ça va les filles ?

- Oui, oui. Répond Karine

Elle nous fait un clin d'oeil puis nous demande de lui servir une autre coupe.

- C'est le moment de trinquer. Nous dit-elle en me regardant dans les yeux.

Mon sang ne fait qu'un tour. Je suis gênée. Cette merveilleuse femme, les cheveux à la garçonne lui donne comme un air rétro, des seins émergeant d'un bustier à vous en couper le souffle. Tante Françoise me sort de ma contemplation en embrassant la divine créature sur la bouche. Ma tante me sourit en voulant dire : « Ne t’inquiète pas ici tout est permis » Elle me présente :

- Ma nièce Sophie, elle est toute fraîche, alors doucement s’il te plait.

Puis s’adressant à moi :

- Sophie, je te présente Fabienne, fait bien attention à elle, c’est une sorcière.

Ensuite ma tante tourne les talons pour rejoindre d’autres personnes. Décidément, je me dis que ce monde de dames est un monde à part. Moi, qui suis-je au milieu de toutes ces femmes. Es que je ressens assez d'attirance pour la femme pour pouvoir affirmer que moi aussi je fais partie de cette "gente" toute spéciale. Je me sens comme frustrée mais je ne me dégonfle pas, je m'approche de Karine et plaque mes lèvres contre les siennes. Nous mélangeons nos langues avec désir. Je l’entraîne pour aller danser.
Notre complicité ne fait plus aucun doute. Je voulais montrer à cette Fabienne que je ne suis pas de la campagne.
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Je prends le temps d'admirer les danseuses. Il y en a de très jolies. Tout en dansant, je glane ça et là un sourire, une mimique qui en dit long. Je crois que pour danser avec une autre, il faudrait que nous retournions à notre place et attendre. Le résultat ne se fait pas attendre. Ma cousine est invitée la première. La fort jolie femme qui danse avec elle n'en finit pas de la caresser, la cajoler et je croise même à un moment le regard absolument neutre de sa mère qui l'a vue, elle me jette un petit clin d'oeil et son plus beau sourire. Je ne cesse d'admirer les jeux des danseuses qui se caressent, se pelotent même les fesses souvent étroitement gainées. Plus nous avançons, dans la soirée, plus l'ambiance se détend et c'est peu dire. Des poitrines jaillissent de temps à autres, grosses, oblongues, pétries par des doigts agiles, puis retournent plus ou moins sous le corsage. C'est une ambiance quelque peu échevelée et pourtant calme, bercée par la langueur de cette musique douce.

La musique change, laissant sa cavalière, Karine revient à mes cotés. Je lui dis:

- Tu sais, j'ai flashé pour cette Fabienne. C'est tout à fait mon type.

- Tu veux que je l'appelle ?

- Non. Tu peux lui parler de moi, enfin de nous.

- Tu n'as qu'à rester là !

A peine Karine est repartie qu'une fort belle dame m'aborde.

- Je suis Nadine. Une amie de la mère à Karine, voulez-vous ?

Il n'est nullement question que je me fasse prier, je me lève et la croqueuse m'entraîne vers la piste. Tout de suite, elle fait en sorte que nous dansions très étroitement serrées, l'une contre l'autre. Je n'ai rien contre, je m'abandonne complètement. Puis elle me dit :

- Tu sais que tu me donnes des envies toi ?

La femme me serre si tendrement que j'en suis pantoise. Elle me baisote dans le cou puis se met à lécher mes oreilles. Je lui rends la pareille et nous nous parlons comme ça à voix basse. J'ai envie de lui dire mille choses, de tout lui dire, mes souhaits ardents. Quand elle me murmure :

- Toi, tu as envie de moi.

- Heu. Oui…..

J’essaie de faire les mêmes gestes mais très maladroitement. Elle reprend la parole :

- En dehors de Karine, tu n'as jamais été avec une femme ?

- Non.

- Tu veux me raconter ce que tu fais avec elle ?

- Non.

- Tu as vu Françoise ?

- Elle était là tout à l'heure.

- Tu te doutes de ce qu'elle fait. Tu aimerais ça toi.

- Quoi ?

- Etre aimée par une vraie femme.

- J'avoue que ça me tente. Mais je ne sais pas trop.

- Alors maintenant, dis-moi ce que vous faites avec Karine.

 

Finalement, je risque quoi à lui déballer mes petites aventures, alors je me lance.

- Ce que j'aime le plus, c'est la sucer. Jaime bien la faire jouir avec ma langue. Ce que je préfère, ce sont ses fesses. Je suis folle de ses fesses.

- Oh toi alors, tu m’épates !

- Tu me demandes, alors je te dis.

- Tu lui lèches la raie de son derrière.

- Oui, j'adore. Je passerais des heures à le faire.

- C'est fou ça une jeune fille comme toi qui parait si sage ! Tu aimerais le faire à une femme ? A moi ?

Nadine me serre si fort que je crois étouffer. J'en ai presque envie de pleurer de bonheur. Alors je murmure au creux de son oreille que j’embrasse presque en même temps :

- Tu me rends folle, folle de désir, du désir de toi, de tout ton corps.

- Je vois que ton amoureuse te cherche, tu devrais aller la voir.

- Oh je t'en prie, reste avec moi !

Ma cavalière se détache de moi et me laisse rejoindre Karine. Elle a ramenée Fabienne à notre petite table.

- Avec Fabienne, nous avons parlé un peu de toi et elle serait ravie de te servir de monitrice dans le domaine qui te tient à cœur.

Je pique un phare énorme, une sorte de honte m’envahie, j’aurais voulu fuir, mais Fabienne me prend dans ses bras en me caressant les cheveux. Cette fois, c’est moi qui prends sa bouche. Nos langues lutent un moment. Dans les bras de Fabienne, je fonds littéralement. Un long moment de silence me permet de me laisser griser par la musique. Nous allons danser joue contre joue et je frémis à la moindre caresse. Je me demande combien de temps nous serions restées ainsi, sans un mot. Elle approche sa bouche de la mienne pour se mettre à la dévorer par petites touches, à plonger sa langue et rejoindre enfin la mienne qui l'accueille en louvoyant. Nos lèvres restent ainsi un moment soudées alors que nos langues s'en donnent à coeur joie en même temps qu’elle laisse sa salive que je crois bon d'avaler. Puis je sens ses doigts écraser mes fesses à travers le tissu fin de ma robe. Je m'abandonne totalement à elle, je sens que je mouille intensément. Enfin nos bouches se séparent, elle me sourit. Pas un mot jusqu'ici,  je prends l'initiative de murmurer :

- Je n'ai encore jamais rendu hommage à une vraie femme, je veux bien le faire avec toi.

Alors, tout en dansant, Fabienne m'entraîne vers la porte du fond. Là, je connais un peu les lieux. Une petite entrée qui donne sur deux cabinets et deux autres portes sur deux petites pièces particulières. C'est vers l'une de ces portes que m'entraîne Fabienne Elle referme la porte à clé derrière nous, puis elle me serre très fort, nous nous vautrons sur le petit lit divan qui est certainement là pour la circonstance et elle me dit :

- Ici, on peut faire ce que l'on veut. C'est une règle absolue, on ne sera pas dérangées. C'est la première fois que je vais avec une fille aussi jeune que toi. Tu me donnes l'eau à la bouche. Déshabilles-toi vite! J'ai une terrible envie de toi !

Très excitée, je fais ce qu'elle me demande alors qu'elle-même a déjà retirée la moitié de ses vêtements. Elle reste en bas et porte-jarretelles. Ses seins sont magnifiques d'opulence et de fermeté à la fois. Elle me laisse les caresser un instant, alors que nos bouches et nos langues s'en donnent à coeur joie, puis elle m'allonge sur le divan et se met à genoux devant moi. Sa main droite prend ma chatte dont elle caresse les lèvres, puis soudain, elle y plonge son visage. Sous sa langue, je ne tarde pas à partir. Puis elle dit comme une folle :

- Oh c'est bon, c’est trop bon !

Moi je frétille de bonheur dans tous les sens. Je sens un doigt pénétrer mon petit trou. Jamais avec Karine je n'avais joui de cette manière. Le doigt imprégné de ma mouille me pénètre un peu plus, puis soudain, Fabienne le retire et me donne à sucer. Ma tête chavire, je dois avoir les yeux exorbités. C'est je ne sais quoi, le vertige, alors je murmure en râlant presque :

- C'est toi que je veux !

Alors Fabienne place un coussin sous ma nuque puis elle vient à califourchon sur mon visage. J'ai juste le temps d'apercevoir ses deux très jolies fesses bien rondes qu'elle écarte, mon nez se retrouve enfoui dans sa raie culière, je m'empare de la coquille toute juteuse, ma langue pénètre en un "floc" et commence de virevolter. Fabienne s'est redressée sur moi, elle se contente de me caresser la vulve en criant :

- Ho oui... Oui... Ma petite... Comme c'est bon... Comme tu le fais bien.

Je n'ai pas eu de mal à trouver le bouton que je me suis mise à flatter doucement de la pointe de ma langue. Dans le même temps, j’écarte d’avantage ce magnifique fessier pour que mon nez tente de pénétrer l’étoile. Je suis vraiment aux anges. Je mouille intensément. Fabienne dit avec douceur tout en se trémoussant sur mon visage :

- Tu es bien là ? Ce n’est pas trop fort ?

J'extrais juste un instant mes lèvres pour dire :

- C'est merveilleux, vous ne pouvez savoir combien c’est bon.

- Si je sais mon ange, mais pour toi, je ne trouve pas les mots, tu es si fraîche.

Je ne réponds pas mais presse seulement les fesses de mon aimée. Je me crispe de plaisir alors que ma bouche s'emplit soudain d'une petite coulée. Je gémis de désir, me crispant toute, remuant du bassin, sentant dans le même temps la bouche de Fabienne sur ma vulve. Il n'y a pas de mots pour décrire ma félicité. Une langue agile suce ma chatte que je sens toute coulante. Une sorte de jouissance latente me tient toute en permanence alors que mon visage est enfoui entre les fesses d'une si jolie femme, comme je l’ai tant rêvé. Mes râles emplissent la pièce. J'absorbe, non, je me délecte du fluide qui jaillit tout en caressant les magnifiques parties charnues, je les écarte encore plus, introduisant mon nez dans l’anneau qui fleure si bon et dans lequel je voudrais plonger toute entière. Elle se redresse enfin et son visage effleure le mien, puis elle prend mes lèvres nullement dégoûtées et nos langues se joignent encore, puis elle murmure:

- Toi au moins, on peut dire que t'aimes ça.

- Oui et tu ne peux savoir à quel point.

- Comment je peux te remercier ?

- Avec une vraie femme comme toi, je ne l’oublierais jamais tu sais.

- Beaucoup de femmes ici seraient heureuses de faire ce qu'on vient de faire. Moi j'ai jouis comme pas une. Maintenant, il faudrait qu'on retourne si tu veux bien.

- Oui mais pas avant ça...

C'est moi cette fois qui oblige ma chérie d’un soir, à se retourner en se plaçant à genoux sur le divan, la croupe bien en évidence. Je lui murmure à l'oreille :

- Laisse-moi encore t'admirer et goûter ton joli petit cul.

- Oh toi alors. Oui, aller, vas, mange bien ma rosette.

Fabienne arrondit du mieux qu'elle le peut toute sa croupe offerte j’enfonce mon visage, je pointe ma langue dans la bague qui s'ouvre. Je ne peux m'empêcher de me caresser tout en gémissant. Nous restons ainsi encore quelques trop courtes minutes. Nous nous sommes vêtues remis de l’ordre dans notre maquillage pour retourner dans la salle. En sortant elle me dit :

- Merci pour ce merveilleux moment.

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Nous sommes donc à nouveau en bonne compagnie, Fabienne reste un moment avec moi avant de rejoindre la piste de danse. Je vois Karine qui est tendrement enlacée dans les bras d’une jeune femme, elle me fait signe de m’approcher et me dit :

- Alors, c'était bon ?

- Délicieux !

Sur la piste et dans l'ensemble de la salle règne une ambiance aussi démesurée que possible. Beaucoup de femmes sont dépoitraillées. D'autres exhibent franchement leurs seins. Certaines se frottent à leur partenaire d'une manière éhontée, se malaxant réciproquement leurs fesses, leurs cuisses alors que des mains retroussent de courtes jupes ou mises à nu des postérieurs rebondis. Lorsque tante Françoise m’accoste :

- Ca va toi ?

Elle me pose cette question d’un air moqueur, il est indéniable que Fabienne lui a parlé de moi mais peu m'importe, je suis dans une excitation latente, ma gorge est nouée en permanence.

- Oui, oui je vais bien merci tante.

Je pense que ma petite aventure a déjà fait le tour de l’assistance, ça me fait frissonner. Je sens soudain la main de ma tante qui m'entraîne vers son canapé. Elle m’invite à m’asseoir et en fait autant à coté de moi.

- On continue au Champagne ? Me demande-t-elle les yeux chatoyants.

- Oui, il ne faut pas casser le rythme.

Nous sirotons notre verre, puis elle m’entraîne sur la piste. Je tremble de tous mes membres. La mère de Karine me presse dans ses bras, nous dansons et je me laisse guider, joue contre joue. Je sens ses baisers fous et ardents dans mon cou, elle me prend le menton entre le pouce et l’index, elle me regarde franchement dans les yeux.

- Alors ?

Son regard est interrogateur, je ne sais quoi dire, je suis trop émue Françoise le sait.

- Je te comprends, c'est tellement nouveau pour toi. Je crois que tu aimes bien cette ambiance n’es pas ?

- Oh oui tante.

- Et Fabienne, elle t’a plu ?

Je ne sais plus où me mettre tellement je suis rouge de confusion. Mais ma tante me serre plus fort dans ses bras et soudain je sens ses lèvres sur ma bouche, je m’abandonne à elle ainsi que tout le reste de mon corps. Elle poursuit:

- Tu n'as pas à avoir honte, je ne veux que ton bonheur, si tu veux vivre encore des moments de bonheur, alors laisses-toi aller.

Je ne peux m'empêcher de murmurer:

- Je t’aime tante, tu es tellement différente de maman, tu es ma reine, je donnerais n’importe quoi pour être la sœur de Karine !

- Je veux que tu sois libre. Libre comme l'air et..... Heureuse.

- Il faudra bien que je retourne chez moi.

Françoise paraît songeuse un court instant, puis elle fait:

- S’il te plait, tu oublies ta mère le temps que tu vas passer chez moi, d’accord !

Mes yeux sont baignés de larmes tellement je suis heureuse. Elle ajoute dans un souffle:

- C'est toi que je veux..... Oui !...... Oui mon ange !...

Elle passe ses doigts sur mes lèvres puis en enfourne deux dans ma bouche. Machinalement, je les suce.

- J'ai envie de ta petite bouche partout !

Ma tante semble tout aussi excitée que moi, le champagne, l’ambiance. Je réponds du tac au tac

- Partout où tu voudras...

Tout en dansant on s’approche de la porte du fond, je ne peux m'empêcher de palper son fessier tout en pensant que c’est quand même la sœur de ma maman. Je constate toutefois combien les deux mappemondes sont rondes sous la robe fine de satin. J'en bave d’envie. Nos bouches se joignent encore.
On longe le long couloir qui dessert quelques chambres et autres servitudes pour arriver dans une petite chambre d’amis décorée très coquettement. On s’embrasse, ma tante entreprend vite de me dénuder. Je me laisse faire bien évidemment puis à son tour elle se met nue également. Sous la faible lumière, je vois combien ce corps est merveilleux, j’en reste bouche bée. Des jambes longues, des hanches larges, des seins pas très gros enforme d’obus, à peine plus gros que les miens, impeccablement balancés, un corps intégralement bronzé. Le triangle noir parfaitement taillé sur une peau parfaite,

- Tu es sublime tante ! Vraiment, je…

- Arrête Sophie, je n’ai plus ton age. Me répond-elle.

J’ai une féroce envie de lui sauter dessus pour me régaler d’elle, mais je veux avant tout lui plaire, la séduire, ce n’est pas la même chose qu’avec Fabienne, c’est ma tante et je l’aime……..Presque d’amour. Ses seins s’écrasent sur ma poitrine tandis que ses mains se mettent à palper mes cuisses.


- Qu’est-ce, que t’es bien foutue Sophie, tu es plus douce que de la soie.

- Et toi, ta peau et ton odeur m’excitent !

Nos gestes deviennent plus osés, quand sa bouche englobe mes tétons, les croquent et les aspirent.

- Tu me laisses m’occuper de toi ? Me demanda t-elle

Nous investissons le grand lit. Elle m’allonge sur l’édredon douillet, écarte mes cuisses, offrant mon minou, elle ne tarde pas à l’assiéger.

- Hum… Quelle douceur…
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La langue de Françoise me lèche avec gourmandise, ce qui me fait gémir assez fort. Ce traitement de choix se poursuit durant une bonne dizaine de minutes avant que je perds patience, exténuée, je manifeste l’envie de goûter à mon tour à ce fruit tant désiré. Je m’approche avec hésitation et commence à lui caresser la chatte avant d’aller plus loin. La touffe bien taillée lui recouvre le pubis jusqu’à l’oeillet et cache à peine les grandes lèvres très charnues. Ma tante ferme les yeux, j’approche mon visage. La forte odeur qui s’échappe provenant de la danse et de la chaleur, m’attire encore plus. Ma langue effleure le clitoris j’écarte ses grandes lèvres de deux doigts, pour enfouir carrément ma langue dans la caverne. Tante sursaute en se prenant vite au jeu et cette odeur âpre qui se renforce de plus en plus finit rapidement par m’exciter terriblement, le jus est aussi généreux que les senteurs ! Je continue de m’en délecter et m’applique à bien faire, je ne veux surtout pas la décevoir.

Tante, s’il te plait, mets-toi à quatre pattes.

Sans la moindre contrariété, Françoise se plie à mon désir et m’offre sa magnifique croupe. Je coince rapidement mon visage entre ses fesses, ma langue se remet à l’ouvrage. Cette fois-ci, ma tante se laisse aller complètement au plaisir. Tout à l’heure, elle avait bien essayé de se contenir un peu, mais là, les complaintes qu’elle laisse échapper ne font plus aucun doute. Je lui saisis les miches, remonte ma langue sur sa rosette. Tante n’objecte pas, pas avant qu’elle ne sente que j’entre un doigt dans son derrière.

- Heu…. Sophie,

- Qu’y a-t-il ma douce, ce n’est pas bien ce que je te fais ?

- Oh si ! Mais…

- Alors laisse-toi faire !

- Oui !

À peine a-t-elle accepté que je lui rentre directement ma langue dans la rosette et deux doigts dans la chatte l’envoient au septième ciel. Ma tante est déchaînée et ce ne sont pas moins de deux orgasmes successifs qu’elle subit et le troisième va être phénoménal.

- Oh que c’est bon ! Vas-y, continue, continue, continue… Ouiiiii !
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Sa jouissance est terrible, mais à peine ses vocalises se sont tues, qu’un son étrange siffle à mes oreilles en accord parfait avec une giclée je prends en pleine figure et d’un torrent qui se déverse sur son corps et sur le lit !

- Mais qu’est-ce que tu mouilles tante !

- Oh pardon Sylvie ! Je ne pensais pas que ça arriverait. C’est que tu m’as tellement fait jouir……..C’était sublime !

- C’est que je ne m’y attendais pas. Mais c’est très impressionnant !

On s’est étendu sur le lit, ma tante me complimente :

- Eh bien dis donc, si on m’avait dit ça de toi.

- Je te surprends à ce point, je pense que je suis comme Karine, j’aime seulement les fesses beaucoup plus qu’elle.

- Hum, je suis sûre qu’on va bien s’amuser toutes les deux… Me lance t-elle en me caressant.

Je l’embrasse, et approche ma bouche de son oreille.

- Tante, je crois que j’ai envie de faire pipi, je reviens dans deux minutes.

- Je te suis dans la salle de bain, tu vas adorer !

Ma tante me prend par la main, m’entraîne énergiquement dans la grande cabine de douche

- Tu vas voir comme c’est bon !

Au comble de l’excitation j’obéis avec un plaisir non dissimulé, mais je me demande quand même où elle veut en venir.

- Tu vas faire ton pipi sans t’occuper de moi. Vas-y, laisse-toi aller, ne te retiens pas…

- Oh je n’ose pas tante !

- Vas-y, mon petit chou, vas !

Elle met sa main sur mon bas-ventre et exerce une pression pour m’aider à me soulager.

- Oh tante, je me sens partir, je peux plus me retenir…

Françoise me saisit fermement et me plaque contre la paroi, elle se colle littéralement contre moi pour ressentir le long jet de liquide chaud qui s’écoule de mon intimité et qui inonde nos cuisses. Sans même toucher nos sexes, nous jouissons, je réalise que je viens encore d’avoir une nouvelle expérience, quelle soirée !
Délicatement, on se laisse choir en se donnant un baiser qui va transformer cette aventure en union de rêve pour toutes les deux.
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- Je suis contente d’être amoureuse de toi.

Ma tante à cet instant est plus qu’aux anges. Elle m’embrasse tendrement et fait couler la douche, une douche bien réconfortante.

 

 

FIN

Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : L'amour en famille
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