Récits

Lundi 29 juin 1 29 /06 /Juin 16:05

 

 

 

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       Christine est ma maîtresse depuis deux années. Tous les deux divorcés, nous ne vivons pas ensemble pour des raisons personnelles, mais nous nous voyons tous les week end. Mon amie a un fils unique, David qui va avoir seize ans dans quelques mois, c’est un garçon un peu tardillon physiquement mais d'autre part très intelligent il est chouchouté au possible par sa mère. Christine est très sensuelle, on s’aime d’un amour fou et sans limite. Nous recherchons toujours de la nouveauté dans nos ébats pour ne pas tomber dans la routine.

Cette histoire s’est passée l’an dernier au mois de juillet, où la sœur de Christine nous a proposé son appartement à Bayonne pour une semaine de vacances.

Nous voilà donc partis, ma chérie son fils et moi. L’appartement est petit, il y a une chambre et un salon. Nous prenons la chambre et David couchera dans le canapé convertible du salon. Nous ne pouvons donner libre cours à des ébats effrénés compte tenu de la présence de David.

Ce jeudi s'annonce comme une journée particulièrement chaude. Bien que tous les volets soient fermés, il règne une chaleur étouffante.

Christine s’adresse à son fils :


- David ! ……….  Gilles et moi on va faire une petite sieste.

- OK, moi aussi dit-il en s'allongeant sur le canapé.

Entrés dans la chambre nous enlevons les quelques vêtements que nous portons. Afin d'éviter les surprises nous gardons culotte et slip. Christine a une culotte en forme de short, en soie très échancrée sur les cotés. L'un à coté de l'autre, nous nous caressons, et échangeons quelques tendres baisers, lorsque David frappe à la porte. Rapidement nous tirons le drap pour nous couvrir un peu.

- Qu'est ce que tu veux demande Christine ?

David ouvre la porte et nous dit :

- Je n'arrive pas à dormir dans le salon…. Il fait vraiment trop chaud. Vous avez de la chance, vous, la chambre est plus fraîche.

Avec un regard vers moi du style "tans pis on verra ça plus tard" Christine dit à son fils

- Bon….. Viens t'allonger ici.

Et elle me pousse un peu pour faire une place à son fils qui s’étend mollement à sa gauche, je me dis que ça commence bien, on ne peut pas être cinq minutes tranquille.

 

Nous restons ainsi quelques instants. Christine est sur le dos, je l’étreins et discrètement commence à lui caresser la poitrine. David est venu blottir sa tête dans l'épaule de sa mère, vu l’espace restreint du lit. Légèrement surélevé, David voit ou devine mes caresses. Cette toute petite exhibition improvisée commence à m'exciter. Christine a son bras le long de mon corps, elle sent ma verge se raidir, sans se douter que la cause n’est pas tout à fait le résultat de ses caresses. Elle tourne lentement sa main et prend ma verge. J’en profite pour prendre la même position que son fils. Elle effectue quelques pressions sur mon membre qui ne font qu'empirer mon état. Elle me tend ses lèvres et on commence par un petit baiser. Puis très vite nos lèvres s'ouvrent et le baiser devient plus ardent. David, nous a souvent vu, nous embrassant voluptueusement, signe de la solidité de notre amour. Nos langues commencent leur doux ballet, ma main se fait plus pressante sur ses seins. Par nos mouvements le drap est légèrement descendu. C’est les vacances, après tout, je me fous de toute pudeur et autre tabou sachant que Christine est très ouverte sur la question. Je tente de rien cacher que ça plaise ou non à David. Finalement je constate que ce choupinet nous observe avec un certain plaisir, la curiosité de ce garçon me rappelle mon adolescence. Naturellement, je continue mes caresses sur le sein de sa mère, je sais qu’il zyeute mes agissements. Christine ne dit rien, il est vrai que son fils est habitué à la voir nue.

Ma main laisse le sein pour venir se poser sur le ventre. Ma bouche abandonne la sienne pour déposer quelques baisers sur le haut du sein qui est maintenant bien découvert. Ma chérie adore que je lui suce les seins, souvent elle jouit uniquement comme ça. Ma bouche aspire tendrement le bout maintenant bien tendu. Je constate que David n'en perd pas une miette. Il me regarde avec un grand sourire charmeur, je pense qu'il s’attache à ce spectacle. Je poursuis ma descente, Christine a fermé les yeux. Très doucement sans doute un peu gênée, elle prend mon menton et le fait remonter un peu plus haut. Je passe ma main à l'intérieur de sa culotte et mon doigt rencontre la chatte brûlante et humide, preuve que mon attention lui plait. Christine se laisse faire, son souffle est plus fort. Je sens son coquillage s’ouvrir à mes caresses indiscrètes.
Machinalement elle replie son bras autour des épaules de son fils en caressant ses cheveux, comme pour le déconcentrer du spectacle improvisé. Mais David toujours blotti contre sa mère, ne quitte pas ma bouche des yeux.
En caressant la cuisse de ma chérie, je ne peux éviter celle de son fils qui est bien en contact de celle de sa mère, je perçois une peau très douce et chaude, très différente de ce que j’ai pu connaître jusqu’à présent. Bien que je n’aie jamais eu de relation avec un homme, un désir étrange m’envahit, ma main passe de la cuisse de mon amie à celle de son fils. Mon excitation monte plus rapidement que d’habitude par cette situation inattendue, je pose mes lèvres sur la bouche de Christine, tandis que ma main caresse passivement la cuisse de David qui n’a pas bougé d’un poil, il me regarde d’un air interrogateur mais ne fait aucun mouvement pour éviter ma main. Je ne sais toujours pas si ma chérie s'est rendu compte de ce qui se passe.

 

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Christine pousse un peu sa jambe pour que sa cuisse vienne se coller à ma verge bandée. Tout en caressant sa cuisse et celle de David, j’en profite pour tirer un peu la cuisse de David afin qu'elle couvre celle de sa mère, il se laisse aller à mon mouvement y trouvant sans aucun doute une forte sensation. Maintenant Christine a ses deux cuisses emprisonnées dans nos jambes.

- Mes deux hommes dit-elle en souriant innocemment.

David et moi sommes face à face sur chaque épaule et heureux de cette position, nos jambes entourent celle de Christine. Mon désir d’aller plus loin est très fort, je mets ma main au bas du dos de David, puis descends sur ses fesses, il me regarde toujours avec un petit sourire qui en dit long. Lentement je passe mes doigts sous le maillot pour toucher la peau extrêmement douce des fesses. Christine s'est rendue compte de ce que je fais, elle me regarde d’un air très affectueux et coquin, dans ses yeux, brille une lueur de bien-être, elle perçoit les rapports profonds que je témoigne pour son chérubin, pour elle, il ne peut rien avoir de plus beau. De nouveau elle saisit ma verge, elle regarde ma main sur les fesses à l’intérieur du slip de son fils, les caresses sur mon sexe deviennent plus précises. Je la devine de plus en plus troublée, elle doit sentir la quéquette dure de son fils contre sa cuisse.

- Tu es bien David ? dit-elle

Un petit gémissement et un hochement de tête confirment son état.

- Tu peux enlever ton maillot si tu veux. Ajout-elle.

Sans attendre sa réponse je tire sur le slip, David l'enlève rapidement s’arrangeant pour ne pas faire voir sa virilité, il vient tout de suite reprendre sa place contre sa mère. Christine pousse un petit gémissement de plaisir en sentant l’organe ferme de son fils contre elle. Je me surprends à caresser à pleine main le petit cul de David, je pousse ses fesses par un petit va et vient qui fait agiter son sexe sur la cuisse de sa maman. Et là, c’est la surprise de ma vie, se tournant vers moi elle me chuchote à l'oreille :

- Tu veux bien caresser David ? S’il te plait mon chéri, masturbe le.

J’étais loin d’imaginer une telle demande, mon étonnement me fait bredouiller quelques mots :

- Ca te ferait plaisir David ?

Il fait oui de la tête, étant aussi abasourdi que moi, loin de penser des proportions que cela prend. On se regarde tous les trois, pendant que ma main abandonne ses fesses pour se glisser entre la mère et le fils. Il se retire un peu pour me laisser la place, je prends sa bistouquette raide et dure entre deux doigts. Je commence une douce masturbation en évitant d’aller trop vite. Bien que n’ayant jamais touché un autre pénis que le mien, j’éprouve un réel bonheur à ce nouveau jeu qui me met dans une surexcitation inconnue.

- Tu aimes ? Me demande Christine à l’oreille.

- Oh oui mon amour c'est trop bon, merci.

Puis s’adressant à son fils :

- C'est mieux que quand tu te masturbes tout seul ?

Il fait un signe positif de la tête, trop pris par le plaisir. Je freine un peu mon mouvement car je sens qu'il est sur le point de jouir.

- David, ça te gène si Gilles et moi on se met nus ?

- Non. Dit-il très intimidé tout de même.

Je fais rapidement l'abandon de mon seul vêtement, je prends délicatement le bord de la culotte de Christine pour la glisser le long de ses jambes. Elle se tourne, le dos contre moi et face à son fils qui regarde le triangle bien taillé de la foufoune de sa mère. Ma verge s’encastre immédiatement entre ses fesses. Je pose une main sur sa poitrine mais elle la prend pour la poser sur le biscuit de son fils, je poursuis donc la masturbation sous le regard amusé de Christine qui a passé ses bras autour du cou de David. Elle dépose de petits baisers sur son front, ses paupières... Je me serre de plus en plus contre son dos et entre les deux sphères accueillantes de mon amour, elle a mis sa main sur la mienne pour m’accompagner dans cette masturbation féerique. Après quelques instants, je retire ma main de la verge pour que Christine la masturbe directement.

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Ses doigts que je sais experts, ont pris possession de l’ardillon de son fiston, très excité par le comportement de la mère et de son fils, mes doigts s’actionnent de l'anus à la chatte dans une série de caresses effrénées. Christine vient chercher un peu d'humidité dans sa chatte qu’elle dépose sur le gland de son fils puis elle descend vers les couilles qu'elle caresse gentiment. Maintenant elle utilise ses deux mains, l'une pratique une affectueuse masturbation l'autre tripote les bourses. Par réflexe, David pose ses lèvres sur la bouche de sa mère, non seulement elle approuve mais elle offre sans aucun doute le premier baiser à son rejeton. Je vois la bouche de ma bien-aimée recouvrir les lèvres de David, j’imagine la langue pénétrant fougueusement la bouche de son fiston. Je continue mes caresses sur Christine qui deviennent de plus en plus précises.
Ils jouissent ensemble bouche contre bouche, avec des gémissements, David éjacule longtemps sur le ventre de sa maman et sur sa main. J’admire ces deux êtres qui me sont de plus en plus chers, je les laisse apprécier leur plaisir dans leur baiser infini. Puis ils se détachent en soufflant bruyamment. S'écartant de David, Christine lui demande :

- Tu as aimé mon grand ?

- Oui

- Tu n'es pas fâché que ce soit moi ?

- Ho non maman, c’est le plus beau jour de ma vie.

Christine se tourne vers moi et me dit pour que David entende :

- Je t’aime Gilles, je t’aime comme une folle.

Voyant que moi aussi je l’aime et pour preuve mon bâton attend qu’il se passe quelque chose. Christine ne peut me laisser dans cette situation. S’adressant à Gilles, elle lui demande :

- Tu veux bien nous laisser seul un moment ?

- Maman, je voudrais rester près de vous deux, je suis tellement bien ici.

- Ca ; j’ai vu que tu es bien, mais on peux bien avoir un petit moment à nous deux.

- Pourquoi je ne pourrais pas vous voir faire l’amour, je vous aime tous les deux, on est bien tous les trois.

Je désire mettre fin à cette discussion, je fais coucher ma chérie qui ne résiste pas.
Même dans mes fantasmes les plus fous je ne pouvais imaginer une Christine aussi dévergondée. Nous adoptons une position que nous aimons bien et qui, s’en le vouloir, va offrir la meilleure scène d’amour à David.

Je me suis carrément jeté sur elle. Mes mains et ma bouche parcourent son corps à une vitesse folle. Je suis aux anges ! Son ventre est en feu, je ne contrôle plus rien, je viens entre ses cuisses, et je m’enfonce en l’embrassant fougueusement.
Elle respire de plus en plus fort, elle murmure subtilement à mon oreille.

- Doucement grand fou, doucement mon chéri…… Tu te rends compte ce que nous faisons.

Nous sommes restés emboîtés l’un dans l’autre, sans bouger, un petit moment, les yeux dans les yeux, profitant de ce moment de pur bonheur.
Je me surélève un peu et pénètre beaucoup plus rapidement. Christine s’abandonne à moi à son plaisir, à mon plaisir. À ce rythme, je n’ai pas résisté longtemps et je me suis vidé dans elle pendant qu’elle explose d’un orgasme puissant. Notre jeune tourtereau a dû avoir une vue imprenable sur nos deux corps en chaleur.

- Mes chéris, dit Christine, j'ai un peu honte mais qu'est que je suis bien.

En tout cas, ajouta t-elle, avant la fin de ces petites vacances je crois que l’on va découvrir autre chose ! Vous serez mes deux amours et moi une mère honteuse et comblée. Nous avons partagé un grand éclat de rire.

Tard dans la soirée, après une longue baignade à la plage, on se fait un petit resto, puis nous sommes rentrés, Christine semble préoccupée, je lui demande ce qu’il ce passe.

- Tu te rends compte ce que nous avons fait tous les trois.

- On dit que ce n'est pas normal, mais je vous ai trouvés très complices tous les deux. Il n'y avait rien de malsain. C'était tendre. En plus c'est moi qui ai commencé !!! Lui répondis-je.

- C'est vrai dit David, c'était bien et je ne vois pas ce qu'on a fait de mal.

- On a fait beaucoup de choses qui ne sont pas conforme à la bonne morale. Dit Christine. Une relation entre la mère et le fils et entre deux hommes, ce n’est pas logique.

- Je ne crois pas Maman, moi je t’aime, je suis ton amour, Gilles est comme mon père, comme mon frère ou mon meilleur ami. Je vous aime tous les deux.

Sitôt dit, David va faire un gros bisou sur les lèvres de sa maman et la même chose sur moi, très surpris de ce geste qui me va droit au cœur.

 


- C’est vrai que vous êtes beaux tous les deux, je suis fier d’avoir deux hommes comme vous, et deux hommes qui s’aiment.

Je prends la parole en m’adressant à David :

- Tu as aimé que je te touche et que je te caresse ?

- Ho oui, j’aimerai tant recommencer.

- C’est mieux que quand tu te masturbes, demande sa mère avec un sourire narquois.

David accuse le coup en silence,

- C’est vrai que tu te branles David ?

A ma question il baisse la tête.

- Tu veux pas nous faire voir comment tu fais, tu nous dois bien ça, n’est pas Christine.

- Oui c’est vrai, aller mon grand, mets-toi dans le canapé et montre nous ……

David est obligé de s’exécuter, il baisse timidement son maillot pour faire paraître sa nouille où apparaît une jeune toison.

- Non, enlève ce maillot de bain, tu seras plus à l’aise…… Quand tu te le fais tu ne gardes pas ton slip, Lui demande sa mère.

Cette situation recommence à m’émoustiller. David quitte son petit vêtement et entame avec deux doigts un va et vient sur sa verge ramollie, la timidité ne l’aidant pas.

- Et bien dit Christine, tu n’es pas aussi enthousiasme que cette après midi, mets un peu plus de cœur à ton ouvrage………… Quand tu es seul, à quoi penses-tu ?

- Je ne sais pas si je peux le dire. Répond David.

- Si, si dis-le, tu ne dois plus rien nous caché maintenant.

Après quelques secondes de réflexion, David accouche :

- Maman, je pense à toi, toujours je pense à toi, tu es si belle.

Christine se lève va vers son fils:

- Merci mon chéri, tu me touches énormément dit-elle en l’embrassant sur les lèvres.

Puis elle prend la main de son fils pour l’accompagner dans la caresse intime.

- Aller mon grand, fais-toi du bien, on veut te voir jouir, pense à ta maman.

Christine s’assoit à coté de David en le regardant dans son œuvre. A la vue de ces deux personnes qui me sont chères, je ne peux m’empêcher de sortir mon maillot et de bricoler ma tige qui grossit à vue d’œil.
Christine caresse les cheveux de son fils pour l’encourager, son action est de plus en plus évidente, la verge est bien bandée avec le gland luisant qui dépasse légèrement du prépuce, sa mère se penche pour y déposer ses lèvres. Par un réflexe bien masculin les fesses de David se soulèvent pour venir plus en profondeur dans la bouche de sa maman, son orgasme vient de suite, elle passe une main sous les couilles, ne rejette pas l’objet, au contraire, elle s’acharne dessus, ce qui fait échapper un petit cri à David qui s’écroule dans le canapé.

- Dit chérie, tu lui fais vachement de l’effet à ton fiston.

- Lui aussi, répond Christine, Je suis toute trempe et toi, regardes ton état, aller vient dans la chambre.

Depuis Cinq minutes, nous donnons dans un corps à corps, lorsque David pénètre la chambre à poil et nous regarde. Seule une faible et douce lumière subsiste. Une musique de slow langoureux emplit faiblement l’espace. Je sens le regard tendu du jeune homme, la main sur sa bistouquette, il s’assoit sur le lit et nous contemple pour la deuxième fois le champ de bataille. David, qui a pris rapidement beaucoup d’assurance, entreprend une masturbation sur son poireau redevenu très raide, normal il est jeune. Sa mère lui lance d’un air moqueur :

- Petit salop, tu aimes nous regarder comme ça ?

- Oui maman, je suis tellement bien.

Rétorque David sans cesser de se caresser la tige. Après quelques secondes Christine qui semble en vouloir toujours plus, demande à nouveau à son fils

- Tu as envie de nous toucher David ?

- C'est vrai…… Je peux ?

Liliane prend la main libre de son fils et l'entraîne entre nos ventres.

- Va mon grand, fais ce que tu as envie, te retiens pas.

Je crois rêver, je ne reconnais plus mon amour, très libérée certes, mais je ne pensais jamais en arriver à ce stade.
David prend directement ma verge en main et commence un lent va et vient entre le pubis de sa mère et mon ventre. Je me retire un peu pour lui donner plus de place, il me masturbe comme un pro. Son autre main tente de titiller le clito de sa mère, mais son manque d’expérience l’empêche de continuer. Je me tourne pour qu’il agisse convenablement, sa mère pousse des gémissements affriolants.
Je dois mettre mon grain de sel :

- Attend David, lui dis-je. Je vais te montrer comment faire.

Je me mets sur le côté et avec une grande attention, j’écarte les poils, ouvre les lèvres pour découvrir les trésors, je lui montre comment flatter le clitoris. Il suit mon exemple, il pose son doigt entre les lèvres et commence une caresse que je suis obligé de freiner pour que sa mère n'explose pas tout de suite. Je le soutiens en passant ma main sur son thorax, pour à mon tour empoigner sa saucisse bien rigide. Je le caresse, pour moi c’est divin de tenir cette chose un peu plus petite que la mienne, c’est surtout très excitant.
Evidemment il ne va pas tenir très longtemps dans ces conditions, je le dirige délicatement vers la bouche de sa maman qui s’ouvre immédiatement pour absorber la virilité de son fiston. Je me réinstalle entre les cuisses de ma chérie, la pénètre et tous les deux jouissons très rapidement. La tête de David vient sur mon épaule, la bouche ouverte se pose sur ma peau pour étouffer son cri de plaisir dans sa jouissance. Sa maman le retient encore un peu entre ses lèvres en dégustant son bonheur.
Christine et moi ressentons le même bien-être, David est en plein épanouissement, il sort lentement de la bouche de sa mère et s'écroule contre moi, le nez dans ma toison thoracique. Je me pousse un peu, David pose sa tête sur le ventre de sa maman. Je m’empresse d’embrasser Christine, le goût du sperme de son fils est dans sa bouche et elle le sait, c’est pourquoi son baiser est profond. Nous nous écartons de David qui est couché sur le ventre, il se détend, nous regardons son petit cul aux fesses rebondies bien étalées. Elle passe sa main sur le fessier comme une caresse maternelle puis elle les écarte un peu comme pour me dire : regarde comme mon fils est beau. C’est vrai que ce petit cul est beau et attirant, sans hésiter un seul instant je pose ma bouche sur les monticules de chair puis sans tardé je vais entre les deux, dégagé par les mains de sa mère, ma langue va sur le petit trou plissé. David est parcouru de petits frissons de plaisir, je prends une énorme joie à lécher cet endroit, je me retire. Sa mère vient à son tour placer sa bouche entre les fesses de son fils, tour à tour nos langues se mélangent dans cet enchantement ravissant.
Nous endormons tous les trois enlacés et épuisés de cette journée exceptionnelle.

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Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : vous avez dit inceste
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Lundi 29 juin 1 29 /06 /Juin 16:03

 

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Chapitre 1

Ce dimanche matin je traîne au lit. Dehors il fait gris même un peu froid. J’écoute rêveusement le CD que j’ai acheté hier, les suites pour violoncelle solo de Bach. À notre dernière rencontre, Lise m’avait offert une autre version. Lise est ma sœur ainée que je n’ai pas vue depuis si longtemps, elle m’a téléphoné la semaine passée pour m’annoncer sa visite pour aujourd’hui.

Étudiantes, nous étions tout le temps collées ensemble et jamais,  nous ne nous sommes ennuyées et encore moins disputées. Elle avait passé deux ans ici pour finir son troisième cycle, deux années… fabuleuses, et puis elle était partie à Montpellier pour finir ses études.

Quand je pense à elle, une soudaine envie de mer monte à mon esprit, le même appétit de sel cristallisé sur une peau dorée qui montait lorsque je l’écoutais me raconter ses dernières aventures avec ses princes charmants. Elle me fascinait, j’admirais son élégance, son charme, ses yeux profonds, sombres comme ses cheveux, sa peau lisse, tendue sur des rondeurs presque enfantines. En fait elle me ressemblait comme deux gouttes d’eau.

Elle doit arriver vers midi. Un coup d’œil au réveil. Mes souvenirs m’ont emmenée bien loin. À côté de moi, le plateau de mon petit-déjeuner, des miettes partout ! Le reflet dans le miroir de la table de nuit : je me vois fripée, les cheveux en bataille au milieu des draps en pagaille. Alerte rouge !

Douche, ravalement de façade, rangement de la chambre, habillage… Et pourtant, je ne suis pas une rapide dans ce domaine… mais c’est Lise qui arrive, ça mérite une exception aux (mauvaises) habitudes…

J’enfile une jupe cloche et un tee short pour être à l’aise et que j’adore, je m’installe avec un dernier café sur mon canapé, les pieds nus repliés sous ma jupe.

On sonne.

Mon cœur part à fond. Je saute du canapé, je suis soudain devant la porte. Je respire profondément. Une fraction de seconde, j’ouvre. Je ne vois d’abord que ses yeux qui m’hypnotisent instantanément.

Le temps ne passe plus. Nous restons face à face quelques longues secondes. Nous nous sourions. Trois ans, c’est long… Et puis je me jette dans ses bras, elle en fait autant. Nous nous embrassons en riant. Nous sautillons de joie sur le palier, comme des collégiennes, nous tenant les mains.

-   C’est super, c’est vraiment super.

Nous nous écartons à bout de bras pour mieux nous regarder. Les phrases fusent, se croisent, se coupent :

-   Tu es toujours superbe. 

-   Tu es encore plus belle qu’il y a trois ans. 

-   Trois ans ? Autant que ça ? J’ai l’impression qu’on s’est quittées hier. 

-   C’est vrai. J’ai l’impression qu’il ne s’est rien passé depuis que tu es partie.

Et puis le calme revient. Je me penche vers sa valise.

-   Viens ! Rentre vite ! Tu as fait bon voyage ?

De palabres en palabres, on rigole, je lui propose d’aller prendre une douche pendant que je prépare un petit casse-croute.

Les mots se bousculent dans ma bouche, elle rit gentiment :

-    Julie ! Ça fait trop de questions à la fois ! Tu es terrible ! Laisse-moi le temps de reprendre mon souffle. Avec  ce long voyage, j’ai vraiment l’impression de marcher à côté de mes pompes.

Je la laisse se diriger vers la salle de bain et je vais dans la cuisine mettre en route la machine à café. Je suis excitée comme une puce et, en même temps, je me sens pleine d’une joie tranquille en l’entendant s’activer dans la salle de bain. La douche coule.

De sentir à nouveau ma sœur dans mon appartement me donne l’impression d’être à la maison, d’être chez nos parents.

L’odeur du pain que je fais griller se répand dans l’appartement, bonne odeur d’un dimanche heureux. Je nous prépare un plateau avec des œufs brouillés, des céréales, des fruits sur une coupelle, un yaourt et je décore le plateau avec un minuscule bouquet artificiel de myosotis en papier. Je pose le tout sur la table du salon.

Puis elle arrive vêtue de mon peignoir,

-   Superbe ! Tu es superbe ! Toujours aussi superbe grande sœur.

Elle s’assied sur le canapé, je me serre tendrement contre elle.

-   Je suis tellement heureuse de te revoir. On n’aurait jamais dû attendre si longtemps !

-   C’est vrai. C’est idiot de se perdre de vue comme ça, alors qu’on s’est toujours si bien entendues.

Elle passe affectueusement son bras sur mon épaule et me tourne vers le miroir pour me regarder dans les yeux. Nous restons un instant,  silencieuses.  Je murmure :

-   C’est vraiment super que tu sois là.

Elle farfouille dans mes cheveux, en un geste protecteur. Soudain, elle se penche et me place un gros bisou qui fait « clac » sur ma joue.

L’émotion de l’avoir si près de moi me noue la gorge. Je me secoue.

-   Allez, on mange un peu,  je meure de faim.

Elle sent bon le propre, n’a pas encore mis de parfum et je sens sa douce chaleur auprès de moi. C’est comme si nous nous étions quittées la veille, comme si nous reprenions une conversation interrompue pendant seulement quelques minutes. Et pourtant nous avons tellement de choses à nous raconter…

-    Et alors, lui dis-je enfin, c’est comment le mariage ?

Elle rit.

-  Tu sais, ça a vraiment été une surprise pour moi, je ne prévoyais pas de me marier aussi vite. Et puis Denis a vraiment changé ma vie.

-   Comment il a changé dans ta vie ? Allez, vilaine cachottière, raconte-moi tout, avoue ! Hein ? Tu te souviens de l’effet que tu lui faisais ? Et moi qui ne pouvais pas dormir, à côté, à cause de vos hurlements !

Nous sommes écroulées de rire. J’ai renversé un peu de café sur mon châle en faisant la folle, j’éponge avec un torchon, elle m’aide avec une serviette en papier.

Nous reprenons notre souffle.

-   Et toi, me dit-elle, tu as quelqu’un ou tu es toujours célibataire ?

-    Je n’en ai pas encore trouvé un qui va changer ma vie hélas ! Et puis, les mecs m’énervent en ce moment !

Elle me sourit. Elle sent bon, elle est gaie, elle est contre moi. Son peignoir s’est ouvert pendant nos petits combats et je sens soudain sa cuisse nue toucher la mienne comme par inadvertance, me communiquer sa chaleur. Elle me regarde. J’ai ses deux jolis yeux rieurs plantés dans les miens.

-   Et avec une fille ? Tu as déjà essayé ?  Laisse-t-elle tomber avec naturel.

Hein ? Quoi? Je rêve ? Je me sens soudain complètement nigaude. Je pense à toute vitesse : « Non, je n’ai jamais vraiment essayé ça. Je me souviens juste de quelques jeux de touche-pipi quand j’étais petite fille, mais depuis, plus rien, ne serait-ce même qu’en pensée. » Je me sens soudain à la fois anxieuse, gênée, curieuse, impatiente et effrayée. Mais pourquoi cette question ? Qu’est-ce que ça veut dire ? Comment lui répondre ? Lise, ma grande sœur,  que me dis-tu ? J’ai peur de te répondre. J’ai peur de gâcher ce bel instant, ta cuisse contre la mienne, ton regard, cette question indiscrète posée si innocemment. Et si je me trompais ?

J’ai peur, soudain, de ce qui va peut-être, de ce qui risque de se passer. Je me sens aussi vulnérable que si j’avais dix ans. J’ai envie de fuir à toutes jambes. Lise! On a vécu ensemble pendant deux ans quand on était étudiantes. Rien, jamais ! Des hommes pour chacune ! Tant et tant d’occasion où il aurait pu se passer quelque chose, et pourtant… rien ! Nues toutes les deux, parfois ensemble dans la baignoire… et rien ! Alors pourquoi maintenant ? Que se passe-t-il ? Non ! Je suis folle ! Elle n’a rien sous-entendu, c’est moi qui m’imagine… Mon cœur bat, mes joues sont rouges, je le sais, je le sens… Mon émotion s’amplifie. Non, impossible ! Je respire profondément, je me calme un peu. Mes yeux se posent sur sa bouche, je n’entends plus le son de sa voix, je regarde ses lèvres, son sourire, ses dents, la pointe de sa langue… Je me surprends soudain à prier intérieurement : « Lise s’il te plait, continue ! Drague-moi, séduis-moi je t’en supplie… » Je ne sens plus que la chaleur de sa cuisse contre la mienne. Il me semble que plus rien n’existe que ce contact brûlant entre nos deux corps. J’ai la gorge nouée et j’ai très chaud. J’ai pendant une fraction de seconde la tentation d’en profiter pour me lever, fuir ainsi le contact troublant de sa cuisse. Mais au lieu de ça, voilà que je me laisse aller en arrière sur le dossier moelleux du canapé ! Mais qu’est-ce que je fais ? Je suis folle ou quoi ? Je m’aperçois que je n’ai fait ce mouvement que pour avoir une excuse plausible pour laisser peser d’avantage ma cuisse contre la sienne. Nos jambes sont maintenant serrées l’une contre l’autre. Ma jambe fraîchement épilée contre sa cuisse brune et ferme qui jaillit du peignoir bleu. Elle n’a pas relâché sa pression et je me laisse aller d’avantage contre elle. Mon Dieu ! Qu’est-ce que je fais, mais qu’est-ce que je fais ? Mon émotion change de nature, descend de mon visage et de ma poitrine vers le bas, vers mon ventre où je sens naître une douce chaleur au plus intime de mon corps. J’ai la bouche sèche et le cœur qui palpite. Va-t-elle le sentir ? Va-t-elle comprendre ce que je n’avais jamais moi-même compris jusqu’à cet instant ?

Et puis soudain, la panique : Si je me suis trompée, quelle horreur ! J’en mourrais de honte et de dépit.

Je voudrais trouver quelque chose à lui répondre, cessée d’avoir l’air complètement idiote, mais je crains que le son de ma voix ne me trahisse. Dans un souffle, je réussis à bredouiller :

-   Non, je n’ai jamais essayé…. Je ne sais pas si j’aimerais… Je me demande bien ce que ça me ferait…

Elle passe son bras gauche derrière moi, le pose négligemment sur le dossier du canapé. Je la sens s’appuyer légèrement contre moi. Maintenant, c’est tout son côté gauche qui s’appuie contre mon corps. À cet instant, tout pourrait encore s’interrompre et on prétendrait qu’il ne s’est rien passé d’autre que des gestes d’amitié comme le font parfois deux sœurs.

Je me sens soudain très heureuse, excitée bien sûr, mais surtout étrangement, extraordinairement vivante. Je sens la vie qui circule à toute vitesse dans mes veines. C’est le plus beau matin de ma vie. Lise est assise tout contre moi. Nous restons immobiles, soudain silencieuses. J’ai de plus en plus chaud, je laisse mon corps peser vers le sien. J’espère qu’elle sentira, qu’elle comprendra, qu’elle osera, car moi je n’oserai jamais.

Mais au fond de moi, je sais confusément qu’elle a tout compris, tout deviné depuis un moment déjà, depuis qu’elle a senti ma cuisse s’abandonner contre la sienne, qu’elle m’a senti accepter, accueillir sa présence, depuis que ce contact chaleureux irradie nos deux corps d’ondes de bonheur, depuis que ce contact s’est prolongé au-delà du convenable. Quelques secondes de trop et ce n’était plus un simple contact fortuit. C’était déjà le signe évident de mon consentement que tout mon corps, tout mon être lui envoyait passionnément. Je prie en retenant ma respiration « Oh mon Dieu, faites qu’elle ne se moque pas de moi, faites que je ne me sois pas trompée ! » Mais je sens bien qu’elle aussi a compris que nous n’avons plus qu’à cueillir ensemble le beau fruit de notre désir, pour le déguster lentement, sans précipitation.

Elle pose tendrement sa tête sur mon épaule, le nez dans mes cheveux. Je ferme les yeux et j’incline légèrement ma tête vers la sienne pour m’y appuyer à mon tour. C’est très doux. Nous restons serrées l’une contre l’autre. Sa respiration est plus courte et je la sens brûlante sur ma peau, comme la mienne, comme si nous avions la fièvre l’une et l’autre. Je sens l’odeur de son corps, son parfum de femme. Je sens sa chaleur se répandre en moi. Je fonds, ma chatte répand une douce chaleur dans mon ventre, dans tout mon corps. Je suis déjà trempée de désir. Un petit déclic se fait dans ma tête à l’idée que ma sœur aussi, doit déjà être toute mouillée. À cette seule pensée, je sens ma culotte inondée.

-   Tu sens bon, murmure-t-elle dans mon cou, tu es si douce…

-   Toi aussi !

Ma voix n’est qu’un pauvre souffle.

La musique s’est arrêtée, mais je ne voudrais pour rien au monde me lever pour changer le CD et prendre le risque de rompre le charme. Dans le calme de mon petit salon, on n’entend plus que nos respirations. Enfin, ses lèvres déposent un premier baiser dans mes cheveux, puis un deuxième. Elle a enfoui son visage dans mon cou comme pour y cacher son trouble et son ivresse. Sa bouche ne veut plus se détacher de moi. Je tourne imperceptiblement la tête vers elle. Ses lèvres touchent doucement ma joue. Je suis bouleversée, mon cœur bondit dans ma poitrine et un petit animal chaud, soyeux et dégoulinant de mouille hurle son désir dans mon ventre. Les yeux fermés, je m’abandonne dans ses bras avec un soupir de ravissement absolu. Ses lèvres glissent sur ma joue, s’approchant avec une lenteur exaspérante du coin de mes lèvres.

Nous échangeons enfin un premier baiser timide. Goût étrange et affolant du café et de la cigarette qu’elle fumait à l’instant. Je me serre contre elle et, gardant les yeux mi-clos, comme si les ouvrir et croiser son regard risquait d’interrompre cet instant délicieux, je profite discrètement du spectacle de notre tendre corps à corps. Je veux à présent qu’elle aille plus loin, que nos caresses ne s’arrêtent plus, que tout retour en arrière soit impossible, qu’aucune honte, aucun remord ni souci de bienséance ne fasse plus jamais obstacle à nos désirs, à mon désir que je sens grandir et m’entraîner irrésistiblement. Je n’entends plus que le bruit mouillé de nos baisers.

 

 

Chapitre 2

 

Nous interrompons quelques secondes notre baiser, mais nous restons silencieuses l’une et l’autre, tendues de trop d’impatience, de trop d’anxiété. Nos lèvres se rejoignent de nouveau. Nos baisers d’abord prudents et légers se font de plus en plus sensuels. Une sorte d’avidité soudaine nous saisit. Nous voici assoiffées l’une de l’autre, prises d’un appétit féroce de goûter nos lèvres.

Je sens un goût nouveau dans ma bouche. Un goût salé. Je me recule légèrement.

Lise pleure.

Je m’affole :

-   Qu’y a-t-il ?

-    Je suis si heureuse d’être là, d’être enfin là, de t’embrasser enfin ! Je pleure de plaisir, ma chérie, je pleure de bonheur.

« Ma chérie » a-t-elle dit. Je sens ma propre émotion à son paroxysme. À mon tour, des larmes coulent sur ma joue, se mêlant aux siennes, à nos salives. Nous restons serrées l’une contre l’autre, intense moment d’émotion partagée, de bonheur vertigineux. J’attendais ce moment, sans même le savoir, depuis si longtemps !

Je suis soudain totalement hors de moi. Je me jette contre ma sœur avec frénésie. Mes mains parcourent nerveusement ses épaules. Ses caresses se font elles aussi plus violentes. Nous sanglotons en nous embrassant. Je suis complètement trempée. Je coule de partout, j’ai l’impression qu’il va bientôt y avoir une flaque sous moi. Je n’imaginais pas les caresses entre filles comme ça. Je pensais que serait moins intense, moins rude qu’avec un homme, j’imaginais des mièvreries, des câlins sans consistance. Je me rends compte qu’au contraire le chemin du plaisir s’annonce encore plus escarpé, la pente encore plus vertigineuse.

D’un mouvement, elle fait glisser le peignoir de ses épaules. Je pose ma joue sur sa rondeur soyeuse, je respire voluptueusement son odeur et caresse son épaule de mes lèvres. Je lèche doucement. Ma salive exalte son parfum. Je me régale comme jamais je ne me suis régalée. J’ignorais pouvoir ressentir une telle envie de femme. Je m’interroge. Suis-je soudain devenue homosexuelle, gouine, comme on dit ? Oh et puis, je m’en fiche, on verra bien plus tard. Pour l’instant, je ne veux qu’une chose : continuer, rester dans ses bras, respirer son odeur, goûter sa peau, ses lèvres, me laisser emporter par l’ivresse qui nous a saisies toutes les deux.

Lise me sourit. Le peignoir s’entrouvre. C’est elle qui a dénoué la ceinture pour m’encourager à de nouvelles caresses. Sa poitrine est là, offerte, tendre, lourde et ferme. Je me redresse et je lui souris largement en croisant son regard lumineux. Je lui suis tellement reconnaissante de s’offrir ainsi à mon regard, à mes caresses, à mes baisers.

Elle murmure.

-   Julie, tu n’es pas obligée de…

Je chuchote contre son oreille.

-    Tais-toi ! J’en ai envie moi aussi. Mais j’ai un peu peur. Je n’ai jamais…

-    C’est la première fois qu’une fille t’embrasse ?

-    Oui, c’est la première fois.

-   J’ai envie de toi. Julie, tu sais que tu es très attirante ?

-   Déconne pas ! Tu es mille fois plus jolie que moi.

-   C’est vrai, je suis une déesse ?

Elle rit, puis reprend.

-   Mais toi, tu as quelque chose que je n’ai pas, que je n’aurai jamais.

-   Quoi donc ?

-   Ton regard. Tes yeux sont magnifiques. Quand tu me regardes, je fonds littéralement. Et cela a toujours, toujours été comme ça ! »

J’en reste estomaquée… Mon Dieu, elle y a pensé, à l’époque… Mais pas moi !

Elle doit prendre mon silence pour autre chose, un refus peut-être, et semble vouloir changer de conversation. Elle pose sa main droite sur ma cuisse, me caresse tendrement le genou puis remonte le long de la jambe.

-   Hum, tu es toute douce. Tu t’es épilée ce matin ? Hier ?

Je la laisse faire, anxieuse et impatiente de sentir sa main arriver plus haut. Ma voix tremblante chuchote un « oui » étranglé. J’écarte légèrement les cuisses en me renversant encore un peu plus en arrière sur le canapé, les yeux fermés. De ce geste, je lui ai tout dit, je me suis livrée à elle. Lise continue à me caresser les jambes sans hâte. On la croirait calme mais je sens que sa main tremble un peu. Sa respiration frôle ma joue, son visage se penche vers moi, ses lèvres touchent les miennes. Nous nous embrassons à pleine bouche. Je n’ouvre pas les yeux, pour mieux savourer.

Sa main poursuit sa promenade vers ma culotte et ma chatte qui n’en peut plus de mouiller. Avec son autre main, elle remonte mon tee short sur mes épaules, découvrant le haut de ma poitrine. Elle se redresse devant moi. Son geste achève de faire tomber son peignoir. La voilà nue, à genoux sur le canapé. Ses seins sont à la hauteur de mon visage. Je me serre contre sa poitrine et je plonge dans un océan, je suis au paradis. J’embrasse ses seins, d’abord timidement, avec douceur et attention, puis je m’attarde sur ses mamelons que j’imagine être aussi sensibles que les miens. Mais ces petites délicatesses ne me suffisent plus et je me mets à la peloter avec force.

C’est au moment précis où je lâche enfin la bride à mon désir que sa main atteint mon pubis.

Je gémis à ce contact. Je pense si fort « prends-moi, caresse moi, baise-moi ! » qu’un « oui ! » rauque sort involontairement de ma gorge. « Oui, ma chérie, prends-moi, déshabille-moi ! Je n’ai qu’une hâte : que tu libères ma petite moule trempée qui n’espère que tes doigts. » Est-ce que je pense ou est-ce que je parle ? Je ne sais plus…

 

À califourchon sur mes genoux, elle entreprend de me déshabiller. Ma jupe troussée jusqu’au nombril laisse apparaître ma lingerie. Je me dis en moi-même que j’ai rudement bien choisi la culotte pour l’occasion.

 

Elle se recule pour m’admirer. Elle se penche en s’accroupissant devant moi, sur le tapis. Je ne me contrôle plus. J’écarte les cuisses, lui donnant libre accès à mon intimité et lui offrant une vue en gros plan de ma petite culotte légèrement transparente. Lise  s’avance jusqu’à me toucher. Je frémis des pieds à la tête en sentant la pression de son visage contre mon entrejambe. Elle respire mon odeur. Je suis tellement excitée que je suis sûre que ma mouille a dû traverser le fin tissu du sous-vêtement.

-   Hmm, dit-elle d’une voix rauque, tu sens bon !

Elle se redresse et me regarde d’un air mutin

-   Regarde le bout de mon nez ! Coquine, c’est toi qui l’as mouillé !

Je me sens rougir de confusion. Elle rit.

-    Je crois que tu as besoin d’un peu d’air, il doit faire une chaleur terrible dans cette petite culotte !

Elle se penche à nouveau mais c’est pour saisir de ses deux mains les côtés du slip. Je comprends qu’elle va me déculotter. J’ai toujours adoré cet instant délicieux où l’on peut juger de l’habileté de son partenaire. Mais cette fois-ci le partenaire est une partenaire, une fille, une femme. Les yeux fermés, renversée en arrière, je soulève mes fesses pour faciliter l’opération. J’aime cet instant précis où ma chatte est libérée, où elle peut s’épanouir à l’air libre. Je resserre mes cuisses pour permettre au vêtement de glisser plus facilement puis je reste immobile, attendant la suite avec une curiosité anxieuse. Ma sœur se penche sur ma chatte, son visage se pose sur ma motte, sur ma petite touffe soigneusement épilée. Elle prend le temps de me respirer, mes pensées courent à cent à l’heure « Imagine-toi ! Regarde-toi ! Te voilà avec une fille le nez fourré dans ta chatte. Oh Lise ma chérie, vas-y, vas-y, bouffe moi ! Je t’en prie, n’attends pas plus ! Je deviens folle. »

Ma frangine me saisit soudain par le dessous des cuisses qu’elle relève, me forçant à passer mes jambes au-dessus de ses épaules. Ce mouvement a pour deuxième effet d’écarter largement mes jambes et de placer mon sexe trempé devant son visage coloré par l’excitation.

J’explose de bonheur quand je sens enfin sa bouche sur ma fente. Je ruisselle, mon cul s’ouvre, s’offre. Je caresse doucement ses cheveux. « Oh ma chérie ! Bouffe-moi ! Vas-y bordel ! J’en peux plus ! Tu me rends dingue ! »

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Elle promène ses lèvres sur ma vulve que je sens gonfler et qui doit être toute rouge et luisante. Lise trouve mon clitoris et le câline avec la langue. Je n’en peux vraiment plus maintenant, je saisis sa tête de mes deux mains et, en remontant mon bassin, je viens presser mon con contre son visage. Je veux qu’elle me bouffe vraiment. Sa bouche aspire mes lèvres, les pince, remonte pour téter mon clito, le mordiller. Je suis tellement excitée que je suis cambrée, tendue comme un arc, mes épaules reposant à peine sur le dossier du canapé et mes pieds poussant sur son dos pour presser du mieux possible mon cul sur le visage de ma chérie. Je me branle sur elle autant qu’elle me bouffe. Son nez, sa langue me pénètrent partout, ses doigts s’enfoncent dans mon con, m’envoyant des ondes de bonheur dans le ventre, dans le cul. Elle enfonce un doigt, puis deux, puis trois, puis quatre. « Oui, enfonce toi en moi, viens… » Je suis écartée, je veux être écartelée. Je mouille toujours plus abondamment mais ça n’a pas l’air de gêner ma chérie qui pousse de petits grognements de satisfaction en me bouffant le cul dans un clapotis obscène. Je me sens plus femelle que je ne l’ai jamais été avec un homme. Je caresse ses cheveux, ses épaules avec mes mains. Je frotte mes jambes le long de son corps comme pour l’emprisonner. Je baisse une jambe, glisse un pied entre ses cuisses et pose mon gros orteil sur sa chatte. Je sens une chaleur intense et son jus vient tremper mon pied. Je tends ma jambe pour presser fort son intimité. « Vas-y ma chérie, branle-toi sur moi. Prends ton pied avec le mien ! » Comme si elle devinait mon intention, elle resserre les cuisses et emprisonne mon pied contre son vagin. Je sens les mouvements de son bassin qui vient chercher son plaisir sur moi.

 

Nous haletons toutes les deux et je sens mon plaisir monter de plus en plus fort. Je sens soudain un doigt s’enfoncer dans mon cul. J’ai le fessier tellement trempé que mon petit trou s’ouvre docilement et l’accueille avec bonheur. J’imagine ses jolies mains si soignées, ses doigts fins et élégants s’enfoncer dans mon cul, dans mon con. Cette image, jointe au geste brutal de Lise qui, sans cesser de me bouffer, m’enfonce soudain son majeur dans le cul en le tournant, achève de m’emporter dans un orgasme irrépressible et violent.

Je m’entends pousser une série de cris aigus quand le plaisir m’emporte et explose comme un feu d’artifice dans mon ventre et dans ma tête.

Elle abandonne soudain mon pied et c’est avec sa main qu’elle me suit dans le plaisir, me rejoignant en poussant des gémissements étouffés tout en enfonçant frénétiquement son nez dans ma chatte, chacun de ses gestes démultipliant son plaisir et le mien, elle se presse de toute sa force contre mon cul, comme si elle voulait y rentrer.

Après un ultime coup de rein, je me laisse retomber, épuisée et ravie.

Nos gémissements se sont tus et nous restons immobiles, comme foudroyées. Lise est toujours entre mes jambes, le nez dans ma chatte. Je suis renversée sur le canapé, la jupe retroussée jusqu’aux aisselles, les seins à l’air, le cul à l’air. On doit faire un drôle de tableau !

Lise ouvre les yeux, sourit, recule un peu le visage. Son œil accroche mon slip posé sur le divan.

-   Wow ! Super petite culotte. Qu’est-ce que c’est mignon.

-    Tu aimes ?

-   Ouais ! J’adore ! J’en ai une autre de la même collection. »

 

Ce dialogue est complètement surréaliste après ce qui vient de se passer entre nous. Un fou rire irrésistible nous entraîne. Lise se relève, le visage trempé de mouille, elle rit comme une folle, moi aussi. Deux filles folles à lier, nues, en train de se rouler par terre de rire.

Je suis prise d’une envie de pisser frénétique.

-    Il faut… absolument… que j’aille pisser ! Arrête ! Je vais mourir de rire et je vais pisser ! J’ai trop envie !

 

Elle joue un instant à me retenir mais, comprenant que nous courons à la catastrophe, elle me lâche.

Incapable d’arrêter de rire, je cours pliée en deux vers la salle de bain. J’y arrive juste à temps. Ouf ! J’hésite à enfiler un peignoir et c’est finalement toute nue que je retourne dans le salon. Sur le canapé, une énorme tache sombre d’au moins quinze centimètres de diamètre marque l’emplacement de mes fesses. Je suis sidérée ! J’ai vraiment mouillé autant ?

Assise au pied du canapé, Lise est restée dans la position où je l’avais laissée. Elle contemple la tâche en souriant, la caresse du bout de ses doigts sublimes puis me regarde d’un air amusé.

-   Eh bien, quel joli travail ! dit-elle en faisant mine de me gronder. Tu en seras quitte pour apporter la housse au pressing.

-   Et qu’est-ce que je vais lui raconter moi, au gars du pressing ?

On rigole toutes les deux. Je l’aide à se relever.

-   Viens ma chérie, viens vite dans mon lit.

Nous courons main dans la main pour nous glisser prestement sous la couette. Nues l’une contre l’autre, rassasiées de plaisir, enfin détendues, nos corps enlacés dans la douce odeur du sexe, nous restons à savourer notre bonheur. Nous savons que notre désir va renaître et que notre plaisir sera encore plus intense. Nous sentons que quelque chose de très fort vient d’arriver. Je sais que nous allons encore rire ensemble, nous moquer gentiment l’une de l’autre en nous promettant de recommencer bientôt, et de recommencer encore et encore jusqu’au plus ultime plaisir, jusqu’à la folie… Baiser toutes les deux, jouir à en mourir et recommencer, tranquillement, sans retenue, avec toute l’impudeur de nos deux désirs jumeaux, de nos deux désirs purs de tout enjeu de domination, de toute arrière-pensée.

 

 

Chapitre 3

 

Ce jour-là, Lise n’a pas trouvé la force de repartir. Elle a téléphoné à la compagnie aérienne pour annuler sa réservation et en prendre une autre pour le lendemain. Nous avons fait l’amour toute la journée, toute la soirée, et encore ensuite.

En me réveillant dans la nuit, j’ai senti sa chaleur contre moi et j’ai eu envie d’elle, envie de lui donner du plaisir. Sous mes caresses elle s’est réveillée à son tour, ronronnant sous mes câlins. J’ai glissé ma tête sous la couette et je suis descendue vers sa chagatte. Mon impudeur et mon audace étaient amplifiées par l’obscurité. Je me suis mise tête-bêche à côté d’elle, espérant qu’elle comprendrait ce dont j’avais envie. Elle n’a pas tardé à se glisser elle aussi entre mes cuisses pour me déguster le minou. Je ne savais pas qu’un  soixante-neuf  entre filles pouvait être aussi décoiffant, aussi formidable.

Je crois que j’ai joui au moins dix fois cette nuit-là. Plus je jouissais, plus elle jouissait et plus le chemin de notre plaisir devenait facile. Nous avons baisé jusqu’à l’épuisement, ne nous interrompant que lorsque nos ébats nous laissaient anéanties de bonheur. Au petit matin, cette fois-ci, c’est sans fausse pudeur que nous nous sommes jetées l’une sur l’autre. Nous connaissions désormais nos corps, nos désirs, nos points les plus sensibles. Confortablement installées l’une dans l’autre, nous nous sommes régalées de nos sexes, de nos culs.

Nous sommes endormies le nez de l’une dans la chatte de l’autre. Enfin, endormies est bien un grand mot ! Disons plutôt que nous avons somnolé quelques heures dans un état second.

Ce matin-là, ce sont deux zombies, épuisés par ces longues heures de folie et de frénésie sexuelle, qui se sont traînées jusqu’à la salle de bain. Nous sommes restées un long moment à nous savonner mutuellement sous le jet d’eau brûlante. Étroitement serrés dans la petite cabine qui n’avait pas connu telle affluence depuis bien longtemps, nos deux corps couverts de mousse glissaient doucement l’un contre l’autre. Après tant d’émotions, la chaleur apaisante de la douche a finalement eu raison de nos forces. Epuisées, nous sommes vite retournées au lit pour glisser dans un profond sommeil.

C’est la faim qui nous a fait sortir de notre torpeur. Comme il ne restait plus grand chose dans mon frigo, je suis vite descendue acheter quelques bricoles à l’épicerie du quartier. Quand je suis remontée, la valise de Lise attendait déjà dans l’entrée. J’ai détesté cette valise. Me retenant à grand peine de ne pas la démolir à coups de pieds, je décidai de la traiter par le mépris.

Elle avait mis le couvert sur la table de la cuisine. Vêtue en tout et pour tout d’une petite culotte, elle m’attendait, sagement assise devant son assiette. Suivant son exemple, je me suis aussitôt remise dans la même tenue. Deux Ève au paradis de leur intimité grignotèrent en bavardant innocemment, essayant à toutes forces d’oublier l’heure qui tournait et rapprochait inexorablement le moment du départ.

Pendant qu’elle s’habillait, il me fallut téléphoner pour lui commander un taxi.

Dans l’entrée, je l’aidai à enfiler son manteau.

-   On reste en contact.

-   Oui, bien sûr, c’est promis.

 

Nous avons échangé un long et ultime baiser passionné. Je pleurais en l’étreignant devant la porte du palier. J’ai entrouvert la porte d’un geste irréfléchi, j’avais envie qu’on nous voie, envie d’un témoin pour notre passion, j’étais tellement fière d’être devenue son amante.

-   Il faut que j’y aille maintenant. Le taxi m’attend depuis un moment, je risque d’être en retard à l’aéroport.

Après un dernier baiser, elle s’écarte vivement et la porte de l’ascenseur se referme derrière elle. Elle n’est plus qu’une ombre indécise derrière la vitre opaque, elle disparaît, elle a disparu. La porte du hall de l’immeuble claque en se refermant, le taxi démarre, le bruit de son moteur s’éloigne rapidement et s’éteint. Seule, désemparée, éperdue, je reste immobile, comme assommée.

En quelques heures, tout a changé, toute ma vie a été bouleversée, balayée par un grand vent de tempête, un vent de folie. Je suis épuisée par cette nuit de baise frénétique, par ces émotions violentes et nouvelles. La fatigue répand une détente voluptueuse dans tout mon corps, jusqu’au cœur de mes os, jusqu’au plus profond de mon ventre.

 Je me relève péniblement et je me traîne jusqu’à l’ordinateur. Mon image se reflète vaguement sur l’écran qui s’allume doucement. Je tape les premiers mots de mon premier e-mail à ma première amante.

Mon cher petit ange

Tu es partie depuis dix minutes et déjà tu me manques. J’ai faim de toi, de tes caresses, de ta douceur, de ta beauté, de ton calice. Je te veux encore contre moi, dans mes bras. Je veux sentir à nouveau la douceur de nos pointes de seins qui se caressent, jouir dans ta bouche et te sentir jouir dans la mienne. Oh ma chérie, dis-moi que toi aussi tu me veux. Reviens vite ! Écris-moi vite, mon petit ange, écris-moi !

Dans la soirée, j’avais reçu sa réponse à laquelle j’avais moi-même répondu aussitôt, fiévreusement. Depuis j’étais comme droguée. Dix fois, vingt fois par jour, même au bureau, je vérifiais si un nouveau message d’amour de ma Lise chérie ne m’attendait pas. Je n’avais plus qu’une obsession : voir son adresse dans la liste des nouveaux messages, ressentir une nouvelle fois ce choc auquel j’étais désormais accrochée comme une toxicomane à son shoot d’héroïne, un choc dans mon ventre, violent et doux, au plus intime de mon corps où naissait une intense boule de chaleur qui grandissait, m’emplissait, se transmettait à mon cœur, faisant battre mon sang dans mes tempes, rosir mon teint, gonfler ma poitrine et s’entrouvrir mes lèvres tandis que mes cuisses se serraient convulsivement sur l’émotion humide de ma fente.

Les premiers messages qui suivirent ce fameux week-end « bousculant » furent brefs, presque violents, comme des cris. Puis nous avons commencé à prendre notre temps, à explorer plus tranquillement nos désirs. Je me demandais si mes collègues n’allaient pas finir par remarquer quelque chose d’inhabituel dans mon comportement.

Je conservais précieusement tous nos échanges. Peut-être elle aussi les avait-elle conservés et les lisait-elle et relisait-elle encore en s’attardant sur les mots les plus crus et excitants, sur les images délicieusement indécentes qu’ils évoquaient dans son esprit.

J’aimais l’imaginer le feu aux joues, les yeux brillants, la chaleur grandissante de son entrejambe annonçant le doux réveil de sa chatte qui s’ouvre et se gonfle, humide, puis trempée de désir. Elle m’écrivait vouloir offrir son cul à mes regards et à mes caresses. Elle me disait qu’en lisant mes messages, elle ne pouvait s’empêcher de glisser sa main sous sa robe pour baisser sa culotte sur ses cuisses et offrir un peu de fraîcheur à sa chatte, enfoncer ses doigts dans sa chaleur moelleuse et se câliner doucement d’un doigt léger.

Ses mots m’affolaient.

Après deux semaines de cette folie, je n’y tins plus. Je décidai que je devais absolument me rendre à Lausanne auprès d’elle. Je n’avais plus que cela en tête. Je voulais, je devais prendre un train, un avion, courir vers elle, courir vers son corps aimé et aimant et la serrer dans mes bras.

Sitôt ma décision prise, tout s’organisa très vite. Elle m’attendrait le week-end suivant. Son mari serait là mais elle me promit que nous aurions du temps pour nous.

-   Viens assez tôt vendredi. Si tu arrives dans l’après-midi, nous pourrions nous retrouver dans un petit hôtel près de la gare, l’Hôtel des Carmélites.

Pour la première fois depuis longtemps, j’ai réussi à prendre une demi-journée de congé. Négligeant les dossiers urgents sur mon bureau et la cinquantaine de messages accumulés dans mes mails, je sors bien avant midi, toute excitée par la perspective de retrouver ma sœur.

Après ce départ fracassant, je passe rapidement chez Yvan, mon coiffeur attitré, qui doit me faire belle pour mon voyage. Je lui demande de me faire irrésistible. Je veux aller vers mon amour dans mes plus beaux atouts.

Yvan veut bien sûr à toute force savoir pour qui je me mets en frais avec un tel enthousiasme.

-   Monsieur votre ami va craquer quand il va vous voir si jolie.

Remarque-t-il en me raccompagnant vers la caisse.

En m’approchant de lui pour glisser un pourboire dans sa poche, je ne résiste pas au plaisir de le provoquer en lui chuchotant d’un air complice :

-   Non, non Yvan ! Pas « Monsieur » mon ami, mais tout simplement ma sœur !

Le pauvre coiffeur en reste tout désarçonné, se demandant visiblement si c’est du lard ou du cochon.

Toute excitée par ma soudaine audace, je sors du salon de coiffure le sourire aux lèvres. J’ai envie de chanter, de danser. Mes yeux doivent le dire très fort car sur le trottoir, plusieurs inconnus me saluent en souriant.

Je passe en coup de vent chez moi pour me changer. Je m’inspecte devant la glace pour m’en assurer, je me contemple avec satisfaction, je me trouve très bien et très sexy, exactement ce que je souhaitais.

Je m’installe côté fenêtre dans le calme d’un wagon de première classe qui se remplit lentement.

Calée confortablement dans mon siège, je me sens bien mais en même temps, j’éprouve un sentiment un peu bizarre. C’est bien la première fois que je m’offre un voyage de cette nature, poussée uniquement par mon désir, poussée par mon cul. Une formulation un peu brutale, mais je dois reconnaître que c’est bien mon cul qui me tenaille et me pousse irrésistiblement vers mon amante. J’en suis à la fois fière et honteuse, mais je n’ai de toute façon pas le choix. J’ai un besoin absolu du corps de Lise, de sentir ses caresses à elle sur mon corps à moi qui n’en peut plus.

 

Seize heures cinquante-deux, arrivée en gare de Lausanne. Me voici sur le trottoir devant la gare. Les autres voyageurs se précipitent du côté de la station de taxi. Un peu ahurie, je regarde autour de moi. C’était donc si simple de venir jusqu’ici, dans la ville de mon amour ?

Je sors de mon sac à main le petit plan récupéré hier sur l’internet, traverse la petite place et m’engage dans une petite rue piétonnière qui grimpe sur le coteau. Je vérifie la plaque pour m’assurer que c’est bien la bonne rue. Ma petite valise à roulettes brinqueballe sur les pavés de la rue qui monte en pente raide. Sur la façade de l’hôtel, des drapeaux flottent au vent. Au fur et à mesure que je m’approche, je sens que tous les scénarios érotiques délirants que je dressais dans le train s’évanouissent et que je ne suis pas plus sûre de moi-même que je ne le fusse à dix ans, quand j’ai passé mon audition pour la classe de danse du conservatoire.

Toute tremblante, j’entre dans l’hôtel,  je m’adresse à la réception qui joint ma sœur au téléphone:

-    Madame Wagner ? Ici la réception. Madame Duparc est ici. Entendu. À votre service.

Elle se tourne vers moi.

-   Elle vous attend dans sa chambre. Les ascenseurs sont à droite. C’est au quatrième étage.

Je passe rapidement aux toilettes, d’une part parce que j’ai une envie de pisser terrible depuis que je suis descendue du train, mais aussi et surtout pour essayer de me calmer. Je tremble de tous mes membres et mon cœur bat à tout rompre. J’ai l’impression que je vais m’évanouir ! Il faut absolument que j’arrive à reprendre mes esprits.

La porte 415 est légèrement entrouverte. Je déglutis et respire profondément avant de la pousser doucement.

La chambre surchauffée est plongée dans la pénombre, comme Lise me l’avait promis. Suivant scrupuleusement ses instructions, je referme doucement la porte et j’avance sans bruit dans la pièce. Je n’ose pas regarder vers le lit où je devine une forme allongée sous la couette. J’abandonne ma valise, ôte mon manteau, mes chaussures valsent et je commence à me déshabiller en tournant le dos au lit.

Je sens sur moi le regard de mon amante qui garde le silence. Sa présence n’en est que plus intense. J’ai l’impression d’être observée par une inconnue. Est-ce vraiment toi qui es là, ma chérie ? Et si je m’étais trompée de chambre… Respirant lentement et profondément, je m’efforce de ralentir mes gestes. Déboutonnant ma robe d’une main tremblante, je la laisse lentement glisser par terre. Mon premier strip-tease… Instinctivement, je me cambre légèrement pour faire ressortir mes fesses. Caressant mes cuisses d’un geste langoureux, je remonte mes mains sur mes hanches et tire l’élastique de ma culotte vers le haut pour faire rentrer le tissu dans la raie de mes fesses. Je tortille mes fesses de la façon la plus suggestive qui me semble possible sans basculer dans le ridicule. Avec des gestes lascifs, j’enlève lentement mes bas… J’entends la respiration de Lise qui n’en perd pas une miette… Ôtant mon soutien-gorge, je caresse avec un vrai soulagement la peau douce et fine de ma poitrine enfin libérée, voluptueuse. Ma petite culotte va bien vite rejoindre sur le tapis le reste de ma toilette et me voici nue.

La chambre est toujours silencieuse, mais dans ma tête les battements de mon cœur font un vacarme du diable. Toujours muette, j’avance vers le lit. La couette s’ouvre soudain et c’est une bouffée de douceur charnelle qui m’accueille. Je plonge dans un océan de parfum de femme, dans l’odeur de son corps amoureux, l’odeur pure et affolante de l’amour. Je me serre vivement contre ma frangine en laissant échapper un cri de bonheur. Tout mon être est avide du sien. Nous restons longuement serrées l’une contre l’autre, sans bouger, sans parler, sans respirer. Un étau se relâche dans ma poitrine, soulageant enfin l’infinie tension de mon cœur.

Mon amour est brûlante, ses mains se joignent aux miennes et les étreignent, nos fronts s’appuient l’un sur l’autre. Ses cheveux soyeux m’enveloppent d’une fine caresse odorante. Mon bonheur s’épanouit comme une fleur au soleil. Sa joue contre la mienne, infiniment douce, ses lèvres enfin posées sur les miennes, légères et miraculeuses. Et soudain notre premier baiser, un vrai baiser d’amoureuses, un vrai baiser fou qui semble ne jamais devoir cesser, l’envie de me fondre en elle. Nos langues s’enroulent, se dégustent, avides. Nous nous dévorons à pleine bouche. Enfin je suis à ma place exacte, celle précisément où je ne pouvais pas ne pas me retrouver, là où mon destin, où mon désir devaient me mener. Je suis vivante, je suis là avec ma sœur chérie.

Nous restons ainsi soudées de longues minutes. Mes yeux qui se sont accoutumés à l’obscurité croisent le regard pétillant de Lise qui me sourit. Je me blottis tendrement contre elle en soupirant :

-   J’attendais ça depuis si longtemps !

-   Et moi donc ! Je devenais folle à t’attendre dans ce lit.

Nous rions doucement en nous regardant.

-   Que tu es belle ma chérie !

Elle rit plus fort.

-   Je n’en pouvais plus ! Que tu as mis longtemps à monter depuis la réception !

-    Je suis passée aux toilettes, j’avais trop envie de faire pipi.

-   Tu aurais pu faire ici.

Elle marque un léger temps d’arrêt, puis poursuit d’une voix changée :

-   Devant moi !

Mon émotion remonte d’un cran. Je suis de nouveau troublée comme une pucelle. Me serrant contre elle, je murmure en fermant les yeux :

-   Je ferai tout ce que tu veux. Je veux tout faire, tout essayer avec toi. Je t’aime.

-    Laisse-moi te regarder.

 

Elle repousse la couette. Le lit est ferme, doux, le tissu de la couette est d’une douceur d’ange. Le confort suisse n’est pas une légende.

Je lui souffle timidement à l’oreille :

-    Regarde tout ce que tu veux, fais tout ce que tu veux avec moi, ma beauté adorée.

Penchée sur moi, je sens son visage explorer mon corps. Son souffle chatouille délicieusement ma peau. Elle respire mon parfum.

-    J’aurais aimé prendre une douche après le voyage avant de te rejoindre.

-   Je préfère sentir ton odeur. Tu sens bon. Tu sens très bon ma chérie.

Ses cheveux glissent sur mes seins. Leur caresse me fait frissonner. Ses mains s’arrondissent sur ma poitrine qu’elle masse lentement. Elle sait précisément comment faire naître et grandir mon plaisir et je me laisse aller sans réticence, je m’offre à elle, à ses caresses d’une douceur infinie, en toute confiance. Nos jambes s’emmêlent et je sens le doux renflement de sa motte se presser sur ma cuisse. Son entrejambe est encore plus chaud que le reste de son corps. Je sens le léger mouvement de bascule de son bassin qui vient appuyer sur moi pour se frotter. Instinctivement, mes hanches se mettent elles aussi à faire des petits mouvements de va-et-vient et je sens que je commence à mouiller sa cuisse. Nous sommes entraînées dans le ballet que font nos fessiers qui se pressent. Je pense bêtement : « C’est sûrement ce qu’on appelle un ballet rose ». Nos respirations s’accélèrent et j’ai l’impression de fondre lorsqu’à mon tour, je la sens tremper ma cuisse également. Nos bouches se rejoignent et nous échangeons un deuxième baiser, moins vorace mais beaucoup plus voluptueux.

Elle s’allonge sur moi et je sens le poids léger de son corps ferme. Mes mains courent sur sa peau, sur ses fesses, descendent vers son cul, vers sa chatte. Elle écarte les cuisses pour me faciliter l’accès, elle est trempée, plus trempée que moi si c’est possible. Je sens ses mains se poser sur ma fente et commencer à s’agiter doucement. Elle caresse mon clito avec une telle délicatesse que je me sens partir aussitôt, je perds tout contrôle sur mon corps. Nous nous branlons mutuellement avec une telle concentration que j’en oublie toute notion du temps. J’ai tellement accumulé de tensions depuis des jours que je me laisse surprendre par un orgasme aigu et violent. Je crie en jouissant, je jouis en criant, cabrée sur le lit et je retombe anéantie.

Après quelques secondes d’abandon, je me mets doucement à rigoler. Lise me regarde et se met à rire elle aussi et nous voilà prises toutes les deux par un fou rire irrépressible.

-   Eh bien ! me dit-elle quand nous nous calmons un peu, il était temps que tu arrives !

-   Je n’en pouvais plus ! Toutes ces semaines, ces messages que tu m’envoies, tout ça me rend dingue !

-   Que je t’envoie ? Mais tu m’en envoies aussi ! Tu ne crois pas qu’ils me font de l’effet à moi aussi ?

Je réponds en faisant mine de bouder :

-   Oui mais toi, tu as ton mari !

-   C’est vrai ! D’ailleurs, il doit me trouver très « chaude » en ce moment !

Nous rions et nous nous embrassons de nouveau. Je suis un peu calmée mais tout mon corps est d’une extrême sensibilité. Les caresses de ma sœur me transportent. Nous roulons enlacées sur le lit comme on roule sur la pente d’un pré en été, en haletant et en riant comme des enfants. Je tiens Lise sous moi, la pointe de mes seins vient doucement caresser sa poitrine. Je descends vers son ventre. Tandis qu’elle presse convulsivement son pubis contre moi, je descends encore plus bas, vers sa petite colline décorée d’une fine et douce toison brune, son petit Mont de Vénus qui ne laisse rien caché de son intimité. L’odeur de sa chatte monte vers moi. J’enfouis mon nez dans ses poils et je la respire avidement. Son pubis se tend vers moi, implorant silencieusement une caresse plus précise. Je me recule un peu et m’installe confortablement entre ses cuisses, mes lèvres à quelques millimètres de celles de son coquillage. Je veux la faire souffrir, qu’elle soit folle d’impatience de se faire bouffer, je l’agace en effleurant à peine de mes lèvres sa petite fente gonflée et ruisselante. Elle gémit.

-    Oui ! Oui ! Je t’en prie ! Viens maintenant ! Mange-moi ma chérie !

Je ne résiste plus et je me jette sur elle. Sa mouille dégouline dans ma bouche, coule sur mon menton ; ma langue, mon nez s’enfoncent en elle, avidement. Je pince ses lèvres entre les miennes et je les suce, ma langue va chercher son clitoris. Elle dégouline de plus belle sur mon menton. Mes doigts se joignent à ma langue, s’enfoncent dans son vagin moelleux. Prenant garde à ne pas la blesser avec mes ongles, j’enfonce un doigt, puis deux, puis trois. Gardant mes doigts serrés, je les fais doucement aller et venir à l’orée de sa grotte. Ils font un petit bruit mouillé et ressortent luisants de mouille. Je réalise soudain que je suis en train de baver d’excitation devant ce spectacle, comme un enfant devant une pâtisserie. Ma salive se mélange à sa mouille et j’adore enfoncer mes doigts un peu plus profondément dans cette chair sensible. Elle respire très fort, son cul s’avance, cherchant mes doigts pour venir se les enfoncer encore plus profondément. J’ajoute un quatrième doigt et c’est finalement toute ma main qui s’enfonce lentement dans son vagin. Elle pousse des petits cris et donne des coups de reins pour mieux se faire enfiler.

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Elle implore que je la baise à fond.

J’hésite à lui obéir par crainte de la blesser, mais elle est déjà partie vers son plaisir. Se soulevant sur ses coudes, elle regarde d’un air affolé ma main enfoncée dans sa chatte. Il n’y a plus que mon poignet qui dépasse. Elle semble fascinée par ce spectacle, hypnotisée. Ses yeux restent mi-clos et son bassin vient peser sur ma main comme pour chercher à l’enfoncer encore. Son visage est sérieux, tendu, concentré sur son plaisir qui monte. Elle grince des dents. Puis ses cris vont crescendo jusqu’à ce qu’elle hurle son plaisir, son visage rejeté en arrière. D’un ultime coup de bassin, elle enfonce mes doigts à fond dans son ventre, se laisse retomber en arrière et éclate en sanglots, ou plutôt elle se met à rire, ou peut-être les deux à la fois.

 

 

Chapitre 4

Je retire doucement ma main dégoulinante de son sexe et je remonte vers son visage que je couvre de petits bisous pour la calmer.

-   Ma chérie, ma chérie, calme-toi… Je t’aime.

Nous restons allongées, tendrement enlacées, sans plus bouger. Je ferme les yeux.

-    Il doit commencer à se faire tard. Il va falloir rentrer.

-    Déjà !

-     Mathieu nous attend pour le dîner. Il a voulu te préparer une spécialité pour t’accueillir.

-    Il sait toujours aussi bien cuisiner ?

-   Oui, oui, et il sait aussi plein d’autres choses !

Elle rit tout bas et reste debout, pensive, le regard perdu dans la nuit qui s’installe sur Lausanne.

Je l’interroge.

-   Tu l’aimes très fort ?

Elle reste silencieuse, puis je l’entends dire, comme pour elle-même, sur un ton à la fois rêveur et sérieux.

-   Ho oui…..c’est vraiment lui, l’homme de ma vie.

Est-ce l’effet de la pénombre ou celui de la fatigue ? Cette phrase toute simple me paraît étrange et pleine de mystère. Les yeux, soudain me piquent un peu et je prie en silence pour que son amour reste toujours vivant. Étrangement, je n’éprouve aucune jalousie. Je suis seulement heureuse que le cœur de Lise soit rempli par un si fort et si beau sentiment.

-   Allez, prépare-toi !

Je me renfrogne dans mes pensées « Pas si vite ! Pas comme ça ! Lise, ne rompt pas le charme de notre premier rendez-vous secret ! Je veux rester encore un peu, faire durer cet instant le plus longtemps possible dans cette chambre, notre première chambre d’amantes »

Elle a dû entendre mon petit recueillement, car elle reprend :

-   Ne fais pas cette tête ! On aura encore plein de moments pour nous ce week-end. Mathieu  est toujours très pris par son travail.

 

Nous arrivons en taxi devant une belle villa isolée sur le bord du lac.

Mathieu a hérité de cette maison après le décès de ses deux parents,  il y a une dizaine d’années. Mais tu sais, à l’échelle de Lausanne, notre « fortune » reste très modeste.

Ma sœur ouvre le portillon noyé dans les gigantesques troènes avec un badge électronique. Nous traversons une petite partie du jardin admirablement fleuri et subtilement éclairé, pour ouvrir la porte principale de la résidence.  J’entends une musique en sourdine, musique romantique, il me semble reconnaître une pièce de Schuman. Tout est calme, un peu de lumière filtre de la cuisine. Lise suspend nos manteaux dans l’entrée et me guide tout de suite vers ma chambre.

-   Viens, tu seras bien ici. Je suis vraiment heureuse que tu sois venue. Tu aurais dû le faire plus tôt. C’est un vrai bonheur de nous être retrouvées !

Elle vient vivement se serrer contre moi et m’embrasse à pleine bouche.

-   Arrête ! Tu es folle, ton mari !

-   Ne t’inquiète pas, il est en train de cuisiner et il est bien trop occupé pour venir.

Elle ne se lasse pas de m’embrasser mais ma nervosité m’empêche de m’abandonner. J’ai une trouille bleue que Mathieu  nous surprenne. Comprenant qu’elle n’arrivera pas à me rassurer, Lise renonce à ses caresses et m’emmène vers la cuisine d’où s’échappent de délicieuses odeurs de pâtisserie.

-   Mathieu ! On est là !

En effet, Mathieu est penché sur le four, surveillant la cuisson d’un gâteau dont l’odeur me met l’eau à la bouche. Il se redresse et nous sourit gentiment. Je croise son regard bienveillant.

-   Bonsoir ! dit-il avec un délicieux accent suisse……Nous sommes vraiment heureux que vous ayez pu venir. Lise était très impatiente de vous recevoir et moi aussi. Vous devez être fatiguée après ce voyage. Je vous ai préparé de quoi vous restaurer. J’espère que vous aimerez.

Mathieu est un homme affable, élégant et courtois,  en chemise bordeaux et pantalon à pinces. Ses cheveux châtains s’éclaircissaient aux tempes de reflets argentés qui renforçaient son charme, au moins autant que ses pattes d’oie trahissaient son naturel souriant. Il est un peu plus petit que ma sœur avec une bonne quinzaine d’années de plus. Lise se serre tendrement contre lui. J’ai un petit pincement de jalousie en la voyant si radieuse mais la bassesse de ce sentiment fugitif ne résiste pas une seconde au spectacle de son bonheur.

 C’est pourtant lui qui semble presque timide devant nous. Bref, je suis sous le charme.

-   Je suis sûre que je vais me régaler, ça sent vraiment très bon.

La cuisine est effectivement délicieuse. Mathieu nous sert un petit vin suisse très frais pour accompagner les plats. Nous nous levons pour débarrasser la table et je sens soudain toute la fatigue de la journée me tomber dessus. Lise s’en aperçoit et me propose d’aller me coucher sans plus attendre :

-   Tiens voilà des serviettes de bains et un peignoir. Bonne nuit ma chérie !

Je m’endors en pensant à elle.

 

Le soleil entrant à flots dans la chambre, me réveille.

Je m’étire, repousse la couette et m’assied au bord du lit, les cheveux en bataille. Je me traîne paresseusement vers la fenêtre. La vue sur l’arrière de la maison  est splendide, le soleil d’automne reflète sur une grande piscine me donne l’impression qu’il fait déjà très chaud à cette heure matinale. Enfin, pas si matinale que ça, il est presque midi, c’est la honte. J’avais vraiment besoin de repos ! J’enfile le peignoir de bain que Lise m’a donné hier soir, je me brosse rapidement les cheveux pour être présentable et je trouve la cuisine. Mathieu est en train de finir son petit-déjeuner. Il m’accueille d’un large sourire et me propose toutes sortes de bonnes choses pour une espèce de brunch improvisé.

Lise entre dans la cuisine :

Je me lève en la serrant dans mes bras, elle me fait une bise de chaque côté des lèvres, effleurant à peine leur commissure pour m’indiquer qu’elle aussi en voulait plus, mais pas devant Mathieu.

-    Bonjour ma chérie ! Tu as bien dormi ? Tu as vu ce temps ? C’est vraiment une journée à glander à la piscine, non ?

-    Je suis partante.

-   Alors on va se faire un super petit déjeuner ou déjeuner vu l’heure qu’il est. Comme ça, on pourra profiter de toutes l’après-midi  bien ensoleillé. Tu verras, c’est très agréable pour le bronzage !

 

 

Mathieu parti faire quelques emplettes, nous prenons notre temps pour bien déjeuner.

-   Lise, je n’ai pas de maillot de bain !

-    Moi non plus !

J’en reste muette. Elle hausse les épaules.

-   Ici, personne ne nous voit. On est libre.

-   Et Mathieu ?

-   Ne t’inquiète pas, il a l’habitude et de toute façon il a horreur des bains de soleil. Il préfère travailler à son bureau, son job lui prend beaucoup de temps.

Je suis un peu réticente, mais je me laisse finalement convaincre. De toute façon, je n’ai pas vraiment le choix.

Lorsque nous nous sommes retrouvées seules au bord de la piscine, nous nous sommes massées avec de l’ambre solaire. C’est un enchantement, le bonheur d’être là, vivante, pour quelques heures privilégiées qui rendent presque irréelle la routine consciencieuse et bornée de ma vie d’avocate fiscaliste.

Le soleil me réchauffe. Je suis bien, allongée à côté de ma sœur. Nous nous amusons à nous enduire mutuellement de lotion solaire en n’oubliant pas d’en profiter pour faire glisser nos doigts dans nos intimités les plus sensibles. Je passe ma main sur sa poitrine qui frémit sous la caresse, les yeux fermés. Elle se retourne sur le ventre,  je passe ma main luisante de lotion entre ses fesses. Je la masse doucement en y passant un peu plus de temps, et même beaucoup plus de temps qu’il n’est convenable. Elle se cambre légèrement pour faciliter mon entreprise. Au moins, voilà un petit trou du cul qui n’aura pas de coup de soleil ! Mon audace m’étonne. Je jette un coup d’œil rapide et anxieux, vers la grande baie vitrée,  Je ne sais si Mathieu est de retour ou si il est dans son bureau, il est très professionnel et bien trop absorbé par son ouvrage.      

Nous sommes à présent entièrement couvertes de lotion. La moitié du flacon a dû y passer tellement nous y avons pris de plaisir. Allongées côte à côte, nous échangeons de longs baisers sensuels, nos peaux luisantes glissent l’une sur l’autre, chaque geste fait naître des ondes de douceur amoureuse qui résonnent jusqu’au plus profond de mon être. Nos corps semblent se découvrir à nouveau comme pour la première fois. Nous prenons tout notre temps, d’ailleurs qu’est-ce que le temps ? Je ne sais plus. Le temps, ce sont des petites secondes, des petites minutes et ici il n’y a plus rien de petit, il n’y a plus que l’immensité de nos désirs et de nos vies ouvertes comme nos corps, comme nos sexes.

-   Je meurs de soif ! Tu veux boire quelque chose ? Ne bouge pas, je te rapporte un verre bien frais.

 

Toujours nue, Lise marche  souplement vers la maison et disparaît dans le salon. J’entends des rires, la voix de Mathieu. Je ne comprends pas ce qu’il dit. Ses paroles sont étouffées par la vitre. J’ai soif moi aussi et j’attends avec impatience la boisson que Lise m’a promise. Elle tarde à revenir. Mais qu’est-ce qu’elle fiche ? Je n’entends plus son rire, ni leurs voix. Tout est silencieux, juste quelques rires étouffés. Je commence à comprendre tout doucement que ma sœur et son mari doivent être en train de s’embrasser. Sûrement même que Mathieu est en train de caresser sa jolie femme nue et offerte. Et tout ça à moins de dix mètres de moi… J’en ai la gorge sèche rien que d’y penser, moi qui était déjà morte de soif ! Je déglutis pour me soulager mais mon trouble grandit. Me relevant sur les genoux, je regarde par-dessus le massif de fleurs, mais je ne vois rien. Intriguée, je passe le long du mur de la maison et m’approche en marchant à quatre pattes pour atteindre la grande porte-fenêtre. Je jette un coup d’œil rapide et découvre ma sœur chérie agenouillée devant Mathieu.

 

J’ai un mouvement instinctif de recul. Elle est en train de le sucer ! Je suis sûre que cette fichue cochonne se doutait bien que, ne la voyant pas revenir, je viendrais voir ce qui se passe. Cette découverte me bouleverse au point de m’amener les larmes aux yeux. Tremblante, je m’allonge sur le ventre, la tête contre la vitre. Je respire aussi fort que si j’avais couru un cent mètres. Je m’avance à nouveau prudemment pour mieux voir. Mon beau-frère se tient d’une main à un fauteuil et caresse les cheveux de Lise qui le suce consciencieusement. Je suis fascinée. Ma chérie a la bouche remplie par la queue dressée de son mari.

Immobile contre la vitre, allongée sur le ventre, je reste captivée par le spectacle. Lise frotte son visage tout du long de cette superbe verge gonflée de désir, glisse son nez entre les cuisses de son époux, sa langue, que je sais si douce, vient lécher les petites balles, remonter le long du sexe, lécher encore furieusement cette belle colonne de chair qu’elle déguste d’abord à petits coups de langue puis qu’elle se met à téter en arrondissant sa bouche pour l’avaler. Elle le pompe éperdument. Parfois elle l’avale complètement et je la vois s’enfoncer profondément dans sa gorge. Pour reprendre sa respiration, elle laisse échapper l’objet de son adoration qui dodeline devant son visage, luisant de salive. De sa main droite elle commence à se caresser  la poitrine et son intimité d’un geste nerveux. J’ai soudain un besoin irrépressible de me satisfaire moi aussi. Ma main se glisse sous mon ventre, vers ma fente. Je suis trempée, mes doigts s’enfoncent dans ma chatte ruisselante, mon bassin accompagne mon geste d’un mouvement de balancier. J’entends les gémissements de Lise au travers de la paroi de verre, ces gémissements que je connais si bien, ceux qu’elle pousse lorsqu’elle va jouir.

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Une fraction de seconde, je croise son regard perdu, noyé dans le plaisir qui monte. Ma chérie, tu savais que j’étais là à te regarder ! Je t’aime ! Je sais qu’elle a compris que je prends du plaisir, moi aussi. Ce regard échangé me fait l’effet d’un coup de fouet et une seconde plus tard, je laisse échapper un cri étranglé. Tout explose en moi, mon ventre, ma tête. Je jouis comme une bête, nue, à plat ventre sur le carrelage, je bave tellement c’est bon. Dans un effort surhumain je me relève un peu, juste à temps pour voir le joli corps bronzé de ma sœur agité de soubresauts obscènes, comme disloqué par le plaisir. En me laissant retomber épuisée sur le sol, je pense : « On est vraiment salopes toutes les deux ! »

 

Après quelques secondes de repos, je reprends mes esprits et je me relève pour voir où ils en sont. Mathieu est nu, ses vêtements sont éparpillés en désordre sur la moquette. Je prends le temps de le regarder plus attentivement. Son corps est très agréable avec des muscles bien dessinés. Il est à la fois rond et fin, sans le ventre proéminent des hommes de son âge. Je remarque aussi deux jolies fesses bien rebondies dont la peau claire semble d’une grande douceur. Il a vraiment un joli petit cul. Il se penche vers Lise qui se calme doucement. Je la vois rire, Mathieu rit aussi, il la caresse et la fait se retourner. Ma sœur se met docilement à quatre pattes devant lui. Elle tend son cul en arrière, il semble qu’elle sache exactement ce qu’il veut d’elle, ils doivent sûrement avoir l’habitude de baiser dans cet endroit, en toute liberté. Lise jette un coup d’œil rapide et discret vers la fenêtre pour vérifier si je suis toujours à là. Son visage prend une soudaine expression de surprise ravie au moment où Mathieu l’enfile en levrette. La voici qui repart de plus belle dans le plaisir. Mathieu lui donne de longs coups de reins alternativement langoureux et brutaux. Il tient sa femme par les hanches et, lentement, il la pénètre, s’éloignant et se rapprochant d’elle. C’est superbe, je voudrais pouvoir m’approcher pour mieux voir, pour mieux sentir ce mouvement puissant qui doit faire naître dans le ventre de mon amour,  un plaisir profond. Les gémissements de Lise s’intensifient, ses cris sont plus aigus.

Ils crient très fort tous les deux maintenant. À chaque à-coup, Mathieu pousse un cri rauque, comme un grognement. Lise gémit en continu, de plus en plus fort, on dirait qu’elle pleure. Ils semblent tous les deux déchaînés, ils bougent dans tous les sens. J’ai peur que Mathieu  finisse par s’apercevoir de ma présence. Et puis j’ai envie de les laisser arriver au terme de leur accouplement dans une vraie intimité. Discrètement, je retourne vers la piscine et je me laisse aller sur la serviette de bain. Elle sent la lotion solaire. Je repense au derrière de Lise, cette jolie petite bague que j’ai si longuement enduit de lotion tout à l’heure, à cette pastille qui se dilatait si gentiment sous mes doigts. Je respire profondément pour me détendre quand j’entends Lise crier longuement, un beau cri de libération, puis c’est de nouveau le silence.

 

Chapitre 5

 

Détendue, je laisse le soleil me caresser, je ferme les yeux et somnole. Lise me ramène à la réalité en venant se serrer contre moi. Nous sommes enlacées dans un tendre désordre. En ronronnant comme une chatte, elle se blottit sur ma poitrine. Sa bouche n’a plus le même goût. Je sens  l’homme dans son baiser. Elle semble planer dans une douce euphorie. Elle écarte ses cuisses pour s’offrir de nouveau à mes caresses.

Elle chuchote.

-   C’était bon, merveilleusement bon.  Je suis tellement heureuse,  j’aime tellement quand il me prend !

-   Tu savais que je viendrais voir hein ?

Elle rit.

J’insiste, je m’échauffe en lui parlant.

-   Tu le savais hein ? Coquine, tu le savais, bougre de petite salope, que j’irais te regarder.

 Elle continue à rire les yeux fermés en s’abandonnant à mes chatouilles. Mes doigts se faufilent dans son intimité et viennent se poser sur sa chatte. Mon amour sent vraiment fort le sexe et le sperme. C’est bon qu’elle me  communique ses odeurs, les traces que son homme a laissé sur elle, en elle. Mes doigts s’enfoncent dans sa fente et glissent facilement dans son vagin encore visqueux.

Elle gémit.

-   Fais-moi jouir ma chérie, j’ai encore envie de jouir de toi. Fais-le ! Maintenant !

J’agite lentement mes quatre doigts dans son vagin, il n’y a plus que mon pouce qui n’y rentre pas. Elle gémit de bonheur et me regarde aller et venir en elle, les yeux mi-clos, concentrée sur ses sensations. Une forte odeur de sperme se dégage lorsque je me retire de son sexe. J’approche ma main gluante de mon visage pour mieux sentir. J’aime cette odeur. Je m’enfonce à nouveau avec bonheur dans son sexe ruisselant. Son plaisir commence à monter. Elle m’encourage.

-   Continue, continue, c’est trop bon, ne t’arrête surtout pas. Tu sens comme je suis trempée ? Tu aimes quand je suis pleine du jus de mon mari ?

Elle gémit de plus en plus fort, j’ai peur que Mathieu ne l’entende crier, je voudrais l’arrêter mais elle ne m’en laisse pas la possibilité. Les fesses relevées, elle se cabre pour mieux venir s’enfoncer sur ma main en criant de plus belle. Elle est magnifique dans le plaisir. Si seulement elle criait et gigotait un peu moins fort ! C’est impossible que Mathieu ne finisse pas par remarquer quelque chose. Il me semble sentir sa présence derrière moi, je suis presque sûre qu’il nous regarde. Je risque un petit coup d’œil sournois vers la maison mais il n’y a personne. Je suis pourtant convaincue qu’il était là, il y a une seconde, à nous regarder. Je me sens très mal à l’aise et je me concentre sur mes caresses pour accélérer l’orgasme de Lise. Elle arrive très vite à destination et son beau visage rougi par l’effort et l’excitation se tord dans un cri qui s’apaise dans une plainte de bonheur. Immobile, elle s’endort presque instantanément dans un abandon attendrissant.

Sa détente a été si complète qu’elle est restée devant moi les cuisses écartées, impudique. Son sexe rose et humide fait monter vers moi une forte odeur d’amour. Je porte mes doigts dans ma bouche, je goûte, c’est salé.

Si j’ai tout de suite aimé, depuis ma toute première fellation, le goût, la douceur du sexe masculin et sa raideur câline, je n’avais pas jusqu’ici d’opinion tranchée en ce qui concerne le sperme. Quelques amants s’étaient lâchés dans ma bouche sans que j’en ressentisse quoique ce soit de particulier, sinon un peu de dégoût et une vague jubilation, toute cérébrale, d’être ainsi arrosée de semence masculine. Aujourd’hui, je goûte la liqueur que son mari a répandue dans son ventre et pour la première fois, je remarque que j’aime cette saveur salée. C’est grâce à ma sœur chérie que je découvre ce plaisir et l’intimité absolue du mélange des jus de l’amour, le sirop de sa chatte et celui de Mathieu.

Tout est de nouveau silencieux. Nous nous reposons l’une contre l’autre. Je m’inquiète un peu du moment où je devrai à nouveau croiser le regard de Mathieu.  Il a entendu ?  Il a vu ? Le rouge de la honte monte à mon front quand j’entends soudain sa voix.

-   Ohé, les belles, vous aller prendre froid ! Faites attention : le soleil va bientôt nous abandonner et la température va chuter très vite.

-    D’accord, on va s’habiller !  lui crie Lise.

C’est vrai que depuis quelques minutes, la température a légèrement fraîchi. Je frissonne.

Elle s’en aperçoit.

-   Viens, dit-elle en m’entraînant,  on va s’habiller dans le cabanon.

 

J’ai à peine le temps de m’entourer d’une serviette pour couvrir ma nudité. Dans ce petit bungalow qui sert de local technique et de toilettes, il fait encore très chaud. Mathieu est à l’intérieur, il me sourit gentiment. Je suis affreusement gênée, je ne sais toujours pas si il nous a vu.

-   Alors Julie ? Ça vous plait cette petite villégiature ?  demande-t-il avec un petit air narquois et amusé dans le regard.

 

Je bredouille vaguement un oui désemparé. Ma sœur vient à mon secours en apportant deux pulls et deux casquettes. Elle se promène devant nous, les fesses à l’air, sans aucune pudeur. Mathieu ne nous quitte pas des yeux. Je fais semblant de trouver ça très naturel et en faisant mille contorsions, j’arrive à enfiler le pull sans que ma serviette ne tombe.  Je me détends un peu et ma gêne s’estompe en voyant que Mathieu ne fait aucune remarque sur les événements qui se sont déroulé tout à l’heure. Il a peut-être réellement rien entendu du tout ? Mais son regard à l’instant semblait dire le contraire…

Abandonnant la serviette restée nouée sur mes hanches, je prends la casquette dans une main et de l’autre, je relève mes cheveux pour les rassembler en arrière. Fatalité ! Au moment précis où je prends  la casquette, ma serviette se dénoue et tombe sur le sol. Me voilà à mon tour les fesses à l’air. Lise éclate de rire.

-   Et voilà ! On est toutes les deux dans le même uniforme !

Rouge de confusion, je n’ose pas regarder notre admirateur qui n’en perd pas une miette.

-   Regarde Mathieu, insiste Lise, la jolie petite équipe que tu as !

Puis elle ajoute en passant son bras sous le mien :

-   Allez ! Ne t’en fais pas, tu es adorable. Regarde Mathieu, regarde tes deux petites vacancières. Tu veux bien être notre moniteur ?

Je commence à comprendre ce qu’elle a en tête.

-   Vous avez envie de jouer aux petites estivantes, les filles ?

-    Oui, oui ! Trépigne lise en faisant des mines de petite fille.

-   Et vous, Julie ? Vous avez envie de jouer avec nous ? me demande timidement Mathieu, d’une voix légèrement voilée.

-    Oh oui, dis oui ! Chuchote Lise à mon oreille. Fais-moi plaisir !

Je n’ai que quelques secondes pour me décider, quelques secondes pendant lesquelles se bousculent dans mon esprit toutes mes contradictions, mes craintes, mes rêves, mes hypocrisies. Tout se mélange et se trouble. Sa question est pourtant formulée d’une façon parfaitement innocente, mais je me doute bien de ce vers quoi ces jeux vont nous entraîner. De ma réponse va dépendre la suite des événements. Je sens ma sœur anxieuse à mes côtés. L’ambiance est brusquement très tendue dans la petite maisonnette où nous nous serrons. Mille pensées me traversent.  Me suis-je fait manipuler ? Ai-je vraiment envie de ce qui m’est proposé ? Et si, comme une idiote, je réponds non, aurai-je encore une autre fois dans ma vie la chance de vivre une telle situation ? En contrariant Lise, ne vais-je pas mettre en danger notre amour ? Pourtant, jamais elle n’a trompé ma confiance et je suis sûre que cette fois-ci encore, elle ne me décevra pas. Je ne veux pas non plus la décevoir. Je déglutis, je prends mon courage à deux mains et, rouge comme une pivoine, je me tourne vers Mathieu et réponds simplement, sans chercher à cacher mon émotion et ma timidité :

-    D’accord …. Je veux bien jouer avec vous !

Ma réponse détend instantanément l’ambiance de notre drôle de trio. Radieuse, Lise me prend par la taille, me fait tourner le dos à son mari et se mettant à mes côtés dans la même position, elle se cambre en m’entrainant dans son mouvement  pour lui montrer nos fesses.

-   Alors Monsieur le surveillant, comment trouvez-vous le derrière de vos deux petits scouts ?

-   Délicieux, vraiment délicieux. J’ai vraiment les plus jolis scouts du monde…

 

Elle se tortille devant lui pour l’aguicher. Encore un peu gênée au début, je m’enhardis grâce aux encouragements de ma chérie. À mon tour je m’amuse à faire ressortir mes fesses pour les mettre en valeur.

-   Tu vas devoir inspecter ton équipe !

-    Alors, dans ces conditions, tout le monde au garde à vous !  S’écrie Mathieu.

 

Nous ressortons de la cabane et nous faisons mine de défiler comme des petits soldats en marchant au pas l’une derrière l’autre. Nous arpentons le jardin de long en large, la main droite à la visière pour saluer comme il se doit notre « commandant » qui nous observe passionnément. Nous défilons devant lui, nos postérieurs à l’air. Ce petit jeu innocent me permet de garder une contenance mais je tremble d’appréhension et d’excitation devant ce qui risque de suivre. Je croise le regard brillant et rieur de Mathieu qui s’amuse beaucoup, je lui fais un petit clin d’œil coquin. Lise s’en aperçoit et en profite pour me faire un bisou dans le cou.

-   Attention mes petits soldats, pas d’indiscipline !

-   Oh non, mon bel officier, nous serons très obéissantes ! répond Lise qui, je le sens à sa voix, commence à s’échauffer.

-   Allons, allons, dit Mathieu, reprenons, une deux, une, deux. Section halte ! Saluez ! Tournez-vous l’une vers l’autre ! À mon commandement… bisous !

Docile, un petit sourire amusé sur mes lèvres, je me tourne vers ma sœur et dépose sur sa joue un chaste baiser. Mais ce n’est pas du tout ce qu’elle a en tête. Saisissant mon visage entre ses mains pour être bien sûre que je ne me sauve pas, elle pose ses lèvres sur les miennes et m’embrasse goulûment. Je reste toute raide dans ses bras, j’hésite encore sur la conduite à tenir et je n’arrive pas à me laisser aller.

-   Commandant, mon camarade ne joue pas le jeu ! Dénonce-t-elle d’un air faussement scandalisé.

-Mais c’est très mal. Vraiment très mal, joli petit soldat. Ne savez-vous pas qu’on doit toujours obéir à son commandant ? Je crains qu’il ne nous faille vous punir…

Au mot de punition, je me sens les jambes en coton. Mon Dieu, pourvu que ça n’aille pas trop loin ! Je ne me sens pas prête, pas prête du tout pour des choses comme ça ! Je bredouille, affolée :

-    Oui, oui, je promets, j’obéirai !

-    Non, non il faut une punition ! Une punition ! Une punition !  Réclame Lise, surexcitée.

Ma gêne atteint un paroxysme. Je me sens honteuse. Je demande piteusement grâce.

-   D’accord, je vous promets que je ne recommencerai plus !

-   Bien, voilà qui est très bien. Alors embrassez votre camarade pour vous réconcilier.

 

Cette fois-ci, plus moyen de me dérober. Mon cœur battant à tout rompre, je me tourne vers mon amante qui s’offre voluptueusement à mon baiser. Nos langues se mêlent et se dégustent longuement sous le regard attentif du « commandant ». Je décide de faire comme s’il n’était pas là et je me jette toute entière dans ce baiser. Les yeux fermés, je sens bien cette fois  Mathieu s’approcher de nous, ses bras nous entourent l’une et l’autre. J’ai le vertige, sa main me caresse doucement le dos, celle de ma chérie la rejoint. Me voici enlacée par ce couple amoureux, ils me serrent contre eux, entre eux, très tendrement. Ma sœur abandonne ma bouche pour celle de son mari. Je les regarde s’embrasser, mon visage n’est qu’à quelque centimètres, j’ai très chaud d’un seul coup, je suis bouillante, comme si j’avais la fièvre. Elle s’interrompt pour m’embrasser à nouveau. Sa bouche a un goût différent. Je n’ose plus bouger, je ne sais pas ce que j’ai le droit de faire, ni même ce que j’ai envie de faire, je ne sais pas non plus très précisément ce que je ne veux pas faire, je ne sais plus rien, je ne veux plus rien savoir, je veux juste continuer, laisser les gestes s’enchaîner et me laisse guider sans résistance.

 

Mon amour goûte alternativement mes baisers et ceux de son mari. Elle pose sa main sur ma tête. En silence, soudain sérieuse, elle guide mon visage vers celui de Mathieu, elle me pousse vers lui. J’ai compris ce qu’elle veut et mon cœur bat à tout rompre lorsque je pose enfin mes lèvres sur celles de mon beau-frère. Je tremble comme une feuille et je sens mon entrejambe qui s’inonde tandis que j’échange avec lui un premier baiser maladroit. Les mains de mes deux amis explorent mes formes, celle de Lise se glisse entre mes fesses, je l’entends chuchoter à l’oreille de Mathieu : « Chéri, elle est trempée ! » J’abandonne Mathieu pour reprendre ma respiration, elle en profite pour se jeter sur lui et l’embrasser avec voracité. Mon émotion est si forte que je tiens à peine debout et je crois bien qu’ils sont eux aussi dans le même état. Sans nous concerter, nous nous agenouillons tous les trois sur le dallage sans interrompre nos baisers.

Timide, je n’ose rien faire sans l’aide de ma sœur. Elle guide ma main jusqu’à la bosse saillante du pantalon. Encouragée par cette autorisation muette, j’en éprouve le volume d’une main légère. Lise ouvre la braguette et m’encourage à glisser ma main à l’intérieur du vêtement, me permettant ainsi de caresser cette chose virile emprisonnée dans un slip moulant. Mathieu bande merveilleusement.

Il entoure ma taille pour me serrer contre lui. Je suis toute alanguie de sentir ainsi sa puissance me ployer contre lui, il me force à me cambrer pour lui donner accès à mes seins. Ses mains soulèvent mon pull et le voici qui me pelote tout en m’embrassant à pleine bouche. J’ai l’impression que je ne vais pas tarder à mon tour à me faire « culbuter » ! Pendant ce temps, sa tendre épouse s’est occupée de le déculotter tout à fait. Nous nous concentrons toutes les deux sur le relief du slip, elle glisse une main à l’intérieur et se penche pour amener son visage à la hauteur de l’organe. Ma convoitise est telle que je ne résiste pas à l’envie de la rejoindre. Mathieu pousse un léger gémissement lorsqu’il sent nos mains se rejoindre autour de son membre. C’est un émerveillement que de le déshabiller et voir s’épanouir la verge enfin libérée. Mathieu se redresse péniblement en s’accrochant à une figurine, nous restons agenouillées devant lui, la bébête à la hauteur de nos deux visages.

Je comprends instantanément ce dont il a envie, qui est aussi très précisément ce dont j’ai très envie moi-même. À en juger par l’excitation de Lise, elle doit elle aussi avoir la même idée en tête. Agenouillées devant lui, nous échangeons un clin d’œil complice. Sa langue commence à faire sa gourmande en léchouillant cette magnifique virilité. Je suis émerveillée par la beauté de cette scène. Je m’approche encore plus près pour sentir son odeur douce et affolante, je me mets à imiter ma sœur sur cette tendre colonne de chair. Impossible de résister d’avantage à l’envie de sucer. En espérant que Lise ne m’en voudra pas de la précéder,  comme ensorcelée, je remonte vers le gland que j’avale et suce consciencieusement, avec douceur et précision pour ne pas passer pour une prude, je me fais la plus douce possible. Je sais que je suis une bonne petite suceuse à ce que l’on m’a dit. Mathieu a l’air d’apprécier et ma chérie me regarde en frottant son visage contre le mien, embrasse ma joue gonflée par la gaule de son mari, sa main droite s’agite sans discontinuer sur son entrejambe. Pendant que je reprends un peu ma respiration, elle prend ma place et se met à son tour à pomper  avec enthousiasme, sans pour autant interrompre sa masturbation. Nous passons de longues et divines minutes à nous régaler à tour de rôle. Parfois, nous échangeons un baiser. Nous partageons le même vertige, la même adoration folle de ce beau morceau.

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Mais Mathieu commence à donner des signes alarmants, il grogne et gémit de plus en plus fort. Du coup, je le suce avec encore plus d’application… Il explose soudain et une première giclée chaude se répand dans ma bouche. Je garde précieusement le sperme sans le déglutir, juste pour faire durer le plaisir. Son éjaculation est si violente que son coup de reins me déséquilibre. Je bascule en arrière. Assise sur mes fesses, je regarde Lise qui le finit à la main. Elle offre son visage pour que le sperme gicle sur elle. Les yeux fermés, elle se laisse couvrir par le reste de semence  jusqu’à l’ultime goutte. Épuisé, Mathieu s’assoit sur le pavage, ma sœur se tourne vers moi et me sourit accroupie, les cuisses ouvertes, je lui retourne son sourire et ouvre ma bouche, le sperme coule sur mon menton. Le filet de sperme épais s’étire sur mon ventre.  À quatre pattes, Lise s’approche de moi. Elle fait signe à son mari :

-   Mathieu, regarde ce qu’on fait ! Tu vas adorer mon chéri.

Il se redresse pour la regarder venir m’embrasser. Sans que nous ayons eu besoin de nous concerter, ma sœur et moi, nous léchons les traces de spermes avec grands soins, nos langues se mêlent, on en rajoute encore un peu dans nos dégueulasseries en bavant pour mêler nos salives à son sperme. Parfois un filet de bave et de sperme relie nos visages. Nous le laissons complaisamment s’étirer entre nous et s’écouler sur nos seins.

Mathieu nous regarde faire avec dans les yeux le même émerveillement que celui d’un enfant devant le jouet de ses rêves.

-   Ça te plait, mon chéri, de nous voir toutes barbouillées de ta liqueur ? Allez, dis-le que ça te plait mon grand chéri de nous voir dans cet état, hein ? Tu n’es qu’un gros cochon ! Regarde bien comme on est cochonnes nous aussi !

Lise est déchaînée, je ne savais pas qu’elle pouvait aller si loin. Je n’ose rien dire mais toutes ces obscénités qui sortent de sa bouche me troublent terriblement, je l’admire d’oser dire et faire de telles choses. Moi, j’ai encore pire dans mon esprit, mais je suis bien trop timide pour pouvoir m’exprimer comme elle.

Mathieu vient s’agenouiller à nos côtés. Sa langue rejoint les nôtres dans leur petit ballet-dégustation. On fait durer le plaisir. Il est visiblement aux anges d’avoir à sa disposition deux belles femmes, les deux sœurs  si complaisantes. Son outillage est au repos mais je me promets de tout faire pour lui redonner bien vite sa vigueur. Je me sens pleine d’appétit. Après tout, ma chérie s’est déjà envoyée en l’air au moins deux fois aujourd’hui, alors que je n’ai eu droit pour l’instant en tout et pour tout qu’à une seule et misérable branlette. J’ai bien le droit de m’amuser aussi !

M’installant entre les cuisses de Mathieu, je prends sa petite zézette toute molle dans ma bouche et je commence à jouer avec elle, avec ma langue et mes doigts, je la tête avec une infinie douceur. Comme elle est toute petite à présent, ce n’est pas trop fatiguant, c’est très agréable, très doux et parfumé. Au-dessus de moi, ils continuent de s’embrasser. Je sens la vigueur de Mathieu se réveiller doucement. J’entends Lise lui dire :

-   C’est une bonne suceuse ma sœur, hein ?

-   C’est très bon, très doux, répond Mathieu d’une voix sourde.

-   Tu vas la baiser, mon chéri ? J’ai envie que tu la prennes bien à fond, mon amour. Elle t-a bien mérité je crois…. non ?

 

Sous ma langue, je sens la verge se dilater et se raidir d’avantage. Encouragée par ce résultat, je suce de plus belle en écoutant les bêtises que Lise chuchote à l’oreille de son mari.

-   Tu sais, je ne suis pas sûr d’avoir encore assez de force ! Je n’ai plus vingt ans !

-   Ne t’inquiète pas mon amour, elle a tout ce qu’il faut pour te faire raidir en quelques minutes,  je vais préparer son petit cul pour toi mon amour, pour que tu rentres en elle comme dans du beurre.

Tout en finissant sa phrase, Lise s’allonge entre mes jambes et glisse sa tête entre mes jambes. Pour lui faciliter la tâche, j’écarte largement mes cuisses sans cesser de sucer Mathieu. Sa langue se pose sur mon coquillage qui est tellement sensible et excité que je manque de jouir instantanément à son contact. Sa langue me rend folle, elle est vraiment  boulimique  aujourd’hui ! Maman ! Je suis dans tous mes états. Et j’aime ça ! J’aime ça vraiment très fort et je me sens totalement en confiance à présent, prête à m’abandonner, prête à toutes les impudeurs. Ma sœur a réussi à faire de moi une véritable dévergondée.

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Mathieu se penche vers moi, m’obligeant à abandonner l’objet tant convoité. Il me relève et me fait mettre à quatre pattes sur le revêtement inconfortable pour l’évènement. Lise se tortille  afin de se mettre tête-bêche sous moi, pendant que son mari se place derrière moi,  ses doigts écartent agréablement  les lèvres de ma chatte et enfin je sens son gland dans une douceur incroyable cajoler l’entrée. Ma petite chatte  qui n’a pas reçu de coup de bite depuis pas mal de temps, est ouverte bien accueillante. Lise, la tête entre mes cuisses, m’offre une vue plongeante sur son intimité. Elle est aux premières loges pour voir ce spectacle original, son mari qui me prend.   Instinctivement, je tends mon cul en arrière, en cadence avec les coups de reins de mon étalon. Je délire….Putain !  Vas-y, mon chéri ! Vas-y, baise-moi à fond. Mon Dieu ! J’avais oublié la sensation merveilleuse de cette tige de chair brûlante en moi, j’avais oublié sa douceur inouïe. La langue de Lise sur mon clito et m’électrise ! Je suis incapable de lui faire quoique ce soit pour la remercier, je vois bien sa chatte qui s’agite sous mes yeux, mais trop absorbée par ce bonheur immensurable, je reste désœuvrée.   Les coups de boutoir de Mathieu sont un tel bonheur

que je n’arrive pas à me concentrer, malgré tout  je prends de l’altitude, je sens Mathieu se tendre de plus en plus fort,  j’en deviens folle et Lise qui continue de plus belle, je  m’envole toujours plus haut, toujours plus fort, une chaleur intense naît dans mon ventre, très profond, ça gonfle, ça palpite, ça irradie dans tous les sens.  J’ai chaud partout ! Puis la chaleur de Mathieu se répandre en moi. Je pense que je vais mourir de plaisir.  Je n’entends plus rien de ce qui se passe autour de moi et je m’effondre comme une loque, à plat ventre, enfin satisfaite, enfin rassasiée, anéantie.

 Nous titubons tous les trois jusqu’à l’intérieur de la villa où je m’écroule sur le vaste canapé en cuir fin.    

 Mon excitation est retombée et je dois faire un gros effort sur moi-même pour rester impudique. Étrangement, cette violence perverse que j’inflige à ma propre pudeur fait naître dans mon ventre un surcroît de plaisir. Nos regards avec ma sœur se trouvent, ne se quittent plus. Il me semble qu’elle lit dans mes pensées. Mathieu nous contemple, le visage ouvert, détendu, souriant.

-   Je suis le plus heureux des hommes avec deux jolies chattes comme vous.

Je n’ose pas répondre. Certains mots ne parviennent pas à franchir mes lèvres. Peut-être suis-je au bout de mes réserves d’audace ? Reprenant une position un peu moins indécente, je me redresse.

-   Tu es bien Julie ? me demande Lise. Tu n’es pas trop choquée ?

-   Je n’ai jamais fait une chose pareille et j’avoue que j’ai eu un peu peur. J’avais peur d’être gourde, de ne pas être à la hauteur.

-    Tu sais Julie, nous aussi on avait un peu peur.

-   Oui, dit Mathieu, nous ne sommes pas des habitués de ce genre de sport, j’ai toujours apprécié ta présence, admiré ta beauté, mais jamais je n’aurais pu imaginer un tel événement, je te respectais trop.  Lise et moi nous amusons parfois à fantasmer sur d’autres partenaires, mais jamais sur toi, sa sœur.  Je suis vraiment ravi. Comment dire ? En fait, je n’espère qu’une chose : que tu ais  envie de recommencer un jour prochain !

-   Ho oui avec grand plaisir !

-   On croirait que tu l’invites à prendre le thé.  Plaisante Lise.

 

C’est vrai que c’est assez décalé comme situation.  Je n’aurais jamais imaginé m’entendre dire si simplement : « Ta sœur et moi avons beaucoup apprécié de vous bouffer et de vous enfiler. J’espère que vous reviendrez vous faire baiser de nouveau un jour prochain. » Et moi qui répond sur le même ton : « Mais bien sûr, mais comment donc, Monsieur le Marquis, tout le plaisir était pour moi ! » Ces mondanités loufoques nous font rire tous les trois.

Nous nous décidons à remettre une petite culotte. Je suis tellement bouleversée et épuisée par tout ce qui vient de m’arriver que mes doigts tremblent et peinent à refermer les boutons de ma robe.

Lise vient gentiment m’aider à me rhabiller.

En remettant de l’ordre dans mes idées, j’éprouve un petit pincement au cœur. J’ai l’impression d’avoir franchi en quelques heures un pas géant dans ma vie sexuelle, je suis une femme heureuse, de respirer, de rire et je me sens énormément plus forte.

Lise me propose de venir nous refaire une santé dans la salle de bain.

La salle de bain est superbe. Une immense baignoire assez grande pour nous accueillir tous les trois se remplit à gros bouillons. Je me doute bien de ce qui m’attend. Caro et moi glissons vite dans le bain agité comme un jacuzzi. Mathieu vient nous rejoindre. J’en profite pour le regarder d’un peu plus près. Son corps de cinquantenaire est un peu affaissé mais encore très agréable. Curieusement, moi qui me suis si souvent moquée de mes amies qui sortaient avec des « vieux », je n’éprouve aucune réticence physique à son égard. Il a apporté des petits gâteaux et des boissons rafraîchissantes. Confortablement installés, nous bavardons tranquillement.

J’imaginais qu’ils allaient m’entraîner dans une partouze débridée, mais à ma grande surprise nos bavardages suffisent à notre plaisir. Mathieu ne tente pas un geste déplacé ni aucune allusion salace.

Il a remis la pièce de Schuman que j’avais entendue à mon arrivée. Nous parlons de musique, de nos goûts respectifs, de nos enthousiasmes, de nos dégoûts. C’est une sensation nouvelle pour moi qu’une telle détente, une telle intimité avec ma sœur et mon beau-frère. Nos jambes se touchent dans l’eau, nos corps acceptent la douceur de ce contact et nous restons tous les trois enlacés, flottant dans l’eau tiède.

Mathieu sort le premier en nous annonçant qu’il va préparer le repas. Lise et moi le suivons peu après.

Ce soir-là, après le repas, je suis allée me coucher le cœur et le corps en paix. Seule, mais heureuse.

 

 

FIN

Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : vous avez dit inceste
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Lundi 29 juin 1 29 /06 /Juin 16:01

 

 

 

 

 

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Trois fils de leur mère

 

Ces dix dernières années sont vides dans ma vie depuis la disparition de mon mari, François, on s’aimait comme des fous, avec cet accident professionnel, il a disparu de ma vie en me laissant toutefois trois fils, trois beaux garçons. C’est ce qui m’aide à vivre, à me battre pour leur assurer un avenir. Tout mon temps leur est consacré pour qu’ils vivent bien, d’une façon sereine, en essayant d’oublier cette tragédie. J’ai touché une belle prime d’assurance, la maison a aussi été payée par la compagnie, je n’ai donc pas de souci matériel.

L’aîné, Hervé dix huit ans est presque un homme. Gabin le deuxième est très prêt de son grand frère avec treize mois de moins. Le petit dernier, Simon qui va avoir sur ses seize ans. Hervé veut toujours remplacer son père, enfin il essaie, en étant autoritaire sur ses frères. Dans l’ensemble ils s’entendent merveilleusement bien et font tout pour que je sois satisfaite. Si je ne les avais pas, jamais j’aurais supporté cette vie sans François. Évidemment il était hors de question d’amener un autre homme à la maison. Alors je me suis construit ma petite routine, le travail, les études pour les enfants, les vacances. J’ai bien gardé des contacts avec quelques d’amis, mais toutes seules ce n’est pas très gai, je repousse donc les chances de les voir souvent.

Hervé a toutes les filles qui lui courent après mais je vois que c’est moi qui compte avant tout et j’en suis fière. Gabin, lui a un faible pour une fille de son bahut et le petit Simon, c’est le plus calme, il ne dit jamais rien. Le soir chacun fait ses affaires en pyjama, sur leurs cahiers, sur l’ordinateur, à leurs jeux, ou à la télé. Moi j’ai les travaux de la maison, cuisine, vaisselle, lavage etc.…

Samedi derniers alors que j’allais me coucher, rompue d’une dure journée au bureau, la petite voix de Simon m’interpelle :

- Tu ne restes pas maman ?

- Non mon chéri, je suis fatiguée, je vais me reposer.

- Mais on a un truc à fêter !

- Oui, c’est vrai !

Hervé s’est redressé et a le même regard suppliant que son petit frère.

- Tu devrais t’asseoir, ce soir c’est une grande soirée !

- Ha oui et quoi ?

- C’est ton anniversaire maman enchérit Gabin de son ordinateur.

- Ho !!! Comme c’est gentil d’y avoir pensé. Bon…. Ben….. je vais mettre mon pyjama et j’arrive…

Quand je reviens de ma chambre, il y a une nappe sur la table basse du salon, des bougies, un gâteau a été découpé et mis dans des assiettes, une bouteille de champagne et quatre flûtes. Je suis surprise de la rapidité du service, je m’approche, prends la bouteille de champagne. Lorsque je leur demande où ils ont pris tout ça, tous les trois la bouche en cœur :

- C’est notre secret !

Hervé me prend la bouteille et me fait signe de m’asseoir dans le canapé, malgré ma lassitude, je souris contente et émue de ces intentions. L’amour que portent mes enfants pour moi me fait fondre en larmes.
Mes garçons viennent m’entourer et me dire combien ils m’aiment.

Je reprends mes esprits et c’est Gabin qui lance :

- Alors on l’ouvre cette bouteille ?

Je me retourne et avec un petit sourire je lui demande si il est bien certain de pouvoir boire ça à son âge. C’est en se tapant fièrement sur le poitrail qu’il m’annonce qu’il est un grand maintenant. Tous éclatent de rire, c’est Hervé qui fait le service. Pour la soirée, ils ont même prévus un film romantique, ce qui me touche encore plus. Chacun regagne sa place, Je m’installe au bout du canapé, les pieds posés sur la table qui est largement assez grande pour tout contenir, pendant que Gabin et Simon occupent l’autre moitié du canapé. Le film démarre, on est vite plongés dans le petit écran et le nez dans le gâteau au chocolat. Je savoure ce moment unique avec une joie intérieure qui me fait oublier ma fatigue.

Eprouvée par toutes ces émotions, mes paupières deviennent lourdes malgré tout, je me laisse somnoler un instant. C’est Gabin qui me réveille en se pressant contre moi pour me faire un câlin. Aucun de mes trois fils ne s’est rendu compte que je dormais. Ce petit somme m’a permis de recharger mes accus. Gabin met sa tête sur mes cuisses, je lui caresse les cheveux, je sais que ça l’énerve un peu, alors je glisse ma main sur son ventre sous sa veste de pyjama ce qui le fait ronronner comme une chatte pendant que je tente de retrouver le sens du film. Machinalement je continue de caresser son ventre jusqu’à ce que ma main bute sur quelque chose. Rapidement je remonte mes doigts. Gabin n’ose plus bouger, moi non plus puis je reprends mes mouvements en évitant de trop descendre pour ne plus heurter la sensibilité de mon fils, qui contre tout ce que je peux penser est réellement entrain de grandir. Difficile de penser que cet ado a une belle érection qui déforme le devant de son pantalon de pyjama.

 

 

 



Simon suit sans réaction la scène. Hervé est un peu gêné, lorsqu’il tourne son regard vers moi, ses yeux tombent sur le bas ventre de son frère, son regard reste fixé. Je ne sais plus trop quoi faire ou dire, mon grand retournera vers la télé à un moment ou à un autre de toute façon. Mais cette fois Simon voit la réaction de son grand frère et curieux de savoir ce qui attire son regard se retourne à son tour. Quand ce dernier voit

l’érection de Gabin il ne peut se retenir.

- Et bien Gabin, on dirait que tu grandis de partout !

- Pffffffffff. Et alors ? Regarde le film plutôt !

- T’as vu Vevé ? (c’est comme ça qu’ils surnomment leur frère Hervé) C’est vrai qu’il devient un homme le petit Gabino… bon il doit juste apprendre à ce contrôler en présence d’une dame c’est tout…

- Ouai… heureusement que c’est maman… si c’était Lucie…

- Hé ho ça va… lâchez moi… et puis Lucie elle sait quoi faire avec….au moins moi j’en ai une meuf !

- Ouai ouai c’est bon… la ramène pas avec ta miss, tu nous a toi-même dit cet après-midi qu’elle te saoulait.

Après quelques palabres sans valeur, Hervé et Simon se retournent vers la télé légèrement vexés. Gabin se déplace pour s’arranger un peu, il décolle sa tête de mes cuisses pour la placer différemment et remonter son pantalon de pyjama et ainsi faire buter son petit membre contre ma main, Une rapide excuse sort de sa bouche qui du coup se replace comme il était. Je me penche pour lui donner un bisou sur le front.

Cependant l’érection de Gabin me tracasse, ce sexe tendu est toujours bien apparent, et je ne cesse de me demander ce que cette Lucie a bien pu déjà faire on mon petit chéri. Suivant les mots des garçons, il n’avait pas fait que s’embrasser. J’avais déjà parlé des filles avec le plus grand, mais je n’avais jamais senti le bon moment pour le faire avec Gabin et encore moins avec Simon. L’urgence pourtant s’en faisait sentir, je parlerais demain à mon fiston ou alors dans la semaine. Après tout je ne suis pas certaine qu’ils en aient vraiment besoin, aujourd’hui les jeunes connaissent beaucoup de choses. Le film continue,  je sens des fourmis dans mes pieds. J’essaie d’étirer mes jambes mais avec la tête de Gabin ce n’est pas facile, me sentant gigoter, il se soulève et à nouveau le membre durci vient encore me frôler. Cette fois-ci le garçon ne s’excuse pas, je regarde la bosse tendue de son pantalon et je me demande si c’est bien normal qu’un quart d’heure après il soit toujours dans un tel état.

Par moment le regard d’Hervé se tourne vers le canapé. Il ne dit rien, mais je sais qu’il voit toujours l’érection de son frère. Pour Simon c’est déjà de l’histoire ancienne. Ce n’est que quelques minutes plus tard que le regard de mon plus grand semble se poser ailleurs, c’est sur mes genoux nus. Mes jambes sont engourdies et je n’ai pas senti ma chemise de nuit remonter par les gestes de Gabin. Ma tenue reste tout de même convenable. Pourtant Hervé revient à la charge, je croise son regard, il s’empourpre et retourne vite à la télé. Je vérifie encore puis je vois qu’en fait le visage d’Hervé n’est plus sur mes genoux mais sur mes cuisses, tout aussi dénudées. Je ne sais pas quoi faire, je devrais rabaisser ma chemise de nuit mais j’ai peur que mon Gabin le remarque et relance une salve de quolibets à son frère. Je tente donc de me concentrer sur le film, un bref coup d’oeil à l’horloge, une demie heure de passée, plus qu’une heure tout au plus.

Cinq minutes passent avant que Gabin ne gigote encore. Je n’en crois pas mes yeux, mon enfant est toujours dans un état certain d’excitation, il tente comme il peut de réajuster son pantalon. J’en profite pour bouger un peu mes jambes mais les mouvements de l’un et de l’autre ne fait que remonter encore plus ma chemise de nuit qui est maintenant en haut de mes cuisses. Rapidement je tente de redescendre le tissu mais Gabin a déjà repris position sur mes cuisses, ma chemise semble bloquée sous moi. Je sens l’air agir sur ma peau, les cheveux de Gabin me chatouillent un peu, pas de façon désagréable. Ma main reste sur son épaule. Mais ce petit chenapan ne l’entend pas de cette oreille, il saisit ma main pour la replacer sur son ventre. Un peu maladroite, je tente de suivre le mouvement mais c’est presque toute ma paume qui vient frôler le petit membre durci. Cette fois, Gabin ne réagit même pas. Peut être qu’une érection aussi prolongée l’a engourdit, pensais-je.

Quand mon regard remonte sur l’écran, je vois celui d’Hervé qui nous fixe puis se détourne à nouveau. Je suis quand même gênée. J’ai bien fait la leçon à mes garçons, « pour dormir on met un pyjama, les slips ou les caleçons c’est pour la journée, on ne garde pas de sous-vêtement sale pendant la nuit ». Alors moi, avec une chemise de nuit aussi longue, pourquoi j’en porterais ? La tête de Gabin se trouve appuyée contre le haut de mon pubis. Assise comme je suis, si mon garçon se tourne il aura une vue imprenable entre ses jambes. Une heure de film, un film pas si mal d’ailleurs, mais les secondes ont l’air de durer des minutes. Gabin a un peu glissé, ça m’arrange bien j’ai maintenant ma main sur son torse plus que sur son ventre. Par contre j’ai une cuisse découverte presque entièrement, tandis que la tête de mon fils repose sur l’autre. J’essaie de me soulever doucement et de remonter un peu ma jambe bloquée. C’est le moment que Simon choisit pour faire une pause pipi. Sans rien demander à personne le garçon se lève, appuie sur la télécommande pour mettre le film en pause et se précipiter aux toilettes en allumant le lustre du salon, la lumière blafarde inonde tout le monde un instant, juste le temps que les deux autres frères grognent contre le troisième, celui-ci se confond en excuses feintes et court au petit coin.

Rapidement je baisse les yeux et voit que Hervé contemple le haut de ma cuisse, il doit voir une partie de ma toison. Je réajuste ma chemise de nuit, pousse la tête de Gabin et part en direction de ma chambre pour me servir des toilettes de sa salle de bain. A l’intérieur, assise sur les commodités, je tente de reprendre mes esprits. Que mon fils est vu mon pubis n’est pas très grave dans l’absolu, mais pourquoi cela la me rend si… humide. Quand j’essuie les dernières gouttes je me rends bien compte qu’il y a autre chose que de l’urine entre mes lèvres intimes. J’ai honte, le feu me monte aux joues, comment peut-on être excité par son fils ? Je rajuste ma chemise de nuit, j’entends Simon courir vers le salon, mon dieu, ce garçon ne sait pas marcher, il court tout le temps, je reviens dans le salon. Où les trois garçons m’attendent, ils ont chacun une coupe de champagne à la main, Hervé m’en tend une. Gabin semble plus calme d’un coup, même si une tache humide macule le devant de son pyjama.

- A nous !

- Oui à nous !

- Vous devriez faire attention mes enfants, c’est de l’alcool quand même…

- A nous !

J’ai à peine pris une gorgée que je vois mes trois garçons descendre leur flûte cul sec. Je me dis qu’ils vont être saouls avant d’aller au lit. Mais bon, c’est aussi la fin de la petite souffrance pour eux, alors… Cette fois je m’assois normalement sur le canapé, Gabin revient prendre sa place précédente, il attend bien que je pose mes pieds sur la table mais ne me voyant pas bouger, il s’allonge à moitié dans le canapé, un peu dépité. Le film reprend et c’est un quart d’heure plus tard que je sens la main de Gabin se glisser sous mes cuisses pour poser sa tête, comme il l’aurait fait avec un oreiller. Je suis mal avec ce bras sous moi, je gigote, tente de garder les cuisses serrées, j’ai peur d’engourdir le bras de mon fils. Gabin relève son visage et me regarde perplexe, puis, comme vaincu, il part de l’autre côté du canapé posé sa tête sur l’accoudoir.
Ainsi libérée je me mets à mon aise, les jambes remontées sous moi. Je place bien ma chemise de nuit, histoire d’être sûre d’éviter tout nouvel incident, et quand je regarde mon fils je m’aperçois qu’à nouveau son sexe se dresse dans son pantalon de pyjama. Je n’en crois pas mes yeux, le film n’avait rien montré de bien excitant, même pour un garçon de cet âge, et je me demande maintenant si cette érection n’est pas due à mes charmes. Mais non ! Pas pour un garçon qui est mon propre fils !

 

 

 



Le film se poursuit, tout le monde semble absorbé par l’histoire et pourtant, toujours sur le canapé, Gabin s’amuse à faire passer ses jambes sur les miennes. Il les caresse, les chatouille du plat du pied ou avec ses orteils. Cela me fait rire par moment mais me trouble. Ce simple petit jeu prend un tout autre aspect quand je vois que son érection gagne de l’ampleur à chaque fois qu’il glisse un pied jusqu’à au-dessus de mon genou. Le pénis de mon fils ne semble pas vouloir de repos. Et le pire c’est qu’il ne semble plus du tout s’en soucier. Hervé de l’autre coté, lui, par contre, ne loupe rien du jeu qui se déroule sur le canapé. Encore moins quand il avance à son tour son pied sous ma chemise de nuit. Instinctivement je plaque ma main sur le pied impudent à travers le coton. Le jeune homme est un peu surpris, il me regarde pour que je relâche son pied. Je ne suis pas prête à laisser ce genre de stratagème prendre. Si Hervé veut que ça ressemble à un jeu, soit, je répondrai sur le ton du jeu, mais rien n’arrivera. Je comprends très bien que mon fils, à son âge, soit tourmenté par tout ce qui touche la féminité, et comme je suis la seule représentante féminine à la maison, je dois subir ses ardeurs ? Mais ce genre de problème n’était jamais survenu précédemment. Pourquoi maintenant ?

Le film se termine enfin. Je me sens épiée, observée. Par Hervé qui surveille certainement ce que Gabin peut faire, et par Simon qui le guette sans en avoir l’air. Gabin se retourne, il s’étire, me sourit et me demande comment j’ai trouvé le film. Hervé est debout devant moi, il me tend la main pour m’aider à me lever quand son regard tombe dans mon décolleté avec une fermeture à cinq boutons grossiers. Un pan était resté plié et Hervé a une vue plongeante sur presque tout un sein. Je suis le regard de mon fils et rabat rapidement le pan de ma chemise. Mais ce n’est pas possible ! Qu’est-ce qu’ils ont ce soir ?


Hervé balbutie un peu et me demande si je veux quelque chose maintenant.
Je lui souris, au moins il donne l’impression de ne pas l’avoir fait à propos. Je réponds gentiment que je vais sûrement aller me coucher. Mais mes garçons me lancent un regard réprobateur accompagné d’un « bouh » de désappointement. Ils savent bien que je vais me coucher beaucoup plus tard le samedi soir, parfois même après Hervé. Ce serait bien la première fois que j’irai au lit si tôt. Mais j’avais besoin d’être tranquille, sans ces trois garçons infernaux autour de moi. Je me retrouve prise au piège. Je finis par accepter un café et un autre film à la télé.

Après une salve de hourra, mon café est servi, le film lancé et le calme revenu. Je me réinstalle à mon aise sur le canapé, Simon est aux toilettes et va sûrement venir leur dire bonne nuit avant d’aller dans sa chambre. Mais quand Simon revient c’est pour s’installer à son tour sur le canapé, tout contre moi, comme il l’était au début de la soirée. Cette fois le petit Simon en posant sa tête sur mes cuisses met aussi une main sur mon genou. C’est vrai qu’il doit être à peine neuf heures, la soirée avait commencé tôt. Je n’allais pas envoyer mon petit au lit à neuf heures le premier week end des vacances. Alors je glisse une main sous mes genoux pour coincer ma chemise de nuit et me détendre afin de regarder le feuilleton. En fait le contact de la tête de Simon sur mes cuisses est loin d’être désagréable.

Gabin s’appuie sur mon côté droit, la tête légèrement posée sur mes seins. Je commence à être un peu agacée. Ce qui me fait par contre vraiment rougir c’est le regard de Gabin, qui un peu dubitatif, fixe ma poitrine déformée par la tête d’Hervé. Elle semble vouloir durcir, pourtant il ne fait pas froid ! Oh non ! Je ne vais pas à nouveau être excitée par ses garçonnets. Je me redresse un peu pour que mon fils arrête de jouer à cache-cache derrière mes seins. Je remarque très vite que, soit mon fils est plus que malin, soit la chance est de son côté. En me redressant j’ai laissé échapper le pan de chemise coincée sous moi et maintenant Hervé qui se trouve assis sur le tapis, me caresse le mollet nu. Ses caresses s’arrêtent à la lisière de ma chemise mais j’ai tout intérêt à la coincer à nouveau. Cependant la main de mon fils qui va et vient sur ma jambe me donne déjà des frissons. Ses doigts sont si doux, si légers. Je me concentre sur la télé, je vois qu’il s’arrête à la lisière de la chemise, mais à chaque passage de ses doigts il repousse le vêtement. Le tissu se déplace lentement à chaque fois, et c’est plusieurs centimètres de peau dénudée que mon fils gagne. Au bout d’un moment j’ai les genoux à l’air.Gabin se lève, se place derrière moi et vient me donner un merveilleux massage des épaules comme il a quelques fois l’habitude de me le faire. Hervé ne bouge pas d’un pouce, il ne joue plus avec le pan de ma chemise de nuit. Je ronronne, miaule presque sous les doigts agiles de Gabin. C’est vrai qu’il est doué, il l’a toujours été. J’ai presque failli pousser un cri quand les doigts de Gabin ont glissé sous le col de ma chemise et venir frictionner mes épaules. Rapidement je regarde mon décolleté, tout va bien, je lève les yeux pour voir où se pose le regard de Gabin mais c’est dans le mien que ses yeux plongent. Je me détends à nouveau et savoure les derniers cercles que décrit mon Gabin sur le haut de mon dos.


Après quelques minutes, Hervé reprend ses caresses, il arrive à ses fins ; ma chemise de nuit ne couvre plus du tout mes genoux. Mais c’est qu’il me déshabillerait complètement s’il pouvait ce salopiot. Je ne lui en veux pas, c’est de son âge comme on dit, il veut s’amuser, mais ça n’empêche que je ne suis pas à l’aise. Maintenant Hervé a complètement découvert mes deux genoux et une partie de son visage est maintenant colée sur ma peau. Je veux me redresser quand Simon à son tour passe derrière moi pour me masser à son tour. Je n’émets qu’une vague protestation, comment lui dire non alors que Gabin vient de le faire. Mais Simon ne frotte pas sur ma chemise de nuit, il attaque directement dessous. Je me contracte, mais les doigts de mon garçon me détendent tellement. Ses massages sont différents de ceux de son frère. Plus fermes, plus appuyés, chaque muscles et ligament rouler sous ses mains déjà puissantes pour son âge. Simon est plus jeune et son touché a quelque chose de plus virile, de plus mature. Je passe un bras sur ma poitrine pour cacher les pointes qui n’en finissent pas de rappeler leur présence. Après avoir repris sa place à mes cotés, Gabin repli ses jambes et sa tête glisse sur mes cuisses à la place de Simon. Se faisant le tissu sous sa tête glisse de concert et la joue de Gabin est maintenant lovée sur ma peau nue. Ce n’est d’ailleurs plus ma jambe qu’Hervé caresse doucement mais mon genou et ma cuisse. Quand les doigts frêles passent sur l’intérieur de ma cuisse, j’ai un frisson qui me parcourt de bas en haut. Dans son genre, il est très doué lui aussi et ne semble pas se lasser de cajoler mes genoux et mes cuisses. Je sais que ma chemise n’ira pas plus haut, le contact du visage de Gabin contre ma peau m’électrise.

Gabin se tourne un peu, se replace, c’est maintenant son souffle qui glisse sur ma peau. Cette douce chaleur est insoutenable. Mon corps réagit à ces petites stimulations, j’ai beau me concentrer sur le film, je n’arrive pas à enlever de son esprit la moiteur qui émane d’entre mes jambes. J’ai honte, honte que ces attouchements assez innocents arrivent me mettre dans un état pareil. Je me demande si ils sont vraiment conscients de ce qu’ils font. Je n’ai jamais eu d’homme depuis la disparition de mon mari. Mais comment je peux comparer des mains d’hommes aux caresses gentilles de mes enfants adorés ? Je ne suis pas vraiment chatouilleuse mais quelle femme pourrait supporter sans réagir qu’on la touche à ces endroits ? Surtout par ses propres rejetons !

Le film se termine et je ne suis pas sûre d’avoir tout suivi. Les films laissent la place aux programmes des chaînes, l’atmosphère se détend. Hervé est déjà debout, il explique à Simon que ce n’est pas comme ça qu’on doit masser des épaules, c’est de la peau, des muscles, des nerfs et pas une pâte à pétrir. Et sous les yeux attentifs de Gabin, à genoux sur le canapé, Hervé place ses mains sur mes épaules et entame un nouveau massage.
Hervé décrit chacun de ses mouvements, Gabin et Simon regardent attentivement. Que peuvent-ils voir de là je me demande, si ce n’est les doigts du grand frère agir sous le tissu. Le cours d’Hervé est magistral, ses mains aussi. Il appuie un peu plus, fait des gestes un peu plus amples. La fermeté de son touché rend encore meilleur le massage, il allie cette part de féminité en lui avec la fermeté de Simon. Peut être a-t-il été vexé que je ronronne sous les doigts de Simon. Par moment les mains d’Hervé descendent sur mes bras. Je n’y prête pas spécialement attention, ma chemise est fermée normalement, mais quand il remonter ses mains en les glissant légèrement devant, c’est sur la base de ma poitrine que les doigts de mon fils vagabondent. Il ne reste pas, et repart aussi vite qu’il y est venu mais son geste se répète. Je ne sais plus quoi faire. Si il était seul je n’hésiterais pas à lui faire remarquer. Et pourtant il me semble plus audacieux que d’habitude. Ses doigts osent aller toujours un peu plus loin sur ma poitrine sous le regard de ses deux frères. Dans un sens je suis contente d’avoir une belle poitrine. Les mains sur elles sont si douces, si attentionnée.

C’est un feuilleton qui démarre, Je fais le vide dans ma tête pour essayer de le suivre. La tête de Simon va et vient imperceptiblement le long de mes cuisses. Je me demande ce qu’il fait dans un premier temps puis au bout de quelques minutes il a dégagé le terrain pour ainsi dire, puis son visage repose entièrement sur mes cuisses nues. Je tente de me rajuster, de me redresser mais c’est peine perdue, tout ce que j’arrive à faire c’est d’écarter un peu plus mes cuisses. Pour se remettre correctement il faudrait que je me relève complètement. En attendant la tête de Simon est fichée contre mon ventre et son souffle effleure l’intérieur de mes cuisses. C’est comme une marée qui monte et descend et amène à chaque passage son flot de sensualité chaude. Il n’est plus question de moiteur entre mes cuisses mais d’une humidité inquiétante. Ma respiration est un peu plus courte et mes gestes approximatifs. Je ne sais plus où mettre mes mains d’ailleurs. Gabin prend ma main comme il l’a déjà fait et la place sur son ventre. La main de Gabin parcourt maintenant presque toute la totalité de mes cuisses, ses doigts viennent se perdre à l’intérieur de mes cuisses, à quelques centimètres seulement de mon intimité, j’ai du mal à retenir un nouveau soupir. Je me rends compte que la main de Gabin n’est plus aussi assurée, il doit bien savoir ce qu’il fait cet enfant, hélas, il ne s’arrête pas. Il ne va jamais trop haut mais reste toujours dans cette partie sensible et chaude de ma personne.

A ce moment, je ne sais plus où j’en suis, je jure que dès la fin de cette série télévisée je cours dans ma chambre. Ca doit être ça, trop de frustrations accumulées, trop de pulsions que j’ai dû enfouir, et maintenant mon corps demande réparation. Enfin une page de publicité arrive. Soulagement, Gabin se lève et veut prouver à son frère qu’il peut faire aussi bien que lui. A nouveau Gabin plonge ses mains sous mon col de chemise de nuit et vient malaxer mes épaules. Mais là, Gabin va directement sur mes bras.

Le col de ma chemise de nuit est étiré entre les poignets de Gabin. Le massage est des plus agréables, c’est vrai, mais pour éviter tout incident je me penche un peu en avant. Gabin n’a plus trop le choix, il doit se concentrer sur mon dos. Le visage de Simon a presque recouvert ma poitrine. Gabin appuie fermement sur mes épaules et sur mon dos. Ses mains fermes me font pencher encore plus en avant et mes seins s’appuient fermement sur le visage de Simon. Instinctivement je me redresse ce qui oblige Gabin à poursuivre son massage sur mes bras. Je ne peux me retenir de frissonner et de laisser échapper un faible « hooooooo ». Gabin n’a que le côté de mes seins dans ses mains, mais c’est bien cette partie de mon corps qu’il masse un court instant. Les mains de ce petit monstre ont l’air de rester une éternité sur ma poitrine. Quand je reprends suffisamment mes esprits pour vouloir dire quoi que ce soit. J’en arrive à me demander si mes enfants ne sont pas de mèche mais c’est une idée folle, ce ne peut être qu’une succession d’accidents malencontreux. Et que puis-je reprocher à mes fils alors que moi-même suis ostensiblement excitée par la situation. Je ne vois même plus le feuilleton tant mon esprit tente de trouver une solution à cette situation. Je suis là sur le canapé avec la chemise de nuit retroussée jusqu’à la taille, mon plus jeune fils la tête entre mes seins, l’aîné dorlote de sa joue mes cuisses nues et les mains de Gabin caressent mon dos et ma poitrine. Je remarque que d’ailleurs, quand Gabin a tiré sur le col de ma chemise de nuit ça a eu pour effet de la faire encore monter un peu, débarrassant Hervé de quelques tissus entre sa tête et mon entrejambe.

Quand Hervé glisse à nouveau sa main sur l’intérieur de mes cuisses, je suis certaine de l’avoir senti frôler les poils de mon intimité. Huit à neuf ans sans avoir d’homme dans son lit, je n’ai plus vraiment cherché à entretenir ma pilosité à cet endroit. Je fais juste attention qu’aucun poil disgracieux ne dépasse de mon maillot en plein été mais pour le reste, c’est la forêt vierge. C’est cette forêt vierge qui semble être le prochain but à atteindre pour les doigts de mon fiston. Je me redresse ou plutôt enfonce mes fesses dans le canapé mais cela n’a pour résultat que de permettre à ce petit chenapan de reculer encore un peu sa tête pour qu’il soit plaqué contre mon ventre. Je tente de me convaincre que jamais mon garçon n’aura le courage de me toucher là directement et pourtant, là où je sens le contact de ses doigts ne doit plus en être très éloigné. Deux centimètres peut-être trois, ça doit être tout ce qui sépare le majeur de mon Hervé du lieu où il a vu le monde pour la première fois.

Mais enfin le générique de l’épisode annonce la fin de la série du feuilleton, je prends appuie sur l’accoudoir et fait mine de me lever quand je vois sur l’écran qu’un autre feuilleton est programmé. J’ai envie de crier : « Arrêtez avec vos sales pattes, arrêtez de me peloter vous commencez à m’énerver sérieusement, je préfère aller dans ma chambre » J’aurais peut-être dû mais je ne l’ai pas fait. Je reste là abasourdie et en même temps rassurée de voir que je suis très aimée par mes enfants.
Rassurée de voir que je ne quitte pas ma place, les garçons me disent qu’ils vont prendre soin de moi, Ainsi Gabin reprend son massage sur mes épaules mais ne descend pas plus que ça sur mes bras. Je me sens un peu soulagée, peut-être a-t-il senti qu’ils étaient allés un peu trop loin lui et ses frères, d’ailleurs quand je regarde leurs yeux, je vois bien que le champagne a fait son effet. Je sursaute quand une paire de main saisit de mon pied droit.

C’est Hervé qui vient me faire un massage des pieds. Il sait que j’adore ça, surtout le soir après avoir fait les courses ou après une longue balade. Il sait comment il faut tenir le pied fermement et bien presser la plante. Mais ce soir le toucher est très léger ça devient des chatouilles. Hervé sait bien jauger, doser en parcourant tout mes pieds de ses doigts agiles. Par moment je suis bien obligé d’écarter ce qui amène Simon à glisser un peu plus entre mes cuisses. Je glisse de moi même au fur et à mesure pour m’allonger doucement et laisser Hervé manier mes pieds. Ce qui fini par cacher mon dos et maintenant Gabin ne peut plus faire autrement que d’agir sur mes bras et le haut des seins. Ma chemise de nuit a bien entendu fini de se retrousser et une partie des cheveux de Simon sont maintenant directement en contact avec le haut de mon pubis.

C’est bien Simon, le petit dernier qui, maintenant, mine de rien, glisse sa main gauche sous mes fesses. Je n’en reviens pas ! En fait, jusque là sa main était sous mes cuisses immobiles mais ma nouvelle position à placer logiquement cette main sous mes fesses, enfin, sous une fesse. Hervé, de son côté a déplacé son effleurage vers mes genoux pour frôler mes cuisses. Je me relève pour que Simon retire sa main, mais je n’ai pas pensé que suivant la façon dont est installé Simon, il avait une main dessus et c’est sur mon intimité que vient se plaquer son autre main. Sans réfléchir une seconde je me laisse tomber et mon postérieur vient se poser directement sur la petite main de Simon, ses doigts bien placés entre les deux fesses.

Le feu embrase mes joues et mon intimité. Je rassemble tout mon courage et doucement demande à Simon de retirer sa main de dessous mes fesses, que je ne voudrais pas l’écraser ou lui faire mal. Simon retire sa main à contre cœur, il ne peut dire non, tout ceci doit rester une série d’incidents malencontreux. Mais incidents ou pas Simon a bel et bien sa main plaquée sur mon pubis. J’ai à nouveau en confiance et me dis qu’il va retirer sa main d’entre mes cuisses pour se rajuster, mais quand je sens les petits doigts humides de mon fils je ne peux me retenir de rougir à nouveau. Mon tout petit avait les doigts recouverts de ma mouille. Quelle honte !

Cependant les stimulations n’allaient pas s’arrêter là, Hervé tout en regardant la télé continue ses câlineries. Il a lui-même les jambes sur le canapé, repliées sous lui. Je me retrouve donc presque allongée de tout mon long. Au bout d’un moment, Simon, sans aucune gêne, se retourne complètement pour faire face à mon ventre et l’embrasser juste au-dessus de mon pubis. Comment peut-il oser ? Simon a un accès complet à mon entre jambe. C’est alors que pour la première fois je réalise que trois paires de mains parcourent ma peau nue. En fermant les yeux, je pense que je n’ai plus de chemise de nuit. C’est bien les doigts que je sens sur le haut de ma poitrine, c’est bien les mêmes mains qui remontent ma chemise. Je veux protester quand Hervé tire à nouveau sur ma jambe droite pour l’attirer un peu plus à lui, il a de la force ce gamin car je ne peux me retenir et glisse un peu plus sur le canapé. Il n’y a bientôt plus que ma tête qui repose sur l’accoudoir alors qu’évidemment les mains de Gabin dérapent sur ma poitrine, mais cette fois, pas sur le haut, c’est mes seins qu’il pétri de la même façon.

Après diverses manipulations Gabin retire complètement ses mains étirant le col de ma chemise et un nouveau bouton se dégrafe. Ma respiration devient irrégulière. Quand je veux refermer le haut de ma chemise, je sens le chatouillement humide de Simon qui parcourt mon ventre de petits bisous. Je baisse les yeux sur le jeune impudent mais à nouveau Hervé tire légèrement mais fermement sur ma jambe, il étend un peu les siennes et dans un même mouvement ramène mon pied contre son ventre. Voici pas que je sens quelque chose de dur venir buter mon talon. Je n’ose même pas regarder l’érection que je devine je tente de tirer mon pied. En contractant ma cuisse je pousse imperceptiblement Simon qui vient alors déposer un baiser un peu plus bas, à cinq centimètres tout au plus de ma toison. Hervé qui saisi mon recul, se confond en excuse, me promettant qu’il ferait attention à ne plus me chatouiller. Mais ce n’est pas des chatouilles que j’ai ressenti c’est son membre durci. Je regarde l’expression de Gabin, il se penche pour déposer sur mon front un tendre baiser. Rien de bien érotique, un baiser sur le front, comme je l’aurais fait pour l’envoyer au lit. Heureusement que la pièce est dans la pénombre et chacun ne voit pas bien ce que fait l’autre. J’ai les seins gonflés sous les attouchements de Gabin, comment le renvoyer sur le fauteuil alors que les deux autres sont là sur le canapé. Je me sens perdue, je n’ai pas la force de résister, ils sont trois contre moi à me vouloir je ne sais quoi, mais un nouveau danger m’interpelle.

Hervé masse de plus en plus haut, la position devient inconfortable et pour laisser moins de liberté au garçon je déplie un peu ma jambe. Ainsi Hervé ne pourra pas aller plus loin et du coup Simon se retrouve dans une mauvaise position qu’il corrige aussitôt, sa main se pose sur ma hanche. Je m’aperçois que ma chemise de nuit est maintenant roulée au-dessus de ma taille. Et oui, Simon continue de déposer de tendres bisous sur ma peau en passant de mes cuisses au bas de mon ventre. Il semble évident qu’il ne regarde plus la télé mais a une vue parfaite sur mon entre jambe. Le massage de Gabin et surtout sa façon de tirer sur ma chemise a eu pour résultat de défaire le dernier bouton et je me retrouve avec le haut de ma poitrine dévoilée, le col étiré de part et d’autre de mes bras.

Il va bien finir ce feuilleton, il faut que je quitte ce salon absolument ! Je pourrais bien partir maintenant mais après tout c’est bien moi qui me laisse faire pour en arriver là… Comment pourrais-je le reprocher à mes garçons.
Mais… qu’est-ce que… Hervé a posé ses lèvres sur un mollet, il remonte un peu ses jambes et pose les miennes sur ses genoux, ainsi il n’a plus qu’à descendre la tête pour parcourir toute ma jambe de bisous. C’est intolérable… Mais c’est tellement bon. C’est grisant et il m’est impossible de trouver la force pour me lever. Simon embrasse mon nombril maintenant… Comment a-t-il réussi à… Et puis je m’empourpre d’un coup quand je découvre que cet ado a entièrement découvert mon bas-ventre. Sa bouche descend de plus en plus centimètres par centimètres. Je suis prisonnière, Gabin me maintient le haut de mon corps avec ses caresses, Hervé m’enserre gentiment les jambes et c’est le plus jeune qui est là où c’est le plus périlleux.
Prise de panique je veux dire non mais le son qui sort de ma bouche ressemble plus à un gémissement qu’à une réprimande et pour lui répondre la langue d’Hervé trace une route de mon gros orteil jusqu’au haut de ma cuisse. Où a-t-il bien pu apprendre une chose pareille ? Je bouge à peine que Simon arrive à déposer un baiser dans l’épaisseur de mes poils. Je voulais crier mais rien, ma langue est paralysée.

 

 


Quelle idée aussi d’avoir un canapé aussi large !
D’un autre côté les deux garçons peuvent parfaitement tenir l’un contre l’autre. Cependant Simon laisse de la place à son grand frère, il remonte son visage sur mon ventre. C’est quand Simon me fait face que je m’aperçois qu’il a les yeux fermés. J’ai l’impression de le revoir, tout bébé, chercher ma poitrine pour venir téter.
J’ai à peine le temps de sentir les lèvres de Simon au-dessus de mon ventre que de nouvelles lèvres viennent couvrir mon cou. C’est Gabin qui enfouit son visage dans mon épaule. Son souffle est chaud, humide et si doux contre ma peau que je laisse échapper un «hooo nooooon » mais tellement faible. Cette fois l’ouverture de ma chemise a emprisonné mes bras et le seul mouvement que je peux encore me permettre c’est de me tenir à l’accoudoir.
Hervé n’est d’ailleurs pas en reste il est arrivé largement au haut de ma cuisse en essayant de ne pas déranger Simon.

Je me sens transportée à mille lieues de la réalité, mon corps s’embrase, se consume peu à peu. C’est Hervé qui me ramène soudainement sur terre quand ses baisers atteignent cette fois l’endroit magique, le haut de ma fente trempée. Et c’est la panique qui s’empare de moi. J’ai d’un coup une vision globale de la scène et me vois à demi allongée sur le canapé, mon intimité offerte à mon fils ma chemise de nuit qui n’est plus qu’un bandeau de tissus autour de mes avant-bras. C’est fait, la langue darde mon bouton.
Simon remonte encore un peu plus libérant toute la place nécessaire pour Hervé entre mes cuisses, un long gémissement sort de ma bouche. Dans un dernier effort je cherche à me sortir de là, je relève mes bras pour tenter de faire remonter ma chemise de nuit sur mes épaules mais Gabin a déjà ses mains sur mes seins. Le tissu glisse, Gabin prolonge mon geste en me faisant passer les bras au-dessus de ma tête. Le col de ma chemise est si étiré que je ne sens même pas le tissu glissé autour de mon visage.
« Noooon pas çaaaaa » sont les seuls mots que je peux prononcer quand ma chemise est entièrement sortie, mais ça n’a rien d’un cri ou d’une remontrance, juste d’un dernier vestige de pudeur qui me quitte. Le visage de Gabin est devant le mien, ses lèvres s’appuient sur les miennes. Sa langue vient chercher la mienne. Je dois protester, je veux protester, mais alors pourquoi lui je lui rends son baiser. Peut-être pour les mêmes raisons que j’ai mis tant de temps pour venir couvrir ma poitrine de mes mains, mais Simon a déjà pris possession de mon buste de ses mains fines.

Quand mes mains arrivent sur celles de Simon, ce dernier fait déjà rouler mes tétons entre ses doigts. Mais mes deux fils qui m’embrassent ou me caressent la poitrine n’est rien à coté d’Hervé qui à trouver l’entrée de ma grotte intime. Je sens son nez buté contre mon clitoris au fur et à mesure qu’il tente d’enfouir sa langue toujours plus profondément et maladroitement. Je me rends compte que j’aurais pu refermer mes jambes mais je n’ai pas bougé. L’humiliation se mêle aux vagues de plaisir et ce n’est plus une protestation qui meurt étouffée dans ma bouche mais un long gémissement de désir. Guidée, contrôlée par les six mains qui me parcourent je glisse encore un peu plus sur le canapé, une main enfouie dans l’épaisse chevelure d’Hervé. Je rends le baiser à Gabin qui revient à la charge avec fougue, pendant que Simon malaxe un de mes seins grossièrement. Hervé glisse maintenant ses mains sous mes fesses, je sens un doigt fin envahir mon vagin quand sa langue arrive enfin sur mon clitoris. Hervé a passé ses mains de part et d’autre de mon intimité, il m’écartèle pour me dévoiler entièrement. Je devine qu’il regarde avec curiosité cet endroit jusque là secret. Je ne suis plus que frissons, gémissements, soupirs. Mon corps se couvre de sueur et mon bas ventre est gluant de sécrétions et de salive. Simon passe d’un sein à l’autre, mes tétons sont dressés, tout fier qu’on prenne à nouveau soin d’eux. La langue d’Hervé accomplit des miracles sur mon clitoris, je ne peux m’empêcher de rouler mon bassin en tous sens, il devient plus sûr de lui.

Mon plaisir monte de plus en plus vite en moi. Le feu embrase mon ventre et se propage dans tout mon corps, mes muscles se contractent, je pousse un long cri assourdi par les lèvres de Gabin. Mes trois garçons ne s’arrêtent pas pour autant avec ces ondes de bien être qui submergent tout mon corps. Mes fesses bondissent sur le canapé alors que dans mon intimité agissent les doigts de mon aîné. Le petit Simon suit mes mouvements sans quitter ma poitrine. Je retombe lourdement avec un orgasme rare qui me rappelle une certaine époque déjà lointaine. Ma contraction est si forte que le grognement que je pousse alerte mes trois fils qui restent plantés là, sans plus rien faire, juste à regarder leur mère être possédée par la jouissance. J’ai l’impression d’être dans un autre monde, de perdre pied, tout tourne dans ma tête. Aucune main de mes gamins ne bouge. Même Hervé reste figé avec un doigt légèrement enfoncé dans mon postérieur et trois autres dans mon vagin. Gabin s’est éloigné de mon visage pour me laisser respirer et se rapprocher de Simon. Ils me contemplent, leurs visages embués de larmes. Hervé se détache de son œuvre pour rejoindre ses deux frères, tous les trois ont l’air satisfait de leur initiative.

Au bout de quelques minutes, je reprends mes esprits, je n’ose pas ouvrir les yeux, comment pourrais-je me confronter au regard de mes enfants. Puis j’entends Gabin me murmurer à l’oreille combien il m’aime. Puis c’est le tour de Simon qui me déclare tout l’amour qu’il me porte et enfin Hervé tout content de lui, reprend le même refrain. Je tombe en sanglots et au milieu de mes larmes, j’avoue à mes fils combien je peux les aimer et combien je tiens à eux. Mes garçons m’expliquent que tout ça faisait partie du cadeau qu’ils voulaient me faire.
Assise au milieu du canapé, j’ouvre peu à peu les yeux et voit le regard de mes trois fils debout devant moi. Je trouve aussi leur regard admiratif et plein d’amour pour moi, ils sont si heureux d’avoir pu donner du plaisir à leur maman,  là, ils sont là, devant mon corps nu, je crois qu’ils me trouvent belle.

 

Mes yeux descendent sur la déformation des pantalons de pyjama par une érection normale. C’est sans vraiment réfléchir que j’avance ma main vers la proéminence d’Hervé. Je malaxe le renflement à travers le fin tissu, puis tire le pantalon vers le bas pour dévoiler le membre turgescent du garçon qui une fois libéré vient claquer contre son ventre musclé.
Sous les yeux amusés des deux autres J’entame une lente masturbation.
Hervé fini de se débarrasser de son pyjama aidé par ses deux frères qui le rapprochent très doucement de moi, quand la tige tendue se retrouve au-dessus de mon visage, je me vois obligé de lui donner quelques bisous sur le bout du gland pour finalement le prendre entièrement dans ma bouche. Hervé ferme les yeux, tout son corps frissonne sous mon contact, je pense que c’est tout nouveau pour lui. Gabin, serré contre Hervé contemple mon visage sur l’ardillon de son frère. Je prends la ceinture élastique de son pantalon pour la tirer vers le bas et me saisi de l’objet légèrement plus petit que l’aîné. Très tendu lui aussi avec le bout non décalotté mais baveux, les pauvres petits, ça les travaille ! Du bout des doigts, j’effleure la tendre bébête pendant que Simon continue à sortir le reste du pyjama de Gabin et à son tour de se mettre dans la même tenue. Simon se place l’autre coté d’Hervé en se tenant sur son épaule, ils forment un tableau unique tous les trois ainsi. Simon a la plus petite, c’est normal, je le prends très délicatement de l’autre main comme une mère le ferait à son bébé et lui fait un commencement de masturbation.

Les garçons se laissent guider par leur maman, quelques soupirs sortent de leur bouche, je ne cesse de sucer mon Hervé et dans un même temps je fais venir le petit Simon sur moi, ce qui m’oblige à abandonner ses deux frères pour m’allonger dans le canapé, sa tête vient reposer sur ma poitrine. Je glisse ma main entre son corps et le mien pour me saisir du membre tendu et le guider à l’entrée de ma chatte. Je dois appuyer sur les fesses du garçon pour qu’il trouve le courage de me pénétrer. C’est instinctivement qu’il entame un va et vient. Et bientôt sans plus aucune retenu mon Simon me fait l’amour comme un véritable amoureux, Gabin et Hervé nous regardent avec un air réjoui. Le couple en action gémit, soupir, geint. Je me trouve un peu gênée de me donnée toute à Simon et rien à ses deux frères, il y a eu transmission de pensée, car ensemble ils nous étreignent. Hervé pose sa bouche sur mes lèvres, sa langue s’introduit. Le baiser d’Hervé n’a rien à voir avec celui de Gabin, sa langue prend son temps dans ma bouche, ses lèvres épousent bien les miennes. J’appuie sur les fesses de Simon qui accélère le rythme, c’est quand j’ai caressé de l’index son anus que nous sommes parti, sa semence a envahi mon corps, j’ai de nouveau jouit dans un plaisir mutuel ; essoufflés tous les deux, nous sommes restés quelques moments sous les caresses stimulantes des deux autres garçons.

Hervé et Gabin se dégagent, Simon se relève lentement, le bigoudi en confiture se retire de mon corps, coulant et enfin au repos. Je me lève du canapé en mettant Simon à ma place couché sur le dos. J’explore son jeune corps de mes mains et de mes lèvres, je prends sa verge dans ma bouche comme pour lui faire un petit nettoyage. C’est d’une douceur incomparable, je le sucerai jusqu’à la fin des temps mais les deux frangins m’embrassent le dos juste pour me rappeler qu’ils sont là. Je me mets debout, face au premier venu, c’est Gabin, je l’enlace comme pour danser un slow. Ma Bouche prend le sienne, on s’embrasse férocement. Je constate que Simon n’est plus dans le canapé, je pousse Gabin pour qu’il se place dans le canapé, il se laisse guider. Je me mets à califourchon, je prends sa virilité rigide, plus grosse que celle de Simon, et m’empale lentement. Une grimace se dessine sur son visage, suivit d’un sourire des plus charmeur. Malgré qu’il ne soit pas encore d’une taille exagérée, je le sens quand même comprimé mes chairs. Je n’en reviens pas d’être aussi étroite après avoir donné naissance à ces trois beaux garçons. Certainement que les années d’abstinence ont dû aider à cet état.
Je me soutiens sur le torse de mon Gabin et ainsi débute un va et vient, l’un comme l’autre, savourons chaque mouvement, chaque sensation.

Je tends une main vers Hervé, il s’avance la carotte bien droite en avant et me regarde m’accroupir sur son frère. Je saisis le membre, l’approche de ma bouche. Hervé me fixe les yeux comme si j’allais le manger alors que ma langue se promène tout le long de la hampe.
Hervé sent aussi le désir de me prendre, mais chacun son tour. Je suis trop concentrée sur Gabin que je ne peux pas bien m’occuper d’Hervé. Simon regarde son grand frère qui attend son tour, il vient contre nous trois, dépose des bises sur mon visage se saisi de la tige d’Hervé le plus naturellement et avec tendresse ses doigts encerclent la colonne de chair, Hervé a la plus grosse des trois, c’est normal c’est lui l’aîné. Simon pose ses lèvres sur le gland suintant, pour moi c’est terriblement excitant. Je continue à m'activer sur Gabin avec cette image en tête. Puis tout se ralenti pendant un moment, Gabin me caressent les fesses, les écartent. Simon abandonne Hervé pour venir sur le bas de mes reins. Quand je sens sa langue sillonner mon périnée et mes grandes lèvres, jamais je n’aurai pu croire que cet enfant si calme et si ordonner pouvait me faire cette chose. Jamais mon mari ne m’avait ainsi touché, il y avait beaucoup de tabous à ce moment, mais maintenant je viens de perdre tous les miens. Je me cambre un peu plus, je me couche en avant sur Gabin pour donner de l’aisance à mon Simon autant qu’il le désire. IL caresse délicatement les testicules de son frère, remonte sur la zone où les deux sexes sont emboîtés, sa langue se fait pointue pour pénétrer mon petit trou.
Il est jeune et la vigueur revient très vite à cet âge, sa baguette s’est raidi à nouveau. Gabin ne peut s’empêcher de se figer un instant quand la langue de Simon vient se poser sur la base de son membre.

 

Hervé caresse mon visage comme si je venais de faire une épreuve sportive. Il m’embrasse les cheveux, le front, les joues la bouche, le cou, les épaules, enfin le temps de me ressaisir. Gabin ayant pris son pied, se libère de mon corps pour venir s’asseoir à mes côtés avec Simon ; Je peux maintenant me consacrer entièrement à mon Hervé. Je prends ses deux mains pour l’attirer devant moi, devant mes yeux ébahis se dresse le membre viril gonflé de mon aîné. Si le pieu de chair qui oscille doucement devant mon visage me surprend c’est que je n’ai pas eu beaucoup le temps de l'admirer. Je m’aperçois qu’il est beau, tendre, non pas énorme comme leur père, mais comme quelque chose de fragile et en même temps de viril. Une étrange émotion me saisit en imaginant le plaisir qu'une femme devait ressentir à être pénétrée par cet objet vivant. Hervé se contraint au silence, me laissant œuvrer à ma guise. Les yeux fixés sur la hampe de chair turgide, je referme les doigts autour avec émoi.
Dans un grognement de satisfaction, Hervé lance son bas-ventre en avant, me faisant ainsi comprendre son désir d'être plus amplement caressé. J’entreprends aussitôt d'agiter ma main refermée, la faisant coulisser de haut en bas. Fixant avec extase, et envie, cette virilité orgueilleuse, je repousse délicatement le prépuce pour dégager complètement le gland brûlant et tremper. Durant quelques minutes j’active ainsi mes doigts tout le long, je masturbe avec un plaisir extrême cette jeune virilité, ce qui ne fait qu'accroître encore l'intense désir qui lui taraude les entrailles, Hervé se cambre en laissant échapper un petit gémissement de contentement.

- C'est bon mon trésor ?

Lui demandais-je toute heureuse du résultat de ma voluptueuse caresse.

- Tu aimes ?

Gabin et Simon assis à mes cotés, contemplent mon ouvrage, ils semblent impressionnés par le plaisir que prend leur frère. Ne voulant pas restés inactifs ils caressent toutes les parties de nos corps avec des gestes synchronisés. Je pense qu’ils veulent que je reste toujours aussi passionnée avec Hervé. Simon passe derrière Hervé, s’accroupit pour lui palper les boules, Gabin, le visage contre le mien, entreprend de sucer son frère. Je peux dire que pour moi la tension remonte rapidement. J’ai de nouvelles effluves entre les cuisses, pour quelqu’un de fatigué, j’ai quand même une sacré réserve. C’est en spectatrice que je suis maintenant, Simon et Gabin m’ont remplacé sur leur frère. Je ne peux m’empêcher de caresser ma chatte juteuse. Je pense qu’Hervé ne peut plus tenir et moi non plus d’ailleurs. Je fais signe aux deux jeunes de se pousser, je m’allonge mes en tirant Hervé par le membre reluisant. Il s’installe entre mes jambes, je le veux en moi, ces deux frères guident l’organe vers mon vagin imbiber, ils frottent le gland sur mon clitoris. Ils sont à genoux caressant mes cuisses et celles de leur grand frère. Je soulève mes fesses pour faciliter l’introduction du goupillon prêt à éjaculer, avec douceur Hervé se fond dans mon ventre, pendant quelques secondes nous n’avons pas bougés savourant l’union tant attendue de nos deux corps. Hervé a commencé à imprimer de lents mouvements d’aller et retour avec son bassin. Mouvements qui rapidement s’accélérèrent avec la montée du désir. Ce furent très vite de véritables coups de boutoir, m’arrachant à chaque fois des cris de bonheur. La vision que j’avais fait monter mon excitation à son plus haut point. Son magnifique visage, son corps de sportif, un vrai homme mon fils. A ce rythme et vu l’excitation dans laquelle nous nous trouvons, je sens que je vais de nouveau jouir.


L’orgasme de l’un a déclenché la jouissance de l’autre mais ça n’a aucune importance. Tout ce qui compte maintenant pour moi c’est de sentir son liquide dans mes entrailles.
Il nous faut bien dix minutes pour récupérer et penser à bouger. Les trois garçons viennent se serrer contre moi pour partager un long et tendre câlin.
Je suis allé me coucher la dernière. Chacun de des garçons a pris une douche, m’a embrassé langoureusement sur la bouche et a rejoint son lit. Je me suis enfin effondrée sur mon lit.

 

 

FIN

Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : Vous avez dit inceste
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Jeudi 16 avril 4 16 /04 /Avr 21:16

Sans titre 16

 

J’avais un ami, Luc, avec qui je me rendais au lycée tous les jours. Tous les matins j’avais l’habitude d’aller le chercher à son domicile.  Mais Luc avait la fâcheuse habitude d’être en retard. Ainsi, lorsque  je me présentais à la porte de sa maison, c’était souvent Chantal, sa mère, qui venait m’ouvrir. Son père quant à lui, était la plupart du temps absent, routier, il ne rentrait chez lui qu’en fin de semaine. Lorsqu’il lui arrivait d’avoir une journée de repos, il en profitait pour la passer en compagnie de son fils, qu’il amenait généralement à la pèche. Ce qui me déplaisait car ces journées là je me sentais abandonné et ne savais comment passer mon temps.

Lors de mes visites matinales, la mère de mon camarade se montrait toujours très gentille avec moi, me complimentant sur mes habits, ma coupe de cheveux, et même sur mes yeux bleus. Chaque matin elle me recevait toujours vêtue du même peignoir vert olive, qui lui arrivait juste au-dessus des genoux. À trente-cinq ans, elle avait l’âge de ma mère, Chantal était une très belle femme pour l’adolescent que j’étais. De souche italienne, elle possédait de soyeux cheveux noirs qui lui descendaient jusqu’aux épaules, de grands yeux vert irisés, une grande bouche aux lèvres charnues. Et surtout, le plus important à mes yeux, elle possédait une poitrine fort ronde qui déformait le devant de son peignoir. Lorsqu’elle me tournait le dos pour me précéder jusqu’à la cuisine, je ne pouvais détacher mon regard de ses larges hanches qui mettaient en valeur sa croupe rebondie.

Chaque matin je m’arrangeais pour me présenter largement en avance, afin de demeurer quelques instants, seul avec la mère de mon ami. Au fil des jours je m’étais pris d’une véritable adoration pour cette femme si séduisante. Dans ces moments privilégiés, Chantal me parlait comme si j’étais un ami intime, se confiant aisément, comme si je pouvais comprendre ses problèmes personnels. Tout en l’écoutant d’une oreille attentive, je profitais des moindres mouvements qu’elle faisait, pour essayer de distinguer par l’ouverture de son peignoir, un coin de chair nue. Parfois lors d’un geste un peu plus brusque qu’elle faisait, son vêtement s’ouvrait assez largement pour que je puisse entrevoir une bonne partie de ses seins. Quelques fois, plus rarement, c’était un peu de ses cuisses que je pouvais entrapercevoir, pour mon plus grand bonheur. Comme j’étais persuadé que la mère de mon ami ne portait aucun sous-vêtement sous son peignoir, je me sentais rougir comme une tomate chaque fois que le bas du vêtement s’écartait plus qu’il n’aurait dû.

J’éprouvais un réel plaisir à découvrir fugacement les merveilleux appas de la séduisante mère de Luc. Or au fil des jours, à surprendre, soit une partie des cuisses, soit le bombé d’un sein, il m’arrivait d’être victime d’une fâcheuse érection. Érection qui déformait de façon vraiment indiscrète le devant de mon pantalon, me procurant une effroyable gêne. Fine mouche, Chantal ne tarda pas à s’apercevoir du trouble qui m’habitait et de ce qui le créait. Ses discrets, mais appuyés coups d’œil en direction de cette protubérance qui m’embarrassait ne fit qu’accentuer mon embarras. Même si le regard qu’elle me lançait ensuite était plus amusé, qu’outré.

Pourtant, malgré mon innocence, je constatais avec un émoi certain, que plus les jours passaient, plus les incidents avec son peignoir se multipliaient ; celui-ci s’ouvrant de plus en plus largement et de plus en plus fréquemment.

Au fil des jours, je devins follement amoureux de la mère de mon ami. Aussi, chaque matin, sitôt mon petit déjeuner avalé, je m’empressais de me rendre chez mon ami Luc, sachant pertinemment que ce dernier serait, soit encore couché, soit sous la douche. Le cœur battant la chamade, je me faisais une joie de passer quelques instants en tête à tête avec Chantal, espérant au fond de moi, d’avoir l’occasion de découvrir encore un peu plus de ses appas affolants.

Un matin, alors que selon l’habitude, nous nous trouvions seuls à la cuisine, Luc faisant sa toilette, Chantal se plaignit qu’il fallait qu’elle fasse le lit et qu’elle range la chambre de son fils chaque matin. Aussitôt, afin de lui donner une bonne image de moi, je me vantais de faire mon lit moi-même tous les jours, et de ranger mes affaires avant de partir, ce qui n’était pas vraiment la réalité.

— C’est vrai ? s’exclama Chantal… Tu es vraiment un garçon parfait, ce n’est pas comme Luc… Tu ne veux pas m’aider à faire le lit de ton copain, pendant que monsieur se prélasse sous la douche ?

Évidement que je le voulais, espérant fortement que lors de cette tache je pourrais percevoir de nouveau quelques parties de ce corps féminin qui me faisait tant fantasmer.

Placé chacun d’un côté du lit de Luc, nous nous escrimâmes à tendres draps et couverture. Cependant, je ne tardais pas à me rendre compte que Chantal se penchait en avant plus souvent qu’il en était besoin. C’était soit pour tirer le drap, ou bien pour le défroisser longuement de la main, ou même pour retirer une poussière imaginaire. La gorge sèche, je profitais au maximum de l’affolant spectacle qu’elle m’offrait alors. Par l’échancrure de son peignoir, dont les premiers boutons étaient défaits, je pouvais voir ses gros seins blancs, qu’aucun soutien-gorge ne comprimait, se balancer mollement. Par moment, je pouvais même apercevoir une partie de ses mamelons brun foncés.

Si cette vue me ravissait au-delà de tout, elle m’excitait aussi terriblement. Très vite j’éprouvais un terrible embarras au niveau du bas-ventre. Sous les différentes visions des lourds appas mammaires, mon sexe s’était raidi et avait largement doublé de volume, formant une protubérance fort disgracieuse sur le devant de mon pantalon. Comme je tachais maladroitement de cacher cette excroissance indiscrète, Chantal surprit mon geste :

— Eh bien, que t’arrive-t-il me lança-t-elle en riant… On dirait que tu as quelques ennuis…Ce n’est quand même pas moi qui te met dans un tel état ?

— Je m’excuse, murmurais-je terriblement confus…

— Ce n’est pas grave, tu sais… C’est normal à ton âge… Tu me trouve si… séduisante ?

— Oh oui ! M’exclamais-je soudain rassuré.

— Tu es un amour ! Viens la que je t’embrasse !

Et comme pour me prouver qu’elle ne m’en voulait pas de mon indécente et inconvenante érection, Chantal m’enlaça tendrement, comme l’aurait fait une mère vis-à-vis de son fils. Mais, alors qu’elle déposait ses lèvres contre mes joues, dans un tendre baiser, je sentis avec émoi son bas-ventre se plaquer et onduler imperceptiblement contre ma virilité gonflée. Ce qui ne fit qu’aggraver un peu plus mon état. Mais avant que je ne puisse faire le moindre geste déplacé, ce que j’aurai bien été incapable, Chantal se recula précipitamment, m’abandonnant, moi et mon érection.

Me souriant tendrement devant mon embarras, Chantal me reconduisit jusqu’à la cuisine, où Luc nous attendait en grignotant une biscotte. Ce jour là, en me disant au revoir, la mère de mon ami me tendit la main que je m’empressais de serrer amoureusement. Chantal, elle me pressa les doigts avec insistance en me demandant :

— Demain matin, si tu veux tu peux venir plus tôt, on pourrait prendre un café ensemble… Luc n’en bois pas, et comme je déjeune toujours toute seule, ça me ferais plaisir d’avoir un invité, quand penses- tu ?

— Certainement m’empressais-je de répondre. Je viendrais plus tôt avec plaisir…

Luc enchaîna :

— Si tu acceptes de prendre un café avec ma mère, tu es condamné à le prendre tous les matins.

Je me pinçais les lèvres pour ne pas lui répondre que cela ferait bien mon bonheur.

Le lendemain matin, qui était un mercredi, je me présentais une demi-heure plus tôt que j’en avais l’habitude. À peine dans le hall d’entrée, l’odeur du café me caressa agréablement les narines. Chantal, portant son éternel peignoir, m’accompagna jusqu’à la cuisine où elle me pria de m’asseoir à la table :

— Tu veux bien m’attendre quelques minutes ? me demanda-t-elle d’une voix suave…Le temps que le café passe… Je vais ranger ma chambre en attendant…

Moi qui étais si heureux de me trouver en tête à tête avec cette femme si sensuelle, je ressentis une immense déception à l’idée de me retrouver seul. La chambre de Chantal se trouvait pratiquement en face de la cuisine, et immédiatement je remarquais que d’où j’étais j’avais une vue parfaite sur les activités de mon hôtesse. Pour l’instant cette dernière avait entreprit de plier du linge sans faire attention à moi. Tout à sa tâche, elle ne se rendait certainement pas compte que son peignoir par moment s’ouvrait d’une manière des plus indiscrète, suivant les mouvements qu’elle faisait. Le cœur battant à cent à l’heure, je ne manquais pas un des gestes et déplacements de Chantal. La vision même fugace de ses gros seins qui ne voulaient pas rester à l’intérieur de son peignoir me rendait malade d’excitation.

A un moment donné, elle se présenta près de la porte, à environ deux mètres de moi, et afin de ramasser quelques vêtements qui traînaient à même le plancher elle s’accroupit face à moi. Les cuisses largement écartées, dans la position d’une femme qui urine, la mère de mon ami m’offrait sans s’en douter la vue de son sexe extrêmement poilu. Dans mon slip soudain trop étroit, ma verge se redressa vigoureusement, sans que je ne puisse l’en empêcher. Je commençais à avoir très chaud et je devais avoir le visage cramoisi.

Au bout de cinq minutes, son rangement terminé, Chantal revint vers moi en replaçant son peignoir sur son corps sensuel que je convoitais de plus en plus.

— Voilà, j’ai fini, me lança-t-elle… Tu ne t’es pas trop ennuyé, tout seul ? me demanda-t-elle en affichant un large sourire qui me parut plein de promesses.

Une fois le café servi dans les tasses, Chantal s’installa à mes côtés devant la table de bois cirée. Tout en tenant ma tasse fumante, je lorgnais en douce du coté de ses cuisses dont la rondeur provoquait un écartement du peignoir, jusqu’à quelques centimètres de son entrejambe. Mais au moment de boire son café, la mère de Luc s’aperçut qu’elle avait oublié les cuillères et le sucre sur le bahut. Voulant les attraper, sans se lever de sa chaise, elle étira le bras en direction des couverts. Dans ce geste, sa jambe droite suivit le mouvement de son tronc et s’écarta largement par rapport à la gauche. Je demeurais tétanisé par le spectacle qui s’offrit alors à mon regard. Le peignoir s’étant complètement ouvert au niveau du bas-ventre, j’eus sous les yeux le sexe abondamment poilu de la mère de mon ami.

Je sentis mes joues et tout mon visage s’empourprés. Je demeurais sans voix, la bouche soudainement asséchée. Découvrant la fixité de mon regard en direction de son entrecuisse, Chantal me murmura d’une voix chaude :

— Elles te plaisent tant que ça mes cuisses ?

Je n’osais lui avouer que ce qui me plaisait surtout, était placé plus particulièrement entre ses cuisses. Je n’osais même pas la regarder dans les yeux. Comme elle n’avait pas fait un geste pour refermer son peignoir et reprendre une tenue plus correcte, je ne pouvais détacher mon regard de l’épaisse touffe noire qui lui couvrait le bas-ventre.

— Je ne pensais pas qu’à mon âge je pouvais intéresser un beau jeune comme toi, me murmura-t-elle d’une voix extrêmement douce.

C’est le moment que choisit Luc pour sortir de la salle de bain. Chantal referma alors vivement son peignoir, me privant du spectacle affolant de son affolante fourrure. Avant que son fils nous rejoigne dans la cuisine, elle me murmura tout bas :

— Demain c’est le jour de repos de mon mari… Il va amener Luc à la pêche. Ils vont partirent à cinq heure du matin, si tu n’as rien à faire, tu peux venir me tenir compagnie… Tu peux même venir prendre ton café avec moi… Puis après tu feras ce que tu veux !!

Je m’empressais pour répondre que j’étais d’accord. Je ne pouvais laisser échapper une telle occasion de me trouver enfin vraiment seul avec cette femme si désirable et qui m’avait déjà tant offert.

— Tu sais, je ne veux pas te gâcher ta journée, si tu as autre chose à faire ne sois pas gêné pour le dire, insista Chantal d’un ton qui sonnait faux.

— Non, non, demain je n’ai rien à faire me hâtais-je de répondre. Je viendrais prendre le café avec vous.

Je vidais ma tasse au moment où Luc s’approchait de la cuisine. Je me levai avec regret de ma chaise pour me diriger vers la sortie en bavardant avec mon ami. Chantal nous suivit jusqu’à la porte. Pendant que Luc plaçait ses livres dans son sac, me faisant face, je lançais un regard discret en direction de sa mère. Mon cœur fit un bon dans ma poitrine. Chantal, qui n’était pas dans le champ de vision de son fils, avait prestement écarté le bas de son peignoir, m’offrant fugitivement la vision de ses deux cuisses nues. Je me sentis rougir encore une fois à un point que Luc s’exclama :

— Tu es tout rouge ! Qu’est-ce qu’il t’arrive ?

— C’est le café qui m’a donné chaud je crois…

Cette réponse fit rire Chantal qui me fixait du regard avec insistance… Il était clair que cette femme me montrait volontairement son corps, cela devait l’exciter au plus haut point et moi je l’encourageais par mon côté voyeur.

 

Le lendemain matin vers huit heures je me présentais chez mon ami Luc, que je savais être absent. Chantal m’accueillit toute souriante. Refermant la porte derrière moi, elle s’approcha pour me faire une bise sur la joue, je pensais déjà à la suite de la matinée. Surpris je constatais qu’elle portait ce matin une chemise de nuit bien fermée jusqu’au cou et assez longue ; mais qui se gonflait généreusement au niveau de son opulente poitrine. Une fois arrivée à la cuisine elle me dit :

— Je ne t’attendais pas si tôt, le café n’est pas prêt.

— Je m’excuse, bafouillais-je, déçu. Je ne veux pas vous déranger, je peux revenir plus tard.

— Mais non, reste… Je dois t’avouer que je suis bien heureuse que tu sois venu à cette heure-ci, c’est moi qui n’ai pas pensé préparer le café, mais on a tout notre temps… Assied-toi je vais te laisser quelques minutes, je vais me changer… Ce n’est pas correct de recevoir un jeune homme en chemise de nuit… Alors ne bouge pas, je reviens…

M’abandonnant, la mère de mon ami Luc se dirigea en direction de sa chambre. Je m’empressais de m’installer à la place que j’occupais la veille, sachant qu’à cet endroit je pourrais suivre les activités de mon hôtesse. Un côté de la chambre où était entrée Chantal était caché par un mur et c’est dans ce recoin qu’elle se plaça pour se changer, à ma grande déception. Heureusement pour moi, face à ce recoin où s’était isolée la mère de mon ami, se trouvait une armoire dotée d’un immense miroir. Ce dernier me renvoya les moindres gestes de mon hôtesse. C’est ainsi que je pus voir Chantal retirer sa chemise de nuit. Entièrement nue, elle me tournait le dos. Je pus très facilement admirer ses fesses rondes et dodues, séparées en leur centre par la profonde raie, ses cuisses bien et ses jambes un peu fortes mais très bien faites. Elle avait le bas des reins très cambré, ce qui mettait en valeur la rondeur de sa croupe. Je trouvais cela très extrêmement excitant, et je ne tardais pas à ressentir une phénoménale érection. Semblant complètement ignorer ma présence, Chantal prit le temps de plier sa chemise de nuit avant d’enfiler son éternel peignoir. Pour accomplir ce geste elle pivota sur elle-même, faisant ainsi face au miroir. Je la découvris alors dans son intégrale nudité. Ses seins volumineux, avec leurs gros bouts rouges presque bruns, tombaient mollement sur son torse étroit, semblable à deux outres auxquelles j’aurai aimé m’accrocher. Son ventre légèrement rebondi s’ornait d’un épais triangle de poils noirs, que j’avais pu découvrir la veille.

Je sentis mon visage s’irradier, mon sang me monter à la tête et m’incendier les joues. Les battements de mon cœur se ressentaient dans ma tête comme des coups de marteaux. Lorsque enfin Chantal sortit de sa chambre en serrant la ceinture de son peignoir autour de sa taille, elle s’aperçut immédiatement de mon émoi. Mon visage devait tiré sur le violet et comme je portais un short assez court, elle n’eut aucune peine à constater que j’étais en proie à une fabuleuse érection.

Me fixant avec un large sourire, elle me lança :

— Bon, on va prendre un bon café… J’ai l’impression que tu en as rudement besoin.

— Tu sais, je te trouve très gentil. Et tu me plais beaucoup, ajoute-t-elle au bout d’un moment de silence.

— Moi aussi je vous trouve sympathique et… aussi très jolie, parvins-je à articuler, la bouche sèche.

— C’est vrai ? Tu me trouves jolie ?… Tu es vraiment adorable !

Le café étant prêt, ma séduisante hôtesse, se pencha pour remplir ma tasse, me dispensant de répondre. Son peignoir n’étant pas complètement fermé, s’écarta légèrement, me permettant de contempler ses deux grosses mamelles laiteuses. Ignorant l’objet de ma curiosité, Chantal continuait de me parler de chose et d’autres. Se rendant compte soudain de l’intérêt que je portais à sa poitrine, la mère de Luc me sourit gentiment et me demanda :

— Tu as une petite amie ?

— Non… Je… Je n’ose pas approcher les filles, avouais-je gêné.

— Et Luc ? A-t-il  une petite copine ?

— Je ne sais pas… je ne crois pas !

Je ne pouvais lui avouer que son fils, contrairement à moi, était plus particulièrement attiré par les garçons. J’en avais fait l’expérience lors d’une après-midi passé dans sa chambre. Luc avait tenu à me montrer des revues pornos qu’il avait dénichées je ne sais où. J’avais été étonné de constater qu’il y en avait un certain nombre montrant uniquement des garçons se caressant. Évidemment nous étions terriblement excités à contempler tous ces corps nus se procurant du plaisir, et Luc ne tarda pas à frotter sa main le long de sa braguette. Victime moi-même d’érection, je ne tardais pas à imiter mon ami. Luc, plus excité que moi, avait vivement déboutonné son pantalon et repousser son slip, pour libérer sa virilité tendu et sans se soucier de ma présence, il entreprit de se masturber vivement. Puisque mon ami me montrait l’exemple, je l’imitais et nous nous trouvâmes tout les deux à nous branler de concert. J’avais bien remarqué que mon compagnon fixait mon sexe bandé avec insistance, mais je n’y apportais pas d’intérêt particulier. Pas plus d’ailleurs lorsque Luc me proposa de nous branler simultanément. J’avais accepté, plus par curiosité que par réel désir. Assis l’un en face de l’autre, nous nous sommes alors masturbé en cadence, moi branlant la queue de Luc, alors que celui-ci en faisait de même avec ma verge. Je dois avouer qu’à ce moment-là  j’y prenais un certain plaisir. Luc avait une façon bien particulière de presser mon gland, me procurant un élancement voluptueux dans toute ma verge. C’était beaucoup plus suave que lorsque je me masturbais en solitaire, le soir dans mon lit. Pas habitué à me faire ainsi branler par une main étrangère, qu’elle soit masculine ou féminine, je sentis la jouissance monter depuis mes couilles jusqu’à ma verge sur le point d’exploser. Je tins alors à prévenir mon ami de l’imminence de mon éjaculation. La réaction de Luc me surprit énormément. Mon ami se pencha vivement sur mon bas-ventre pour saisir dans sa bouche ma virilité sur le point d’exploser. Le mouvement avait été si prompte, que je ne pus repousser le visage de Luc, mais le voulais-je vraiment ? Lorsque les lèvres de mon ami coulissèrent le long de ma queue, à la place de ses doigts, une douce béatitude m’envahit. Je savais que ce que nous faisions n’était pas bien, que j’aurais dû repousser mon trop entreprenant camarade, mais c’était la première fois qu’une bouche s’activait ainsi autour de mon gland. Le plaisir devenait de plus en plus intense et dans un violent soubresaut de tout mon être, sans que je ne puisse me contrôler, je déchargeais ma semence au fond du gosier de mon camarade. Cette éjaculation dépassait en ivresse toutes celles que j’avais connues lors de mes masturbations solitaires.

Mais lorsque Luc me demanda de lui en faire autant, je refusais nettement, éprouvant un certain dégoût pour ce genre d’attouchement. Je le fis quand même jouir d’une main rapide. Là s’arrêta notre complicité sexuelle, mais pas notre amitié. Je savais que Luc continuait à s’adonner à ce genre de pratique, avec des garçons plus jeunes que lui.

— Alain !

La voix de Chantal me tira de mes songes.

— A quoi pensais-tu ? Je te disais que je pourrais peut-être t’aider à te guérir de ta timidité !… Qu’en penses-tu ?

— Je veux bien m’empressais-je de répondre, tout heureux de l’aubaine.

Déplaçant alors sa chaise, Chantal vint s’asseoir face à moi. Ses cuisses, qu’elle tenait assez écartées, provoquaient un écartement important de son peignoir. Ses genoux se trouvaient à trente centimètres des miens. Comme je baissais mon regard en direction des cuisses dévoilées, Chantal, dans un mouvement naturel croisa puis décroisa ses jambes dans un large mouvement, ce qui m’offrait une vision plus indiscrète de son entrecuisse. Je commençais vraiment à transpirer et à rougir. Extrêmement troublé j’avais du mal à avaler ma salive. Je me sentais réellement mal à l’aise, et je remarquais bien vite que Chantal se rendait compte de mon tourment et semblait prendre du plaisir à me voir dans cet état.

— Tu veux un biscuit avec ton café, me demanda-t-elle mettant ainsi un terme à mon émoi.

Avant que j’aie pu répondre, elle se leva pour aller chercher la confiserie promise. Comme elle tentait de passer derrière moi, et que l’espace entre moi et le buffet était restreint, je tentais de me lever pour lui laisser le passage. Mais aussitôt Chantal m’appuya sur les épaules de ses deux mains m’obligeant à me rasseoir :

— Reste assis… Je suis capable de passer, je ne suis quand même pas si grosse !

Comme elle s’approchait de moi, une folle idée me traversa l’esprit. Je laissais mon bras dépasser nonchalamment de la chaise sur laquelle j’étais assis, raccourcissant le passage déjà fort étroit. Lorsque la mère de mon ami, malgré l’étroitesse de l’accès, passa dans mon dos, je sentis ses cuisses se frotter sur mon coude. Elles me semblèrent extrêmement fermes. J’attendis son retour avec impatience, le cœur battant. Lorsqu’elle revint, le paquet de biscuits à la main, mon coude accrocha le bord de son peignoir, l’écartant largement. Aussitôt je sentis la douceur de sa cuisse sur mon bras nu. Me laissant guider par mes sens en ébullitions, je remontais mon bras. Mon coude se trouva automatiquement au beau milieu des deux cuisses chaudes et veloutées de mon hôtesse, la pointe enfoncée dans ses poils pubiens. Étonné, je sentis un liquide chaud, mouiller mon avant-bras, alors que Chantal poussait un étrange gémissement. Nous restâmes immobiles quelques secondes. Étonné par mon audace, je n’osais faire un geste, m’attendant à un reproche mérité de mon hôtesse. Ce qui se passa alors me laissa sans réactions. Le visage empourpré, la mère de Luc me saisit brusquement le visage pour poser sa bouche brûlante sur la mienne. J’avais le cœur dans la gorge. Je ne résistais pas lorsque sa langue agile força mes lèvres à s’écarter, pour s’infiltrer entre mes dents, et finalement s’enfoncer dans ma bouche. Cette langue qui me parut étonnamment fine et humide vint frôler mon palais, me procurant un étrange plaisir. D’abord surpris par ce baiser encore inconnu pour moi, je me laissais faire, passif.

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Mais au bout d’une minute ou deux, Chantal cessa son baiser pour se reculer :

— Tu n’as jamais embrassé de filles ? Me demanda-t-elle.

— Non… Avouais-je timidement.

— Je suis la première ? Continua-t-elle en me fixant d’un air extasié.

— Ou… oui…

Ma sensuelle hôtesse me couva d’un regard plein de tendresse :

— Toi aussi, tu dois enfoncer ta langue dans ma bouche, me conseilla-t-elle… Allez essayes !

Cette fois, c’est avec énormément de douceur que Chantal se saisit de mes lèvres. Même sa langue qui tenta de rencontrer la mienne, s’agita dans ma bouche avec délicatesse. En bon élève, je tentais cette fois de suivre les conseils de mon initiatrice. Je m’appliquais à imiter les mouvements de l’organe féminin qui frétillait dans ma bouche. Peu à peu, je pris une certaine assurance. J’arrivais à infiltrer ma langue dans la bouche féminine, me régalant de la salive sucrée de mon initiatrice.

— C’est bien, me félicita Chantal en reculant son visage… Maintenant à toi de commencer. Il faudra bien un jour que tu embrasses une fille…

Comme la mère de Luc, me regardait en souriant, attendant que je prenne l’initiative de ce baiser, je collais mes lèvres aux siennes et tentais de mettre en pratique ce qu’elle m’avait enseigné. Le fait de fouiller de ma langue la bouche parfumée de la femme passive, me donna un sentiment d’assurance. Comme Chantal me laissait œuvrer à ma guise, j’osais alors avancer une main dans l’ouverture de son peignoir, pour me saisir d’un sein. Un trouble intense m’envahi en sentant sous mes doigts cette chair si douce et extrêmement moelleuse, que j’entrepris de malaxer maladroitement. Je réussis à saisir un téton étonnamment raide entre mes doigts, qu’aussitôt je pinçais doucement. Il était dur et certainement sensible, car sous cette pression, Chantal poussa un petit gémissement.

Jamais je n’avais bandé aussi fort. J’avais l’impression que ma verge allait jaillir de mon short. Soudain Chantal échappa à mes attouchements. Le visage aussi congestionné que le mien, elle me tira à elle pour me forcer à me lever de ma chaise. Une fois debout l’un contre l’autre, ma sensuelle hôtesse repoussa les pans de son peignoir et s’emparant de mes deux mains, elle les posa sur ses magnifiques seins à la peau si soyeuse.

— Caresse mes seins, gémit-elle.

Je m’exécutais sans me faire prier, malaxant les chairs fragiles avec frénésie. Encore innocent, je demeurais ébahi en découvrant combien les tétons étaient durs et énormes. Nous haletions tous les deux. L’excitation était à son comble.

— Ho oui !… gémissait Chantal en pressant fiévreusement mes mains contre ses seins gonflés… C’est bien mon chéri… Continue comme ça !

Soudain, alors que je venais accidentellement de pincer plus fortement l’un des boutons de chair durci, Chantal se jeta sur ma bouche pour m’embrasser fougueusement. Tout en me fouillant presque rageusement l’intérieur du palais de sa langue diabolique, elle posa sa main sur la bosse que faisait mon membre viril gonflé. Avec passion elle me caressa par-dessus le tissu de mon short. Nous restâmes un long moment ainsi, nous procurant mutuellement du plaisir. Puis abandonnant enfin son baiser, Chantal me regarda dans les yeux :

— Tu veux, que je t’apprenne comment un homme doit se conduire avec une femme ?

Comme si j’allais refuser une telle offre. Je n’avais pas lâcher les lourdes mamelles que je continuais à presser de mes dix doigts. Se reculant pour échapper à mes attouchements, Chantal me repoussa, me forçant à m’asseoir sur ma chaise.

— Je suppose que tu n’as jamais vu de femme nue ?… Alors regarde, me dit-elle.

Continuant à me fixer d’un drôle de regard, la mère de mon ami fit deux pas en arrière et dénoua la ceinture de son peignoir, qu’elle retira lentement, faisant encore grimper mon excitation. Je ne perdis pas connaissance, mais je n’en étais pas loin, à la vue de ce merveilleux corps féminin si proche de moi. La mère de Luc n’était peut-être pas un canon, mais pour moi, qui n’avait jamais vu de femme nue, elle m’apparut merveilleusement belle, dans sa plénitude de femme mure.

Me faisant face, Chantal entreprit de se caresser les seins d’une manière si sensuelle, que j’en eus très vite la gorge sèche. Presque machinalement je posais une main sur ma verge gonflée que je pressais avec émotion. Me fixant, les yeux brillants étrangement, ma sensuelle hôtesse approcha sa chaise pour y déposer son pied droit. Sa cuisse largement écartée m’offrit une vue parfaite sur son sexe broussailleux. Démêlant les abondantes bouclettes de sa toison, elle écarta les grandes lèvres qui s’y cachaient à l’aide de ses doigts, pour me montrer sa vulve rose et luisante.

Subitement, comme pris d’une ferveur païenne, je tombais à genoux aux pieds mon initiatrice. Se trompant sur mon geste, Chantal me demanda d’une voix soudain changée.

— Tu veux embrasser mon minou ?

Je savais par ouïe dire que ce genre de baiser se pratiquait entre amants, mais jamais évidemment je ne l’avais pratiqué moi-même. Je ne savais pas vraiment comment je devais m’y prendre. Heureusement pour moi, Chantal ayant décidée de faire mon éducation, m’agrippa la tête et poussa mon visage contre sa vulve extrêmement poilue.

— Embrasse là, me commanda-t-elle d’une voix hachée.

Timidement, je posais alors ma bouche contre les lèvres humides du sexe féminin. Une odeur étrangement épicée, me monta aux narines. C’était la première fois que je voyais un sexe féminin de si près. Même si j’avais follement rêvé d’un moment pareil en contemplant certaines photos érotiques, je me trouvais totalement idiot, ne sachant pas vraiment comment m’y prendre. Heureusement pour moi, Chantal me guida, prise par sa passion dévorante. Appuyant mon visage contre sa longue fente, pareille à une blessure sanguinolente, elle m’encouragea d’une voix rauque :

— Embrasse ma petite chatte, mon chéri… Je l’ai parfumé pour toi ce matin…

Mes lèvres baignaient dans une onctuosité odorante. Fermant les yeux, je me lançais à l’eau. Timidement, je commençais à embrasser la vulve ruisselante, la couvrant de petits baisers appuyés.

— Oui, c’est bien, m’encouragea Chantal… Lèche-là… Enfonce ta langue à l’intérieur…

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Ne voulant pas passer pour un idiot, je m’exécutai, tachant de faire de mon mieux. Je promenais ma langue à l’intérieur de cette faille humide, l’enfonçant légèrement à l’intérieur des chairs chaudes et gluantes. Aussitôt, Chantal commença à s’agiter au-dessus de moi, frottant sa chatte trempée contre mes lèvres. Puis, sans que je comprenne son geste, elle m’agrippa la tête de ses deux mains, m’immobilisant contre son sexe poilu. Alors, comme prise de frénésie, elle agita son bas-ventre d’avant en arrière, frottant avec fougue la totalité de sa fente contre ma bouche et mon menton. Je ne tardais pas à me rendre compte que son sexe était de plus en plus dégoulinant de sécrétion au goût bizarre. Le jus brûlant qui s’échappait abondamment de la vulve de ma compagne, me poissait le bas du visage.

Au moment où je me posais la question de savoir ce que je devais faire, Chantal cessa tout mouvement, s’immobilisant brusquement, tandis qu’une douce plainte jaillissait de sa gorge, brisant le silence de la cuisine. Je restais prisonnier de ses cuisses tétanisées qu’elle avait resserrées autour de mon visage. Ce n’est qu’au bout de quelques minutes, qu’elle me libéra enfin.

— C’était rudement bon, tu sais, me dit-elle dans un sourire… Assied-toi !

La bouche et le menton littéralement trempés par tout le liquide qui s’était échappé de la vulve de ma sensuelle hôtesse, je me réinstallais sur ma chaise. Le sexe effroyablement bandé, j’éprouvais une vive curiosité quand à ce qui allait se passer.

Comme elle pivotait, afin de ramasser son peignoir à terre, Chantal me dévoila sa croupe agréablement rebondie. Deux blocs charnus, séparés en leur centre par la longue et mystérieuse raie des fesses. S’apercevant de l’intérêt que je portais à ses appas fessiers, Chantal me lança :

— Elles te plaisent mes fesses ?…

Comme je ne répondais pas, ne sachant pas vraiment comment lui dire mon admiration, la mère de Luc se cambra toute, faisant encore ressortir sa plantureuse croupe. Empoignant ses fesses de ses deux mains, elle entreprit de les caresser doucement en me fixant intensément. Je devais avoir les yeux hors de la tête et le visage cramoisi, car Chantal me souriant d’un air moqueur, se pencha en avant en écartant largement ses jambes. Immédiatement mes yeux purent contempler son anus rose et les grandes lèvres de sa longue vulve. Courbée en avant, le crâne effleurant presque le sol, me fixant entre ses jambes largement écartées, Chantal lança ses deux mains entre ses cuisses afin d’écarter les bords ourlés de sa chatte broussailleuse. J’eus sous les yeux le spectacle hallucinant des plis et replis rouges vifs et luisants de l’intérieur de sa vulve. Je mourais d’envie d’enfoncer mes doigts à l’intérieur de ce sexe féminin, de sentir les chairs palpitantes enserrer mes phalanges. Combien de doigts pourrais-je y enfoncer ? Ainsi maintenu écarté, la chatte broussailleuse me paraissait immense.

— Tu n’as pas envie d’enfoncer ta queue dans ma chatte ?… Regarde tu serais bien à l’intérieur de mon ventre!…

N’attendant même pas ma réponse, qui de toute façon ne pouvait qu’être positive, Chantal se redressa et me saisissant la main elle m’entraîna dans le couloir qui desservait les chambres :

— Viens ! m’ordonna-t-elle d’une voix changée.

Me guidant par la main, la mère de mon ami m’entraîna jusqu’à sa chambre. Là, debout l’un en face l’un de l’autre, elle se colla à moi, frottant vicieusement son bas-ventre au pelage abondant contre la bosse que faisait mon membre gonflé. Ses lèvres s’emparèrent des miennes dans un baiser plein de fougue. Ayant perdu toute timidité, je profitais de cet intermède pour laisser courir mes doigts sur ce corps si sensuel, frôlant les larges hanches évasées, pétrissant les fesses rebondies, les écartant largement l’une de l’autre. Est-ce le fait de mes caresses, pourtant bien maladroites, Chantal, accrochée à mon cou, s’agita de plus en plus vivement contre mon corps. Son pubis dénudé écrasait douloureusement ma verge à l’étroit dans mon slip.

— Déshabille-toi, grogna soudain Chantal en se reculant.

Avec des gestes désordonnés, elle voulut m’aider à enlever mes vêtements. En moins de trente secondes je me retrouvais aussi nu que le jour de ma naissance. Au bas de mon ventre, ma bite se dressait orgueilleusement, tandis qu’une douleur me tordait les entrailles.

Sans un mot, Chantal grimpa sur le lit conjugal où elle s’allongea sur le dos. Là me fixant avec une intensité que je ne lui connaissais pas, elle écarta largement ses cuisses, me dévoilant son sexe abondamment poilu.

— Viens ! M’appela-t-elle… Viens entre mes jambes mon chéri… Je veux que tu prennes le temps de découvrir ma chatte, je veux que tu saches dans quoi tu vas enfoncer ta queue, tu vas voir, c’est très doux et chaud…

Tout en me parlant, elle avait écarté les longs poils qui me cachaient l’entré de son sanctuaire, et de ses deux mains elle ouvrit sa longue fente cramoisie. Du fait de ma position agenouillé entre ses cuisses, je pouvais contempler la magnifique vulve. Je remarquais à la brillance des parois internes qu’elle était excessivement humide. À la commissure supérieure des épaisses lèvres sexuelles je découvrais une énorme excroissance rose, que je devinais être ce clitoris dont chaque garçon au lycée parlait, sans l’avoir vraiment vu. J’étais terriblement excité par le spectacle plutôt obscène que m’offrait généreusement la mère de mon ami. Écartant encore plus largement l’entré de son vagin, Chantal m’invita à la pénétrer d’une voix oppressée.

— Viens !… Mets-la-moi !… Enfonce ta queue dans ma chatte, regarde je l’ouvre bien pour que tu puisse entrer dans mon ventre… Viens mon chéri !… Prends-moi !…

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Je n’en croyais pas mes yeux. Ce merveilleux sexe féminin m’était offert, était à ma disposition. Pressée de sentir mon membre dans son ventre, Chantal se saisit de ma bite pour diriger mon gland à l’entrée de sa faille sexuelle. Alors je me laissais aller et m’allongeais sur elle, m’appuyant sur mes coudes.

Avec une énorme émotion je sentis ma verge s’enfoncer progressivement dans le conduit vaginal d’une extrême onctuosité. J’étais terriblement excité par cette situation. C’était la première fois que j’enfonçais ma queue dans le sexe d’une femme. J’en avais tellement rêvé. Une fois mon membre enfoncé entièrement dans la profonde vulve bouillante, je sentis mes couilles venir heurter les fesses de ma compagne. Alors que j’ondulais des hanches, afin d’investir au mieux la chatte brûlante, Chantal, sans que je comprenne pourquoi, se mit à gémir sans retenue. Prise d’une espèce de frénésie, elle avançait son bassin et relevait ses jambes en les écartant le plus possible, pour s’offrir sous un meilleur angle, me facilitant une pénétration plus profonde.

J’entamais alors ce mouvement de va-et-vient vieux comme le monde. Avec ivresse je fis coulisser mon dard dans les entrailles féminines, lentement pour mieux savourer le frottement des chairs moites et brûlantes le long de ma verge. J’éprouvais un plaisir énorme.

— Plus vite ! Gémit soudain Chantal… Va plus vite mon chéri… Baise-moi bien à fond.

Puisqu’elle me le demandait, j’accélérai alors les mouvements de mes hanches. Les lents va-et-vient de mon membre viril à l’intérieur du vagin de Chantal devinrent de violents coups de boutoir qui me projetaient sauvagement dans la chatte incandescente. Plus mes coups de reins se faisaient rageur, plus Chantal se cambrait en poussant de petits cris de plaisir. Haletante, elle s’accrochait à mon cou pour m’embrasser avec fougue. Nos langues se caressaient dans un bain de salive parfumé.

J’étais au paradis. Depuis le temps que je rêvais de faire l’amour à la mère de mon ami, mon fantasme s’était réalisé. La si sensuelle mère de Luc, m’appartenait enfin, je la possédais, elle était là, entièrement nue, impudique, dans mes bras. Ma langue lui fouillait la bouche, pendant que ma queue lui pistonnait allègrement le vagin. Des gémissements, des râles s’échappaient de sa gorge, tandis que tout son corps de tendait, s’arquait, s’offrait à la pénétration de ma bite. Ses doigts me griffaient le crâne, ses cuisses m’encerclaient nerveusement les hanches, son bas-ventre se projetait furieusement au devant de mes coups de boutoir. Je n’arrivais pas à réaliser ce qu’il m’arrivait. Je voyais et sentais ma queue entrer et sortir de cette forêt de poils noirs dans un bruit de clapotis terriblement excitant. Chantal avait fermé les yeux, comme pour mieux savourer les va-et-vient de mon membre dans son sexe ruisselant. Entre deux gémissements langoureux, elle me marmonnait entre ses dents qu’elle aimait ça, que je la rendais enfin heureuse.

— Oh oui !… C’est merveilleux !… Vas-y mon chéri, enfonce ta bien ta queue dans mon ventre… Oh oui, baises-moi profondément… Défonce bien ma petite chatte… Elle est à toi…

Son souffle devint de plus en plus puissant et bruyant. Malgré mon innocence, je compris que mon initiatrice jouissait grâce à moi. Au début, devant les marques évidentes de jouissance, je pensais que Chantal me jouait la comédie dans le but de me faire plaisir et de me motiver. Mais à voir son regard dilaté, son visage en sueur et sa bouche tordue dans un rictus, je compris que ma partenaire sexuelle ne jouait en aucun cas la comédie. Sa jouissance était bien réelle, et elle m’offrait son orgasme sans pudeur, sans retenue. Encouragé par ces différentes marques de plaisir, je baisais la mère de mon ami de plus en plus sauvagement, lui labourant violemment le vagin de mon gland congestionné. Sa chatte fouillée par mon dard dégoulinait d’un jus chaud et poisseux qui nous trempait les cuisses, avant de souiller les draps du lit.

Mais ayant présumé de ma résistance, je sentis le plaisir monter subitement en moi, et avant que je puisse avertir ma compagne de ce qui allait lui arriver, je déchargeais mon sperme au plus profond de son vagin accueillant. De longues giclées jaillirent de mon gland tuméfié, comme pour éteindre l’incendie qui ravageait la vulve dans laquelle je naviguais. Cet orgasme aussi violent que soudain me procura des douleurs dans le dos et à l’arrière des jambes, j’étais secoué de la tête aux pieds. Je demeurais douloureusement cambré durant tout le temps de mon éjaculation. Sous l’inondation subite de son vagin par mon sperme, Chantal se raidit convulsivement en émettant un long râle déchirant. Tout son corps se mit à trembler, comme pris de convulsions. Je découvrais là, ce qu’était un véritable orgasme féminin. Ça dépassait tout ce que j’avais pu imaginer. Le fait de penser que j’étais responsable de cette jouissance phénoménale, me comblait de joie et de fierté.

Nous sommes restés allongé l’un sur l’autre, l’un dans l’autre, sans rien dire pendant plusieurs minutes, à reprendre notre souffle et nos esprits. Je n’avais pas retiré ma verge de la chatte devenue brûlante et dégoulinante d’un jus poisseux où se mêlaient intimement nos deux jouissances. Au bout de quelques minutes, Chantal ayant refait surface, me passa tendrement la main dans les cheveux.

— Tu as aimé ? Me demanda-t-elle doucement. Tu as bien joui ?

— Oh oui, répliquais-je comblé.

Chantal me sourit tendrement :

— Tu es sûr que c’est ta première expérience ?

— Oui, c’est la première fois.

— Eh bien, il me semble que tu es plutôt doué, me complimenta-t-elle.

M’attirant à elle, Chantal m’embrassa à pleine bouche. Nous avons passé dix minutes à nous embrasser et nous caresser mutuellement. Au bout d’un moment, m’ayant repoussé hors de son sexe, elle se redressa pour se pencher sur ma virilité encore à demi bandée. Lorsque je sentis la pointe de sa langue effleurer mon gland tout poisseux de nos sécrétions amoureuses, je ne pus refouler un geste de recul, songeant qu’elle ne pouvait lécher les résidus de nos jouissances respectives, ce n’était pas propre. Comprenant mon émoi, Chantal tint à me rassurer :

— Tu sais, en amour, rien n’est sale… Ton sperme ou mon jus, mon foutre, comme certain l’appelle, sont des liquides savoureux… Regarde je vais sucer ta queue et crois moi, je vais me régaler.

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Tout en étant ravi de l’initiative de Chantal, je ne pus m’empêcher de songer amusé, qu’elle s’apprêtait à me dispenser le même type d’attouchement que son fils m’avait offert un certain après-midi. Joignant le geste à la parole, ma sensuelle partenaire se mit à me sucer la verge avec ardeur. Si bien qu’en un rien de temps, je me remis à bander avec autant de force qu’avant mon éjaculation. Je n’en revenais pas. D’habitude, lorsque je me branlais, le matin dans mon lit, il suffisait que je me fasse jouir et j’étais tranquille pour la journée. Or sous la fellation savante et terriblement voluptueuse que me procurait Chantal, mon sexe s’était durci de nouveau, dix minutes après qu’il eut déchargé sa réserve de sperme.

Profitant que ma sensuelle partenaire était penchée sur mon bas-ventre, occupée à me sucer d’une bouche experte, je tendais le bras pour pouvoir lui caresser les fesses. Avec ferveur, je pétris les masses charnues, les malaxant fiévreusement, mais surtout les écartant largement l’une de l’autre afin de contempler le minuscule orifice brun qui s’y cachait. Mais découvrant aussi la longue fente broussailleuse, dans laquelle je venais de m’épancher, l’envie me prit d’y coller mes lèvres pour en goûter le bouquet. Me contorsionnant habilement, je réussis à infiltrer mon visage entre les deux cuisses à la chair si douce de ma suceuse. Le nez enfoui entre les opulentes fesses, je me mis alors à fouiller la vulve nacré de ma langue. Je trouvais les lèvres vaginales étonnamment collantes et dégageant une odeur bizarre qui me rebuta quelque peu. Mais ne voulant pas montrer à ma compagne ma répulsion pour sa chatte pleine de ma semence, je changeais d’objectif. Je m’attaquais alors à son anus, petit œillet rose et plissé qui réagit aussitôt aux caresses de ma langue. Quelques minutes se passèrent ainsi, où nous nous léchâmes de concert, nous procurant un indicible plaisir. Soudain Chantal abandonna ma verge frémissante pour me demander :

— Tu aimes que je suce la bite ?

— J’adore, lui répondis-je.

Que pouvais-je répondre d’autre.

— Moi aussi, j’aime que tu me lèches le cul ! Ronronna-t-elle… C’est rudement bon !

Un moment passa, avant qu’elle reprenne la parole :

— Tu aimerais enfoncer ta queue entre mes fesses ?

J’en restais sans voix. C’était trop beau. La mère de mon meilleur ami m’avait déjà offert ce que tout adolescent espère, mais que très peu obtienne : faire l’amour avec une vraie femme, Et voila qu’elle me proposait de l’enculer, comme on disait entre nous au lycée.

Devant mon silence, Chantal continua :

— Tu sais qu’un homme peut faire l’amour à une femme de ce côté-là aussi ?

— Ouuui répondis-je soudainement gêne.

— Tu veux essayer ?… Ça te ferait plaisir ?…

— Oh oui, réussis-je à bégayer.

— Alors, attends-moi !

Étonné, je suivis des yeux ma volcanique initiatrice qui s’était dirigée vers la salle de bain. Elle en revint très vite, tenant un tube à la main. S’installant de nouveau à mes cotés elle me précisa :

— Ça aidera… Pour ton âge, tu est déjà bien monté !…

Elle ouvrit le tube pour s’enduire la main d’une crème translucide avec laquelle, elle me massa la verge.

— Avec cette crème, ça glissera plus facilement, tint-elle à me prévenir… Je suis plus étroite de ce côté là…

Sous le prétexte de m’enduire le membre de cet onguent, Chantal me branla d’un mouvement des plus suave, faisant encore grimper le désir dans mon bas-ventre. Enfin jugeant ma virilité suffisamment lubrifiée, mon ardente initiatrice, me tendit le tube et se couchant sur le ventre, lança ses mains dans son dos pour écarter largement ses fesses.

— À toi, me demanda-t-elle… Passe-moi de la crème dans mon petit trou.

Je n’en revenais toujours pas. Devant moi, à quelques centimètres de mes yeux, Chantal, la mère de mon meilleur ami, celle qui quelques jours plus tôt m’accueillait comme son fils, m’offrait avec une réelle impudeur son petit trou du cul légèrement poilu. La gorge sèche, j’approchais l’embout de l’orifice anal, et je pressais le tube. La crème incolore en jaillit, pénétra l’anus relâché, avant de déborder de chaque côté du minuscule cratère.

— Fais-la bien pénétrer à l’intérieur avec ton doigt, me conseilla Chantal, m’offrant son cul dans une position des plus obscène.

Reposant le tube, j’étalais la crème à l’aide de mon majeur de la main droite, tout autour de la collerette fripée, massant consciencieusement les bords avec un certain plaisir. Peu à peu, cependant, comme attiré par cet orifice si tentant, mon doigt glissa jusqu’au centre du mini cratère de chair pour y pénétrer lentement. Lorsque ma première phalange se fut enfoncée dans le conduit anal, il me sembla que celui-ci s’ouvrait, s’écartait de lui-même pour accepter mon intrusion. Je continuais donc à forcer, et bientôt tout mon doigt se trouva fiché dans le cul féminin, sans que cela ne m’ait posé de problème. Il est vrai que la grosseur de mon majeur était loin d’atteindre le volume de mon sexe bandé.

— Oh oui, frotte bien ! M’encouragea Chantal en cambrant ses reins au maximum.

Puisqu’elle me le demandait avec une réelle insistance, j’activais mon doigt dans l’orifice anal. J’éprouvais un certain plaisir à explorer ce cul féminin étonnamment resserré par rapport à la vaste vulve, que j’avais fouillé de ma bite quelques instants plus tôt. Comblé, je fis coulisser mon majeur dans le mignon petit trou, sodomisant ma partenaire de mon doigt rigide.

— Oh oui, c’est bon gémit Chantal au bout d’un instant… Continu mon chéri… Branle-moi bien le cul… Huummm…

Étonné qu’elle puisse ressentir un tel plaisir à l’exploration de son anus, j’accélérais mon pistonnage. Mais alors un désir pervers me vint à l’esprit. Accolant mon index à mon majeur, j’enfonçais mes deux doigts dans le cul féminin copieusement lubrifié par la crème que j’y avais versé et les activais fébrilement. Chantal eut un sursaut, lançant furieusement son derrière au-devant de mes doigts explorateurs : :

— Oh oui, c’est encore meilleure… Viens maintenant ! Je veux sentir ta queue dans mon cul !… Mets-la-moi !

D’un coup de reins, elle se positionna à quatre pattes devant moi, et lançant une de ses mains dans son dos, elle se saisit de ma bite qu’elle dirigea entre ses fesses. Le bout arrondi de mon gland s’appuya sur son œillet rose, qui me semblait extrêmement petit.

— Là, tu y es, me prévint Chantal d’une voix sourde… Va maintenant !… Pousse !…

Avec émotion, je sentis comme des pulsations émanant du minuscule orifice anal. Agrippant fermement les hanches de mon initiatrice, que la position rendait encore plus denses, je poussais pour enfoncer mon dard dans ce cul offert. Mais contrairement à l’introduction vaginale, qui s’était déroulée dans un glissement, l’orifice anal résista à ma poussée, faisant ployer ma verge pourtant rigide. Chantal poussa un petit gémissement.

— Vas-y, pousse ! M’encouragea-t-elle. Ça va rentrer !

Bien que me posant des questions sur le résultat, j’exerçais une nouvelle pression, en tirant à moi Chantal que je tenais fermement par les hanches. Celle-ci poussa un nouveau gémissement, suivit aussitôt par un petit cri. Sans que je me rende compte de ce qui m’arrivait, je me retrouvais fiché jusqu’aux couilles dans le cul féminin qui venait de s’ouvrir brusquement.

— Oui, oui, ça y est grogna Chantal… Je sens ta queue dans mon cul… C’est terrible, j’ai l’impression de la sentir jusqu’au fond de mon ventre… Tu es bien ?

Son anus .était tellement serré que j’avais l’impression que mon gland était divisé en deux par un élastique trop petit, je sentais le bout de ma bite gonflé à l’intérieur des intestins de ma folle partenaire. Je demeurais immobile, ivre de joie. J’enculais une femme. Quand je raconterais ça aux copains, j’allais tous les estomaquer. Cependant, devant mon immobilité, Chantal s’impatienta :

— Vas-y, commanda-t-elle… Encule-moi !

Je commençais alors à agiter mes reins, imprimant un va-et-vient entre ces fesses tant convoitées. Chantal avait passé sa main entre ses cuisses et se caressait le clitoris en poussant des petits gémissements

— Oh oui ! Vas-y mon chéri, encules-moi bien à fond, défonce moi…

Tout en faisant coulisser ma verge dans le minuscule orifice anal, je me régalais à contempler le merveilleux cul que j’admirais depuis des mois. La raie des fesses était assez large et remplie de poils noirs. Je voyais ma bite entrer et sortir de l’anus dilaté. J’étais excité comme jamais je ne l’aurais imaginé et les gémissements amoureux de ma compagne m’encourageaient à continuer. J’accélérais peu à peu mon mouvement de va-et-vient, pistonnant le cul accueillant de plus en plus vite et de plus en plus profondément. Chaque pénétration de ma verge dans les profondeurs de ses intestins arrachait un véritable cri à Chantal. Si bien que je me demandais si elle éprouvait vraiment du plaisir ou de la douleur.

Mais d’un seul coup je senti mon sperme monter de mes couilles gonflées. Sans que je puisse me retenir je lâchais mon sperme dans les intestins de la mère de Luc, mon ami. J’eus l’impression de me vider entièrement les couilles, tant l’éjaculation dura. Chantal se raidit subitement et grogna comme un animal, son corps tremblait comme une feuille

Epuisé par cet acte intime, je retirais ma verge de l’anus inondé. Elle était extrêmement sensible. De petites plaques brunâtres témoignaient sans aucun doute de l’endroit où je l’avais plongé. Se redressant, Chantal me serra dans ses bras, ses tendres baisers me remercièrent de tout ce plaisir qu’elle venait de vivre et partager avec moi.

— Tu sais, pour la première fois que tu encules une femme, tu t’es conduis en artiste. J’ai jouis comme une folle, tu m’as procuré énormément de plaisir. Et toi, tu as aimé ?

— Oh oui !

 

Devant ses compliments, je me sentais très fier d’avoir pour la première fois de ma vie, donné autant de plaisir à une femme mûre et expérimentée. Puis la journée passa, en grignotant des biscuits, nous avons continué à faire l’amour en s’embrassant. Cette journée bien remplie était le début d’une relation qui dura quatre ans. Elle fut la femme de ma vie, et même aujourd’hui, à 52 ans, je pense encore à cette femme qui m’a tant donné. Sa personnalité, son corps m’ont marqués pour la vie. Aujourd’hui vivant en Amérique du nord, j’ai connu plusieurs femmes avec le sexe rasé, et je dois dire que le sexe de Chantal très poilu m’excitait bien plus, je suis devenu, grâce à elle, un amateur de sexe naturel. C’est avec beaucoup d’émotions que j’ai rédigé ce récit, car je crois que je suis encore amoureux de cette femme qui n’est peut-être plus de ce monde. 

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Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : Vous avez dit inceste
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Lundi 13 avril 1 13 /04 /Avr 18:49

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De ce couple mythique aux origines très, très mystérieuses, naquirent deux enfants mâles Abel et Caïn (Dans l'ordre alphabétique de leurs noms, mais j'ignore si c'est l'ordre chronologique de leur naissance). Ensuite, on ne sait pas très bien ce qui s'est passé, mais l'un à tué l'autre pour des raisons obscures.
La planète ne s'est alors plus retrouvée habitée que par une femme et deux hommes dont l'un était le fils de la femme. De là est née l'humanité, si l'on en croit les écritures dites 'saintes'.
On peut donc dire que l'humanité est indiscutablement issue de l'inceste, puisque, dans l'hypothèse la plus simple, le second homme restant étant le fils d'Eve, celui-ci n'a pu procréer qu'avec sa mère, ou sa sœur qui serait née plus tard, mais qui aurait pu également être sa fille, ou les deux ! Il vaut mieux ne pas évoquer les combinaisons possibles qui se sont offertes à Adam, qui à très probablement procréé avec ses filles qui pouvaient également être ses petites filles !!! La suite va de soi et ne laisse la place à aucun doute concernant les relations sexuelles obligatoirement incestueuses qui ont régi le peuplement de la planète ! C.Q.F.D. !
Pourquoi, alors, les religions, dont celles qui nous assènent Adam et Eve comme des vérités premières et fondamentales, condamnent-elles ces mêmes relations sexuelles entre parents avec autant de véhémence puisque, d'après les fondements même de leur genèse, nous en sommes tous issus, sans exception ? Pourquoi la majorité des croyants de ces religions appliquent-ils ces préceptes sans se poser de question et, lorsqu'ils s'en posent, abandonnent-ils leur raisonnement avant même d'arriver à l'embryon d'une conclusion (un peu) cartésienne ? Mystère ! A moins que ce ne soit trop dérangeant d'affronter une vérité qui remet en cause des siècles de croyances archaïques et de superstitions et, surtout, d'admettre que l'on s'est fait berner depuis des millénaires.
Enfin, dans le cadre de notre civilisation 'Judéo-chrétienne' actuelle, si l'on excepte les dogmes religieux non crédibles qui condamnent les rapports parentaux, ainsi que les traités scientifiques relativement récents qui mettent en évidence, dans certains cas, les risques de dégénérescences potentielles en cas de procréation consanguines, je pose la question fondamentale :

-   Que peut-on bien reprocher à deux personnes d'une même famille qui auraient des relations sexuelles entres elles, dès l'instant que ces relations sont librement consenties de part et d'autre et que, soit un profond sentiment réciproque, soit un simple désir sexuel, également réciproque, réunit ces deux êtres ?

Dans notre société 'moralement structurée', l'inceste est tabou, interdit, condamné, point final !
Certains seraient même presque encore capable de lapider les protagonistes d'un inceste sur la place publique ! J'ai pu me rendre compte de cela par moi même, lorsqu'était survenue, dans le quartier où nous habitons, cette rumeur concernant des 'choses' qui se seraient passées entre un papa et sa fille de treize ans que je connaissais très bien.
Mes parents s'étaient alors déchaînés en discours outrés et violents, ou il était question d'inceste, de cochonneries ignobles, des flammes de l'enfer, de l'esprit malade de cet homme qui n'en méritait pas le nom, de l'attitude de cette 'petite dévergondée' de gamine, qui était certainement une 'sale vicieuse', une 'future traînée', sûrement 'pire que son père !
Pour finir, la mère eut droit également à son 'jugement :


-   Elle dit qu'elle n'était au courant de rien ! Mais va savoir !
Tous ces longs silences, lourds de sous-entendus malsains, qui suivaient ces paroles sentencieuses et définitives prononcées par mes parents, avaient un effet terrifiant sur moi qui, du haut des treize ans que je devais également avoir à l'époque, avais écouté, en me cachant la plupart du temps et sans bien comprendre de quoi il s'agissait. La seule chose que j'avais réussi à interpréter était que quelqu'un avait surpris un papa, en train de caresser sa fille entièrement nue qui, dépravation suprême, et d'après son attitude, était totalement consentante. Je n'avais jamais posé de question, tellement cet 'Inceste ignominieux' dont mes parents parlaient à mots couverts, avait l'air gravissime et impardonnable. Je ne les avais jamais entendus s'acharner verbalement avec autant de hargne, de violence et d'indignation, même envers les pires des assassins !

Et pourtant, Brigitte, la fille en question, je l'avais revue de nombreuses fois depuis cette histoire ! Elle était complètement normale et heureuse, comme avant ! J'avais même discuté avec elle, en dépit de l'interdiction formelle de mes parents ! Ce qu'elle m'avait alors raconté de ces 'caresses scandaleuses' était plutôt banal, cela correspondait, en un peu plus osé, exactement à ce que nous faisions, de temps à autres lors de 'flirt' avec des garçons, et en tout cas, elle, elle n'y voyait rien de mal ni de honteux, bien au contraire elle trouvait ça délicieux. D'après ce qu'elle m'avait confié, c'était même plutôt elle qui s'arrangeait pour que les situations dans laquelle ils avaient été surpris, elle et son père, puissent avoir lieu le plus souvent possible ! En tout cas, il n'y avait jamais eu de vrais rapports sexuels entre son père et elle
Quand à son papa, que je continuais à voir régulièrement aller à son travail, il avait l'air normal aussi et très gentil, comme avant, aucune trace de sang ne maculait ses lèvres ni ses joues, aucune corne diabolique ne décorait son front et aucune odeur de souffre ne flottait dans l'air après son passage.
Je venais de perdre beaucoup de la confiance que j'avais en la parole de mes parents, je me mis à douter très fort de leurs jugements, plus précisément de la mesure de leurs propos, et plus spécialement de ceux de ma mère.
Puis, un jour, on n'a plus revu, ni Brigitte, ni ses parents. Ma mère, en se signant plusieurs fois, a alors proféré, dans un dernier accès de vindicte vengeresse et soulagée, vis à vis de ceux qui n'avaient, malgré tout et à mon avis, rien fait qui mérite une telle haine :


-   Enfin !!! Bon débarras ! Qu'ils aillent faire leurs saletés ailleurs et plaise à dieu que cela n'arrive jamais sous notre toit, j'en mourrais.


Ce n'est que beaucoup plus tard, presque à l'âge adulte, que je sus exactement que si ces gens avaient du quitter la ville, c'est parce que tous leurs voisins (y compris mes parents) avaient entrepris de leur rendre la vie impossible.  Au nom de la morale.

Oui, mais enfin ! Qui peut dire très précisément ce que recouvre le mot inceste, issu du latin 'castus' qui signifie chaste.  Que veut-on exactement qualifier aujourd'hui par ce mot qui, à l'origine, ne désignait qu'une union qui ne pouvait être consacrée par l'église, parce qu'elle était consanguine.
J'ai l'impression que, dans ce terme, comme dans un grand sac quasiment vide, les hommes, pas toujours très cohérents, ont entassé toutes sortes de choses disparates, voire antinomiques, frappées du sceau de la honte et du déshonneur (toujours selon leur morale à géométrie variable) et qu'aujourd'hui, dans la superstition populaire quotidienne, c'est le mot lui même qui fait peur, sans que l'on ne sache plus très bien ce qu'il désigne réellement.
Si un père viole sa fille ou son fils, ce qui, malheureusement, arrive de temps en temps. Si un frère viole sa sœur, ou son frère. Si un fils viole sa mère, si un oncle viole sa nièce ou son neveu, si un cousin etc…. Ce sont des viols ! Des viols et point final !! Ce sont les pires des crimes auxquels le qualificatif 'incestueux' ne rajoute rien à l'abjection de l'acte.  Et les viols, par définition horribles, qui sont commis entre personnes sans lien de sang ne sont pas moins abjects, ils se placent exactement au même niveau de l'horreur.
Si l'on en retire donc cette infamie, déjà largement encadrée et dénommée par la législation criminelle recouvrant tous les cas de viols, que reste t-il de si terrible derrière ce mot 'inceste' ?

Que l'on ne s'y trompe pas, je ne prône pas les relations sexuelles ou sentimentales consanguines.  J'aimerais simplement que l'on ne couvre pas systématiquement d'opprobre, deux parents qui s'aiment réellement, ou qui ont un simple coup de cœur passager l'un pour l'autre, dans un contexte de libre choix ! Car enfin, soyons honnêtes au moins une fois ! Qui, parmi nous, n'a jamais eu de pensées érotiques (ou plus) pour un parent, qu'il soit très proche ou très éloigné ?

De plus en plus, il arrive que des langues se délient, que les rapports sexuels entre parents soient timidement évoqués, abordés avec un peu de recul et de respect, ou tout au moins avec une certaine neutralité, en dehors de cette classification 'honteuse' et de la furie moralisatrice qui l'accompagne.

Il arrive également que l'on puisse lire quelques récits sur le thème des relations sexuelles consanguines. Oh! Pas bien nombreux ! Et surtout, le plus souvent, pas très crédibles ! Dans la plupart des cas, il s'agit de simples fantasmes mal exprimés ! En tout cas, ils sont toujours construits selon le bon vieux scénario dipien, si souvent développé par les psys de tous crins, 'le fils fait l'amour avec sa mère' ou parfois l'inverse. On trouve aussi, mais beaucoup plus rarement, le récit de fantasmes de relations sexuelles entre frère et sœur, et pourtant. On rencontre beaucoup plus de récit décrivant des relations entre neveu et tante, nièce et oncle, cousins et cousines, comme si cette parenté rendait déjà les faits moins coupables.  Mais on ne trouve jamais, au grand jamais, d'histoires, dignes de ce nom, traitant de relations père-fille ou fille-père ! Mais où les tabous vont ils se nicher ? Je vous le demande ?

 

Bon, pour ceux qui pensent que c'est mal ?

 

La réponse est évidente :

C'est mal, c'est de l'inceste !

- Et pourquoi c'est mal

- Parce que c'est de l'inceste

- Et pourquoi, l'inceste, c'est mal ?

Alors là ! Deux solutions ou l'interlocuteur va vous débiter une ou deux conneries ou bien, faute d'argument, il cesse de discuter, pour lui c'est mal, un point c'est tout et essayer d'en discuter n'a aucun sens !

 

 

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