Vendredi 3 avril 5 03 /04 /Avr 16:09

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Lors d’une fin de soirée à la maison avec ma sœur Cathy et ma fille Laure, âgée de 16 ans, allongées, toutes trois dans le canapé, notre conversation dériva vers des souvenirs très intimes, après que Laure  fût endormie, blottie entre nous deux. Je lui rappelais alors que nous jouions à nous embrasser quand elle était petite. Cathy se laissa transporter à cette époque et raconta comme elle regrettait ces moments d'intimité entre sœurs, ces moments où nous découvrions nos corps sans qu'il ne soit question d'autre chose que de plaisir et de confiance.

 

Tous ces souvenirs que nous partagions, ajoutaient à notre excitation naissante. Je regardais les doigts de ma sœur se promener délicatement le long de la jambe de ma fille. Dès qu'elle atteignait le milieu de sa cuisse, elle redescendait sur son mollet. Ce n'est qu'au bout de quelques minutes, alors que nous parlions de nos bains partagés, qu'elle franchit cette limite invisible. Elle remarqua mon regard sur ses doigts et fit marche arrière.

 

Elle sut lire la confiance et la complicité dans mon regard, car quelques secondes plus tard, ses doigts remontaient jusqu'à la limite de sa chemise de pyjama. Laure répondit à cette caresse en soupirant et en se tournant un peu contre moi. Elle gardait les yeux fermés et je n'étais plus certaine qu'elle n’était pas en train de simuler le sommeil. En écho aux caresses de ma sœur, je descendais mes propres mains sur les épaules de ma fille comme pour l’encoconner.

 

Ma sœur et moi, nous nous remémorions les nuits passées ensemble et les moments intimes, seules au retour de l'école dans notre chambre. Nous n'avions jamais transgressé les règles de bonne conduite entre sœurs, mais elle m'avoua combien, en grandissant, il lui devenait difficile de ne pas me sauter dessus pour profiter de mes charmes, alors que je pensais la même chose. 

 

Notre différence était qu'elle avait privilégié sa vie personnelle et était restée célibataire. Moi, j'étais tombée enceinte et je voulais cette fille que j'aimais tant. Mais à cet instant, je regardais les mains de ma sœur qui repoussaient la chemise de ma fille, dévoilant, à chaque fois, un peu plus la culotte de coton qui couvrait ses charmes juvéniles. Cathy n'allait ni trop vite, ni trop loin. En même temps qu'elle me parlait, je pouvais lire l'interrogation dans ses yeux. Je ne lui répondis pas directement, je laissais juste mes doigts jouer avec le premier bouton de la chemise de ma fille. Dès qu'il céda, je repoussais le col de son vêtement, dégageant sa gorge. Il n'en fallut pas plus à ma sœur pour faire de même avec le bas de la chemise.

 

Laure finit par se tourner posant sa tête sur ma poitrine en  feignant le sommeil,  j’en étais certaine maintenant. Je pense que ma sœur croyait qu’elle somnolait toujours. Elle stoppa ses mouvements dès qu'elle sentit Laure bouger et attendit quelques secondes avant de reprendre son petit jeu. Enfin, notre petit jeu. Nous parlions à cet instant de comment notre mère nous attifait quand nous étions gamines. Il faut dire que notre mère avait le chic pour acheter des vêtements vraiment colorés et souvent très justes. Tout en déballant notre venin sur notre mère, je dégrafais, sans vraiment m'en rendre compte, le second bouton de la chemise de ma fille. Cathy avait maintenant ce petit sourire qui ravivait encore plus de souvenirs. Ce sourire, elle l'avait quand nous entamions une conversation « intime » dans la quiétude de notre chambre d'enfant. Je dus rougir en ouvrant un peu plus largement la chemise de ma fille, dévoilant en partie sa jeune poitrine.

 

Ma frangine remontait ses deux mains sur les cuisses de Laure qui soupirait gentiment dans son sommeil, aussi factice fût-il. Doucement, Cathy appuyait sur l'intérieur des cuisses de sa nièce qui se laissait ouvrir. J’ouvre le troisième bouton et dégage largement la chemise pour exposer la jeune poitrine de ma fille. Mes doigts vinrent rapidement vagabonder sur les mamelons bruns. Cathy me regardait faire. Ses yeux oscillaient entre les petits seins de Laure et la culotte qu'elle avait complètement découverte, pour enfin me regarder à nouveau.

 

Ne voulant pas dénoncer l'astuce de ma fille, je  jouais très délicatement avec ses tétons. Néanmoins, je sentais sa respiration s'accélérer  sous mes doigts, peut-être qu’elle pouvait croire à un rêve érotique stimulé par nos caresses. On  prenait toutes les précautions comme pour la charmer, remontant centimètre par centimètres, le haut des cuisses de ma fille. Bientôt les doigts de Cathy rencontrèrent la limite du coton léger qu'elle repoussa délicatement.

 

Je voyais apparaître le duvet blond qui ornait l'intimité de ma fille. Quelle étrange sensation, étrange et enivrante, que celle d'offrir ainsi ma fille à ma sœur. Cette impression m'enivre encore aujourd'hui. Mon intimité ruisselait devant le corps offert de ma fille qui nous laissait en jouer à notre guise. Cathy dévoila la fente de sa nièce et je remarquai immédiatement les reflets luisants qui témoignaient de sa propre excitation. Sous mes doigts, ses tétons se durcirent vraiment quand elle sentit l'air ambiant effleurer son intimité nue. Laure nous offrait son corps. Alors je finis de déboutonner sa chemise. Qu'elle était belle ma fille, mon bébé. Allongée, offerte, sa chemise grande ouverte, le visage coincé contre l'intérieur de mes seins pour ne pas laisser paraître sa conscience.

 

Qu'elle était attirante avec sa peau pâle et la finesse de ses muscles. Cette peau si douce, qui donnait l'impression d'être si fragile. Cathy descendait délicatement le devant de sa culotte, décollant le tissu de son abricot. L'élastique fin descendit sur le pubis de ma fille et, rivant ses yeux dans les miens, ma sœur fit lentement glisser le sous-vêtement. J'étais une mère indécente. Cette femme avait beau être ma sœur, je lui donnais ma fille, je la laissais se servir d'elle et j'en retirais un plaisir inimaginable. Nous ne parlions presque plus. Je ne pouvais me concentrer sur autre chose que sur ma sœur qui enlevait lentement le seul vêtement de ma fille. Pour complètement débarrasser Laure de ce morceau de tissu, Cathy dut descendre du  se lever du canapé. Un bref regard lui suffit à lui faire comprendre mon envie, mon approbation. Elle retira donc elle aussi sa culotte et en se rasseyant.

 

Ma sœur était tellement excitée que je voyais sa fente s'ouvrir tel un fruit trop mûr. Dès qu'elle se fût installée, elle se pencha de nouveau sur ma fille. Ses mains remontèrent le long des jambes fines de Laure et quand elles atteignirent les berges de son intimité, elle se pencha un peu plus et déposa un doux baiser sur le pubis légèrement duveteux. Un second baiser, puis un troisième, Cathy couvrait chaque parcelle de cette peau en principe privée. Ses lèvres furent suivies de sa langue et, bientôt, toute l'intimité de ma fille, son pubis, sa fente, tout était couvert de la salive brillante de sa tante.

 

Laure se trémoussait de plus en plus. Sa main avait glissé sous ma cuisse et elle pressait son visage contre ma peau. Le souffle brûlant de ma fille sur ma poitrine qu’elle cherchait de plus en plus à s’introduire,  redoublait le ruissellement de ma chatte. Je me sentais, trempée, brûlante, complètement enivrée par ce qui arrivait. Dès que Cathy appuya sa langue contre le bourrelet de peau qui couvrait son clitoris, Laure ne put retenir un gémissement. Elle plaqua sa bouche ouverte contre ma peau  cherchant le bout de mon sein et  le pris entre ses lèvres puis ses deux bras m’étreignent comme si elle avait peur qu'on l'enlève, qu'on la tire en arrière.

 

Cathy voyant le plaisir de ma fille ne se retint plus, elle pressa sa langue contre la fente déjà mouillée. Laure déplia ses jambes pour s'ouvrir autant que possible pendant que sa tante léchait avidement sa minette. Elle avait encore la chatte fine, avec juste un début de bourrelet au bas de ses grandes lèvres. Pourtant, Cathy, du bout des doigts, l'ouvrit largement et dégagea le petit clitoris de mon bébé.

 

Laure me mordillait le téton, j’appuyai sur sa tête pour accentuer la sensation. Elle était totalement submergée par l'explosion de sensations auxquelles elle ne s’attendait pas. Cathy repoussa les cuisses de ma fille en arrière. J'avais les yeux rivés sur son entrejambe. Voir la langue de ma sœur s'enfoncer dans le vagin de ma fille et l'entendre gémir, encore et encore. J'étais, moi-même, totalement embrasée par la scène et je me demandais si j'allais atteindre mon propre orgasme, juste stimulée par les bruits, les râles, les images et le parfum de sexe qui emplissait le salon à cet instant.

 

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Laure, instantanément, poussa ses fesses à la rencontre de la bouche barbouillée de la fine toison. Laure appuyait ses pieds sur le lit pour lever  davantage ses fesses.  Cathy se servit de sa main ainsi libre pour se nicher dans le jeune fessier. Les deux doigts légers caressaient la douce rondelle de ma fille qui pleurait presque sous l'effet du plaisir qu'on lui offrait. Laure atteignit rapidement son orgasme à partir de là. Je me sentis fondre, littéralement, quand son petit corps s'est arc-bouta, tendu de plaisir. Dès que Laure retrouva son souffle Cathy repris sa respiration et à mon tour je câlinais son clitoris. Elle finit par nous supplier d'arrêter quand un troisième orgasme la foudroya.

Rien de tout ça n'était normal, mais ça me paraissait si naturel. Comme il me paraissait naturel, à cet instant, de me redresser par-dessus ma fille et d'embrasser ma sœur à pleine bouche. Cathy  répondait à mon baiser pendant que Laure entre nos corps  en profita pour nous caresser à son tour. Nous n'allâmes pas plus loin ce soir-là. Nous passâmes juste un long moment à nous embrasser et à nous caresser gentiment. Comme nous nous laissâmes couler sur le velours de canapé, Laure s’éloignait et s’asseyait  sur le tapis à contempler sa mère et sa tante s'embrasser encore et encore, ne nous interrompant que pour nous avouer combien cette tendresse nous avait manqué.

Après quelques jours de cette mémorable aventure,  un nouvel événement non moins mémorable est à nouveau survenu au sein de mon couple.

Après une ballade hivernale où nous étions rentrés trempés jusqu’aux os, nous avions, Lucas, mon mari et ma fille, tous les trois pris une douche et squatté le canapé. Laure était collée contre moi, les pieds dirigés vers son père et le dos contre moi. Je me souviens que nous parlions du lycée et de ses résultats en nette progression. La conversation dévia sur nos propres souvenirs d’étudiant  et nous comparions nos expériences scolaires sur fond d'humour et d'ironie.

Presque machinalement, je faisais courir mes mains sur les bras de ma fille qui se laissait aller de plus en plus complètement contre moi. Je suivais le mouvement, m'appuyant contre l'accoudoir dans mon dos et me laissant couler sur le canapé peu à peu. Laure glissait, elle aussi, s'allongeant presque sur moi, entre mes cuisses qui s'ouvraient pour la recevoir.

 

En face de nous, Lucas, tentait de s'installer lui aussi. De mon côté, j'avais dépassé le cap du trouble, cela se traduisit rapidement par la danse de mes doigts sur le ventre de ma fille et leur ballade descendante vers ses cuisses. Laure ne me repoussa pas,  encourager par notre dernière expérience, elle s'affala encore plus et écarta ses jambes comme par soulagement. À force de glissades, ses pieds étaient maintenant posés sur les jambes de son père.

Restant concentrée sur les cuisses de ma fille, je fis lentement remonter son haut de pyjama sur son ventre. Dès qu'elle sentit le tissu sur ses hanches, Laure glissa un peu en avant, laissant le vêtement quitter complètement ses fesses. Dans le processus, elle écarta encore un peu plus ses cuisses et complètement embrasée, je vis le spectacle de son intimité entièrement nue et offerte. Offerte est bien le mot, elle s'offrait à son père et moi, dans toute la splendeur de sa jeunesse impudique.

 

Ce n'est que par petites touches que je me rapprochais du saint des saints. Mes doigts tremblotaient en glissant lentement de ses cuisses à son trésor interdit, mais offert. Mais elle me donnait toutes les autorisations que j'aurais pu rêver. Elle se pressait contre moi et se cambrait, appuyant plus fort son bassin contre mes mains. C'était moi qui commençais à douter. Le show que nous offrions à Lucas était pour le moins osé. Je parcourais donc l'intérieur des cuisses de ma fille, mais à chaque aller-retour, mes doigts glissaient, irrémédiablement de plus en plus, vers l'intimité de ma fille.

 

Dès que j'effleurais la fentine de Laure, elle laissa échapper un miaulement sucré et révisa son intimité contre la pulpe de mes doigts. Emportée et presque terrorisée,  je regardais mon mari, mais celui-ci était tout aussi enivré que moi. Son seul souci, à cet instant, était de cacher l'énorme érection qui déformait son short.

 

Alors, à mon tour, je m'enfonçais dans la débauche et répondis à la supplique de ma fille. Mes mains remontaient moins sur ses cuisses pour se focaliser, peu à peu, sur l’intimité déjà bien mouillée. Après s'être raclé la gorge, nerveusement, Lucas poursuivait la discussion tout en nous dévorant des yeux. Je tentais de le suivre, mais j'avais vraiment beaucoup de mal à me concentrer sur  les lèvres finement ourlées de la minette de ma fille.

 

Laure ne faisait plus d'effort pour sauver les apparences. Elle entrecoupait ses rares interventions par des ronronnements lascifs. Elle remontait son visage vers le mien et je ne pouvais plus me retenir de l'embrasser tendrement. Elle répondit immédiatement, en enroulant ses bras autour de mon cou. Dans cette position, elle se souleva légèrement, m'offrant encore plus de liberté à ma main contre sa petite minette.

 

J'étais à la fois terriblement embarrassée, brûlante de désir, mais aussi choquée, littéralement. Pour la première fois depuis que je m'étais laissée entraîner dans cette découverte de mes sens et de ma libido, pour la première fois que je voulais tenter mon mari, je le vis caresser son membre devant le spectacle que nous lui offrions. Il avait franchi cette ligne que la morale nous impose pour venir se plonger dans la découverte de ce plaisir interdit.

 

J'étais stupéfaite et même un peu inquiète qu'il ne boude plus son plaisir, même si, dans un même temps, cela amplifiait le mien. C'est elle qui rompit notre baiser pour poser sa tête sur mon sein et resta lovée contre moi pendant que je caressais délicatement sa fente humide. Il nous fallut un peu de temps pour reprendre nos esprits et nous faire à cette nouvelle étape. Mais nous réussîmes à passer outre l'incongruité de la scène.

 

Je vis le regard de Laure se poser avec insistance sur l'érection manifeste de son père. En retour, je voyais son regard s'intensifier quand mon majeur parcourait le sillon humide de notre fille.

Nous eûmes une conversation longue et difficile. Mon pauvre chéri était le champ de la monstrueuse bataille qui se livrait entre ses instincts, ses désirs et sa morale, ses tabous. J'avais connu ce conflit alors je tentais de l'aider. Je lui donnai mon raisonnement, ma logique, mais surtout, j'insistais sur le fait qu'en rien, absolument rien, je n'avais poussé ma fille à faire quoi que ce soit. En fait, j'avais même tout fait pour la repousser.

 

 

 

Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : L'amour en famille
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