amour sans tabou

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Lundi 8 décembre 1 08 /12 /Déc 18:54

 

 

 

 

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Par amoursanstabou - Publié dans : images - Communauté : L'amour en famille
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Lundi 8 décembre 1 08 /12 /Déc 18:37

112--2-.jpgA quinze ans j’étais fascinée par les fesses de femme, moi qui suis juste devenue femme. Enfin je viens avec du retard par rapport à mes copines d’être réglée. Donc je suis devenue une vraie femme à quinze ans. Je ne rêvais que d’une chose, toucher, caresser des belles fesses de femme. Je n’ai pas besoin de frotter longtemps mon bouton pour partir quand je m’imagine à embrasser un beau fessier, ou admirer sur les magasines les superbes culs des mannequins. Comme je voudrais que ma bouche s’enfonce dans un postérieur, mais tout cela n’était que fantasme jusqu’au jour où Karine est venue à la maison pour les quelques jours de vacances. Nous avons échangé certains attouchements, le soir dans notre lit, qui se prolongeaient une partie de la nuit, ce qui nous laissaient les yeux cernés le lendemain matin, mais c’était les vacances heureusement. Karine est ma cousine, elle a pourtant six mois de moins que moi, elle est physiquement beaucoup plus mûre, mais je pense que je suis plus délurée qu’elle. Nous n’avions pas beaucoup l’occasion de nous voir, séparées par six cents kilomètres. C’est ainsi que nous avons préparées de merveilleuses grandes vacances.
Tout a commencé quand je l'ai embrassé dans un coin, elle n'a pas fait la sainte nitouche, bien au contraire. Et le soir, nous sommes allées plus en avant... Bien plus en avant... Je l'avais déshabillé entièrement et elle se laissait faire. Puis je baisotais ses oreilles et murmurais :

- Il parait qu'entre femmes, c'est bien meilleur.

Elle ne répondit pas et me tendit sa bouche. Nos langues s'étaient déjà caressées une première fois, et là, elle se donna encore plus et s'abandonna sur la couche et durant que nos organes linguaux se titillaient mutuellement avec frénésie, j'avais déjà mes doigts sur son minou et même à l'intérieur. Puis ce fut à mon tour de me déshabiller puis nous nous sommes enlacées nues dans les draps. Comme c'était bon... Nous nous frottions l'une contre l'autre, nous caressant tour à tour et c'est même elle qui la première embrassa mes seins puis je sentis sa langue sur les pointes. Je lui dis :

- Suce moi... ça me fait du bien...!

Nous roulâmes plusieurs fois l'une sur l'autre, ventre contre ventre, nous caressant cette fois les fesses. Je les pressais très fort, rien qu'à cette sensation, j'étais très excitée.
Tard dans la nuit, on s'est caressées mutuellement, recherchant sur nos boutons une jouissance qui venait doucement mais qui était bien meilleure que quand je le faisais moi mème. Puis fatiguées, nous nous sommes endormies. Puis quand Karine se leva, je l'agrippais. C'était la première fois que je voyais ses fesses de si près. Je lui dis :

- Oh comme j'ai envie d’embrasser ton corps.

Elle se retourna et dit :

- Il est tard. Nous devons nous lever car on pourrait s'inquiéter.

Mais j'avais eu le temps d'apercevoir dans son regard une étrange lueur. Elle croyait sans doute que je lui parlais de sa chatte, mais moi c'étaient ses fesses, mais peu importe. J'ai compris que ça ne lui déplairait pas.

Nous devions nous quitter le lendemain et il nous restait donc la nuit, nous n'avons pas attendu le soir. Ma mère étant sortie pour quelques heures, je ne sais pourquoi, j'eus envie de me précipiter avec Karine dans les toilettes alors que nous aurions aussi bien pu aller dans ma chambre ou même ailleurs puisque nous entendions forcément la voiture revenir. Dans les toilettes, c'était plus excitant. Elle s’est assise sur la cuvette, je me suis mise à genoux devant elle, j'ai baissé sa culotte alors qu'elle caressait ma chevelure. Bien qu'ayant pensé autrement, je me dis que je devais d'abord lui lécher le minou. Ce que je fis tout de go en introduisant mes doigts dans le creux de ses fesses. Karine ne se montra pas insensible à mes attouchements et je crois bien qu'elle jouit. Après un moment, je la regardais et portais mes doigts à mes narines. Je lui dis :

- Comme il sent bon ton derrière.

Elle me regarda étrangement en se disant certainement que je suis un peu folle, elle remit de l'ordre dans sa toilette et nous sortîmes. J'étais peu satisfaite et je l'accostais de nouveau alors qu'elle s'asseyait sur le divan. De là, nous pouvions tout voir sans être vues. Nous pouvions apercevoir le portail s'ouvrir et la voiture pénétrer dans la cour. J'assaillais ma cousine et pris ses lèvres. Elle ne se débattait pas, mais je la sentais peu enjouée. Elle s'abandonna tout de même à mes caresses et à ma bouche dans son cou et sur sa gorge. Mais je compris ce qui la retenait. En fait, elle avait une peur bleue de ma mère. Ce qui l’amène à me dire timidement :

- Nous n'allons pas gâcher nos vacances, attendons ce soir ma jolie, je ne suis pas tranquille comme chez moi.

En effet ce soir là, je fis ce que je voulais et elle se laissa faire. Nous nous fîmes jouir manuellement par devant, nues toutes les deux. Plus tard, elle a comprit mes attentes et moi j’ai pu déchiffrer qu’elle n’était pas si novice qu’elle ne le paraissait. Elle s’abandonne en se retournant, je regardais les deux mappemondes qui m’attiraient. Je m’installais entre ses cuisses. Je humais à plein nez sa douce odeur intime. Je me mis à caresser de deux doigts ses lèvres juteuses, les ouvrants délicatement tel un pistil de fleur. La chair était humide à souhait. Son bassin ondulait sous ma douce caresse. Je commençais à glisser ma langue sur sa chair liquéfiée. Je buvais sa douce liqueur. Tout en la doigtant, je constatais que mon doigt pénétrait plus facilement que dans ma petite grotte, je suçais les lèvres. La tête plongée dans l’oreiller, aucun son ne sortait de sa bouche à part les râles de son plaisir. Elle soulevait son derrière pour me donner plus d’aisance. Je pouvais enfin téter son clitoris et employer tout ce que je croyais bien faire, afin de l’amener à un orgasme. J’arrivais à mes fins et la belle hurla de bonheur me barbouillant de ses liqueurs intimes.
Je le sentais très chaude et allais progressivement dans la raie de son derrière. Le désir de goûter, de connaître la sensation, je m'en rapprochais et ce fut d'abord mon nez qui l'effleura. Sous mes attouchements, Karine se laissait faire, elle ronronnait de plaisir. Enfin, ma langue explora la rosette dont je forçais l'écartement. J'étais folle de joie et d’appétit et je me mis à gémir à mon tour.
Puis, par petites touches, je suçais, je me régalais, je serais restée là des heures, la tête enfouie à cet endroit. Ma cousine apprécia en remontant davantage son postérieur. Quand enfin je m'allongeais près d'elle, elle me souffla à l’oreille :

- C'est bon ce que tu m'as fait... Je serais incapable de te rendre la pareille.

- Ça n'a pas d'importance. Moi j'aime tant, et que tu me le fasses ne me procurerait pas autant de joie.

- Mais tu n'as pas joui ?

- Oh si... Je me suis caressée en même temps, je n’ai jamais eu autant de plaisirs.

- Cochonne !

- Qu'est-ce que ça peut te faire si tu aimes.

- Oui, j'aime drôlement.

- Alors je te le ferais durant toutes les vacances.

- Tu plaisantes.

- Non ! Je suis folle de tes fesses. J’en avais tellement envie depuis si longtemps !

- De lécher mon derrière ?

- Oui ! Lécher l'intérieur de tes fesses, j’ai juste porté mes doigts à mon bouton et je suis partie toute seule.

- Tu es quand même cochonne.

- Ca va être comme ça toutes nos vacances, si tu le veux bien !

- Oui Sophie, et ma mère est tellement plus cool que la tienne.

- Je sais que ta mère est mille fois plus sympa que la mienne, c’est pourtant sa sœur. Ma mère ne tient pas trop que je parte là-bas, elle dit aussi que ta mère aime les femmes, tu crois que c’est vrai ?

- Non seulement je le crois, mais j'en suis sûre. Et c'est pourquoi, même si elle nous prenait en défaut, elle ne nous en voudra pas…... Mais tu verras je pense que tu auras des surprises.


*****


Alors ces vacances chez ma cousine allaient être pour moi ce que jamais je n'aurais osé ni imaginer, ni espérer.

Cette merveilleuse tante Françoise, trente-huit ans, deux ans plus âgée que maman, elle a un air de famille évident, mais on voit dans son visage un très net épanouissement qui n’existe pas chez ma mère. Tante m'embrasse avec tendresse à la gare où elle est venue me chercher avec Karine. Durant le parcours qui mène à la propriété, nous restons enlacées ma cousine et moi, sa mère n’a pas l’air d’en tenir rigueur. Elle a du nous voir dans le rétroviseur. Ma copine me murmure :

- Maman nous laissera faire tout ce qu'on veut, elle a entièrement confiance en moi.

Il faut dire que ma tante habite une très grande et jolie maison dans la banlieue de Montpellier, Elle est divorcée et mon oncle lui a laissé la maison. Elle vit très à l’aise. Le premier soir, je m'en donne à coeur joie avec Karine qui s'abandonne nue à toutes mes caresses...

- Tu crois que ta mère s'imagine pour nous ? Lui demandais-je.

- Peut-être, mais quelle importance.

- Je voudrais te demander...

- Oui ?

- J’ai constaté qu’il y a entre vous deux une relation très particulière, tu n'as rien fait avec elle ?

Ma cousine parait un instant embarrassé. Puis elle dit :

- Juste quelques attouchements mais sans plus. J'aime autant le faire avec toi. Je pense qu’elle doit préférer les femmes de son âge et puis c’est ma mère.

La curiosité est plus forte que moi, je veux savoir :

- Mais qu’as-tu fait avec elle exactement ? J’ai envie de savoir, dis-moi ?

- Avec maman, bof, juste quelques caresses une fois, dans le lit, un jour où nous étions un peu déprimées. Par contre, il nous arrive souvent de nous embrasser sur la bouche.

- Tu crois que je pourrais faire quelque chose avec elle, si tu n’es pas jalouse ?

- Et bien tu n'as qu'à te laisser aller quand elle t'embrasse et tu verras bien. Et je ne suis absolument pas jalouse, au contraire maman m’a appris à jouir du bonheur de ceux que l’on aime. Je ferais tout pour que ton séjour ici soit pour toi un vrai paradis.

- Merci ma Karine, j'ai envie de folie, des fesses de femmes, je voudrais en trouver une en particulier, belle avec un fessier d’enfer.

Je n'en finissais pas de poser des questions à Karine et après nous êtres bien faites jouir mutuellement, nous nous endormons.

La journée s'annonce belle et à neuf heures et demie, il fait déjà chaud. Nous déjeunons sur la terrasse. Tante m'embrasse. Je m'abandonne mais elle n'insiste pas trop. Elle porte un déshabillé qui lui va à ravir et sous lequel je devine des formes pleines. Nous sommes face à face, Karine sur le côté. Ma tante porte des lunettes de soleil et nous regarde sans que nous puissions voir ses prunelles. C'est plus mystérieux.

Tout de suite, je me suis sentie très libre avec tante Françoise. Il y a déjà comme une sorte de complicité entre nous, pas tout à fait la mème entre elle et sa fille. C'est du genre, "moi je vis ma vie, fait de même si tu en as envie"

- Bien dormi toutes les deux ? Bien reposées ?

Nous répondons ensemble par l’affirmative. Elle ajoute :

- Ici chacun est libre de faire ce qui lui plait ! Tu es ici pour passer tes vacances et pour profiter de la piscine et du bon air. Je te demande simplement ma petite Sophie de ne pas répéter tout ça à ma chère sœur, tu sais comment est ta mère !
Ce soir, je donne une petite soirée avec des amies, si vous voulez en faire partie, vous êtes les bienvenues ? Je sais que mes amies ne sont pas de votre âge, mais ce n’est pas une obligation. Sinon vous pouvez sortir en boite.

Karine s’informe auprès de sa mère pour mon plaisir :

- Maman, ce soir, il y aura du monde ?

- Je... Je ne sais pas, ce sont presque toujours les mêmes que tu connais. Tu as expliqué à Sophie

 

- Heu…Oui... Enfin non. J’ai tout le restant de la journée pour lui exposer tes soirées un peu spéciales.

Tante Françoise semblait un peu gênée sur le moment. Nous passons effectivement la journée à se détendre dans et autour de la piscine, alors que sa mère est allée faire les courses. Karine me raconte ce que sont ces fameuses soirées. Quand tante revient vers dix sept heures, on l’aide à ranger les provisions, elle nous donne quelques précisions :

- Ce soir il y aura pas mal de monde, il y aura trois ou quatre nouvelles d’après ce que je sais, ce qui fait que nous devrions êtres une vingtaine. Je vous propose de faire le service en échange d’un bon billet, il suffit de remplir les verres à la demande. Vous êtes d’accord ?

On se regarde avec Karine et clamons un oui avec la bouche en cœur.

- De toutes façons vous ferez ce que vous voulez tant que toutes les invitées ne sont pas en manque de boissons.

- Maman, comment on s’habille ?

Il me tardait de vivre cette soirée malgré un trac fou. Le soir, nous nous sommes donc vêtues et maquillées dans la chambre de Karine, peut-être d'une manière trop voyante, mais après tout, nous avions l'air de vraies femmes tout en restant des ados. Nos robes longues et nos maquillages très accentués en étaient que plus outrageants. Enfin prêtes, nous descendîmes, Karine me dit:

- Il y aura peut-être une jolie femme avec un cul pas possible, qui te tapera dans l’œil.

 

 



Il y avait seulement deux femmes présentes qui babillaient sur un sofa. Nous mettons notre rôle à exécution en leur demandant ce qu’elles désirent comme boisson. Les invitées arrivent tranquillement, les unes seules et certaines en couples. Elles glissent de généreux billets dans une petite tirelire placée à l’entrée et commandent du champagne. Le grand réfrigérateur en est pourvu ainsi que d'autres boissons alcoolisées et jus de fruit. Nous avons juste à mettre les verres, la bouteille et elles se débrouillent.

Quand tante Françoise fit son entrée, elle nous félicita pour notre tenue, je sentis son regard peser sur moi, ne pouvant résister, je baissais les yeux. Elle mit son index sous mon menton pour relever mon visage puis déposa un baiser léger sur mes lèvres et alla rejoindre ses amies. Une musique de danse lente et légère emplissait le vaste salon. Un couple de femmes évolue dans un slow prometteur.
Tout en faisant ce qui nous a été demandé, j'observais les personnes présentes, j’étais folle à l’idée de pouvoir m’en faire une, mais ce n’était qu’un fantasme, puis ma tante qui venait de m'embrasser, j'avais encore la saveur de ses lèvres sur les miennes.
Karine me sort de mes rêves :

- C'est chaque fois différent, mais un peu la même chose. Les couples se forment, dansent, s'embrassent, se font des choses, enfin se caressent. Dit-elle en secouant les épaules.

Nous observons les invitées en papotant quand Karine me tape du coude :

- Oh Sophie ! Ton rêve... C'est une femme comme ça qu'il te faut.

Il n'était pas possible que cette magnifique créature qu’elle me montre du menton n’ait pas entendu. Je devins rouge de confusion. Je me demandais vraiment à quel jeu jouait Karine, je sentis le regard de cette femme peser sur moi. Je baissais la tête, elle était tout près, à quelques pas de nous. Elle s’approcha et se mit à me caresser le cou, les joues, puis son visage s'approcha du mien et je sentis ses joues me frôler avant que ses lèvres se posent sur les miennes en un court mais tendre baiser. J'eus juste le temps de sentir ses lèvres pulpeuses et un peu mouillées. Puis elle revint à sa place comme si de rien n'était. Karine semble connaître pas mal de monde, elle me présente puis les convives cherchent une place pour s’asseoir.

Je ne peux m'empêcher d'aimer cette ambiance tamisée où flottent des odeurs de parfums féminins. Deux couples évoluent sur la piste. Rien qu'à les voir danser, je frissonne, deux femmes entre elles, c'est doux, c'est tendre, joue contre joue, corps contre corps. J'ai envie de danser alors j'invite Karine. La preuve est faite que personne n'a besoin de nous. Les habituées arrivent, versent leur obole, puis se servent une boisson. Après avoir dansées tendrement et étroitement enlacées Karine et moi, retournons dans notre petit coin. J'aime bien car nous pouvons voir tout ce qui se passe et personne ne nous juge. J’admire mon béguin, je n'ai d'yeux que pour elle dans sa longue robe fourreau de velours noir qui la moule à ravir. Elle salue presque toutes celles qui sont là, allant de tables en tables pour enfin revenir près de nous.

- Ça va les filles ?

- Oui, oui. Répond Karine

Elle nous fait un clin d'oeil puis nous demande de lui servir une autre coupe.

- C'est le moment de trinquer. Nous dit-elle en me regardant dans les yeux.

Mon sang ne fait qu'un tour. Je suis gênée. Cette merveilleuse femme, les cheveux à la garçonne lui donne comme un air rétro, des seins émergeant d'un bustier à vous en couper le souffle. Tante Françoise me sort de ma contemplation en embrassant la divine créature sur la bouche. Ma tante me sourit en voulant dire : « Ne t’inquiète pas ici tout est permis » Elle me présente :

- Ma nièce Sophie, elle est toute fraîche, alors doucement s’il te plait.

Puis s’adressant à moi :

- Sophie, je te présente Fabienne, fait bien attention à elle, c’est une sorcière.

Ensuite ma tante tourne les talons pour rejoindre d’autres personnes. Décidément, je me dis que ce monde de dames est un monde à part. Moi, qui suis-je au milieu de toutes ces femmes. Es que je ressens assez d'attirance pour la femme pour pouvoir affirmer que moi aussi je fais partie de cette "gente" toute spéciale. Je me sens comme frustrée mais je ne me dégonfle pas, je m'approche de Karine et plaque mes lèvres contre les siennes. Nous mélangeons nos langues avec désir. Je l’entraîne pour aller danser.
Notre complicité ne fait plus aucun doute. Je voulais montrer à cette Fabienne que je ne suis pas de la campagne.
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Je prends le temps d'admirer les danseuses. Il y en a de très jolies. Tout en dansant, je glane ça et là un sourire, une mimique qui en dit long. Je crois que pour danser avec une autre, il faudrait que nous retournions à notre place et attendre. Le résultat ne se fait pas attendre. Ma cousine est invitée la première. La fort jolie femme qui danse avec elle n'en finit pas de la caresser, la cajoler et je croise même à un moment le regard absolument neutre de sa mère qui l'a vue, elle me jette un petit clin d'oeil et son plus beau sourire. Je ne cesse d'admirer les jeux des danseuses qui se caressent, se pelotent même les fesses souvent étroitement gainées. Plus nous avançons, dans la soirée, plus l'ambiance se détend et c'est peu dire. Des poitrines jaillissent de temps à autres, grosses, oblongues, pétries par des doigts agiles, puis retournent plus ou moins sous le corsage. C'est une ambiance quelque peu échevelée et pourtant calme, bercée par la langueur de cette musique douce.

La musique change, laissant sa cavalière, Karine revient à mes cotés. Je lui dis:

- Tu sais, j'ai flashé pour cette Fabienne. C'est tout à fait mon type.

- Tu veux que je l'appelle ?

- Non. Tu peux lui parler de moi, enfin de nous.

- Tu n'as qu'à rester là !

A peine Karine est repartie qu'une fort belle dame m'aborde.

- Je suis Nadine. Une amie de la mère à Karine, voulez-vous ?

Il n'est nullement question que je me fasse prier, je me lève et la croqueuse m'entraîne vers la piste. Tout de suite, elle fait en sorte que nous dansions très étroitement serrées, l'une contre l'autre. Je n'ai rien contre, je m'abandonne complètement. Puis elle me dit :

- Tu sais que tu me donnes des envies toi ?

La femme me serre si tendrement que j'en suis pantoise. Elle me baisote dans le cou puis se met à lécher mes oreilles. Je lui rends la pareille et nous nous parlons comme ça à voix basse. J'ai envie de lui dire mille choses, de tout lui dire, mes souhaits ardents. Quand elle me murmure :

- Toi, tu as envie de moi.

- Heu. Oui…..

J’essaie de faire les mêmes gestes mais très maladroitement. Elle reprend la parole :

- En dehors de Karine, tu n'as jamais été avec une femme ?

- Non.

- Tu veux me raconter ce que tu fais avec elle ?

- Non.

- Tu as vu Françoise ?

- Elle était là tout à l'heure.

- Tu te doutes de ce qu'elle fait. Tu aimerais ça toi.

- Quoi ?

- Etre aimée par une vraie femme.

- J'avoue que ça me tente. Mais je ne sais pas trop.

- Alors maintenant, dis-moi ce que vous faites avec Karine.

 

Finalement, je risque quoi à lui déballer mes petites aventures, alors je me lance.

- Ce que j'aime le plus, c'est la sucer. Jaime bien la faire jouir avec ma langue. Ce que je préfère, ce sont ses fesses. Je suis folle de ses fesses.

- Oh toi alors, tu m’épates !

- Tu me demandes, alors je te dis.

- Tu lui lèches la raie de son derrière.

- Oui, j'adore. Je passerais des heures à le faire.

- C'est fou ça une jeune fille comme toi qui parait si sage ! Tu aimerais le faire à une femme ? A moi ?

Nadine me serre si fort que je crois étouffer. J'en ai presque envie de pleurer de bonheur. Alors je murmure au creux de son oreille que j’embrasse presque en même temps :

- Tu me rends folle, folle de désir, du désir de toi, de tout ton corps.

- Je vois que ton amoureuse te cherche, tu devrais aller la voir.

- Oh je t'en prie, reste avec moi !

Ma cavalière se détache de moi et me laisse rejoindre Karine. Elle a ramenée Fabienne à notre petite table.

- Avec Fabienne, nous avons parlé un peu de toi et elle serait ravie de te servir de monitrice dans le domaine qui te tient à cœur.

Je pique un phare énorme, une sorte de honte m’envahie, j’aurais voulu fuir, mais Fabienne me prend dans ses bras en me caressant les cheveux. Cette fois, c’est moi qui prends sa bouche. Nos langues lutent un moment. Dans les bras de Fabienne, je fonds littéralement. Un long moment de silence me permet de me laisser griser par la musique. Nous allons danser joue contre joue et je frémis à la moindre caresse. Je me demande combien de temps nous serions restées ainsi, sans un mot. Elle approche sa bouche de la mienne pour se mettre à la dévorer par petites touches, à plonger sa langue et rejoindre enfin la mienne qui l'accueille en louvoyant. Nos lèvres restent ainsi un moment soudées alors que nos langues s'en donnent à coeur joie en même temps qu’elle laisse sa salive que je crois bon d'avaler. Puis je sens ses doigts écraser mes fesses à travers le tissu fin de ma robe. Je m'abandonne totalement à elle, je sens que je mouille intensément. Enfin nos bouches se séparent, elle me sourit. Pas un mot jusqu'ici,  je prends l'initiative de murmurer :

- Je n'ai encore jamais rendu hommage à une vraie femme, je veux bien le faire avec toi.

Alors, tout en dansant, Fabienne m'entraîne vers la porte du fond. Là, je connais un peu les lieux. Une petite entrée qui donne sur deux cabinets et deux autres portes sur deux petites pièces particulières. C'est vers l'une de ces portes que m'entraîne Fabienne Elle referme la porte à clé derrière nous, puis elle me serre très fort, nous nous vautrons sur le petit lit divan qui est certainement là pour la circonstance et elle me dit :

- Ici, on peut faire ce que l'on veut. C'est une règle absolue, on ne sera pas dérangées. C'est la première fois que je vais avec une fille aussi jeune que toi. Tu me donnes l'eau à la bouche. Déshabilles-toi vite! J'ai une terrible envie de toi !

Très excitée, je fais ce qu'elle me demande alors qu'elle-même a déjà retirée la moitié de ses vêtements. Elle reste en bas et porte-jarretelles. Ses seins sont magnifiques d'opulence et de fermeté à la fois. Elle me laisse les caresser un instant, alors que nos bouches et nos langues s'en donnent à coeur joie, puis elle m'allonge sur le divan et se met à genoux devant moi. Sa main droite prend ma chatte dont elle caresse les lèvres, puis soudain, elle y plonge son visage. Sous sa langue, je ne tarde pas à partir. Puis elle dit comme une folle :

- Oh c'est bon, c’est trop bon !

Moi je frétille de bonheur dans tous les sens. Je sens un doigt pénétrer mon petit trou. Jamais avec Karine je n'avais joui de cette manière. Le doigt imprégné de ma mouille me pénètre un peu plus, puis soudain, Fabienne le retire et me donne à sucer. Ma tête chavire, je dois avoir les yeux exorbités. C'est je ne sais quoi, le vertige, alors je murmure en râlant presque :

- C'est toi que je veux !

Alors Fabienne place un coussin sous ma nuque puis elle vient à califourchon sur mon visage. J'ai juste le temps d'apercevoir ses deux très jolies fesses bien rondes qu'elle écarte, mon nez se retrouve enfoui dans sa raie culière, je m'empare de la coquille toute juteuse, ma langue pénètre en un "floc" et commence de virevolter. Fabienne s'est redressée sur moi, elle se contente de me caresser la vulve en criant :

- Ho oui... Oui... Ma petite... Comme c'est bon... Comme tu le fais bien.

Je n'ai pas eu de mal à trouver le bouton que je me suis mise à flatter doucement de la pointe de ma langue. Dans le même temps, j’écarte d’avantage ce magnifique fessier pour que mon nez tente de pénétrer l’étoile. Je suis vraiment aux anges. Je mouille intensément. Fabienne dit avec douceur tout en se trémoussant sur mon visage :

- Tu es bien là ? Ce n’est pas trop fort ?

J'extrais juste un instant mes lèvres pour dire :

- C'est merveilleux, vous ne pouvez savoir combien c’est bon.

- Si je sais mon ange, mais pour toi, je ne trouve pas les mots, tu es si fraîche.

Je ne réponds pas mais presse seulement les fesses de mon aimée. Je me crispe de plaisir alors que ma bouche s'emplit soudain d'une petite coulée. Je gémis de désir, me crispant toute, remuant du bassin, sentant dans le même temps la bouche de Fabienne sur ma vulve. Il n'y a pas de mots pour décrire ma félicité. Une langue agile suce ma chatte que je sens toute coulante. Une sorte de jouissance latente me tient toute en permanence alors que mon visage est enfoui entre les fesses d'une si jolie femme, comme je l’ai tant rêvé. Mes râles emplissent la pièce. J'absorbe, non, je me délecte du fluide qui jaillit tout en caressant les magnifiques parties charnues, je les écarte encore plus, introduisant mon nez dans l’anneau qui fleure si bon et dans lequel je voudrais plonger toute entière. Elle se redresse enfin et son visage effleure le mien, puis elle prend mes lèvres nullement dégoûtées et nos langues se joignent encore, puis elle murmure:

- Toi au moins, on peut dire que t'aimes ça.

- Oui et tu ne peux savoir à quel point.

- Comment je peux te remercier ?

- Avec une vraie femme comme toi, je ne l’oublierais jamais tu sais.

- Beaucoup de femmes ici seraient heureuses de faire ce qu'on vient de faire. Moi j'ai jouis comme pas une. Maintenant, il faudrait qu'on retourne si tu veux bien.

- Oui mais pas avant ça...

C'est moi cette fois qui oblige ma chérie d’un soir, à se retourner en se plaçant à genoux sur le divan, la croupe bien en évidence. Je lui murmure à l'oreille :

- Laisse-moi encore t'admirer et goûter ton joli petit cul.

- Oh toi alors. Oui, aller, vas, mange bien ma rosette.

Fabienne arrondit du mieux qu'elle le peut toute sa croupe offerte j’enfonce mon visage, je pointe ma langue dans la bague qui s'ouvre. Je ne peux m'empêcher de me caresser tout en gémissant. Nous restons ainsi encore quelques trop courtes minutes. Nous nous sommes vêtues remis de l’ordre dans notre maquillage pour retourner dans la salle. En sortant elle me dit :

- Merci pour ce merveilleux moment.

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Nous sommes donc à nouveau en bonne compagnie, Fabienne reste un moment avec moi avant de rejoindre la piste de danse. Je vois Karine qui est tendrement enlacée dans les bras d’une jeune femme, elle me fait signe de m’approcher et me dit :

- Alors, c'était bon ?

- Délicieux !

Sur la piste et dans l'ensemble de la salle règne une ambiance aussi démesurée que possible. Beaucoup de femmes sont dépoitraillées. D'autres exhibent franchement leurs seins. Certaines se frottent à leur partenaire d'une manière éhontée, se malaxant réciproquement leurs fesses, leurs cuisses alors que des mains retroussent de courtes jupes ou mises à nu des postérieurs rebondis. Lorsque tante Françoise m’accoste :

- Ca va toi ?

Elle me pose cette question d’un air moqueur, il est indéniable que Fabienne lui a parlé de moi mais peu m'importe, je suis dans une excitation latente, ma gorge est nouée en permanence.

- Oui, oui je vais bien merci tante.

Je pense que ma petite aventure a déjà fait le tour de l’assistance, ça me fait frissonner. Je sens soudain la main de ma tante qui m'entraîne vers son canapé. Elle m’invite à m’asseoir et en fait autant à coté de moi.

- On continue au Champagne ? Me demande-t-elle les yeux chatoyants.

- Oui, il ne faut pas casser le rythme.

Nous sirotons notre verre, puis elle m’entraîne sur la piste. Je tremble de tous mes membres. La mère de Karine me presse dans ses bras, nous dansons et je me laisse guider, joue contre joue. Je sens ses baisers fous et ardents dans mon cou, elle me prend le menton entre le pouce et l’index, elle me regarde franchement dans les yeux.

- Alors ?

Son regard est interrogateur, je ne sais quoi dire, je suis trop émue Françoise le sait.

- Je te comprends, c'est tellement nouveau pour toi. Je crois que tu aimes bien cette ambiance n’es pas ?

- Oh oui tante.

- Et Fabienne, elle t’a plu ?

Je ne sais plus où me mettre tellement je suis rouge de confusion. Mais ma tante me serre plus fort dans ses bras et soudain je sens ses lèvres sur ma bouche, je m’abandonne à elle ainsi que tout le reste de mon corps. Elle poursuit:

- Tu n'as pas à avoir honte, je ne veux que ton bonheur, si tu veux vivre encore des moments de bonheur, alors laisses-toi aller.

Je ne peux m'empêcher de murmurer:

- Je t’aime tante, tu es tellement différente de maman, tu es ma reine, je donnerais n’importe quoi pour être la sœur de Karine !

- Je veux que tu sois libre. Libre comme l'air et..... Heureuse.

- Il faudra bien que je retourne chez moi.

Françoise paraît songeuse un court instant, puis elle fait:

- S’il te plait, tu oublies ta mère le temps que tu vas passer chez moi, d’accord !

Mes yeux sont baignés de larmes tellement je suis heureuse. Elle ajoute dans un souffle:

- C'est toi que je veux..... Oui !...... Oui mon ange !...

Elle passe ses doigts sur mes lèvres puis en enfourne deux dans ma bouche. Machinalement, je les suce.

- J'ai envie de ta petite bouche partout !

Ma tante semble tout aussi excitée que moi, le champagne, l’ambiance. Je réponds du tac au tac

- Partout où tu voudras...

Tout en dansant on s’approche de la porte du fond, je ne peux m'empêcher de palper son fessier tout en pensant que c’est quand même la sœur de ma maman. Je constate toutefois combien les deux mappemondes sont rondes sous la robe fine de satin. J'en bave d’envie. Nos bouches se joignent encore.
On longe le long couloir qui dessert quelques chambres et autres servitudes pour arriver dans une petite chambre d’amis décorée très coquettement. On s’embrasse, ma tante entreprend vite de me dénuder. Je me laisse faire bien évidemment puis à son tour elle se met nue également. Sous la faible lumière, je vois combien ce corps est merveilleux, j’en reste bouche bée. Des jambes longues, des hanches larges, des seins pas très gros enforme d’obus, à peine plus gros que les miens, impeccablement balancés, un corps intégralement bronzé. Le triangle noir parfaitement taillé sur une peau parfaite,

- Tu es sublime tante ! Vraiment, je…

- Arrête Sophie, je n’ai plus ton age. Me répond-elle.

J’ai une féroce envie de lui sauter dessus pour me régaler d’elle, mais je veux avant tout lui plaire, la séduire, ce n’est pas la même chose qu’avec Fabienne, c’est ma tante et je l’aime……..Presque d’amour. Ses seins s’écrasent sur ma poitrine tandis que ses mains se mettent à palper mes cuisses.


- Qu’est-ce, que t’es bien foutue Sophie, tu es plus douce que de la soie.

- Et toi, ta peau et ton odeur m’excitent !

Nos gestes deviennent plus osés, quand sa bouche englobe mes tétons, les croquent et les aspirent.

- Tu me laisses m’occuper de toi ? Me demanda t-elle

Nous investissons le grand lit. Elle m’allonge sur l’édredon douillet, écarte mes cuisses, offrant mon minou, elle ne tarde pas à l’assiéger.

- Hum… Quelle douceur…
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La langue de Françoise me lèche avec gourmandise, ce qui me fait gémir assez fort. Ce traitement de choix se poursuit durant une bonne dizaine de minutes avant que je perds patience, exténuée, je manifeste l’envie de goûter à mon tour à ce fruit tant désiré. Je m’approche avec hésitation et commence à lui caresser la chatte avant d’aller plus loin. La touffe bien taillée lui recouvre le pubis jusqu’à l’oeillet et cache à peine les grandes lèvres très charnues. Ma tante ferme les yeux, j’approche mon visage. La forte odeur qui s’échappe provenant de la danse et de la chaleur, m’attire encore plus. Ma langue effleure le clitoris j’écarte ses grandes lèvres de deux doigts, pour enfouir carrément ma langue dans la caverne. Tante sursaute en se prenant vite au jeu et cette odeur âpre qui se renforce de plus en plus finit rapidement par m’exciter terriblement, le jus est aussi généreux que les senteurs ! Je continue de m’en délecter et m’applique à bien faire, je ne veux surtout pas la décevoir.

Tante, s’il te plait, mets-toi à quatre pattes.

Sans la moindre contrariété, Françoise se plie à mon désir et m’offre sa magnifique croupe. Je coince rapidement mon visage entre ses fesses, ma langue se remet à l’ouvrage. Cette fois-ci, ma tante se laisse aller complètement au plaisir. Tout à l’heure, elle avait bien essayé de se contenir un peu, mais là, les complaintes qu’elle laisse échapper ne font plus aucun doute. Je lui saisis les miches, remonte ma langue sur sa rosette. Tante n’objecte pas, pas avant qu’elle ne sente que j’entre un doigt dans son derrière.

- Heu…. Sophie,

- Qu’y a-t-il ma douce, ce n’est pas bien ce que je te fais ?

- Oh si ! Mais…

- Alors laisse-toi faire !

- Oui !

À peine a-t-elle accepté que je lui rentre directement ma langue dans la rosette et deux doigts dans la chatte l’envoient au septième ciel. Ma tante est déchaînée et ce ne sont pas moins de deux orgasmes successifs qu’elle subit et le troisième va être phénoménal.

- Oh que c’est bon ! Vas-y, continue, continue, continue… Ouiiiii !
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Sa jouissance est terrible, mais à peine ses vocalises se sont tues, qu’un son étrange siffle à mes oreilles en accord parfait avec une giclée je prends en pleine figure et d’un torrent qui se déverse sur son corps et sur le lit !

- Mais qu’est-ce que tu mouilles tante !

- Oh pardon Sylvie ! Je ne pensais pas que ça arriverait. C’est que tu m’as tellement fait jouir……..C’était sublime !

- C’est que je ne m’y attendais pas. Mais c’est très impressionnant !

On s’est étendu sur le lit, ma tante me complimente :

- Eh bien dis donc, si on m’avait dit ça de toi.

- Je te surprends à ce point, je pense que je suis comme Karine, j’aime seulement les fesses beaucoup plus qu’elle.

- Hum, je suis sûre qu’on va bien s’amuser toutes les deux… Me lance t-elle en me caressant.

Je l’embrasse, et approche ma bouche de son oreille.

- Tante, je crois que j’ai envie de faire pipi, je reviens dans deux minutes.

- Je te suis dans la salle de bain, tu vas adorer !

Ma tante me prend par la main, m’entraîne énergiquement dans la grande cabine de douche

- Tu vas voir comme c’est bon !

Au comble de l’excitation j’obéis avec un plaisir non dissimulé, mais je me demande quand même où elle veut en venir.

- Tu vas faire ton pipi sans t’occuper de moi. Vas-y, laisse-toi aller, ne te retiens pas…

- Oh je n’ose pas tante !

- Vas-y, mon petit chou, vas !

Elle met sa main sur mon bas-ventre et exerce une pression pour m’aider à me soulager.

- Oh tante, je me sens partir, je peux plus me retenir…

Françoise me saisit fermement et me plaque contre la paroi, elle se colle littéralement contre moi pour ressentir le long jet de liquide chaud qui s’écoule de mon intimité et qui inonde nos cuisses. Sans même toucher nos sexes, nous jouissons, je réalise que je viens encore d’avoir une nouvelle expérience, quelle soirée !
Délicatement, on se laisse choir en se donnant un baiser qui va transformer cette aventure en union de rêve pour toutes les deux.
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- Je suis contente d’être amoureuse de toi.

Ma tante à cet instant est plus qu’aux anges. Elle m’embrasse tendrement et fait couler la douche, une douche bien réconfortante.

 

 

FIN

Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : L'amour en famille
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Lundi 8 décembre 1 08 /12 /Déc 17:47

 

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Par amoursanstabou - Publié dans : photos - Communauté : L'amour en famille
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Lundi 8 décembre 1 08 /12 /Déc 17:40

3226Une famille recomposée

 

Jeanne et Albert sont un couple reconstruit, elle a quarante ans, grande, mince et brune, la poitrine menue mais une bonne paire de fesses. Elle est toujours une belle femme malgré les années, son teint mat et ses cheveux noirs font retourner plus d’un homme dans la rue. Jeanne est fonctionnaire dans une petite ville du sud ouest de la France. Divorcée trois après son mariage et deux après la naissance de son fils Bernard, elle donne tout à son fils qui a maintenant seize ans. D’un tempérament fort et personnalisé, elle n’a jamais eu d’aventure avec un homme depuis sa séparation. Bernard poursuit ses études au lycée, garçon très brillant et très discret, il n’aime qu’une chose : sa mère, on lui connaît aucune aventure, aucun flirt, à la sortie du lycée, il file directement chez lui.

Albert est veuf, sa femme est décédée suite à un cancer du sein laissant  Albert et sa fille Sylvie dans un désarroi complet. Brun, de taille moyenne, quarante trois ans, il est cadre dans une banque, autoritaire au travail mais doux comme un agneau à la maison. Ce pauvre homme ne sait jamais comment faire pour rendre sa fille la plus heureuse. Sylvie a seize ans mais en parait trois de moins, brune comme son père, légèrement boulotte, ce qui la complexe un peu, pensant que les autres élèves du lycée sont beaucoup mieux. Albert consacre toute sa vie pour le bonheur de sa fille.

Jeanne a avec son fils une relation d’une grande complicité que peu de gens peuvent comprendre. Cela a commencé un peu plus de deux ans après son divorce, il s’est installé le plus naturellement du monde une relation de plaisir partagé sans fausse pudeur.
Jeanne a gardé contact avec son cercle d’amis mais repousse de plus en plus les chances de les voir.
Cette vie a évolué sans ressentir la moindre honte ou gène, en grandissant, Bernard se transforme et mûri, ce qui ne modifie pas les habitudes prises au cours des années. Les parties de chatouilles et de câlins sont toujours constantes le soir sur le canapé devant la télé.
Bernard n’a pas de petite amie, il trouve sa mère beaucoup plus intéressante que ses copines du lycée et surtout beaucoup plus belle !

Ces changements dans la vie intime de chacun d’eux se manifestent progressivement à la maison. Jeanne prend un plaisir trouble à porter des jupes plus courtes, à négliger de fermer totalement ses robes pour laisser voir comme par accident un bout de chair ou de dentelle de ses dessous. Bernard lui, traîne le plus souvent à la maison dans des bermudas amples qu’il porte sans slip. Il aime rester torse nu ou en débardeur.

Jeanne ne dit pas grand-chose quand son fils passe sa main entre ses cuisses en chahutant, elle le repousse gentiment, mais il faut dire… De plus en plus mollement

- Maman…tu sais…. Je te trouve si belle…Si belle.

Et en disant cela il saisit sa sensuelle Maman par les hanches en la repoussant au fond du canapé. Beaucoup plus troublée qu’elle ne voudrait se l’avouer, Jeanne se laisse aller, incapable de résister.

Se rapprochant l'un de l'autre sur le canapé, Jeanne et Bernard s'embrassent d'abord timidement, puis avec de plus en plus de passion, se titillant la langue. Les mains ne restent pas inactives, rapidement, la jupe de plus en plus remontée, les quatre mains partent à la conquête de terrains de jeux interdits mais délicieux.


Lorsque Bernard vient se frotter contre sa mère, celle-ci sent le sexe qui durcit, elle savoure au contraire l’hommage de son fils devenu homme.

C’est Jeanne qui un soir osa le premier geste. Elle fut prise d’une pulsion plus forte que d’habitude, elle porta sa main sur la tige raide et chaude à travers le caleçon.
Le regard embué de reconnaissance que lui adresse son fils l’amène à caresser son front puis le parsemer de petits baisers en lui disant des mots tendres.

A chaque soirée ils vont un peu plus loin dans les gestes, un soir la main de Jeanne passe sous le vêtement pour s’emparer directement de la verge bandée. Elle touche la tige de chair durcie par ses caresses en glissant doucement sous les testicules pour aller entre les fesses s’attarder sur l’anus, puis ressaisir la verge qu’elle masturbe lentement, Jeanne demande alors :

- Tu es heureux mon petit homme ?

Bernard lui chuchote à l’oreille comme si quelqu’un écoutait :

- Tu ne peux savoir combien je suis heureux, je t’aime très fort.

Elle voudrait lui dire que ce n’est pas courant, que ce n’est pas normal avec sa mère, mais elle n’ose pas elle fixe sa main qui doucement branle le jeune sexe en érection.
Une douce chaleur part de son ventre et parcoure tout son corps, elle prend Bernard par l’épaule, qui laisse sa tête aller contre la douceur maternelle et ferme les yeux. Entre les cuisses ouvertes, la main de Jeanne va plus vite le long de la hampe, elle ne prête pas attention a la tête de son fils qui glisse pour se poser sur son sein, elle fixe du regard les mouvements répétés et de plus en plus précis de la main, elle admire le gland qui se découvre.
De sa main elle enserre plus fermement l’épaule de son fils dont la tête appuie fermement sur son sein. Déjà ses genoux battent l’air, ses muscles se tendent. Elle sent le souffle de son fils qui s’arrête, sa main glisse doucement vers l’arrière et reviens comme au ralenti, alors Bernard grogne un spasme qui le déchire, son sperme gicle et macule la cuisse de sa maman, un autre spasme propulse un autre jet dans le vide, puis un troisième vient sur son autre cuisse.

C’est venu tout naturellement sans honte, Jeanne étend pensivement le sperme sur elle en s’octroyant une petite caresse. Ils ont la tête qui tourne un peu, elle a peur d’avoir fait une folie mais le sentiment de plaisir l’emporte. Ils vont rapidement se coucher ensuite Jeanne, dans sa chambre exécute sa masturbation quotidienne, elle a un orgasme d’une intensité qu’elle n’a pas connue depuis longtemps.
Bernard vient de connaître sa première éjaculation, une vraie jouissance d’amour, c’est autre chose des baisouillages que font à la sauvette ses camarades du bahut.

 

 

 30

 



Les jours qui suivent augmentent les tentations partagées, ils vont de plus en plus loin machinalement. Jeanne ne résiste plus, sa bouche s’ouvre pour accueillir la tige. Bernard se cambre, s’offrant totalement à la bouche qui l’engloutit pour son plus grand plaisir. Elle va et vient avec beaucoup de savoir faire et de tendresse le long de la verge, elle la goutte, la déguste son autre main à la base s’amuse avec les testicules. Bernard ne peut s’empêcher de geindre et de donner de petits coups de reins. Jeanne savoure ce membre vivant dans sa bouche, avec son fils son plaisir atteint des sommets les plus vertigineux. Elle a envie de porter sa main entre ses cuisses mais n’ose pas, pas encore. Il se raidit, gros, tendu mais elle est prête et le jet lui frappe le palais. Elle déglutit amoureusement savourant les saveurs délicieuses de son tendre rejeton.


C’est depuis ce jour que leurs relations prirent un nouveau tournant dans le secret de leur intimité. Jeanne est devenue l’initiatrice de son fils, lui faisant découvrir les milles chemins du plaisir dans un épanouissement réciproque.


La tête posée sur l’épaule de son Bernard, elle colle passionnément sa bouche sur celle de son fils, puis elle pousse affectueusement son visage vers son ventre en lui disant doucement :

- Embrasse ta maman ici avec ta langue, suce-la bien mon bébé.

Pour la première fois Bernard découvre la vraie femme.
L’accès à la longue fente ruisselante est ouvert, terriblement ému, le désir augmente à très grande vitesse. Les murmures incompréhensibles font comprendre à Bernard de continuer, il avance sa bouche vers l’entrée mystérieuse, le visage s’incruste entre les cuisses charnues. Plongé dans les chairs écarlates, Bernard enfonce sa langue dans la cavité léchant avec gourmandise les parois gorgées de suc. Immédiatement Jeanne se cambre sur le canapé en agitant son bassin. Les cuisses refermées autour du visage, Bernard broute maladroitement la chatte, Jeanne s’abandonne sans pudeur au cunnilingus.

Jeanne lui a bien appris à frôler la crête finement ourlée de sa chatte, de se servir de ses doigts et de sa bouche avec adresse et délicatesse, ci bien que Bernard masturbe sa mère aussi bien qu’elle ne pourrait le faire elle même. Elle lui a bien enseigné à administrer une feuille de rose d’une infime douceur, attaquer de la langue le clitoris bandé au cœur de sa bouche baignant de salive. Elle lui a bien expliqué comment faire vibrer son corps sans interruption jusqu’à la délivrance de l’orgasme.


Albert a avec Sylvie une relation que tous les deux veulent garder dans le secret. Le départ de la mère de Sylvie a été très brutal, elle a beucoup de mal à se remettre dans la vie normale, comme les filles de son age. Albert consacre beaucoup de temps et de tendresse pour lui maintenir le moral. En reconnaissance, Sylvie accorde une grande importance à son père, surtout depuis qu’elle est réglée.

Aussi Albert n’est plus insensible à sa fille, son regard s’attarde sur ses cuisses, sa poitrine quand Sylvie lui dit bonne nuit en sortant de la salle de bain dans sa petite chemise de nuit.
Sylvie aime bien les compliments que lui fait son père quand elle traîne dans le salon, ou quand elle s’assoit dans le canapé à ses cotés. Bien souvent elle est triste et inconsolable invoquant la disparition de sa maman. Albert aussi peiné que sa fille la prend dans ses bras pour la réconforter en lui caressant les cheveux et lui donnant de petits baisers.
C’est ainsi que Sylvie s’apaise contre le torse chaud de son père. Ils se sentent bien tous les deux dans ces moments éprouvants, Sylvie adore passer sa main dans la douce toison de la poitrine de son papa, les petits bisous de plus en plus appuyés de son père la rassure énormément. Albert aime la dorloter, lui dire qu’elle est belle, qu’elle aura un jour un beau prince charmant. Il la traite de plus en plus comme une petite femme et plus les jours défilent et plus les caresses deviennent précises, comme si l’un et l’autre recherchaient ce qui leur manque en émotion.

Les cuisses nues de Sylvie contre celle de son père activent les sensations charnelles de part et d’autre, une érection gonfle rapidement le slip d’Albert, Sylvie sent bien cette bosse dure et chaude contre sa cuisse, à chaque fois elle se retrouve malgré elle avec sa culotte mouillée. Les petits bisous deviennent plus assidus quand leurs lèvres se rejoignent dans un baiser timide et langoureux pour finir dans un soupir de reconnaissance.

Les choses avancent lentement mais sûrement, leurs vêtements deviennent de plus en plus légers jusqu’au jour où ils se retrouvent nus tous les deux. Les caresses évoluent vers des étreintes très chaudes pour aboutir aux milles chemins du plaisir. Curieusement, chez les filles, les choses viennent naturellement,

- Tu es encore tout excité mon petit papa…

Elle laissa sa phrase en suspens et frotta effrontément sa jeune poitrine sur les épaules paternelles. Albert a du mal à avaler sa salive. Mais en fait, Sylvie ne semble pas perturbée à cette découverte. Elle parait même amusée par la situation. La jeune fille continue ses suppositions.

- J'aimerais bien savoir ce qu’aurait fait maman si elle était là avec toi.

Il le sait cette situation est un aphrodisiaque parfais, les caresses des seins de sa fille contre son corps n'arrangent rien. Sylvie insiste en se moquant un peu :

- Et depuis que maman est partie, je dois la remplacer dans ses tâches, toutes ses tâches...

Elle chatouilla gentiment l'épaule de son père puis elle posa sa main sur sa cuisse, puis remonte doucement vers le haut de la cuisse. Les muscles de la cuisse d’Albert frémissent sous la tendre caresse.
La main de la jeune fille continue à monter sur sa cuisse et parvint sur l’érection frémissante. Doucement, Albert tente bien d’enlever la main tremblante de sa fille, mais c’est plus fort que lui, il laisse poursuivre.

Les doigts remontèrent sur la cuisse et s'arrêtèrent à proximité du membre tendu pointant son gland humide.
Il s’abandonne dans le canapé, l'esprit vaincu, incapable de résister à l'appel de ses sens. Les mains de sa fille le palpent doucement. Elle coiffe la tête frémissante de la verge. Albert sursaute et tout son corps se met à frémir. De l’autre main elle lui presse doucement les couilles puis remonta sur toute la longueur de la tige paternelle en s'amusant à dessiner les contours vibrants de l'engin.
Sylvie prend toujours beaucoup de plaisir à promener ses mains sur le corps de son papa. Il se laisse faire, chacun des ses muscles se lâche, les mains fragiles glissent sur les chairs puis s’en emplit. Albert se contracte puis se tend au plaisir que lui donne sa fille. Enfin les lèvres prennent la relève, aspirent la chair tendre dans les poils serrés qui décorent le bas ventre. La respiration se fait plus rapide, un frisson parcourt Albert qui lance un cri rauque en vibrant de tous ses membres. Sylvie se jette sur son père, heureuse du bonheur qu’elle lui a donné.

 119



Un jour Jeanne a eu besoin d’un petit crédit pour acheter une automobile, c’est lors de cette démarche qu’elle a rencontré Albert. Seuls tous les deux avec leur progéniture, ils ont appris à se connaître. Leur amitié se transforme en une sorte d’amour qui grandi chaque jour. Ils ne se font pas de confidences sur la façon dont ils élèvent leurs enfants, seulement quelques phrases très équivoques. Malgré cette petite pointe de fourberie, ils découvrent ce qu’il se passe chez l’autre.
Ils se voient une ou deux heures chaque soir après le travail, systématiquement la conversation est dirigée vers les enfants.
Ils n’ont jamais fait l’amour ensemble, même pas des caresses poussées, c’est seulement leur vie de famille qui semble se calquée et qui permet d’entretenir cet amour rare et virtuel.

Sylvie et Bernard sont dans le même lycée, donc ils se connaissent sans plus, ils savent que leurs parents ont une relation, mais ils ignorent de qui il s’agit.

Le jour des présentations aux enfants est enfin venu. Nous sommes un après midi d’un dimanche très ensoleillé du mois de juin. Lorsque la sonnerie de la porte retentit chez Jeanne, elle dit simplement :

- Ah je crois que les voilà.


- C’est la surprise répond Bernard.


- Oui mon bébé, enfin j’espère que tout se passera bien.


- Ne t’en fait pas maman je suis là et je t’aime.

Jeanne a revêtue une jolie robe légère qui descend juste au dessus des genoux, très décolletée sur sa petite poitrine nue, mettant en évidence sa chute de reins.
Elle ouvre la porte, Albert est là avec Sylvie qu’il tient par le cou.

- Bonjour ma chére, dit Albert en tendant son bouquet de roses.


- Entrez dit Jeanne en embrassant Albert et Sylvie, ne restez pas là.

Albert n'a pas non plus trouvé utile de s'habiller avec recherche, il a mis un short ample et une chemisette blanche largement ouverte. Sylvie est vêtue d’une jupette assez courte et un débardeur qui la moule admirablement en mettant bien en évidence ses tétons. Elle a accentué son air de petite fille par deux couettes attachées par des rubans décorés de figurines.
En arrivant dans le salon ou Bernard attend les nouvelles connaissances.

- Voilà, je vous présente Bernard mon grand bébé.


- Ho salut Sylvie ! Puis s’adressant à Albert : Euh bonjour monsieur.

Bernard en bermuda fait une bise à Sylvie comme à une camarade et sert la main de son père.

- Pas de chichi entre nous, appelle moi Albert.


- Alors bonjour Albert, puis il s’adresse à Sylvie : Drôle de surprise pas vrai ?


- Je trouve que c’est génial. Répond Sylvie.

Albert prend place dans le canapé, Sylvie à ses cotés. On aurait pu croire à les voir, à un papa affectueux qui raconte des histoires à sa fille.
Les compliments pleuvent, les liens se resserrent. Les parents ne tarissent pas de louanges pour leur progéniture, chacun veut démontrer à l’autre que tout ce qu’il a dit au cours des mois est vrai. Pendant ce temps, les enfants s’extasient sur l’abondance des compliments ainsi que les confidences plus ou moins intimes à leurs égards. Plus les parents débitent leurs commentaires et plus Sylvie et Bernard apprennent à se connaître, c’est comme si ils étaient frère et sœur, l’abondance des mots de leurs parents les met en confiance et leur font découvrir beaucoup de petits secrets communs.

 

 

 

 

 



Albert est assit à coté de sa fille dans le canapé, il lui fait des petits baisers dans le cou. Jeanne est en face dans le fauteuil, la robe largement relevée sur les cuisses et les jambes légèrement écartées. Bernard est assis sur l’accoudoir le bras reposant sur l’épaule de sa maman.

Les heures s’écoulent sans s’en rendre compte, il fait chaud, l’atmosphère devient très détendue et brûlante.
Albert a posé négligeament son pied nu sur la table basse qui les sépare.
Jeanne a placé également un pied, sur le bord de son fauteuil, le talon en butée sur sa fesse. C’est ainsi que les deux invités peuvent contempler la culotte blanche d’où sortent quelques poils noirs. La réaction est immédiate, Sylvie imite Jeanne en repliant sa jambe sur le canapé, le pied droit sous la cuisse gauche, sa petite culotte est tendue sur son abricot, elle pose sa main sur la cuisse de son père, heureuse de montrer que c’est son tendre et cher. Albert écarte les jambes pour laisser de l’aisance à son sexe qui commence à prendre de l’ampleur.

Bernard est ravi de voir ainsi sa camarade si câline avec son père, elle qui paraissait si pudique au lycée, il respire l’odeur de sa maman qu’il aime tant. Sa main descend lentement dans l’échancrure de la robe, la chaleur, l’odeur de sa maman et la vision de Sylvie avec son papa. Il bande comme un vrai homme.

Jeanne complimente :

- Comme ça fait plaisir de voir un père et sa fille s’entendre aussi bien !


- Ben vous savez Jeanne, c’est normal, papa est tellement gentil.


- Oh ça je sais bien que ton papa est gentil ma puce, mais s’il te plait, cesses de

me dire vous !


- Vous êtes très beaux comme ça tous les deux dit Albert.


- Vous aussi vous êtes très beaux… Comme c’est bien de vous voir aussi unis que nous et aussi près de nous.

Sylvie pour toute réponse se serra un peu plus contre son papa comme pour approuver les dires de Jeanne. Elle fait passer sa petite main par la jambière du short de son père. L’organe tend le tissu mais cela n’empêche pas le cheminement de la mutine.

Déjà les uns et les autres laissent échapper des soupirs de satisfaction, se souriant, les yeux brillants du plaisir qu’ils ressentent à être ensemble dans ce cocon douillet. Tous les quatre ont enfin la possibilité de dévoiler leurs petits secrets à ces nouveaux et discrets amis très particuliers.

Bernard tourne son visage vers sa mère et vient gentiment lui mordiller les lèvres. Puis leurs bouches s’unissent dans un baiser des plus langoureux, pendant que sa main caresse tendrement le sein de sa maman sous la robe. Nullement surpris Albert et Sylvie observent cette scène si tendre, qu’ils s’étreignent fortement comme par contamination. Albert, à son tour picore le visage de sa fille, ses doigts s’infiltrent à l’intérieur des cuisses moites de Sylvie, il joue avec la légère toison brune. Sylvie écarte les cuisses pour appeler d’autres caresses plus osées et surtout pour montrer à ses complices à quel point elle est liée avec son papa.

Jeanne souffle à son fils :

- Caresse Maman… Là… Doucement comme je t’ai appris mon chéri…

Bernard descend sa main lentement à l’intérieur des cuisses de sa mère en fixant Sylvie, il adore sentir sous sa paume la chair veloutée qui frémi juste avant le contact avec les poils pubiens. Sous la caresse aguichante, Jeanne se laisse aller dans le fauteuil en s’ouvrant d’avantage.

En face d’eux, Sylvie et son papa les considèrent, à la recherche d’un signe, d’une expression. Ils ne parlent plus, tous les deux excités par ce spectacle. Dans un geste sensuel, Sylvie ouvre la braguette du short pour soulager la verge tendue. Elle entame une masturbation en fixant les deux autres amoureux.
Albert suit la main de Bernard qui caresse la chatte de sa mère, la robe remontée jusque sur la poitrine. Les doigts minces du jeune garçon se faufilent sous la culotte entre les poils drus pour enfin disparaître entre les lèvres humides et charnues de sa maman.

Sylvie caresse son papa de plus belle, pendant qu’il flatte la jeune poitrine en jouant avec les tétons sous le débardeur. Sylvie est très émue ci bien qu’une tache d’humidité sur sa petite culotte dénonce son trouble. Jeanne a sorti les bretelles de sa robe pour permettre à Bernard de s’occuper de ses seins. Habitué aux désirs maternels, c’est avec la bouche et la langue que son fils s’exécute. Jeanne lui empoigne les cheveux et pousse sur sa tête pour le diriger au grès de ses envies.

- Mon chéri… Montre à Albert et à Sylvie combien tu aimes ta maman… Va plus bas mon bébé… Embrasse ta Maman en bas…

Bernard se glisse sur le tapis entre les jambes de sa maman et se laisse guider là ou elle attend son bonheur. Bernard pousse un gémissement d’aise en sentant les effluves acres de sa mère qui lui montent aux narines. Déjà sa bouche se perd dans l’abondante toison brune et luisante de moiteur.

Albert et Sylvie paraissent subjugués par cette scène si forte. Blottie dans les bras de son papa elle le caresse avec beaucoup de grâce malgré l’émotion qui semble la gagner et lui assécher la gorge. Son père se laisse aller au plaisir en passant sa main tendrement dans les cheveux de sa fille. Albert se rend compte soudain que Jeanne est une belle femme attirante, que son corps est appétissant, ses seins menus sont gracieux, son cul de femme épanouie et sa toison bien fournie.
L’hommage que lui rend son jeune fils affectueux est très excitant. Il est de plus en plus raide par les câlineries de sa fille. Cette vision l’excite comme jamais, Sylvie sent bien la chaleur montée dans le corps de son père, elle le couvre de baisers, elle ouvre la chemisette pour frotter son visage dans la douce toison qui garni le torse.

- Papa c’est bien qu’on soit là avec Bernard et Jeanne !


- Oui ma chérie. Oui, on est bien là… Toi et moi…

Sylvie sait comment fonctionne son père, elle s'est mise en devoir de montrer qu'elle a bien apprise les leçons prodiguées par son papa. Elle masse les couilles, la verge, puis la bouche de l’amoureuse arrive très vite sur le gland baveux.

Tous les quatre sont pris dans une tourmente où les deux adultes prennent un plaisir gigantesque fourni par leur enfant ainsi que la scène produite en face d’eux. Les gémissements propagent une atmosphère de douce perversion qui fait battre les cœurs à cent à l’heure. Jeanne et Albert se regardent intensément, il est prêt de cracher sa semence dans la bouche si délicieuse de sa fille et par cette maman qu’il trouve si belle, qui se trémousse sous la bouche de son garçon.
Albert se retient du mieux qu’il peut, il dégage sa petite Sylvie, la prend dans ses bras pour l’embrasser fougueusement et finissant de se débarrasser de son short ainsi que les trois vêtements de Sylvie. Ils sont maintenant nus tous les deux, enlacés, s’embrassant à pleine bouche.
Jeanne frétille dans son fauteuil sous les coups de langue de Bernard, ses complices la stimulent au maximum, elle ne sait si elle doit continuer à se laisser aller au bonheur complet. Pour couper court elle se manifeste :

- Albert, comme c’est beau de vous voir tous les deux à vous aimer. Comme vous vous aimez et comme vous m’excitez.

- Vous aussi vous êtes beaux comme ça …. Jeanne, tu es très belle…. Viens… Viens avec Bernard….Vient près de nous !

Elle ne souhaite que ça, elle pousse gentiment son fils en lui disant :

- Mon chéri, vient, on va dans le canapé, on sera mieux.

La mère et le fils rejoignent Albert et Sylvie, en chemin la robe de Jeanne tombe à terre la laissant avec sa petite culotte, elle s’assoit à coté d’Albert, ils se précipitent dans les bras l’un de l’autre et pour la première fois leurs bouches se soudent dans un long baiser sous les yeux de leurs enfants enchantés. Albert en profite pour sortir l’ultime sous vêtement de Jeanne aidée par Sylvie qui l’envoie sur le fauteuil. Aussitôt Sylvie s’installe à genoux sur le tapis entre les jambes de son papa pour reprendre sa caresse sur le membre. Bernard comme un robot se place de la même façon à coté de Sylvie et replonge entre les cuisses de sa maman. Les deux ados sont branchés sur leurs parents toujours bouche à bouche.


Après quelques instants, Bernard dégage son visage pour voir et maintenir la température, il regarde sa copine sucer ce sexe qui lui parait énorme. La salive coule le long de la hampe, la rendant luisante. Bernard a posé sa joue sur la cuisse de sa mère pour mieux apprécier, il est fasciné par le spectacle qu’il contemple, il caresse le dos de la suceuse avec grâce.

- C’est génial comme tu fais Sylvie ! Tu es très belle comme ça ! Dit Bernard d’une voix rauque et haletante.

Sylvie interrompt sa fellation et répond :

- Si tu savais comme c’est bon Bernard !


- Tu es elle, très belle Sylvie. Répète Bernard en chuchotant.

Il approche légèrement son visage de celui de Sylvie pour lui donner un baiser sur la joue. Mais Sylvie détourne son visage pour lui présenter ses lèvres, le baiser est inattendu et surprenant, bien que ces jeunes soupirants soient habitués à embrasser leur parent, pour eux c’est nouveau et plus frais. Sous le regard admiratif des parents, Le baiser est assez court. Sylvie et Bernard se regardent comme si ils découvrent un trésor et pour reprendre le sujet en cours elle dit subtilement à Bernard :

- Embrasses la toi aussi Bernard... Goûte-la ! Tu verras comme c’est bon.

Très étonné par cette proposition et quelques fractions de secondes suffisent à Bernard pour prendre une décision, il est très excité par ce baiser et la folle ambiance, il ne veut décevoir personnes, il se penche sur la virilité que lui présente Sylvie, un peu hésitant, il lape le gland brillant, il aime tout de suite. Il le suce comme il a vu faire Sylvie, il le sort pour l’examiner et le reprendre dans sa bouche. Sylvie lui caresse sa nuque, le dos et le bas des reins, heureuse de voir son copain s’occuper de cette façon de son papa.

Albert et Jeanne sont aux anges, ils ne réagissent pas d’emblée pendant leur baiser, Jeanne a bien senti l’absence de son fiston entre ses cuisses, elle l’a remplacé par ses doigts pour une douce masturbation, elle est sur le point de prendre son pied.
C’est Albert qui réagit le premier car il sent la pression des têtes des deux gamins sur ses cuisses. Sylvie lèche les couilles de son père pendant que Bernard avale le gland. Les deux adultes cessent leur patin, Jeanne voyant le jeu des deux jouvenceaux, se caresse de plus belle en gémissant.
Albert s’agite affolé par le plaisir que lui donnent les deux ados. L’excitation est si forte que cette fois il ne peut se retenir. Sa queue sort de la bouche du gamin et de longs jets blanchâtres sortent par saccades venant asperger les visages des deux lycéens.

La verge encore agitée de petits soubresauts quand les deux suceurs passent leur langue mutuellement sur leur visage pour enlever le sperme. Puis ils s’embrassent à leur tour à pleine bouche. Les deux parents à peine remis de leurs émotions regardent ce joli tableau formé par leurs progénitures, en leur susurrant des mots doux et les caressant le plus passionnément.

 

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Ce tableau vivant n’aurait jamais existé si les parents n’avaient pas parlé pendant plusieurs heures de leurs gamins. Durant ces instants, Sylvie et Bernard se connaissent mieux que si ils avaient passé leur jeunesse ensemble. Leurs passions dévoilées par les parents ont agit considérablement sur leur libido. Toute timidité, toute pudeur a soudainement disparues de nos quatre protagonistes,  grâce à ce dialogue, tous les quatre ont appris à dévoiler leur entière intimité.

Jeanne et Albert se perçoivent différemment. Leur vie a complètement changé depuis ce dernier dimanche, ils ont envie l’un de l’autre, alors qu’avant il n’y en avait que pour leurs enfants. Ils ont trouvés un moyen pour se rencontrer très rapidement sans les enfants. Ils se sont donné rendez-vous dans un restaurant de bonne table le mardi à midi. La conversation traîne un peu sur le sujet mais la bonne humeur est présente. Le repas se déroule à merveille. La cuisine est excellente et les deux amants passent un merveilleux moment. Le temps presse pour Jeanne et Albert qui se sentent attirer de plus en plus. Les jambes se touchent, se frôlent. Albert propose de prendre le café à son domicile, Jeanne n’a pas le temps de répondre que déjà les lèvres d’Albert se posent délicatement sur les siennes. Ils vont à l’automobile et échangent encore un long baiser. Jeanne s’abandonne totalement entre les bras d’Albert qui la serrent avec amour.

Juste arrivés à la maison d’Albert, ils s’étreignent, les mains courent de part et d’autre sur les corps, Albert masse les fesses avec tendresse puis les seins qu’il flatte tendrement. A son tour, Jeanne caresse le torse d’Albert et descend lentement vers son bas-ventre. Lorsque leurs lèvres se séparent, ils restent enlacés quelques instants. Jeanne s’éloigne un peu d’Albert pour lui dire assez directement :


- On se déshabille ? dit-elle. Qui commence ?


- Heu…… Albert avale sa salive...… Et si on se déshabillait mutuellement ?


Jeanne réfléchit un instant, puis sourit d’un air entendu :


- D’accord ! Mais je sens que je vais libérer un serpent bien malheureux dans sa prison de tissus…


- Je n’y peux rien… C’est grave ?


Ils enlèvent les vêtements un à un, tour à tour, dévoilant les corps petit à petit. Ils ne sont pas sur des terres inconnues. Leurs regards ne se quittent pas. Jeanne respire profondément, sa poitrine s’élève au rythme rapide de son souffle, parcouru par moment de tressaillements incontrôlés. Albert recule tel un sculpteur découvrant son oeuvre, il la contemple en étouffant sa joie. Jeanne prend alors ses petits seins à pleines mains puis les malaxe d’un seul geste, pour les libérer de la pression qui s’était trop longuement exercée sur eux.

Jeanne demande brusquement :
- Et maintenant ?


- Maintenant ?....……On va bien s’aimer !


Répond Albert en la poussant dans la chambre juste à coté et la faire tomber gentiment sur le lit. Jeanne frissonne de plus belle, elle arque les reins, lorsqu’elle sent la pointe de la langue envelopper son mamelon, elle lâche un soupir. Pendant de longues minutes, des mains, des doigts, des lèvres, de la langue et même des dents, Albert rend un hommage vibrant à cette poitrine longtemps désirée. Le corps de Jeanne ploie sous le plaisir trop neuf et trop fort. Ses lèvres gonflées entrouvertes sur un souffle profond, yeux mi-clos dont la lumière assombrie par la fermeture des stores, filtre entre les paupières bistrées, poitrine impudiquement tendue vers le ciel et soulevée par les soupirs de plaisir. Sa taille se creuse par un imperceptible ballet des hanches, jambes nonchalamment repliées et légèrement écartées sur une toison brune, épaisse et palpitante. Jeanne est un irrésistible appel aux sens, le plus puissant des aphrodisiaques. C’est d’une voix grave et basse qu’Albert murmure :


- Mon Dieu, ce que tu es belle.


Jamais il n’a désiré une femme comme il désire Jeanne en cet instant. Tout son corps se tend vers elle, il a soif de sa peau, de ses odeurs, soif de la toucher, de la caresser, de s’enfoncer en elle. Et, en même temps, malgré l’urgence de son désir, il souhaite étirer ce moment jusqu’à l’éternité. Réfrénant son désir de la posséder là tout de suite, désir qui devient douloureux à force de se brider. Ces deux êtres ont l’habitude de prendre du plaisir avec leurs enfants, maintenant il faut passer une étape supérieure.


Albert pose d’abord sa bouche sur celles de Jeanne, il la respire longuement, caresse les lèvres renflées de la pointe de la langue. Instinctivement, Jeanne s’arque, vient à sa rencontre, ouvre ses lèvres et mêle sa langue à celle de son amoureux. Tous les feux se rallument, sa peau réclame de nouvelles caresses, son corps se tend, elle ressent un vide intense au creux du ventre, un vide qu’elle souhaite ardemment remplir. Albert embrasse, caresse, lèche, masse copieusement et consciencieusement chaque parcelle du corps qui ondule de plus en plus. Jeanne a fermé les yeux, concentrée sur des sensations inouïes qui se propagent en elle, depuis nombreuses années qu’elle n’a pas eu un vrai homme expérimenté. Enfin, après l’avoir fait languir de longues minutes, Albert ne lâche pas des yeux le visage de Jeanne, il pose sa main à plat sur le mont de Vénus qu’il masse doucement puis avec plus de force, un doigt s’enfonce et atteint les chairs douces. Electrisée, Jeanne gémit et soupire. Albert plonge le visage entre les cuisses, respirant le parfum suave, cette bouche qui concentre les plus grands plaisirs du monde.


- N’arrête pas, s’il te plait, murmure Jeanne le souffle court, sans réfléchir.


Jeanne gémit doucement d’abord, puis plus bruyamment. Une sensation indescriptible irradie son sexe enflammé, une douceur si violente, une boule de plaisir qui roule, roule, roule et finit par exploser comme un feu d’artifices qui l’incendierait d’étoiles. Jeanne crie. Albert ne cesse pas ses caresses, au contraire. Jeanne crie encore, cri de jouissance, Albert continue à lécher doucement le sexe ouvert.
Jeanne ouvre les yeux et lui sourit avec douceur. Elle le regarde longuement, des pieds jusqu’à la tête.


- Je veux te voir. Dit-elle avec une dernière trace de timidité dans la voix.


Fascinée, elle ne peut détacher son regard de l’excroissance qui palpite. Doucement, presque timidement, Jeanne approche la main et l’effleure du bout des doigts. Au comble de l’excitation, Albert retient sa respiration pour que cette simple caresse presque innocente ne le fasse jouir immédiatement. Sans réaliser les tourments qu’elle déclenche, Jeanne continue son exploration manuelle, la raideur de la verge qu’elle mesure en la pressant, mettant Albert au supplice. La paume frôle les bourses, les palpe, s’amusant de voir la verge tressaillir et vibrer de plus belle sous l’assaut. Enfin, Jeanne dépose un baiser léger sur le gland. Albert se mord les lèvres mais ne peut empêcher une goutte de perler. Jeanne suce et tête doucement le gland empli d’énergie. Elle sent le sexe se durcir par à-coups sous sa langue, gonfler et trembler. À quelques secondes de ne plus pouvoir se retenir, Albert quitte l’écrin des lèvres.
Jeanne s’allonge sur le lit et lui tend les bras. Albert la rejoint. Les deux corps s’épousent, hanches contre hanches, ventre contre ventre, poitrine contre poitrine, peau frémissante contre peau frémissante, sexe tendu contre sexe ouvert. Les mains de Jeanne se promènent sur la nuque d’Albert, sur son dos sculpté, sur ses fesses musclées qu’elles attirent contre elle. Enfin, Albert se cale sur ses bras et introduit son membre au bord de l’explosion dans l’intimité brûlante et étroite de Jeanne, Envahie par un sentiment de plaisir nouveau, elle referme ses jambes sur lui comme pour l’enfoncer au plus profond d’elle-même. Albert va-et-vient doucement mais surement en elle, retenant son plaisir dans l’espoir d’emmener Jeanne avec lui dans l’orgasme. Les battements de son cœur s’accélèrent inlassablement, et cette colonne vivante et trépidante, plantée au plus intime d’elle-même, qui l’emplit, qui fait vibrer ses chairs, qui palpite, tressaute et fait jaillir une nouvelle chaleur dans son ventre. Albert ne peut se retenir plus longtemps, il étouffe un cri dans la chevelure gorgée d’arômes de pluie et de sexe. Jeanne halète, plongée dans l’ouate de l’orgasme, les tensions ont portées l’excitation à bout, l’extase puissant les emmène au plus profond pour se déverser en jets impétueux.
Epuisés tous les deux, Albert s’effondre sur Jeanne, le nez dans le cou de sa tendre. Doucement, elle lui caresse les cheveux et la nuque. Elle sourit dans le vide, sourit à Albert qui ne la voit pas, sourit au plafond impassible, sourit à la vie qui s’ouvre à elle, sourit à la Jeanne nouvelle amoureuse.



Le dimanche suivant les deux familles sont à nouveau réunies chez Albert et Sylvie cette fois. Jeanne et Bernard sont venus à midi pour le déjeuner. La conversation va bon train sur les relations précédentes et celles à venir. Tous les jours de la semaine au lycée et à la maison, Sylvie et Bernard n’ont pensés qu’à ce dimanche, ils sont dans un enchantement sans limite, ils sentent monter en eux une véritable passion qu’ils étaient loin de soupçonner il y a seulement huit jours. Ils savent que leurs parents ont fait l’amour dans la semaine et qu’ils sont tombés follement amoureux. Ils sont bien conscients que si leurs parents s’aiment c’est quand même un peu grâce à eux.
Tout le monde a particulièrement soigné son look, sans être vulgaire, chacun a mis un petit accent de sexy. Jeanne et Albert font la conversation comme à l’habitude, les enfants les écoutent avec attention en mangeant. A la fin du repas, Albert fait passer ses deux invités au salon pendant que Sylvie va préparer le café. Jeanne complimente Albert du repas elle dit :


- Mais tu es un trésor ! Tu cuisines comme un chef ! Tu fais tout comme ça ?


Il est vrai qu’Albert et Sylvie avaient préparés ce repas avec beaucoup d’engouements.
Jeanne sans attendre de réponse pose sa main sur le bras de son fils :


- Ca te dérange si j’embrasse mon chéri ?


Elle embrasse Albert qui à son tour, l’attrape par le cou pour lui rendre le baiser qui se prolonge une minute.
Sylvie revient avec les cafés qu’elle pose sur la table basse et s’assoie sur le tapis devant le fauteuil de Bernard, tous deux matent leurs parents enlacés, ils sont fiers d’eux, si bien que Bernard rejoint Sylvie sur le sol et ils se mettent à imiter leurs parents en s’embrassant à pleine bouche. Il faut dire qu’ils attendaient impatiemment cet instant depuis une semaine. L’après midi est doux, la température très agréable, la baie vitrée est grande ouverte et les stores mi baissés sur un petit jardin bien entrenu.


Albert allonge Jeanne sur le canapé, elle met ses mains sous sa nuque, son chemisier remonte ce qui la gène un peu, elle le déboutonne pour découvrir sa petite poitrine libre. Albert s’agenouille devant le canapé, pose sa tête sur l’avant bras pour venir glisser sur un sein. La bouche trouve le bourgeon que la langue taquine. Un ronronnement de l’intéressée répond à la caresse. La main de Jeanne vient sur les épaules d’Albert pour le soutenir. Albert suçote les tétons en caressant le ventre de sa dulcinée.
Fascinés, les ados contemplent ce manège, l’atmosphère particulière leur fait perdre tous repères familiers. Ils sont comme sur un nuage de voir cette scène. Bernard se redresse, pose une main sur la hanche de Sylvie, juste au-dessus de la ceinture du jean, l’autre remonte sous le débardeur et saisit un sein. Elle se laisse aller sans quitter des yeux les gestes de son père. Un souffle vient caresser sa nuque, lui murmurer des mots doux qu’elle entend mais n’écoute pas:


- Regarde comme ils sont beaux, comme ils sont heureux. On ne peut pas être jaloux devant un tel bonheur.

 

La tête de Sylvie bascule en arrière pour mieux écouter les belles paroles de Bernard, puis elle fait passer son débardeur par-dessus sa tête. Bernard la saisit aux épaules et l’invite à s’allonger. Le tapis moelleux l’accueille, une bouche s’empare de ses seins. Elle ferme les yeux, dans ses pensées elle ne sait plus qui la caresse, son père ou son copain, elle est bien. Après quelques minutes Bernard déboutonne le jean, Sylvie se met debout instantanément, sort pantalon et culotte, totalement nue, elle reprend sa position sur le tapis. Bernard ne se dégonfle pas, il se libère de ses vêtements. Sans embarras ni honte, comme si ils se connaissent depuis des années, Bernard reprend ses caresses. Il n’est pas habitué à prendre l’initiative, mais c’est grâce à sa mère qu’il connaît bien le corps féminin, celui-ci est différent, c’est relativement nouveau pour lui. Il caresse doucement du bout des doigts l’entre jambe, c’est bien moins touffu que sa maman, ça lui parait tout neuf. Son majeur se replie, suit la fente qui commence à suinter. Le bouton lui semble petit par rapport au grain de riz de sa maman. La main de Sylvie s’est glissée sur le bas ventre de Bernard et rencontre le gland au niveau du nombril. Le garçon s’allonge à coté de sa compagne. Il reprend les seins en bouche, il rapproche légèrement son bassin pour que Sylvie puisse saisir la verge afin de le masturber. Elle trouve une verge légèrement plus petite que celle de son père mais plus dure.

 

 

 

 

 


La tête de Jeanne a basculé sur le coté. Elle ouvre les yeux et voit les enfants unis. Cette image ne la choque ni ne la fâche, elle fait tourner le visage d’Albert pour qu’il regarde, il sourit comblé du bien-être et du bonheur de sa fille. Aucun signe de jalousie dans le regard des parents sur leurs enfants, au contraire, ce sont deux personnes pleines de sagesse et de béatitude qui admirent ce qu’ils ont de plus cher au monde. Dans leur nirvana, ils entendent cette expression de bonheur, ils se regardent, croisent leur regard et s’étreignent fortement.
Jeanne soulève son bassin pour faire appel. La bouche d’Albert vient se poser sur son triangle. Elle replie les genoux, écarte les jambes pour lui faciliter son initiative. Il lèche doucement la saignée, trouve le petit bouton qu’il taquine avec sa langue. Jeanne saisit la tête entre ses mains, la guide et s’en sert comme d’un coussin avec lequel elle se frotterait. Albert soulève les cuisses afin de mieux atteindre le périnée. Sa langue va de la rosette au clitoris, ce contact lui procure comme un choc électrique. La langue s’insinue dans le vagin, Jeanne s’ouvre complètement elle voudrait toute se livrer à la langue. Transmission de pensée ou expérience, Albert comprend ce désir et affûte sa langue en poinçon pour qu’il ouvre ce nouveau chemin. C’est l’apothéose et un long cri modulé, ininterrompu, sort de la bouche de la maman. Jeanne a serré ses cuisses sur la tête d’Albert durant toute sa jouissance. Puis elle se relâche, écartelée sur le canapé. Enfin elle attire Albert qui bascule sur elle, les yeux clos, les cuisses grandes ouvertes,
Jeanne enserre de ses jambes son amoureux, sa main va à la recherche de son joujou serré entre les deux corps et le guide dans son fourreau. Les mains de Jeanne posées sur les fesses d’Albert l’attirent sur elle, sans avoir donné le moindre coup de rein, la queue fichée en elle la fouille comme un intrus. Les souffles s’emmêlent sous le même sentiment qui les traverse. Jeanne referme encore plus ses jambes sur les reins d’Albert qui commence à mouvoir son corps de haut en bas Les corps s'harmonisent dans des mouvements gracieux qui s’impriment l'un à l'autre, ils cherchent et trouvent sans le vouloir un synchronisme naturel, comme une danse initiatique et instinctive. Cela produit un petit bruit de friction humide un peu obscène. Musique sublime de la verge, du vagin et du souffle des bouches auxquels se mêlent peu à peu les halètements de plaisirs. Le rythme monte encore, les reins se mettent à battre une sarabande de plus en plus folle, le cri venant de Jeanne devient une plainte continue et modulée. Les bras d’Albert sont en appui pour que chaque coup porté soit un coup qui la pénètre profondément.
La machine semble s'emballer, rien ne pourrait la retenir, la sève monte dans les corps. Albert enfouit ma tête au creux de l’épaule qu’il mord à faire mal. Le cri de Jeanne est devenu une longue plainte rauque avec de curieux accents dans les aigus avant de finir en plainte de bête blessée, presque un sanglot. Le couple reprend son souffle dans une ivresse bien réelle accentuée par le regard des jeunes observateurs.
En effet Sylvie et Bernard ne peuvent détacher leurs yeux de leurs parents tout en continuant machinalement leurs caresses réciproques. Après ce terrible spectacle, ils se demandent si ils doivent aller plus loin, ils se regardent un peu surpris de l’ampleur de l’exhibition. Ils restent enlacés un long moment. Enfin Bernard passe une jambe entre celles de Sylvie, sa cuisse vient frôler la petite bonbonnière. Elle écarte largement les jambes pour faciliter ce contact si doux. Bernard masse doucement avec sa cuisse, ce frôlement est absolument délicieux. Le sexe de Bernard est trempé de suc intime. Les deux jeunes amoureux ferment les yeux et savourent cet instant unique. Ils frottent leurs bassins, entament des mouvements désordonnés. Les lèvres ne se quittent plus. Ils se serrent de plus en plus fort.
Jeanne et Albert ressentent qu’une intense et tendre complicité s’est instaurée entre tous les quatre, ils sont assez satisfaits d’avoir montré à leur chérubin comment c’est l’amour, qu’il n’y a pas que des sucettes et des branlettes. Ils se lèvent et comme par transmission de pensée, ils avancent doucement vers leur trésor. Jeanne dit :


- Ho mes chéris, vous êtes trop mignons comme ça tous les deux, vous ne pouvez savoir quel plaisir on a, n’es pas Albert ?


- Oui c’est merveilleux, quand je vois ma petite Sylvie heureuse…… Avec Bernard, on n’aurait pas pu rêver mieux. C’est formidable Jeanne.


L’amour charnel des parents pour leurs enfants est toujours présent, ils viennent de prendre leur plaisir sous les yeux de leurs gamins, maintenant à leur tour d’admirer le joyeux duo formé par leurs précieux héritiers.
Encouragés par les anciens, les jeunes puceaux font monter la température des corps aussi bien de leurs parents que chez eux en multipliant les caresses manuelles. Albert et Jeanne poussent la table basse pour faire de la place et se glissent de chaque coté du jeune couple et comme tous bons parents qui se respectent ils ont envie de faire voir comment ça marche… Mais surtout pour mieux profiter de la scène. Les deux adultes se tripotent le sexe sans décoller les yeux de leurs progénitures
Enfin les deux jeunes amoureux se détachent, peut-être par la gêne,  ils font chacun un demi tour pour se retrouver avec leurs parents respectifs comme pendant les soirées à la maison. Les deux nouveaux couples s’enlacent pour se prouver qu’ils sont toujours présents. Les caresses échangées entre parents et enfants vont beaucoup plus loin, ce qui est logique. Jeanne constate que Bernard bande plus fort que d’habitude.


- Je suis bien avec Sylvie maman, elle me donne beaucoup de bonheur, vois comme je suis dur. Murmure Bernard à sa maman en montrant sa tige toute droite et dégoulinante.


- Laisse-moi te nettoyer mon bébé.


Sans attendre la réponse, elle pose sa bouche sur la cuisse de son gamin et se met en devoir de sucer ce gland bien brillant. L'idée vient à Bernard d’en faire autant, il s’incline donc vers le bas ventre de sa mère et fouille de sa bouche dans les poils frisés pour trouver les lèvres et lécher tous les restes dans la chatte de la précédente pénétration. Le bout de sa langue passe le long de la vulve en douceur comme une récompense et comme sa maman lui a bien appris. Ils se retrouvent tête bêche tous les deux ce qui n’arrange pas les choses du coté de Bernard.


Tandis que Sylvie est assise entre les jambes de son père, qui d’une main palpe un sein et l’autre main s’agite sur la jeune chatte. Tous les deux regardent avec envie Jeanne et Bernard. Lorsque Jeanne jette un œil vers Sylvie, elle à un petit choc, elle se dit qu’elle doit lui donner son Bernard, que ce n’est pas très correct de sa part de monopoliser ce tendre amour, il lui faut réparer cette petite faute. Elle pousse son fils sur le coté, l’étend sur le dos, la tige bien droite vers le plafond, il se demande pourquoi on l’abandonne si prêt de la jouissance.
Jeanne prend le visage de Sylvie entre ses mains et pose ses lèvres sur la bouche entr’ouverte, le regard dans les yeux d’Albert qui n’est qu’à quelques centimètres. Lentement mais sûrement le baiser prend forme, les bouches se soudent, les langues se lient pour redonner confiance à Sylvie. Jeanne lui caresse en même temps les épaules, la poitrine où elle rencontre une main d’Albert, puis elle s’insinue entre les cuisses. Sylvie s’offre totalement sans pudeur, elle comprend qu’elle a retrouvé une mère, elle saisit cette chance qu’est cette femme qui lui donne en même temps un amoureux et le bonheur de son père.


- Sylvie tu es vierge, n’es pas peur, aies confiance en moi, tout va bien se passer. Dit Jeanne pour que tout le monde entende.


- Mais je veux, je veux Bernard, oui, s’il te plait Jeanne.


En disant ses mots, Sylvie se laisse mener par Jeanne sur le tapis, couchée sur le dos, offerte, elle se caresse la chatte. Jeanne regarde Albert, ils considèrent Bernard, ils ne savent plus si ils sont de trop ou si ils doivent soutenir le programme suivant. Evidemment l’amour qu’ils ont en commun pour leurs enfants est plus fort, Jeanne amène son fils sur Sylvie, pendant qu’Albert s’est mis à genoux devant le visage de sa fille, il lui prend la tête, la pose sur ses cuisses en guise d’oreiller. Il caresse les cheveux et la poitrine de sa fille ne lui voulant que du bonheur. Bernard se laisse conduire par sa mère, voyant là, un plaisir supplémentaire à cette délicieuse séance. Il est sur les genoux entre les jambes de sa chérie, maintenu par derrière par sa maman, il sait ce qu’il va se passer, il bande comme jamais il n’a bandé. Sa maman prend la tige palpitante, se baisse pour la sucer encore un peu par gourmandise, il faut dire qu’elle est fière de cette belle virilité, bien droite, bien raide. Aucun mot ne sort des bouches, les trois acteurs attendent que Jeanne décide. Elle frotte le gland suintant sur la fente ouverte, Sylvie et Bernard n’en peuvent plus d’attendre, Bernard pousse son membre gonflé dans l’étui brûlant qui s’ouvre progressivement.


- Ho oui Bernard, oui mon Bernard.


Le cri sourd est venu de Sylvie qui ouvre encore plus les jambes pour aspirer le membre en remontant son fessier. Fou de joie par ce spectacle peu commun, Albert et Jeanne caressent les deux corps assemblés et secoués pas les petits coups de rein successifs de Bernard. C’est Jeanne qui la première pose ses lèvres sur le corps en sueur de son fils, elle glisse sa langue entre les fesses bien exposées, elle ne peut résister aux odeurs excitantes qui s’échappent du couple. Elle ronronne en léchant toute la raie du fessier, les couilles, même la petite chatte y passe sous la langue fouineuse. Sans le vouloir, Jeanne prend goût, elle s’attarde sur la tige de son fiston qui rentre et sort entre les lèvres roses un peu malmenées. Ils ont criés tous les deux en même temps, Sylvie a été surexcitée par la bouche de Jeanne, quand à Bernard il ne pouvait plus attendre, il a jouit dans son amoureuse sous les yeux des parents puis s’est écroulé, abattu sur Sylvie.

Les deux jeunes amoureux gémissent toujours de bonheur en se séparant pour reprendre leur souffle, Bernard est étendu à coté de Sylvie, Albert est toujours à leurs têtes et Jeanne entre leurs jambes. Ils débitent des paroles apaisantes qui détendent les enfants. Jeanne et Albert sont enchantés de l’excellent déroulement de la défloration. Albert caresse les cheveux de Bernard par reconnaissance du bonheur qu’il a donné à sa fille. Albert a repris de la vigueur par la beauté de cet accouplement, Jeanne est au ange, elle savoure l’extase de son gamin, ses deux mains n’en finissent pas de caresser les quatre cuisses plus ou moins entrelacées. Le climat se réchauffe rapidement chez les parents émoustillés par cette tragédie surréaliste, Ils sont seuls au monde, concentrés sur leur jeu, en phase les uns avec les autres.

Sylvie sent que Jeanne lui caresse les poils qui dissimulent l’entrée de sa grotte, alors qu’Albert est émerveillé par l’adresse et la douceur de Bernard envers sa fille, il ne sait que faire pour le remercier. Il balade ses mains sur les poitrines des jeunes corps. Toutefois la curiosité l’emporte et la nature lui a donné le goût de l’excès, il va d’un sein de sa fille aux petits tétons de Bernard. Il détaille, avec une lenteur qui ne fait qu’augmenter son désir.

Jeanne se fait progressivement indiscrète à l’entrée de la jeune chatte. Le contact est merveilleux pour Sylvie qui tout comme Bernard éprouvent une sensation de bien être dans ce repos bien mérité. La maman caresse les lèvres intimes de Sylvie, puis chemin faisant, le clitoris se réveille à nouveau. Immédiatement la belle recommence à s’humidifier, instinctivement, Jeanne accélère ses caresses, elle est enchantée de voir Albert manifesté sa joie sur Bernard. Les mains des parents vont et viennent sur les corps des ados en se croisant, ils sont pris d’une joie nouvelle qui s’accroît encore par l’espèce d’interdit qui flotte dans l’air depuis toujours.
Les visages se penchent sur les bouches des jeunes, Jeanne embrasse son fils et Albert sa fille. Ils veulent en faire plus, dans leur emportement, les baisers s’approfondissent davantage et chaque main continue l’exploration suivit cette fois par les lèvres. Ils contournent les poitrines, se glissent sous les aisselles, tournant en cercle, souples et agiles. Ils ne sont même plus conscients, qui embrasse qui. Quand Albert sent peser ce membre moyen contre sa joue, splendide, jeune, droit et bien dur, parcouru par des vibrations insensibles qui frémissent le long de son visage. Il s’écarte un peu pour voir cette chose qu’il trouve formidable, il l’a prend en main plus par amusement en regardant Jeanne. Puis voyant que ses trois partenaires attendent la suite, Albert effleure lentement de son museau la colonne de chair qui fait un doux mouvement de roulis, puis s’attache définitivement au gland qu’il pénètre dans sa bouche. La jeunesse palpitante d’où se dégage une légère épaisseur de mousse âcrement odorante sur la petite toison chaude, Albert sombre dans les plus obscures profondeurs qu’il n’est imaginé. Les mains d’Albert vont alternativement des fesses aux testicules, alors qu’il se concentre sur la jeune verge.
Les deux femmes sont restées un moment à observer les deux hommes avec beaucoup d’attention. Jeanne ne peut plus attendre, elle se jette pratiquement sur Sylvie, elle pose ses lèvres sur la toison noire qu’elle absorbe. Sylvie sent le souffle chaud sur mon pubis, complètement anéanti, elle laisse à Jeanne toute à son initiative. La bouche arrive aux lèvres intimes. Evidemment Sylvie mouille de plus en plus, la langue caresse les grandes lèvres avant de s'attarder sur le bourgeon qui n'attend que cela. Pendant toute cette opération Jeanne s'est progressivement placée tête bêche par rapport à Sylvie qui voit maintenant la chatte à quelques centimètres de son visage. L instinct la pousse à poser ses lèvres sur le pubis épais et soyeux. Jeanne écarte largement les jambes et présente alors son écrin à la jolie demoiselle. Les deux femmes sont attirées comme des aimants, elles passent leurs bras autour des fesses pour bien se coller l’une à l’autre.
Bernard s'étale dans un bienheureux étirement, tout en laissant son sexe pénétrer la gorge triomphante, il se retourne avec un savant mouvement pour saisir la queue d’Albert pleine de vigueur, plus grosse et plus longue que la sienne, Bernard n’est pas impressionné, au contraire, armé d’une volonté de faire du bien, il absorbe la verge en manquant de s'étouffer, tandis qu’à deux mains il palpe les fesses et tente leur plis central.
Les longs murmures ajoutent à cette atmosphère une volupté foudroyante, où les quatre monstres touchent le point crucial et plus aigu que la première secousse, ça éclate et jaillit en même temps. Ils sont tous accablés et pantelants mais sûrement prêts à recommencer.

 

FIN

 

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Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : vous avez dit inceste
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Jeudi 24 juillet 4 24 /07 /Juil 19:44

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Ma vie sentimentale et sexuelle a vraiment commencée lorsque j’ai eu quarante-cinq ans, soit vingt-cinq ans après mon mariage.

François, mon époux, a trois ans de plus que moi et avait la prétention de tout connaître, hélas, il n’en était rien.  Il est démonstrateur-vendeur d’ustensiles de cuisine dans les foires et salons. Notre fils, Gilles le seconde depuis maintenant huit ans dans ce petit commerce très rentable, les études n’étaient pas son fort. Ils sont quelques fois absents deux semaines consécutives, la saison se poursuit environ huit mois de l’année.

 

J’aime énormément mon mari, avec notre fils, ils sont comme deux frères aussi bien dans le travail que dans les loisirs.

Gilles est marié avec Lucie depuis deux ans, c’est un couple parfait. François et moi vivons aisément dans un bel appartement dans une luxueuse résidence de la banlieue de Bordeaux.

 

Un jour, un appartement sur notre palier s’est libéré, nos enfants en ont profité pour l’acquérir, ce qui nous a rapprochés pour le plus grand bonheur de nous quatre.

 

François est un garçon très séduisant, grand brun, toujours élégant, Gilles est tout à son image, la réplique parfaite avec quelques années de moins. Sa femme, Lucie, est blonde au visage radieux, à peu près la même taille que moi, juste plus forte de la poitrine. Alors que moi j'ai une petite poitrine, avec malgré tout, des fesses importantes. Très brune, comme mon mari, je pense plaire aux hommes, mais c’est surtout mon mari qui m’intéresse. J’ai beaucoup de chance d’avoir connu ce garçon aux idées très larges, pas jaloux et qui me laisse faire tout ce que je veux.

 

Après l’aménagement de nos enfants, nous nous sommes encore plus attachés. Avant, ils étaient installés à deux cents kilomètres d’ici, dans la région de Lucie, ce qui occasionnait quelques difficultés sur le plan professionnel.

La chance ne m’a pas quittée, car c’est grâce à ces « nouveaux voisins » que notre vie s’est transformée.

 

Lucie a, par le fait, le même emploi du temps que le mien, c'est-à-dire que notre seul travail est de nous occuper de notre personne et de l’appartement. Ce qui m’a permis de la connaître un peu mieux. Nous entendons très bien, son caractère, sa joie de vivre et son sourire éternel m’apporte une seconde jeunesse. Nous sortons ensemble presque tous les jours pour un ciné, un resto, chiner dans les magasins, on s’amuse à se faire draguer et à allumer les mecs. Nous sommes devenues de véritables amies intimes.

 

Après sept ou huit mois, un après-midi, nous avons décidé d’aller au cinéma, le temps était pluvieux, je me rends chez Lucie pour la prendre. Elle vient m’ouvrir et m’annonce qu’elle n’est pas prête, elle me propose de me servir un café, en fait, elle n’arrive pas à se décider pour une robe, une jupe ou un pantalon. Prenant les choses avec humour, je lui propose ma robe, ça va la changer, moi j’enfilerais un de ses pantalons.

 

Chiche, me lança-t-elle, en retournant dans sa salle de bain pour se déshabiller.

Elle revient en sous-vêtements, une petite culotte blanche et un soutien-gorge très, très sexy. Ces deux pièces tranchent sur sa peau bronzée, je n’avais jamais vu Lucie en sous-vêtements. Dans mes pensée, je me dis que mon fils à de la chance d’être avec cette divine créature à qui je ne trouve aucun défaut.

 

L’apparition subite de ce corps superbement moulé me donne un frisson. Je reste figée, éblouie par cette vision. Lucie constate mon comportement et me demande si je vais bien, je réponds par l’affirmative, mais la malheureuse s’approche pour me toucher le front. La chaleur et l’odeur du corps presque nu accentuent mon désarroi. Je suis dans un état second. Bien que je ne me sois jamais demandé si j’aimais les femmes, là, je suis troublée par cette anatomie, je suis fascinée par ma bru.

 

Je lui confesse ce qui m’arrive, touchée par mes louanges sur sa grande beauté, elle s’écarte un peu pour faire quelques pas comme le ferait un mannequin et surtout mettre un peu de gaieté afin de me remettre de mes émotions. Elle s’amuse à faire des allers-retours dans le salon, en bombant le torse pour mettre sa poitrine en valeur, elle prend des poses suggestives, ce qui me déclenche une excitation comme une jeune amoureuse. Je finis par rire de cette situation qui me dérange en sa présence.

 

Lucie prend plaisir à présenter ses charmes plus près de moi pour augmenter mon trouble. Je suis dans un état second et ambigu, une force me pousse à toucher cette poitrine, Lucie s’immobilise subitement au contact de ma main, elle me regarde dans les yeux, je lui dis :

 

« Vous êtes la plus belle femme que je n’ai jamais vue ! »

 

Touchée par mes paroles, elle prend doucement ma main et la promène sur son corps, je me laisse entraîner dans ce chemin tortueux, ma main est collée à la peau chaude du ventre à la limite de la culotte, je ne me reconnais plus, je caresse ce corps, j’ai un peu honte de moi, je voudrais partir mais la chaleur m’envahit, mon entrecuisse est mouillé, même avec mon mari, je n’ai pas connu une telle ferveur. J’ai peur, soudain, de ce qui va, peut-être, de ce qui risque de se passer. Je me sens aussi vulnérable que si j’avais dix ans. J’ai envie de fuir à toutes jambes. J’ai la gorge nouée et j’ai très chaud. Je suis inconsciente de mes gestes, assise dans ce canapé, je caresse cette femme presque nue debout devant moi.

 

La douceur de la peau est surprenante, je n’ose plus lever la tête pour regarder Lucie, je fonds littéralement, elle met sa main derrière ma nuque et m’attire contre sa poitrine, j’ai le visage entre ses seins, je sens le battement de son cœur qui court à toute vitesse, je passe mes bras autour de son corps pour la serrer très fort, nous restons collées l’une à l’autre sans rien dire quelques instants. Elle pose tendrement sa joue sur ma tête, le nez dans mes cheveux. Je ferme les yeux et j’incline légèrement ma tête sur un côté, son visage glisse sur mon épaule. C’est très doux. Nous restons serrées l’une contre l’autre. Sa respiration est plus courte et je la sens brûlante sur ma peau, comme la mienne, comme si nous avions la fièvre l’une et l’autre. Je sens le parfum naturel de son corps, son parfum de femme. Je sens sa chaleur se répandre en moi. Je fonds,  une douce chaleur se répand dans le bas de mon ventre, dans tout mon corps. Je suis trempée de désir. Lucie me caresse les cheveux, une force inconnue me pousse à dégrafer son soutien-gorge comme me le fait François, j’enlève le minuscule vêtement, aidée par Lucie, c’est une poitrine magistrale que je découvre, j’enfuis à nouveau mon visage entre ses deux monticules en respirant les moiteurs corporelles.

 

Ma bru prend mon visage et lentement me présente un sein comme elle le ferait pour un bébé. Je prends, sans hésiter, le mamelon dans ma bouche et le suce naturellement. Lucie  prend des bouffées d’oxygène, son corps devient plus chaud, je change de sein, Lucie plonge sa main dans l’encolure de mon chemisier pour me caresser le dos. Je suce et suce encore ses seins, mon plaisir grandit, on se détache, finalement, au bout de longues minutes en se regardant, je la trouve encore plus belle, plus désirable, elle s’approche de mon visage, prend mes lèvres, nos bouches se soudent dans un baiser infernal et interminable.

 

Lucie me ramène à la réalité en disant de sa voix la plus douce :

 

« Il y a longtemps que je rêvais de cet instant, de t’embrasser, de caresser ton corps, je n’ai jamais osé te le dire et aujourd’hui, c’est venu tout seul ! »

 

Lucie vient d’employer le tutoiement à mon égard, surprise par ses paroles, je me recolle contre elle pour approuver son désir, nous étreignons fortement, puis elle dit, sans honte ni chichi :

 

« C’est bien beau tout ça, mais je veux voir ce que tu nous caches là-dessous… ! Dit-elle, en montrant mes vêtements.

.. Allez, enlève-moi tout ça, mets-toi à l’aise, le cinéma, ça sera pour une autre fois ! »

 

Terminant sa phrase, elle déboutonne ma robe, je m’abandonne, soumise à sa volonté.

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Je me retrouve nue comme elle qui vient d’enlever sa culotte, on s’admire, je renouvelle mes compliments, elle me les retourne en disant qu’elle adore mes petits seins et la parfaite rondeur de mon derrière proéminent. Le désir monte, nous nous jetons dans les bras l’une à l’autre, on se laisse glisser sur le tapis épais, nos baisers, nos caresses n’ont pas de fin, nos jambes sont entrelacées, je frotte ma chatte trempée sur sa cuisse moite et lui demande de se laisser faire. Mes mains sont parties à la découverte de ce corps offert, c’est enivrant, ma bouche a explorée presque chaque parcelle de sa peau. J’ai passé mes mains sous ses fesses comme pour approcher la petite forêt blonde bien taillée de mes lèvres, je découvre le coquillage qui dégage des arômes inconnus pour moi, je goûte cette chose sublime. Je dévore la chatte et me découvre une inspiration ignorée, c’est un délice. Lucie appréciant mon œuvre, se démène pour me rendre le même service, elle a mon intimité sous ses yeux, je ne sais plus où je suis, ni l’heure qu’il est, nous sommes l’une à l’autre, on se lèche, on se mange, on se secoue, on s’exprime bruyamment, les orgasmes se suivent, puis au bout de combien de temps, on s’effondre, épuisées toutes les deux.

 

 

 

 

C’est à partir de ce jour que j’ai commencé à connaître le vrai plaisir du corps, nous avons passées cette première nuit ensemble comme un couple amoureux.

Cela fait maintenant plusieurs semaines que nous renouvelons nos petits jeux favoris et qui restent pour l’instant notre jardin secret. Néanmoins, nous nous promettons de tout avouer un jour à nos maris.

 

Quelques mois ont passées, nous décidons toutes les deux de mettre François et Gilles au courant de nos petits jeux, il est difficile de garder ce secret à ceux qu’on aime. Cela ne va pas être facile, malgré leur grande ouverture d’esprit, comment  prendront-il  la chose, leurs femmes se gouinent, en plus, la mère et la belle-fille, il peut y avoir du grabuge, cependant nous ne pouvons plus leur cacher notre secret, c’est l’amour qui commande.

 

Après maintes réflexions, nous avons décidé d’organiser un dîner où on leur confessera nos petites distractions intimes.

Le soir en question est arrivé, nous n’en menons pas large, mais c’est bien décidé dans notre programme, connaissant parfaitement nos hommes, on a prévu une petite mise en scène.

 

Le dîner se passe bien comme à l’habitude, après des apéritifs volontairement copieux et pas mal de vins au cours du repas, nous sommes assez gais tous les quatre, des histoires salaces sortent de toutes les bouches. Je fais passer les hommes au salon pour prendre encore quelques alcools sur la table basse. Je mets une musique douce de danse, règle une lumière sombre, afin de créer une atmosphère appropriée, il faut réunir toutes les conditions pour que notre message passe sans trop de heurts. Nos hommes largement échauffés par les différents alcools et nos maris ont l’air d’être en très bonne disposition. D’un commun accord, largement improvisé, Lucie et moi, entamons un slow, nous nous enlaçons tendrement, François et Gilles, abasourdis, s’arrêtent soudainement de plaisanter et de rire, muets, ils nous regardent danser lentement. Il faut dire qu’au fur et mesure que la danse évolue, nous nous serrons l’une à l’autre en prenant tout notre temps, sentant que le climat est favorable, on se colle joue contre joue en se caressant le dos, le spectacle que nous leur donnons les a rendu complètement silencieux. Lucie, beaucoup plus hardie que moi, me murmure des mots tendres à l’oreille, qu’elle finit par mordiller.

 

Ne voyant encore aucune réaction chez nos hommes toujours hébétés, nous faisons mine de les ignorer en nous regardant dans les yeux, puis très délicatement, nos bouches se soudent dans un tendre baiser. Les yeux de nos mecs semblent sortir de leur tête, ils doivent se demander s’ils ne rêvent pas. Lucie, toujours audacieuse, fait descendre le zip de ma jupe qui tombe à terre. Gonflée à bloc, je me suis promise d’aller jusqu’au bout, c’est surtout mon fils qui m’intimide, jamais je n’aurais pu faire une chose pareille sans le soutien de ma bru, je pousse ma jupe du pied vers le canapé où sont assis nos bonshommes.

 

Je suis en culotte sous le regard surpris de François et l’œil brillant de mon garçon, ce qui nous incite à continuer notre stratagème, pour l’instant  aucune réaction négative, ils restent figés dans le canapé. Lucie a posé ses mains sur mes fesses qu’elle pétrit sans timidité. J’en profite pour sortir sa mini-jupe qui suit le même chemin que la mienne, cette fois, c’est mon mari qui dévore des yeux les rondeurs de sa belle-fille, les autres vêtements s’envolent au même rythme pour nous retrouver nues toutes les deux et poursuivre notre chorégraphie comme si de rien n’était. Nos cuisses jouent ensemble, on se caresse les seins et les fesses, je jette un regard du côté des hommes stupéfiés mais un peu plus détendus, allongés dans le sofa, le spectacle semble les satisfaire au plus haut point.  Comme il n’y a aucune manifestation hostile, nous appuyons davantage nos baisers, nos caresses deviennent plus précises afin de chauffer le climat et conditionner nos maris. Cette situation peu ordinaire, nous excite énormément. Notre désir augmente et les minutes qui passent sont épuisantes et terriblement longues à se demander comment va se terminer cette soirée fantasmagorique, le pire, c’est que j’ai tant envie de ma chérie. Nous dansotons sans bouger de place, enlacées, les yeux fermés, appréciant ces doux instants avec, malgré tout, un sentiment d’embarras et d’interdit. Toutefois, je me sens rassurée avec Lucie qui nous sortira toujours de la merde si ça tourne mal.

 

Malgré moi, je me concentre sur Gilles, pour lui, je ne suis pas qu’une femme, je suis aussi sa mère, il m’est difficile de maintenir mon regard sur mon gros bébé qui ne me quitte pas des yeux, j’arrive à percevoir son irritation intérieure.

 

À partir de ce moment, je n’ai qu’une envie, c’est de me rhabiller et m’enfuir dans ma chambre, le piquant de la situation me remue. Lucie me recadre en me murmurant :

 

« Montre-lui à quoi ça ressemble une vraie femme ! »

 

Mais je comprends aussi très bien que ce sont mes sens et mon instinct qui me guident en cet instant, pas ma raison, je dois aussi m’efforcer à tenir la promesse que l’on s’est faite toutes les deux.

 

Je constate que c’est ainsi et que je n’y peux rien. Je suis excitée et, au fond de moi, j’adore cette situation, j’ai envie de la faire durer, de voir ce qui va se passer. Je sais maintenant que tout est possible et je compte bien sur Lucie pour prendre toute initiative.

 

Soudain, je sens la présence de François derrière moi, il est nu, la verge dressée entre mes fesses, j’ouvre les yeux et vois mon fils dans la même tenue derrière Lucie. Voilà une aubaine bien inattendue qui coupe toute alternative envisagée dans ma tête.

Je retire mes mains du fessier de mon amante par pudeur pour les mettre autour de son cou, on se regarde en souriant et se disant que l’on a réussi notre coup.

 

Nous voilà prises en sandwich entre nos époux, la dureté inhabituelle de la verge de François me prouve qu’il aime notre ébaudissement, ses mains caressent mes seins et par la même occasion, ceux de Lucie. Je dois me rendre compte que je ne suis pas jalouse et même au contraire terriblement excitée, je sens les mains de mon fils sur mes hanches, je vais fondre.

Nous restons tous les quatre ainsi, dandinant pendant un bon moment, toutes les mains exploitent sans aucune gêne les corps chauds, nous nous laissons caresser pour notre bonheur et celui de nos époux pendant que nos langues font la fête en prisant ces moments inoubliables. Je frémis dans les bras de Lucie, j’ai un orgasme dont je me souviendrais longtemps, ma chérie subit le même sort, secouées toutes les deux, nos maris sont obligés de nous soutenir, encore surpris par l’ampleur de notre pied.

 

On se détache pour reprendre nos esprits et se retrouver dans les bras de nos conjoints respectifs, François m’étreint fortement en me disant des mots d’amour, de leur côté, mon fils et ma bru se bécotent comme de jeunes tourtereaux, ils ont l’air super heureux, ils prennent leurs vêtements en paquet et filent, à poil dans leur appartement, il n’y a que le hall à traverser.

 

Une fois seuls, François ne tarit pas d’éloges pour moi et Lucie, il me couvre de baisers de la tête aux pieds, il me prend d’un seul coup, il devait avoir les couilles pleines à exploser, j’ai encore pris un super panard.

Notre soirée a dépassé toutes nos espérances, je n’aurais pas imaginé un si bon résultat.

 

 

 

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Nous n’avons pas traîné à nous revoir, c’est le lendemain matin, il était plutôt midi et encore au lit que la sonnette nous sort d’un long sommeil, François surpris, enfile son peignoir pour ouvrir.

 

-- C’est les enfants. Me cria t-il.

 

Les mains chargées de croissants, nous les recevons, les yeux ébouriffés, Je prépare le café, François installe les tasses sur la table de la salle à manger. Pendant que nous avalons le petit dèj, nous y allons  bon train sur cette soirée, les hommes nous complimentent plus que jamais. Lucie et moi échangeons un coup d’œil complice.

Au fur et mesure de la conversation très axée sur ces évènements, la température des corps monte, François me caresse la cuisse depuis un moment, je passe ma main dans l’ouverture de son peignoir et je dis en m’adressant à Lucie :

 

-- Mais c’est qu’il bande papa.

Il est vrai que cette soirée a mis fin à toute pudeur de part et d’autre, on ressent une réelle liberté  dans nos paroles et nos gestes.

Pour éviter toute jalousie, Lucie fait comme moi, Lucie porte une main sur braguette de mon fils, mais ne pouvant pas atteindre ce qu’elle veut, elle détache la ceinture, ouvre la fermeture éclair et sort l’objet.

 

-- Comme tu peux le constater ton fils  bande aussi………Nous ne pouvons pas laisser nos chéris dans cet état.

Dit Lucie en s’adressant à moi avec un rire amusé. Elle enlève sa robe légère et se retrouve nue :

 

-- Regarde mon chou comme je mouille !

 

Dit-elle en passant ses doigts sur sa chatte en regardant mon fils puis elle effleure de ses doigts humectés et parfumés, les lèvres de Gilles.

Il n’en fallait pas tant pour que Gilles pousse la vaisselle sur le plateau afin de dégager la table, il quitte pantalon et chemise, couche Lucie sur la table, écarte ses jambes s’agenouille sous le regard de sa mère et son père puis lèche copieusement la chatte de sa femme.

Je vois sur son visage, qu’elle  apprécie cette offrande et qu’elle me fait signe de m’approcher en me tendant  les bras pour m’inviter à l’embrasser, je me penche un peu, ses lèvres trouvent les miennes. Gilles la pénètre délicatement, ces jeunes sont très rapides ! François et moi enlevons notre peignoir, je me couche à côté de Lucie mais dans l’autre sens, j’ai son ventre sous mes yeux,  mon mari me pénètre à mon tour, mais avec plus de douceur.  Collée contre ma belle-fille, je sens les soubresauts de son corps, Gilles est plus violent que son père,  bloquée contre ma taille, je caresse le visage de ma bru.  Mon François me travaille plus doucement, c’est sa technique, il me caresse la poitrine ainsi que celle de sa belle-fille. Je m’adresse à lui :

 

-- Embrasse-la mon chéri.

 

Mon mari me regarde et se penche pour déposer un petit baiser sur la bouche de Lucie.

 

-- Mieux que ça mon amour, tu n’as pas envie d’embrasser Lucie ?

 

François regarde son fils qui lui fait un signe positif de la tête, il se penche à nouveau vers Lucie qui lui tend les lèvres et sans quitter ma chatte, ils s’embrassent amoureusement sous le regard de Gilles et du mien, je sens sa verge se durcir dans mon intimité, le baiser de Lucie fait son effet. Je caresse les deux visages réunis avec un plaisir inouï et en profite pour caresser les cuisses de mon fils, au point où j’en suis, je n’ai plus aucun scrupule,  au contraire, je vois dans mon fiston, mon mari avec vingt ans de moins. C’est François qui se contorsionne pour prendre ma main et l’amener sur la verge de notre fils qui continue son va et vient entre les cuisses de ma dulcinée, il s’écarte un peu pour me laisser de la place, j’entoure la verge entre le pouce et l’index comme pour prolonger la chatte de Lucie. Mon fils me regarde, je lis dans ses prunelles une exaltation comme jamais je n’ai vue.  Les hommes me surprennent par leur ouverture d’esprit, hélas les positions ne sont pas très appropriées et plutôt très inconfortables.

 

Je me dégage et fais signe à Lucie de se lever et de venir dans notre chambre, nous nous détachons et allons directement sur le lit, je me jette sur ma chérie et la dévore comme nous avons l’habitude quand nous sommes seules et surtout pour montrer à nos maris ce que nous pouvons faire toutes les deux. On se lèche, se suce comme des malades devant nos hommes, trempées de désirs, nous jouissons plusieurs fois encouragées par le regard chaud de nos époux qui  caressent leur membre tendu.

Je sens des mains qui courent dans mon dos, les hommes s’occupent enfin de nous. Je souffle dans l’oreille de Lucie que j’ai très envie de Gilles, elle me répond suffisamment fort pour que nos hommes entendent que je peux faire tout ce que j’ai envie. C’est justement à ce moment-là que le pénis de mon fils est à quelques centimètres du visage de Lucie, elle le prend délicatement et le présente sur le bord de mes lèvres. Je ne me fais pas prier, je m’empresse d'abord de refermer mes doigts autour, le pressant tendrement, tout en le contemplant avidement.  Je tente de le comparer avec celui de son père, il a la même taille, mais un peu plus dur.  La toison bien brune, un peu moins fournie. Cependant, affolé par cette main maternelle si douce qui l'étreint de façon forte agréable,  Gilles agite doucement ses hanches, tentant par ce subterfuge de se masturber dans ma main.

 

Cependant, restant avant tout sa mère aimante et affectionnée, je m’oblige à procurer un maximum de plaisir à mon fils que je chéris  plus que tout au monde. Fixant le gland qui, me semblait-il, se dilate de plus en plus. Un dernier reste de pudeur vis-à-vis de Gilles me retient. Enfin comprenant le désir de mon garçon, je salive abondamment sur le gland rose afin de l'humidifier copieusement.  Oubliant alors mon mari, oubliant toutes ces années de fidélité, me refusant de voir qu’il est mon fils, je l’aspire délicatement goûtant avec ivresse ce merveilleux moment.  Je le prends dans ma bouche, je déguste la friandise sous l’œil amusé de son père, Gilles se cambre de plaisir. Complètement affolé par la douceur de cette caresse interdite, il recommence à s'agiter sensuellement.

 

-- Tu aimes ? Lui demanda vicieusement sa femme.

 

-- Oh oui ! S'empresse de répondre Gilles rayonnant.

 

Voyant qu’il n’est pas loin de partir, je fais signe a Lucie de se mettre en position, je présente le bel organe dressé  à l’entrée de la chatte palpitante de désirs de son épouse, la pénétration sous mes yeux est sublime, ce spectacle me stimule, on le serait à moins, je malaxe les boules poilues, reprends la verge en bouche pour savourer le mélange des deux intimités, pendant ce temps mon François me pilonne tranquillement,  Lucie se cabre sous l’onde voluptueuse en poussant de petits gémissements, je n’en perd pas une miette car je sens son souffle et la douceur de ses doigts sur mes lèvres intimes. Je replonge la trique dans la foufoune en lui caressant les fesses. Les hommes poussent des cris de bête dans leurs coups de boutoir synchronisés, ils se répandent dans nos corps, notre jouissance vient en suivant, Lucie me serre de joie, nous sombrons dans un océan de voluptés euphoriques.

 

Nous avons pris des plaisirs complémentaires inconnus et réussis l’impossible. Nous sommes tous les quatre, extraordinairement bien, le père et le fils se trouvent de nouvelles perceptibilités.

C’est ainsi que nous avons appris que nos maris raffolent de nous voir batifoler, ce qui nous excite encore plus et voudrions aller plus loin dans nos relations. Pendant que nos maris sont au travail, nous on s’envoie en l’air en fantasmant sur d’autres séances de divertissement au sein de notre petite famille.

 

 

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Après un mois de ces deux jours sulfureux, nos hommes ont quelques jours de libres, ils seraient heureux si nous organisions une ’’petite soirée’’, avec Lucie on s’attendait un peu qu’ils soient demandeurs. Aussi, nous avons eu le temps de gamberger sur ce qu’il était encore possible de réaliser entre nous quatre. Il est évident que nous attendions ce moment avec appétence, ces jours nous ont parus des mois. Nos hommes sont à nos yeux comme des dieux, ce fut tous les jours notre sujet, nous fantasmions comme des envoutées.

 

Le soir venu, nous avons organisées avec beaucoup d’enthousiasme  ce dîner chez  les enfants. Comme d’habitude, bien arrosé, pour se prolonger au salon. Sur une musique douce et lumière adéquate, nous dansons avec nos maris respectifs, puis on change de partenaire. Je danse avec mon fils en continuant de se caresser, je regarde mon époux évoluer avec Lucie. Une bouffée de chaleur se propage depuis mon bassin jusqu’à ma poitrine. Dans le mouvement plein de tendresse que vient de me faire mon fiston, je sens, avec précision son désir contre ma chatte brûlante. Je pose ma tête sur l’épaule de mon gros bébé, doucement, presque amoureusement, j’applique mes lèvres sur son cou dans une série de bisous, me grisant de la douceur de la chair tendre. Gilles a d’infinis frissons. Je prends l’initiative de prendre les lèvres de mon fils. Nos langues se bataillent un espace dans la bouche de l’autre, ou alors nos lèvres tentent de se dévorer entre elles. Ce baiser réchauffe mes sens, on se rapproche de Lucie et François, les vêtements tombent un à un. Complètement nus, nous continuons de danser, nos caresses se précisent.

Toute à mon plaisir d’être embrassée, bécotée par mon fils, je ne réalise pas immédiatement la pénétration du gland entre les grandes lèvres de ma chatte. Ce n’est que lorsque le bourgeon de chair vient s’enfoncer que je prends conscience que l’inenvisageable vient de se produire. Ma raison m’implore de repousser mon fils, qui se retire très lentement, ce n’est que pour atteindre une seconde fois mon entrée ruisselante, déclenchant dans tout mon corps d’incontrôlables vagues voluptueuses. Je n’ai pas le temps de raisonner Gilles, que je suis bâillonnée par sa bouche pour m’abandonner toute à lui, percevant dans mes entrailles les puissantes giclées de semence de mon rejeton.

Allongés tous les quatre sur l’épais tapis, nous nous détendons en buvant quelques verres et prendre une légère douche.

La joie d’être là, tous les quatre, avec mon mari, notre fils et sa femme, produit dans cette grande pièce une chaleur exaltante, envoûtante, à tel point que Lucie et moi ne sommes jamais rassasiées. Nous nous enlaçons tendrement pour le plaisir de nos maris et surtout pour le nôtre, nos jambes s’entrecroisent et nos bras glissent sur nos peaux, comme si nous cherchions à nous rapprocher encore et encore jusqu’à ne faire plus qu’une. Lucie m’embrasse le front, puis nos bouches se collent l’une à l’autre dans la fougue d’un baiser spectaculaire et merveilleux. Nos bouches toujours jointes, Lucie bascule sur moi. Ses mains me parcoururent, Je sens alors son corps peser un peu plus sur le mien et la toison de son jardin secret appuyer sur mon doux triangle bien noir. Emportée par le désir de donner un excellent tableau à nos observateurs, je fais basculer Sophie sur le dos et me retrouve sur elle. À mon tour, j’embrasse ses seins tendus dont les tétons deviennent de délicieuses friandises dans ma bouche. Puis, l’esprit déserté par la raison et les scrupules, je descends progressivement le long de son ventre jusqu’à sentir, sous ma langue, le léger duvet blond qui recouvre le coquillage. Elle écarte ses cuisses, m’ouvrant ainsi le chemin jusqu’à sa minette où je plonge brutalement, m’enivrant du nectar qui perle de ses lèvres intimes. J’aurais pu continuer à lécher chaque millimètre de sa peau des heures durant. Des heures à écouter Lucie murmurer cette volupté que je lui procure. Mais elle me repousse et me fait remonter à sa hauteur. Elle enjambe alors ma tête et je vois son entrejambe descendre sur mon visage. Une fois presque assise sur moi, je poursuis l’exploration de son intimité tandis qu’elle se penche de façon à atteindre la mienne. Et c’est à mon tour de gémir sous les assauts de sa langue fougueuse, jouant avec mes lèvres et mon clitoris pendant que ma bouche trempée de plaisir embrasse frénétiquement son sexe en faisant même quelques détours par son anus. Nos hommes ont vite retrouvés leur vigueur, ils sont de chaque côté de nous en se masturbant et ne pas perdre une miette de ce spectacle. On décide alors de s’occuper d’eux, nous les couchons sur le dos, la verge pointée vers le plafond, nous entamons quelques manipulations  savantes, Lucie sur mon mari et moi sur Gilles.

 

François caresse mon visage alors que je m’applique sur notre fils, il effleure mes lèvres de ses doigts que je suce comme une petite bite, puis je prends sa main et très affectueusement, la pose sur la verge tendue de notre fiston. François marque un temps d’arrêt, tous les trois, on se regarde en se demandant ce qu’il va faire, Lucie a bien compris mon idée, François réfléchit, il n’a sûrement jamais pensé à une pareille éventualité, je sais qu’il m’aime comme un fou et qu’il ne peut reculer, je sais également qu’il aime énormément son fils, l’ambiance du moment nous amène à faire des choses surprenantes. En effet, après un court instant de réflexion, il referme sa main sur le membre et commence un rythme lent, pour l’accompagner, je caresse les balles de Gilles d’une main et le visage de son père de l’autre. C’est un grand moment très soutenu, nos idées commencent à se concrétiser, Lucie manifeste sa joie en suçant son beau-père pendant que Gilles se détend sous les caresses de ses parents.

 

Soudain, Gilles se déplace pour aller rejoindre la bouche de sa femme qui cède sa place, émerveillée par son audace, en effet, il s’est emparé de l’organe de son père, il le tète comme un gourmand. On se regarde avec Lucie, nos yeux sont remplis de joie, nos hommes sont tête-bêche et maintenant, François prend la tige de son fils entre ses lèvres, ils s’absorbent tous les deux, nous sommes comblées par nos hommes. Nous nous installons derrière nos maris respectifs, je lui mordille les fesses, les écarte pour lécher la raie poilue, je sens l’excitation montée de mon mari, j’enfonce mon doigt dans l’étui chaud et serré pour lui donner un maximum de plaisirs, son orgasme est violent, il accélère ses mouvements dans la bouche de Gilles qui avale la giclée, on voit bien jusqu’où le désir peut aller.

 

Les hommes se regardent en souriant, une nouvelle source de bonheur est née dans cette ardeur tonifiante, pour manifester notre joie, nous nettoyons avec notre bouche les goupillons ramollis. Le père et le fils se tiennent par la main, ils sont très beaux dans cette position, on dirait vraiment deux frères, nous les embrassons tour à tour. Nous sommes de vraies sorcières.

 

On se repose tous les quatre, nous parlons de cet événement nouveau qui nous a émoustillés et d’un commun accord, nous sommes prêts à recommencer cette expérience. Gilles et François sont l’un à côté de l’autre, à la suite de cette conversation, ils ont une main posée sur le sexe de l’autre dans un geste amical.

 

Après une nuit de repos bien méritée comme on dit, le lendemain, une soirée resto où nous avons apportés beaucoup de soins à notre maquillage, la façon de nous vêtir beaucoup plus sexy, sans tomber dans le vulgaire, enfin nous voulons plaire. Et toujours nos maris nous font beaucoup de compliments sur notre beauté. Une fois rentrés à l’appartement, Lucie et moi continuons à les flatter pour leur galanterie et on y va gaiement sur les bonnes manières de nos hommes, on ne se tarit pas d’éloges sur leur corps, sur la beauté de leurs attributs. François soutient que c’est son fils qui est le mieux pourvu, alors que Gilles soutient le contraire. Lucie propose :

 

« Il n’y a qu’à présenter le matériel pour que l’on puisse juger ! »

 

Voyant la tournure des événements, Lucie nous entraîne à la chambre à coucher, toutes les deux, on s’installe confortablement sur le lit et nos deux compères doivent exécuter un strip-tease, ils se retrouvent à poil, après quelques pitreries qui nous font bien rire, nos amants ne sont pas dans une forme où on peut réellement arbitrer l’ampleur de leur anatomie, de plus, nos éclats de rire n’arrangent pas les choses et nous ne désirons pas intervenir pour ne pas fausser les règles du jeu.

 

Gilles use d’un autre stratagème, il pose une main sur l’épaule de son père, lui prend la verge de l’autre main et la manipule doucement, mon mari se laisse aller sous la caresse de son fils.

Lucie me chuchote à l’oreille :

 

« Je crois que l’on va avoir du spectacle, ma chérie ! »

 

On se détend en se collant l’une à l’autre pour se préparer à recevoir une bonne dose d’excitation. La verge de François prend des proportions importantes sous les manipulations de son fils, on se demande comment nos chéris vont poursuivre leur désir. François, qui était passif, devient entreprenant par la douceur que lui procure son fils, à son tour il prend le biscuit plus ou moins mou pour entamer une masturbation. Le spectacle revêt un aspect beaucoup plus chaud, les verges grossissent à vue d’œil, nos amants expriment de petits sourires de satisfaction en nous regardant, ils ne pensent plus à qui a la plus belle, complètement captivés par ces impulsions novatrices. C’est encore Gilles qui prend l’initiative, il s’agenouille devant son père, le prend dans sa bouche avec beaucoup de tendresse. Lucie et moi mouillons abondamment, de plus en plus serrées l’une contre l’autre, une main entre nos cuisses ouvertes, il y a seulement quelques semaines, jamais nous aurions imaginées de telles extravagances.

 

Mon mari a posé une main sur la tête de notre garçon pour l’accompagner dans sa fantaisie. Gilles se dégage en disant :

 

« Je ne sais pas si c’est la plus belle, mais je suis sûr que c’est la meilleure ! »

 

Il reprend le morceau en plaquant ses mains sur les fesses pour l’attirer et maîtriser les mouvements, il dévore la tige raide et luisante. François emporté par le tourbillon se laisse tomber sur le lit à nos pieds, on se retire pour laisser la place, nos maris se retrouvent en soixante-neuf, les deux hommes se sucent mutuellement et goulûment. Nous nous régalons de la scène, j’ai la chatte complètement imbibée, Lucie est dans le même état, ma main fait un clapotis entre mes cuisses. Nos chéris adorés sont bien exposés, nous contemplons tout, comme ils sont très mignons dans cette position. Ils n’hésitent pas à passer leurs langues entre les fesses.

 

      Sans titre 30

 

N’y tenant plus, on rejoint le couple déluré, Lucie se place entre les jambes de Gilles, moi entre celles de François, je soutiens la tête de mon fils, ce qui fait redoubler son activité sur son père, je me mets à genoux pour qu’il pose sa tête sur mes cuisses, ce qui me permet de masturber le goupillon de mon mari pendant que mon fils lui suce le petit trou. Je prends un oreiller que je place sous la tête de mon fils et je me mets entre les deux hommes pour sucer François pendant qu’il se fait faire une feuille de rose.

 

Je sens les vibrations de mon homme qui a la bouche pleine, il se met à crier comme une bête en rut, Lucie accélère son action sur son Gilles qui fond lui aussi. Nous les embrassons sur la bouche où on retrouve des odeurs familières.

 

Maintenant, nous vivons tous les quatre, ensemble, nous connaissons des moments forts et si inattendus que nous ne sommes pas prêts de nous séparer.

 

FIN

 

 

 

 

 

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Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : L'amour en famille
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