Partager l'article ! Ma fille chérie (récit): Depuis la mort accidentelle de mon mari, il y a maintenant trois ans, ma fille Isabelle ...
Depuis la mort accidentelle de mon mari, il y a maintenant trois ans, ma fille Isabelle
n’arrivait pas à se remettre de cette tragique disparition.
Elle pleurait souvent et je devais toujours la consoler pour la rassurer.
Nous étions un couple très uni, la naissance de notre fille nous avait donné un bonheur
complet. Aujourd’hui j’ai la quarantaine, j’ai un ami que je vois régulièrement chez lui et
oui la vie continue malgré tout. Michel n’était jamais venu chez moi et n’avait jamais vu
Isa, j’espérais bien le présenter à ma fille un jour prochain, mais vu ce léger handicap,
je repoussais toujours l’échéance.
Jusque là tout paraissait normal et bien non ! Isa faisait des crises de larmes le soir en
se couchant, elle venait donc se blottir contre moi dans mon lit malgré son âge.
La tête sur ma poitrine, une main posée sur un sein comme lorsqu’elle était toute petite,
je l’apaisais en lui caressant les cheveux. Le drame c’est que cela m’amusait et
m’excitait en même temps. Je prenais de plus en plus de plaisir à cette situation,
de sentir ses doigts jouer avec mon mamelon à travers ma nuisette à tel point que je
mouillais rapidement. Machinalement je caressais son dos, quand un jour je n’ai pu
m’empêcher de descendre un peu plus bas et de passer ma main entre ses fesses
pour atteindre sa fente à peine velue, j’étais très surprise de voir qu’elle était humide,
la mignonne prenait du plaisir elle aussi. C’est depuis ce jour que l’envie d’aller plus
loin me tentait considérablement.
Mais avant d’y venir, j’avais parfois avec un léger fond honteux, déjà constaté que
mon corps et mes envies s’orientaient peu à peu vers le corps de ma fille à la proximité
toujours agréable mais parfois déclencheuse d’effets d’une libido mal maîtrisée.
Je me souviens de cette soirée où elle était très contente de me montrer ses bons
résultats obtenus à son lycée. Nous étions enchantées toutes les deux de cet
événement. Il est des détails parfois bêtes, mais pourtant à l’origine d’idées érotiques
fulgurantes qui ne peuvent être compris des jeunes filles. Cette soirée, en allant se
coucher, Isabelle était plus tendre que d’habitude, emballée par son succès scolaire.
Elle commençait une série de petits câlins qui me paraissaient innocents mais auxquels
j’étais très sensible. Sans protester je la laissais faire en lui donnant quelques bisous
sur son visage puis je posais mes lèvres sur les siennes me rappelant ce que je lui
faisais il y a quelques années, je pris sa lèvre supérieure entre les miennes, Isabelle
passa ses bras autour de mon cou et me serra très fort en me disant :
- Maman je t’aime tellement.
Cette soirée a clairement été le moment de l’acceptation au plus profond de moi que
le corps de ma fille m’excitait, et créait en moi un désir sexuel fort et incontestable.
On commença donc ce rituel, dont je savais secrètement que ce soir là, il ne s’orienterait
pas comme à l’habitude. Le silence de la pièce, sa légère respiration, sa nudité donnait
une ambiance toute particulière.
- Oh ma chérie ! Moi aussi je t'aime... Je t'aime... Lui dis-je en l'embrassant pour la
première fois d'un vrai baiser.
Et nous voila parti pour une exploration de nos bouches, sa langue fouillait ma bouche
pour la première fois. Elle fouillait comme si elle cherchait un trésor enfui. Notre baiser
dura plusieurs minutes et mon minou fut trempé en quelques secondes. Ses bras me
serraient le cou, son corps écrasait ma poitrine, et ses genoux frottaient sur mes
cuisses. J’étais prête à jouir tant c’était doux et chaud, je me détachais pour ne pas
aller trop loin, mon cœur battait à tout rompre, Je ne bougeais plus, je retenais mon
souffle, ma fille soupira dans son demi sommeil. Elle était sur moi comme offerte.
Je soulevais doucement le drap pour apercevoir son cul dans la pénombre du lit.
Ses hanches se creusaient en une courbe lascive avant de remonter en une pente
raide le long de son fessier. Je ne parvenais pas à démêler l'écheveau de mes
sentiments où la culpabilité n'est certes pas ma première impression. Je quittais ma
chemise de nuit, enlevais son baby doll, nous nous étreignions fortement.
L’extrême douceur de sa peau m’enthousiasma pour continuer ma descente aux enfers,
je lui caressais le dos, la poitrine, accentua sur ses petits tétons, j’avais peur de la
contrarier, mais je n’avais plus honte, mon désir était fort. Je poursuivais vers son bas
ventre, elle se laissa faire, quand mon doigt effleura son abricot elle s’est mise à me
sucer un sein, je me serais cru dans un paradis tant la sensation était forte, elle se
livrait complètement. Le sexe entièrement trempé semblait s’ouvrir sous mon doigt,
mais je dû freiner mon ardeur, dorlotant seulement le clitoris.
Je tentais d’approcher ma bouche de cette petite merveille sans désaccoupler la sienne
de mon sein, elle est un peu plus petite que moi ce qui facilita ma démarche, mes lèvres
arrivaient sur la vulve, une odeur envahie mes narines, je léchais avec gourmandise
ce nectar rare, ma fille mord mon mamelon ce qui me donne une petite douleur agréable,
elle écarta au maximum ses jambes, je me masturbais discrètement en la suçant quand
soudain Isa fut prise de secousses, je jouissais à mon tour d’une façon inconnue pour
moi, nous nous sommes endormies ainsi collées l’une à l’autre. Le lendemain matin on
s’est levé comme si rien n’était, c’est le soir au cours du dîner que j’ai ouvert la conversation
sur ce sujet :
- Nous avons fait une grosse bêtise hier soir, je voudrais que tu restes dans ta chambre,
ce n’est pas la place d’une jeune fille dans le lit de sa mère.
Evidemment elle s’est mise à pleurer de toutes les larmes de son corps, comme une
gamine à qui on aurait arraché sa poupée. Ne pouvant la laisser dans cet état, j’ouvris
mes bras où elle est venue rapidement se réfugier. Que faire ? Je suis prise au piège,
je n’ai pas la force de la repousser au contraire je suis attirée par ce corps chaud qui
se frotte contre le mien, je dus jeter tous scrupules et me rendre à l’évidence, je ne
faisais de mal à personne. Je la laissais farfouiller dans mon soutien gorge avec son
minois, au bout d’un moment je la repoussais car ma culotte était déjà toute mouillée
et lui dis :
- Aller, va faire ta toilette pendant que je débarrasse la table.
Lorsque j’arrivais dans ma chambre, je ne fus pas surprise de la trouver nue dans mon
lit, elle ouvrit le drap en me tendant les bras :
- Vient maman chérie, vient me caresser comme hier soir, s’il te plait maman….
Je m’y attendais un peu, et je dois avouer que dans le fond de moi-même, j’éprouvais
un énorme plaisir. Je retirais ma nuisette sans précipitation et me coucha, à peine étendue
que Isa me sauta dessus en me tenant les bras en croix, elle m’embrassait directement
sur les lèvres, sa langue pénétra ma bouche pour me faire un vrai baiser d’amoureux
auquel je répondis.
Le fait que ce soit ma fille m’excitait au plus haut point, j’ai bien vu qu’elle en était
consciente cette petite dévergondée. Isa s’allongeait sur mon corps les jambes de
chaque coté de mon ventre comme si elle voulait faire du cheval, elle frétillait comme
un poisson. Je dégageais mes mains pour la caresser, je pelotais ses fesses, avec
toujours ce souvenir de ces années où elle était bébé. Je n’avais jamais caressé une
femme auparavant mais l’amour que j’avais pour ma fille me poussait à l’extrême.
Je passais mon index sur l’anus, sur le périnée et enfin je pénétrais légèrement les l
èvres sexuelles encore très surprise de l’humidité abondante qu’elles fournissaient.
Je la soulevais un peu pour la remonter vers mon visage afin de mettre sa fente sur
ma bouche, je n’avais pas besoin de forcer, elle se prêtait à ce que je voulais et
s’installa les genoux de chaque coté de ma tête, elle posait sa chatte au duvet velouté
sur mes lèvres, les mains appuyées sur mon front. C’était sublime, j’étais follement
enivrée par ce parfum inédit, ma langue fouillait le jeune fruit, tenta de glisser à l’intérieur.
Elle glissa son petit cul plus en avant pour me faire gouter le petit trou plissé, la saveur
était incroyable, ce fut très rapide, Isa prit son plaisir comme une reine en laissant
échapper des petits cris puis elle fit un demi tour, plongea sa frimousse entre mes
cuisses, ce qui me gênait terriblement par ma touffe noire très fournie sans compter
les odeurs et le jus qui en sortait, je lui ai dit :
- Non ma chérie pas ça, ce n’est pas bien pour toi !
Hélas elle était déjà dans mon intimité les mains passées sous mes fesses, je sentais
sa langue explorer mes replis pour s’attaquer au clitoris.
- Ma chérie, comment peux-tu me donner tout ce plaisir ?
Isa me travaillait le corps aussi bien que Michel, je prenais même plus de plaisirs.
J’appuyais légèrement sur sa tête pour accentuer l’action, je m’envolais dans un pied
incroyable. Quand je reprenais mes esprits, Isa est toujours entre mes cuisses le
visage levé et souriant :
- Et bien toi au moins tu ne fais pas semblant !
- Merci ma chérie, mais dis-moi, où as-tu appris tout ça ?
- Je dois vraiment te le dire ?
- Ha oui j’y tiens.
- Sur des magazines que la Véronique Delfi apporte au lycée, elle doit les emprunter à
ses parents. Il y a de tout, des hommes et des femmes entre eux qui font l’amour
dans tous les sens, il y en a pour tous les goûts.
Moi qui pensais avoir une fille encore innocente.
- Vous regardez toutes les deux ces magazines pornos ?
- Ho oui maman plutôt deux fois qu’une et il y en a beaucoup…. J’avais envie d’essayer
depuis longtemps ce que nous avons fait toutes les deux et j’ai constaté que c’est
exactement comme c’est écrit, mais en plus maman, c’est avec toi !
Je lui pris le visage, l’attira vers moi, elle se dégageait de sa position pour se blottir
dans mes bras, un baiser nous unissait. Un amour était en train de naître entre nous,
finalement je suis bien.
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