amour sans tabou

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Dimanche 5 juin 7 05 /06 /Juin 14:44
Par amoursanstabou - Publié dans : vidéos - Communauté : Vous avez dit inceste
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Samedi 30 avril 6 30 /04 /Avr 17:27

 

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Quand j'ai eu Loïc, je venais de me marier avec Fred, un garçon qui m’a trouvée vierge.

Puis deux ans après, il m’a donné une fille, Julie. Nous élevions nos deux enfants sans trop nous en rendre compte.

Fred a monté sa boîte, ça marchait fort, si bien que j’ai dû quitter mon emploi pour être la secrétaire de mon mari. Quelques années plus tard, il s’agrandissait en installant le siège à Paris, ce qui l’obligeait à s’absenter une grande partie de la semaine, alors que moi, je restais dans notre petite localité du sud-ouest pour continuer à faire marcher ce commerce qui est devenu une agence et, surtout, pour m’occuper des enfants qui, maintenant, vont au lycée. Nous ne sommes pas des fêtards et gagnons bien notre vie.

 

Je me retrouve donc seule avec Loïc et Julie, plusieurs jours durant de la semaine.

Pour être franche, je dois dire qu’avec mes enfants, ce n’était pas le grand amour et je ne faisais aucun effort pour me rapprocher d’eux, un père toujours absent et une mère toujours au travail n’est pas pour créer des liens familiaux.

Ils sont cachotiers et distants, ce qui n’arrangeait pas les choses. C’est vrai que mon travail m’accaparait énormément, mais j’avais envie de mettre fin à cette relation peu bénéfique. Je décidai donc un soir où nous étions seuls devant cette télé lassante, d’ouvrir le dialogue pour chercher à les apprivoiser et me rapprocher d’eux. J’ai ressenti qu’ils n’étaient pas réticents et ouverts à mon dialogue, certainement qu’ils en avaient besoin, un jeune homme de dix-sept ans et une jeune fille de quinze ans, c’est toujours un peu perdu. De jour en jour mes enfants se rapprochaient davantage et devenaient plus intimes dans nos conversations. On se sentait de plus en plus à l’aise tous les trois. Une fois que Fred était parti, Julie et Loïc se détendaient complètement.

 

Nous partagions de vraies discussions de copains, ils me parlaient d'eux et je tentais de me montrer tout aussi franche. Je découvrais que ma fille était toujours aussi candide, voire ingénue et que mon fils la protégeait comme l’aurait fait un père. Ils étaient frais, simples et si pleins de vie. Je ne regrettais pas un instant d’avoir brisé ce mur qui nous séparait. Ils me posaient des tas de questions sur leur naissance, comment ça c’était passé, quelques fois, leur interrogatoire devenait un peu gênant, ils voulaient tout savoir à partir de la conception. Avec une certaine réticence, je leur révélai, en quelques mots, ce qu’ils savaient déjà sur l’amour et la reproduction. Je me fis donc évasive, voire même fuyante. Pour ma part, je n’ai jamais abordé le sujet avec ma mère, bien trop coincée... Du coup, moi aussi, je faisais comme elle, je perpétuais une tradition pour le moins ridicule. Après une grande réflexion, je me suis recadrée et bien décidée à reprendre les choses en main avec mes enfants. Ainsi le lendemain-soir, ils réattaquaient le même sujet, ne voulant pas passer pour une mère pincée, je lançai, l'air de rien, une anecdote du temps de ma grossesse qui les fit bien rire.

 

Je préférais y aller peu à peu sans devancer leurs questions.

Je relatai donc, sans trop m'appesantir sur les détails, comment ils sont venus au monde l’un et l’autre. Julie, cependant, demanda plus de précisions sur l’amour en lui-même. De mon côté, j’essayais de dévoiler, en m’adressant aux deux ados, le plus que je pouvais sans tomber dans la grossièreté.

Au Bureau, je ne pensais qu’aux questions éventuelles qu’ils pouvaient me poser pour en préparer les réponses. Ainsi passe la semaine et à l’arrivée de mon mari, je lui en parlais quand nous étions au lit et je devenais une véritable cocotte minute, prête à exploser, malgré le manque évident de câlins de sa part. Il ne m’a jamais trompé et il était fou d'amour pour moi, mais il ne savait guère y faire avec les femmes. J’avais de la peine à m’endormir, je restais sur ma faim, pourrait-on dire ! Si cela continue, je vais prendre un amant et ce sera bien fait pour lui s’il est cocu ! J’ai tellement envie de câlins.

 

Le lundi matin, comme d’habitude, mon mari prend le train pour Paris, nous laissant tous les trois jusqu’au vendredi. Le soir, pendant le dîner, c’est ma fille qui demanda, la première, comment se sont passées les nuits du week-end, je ne pus retenir un petit rire mi-sarcastique, mi-effondrée par un petit sentiment de honte.

Je me rendis compte qu'ils m'observaient plus qu'à l'accoutumée. Leurs regards se faisaient plus appuyés, plus précis.

Je pense que ça devait les amuser de contempler leur mère comme une femme mûre. Et il arrivait que je les embrasse bruyamment sur les joues pour leur montrer que leurs regards ne me gênaient pas.

 

*****

 

Pourquoi ce fameux mercredi, jour férié, mon mari étant resté à Paris, suis-je montée à l’étage ? Pour changer de tenue je crois. J'avais ôté ma robe et ouvris la porte du placard pour en choisir une autre. À ce moment-là, j'entendis les voix de Julie et Loïc, alors que je pensais qu’ils étaient sortis. J'en conclus que seule la cloison du fond de placard de cette maison ancienne servait de séparation entre les deux chambres. Je n'entendais pas distinctement leurs paroles. Je ne suis cependant pas curieuse, pourtant je collai mon oreille pour mieux saisir leur conversation et ce que j'entendis me stupéfia.

J'identifiai la voix de Julie qui émettait des sons saccadés.

 

J’ai de suite compris ce qui pouvait se passer dans la chambre de ma fille et loin de penser à des relations incestueuses entre mes deux enfants. Je sortis de ma chambre pour aller sur la pointe des pieds devant la porte de la chambre, mon indiscrétion me poussa à ouvrir la porte sans bruit pour les apercevoir nus tous les deux sur le lit. Vous imaginez ma surprise. D’abord interloquée, choquée, puis charmée à la vue de leurs deux corps si savamment enlacés. Ils ne me virent pas tout de suite, tant ils étaient occupés à bien se mignoter. Je restai sur le pas de la porte, à la fois stupéfaite, dépitée, intriguée et contemplative. La vue de ces deux ados joliment épousés, se livrant à des caresses dont on ne peut plus précises, me troubla profondément. J’allais refermer la porte pour m’éloigner et reprendre mes esprits, quand ils sentirent ma présence et se tournèrent vers moi, pas du tout gênés et me firent signe de rester, puis après quelques secondes de venir m’asseoir sur le bord du lit. Mille questions se posèrent dans ma tête, qu’allaient-ils me dire pour essayer d’expliquer leurs mœurs pour le moins libres et encore plus surprenantes, pour la mère que j’étais ?!

 

Ils étaient beaux, en dépit de quelques mèches de cheveux dérangées au cours de leurs ébats. Comme ils se ressemblaient, le visage, les traits, les yeux, les cheveux, les lèvres, les attitudes… Je pensais : « Deux démons de chair en vérité ! » Ma fille voulut me prendre dans ses bras, je reculai… J’étais à la fois déçue, surprise de tels agissements. Depuis combien de temps cela durait-il ? Je ne me sentais pas bernée, non, mais je m’en voulais de n’avoir jamais rien vu ou ressenti. Je me dis qu’il était certes très difficile d’avouer un tel secret à sa mère malgré mon esprit d’ouverture depuis quelques semaines. J’étais inquiète, mais malgré tout intriguée et curieuse de ce qu’ils allaient pouvoir m’avouer, maintenant que j’avais tout vu.

Ma fille parla la première :

 

« Eh bien, oui, Maman , Loïc et moi sommes amoureux et depuis longtemps, c’est notre secret, notre jardin secret, comme deux amants, voilà…, cela ne change en rien notre amour pour toi maman, mais je suis très attachée à cette relation que tu jugeras sans doute scandaleuse, mais qui nous lie très intimement… ! »

 

Tout à coup, je m’aperçus que je n’avais pas renfilé une autre robe, j’étais seulement vêtue de mon soutien-gorge et de ma culotte, pensant être seule à la maison.

Je regardai ma fille qui, nue et sans la moindre gêne, me laissa contempler sa fine poitrine ferme, ses petits seins hauts, bien dardés, un ventre plat et blanc, terminé par une merveilleuse et fine toison brune.

Elle posa l’une de ses mains sur ma joue et dit :

 

« Oui, maman, tu ne l’aurais sans doute jamais su, si vous tu ne nous avais pas surpris ainsi dans nos folies…

.. Jamais tu n’entres dans notre chambre quand nous y sommes… !

.. Loïc et moi nous nous aimons, c’est vrai, nous sommes liés d’un vrai amour indestructible, dont nous avons besoin… ! »

 

J’étais abasourdie et ne savais que dire… Ils essayèrent de me rassurer, d’apaiser mon désarroi, me serrant contre eux, leurs mains dans mes cheveux, leurs haleines toutes proches, la chaleur de leurs corps nus si près qu’ils finirent par me troubler…

 

« Maman, reprit Loïc, ne pouvons-nous pas vivre notre amour ? Julie est ma chérie, je sais que ta passion avec papa s’est dégradée depuis que ses affaires marchent bien et avec tous ses voyages à Paris, tu sais, maman, je la désire, je l’aime, j’aime faire l’amour avec elle…, comprends-tu, maman ? »

 

Je réfléchis, silencieuse, l’une de ses mains caressant machinalement, mais délicieusement, ma cuisse…, allaient-ils ainsi me troubler, au point de me faire comprendre, admettre et accepter leur idée dans la licence la plus complète ?

 

Je me trouve tremblante, mais réconfortée par ma fille qui me tient la main. Pourtant, nous nous connaissions mieux depuis quelques semaines. Je suis quand même gênée au point de vouloir repartir. Mes enfants me rassurent, ils me répètent que nous sommes maintenant très proches les uns des autres pour pouvoir faire ça sans honte ni complexe, bien au contraire, que je devrais être heureuse de nous voir ainsi s’aimer.

 

L’ambiance est un peu électrique, mais se détend progressivement.

Malgré tout, je sens mon sang battre dans mes artères. Mes deux enfants sont en train de m’associer, petit à petit, à leur duo par leur attitude, ils m’attirent entre leurs bras en voulant me faire sombrer et me faire admettre leurs "vices" intimes, sans que je n’aie pu même dire un seul mot… Les silences de la chair sont parfois plus éloquents et convaincants que les mots les plus forts. La chair parle, les désirs aussi, l’être vibre sans le vouloir et fait preuve de faiblesse contre laquelle il sombre… Je suis en train de sombrer.

 

 

Après quelques secondes de méditation, nous pouffons tous les trois. Nous nous levons, habillons, puis regagnons le salon.

Loïc s’absente quelques minutes pour revenir avec une bouteille de champagne et trois flûtes qu’il dépose sur la table basse. Pour arroser quoi ? Leur succès ? Ma défaite ? Ma faiblesse qu’ils avaient devinée ? Ne semblaient-ils même pas un peu soulagés de savoir que maintenant…, je sais…

 

« Voilà ce à quoi nous avons pensé… Dit ma fille, d’une voix basse.

.. Si tu n’acceptes pas cet amour qui me lie à Loïc, nous serons très malheureux…

.. Très malheureux tous les trois ! »

 

Puis elle reprend :

 

« Alors, pourquoi ne serions-nous pas heureux de temps en temps, tous les trois, ne formerions-nous pas une petite famille harmonieuse, épanouie… ?

.. Malgré papa qui n’est pratiquement jamais là…

.. Un secret entre nous trois, nous te promettons, maman, que tu seras comblée ! »

 

Elle dit cela avec un tel aplomb que j’en suis désarmée.

 

« Allez, trinquons à notre secret ! »

 

Je heurte ma flûte à la leur et prends une gorgée fraîche et pétillante qui me fait du bien… Julie m’embrasse, Loïc aussi et…, sur mes lèvres.

Le péché, l’envie, le désir, la recherche de l’inavouable, voilà à présent ce qui nous guide tous les trois.

 

Le soir au dîner, nous nous éternisons à table, parlant de tout et de rien, nous nous marrons franchement parfois. Naturellement, leur escapade de cette après-midi est vite venue occuper nos propos. C’est d’ailleurs Julie qui, la première, a évoqué le sujet.

Ma fille ne tourne jamais autour du pot. Elle m’en fait encore la démonstration ce soir.

 

« Tu sais, maman, tu es la plus belle femme que je n’ai jamais vue !

– Rien que ça ? Je réponds, le sourire aux lèvres.

– Rien que ça, oui maman, quand j’ai vu ton corps, tes courbes parfaites, la douceur de ta peau !

– Euh… ! »

 

Je viens de m’empourprer. J’aurais bien voulu être ailleurs.

 

« Je te vois rougir, maman, mais il n’y a pas de raison !

– Vous savez, mes enfants, je n’ai pas le même âge que vous ! »

 

Les propos de Julie envahissent mon esprit, augmentant le nombre de mes questions. J'observe Loïc et je me rends compte, qu'effectivement, ils sont en train de changer tous les deux, de mûrir, de devenir des adultes. Je me sens gauche, maladroite, mais les mots sortent difficilement de ma bouche. J'ai sans cesse en tête ces images récentes qui réapparaissent. Le mignon goupillon érigé de mon fils devant sa sœur, leurs mains sur mon corps, mes cuisses ouvertes face à ma fille.

C'est encore Julie qui libère un peu la tension qui est en train de s'accumuler en cette fin de repas en lançant joyeusement :

 

« Et si on jouait aux cartes, au lieu de regarder la télé ?

– Excellente idée, fait Loïc, en commençant à débarrasser la table, installez-vous au salon, j'arrive ! »

 

Nous nous sommes assis autour de la table basse et Loïc ramène un jeu de cartes.

 

« À quoi joue-t-on ? Demande-t-il, en battant le jeu.

– Pas à la bataille, c'est nul ! Lance Julie.

– Tu as raison, dis-je, au rami ?

– On joue tout le temps au rami…, et si on faisait un poker ? Glisse Loïc.

– Tu sais bien que je n’aime pas beaucoup ce jeu ! Fais-je, d'une voix tranchante.

– Alors un strip poker ? Propose Julie, en riant.

– Mais… Je bafouille, inquiète de la tournure que prend la situation.

– Allez maman… Enchérit Loïc qui vient, de bon cœur, à la rescousse de sa sœur.

.. Nous nous connaissons maintenant et nous sommes en famille !

– Ne t’inquiète pas, maman, ce n’est qu’un jeu entre nous ! » Ajoute Julie.

 

Je ne suis pas très à l’aise, mais leur délicatesse extrême durant cette soirée me pousse à abandonner toute controverse.

 

« Loïc, donne les cartes ! » Ordonne Julie, en battant des mains.

 

Je n'ai que de vagues notions de ce jeu que je n'ai jamais apprécié. Par contre, les enfants semblent bien au fait des règles car ils jouent très bien. Ce qui devait arriver arrive et je perdis rapidement. Julie par contre, réussit à gagner, c'est à elle de décider. Elle me regarde un court instant, puis demande à Loïc de retirer son tee-shirt, le mettant ainsi torse nu. En jouant le deuxième tour, je me dis que la situation devient inconvenante, indécente, mais je n'arrive pas à le dire, encore moins à refuser de jouer, alors que je passe pour une femme autoritaire au bureau.

 

Quand Loïc gagne, il me regarde et me demande de retirer mon haut. Impuissante à résister, je me lève et sous leurs yeux, je retire mon chemisier, montrant mon soutien-gorge en dentelle légèrement transparente. En rougissant, je me rassieds et distribue les cartes à mon tour. Je m'aperçois que ma fille regarde ma poitrine.

 

« Vous avez soif, les filles ? » Demande Loïc en se levant.

 

Puis il ajoute :

 

« On ouvre une autre bouteille de champ’ ? »

 

Il est vrai que dans le frigo, il y a toujours deux ou trois bouteilles de champagne.

 

« Pourquoi-pas ? » Dis-je en grimaçant.

 

Pendant qu'il va chercher la bouteille et les coupes, je reste un peu gênée alors que ma fille observe sans arrêt mes seins.

 

« Ces dames sont servies, lance mon fils en posant nos boissons, voyons vos cartes, mesdames ! »

 

Je n'ai qu'une simple paire de neuf, Loïc une double paire et Julie exhibe triomphalement un beau brelan. Sans hésiter, elle me dit :

 

« Maman, enlève ta jupe, s'il te plaît ! »

 

Soulagée de ne pas devoir quitter mon soutif, je me lève et fais glisser ma jupe. Je me rends compte que je le fais d'une façon sensuelle, en cambrant les reins plus que nécessaire. Je lis la surprise dans les yeux de mes enfants. Lentement, je reprends ma position assise, délicieusement excitée. Le tour suivant voit la perte de ma fille, et pour cette fois c'est moi qui ai la main la plus forte. Le regard plein de douceur, je demande à Julie de retirer sa robe. Elle s'exécute rapidement et le plus naturellement du monde en montrant son corps juste pourvu de sa culotte. Même si Loïc l'a souvent vue nue, je me sens troublée par cette proximité entre eux. Je vois, en effet, que Julie ne s’était pas embarrassée d’un soutien-gorge, ce qui me permet, encore une fois, d’admirer la beauté de ma fille.

 

En souriant, elle distribue les cartes pour un nouveau tour. J'aimerais tant interrompre cette partie avant qu'elle ne soit trop engagée, mais l'enthousiasme de mes partenaires m'en empêche. Heureusement, c'est Loïc qui vient de perdre et je m’empresse de lui demander de retirer son pantalon ce qu'il fait sans rechigner.

Toujours, Julie regarde davantage mon corps que celui de son frère qu'elle connait bien. Ne voulant pas perdre un de mes deux derniers habits, je tente de faire une suite, mais il me manque une carte et comme je n'ai aucune combinaison, je sais que je vais perdre. Résignée, j'attends la punition qui tombe par la bouche de ma fille :

 

« Maman, fais-nous voir tes seins ! »

 

La culpabilité ne cesse de me torturer, mais un autre sentiment indéfinissable s’y mêle, ressemblant à une poussée d’adrénaline, à une excitation malsaine alors que je ne cesse d’observer mon fils en slip. Rouge de honte, les mains tremblantes, je dégrafe mon soutien-gorge.

 

« Ah non, maman, fait Loïc, mets-toi debout ! »

 

Les jambes un peu flageolantes, je me relève, j'ai la sensation d’être un peu saoule quand, enfin, je réussis à ouvrir ma pièce de lingerie. Je fais glisser mes bretelles et en creusant les épaules, je retire mon soutif, dévoilant mes seins. Je ressens un léger bien-être d'avoir supprimé la prison qui comprimait ma poitrine, signe qu’il y a chez moi une certaine excitation.

Pour des raisons obscures, je suis submergée par une violente bouffée de chaleur, machinalement, je prends mes globes en main pour les malaxer, faisant ainsi pointer davantage mes tétons. D'un mouvement de tête, j'agite ma chevelure en regardant avec fierté mes deux spectateurs en souriant. Ils ont l’air heureux de voir leur mère ainsi s'exhiber. Acceptant leurs regards, je bombe le torse en remontant les épaules et je pose mes mains sur mes hanches afin de bien leur montrer que je n'ai aucune gêne.

 

« Comme ils sont beaux, maman ! Fait doucement ma fille, toute émue.

– À qui de donner ? » Dis-je en m'agenouillant, les fesses sur les mollets.

 

Il nous reste plus qu’un seul sous-vêtement à tous les trois, à égalité. Le prochain perdant devra montrer son intimité aux deux autres. Je ne sais pas si c'est l'effet du champagne, mais je me sens complètement désinhibée. De la façon dont je suis assise, ils peuvent regarder autant qu'ils veulent mes seins qui bougent à chacun de mes gestes.

La donne m'a fourni un brelan et c'est Loïc qui perd à cause d'une paire de 8.

 

J'hésite de lui donner l'ordre de retirer son slip, c’est en souriant, pas du tout gêné, qu’il se met debout et, d'un coup, fait glisser son slip à ses pieds. Sa verge jaillit comme un diable de sa boîte ce qui fait rire Julie. Il reste un instant debout, exhibant fièrement son organe. Je le trouve admirablement beau, légèrement moins important que celui de son père, mais beau. Il se rassied et distribue les cartes en me souriant d'un drôle d'air. Julie qui n'a eu qu'un rapide coup d'œil vers son frère, ne quitte pas des yeux ma poitrine. La fin du jeu approche, car celle de nous deux qui gardera sa culotte aura gagnée. Je mesure l'indécence de ce jeu, mais pourtant, je n'éprouve plus aucune culpabilité maintenant. Je crois même que j'ai envie de perdre pour leur montrer que je suis plus hardie qu’ils ne le pensent. Aussi, volontairement, j'écarte trois cartes dont une paire de dames. Quand nous retournons nos jeux, je sais que j'ai déjà perdu et cela accentue mon excitation.

 

« À poil, à poil, maman ! » Font en chœur Loïc et Julie, en frappant des mains.

 

Je ne sais plus qui je suis, où je suis et ce que je fais.

Un peu trop rapidement à mon goût, je me mets debout en leur tournant le dos et dandinant des fesses, je fais glisser ma culotte en me penchant pour la poser jusqu'à terre. Julie applaudit en criant « Bravo maman ». Puis je me retourne, les poings sur les hanches pour leur exhiber fièrement mon pubis garni d'une belle toison noire.

 

Tous les deux se sont levés, leur verre à la main pour me féliciter de ma prétendue beauté. Je n’en crois rien, c’est plutôt un grand témoignage de gentillesse pour avoir joué à leur jeu sordide.

 

Je suis aux anges avec mes enfants et la tête ailleurs, quand soudain, je sens les mains de Loïc se poser sur mes épaules et descendre dans une douce caresse le long de mes bras, ce qui me fait agréablement frissonner. Je le perçois comme un geste naturel et affectueux, je ne suis ni surpris,e ni offusquée.

Alors que Julie m’embrasse sur les joues, me prenant affectueusement la tête entre ses mains, je sens les mains de mon fils descendre dans mon dos. Exaltée, ma poitrine s’est durcie immédiatement d’excitation sans que j’y puisse rien. Il est vrai que je suis en manque depuis pas mal de temps, mais ce n’est pas une justification.

 

« Dis donc, Loïc, faut pas te gêner ! » Lui dis-je, sur un ton amusé, dissimulant à peine mon trouble, sans pour autant me dégager, pensant que c’était juste une petite familiarité et ne voulant pas apparaître trop vertueuse.

 

Je suis complètement prise de cours, ne sachant plus ce qui se passe. Au même moment, Julie, en me souriant, passe doucement ses mains sur ma poitrine et les laisse descendre lentement, dépassant le niveau de ma taille pour caresser mes cuisses nues. Je ne maîtrise absolument plus rien de la situation.

Dans sa position, ma fille me serre contre son frère et je me trouve prise entre eux deux, ne pouvant me dégager sans un mouvement un peu brutal qui ne justifie pas. Pétrifiée, ne sachant plus ce qui m’arrive, et toujours convaincue que c’est un simple et bref petit jeu entre ces deux garnements.

 

Profitant de mon hésitation et sentant que je n’émets pas de véritable protestation, Loïc m’attire lentement en arrière, de manière à me faire plus ou moins asseoir entre ses jambes sur le canapé, le dos contre sa poitrine, me gardant dans ses bras qu’il a passés sous les miens pour me maintenir ainsi. Julie s’est agenouillée devant moi et pose son visage sur mes cuisses.

 

Tout s’est passé si vite et sans brusquerie, d’une façon qui paraît tellement naturelle que je suis restée sans réagir, sans avoir le temps de réaliser ce qui se passe, en me laissant faire comme une droguée. Je prends soudain conscience que je suis entièrement nue entre les mains de mes enfants et qu’il me faut protester, mais il est bien trop tard. Dans ma tête, tout s’est arrêté subitement, impossible de réagir, emportée par un délire démentiel. Je ne peux rien faire d’autre que de les laisser faire.

Très vite, la situation a fait monter ma fougue, je sens que je commence à mouiller malgré moi.

 

« Montre-toi plus, maman, tu es belle, la plus belle des mamans ! » Murmure Julie, sur un ton que je ne lui connais pas, tout en s’installant entre mes jambes.

 

Horriblement confuse qu’elle puisse ainsi voir mon intimité profonde, cela m’a pourtant fortement troublée et a attisé mon excitation, si bien que j’ai, de moi-même, écarté les cuisses autant que je le peux.

 

« C’est que tu es une très belle femme, maman ! » Insiste Loïc dans mon oreille.

 

Je suis à la fois étonnée et agréablement surprise de ce compliment venant d’un jeune homme qui, de plus, est mon fils. Il n’est pas très courant de recevoir ce genre de remarques, venant de ses jeunes ados.

 

« Merci, vous êtes gentils tous les deux ! »

 

Je ne peux m’empêcher de reprendre aussitôt :

 

« Mais il y a votre père !

– Et alors, maman, tu n’as pas d’amant ? Pas d’aventures ?

– Mais non, je suis fidèle à votre père ! »

 

En disant ces paroles, Loïc s’est plaqué encore plus contre moi. Je sens son corps contre mon dos et la main qu’il conserve sur l’arrondi de mon épaule se transforme en une main caressante.

L’alcool doit être la cause de mon manque de réaction. Il me faut un moment pour comprendre la situation. Loïc se sent fortifié devant ma faiblesse et alors que ses lèvres vont lentement vers ma nuque, ses mains saisissent mes hanches dans un geste de possession. Alors qu’il pose des baisers dans mon cou.

Il me suffirait de dire « non » et tout redeviendrait normal. Après tout, c’est mignon et pas désagréable, cependant des lèvres effleurent ma nuque.

 

Une voix en moi me dit que je suis une hypocrite, que je sais très bien à quoi m’attendre, continue de me susurrer ma conscience. Ose dire que tu n’en as pas envie ? Ton mari te néglige. Ne sens-tu pas au creux de tes reins ce désir qui monte ? Et si ce sont tes propres enfants qui te l’apportent, ce n’est pas vraiment tromper !

 

Mais je ne peux pas, je ne veux pas que ça se termine comme ça ! Je suis littéralement, complètement, que dis-je, intégralement tombée amoureuse de ces garnements. Le méga coup de foudre. Leurs parfums m’ont envoûtée, l’odeur de leur peau. Je suis en colère, frustrée, perdue, honteuse, honteuse de mes sentiments, déjà esclave de mes enfants ! Perdue, apeurée dans le gouffre qui, devant moi, s’ouvre, créé par l’absence de mon mari ! Par l’insuffisance d’amour qu’il a pour moi.

 

Les lèvres passent sur ma joue et rampent vers mes lèvres. Une statue ! Je suis une statue. À la fois terrifiée de ce qui peut arriver, mais aussi de ce que je peux faire cesser par un seul mouvement.

Quel goût délicieux de ces lèvres sur les miennes, de ces lèvres fraiches de mon gamin. Des lèvres dont une pointe de chair semble sortir pour venir lécher les miennes, plus marquées d’un maquillage rouge vif, pas du tout prévu pour un baiser. Mais la langue ne s’attarde pas, elle avance, repousse et s’aventure dans ma bouche que je lui cède. Alors commence une douce bataille de nos langues faisant connaissance et qui jouent au chat et à la souris. Loïc, malgré sa douceur, se comporte comme un amant, comme mon mari au temps où il avait encore soif de mes lèvres et ne les considérait pas encore comme un orifice parfait pour son sexe d’homme.

 

Je tente de faire un demi-tour pour répondre correctement à son baiser. Oui, je n’ai pas honte de dire que c’est bon, inconnu, agréable. Nos visages se touchent, nos nez se heurtent dans ce qu’il faut bien appeler un baiser fougueux et sensuel. Il emprisonne ma tête entre ses mains comme pour en prendre le contrôle. Mais ce n’est plus nécessaire, je fonds sous ses baisers. Julie est venue s’assoir de l’autre côté enthousiasmée par cette étreinte avec son frère.

 

Ce sont des mains douces qui s’emparent de ma poitrine, de mes seins pour les envelopper et les caresser. Mes tétons sont maintenant des pointes que Loïc suce ou malaxent entre ses doigts. C’est bon, doux, tendre et excitant.

 

Il me semble que je suis encore endormie ?

 

Un vent léger et frais me caresse, qu’un subtil parfum envahit la pièce. Ces mains douces sur mon corps ; Mon dieu, c’est quoi ce rêve ?

 

Un souffle se pose sur mon ventre, bientôt rejoint par de douces et chaudes lèvres.

Mon dieu ! Qu’est-ce que c’est bon !

Des mains se posent sur mes cuisses et remontent délicatement…

 

Ma conscience me dit qu’il ne faut pas te réveiller ! Pas maintenant ! Mon dieu ! Ne me réveillez pas maintenant !

 

Mais la descente continue, les baisers courent maintenant sur mon ventre, s’attardent vers mon nombril, je ne sais de qui proviennent toutes ces douceurs, ma fille ? Mon fils ? Ou les deux !

Les lèvres continuent de descendre. Le souffle est une brise tiède sur mon minou qui doit s’entrouvrir sous la caresse.

Il faudrait une page entière pour pouvoir traduire le premier contact de cette bouche et de cette langue pointue sur ma fente. Le frisson qui me prend est un tremblement de terre qui me secoue si fort, que je m’agrippe au velours du canapé comme une noyée à une barque. La surprise n’est pas dans le geste que je voyais venir et que j’avais accepté, mais dans son résultat. En quelques secondes de ces caresses, je ne suis plus qu’une femelle en chaleur, une adolescente qui sent venir son premier orgasme. La langue lèche et la bouche aspire mon bouton pendant que mes seins sont saisis par d’autres lèvres. Mon clito semble gonfler, gonfler et devient si sensible que les caresses oscillent entre plaisir et douleur.

 

Ces jeunes m’épatent, qui me surprennent par leur habileté, ils savent deviner ce qu’une femme attend. Des doigts tordent mes tétons, tirent les pointes, les martyrisent, mais que c’est bon, que c’est bon !

Encore et encore, lèvres, langues et mains s’activent.

L’orgasme monte, monte et libère des flots de jus, que mes amants reçoivent comme une récompense.

La jouissance m’a littéralement anéantie. J’ai l’impression que tout sortait de mon corps, de mes reins, en passant par ma colonne et ma tête pour redescendre ensuite et sortir, exploser, dans cette bouche !

 

Tout flotte autour de moi, je me sens légère, vaporeuse. Suis-je morte ?

Il me faut un moment pour me ressaisir, retrouver où je suis et qui vient de m’emmener si loin, si haut.

Sans un mot, Julie et Loïc échangent un baiser presque sage, plus une promesse qu’un acte sensuel.

 

 

J’ai à peine une hésitation. Au point où j’en suis, autant aller jusqu’au bout. Boire le calice jusqu’à la lie, comme on dit. Sauf que la lie de mon calice, c’est la promesse du plaisir, même si ce n’est pas vraiment un plaisir atteint honnêtement.

 

Je sors de mes songes pour admirer mes deux anges, réjouis de m’avoir fait vivre l’impensable, ce qui était inconcevable pour moi, ha ! Ils peuvent être fiers, je me dirige vers Julie et m’agenouille devant elle, je pose mon visage sur ses cuisses par reconnaissance. Son odeur est agréable, mélange de parfums et d’odeurs intimes distillées au plus profond de sa grotte.

 

Pourtant sa main saisit la mienne et me guide vers d’autres cieux. Elle me donne à flatter la verge de son frère, souhaitant partager ainsi la mère que je suis. Elle repose sur la base de l’organe, doux mais dur, souple mais tendu. Ma main en fait le tour, mais la longueur est plus difficile à mesurer. En tout cas, il répond à mes caresses et vibre alors que j’entreprends de le masturber lentement.

 

Je suis au service de mes enfants. Je suce, je lèche, je caresse, je masturbe. Ils sont à ma merci et dépendent de moi pour leur plaisir. Le plaisir, c’est aussi le mien. Je sens une chaleur en moi que je voudrais partager. Ma fente est humide et je dois couler comme jamais depuis longtemps.

 

Je m’active avec délice et chaque caresse que je procure participe à mon propre émoi. Ma fille doit sentir cela car elle s’éloigne de son frère pour m’en céder la place. J’avance, abandonnant la queue, pour me mettre à quatre pattes et me pencher.

Je dois avoir une attitude de « courtisane » la tête plongée entre les cuisses de ma fille et les fesses à l’air, mais même si je suis leur mère, je sais ce qui m’attend. La main de Loïc me fait sursauter, je la sens glisser sur mes fesses, écarter le sillon et venir se plaquer sur ma chatte brulante. Un doigt furtif entre sans vergogne dans ma grotte, avant-garde de ce qui doit venir. Le message doit être passé au gros de la troupe car c’est maintenant son beau phallus qui se propose.

 

Il pousse. Je m’arc-boute, pensant à une introduction difficile. Mais non, le pieu entre sans coup brutal, sans résistance, preuve que toute cette situation m’a excitée, produisant le liquide glissant que la nature a produit. La petite voix dans ma tête devient lubrique et prononce des mots que jamais mes lèvres n’ont osé laisser sortir.

 

« Tu te rends compte de ta chance ! Un beau jeune homme et une femme splendide rien que pour toi !

.. Lèche la chatte de ta fille, pousse ta langue dans sa grotte, recueille le suc de son con, enduis son clito avec sa liqueur !

.. Et le cul, n’oublie pas son cul, sa rondelle, teste sa résistance !

.. Et ce garçon, mon fils qui vient de te prendre comme une femme légère, soumise !

.. Ah, sa queue, longue et étroite, qui prend ta virginité !

.. Mais oui, ta virginité, ton vagin n’a connu depuis si longtemps que la bite de ton mari, qu’il a oublié ce que cela faisait de se faire prendre par un autre, plus jeune, différent !

.. Tu sens comme sa queue respire, bat au rythme du sang que le cœur envoie !

.. Profite ! Profite ! »

 

C’est la voix de la raison ? Pas sûr ! En tout cas, je l’écoute et me laisse aller. Mon fils a maintenant pris la dimension de ma grotte et s’occupe à en augmenter la profondeur. Il me travaille avec entrain, ne remet pas à demain ce qu’il peut faire aujourd’hui. Sa queue est un piston qui coulisse et me fait du bien.

Encore, encore…

 

Chaque avancée me pousse vers la chatte de Julie. En me baisant, il imprime un rythme que mes lèvres et ma langue transmettent avec avidité. Mon fils me bourre et je laboure sa sœur. Je ne suis que la courroie de transmission, mais que c’est bon !

Chaque seconde me procure un plaisir que je ne peux exprimer par la parole, mes lèvres se faisant elles-mêmes une tombe de l’intimité de ma fille. Mais Julie et Loïc parlent pour moi. Ma gorge ne renierait pas les « c’est bon », les « encore » et tous ces petits bruits qui font une bonne étreinte.

 

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Combien de temps m’a-t-il honoré de son ardillon qui semblait gonfler de minute en minute ? Combien de temps ai-je respiré l’odeur de plus en plus forte de la boutonnière de Julie ? Je ne sais pas. Je me souviens juste des secousses qui ont annoncé la montée du plaisir de Loïc et que je m’attendais à recevoir au plus profond de ma grotte.

Julie et moi avons joui presque en même temps et je me souviendrai longtemps de ce plaisir, de ces plaisirs nouveaux. Sentir la divine liqueur de ma fille suinter de son minou, ce jus si particulier, à la fois identique, mais différent du mien, que mon mari me porte quelquefois aux lèvres, voilà une sensation qui, à elle seule, me fait oublier tout ce que cette situation a de spécial.

 

Reprenant ma place, assise entre mes deux coquins, nous reprenons quelques gorgées de champagne sans un mot, je réalise tout ce que la situation a de cocasse. Il me suffit de tourner la tête pour passer de ma fille d’un côté à mon fils de l’autre côté avec sa verge au repos, pendant délicatement vers le coussin du canapé, entrainant les bourses, elles aussi relâchées. C’est attendrissant, cette chose molle et flasque capable de se transformer en bâton de pouvoir, sceptre masculin devant lequel, nous, femmes, nous inclinons souvent pour un plaisir réciproque.

 

Je découvre la verge qui m’a provoqué un orgasme il y a quelques instants.

 

Il suffirait que je… Et je le fais. Je n’ai qu’à me pencher un peu et légèrement, avancer mon visage, pour que mes lèvres entrent en contact avec le bout rose. Une aspiration et le voilà dans ma bouche. Son odeur est forte, un petit reste de sperme séché, mais cela ne me déplaît pas. Mes lèvres progressent en rampant et bien vite, je peux tenir la queue entière dans ma bouche. Mes lèvres butent sur le pubis, les bourses touchent mon menton et mon nez reçoit de forts effluves, mélanges de transpiration et de sperme. Cela ne me rebute pas, au contraire, j’apprécie le côté animal qui s’en dégage.

 

Mais l’animal ne reste pas lové sans réagir. Je le sens se réveiller comme un serpent se dresse pour attaquer. Bien vite, je dois reculer sous la croissance du membre qui se déploie, gonfle et s’allonge. Bâton de chair dans l’axe parfait des bourses. Moi aussi je me déplace. C’est beau la jeunesse !

 

Pas question d’utiliser mes mains, seules mes lèvres doivent pouvoir cueillir le bout et le redresser par ma bouche. Je sais qu’à cet instant ma chevelure procure des sensations particulières sur la peau de mon fils, c’est ce que me dit son père à chaque fois. Cela ne rate pas et lorsque j’ai sa verge dans ma bouche et que je chasse mes cheveux de mes yeux, Loïc me sourit. Je ne peux pas le lui rendre. Qui sait sourire la bouche pleine ? Mais j’ai d’autres moyens. Ma langue joue et mes lèvres serrent la base de son gland. J’aspire, je pompe, je l’astique.

 

Mais je ne suis plus seule. Une main vient s’emparer des couilles. Une main jeune, bientôt suivie par une autre qui serre la base de la bite. Julie veut participer. J’abandonne un instant la queue de son frère pour l’étreindre en déposant de petits bisous sur son visage, puis elle s’empare de ma bouche et nous échangeons un baiser, baiser qui me paraît si naturel que je me demande si cette aventure ne m’a pas convertie un peu en lesbienne. Peu importe, il n’est pas temps de réfléchir. D’ailleurs, c’est elle qui se penche pour enfourner la friandise et l’astiquer avec vigueur.

 

Chacune à notre tour, nous nous activons sur le bâton et chaque fois, nous l’abandonnons un peu plus gonflé, un peu plus enduit de salive, salive qui coule sur les clochettes et qui nous fait tirer des filets lorsque nous le quittons. Nous rions de ces fils et jouons comme deux gamines à les saisir pour les faire éclater.

C’est à celle qui l’engloutira le plus profond. C’est à celle qui lui arrachera le soupir de plaisir le plus fort. À ce petit jeu, mon fils donne des signes précurseurs. Nous changeons de plus en plus vite. Laquelle sera la dernière ?

Des mains saisissent ma tête. C’est ma fille qui me cède la place, mais elle m’impose le rythme, celui que son frère souhaite, certainement le fruit de leur bonne collaboration. Les signes se transforment en vibrations, en battements qui annoncent la montée de sa semence. Les mains se font plus lourdes sur ma tête et bloquent tout désir de me retirer. Elle veut que je recueille le sperme dans ma gorge et, peut-être, craint-elle que je m’y refuse. Pas du tout, c’est une faveur que j’accorde souvent à mon mari. Il apprécie, comme certainement tous les hommes. Et, justement, c’est l’occasion de voir si les liqueurs d’hommes sont différentes, comme on peut le lire. Moi je n’en connais qu’une…

 

Les jets sont puissants et généreux. Ils frappent le fond de ma gorge et ma bouche les rassemble au fond de ma gorge pour l’avaler consciencieusement. J’aime les regards qu’ils me portent comme s’ils me découvraient. Jusqu’à maintenant ils devaient me considérer comme une mère détournée un instant du droit chemin par le concours de la solitude, de l’alcool et de leurs charmes. Ils ont raison bien sûr, mais mes enfants ne sont tout de même pas des puceaux effarouchés. Ils ont une vie sexuelle et ils n’ont pas idée de ce qu’ils peuvent faire pour divertir leur maman pour ne pas laisser la lassitude s’installer. Julie et Loïc, acceptent le baiser que je leur apporte.

 

 

Retrouvant un peu de lucidité sur la situation, sur ce que je venais de faire et la position dans laquelle je me trouvais, j’ai réfléchi à la vitesse de la lumière. Si je ne faisais pas quelque chose immédiatement, que je ne bougeais pas, je n’aurais plus l’excuse de la surprise pour justifier mon attitude. Et, au-delà, que deviendrait notre relation et comment pourrais-je encore les regarder en face, eux, mes enfants avec qui je venais de me livrer complètement dans ma plus totale intimité, allant jusqu’à leur offrir mon plaisir sans la moindre retenue ?

 

En un éclair, je me suis levée, j’ai murmuré un : « Excusez-moi », et j’ai filé me réfugier dans ma chambre. J’avais un infini besoin de me retrouver seule et de reprendre mes esprits. Je suis restée prostrée un bon moment assise sur mon lit, avant de faire ma toilette et de me coucher.

 

A travers la cloison, j’ai deviné qu’ils faisaient l’amour.

 

 

Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : Sexe en famille
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Samedi 30 avril 6 30 /04 /Avr 17:17

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Le lendemain, dans l’après-midi, Julie est passée me rendre visite au bureau, ce n’est pas son habitude pendant ses heures de cours. Je lui demande ce qu’il se passe, si elle est malade, non elle a simplement un besoin urgent de me parler seule.

Nous allons dans une petite pièce discrète qui sert de réfectoire et de repos avec, pour tous mobiliers, une table, un frigo, une micro-onde, quatre chaises et un clic-clac.

Je m’assieds sur la banquette et je vois que Julie tire le verrou derrière elle et vient s’assoir à côté de moi. Nous restons toutes les deux sans parole un moment, puis elle se décide à parler.

 

« J’ai peur, maman, peur de ce qui s’est passé hier soir ! »

 

Je tourne la tête timidement vers elle et plonge dans ses yeux. C’est ce que je redoute.

 

« Tais-toi, Julie ! »

 

Je lui fais faire un quart de tour pour la serrer contre moi, son dos contre ma poitrine.

Je dépose de petits bisous dans sa chevelure comme pour la rassurer, je murmure des mots doux, apaisants, quelques larmes d’émotion coulent sur son visage.

 

Inutile de dire que je ne m’attendais pas à la trouver dans mon bureau cet après-midi.

 

Et voilà qu’elle a choisi ce moment pour vider son cœur de cette soirée incroyable. Et c’est pour cela que nous sommes, maintenant, serrées l’une contre l’autre, dans la pénombre de cette petite pièce. Et c’est ainsi qu’elle me raconte tout…, l’amour extraordinaire qu’elle vit avec son frère. Elle ne m’épargne rien, et même si elle choisit les mots avec soin, des images de plus en plus nettes de mes deux enfants consommant un amour qui me manque terriblement, ces images s’inscrivent dans mon esprit.

 

Mon menton posé sur sa tête, le parfum de ses cheveux, la douce pression de son dos sur ma poitrine font naître des images érotiques de plus en plus précises.

 

Je suis envahie d’un trouble profond associé à une forte envie de l’embrasser, la caresser éperdument. Je me penche pour lui donner un bisou au coin de ses lèvres, puis mes lèvres se posent légèrement sur les siennes. Elle ne proteste pas, je suis aussi fautive qu'elle. Ou, plus exactement, j'y prends autant de plaisir. Comment puis-je me laisser aller à ressentir un tel plaisir avec ma propre fille. Pourtant, je ne peux rien y faire. Je suis honteusement prisonnière de cet appétit d’amour qui m’a tant manqué.

 

Quelle expérience incroyable que de sentir et caresser ce jeune corps pressé contre le mien. Elle ronronne, se roule contre moi et soupire de bonheur, alors que je ne sais plus où placer mes mains pour ne pas dépasser une limite qu'elle a elle-même franchi. Elle saisit mes mains pour s'enrouler dans mes bras.

Elle lève la tête, surprise, ses yeux plongent à nouveau dans les miens. Est-ce mon délire, ou est-ce un désir au moins aussi grand que le mien que j’y lis ? Elle qui semble si amoureuse de son frère, de mon fils, il y a un instant…

 

Je suis perdue…, et je n’ai rien à perdre…, alors mes doigts enserrent un peu plus sa main et je me penche vers ses lèvres. Le soupir qu’elle laisse échapper au moment où nos bouches se touchent enfin, déchaîne en moi une vague de désir. Je ne résiste plus à l’envie d’enfoncer ma langue à la rencontre de la sienne, et de presser mon corps contre le sien.

 

Nos mains se croisent, s’emmêlent, se cherchent, pendant que nos bouches se découvrent, nous arrachant quelques gémissements. Je peux respirer ses longs cheveux, y enfoncer mes doigts, et retenir son visage alors qu’elle cherche son souffle sous mes baisers ardents. Je ne peux plus m’arrêter de la goûter, avec tous mes sens, j’ai peur qu’elle reprenne ses esprits et mette fin à cette douce folie. Pourtant ses gestes répondent aux miens et sont sans équivoque.

Mais je ne veux pas que ce moment soit gâché par des remords et je préfère interrompre un instant notre étreinte, avant que nous le regrettions.

 

Plusieurs fois on a essayé d’entrer dans la pièce de repos, mais sans insister, le personnel sait que je suis avec ma fille.

 

« Que se passe-t-il, ça ne va pas ? Julie me scrute d’un œil inquiet.

– Que faisons-nous, je croyais que tu ne rêvais que ton bel amoureux ?

– Mon amoureux, je le vois dans toi, maman ! »

 

La fièvre qui nous anime n’a plus de limite, cette fois et je ne veux pas contenir les émotions qui débordent de mon cœur.

 

« Ta bouche est tellement douce, tu me donnes le vertige ! » Murmurai-je.

 

Mes lèvres pincent délicatement son oreille et mes mains sont maintenant sous son chemisier, frôlant ses tétons dressés.

 

« Si tu savais à quel point je t’aime, je suis trempée de désir, j’adore sentir tes mains sur mes seins ! » Me souffle-t-elle.

 

Ma fille se dégage de mon étreinte et me sourit amoureusement. Elle sait que personne ne viendra nous déranger, elle enlève rapidement son bustier, puis elle m’aide à faire de même en dégageant mes seins du soutien-gorge qui les enserre.

 

« Ils sont magnifiques, maman ! »

 

Puis, elle se penche vers eux et aspire une pointe entre ses lèvres. Je ne peux retenir un long gémissement et sentir une libération de mouille humidifier ma culotte.

 

J’empaume délicatement ses petits seins, ils sont doux et fermes et les tétons sont bien logés au creux de mes mains.

 

Je ne peux m’empêcher de lui faire part de mes craintes :

 

« Tu es tellement belle, Julie, j’ai honte de ne pas être à la hauteur !

– Comment peux-tu dire une chose pareille, petite maman ?

.. Tu ne te rends pas compte de la sensualité que tu dégages, tu es extrêmement désirable et je vais te le prouver ! »

 

Julie m’allonge sur le canapé-lit et s’installe le long de mon corps. Pendant que sa bouche reprend mon sein, sa main relève ma jupe et remonte à l’intérieur de mes cuisses. Il y a longtemps que l’on ne m’a caressée ainsi, mais cette fois-ci, le désir est tellement grand que je me mets à trembler comme une feuille sous ses mains.

 

« Tu as froid ?

– Non, j’ai juste envie de toi…, et c’est insoutenable ! »

 

Ma fille me sourit, et m’embrasse doucement.

 

« Ne nous pressons pas, nous avons tout notre temps, ta secrétaire a dû reporter tes rendez-vous si tu en avais, elle pense que j’ai des choses importantes à te dire et, moi aussi, j’ai tellement envie de toi que j’en ai mal au ventre.

Sa main atteint enfin mon entrejambe trempé et frotte lentement mon clitoris dressé au travers ma culotte.

 

« Dis maman…, tu es vraiment excitée, on dirait !

– Tu en doutais encore ? Oh, je n’en peux plus, viens plus près ! »

 

Ses lèvres parcourent mon corps de petits baisers et sa langue laisse des tracés humides sur mon ventre. Sa main a contourné l’élastique et caresse ma fente, en évitant soigneusement le clito cette fois.

 

L’action conjuguée de ses doigts autour de mon sexe et de ses lèvres sur mon ventre devient véritablement insupportable et je ne résiste pas à lui faire subir le même supplice.

Je roule sur elle et après une séance échevelée de déshabillage et de caresses humides, entremêlées, je me retrouve à califourchon sur ses jambes.

 

Je peux enfin détailler le corps entièrement nu de ma fille sous le mien et je sais qu’elle fait de même.

Ses seins aux pointes dressées appellent la caresse. Sa fente délicatement taillée en triangle semble montrer le chemin du bonheur, sa peau douce glisse sous mes doigts et son ventre qui se soulève au gré de mes caresses, promet des vagues de plaisir incontrôlables.

 

Tout en retenant ses bras d’une main, je m’attaque, moi aussi, à ses tétons dressés. Mes coups de langue la font rapidement feuler en silence.

 

« Je vais craquer, caresse ma chatte maman, s’il te plaît… !

.. Et…, oh oui, descends ta main sur mon ventre, plus bas, encore plus bas, oui…, c’est trop bon ! »

 

Ma main atteint son bijou, autour duquel je dessine des cercles, puis j’insère un doigt dans sa fente brûlante et trempée. Je remonte pour trouver son clito tendu lui aussi. Cette fois, c’est un râle de plaisir qu’elle laisse échapper que j’’étouffe en un baiser, ne voulant pas ameuter le personnel.

 

Pendant que ma main caresse son antre humide, je frotte doucement mon pubis contre sa cuisse ferme, mais cela ne suffit guère à me satisfaire. Et je préfère me redresser pour découvrir sa vulve ouverte.

 

Ses grandes lèvres s’entrouvrent pour découvrir l’entrée du vagin et le clito impatient. La vue de cette chose ainsi offerte est tellement excitante que je ne résiste plus longtemps et plonge la tête vers son entrejambe.

C’est bien ma fille et j’ai envie de la faire jouir, de lui faire sentir qu’elle est à moi et que je suis toujours sa mère, je lèche son berlingot, tout en glissant deux, puis trois doigts dans sa fente.

 

« Ma fille, ma belle petite fille, que ta chatte a bon goût, tu es à moi, mon amour, je t’aime tant ! »

 

Mes paroles semblent la galvaniser et elle n’est plus que gémissements sous mes coups de langues répétés. Encouragée par ses soupirs, je bois son jus, j’aspire son clito autant que possible et mes doigts s’agitent de plus en plus dans la foufoune distendue.

Un oui prolongé sort de sa bouche, ses cuisses se resserrent convulsivement sur ma tête alors que je continue à œuvrer, comme si je voulais la déchirer. Enfin, ses fesses se cambrent une dernière fois, puis tout son corps retombe lourdement sur le cosy. Quelques soubresauts de plus en plus espacés marquent la fin de l’orgasme. Je retire ma main doucement, lui arrachant un dernier sursaut et je m’allonge près d’elle.

 

Plus excitée que jamais, j’attends cependant qu’elle reprenne lentement son souffle, ce qu’elle ne tarde pas à faire.

Ma fille roule alors sur moi et me souffle dans un baiser :

 

« Maman, tu m’as fait crier, mais tu ne perds rien pour attendre, ma belle, je suis sûre que tu as envie de jouir comme jamais, je me trompe ? »

 

Ses mots crus fouettent un peu plus mes sens, si cela était encore possible et c’est la voix pleine de désir contenu que je réponds :

 

« Fais de moi ce que tu veux, ma chérie !

– Alors, mets-toi à quatre pattes ! »

 

Je m’exécute rapidement, ses mains écartent mes fesses, je sens son souffle sur ma peau, mais je n’ose pas me retourner. Mon corps recommence à trembler de désir, malgré moi, dans l’attente de sentir ses lèvres, ses doigts me pénétrer.

 

Sa main se pose sur ma toison et la recouvre entièrement, en un geste d’appartenance. Je me cambre un peu plus. Un doigt se glisse entre mes lèvres, et frôle mon bouton dressé. J’étouffe mon gémissement dans mon poing.

 

Son doigt commence un lent va-et-vient dans ma vulve détrempée. Chaque passage sur ma motte me fait frissonner et gémir de plus en plus fort, je sens le plaisir monter rapidement, trop rapidement ! Et tout à coup, je sens quelque chose d’humide se poser sur mon petit trou. Je n’en reviens pas ! Ma fille est en train de me lécher l’anus à grands coups de langues et, passé l’effet de surprise, la sensation est simplement divine.

 

Afin de calmer un peu le jeu, sa main a lâché ma chatte, pour aller se poser sur mon sein. Effectivement, je pense que je n’aurais pas pu tenir plus de quelques secondes sous l’action de sa bouche et de ses doigts.

Je me laisse aller à cette caresse que je n’aurais jamais imaginée et dont je n’aurais jamais pu anticiper la douceur et la sensualité.

D’ailleurs, je sens dégouliner lentement un liquide le long de mes cuisses, je ne sais si cela vient de mon intimité ou de sa bouche. J’ondule lentement mon bassin sous son museau, maintenant il faut que je jouisse ou je vais devenir folle.

 

Ma fille comprend aussi que je ne vais plus tenir très longtemps, elle glisse un coussin sous mon ventre et m’allonge doucement. Je suis encore toute à sa disposition quand elle recommence à me manger. Mon impatience est à son comble, et c’est tout mon corps qui vient à la rencontre de ses doigts fouisseurs, pendant que j’enfonce ma tête dans l’angle du canapé.

 

« Laisse-toi aller maman, tu mérites beaucoup ce plaisir ! »

 

Alors je me lâche pendant que la vague ravageuse monte dans mon ventre.

 

« Oui, j’aime ça, Julie, continue, j’aime, oui, j’aime, je t’aime… ! »

 

Ma fille enfonce alors un doigt dans mon œillet et un dans ma chatte, déclenchant enfin un orgasme qui explose dans mon corps, remonte dans mon crane, jusqu’à la racine de mes cheveux. De ma poitrine, sort un cri animal que j’ai beaucoup de mal à étouffer.

 

Mon corps ondule encore plusieurs fois, puis les spasmes s’estompent, je retombe sur le clic-clac, les doigts de ma fille toujours fichés en moi.

Doucement, elle retire sa main et s’allonge contre moi sur cet endroit étroit.

 

« Ça va, maman ? Me glisse-t-elle à l’oreille.

– Tu m’as épuisée, Julie, jamais je n’oublierai ce merveilleux moment ! »

 

Je rougis violemment, en me rappelant les folles paroles qui m’ont échappées pendant l’orgasme. Oui, je lui ai dit que je l’aimais, j’espère que cet aveu un peu rapide ne l’a pas choquée.

 

« Je suis désolée, je ne voulais te mettre mal à l’aise, mais tes caresses m’ont vraiment rendue folle, Julie !

– Mais ça ne va pas, maman…, c’est toi qui me rends folle !

.. Tu viens de me faire le plus beau cadeau que je puisse avoir ! »

 

Sa bouche reprend doucement la mienne et cette fois, c’est une caresse pleine de tendresse que nous échangeons, alors que nos mains reprennent un lent ballet. Nous savons maintenant que nous avons toute la vie devant nous pour nous aimer et partager.

 

 

Comment en suis-je arrivée là ? Je suis entrée dans un monde de dépravation et de vice. C’est déjà assez grave, mais le pire est que j’aime cela ! Comment la femme respectable que j’étais, il y a encore quelques semaines, a-t-elle pu laisser la place à celle qui se vautre dans la luxure avec ses propres enfants. Je pense, je réfléchis encore et encore dans ma voiture en rentrant très tardivement à la maison. J’ai dû téléphoner comme tous les soirs à mon mari et finir des dossiers en retard. Il est vint-trois heures lorsque je rentre chez moi, les enfants sont couchés, comme d’habitude, mon dîner est préparé par une jeune femme qui vient tous les jours pour s’occuper du ménage et des repas.

 

Alors que je termine ma dinette en regardant bêtement la télé, mon fils vêtu d’un peignoir entre dans la cuisine, me dit bonsoir en me donnant un baiser sur chaque joue et se place en face de moi. Il se sert un verre d’eau et regarde furtivement le programme à la télé. Après quelques minutes de silence :

 

« Tu vas bien, maman…, tu dois être fatiguée… !

– Oui, un peu !

– Julie m’a tout dit pour cet après-midi ! »

 

Ma tête tourne et c’est un peu comme si je perdais connaissance… Aussitôt, Loïc se lève et vient à côté de moi. Il est à genoux contre ma chaise. Il me parle doucement de sa voix chaude, je sens qu’il ne me veut que du bien. Il pose une main sous mes cuisses et l’autre sous mon épaule droite. Comme une plume, il me soulève, m’emmène dans le salon et m’allonge sur le canapé. Il place un coussin sous mes pieds en prenant soin de m’ôter mes chaussures. Que m’arrive-t-il ? Je suis encore perdue dans un rêve… Mon fils me débite des paroles rassurantes en me caressant le front et les cheveux… Il part vers la petite salle d’eau juste à côté et revient, une petite serviette blanche immaculée, trempée d’eau froide, humecte mon front. La fraîcheur me calme, mais je suis lasse, alanguie. Je n’ai aucune envie de me relever, Je voudrais que Loïc reste là.

Il me parle doucement, mais je ne comprends pas ce qu’il me dit. Son visage est très proche. Il est à genoux. Il se penche vers moi. Son regard clair se perd dans mes yeux.

 

Très doucement, son visage s’approche du mien. Je vois et comprends parfaitement ses intentions. Que m’arrive-t-il ? Les belles lèvres de mon fils rejoignent les miennes. Un petit mouvement de ses lèvres et sa langue vient caresser les miennes. Mes lèvres ne résistent pas à la douceur de ce contact. Ma bouche s’entrouvre, ne faisant plus obstacle à sa langue chaude et dure qui m’investit.

 

« Nous ne devons pas faire ça, Loïc, et demain matin, tu as cours !

– Maman, qu’as-tu fait cet aprèm’ avec Julie, maman… ?

.. Je veux juste que tu décompresses, je veux ton bonheur, tu es tout pour nous, belle petite maman ! »

 

Pour favoriser ses mots, il glisse son bras droit autour de mes épaules et m’oblige très doucement à renouveler un baiser. Je n’ai aucun mouvement de recul, bien au contraire.

Son bras autour de mes épaules me serre contre lui. Je me blottis contre lui. Mais mon fils n’est pas moins homme. Si sa main droite est très sage autour de mes épaules, il n’en est pas de même pour la gauche. Je la sens qui se pose sur ma hanche droite. Je sens la chaleur de cette paume à travers le tissu souple. Lentement, cette main commence un lent va-et-vient de ma hanche au haut de ma cuisse. Mon instinct de femme respectable resurgit :

 

« Loïc, nous allons faire une…

– Chut… ! »

 

Décidément, ces petits vauriens se sont donnés le mot, deux fois dans la journée, quand-même !

 

Il me ferme les lèvres des siennes. Elles sont chaudes et douces et je ne résiste pas. Je réponds à son baiser, mais je me libère et réussis à lui dire :

 

« Loïc, s’il te plaît, laisse-moi te dire…

– Que veux-tu me dire maman ?

– Loïc, je suis ta mère, ce n’est pas parce que j’ai pris quelques minutes de plaisirs avec ta sœur que je suis une femme facile et je me demande bien ce que je fais ici avec toi…, mon fils ?

– Maman, tu te fais du mal en disant ces bêtises, Julie et moi nous t’aimons vraiment ! »

 

Mais la tentation est trop forte et une pulsion envahit mon corps. C’est moi, comme une midinette, qui lui tend mes lèvres et le reprend goulûment. Mes paroles et mes gestes sont en totale contradiction. Je laisse sa main posée sur ma cuisse. Je ne cherche pas à empêcher ses mouvements. Doucement, elle glisse sur ma cuisse et rencontre le bas de ma jupe. Sa chaleur m’électrise, je l’embrasse à pleine bouche. Je ne peux pas résister à cet appel charnel. Lentement, la main remonte sous ma jupe. Chaque pause est marquée par une appréciation de la fermeté de ma chair par de petites palpations. Je l’enlace par le cou.

 

Son bras droit enveloppant mes épaules, sa main en profite. Elle glisse sur mon chemisier et rencontre la masse de mon sein droit emprisonné dans le soutien-gorge. Je ne résiste pas, je me fais docile. Je suis dans ses bras en jupe et chemisier avec sa main toujours bien avancée sur ma cuisse. De nouveau, nos lèvres se sont rejointes. Sa langue se met à danser un ballet sauvage dans ma bouche, tournant et retournant autour de ma langue et suçant celle-ci, comme si c’était un petit sexe.

 

Cette sarabande me fait craquer. J’oublie tout et je jette, par dessus ma conscience, tous mes préjugés de mère de famille sérieuse. Le baiser m’enflamme et mon corps ne peut se retenir. Il commence à onduler. Ma respiration s’accélère. Sa main enfouie sous ma jupe apprécie le grain de ma peau. Lentement, elle remonte plus haut. C’est à cet instant, que mon bassin se met à bouger, à réclamer une caresse plus précise.

 

Loïc retire son bras de mes épaules. Tout en continuant à me dévorer la bouche, ses doigts longs et agiles s’aventurent sur le devant de mon chemisier. Ils sont à la recherche de boutons… Malgré sa jeunesse, mon fils semble avoir une certaine expérience. Les boutons sautent les uns après les autres de leurs boutonnières respectives. D’un revers de main, il écarte les pans offrant à son regard ma poitrine gonflée. Mes seins emprisonnés bombent au-dessus de la dentelle et les pointes tendent outrageusement la dentelle. Mais mon fiston se recule pour me regarder comme s’il ne m’a jamais vue.

 

« Tu es merveilleuse…, tu es belle, maman ! »

 

Aussitôt, il se jette sur mon sein et, à travers la dentelle, pince mon téton. La sensation est éblouissante et, encore une fois aujourd’hui, je bascule dans un autre monde. Sa main remonte complètement sous ma jupe et ses doigts font connaissance avec la dentelle de ma culotte.

Je lui facilite la tâche en me libérant de mon soutif. Mes seins sont libres de toute entrave et s’offrent aux caresses et titillements de mon garçon. Mon ventre réagit vivement à ses caresses pleines de douceur. Je sens mon entrejambe se transformer en fontaine. Nos bouches ne se quittent plus. Je ne me reconnais plus. Une pulsion me traverse. Je glisse ma main dans son peignoir pour palper l’ampleur de son excitation.

 

Je l’empaume pour lui rendre sa caresse intime. Il se redresse doucement, remonte ma jupe en haut de mes cuisses. Je prends appui sur mes talons pour lui permettre de passer les rondeurs de mes fesses. Il m’aide à me relever et la jupe continue son ascension. Au passage, il emmène mon chemisier et le tout est jeté sur le tapis du salon. Ses mains redescendent et, avec beaucoup de délicatesse, saisit l’élastique de ma culotte et l’entraîne vers mes pieds. Le mouvement est tellement lent que mon fils peut se repaître de la vision de mon corps, de mon sexe poilu. Je suis maintenant entièrement nue, Loïc, en moins d’une seconde, jette son peignoir qui rejoint mes vêtements. L’objet est en érection vient battre brutalement son ventre.

 

Puis il s’agenouille et, lentement, découvre ma fourrure. Il couvre ma peau de ses baisers, jusqu’au moment où il se noie dans mon buisson en s’enivrant des odeurs qu’il exhale. L’idée que mon fils puisse plonger ses lèvres et son nez dans ma forêt intime me révulse et me transporte à la fois. De la honte au plaisir. Ces efflorescences vénéneuses, cette liqueur du diable qui inonde maintenant tout le haut de mes cuisses…, et le reste…, sans que je puisse déterminer si c’est de la pisse ou autre chose… Je frémis, je tremble alors que je sens son nez farfouiller de plus en plus bas.

 

Ses doigts s’animent, me soupèsent, m’étirent, m’enveloppent, me pincent. Sa bouche entière est maintenant en moi, mais mon corps en veut plus. J’essaie de l’attirer plus haut, mais il prend un malin plaisir à butiner ma fleur qui s’ouvre à sa caresse. Je tire un peu ses cheveux pour sentir sur ma bouche un baiser, mais il résiste tant que j’abandonne, et que je m’abandonne à l’infernale succion. Je sens mes seins durcir, mon ventre se contracter, puis des ondes langoureuses me font vibrer pendant de longs instants.

 

Je rejette la tête en arrière, je hurle ! Une dernière crispation, complètement folle, complètement intense !

Point final. Anéantissement. Je repose les pieds sur le canapé. Je serre les cuisses. Je suis morte. Je me détends. Je ne peux plus bouger. Je reprends conscience, me relève sur les coudes. Mon fils me regarde, souriant. Ce sourire est fatal, beau, transcendantal. J’ai honte, son visage ruisselle de ma mouille. Et il me regarde toujours, souriant tendrement, de ses yeux si bleus qu’on pourrait s’y noyer. Alors, avec douceur, je me relève davantage, tends la main vers son sexe orgueilleusement pointé, et l’attire vers mon ventre. Il arrête, l’espace d’un instant, mon geste et me dit :

 

« Alors, jolie maman, un joli petit pied, on dirait !

– Loïc, mon chéri, tu me rappelles ton père quand nous étions juste mariés, mais en plus, c’est avec toi, mon garçon ! »

 

Puis je reprends :

 

« Tu m’as donné tant de plaisir avec ta bouche, je n’ai même pas eu le temps de sentir ta virilité ! »

 

D’une main friponne, je retourne vers le beau phallus : l’explorant de mes ongles, je le sens fin et long. Je le frôle et l’agace, mais je le sens m’échapper. Loïc me prend les jambes, les pose sur ses épaules, je suis ouverte à lui, béante. Sa hampe vient frapper l’entrée de ma grotte, encore toute humide. L’accueil est chaleureux, elle trouve porte ouverte, se glisse en moi comme si c’était son moule, progresse langoureusement, me remplit de bonheur. Repoussant mes genoux sur ma poitrine, il me plie en deux pour m’envahir jusqu’à mon utérus. Je gémis, c’est trop bon. Puis mon garçon entame un lente chevauchée, je suis comme une poupée de son, qui s’agite, pourfendue par un mâle en folie.

 

Son rythme s’accélère, au gré de nos envies, nos corps se tendent, vibrent, sa semence m’envahit, je suis au nirvana, nous gémissons ensemble, nos sucs mélangés, nos êtres entre eux soudés. Nous retombons tous deux, toujours encastrés l’un dans l’autre. Nos corps sont en sueur, mais nos âmes apaisées. Je suis bien, je veux rester ainsi le plus longtemps possible, malgré la fatigue de cette journée exceptionnelle.

 

C’est vrai que je revois, à cet instant, la jeunesse que j’ai vécue avec mon mari, les mêmes gestes, les mêmes intentions que son fils, alors que maintenant, quand il en a envie… Couchée sur dos, j’écarte les jambes et je me fais tartiner de sève masculine en deux temps trois mouvements. Cependant, j’aime énormément mon mari, je ne sais quel avenir m’attend avec ses aventures insolites.

 

Très courte nuit, très longue journée en ce vendredi, je suis contente de rentrer à la maison, de manger un morceau et de me coucher. Comme d’habitude, je pars le matin avant les enfants et j’arrive après eux, ils sont dans leur chambre en m’attendant pour diner. Aujourd’hui, j’ai beaucoup pensé à mes enfants, à nos rapports qui vont prendre un nouveau tournant, je dois absolument faire le point de cette situation avec eux ce soir, leur père arrive demain dans la soirée.

 

Devons-nous garder ce secret entre nous trois ou informer mon mari de ces évènements, il ne sera pas possible de toujours dissimuler cet état de choses dans le foyer et qui, de toutes façons, tôt ou tard, il finira par savoir et ce sera la catastrophe. Après une longue conversation avec mes enfant en dînant, nous avons convenu de le mettre au parfum de nos petites aventures qui, selon nous trois, n’ont rien de très méchant et puis nous serons tranquilles. Pour ce faire, nous établissons un petit plan pour bien faire passer la pilule.

 

Dans deux heures, je dois aller chercher Fred à la gare TGV comme d’habitude et, selon notre plan, je dois le séduire à nouveau en quelque sorte, le chauffer au maximum pour lui faire oublier le travail. Je commence à me préparer. J’ai déjà pris ma douche, il me reste à parfaire la taille de ma toison intime qu’il adore tant. Ensuite, vient le choix de ma toilette. Il fait beau, je m’habille léger. Première chose, les sous-vêtements, j’opte pour un bel ensemble Aubade avec soutien-gorge et shorty en dentelle très sexy. En deuxième, un chemisier sans manche, un peu transparent, sur lequel je mettrai un gilet, si je trouve qu’il fait frais. En troisième, une jupe en toile de jeans courte, qui dévoile largement mes cuisses. En dernier, les chaussures, j’aurais bien mis des hauts talons, mais, pour conduire, ce n’est pas pratique, donc je me contente de ballerines. Même comme cela, je pense que je vais attirer les regards. Les enfants ont complètement changé mon comportement en quelques jours, je vois la vie…, presqu’en rose.

 

Arrivée au parking, je regarde l’heure : je suis en avance. Je reste dans la voiture, mon esprit vagabonde, comment va se comporter mon mari ? Sera-t-il fatigué du voyage ? Il n’a plus la manière et l’esprit amoureux comme dans notre jeunesse. Une semaine de séparation m’excite toujours les sens, mais lui beaucoup moins, il n’y a que son job qui compte. Il y a longtemps qu’il ne m’a pas vue accoutrée de cette manière, j’imagine déjà ses yeux qui me déshabillent du regard, qui cherchent à deviner ce que cachent mes atouts, mais peut-être que je rêve. Une inspiration subite me vient à l’esprit : Fred aimait quand j’étais très légèrement vêtue. Aussi, je sors de la voiture, ouvre la portière arrière pour me dissimuler un peu, je relève ma jupe et je me contorsionne pour enlever la délicate lingerie qui protège mon intimité. Je suppose que mon chéri appréciera mon initiative. Comme il y une quinzaine d’années, il adorait me savoir habillée coquinement. J’entre à nouveau dans la voiture et je pose mon shorty, bien en évidence, sur le siège passager.

 

L’heure est venue, je sors de ma voiture et je me dirige vers l’arrivée des passagers. L’air chatouille mon entrejambe, c’est vrai que ma jupe est bien courte, il va me falloir faire attention si je ne veux pas déclencher un esclandre. Quoique ? En même temps, ça m’amuse et je suis épatée de mon assurance. Je monte l’escalier, sans me presser, ce qui laisserait le temps à un mateur de bénéficier du spectacle. D’ailleurs, arrivée en haut, je jette un coup d’œil rapide et je remarque un homme qui, visiblement, tente de profiter de sa position basse. Il détourne rapidement la tête, mais cela m’a suffi pour voir où se dirigeait son regard. Je souris intérieurement : j’attire toujours les regards de ces messieurs, c’est un joli compliment.

 

J’attends mon Fred, je suis toute émoustillée par ma prestation, je me dis que je deviens vraiment cochonne. Je le vois, je lève la main, mais il m’a déjà vue, il s’approche de moi et me donne un petit bisou comme d’habitude, mais je me colle à lui de tout mon corps, les gens autour de nous n’existent plus nous sommes seuls au monde. Fred me regarde :

 

« Comment tu es habillée ? »

– Mon chéri, j’ai voulu te faire une bonne surprise pour nous rappeler notre jeunesse !

– Mais enfin, Geneviève, tu n’y penses pas, tu n’as plus vingt ans !

– Pourquoi ? Ҫa ne te plait pas ?

– Franchement…, toi, tu m’étonneras toujours !

– Mon chéri…, je crois que tu n’as pas fini d’être étonné !

– Ah bon ! »

 

Il se recule, me regarde de haut en bas et de bas en haut, puis il me dit :

 

« Je crois comprendre ce que tu veux dire, petite coquine ! »

 

Son ventre se colle au mien, je me sens moite d’émotion, jusque-là, tout se passe bien, j’ai bien suivi les conseils de mes enfants. Fred me prend par la main et nous nous dirigeons vers un ascenseur avec sa valise. Ce n’est toujours pas dans ses habitudes, mais dès que nous sommes dans la cabine…, un homme reste toujours un homme !

 

« Alors, comme ça, tu n’as pas de culotte ? » Me demande-t-il en passant sa main sous ma petite jupe pour me peloter les fesses.

 

Il flatte mon postérieur, avant de descendre sur mon minou qu’il trouve humide. Il remonte un doigt entre mes fesses, ma petite entrée doit aussi être humide.

 

« Tu ne vas pas me dire que c’est le fait que je te caresse qui te met dans cet état ? »

 

L’ouverture de la porte de l’ascenseur me dispense de lui répondre immédiatement. J’attends qu’il n’y ait plus personne à nos côtés pour lui dire combien je l’aime et l’admire. Depuis quelques mètres, il cajole lentement mes fesses par dessus le tissu. Ce côté du parking est moins fréquenté et nous pouvons nous laisser aller.

 

« Tu es de plus en plus friponne, mon amour ! »

 

Nous arrivons à la voiture, j’ouvre le coffre, Fred dépose sa valise. Je prends le volant. Mon mari va s’asseoir et trouve le shorty sur son siège.

 

« Cette pauvre culotte a perdu au change ! Elle devait être bien entre tes jolies cuisses ! Tant pis pour elle, tant mieux pour moi ! Allez, dans ma poche, comme ça tu ne l’oublieras pas dans la boîte à gants, ça fait désordre ! »

 

Dès que nous avons quitté le parking, la main de mon chéri s’insère entre mes cuisses. Sans s’arrêter, elle remonte vers mon minou, tout content de ces nouvelles caresses. Il me demande des précisions sur ce reverdissement. J’essaie d’être la plus détendue possible, mais entre l’évocation de ce que je viens de faire et les tendres effleurements que Fred me prodigue, j’ai du mal. Malheureusement, le fait de conduire ne me permet pas d’être dans la meilleure position pour bénéficier au mieux des attouchements érotiques de mon chéri. Il me demande :

 

« Les enfants sont à la maison ?

– Oui, bien sûr !

– Dommage… ! »

 

Cependant, nos caresses mutuelles ont dû lui donner des envies, car avant d’arriver chez nous, il me fait prendre une autre route que celle que nous empruntons habituellement. Avant que je lui pose la question, il me dit :

 

« Tu te rappelles de ce petit bois où on se faisait des câlins dans cette deux chevaux ?

– Tu veux aller là-bas… ? Tu n’as pas faim ? »

 

Quel bonheur, il ne me parle même pas du travail !

 

Peu après, je bifurque dans un chemin empierré qui passe entre deux champs de blé. Une zone un peu plus large à l’entrée de ce fameux bois me permet de faire demi-tour. Fred sort de la voiture et vient ouvrir ma portière. Il me fait tourner sur mon siège, écarte mes cuisses et plonge sur mon minou encore humide. J’attends avec plaisir la chatouille de sa langue qui glisse dans ma fente et remonte en quête de mon clito. Je prends sa tête entre mes mains, pour la coller à ma chatte et lui faire sentir mon désir. L’ivresse des sens me gagne. Sa langue entre en moi, il joue avec mes petites lèvres, les étire, les suce, il lèche et titille mon clito dans tous les sens, il me rend dingue. Tous ces moments délicieux passés vingt ans plus tôt se remémorent dans ma tête, je m’abandonne au plaisir qui vient. Mon bouton déboussolé envoie des signaux de bonheur le long de ma colonne, jusqu’à mon cerveau.

 

Profitant de ma jouissance, il déboutonne mon chemisier et se débrouille pour dégrafer mon soutien-gorge. Il cajole mes seins, tendus par le plaisir. Mes tétons érigés sont presque douloureux, cela ne m’empêche pas de ressentir des ondes de bonheur parcourir ma poitrine. Puis Fred me prend par la main et m’entraîne à l’extérieur de la voiture.

 

Cette fois-ci, c’est moi qui prends l’initiative : je déboucle sa ceinture et descends la fermeture, descends son pantalon et son slip. Sa tige m’apparaît dans toute sa fermeté. Je la prends et je commence à faire aller et venir mes lèvres autour. J’aime bien m’occuper de son sexe, c’est un juste retour des choses, vu le plaisir qu’il m’a donné avec sa bouche. Pourtant, il n’est pas un adorateur des préliminaires, ces dernières années, il avait tendance à faire ça "vite fait" et souvent "mal fait". Je l’ai excité au maximum, je le sens bien mûr pour tomber dans notre plan.

 

Il prend mes mains et me met en appui sur le hayon. Puis, il remonte ma jupe sur mes hanches, je ressens la douceur de l’air sur mes fesses dénudées. Une main s’insère entre mes cuisses. Ses doigts commencent à choyer mon pubis pour atteindre l’entrée de ma grotte humide de plaisir. Un doigt s’immisce, puis un deuxième, puis ils débutent leur va-et-vient. Je laisse échapper quelques petits soupirs. Je tortille des hanches pour que ses doigts aillent au plus profond, qu’ils me remplissent. Prise d’une frénésie, je ne cache plus rien de mon plaisir. Si quelqu’un passait, à ce moment-là, il verrait une femme complètement débraillée, la jupe remontée et dévoilant tout son cul, en train de se faire doigter.

 

Je sens sa virilité chaude contre mes fesses qui pointe à l’entrée de ma minette.

 

« Eh bien, Geneviève, ma cochonne, tu es toute mouillée ! Que t’arrive-t-il ?

– Il m’arrive que je t’aime, Fred ! »

 

Il accentue sa pression et je m’ouvre comme une fleur au soleil, me liquéfie, m’inonde de bonheur inattendu. Mon mari me pénètre d’un coup de reins, à la hussarde. Je laisse échapper un glapissement, tellement l’impression est forte. Je ne peux m’empêcher encore de faire une comparaison avec mon fils, plus doux et plus attentif. Ça faisait si longtemps que je n’avais pris un tel plaisir avec mon mari. Il va et vient dans mon ventre, s’enfonçant de toute sa longueur avant de ressortir presque entièrement. À peine quatre à cinq coups de reins, et je commence à décoller. Il arrive enfin à maîtriser son rythme pour m’amener au septième ciel, il sort posément, presque complètement, pour se réintroduire à fond avec vigueur, maintenant, il opère délicatement, sans brutalité.

 

Les yeux fermés, toute à mes sensations érotiques, je m’entends gémir. Chaque coup de reins supplémentaire m’extorque un cri de jouissance. C’est la énième fois cette même semaine, jamais je n’avais vécu une telle prouesse.

 

Grace à mes enfants, à nos enfants, je me fais bien besogner par mon mari. Au fond de moi, je pense : « Prends-moi comme ça, ardemment. Tu n’as pas besoin de faire attention, je suis toute à toi ! Manifeste ton envie de moi, montre-moi que je t’ai manqué, que tu as une envie dingue de mon corps. Pourvu que tu ne t’arrêtes pas…

 

Une montée de plaisir qui vient du fond de mon bas-ventre grandit à chaque coup de reins de Fred. Je gémis, je l’implore :

 

« Chéri, n’arrête pas, continue comme ça, retiens-toi, j’aime trop, j’ai trop envie ! »

 

Je pousse mes reins en arrière, à la rencontre de son membre pour qu’il entre au plus profond, je le veux en entier. Je viens à la rencontre des coups de boutoir de mon homme, mes fesses cognent contre son ventre. La sensation est ineffable. Je ferme les yeux pour mieux ressentir la vague de jouissance, qui continue à grandir. Je ne suis plus qu’un vagin pourfendu par une tige de chair et qui va exploser de plaisir. J’en pleurerais de bonheur. Un dernier coup de reins, j’ai le sentiment qu’il est encore plus gros, plus ferme, plus raide. La jouissance déferle : j’ai l’impression de hurler et de basculer dans le néant, soudée au chibre de mon chéri.

 

Je suis heureuse d’être remplie ainsi par mon mari malgré cette position inconfortable. Il me surprend, je me surprends, il bouge doucement avec des mouvements courts et lents. À chaque fois, ses boules effleurent mes fesses et je trouve ce contact particulièrement jouissif. Entre nous, le désir est communicatif, je me sens investie par son sexe et surtout par la présence de son doigt qui s’agite entre mes fesses. Cela ne m’empêche pas de penser à mes enfants, j’aimerais qu’ils voient combien leur père est encore amoureux de leur maman.

 

Je persiste quand-même à crier pour qu’il continue. Je suis depuis longtemps en ascension vers le septième ciel. Rarement, j’ai joui à intervalles aussi rapprochés. Je continue de gémir, jusqu’à me faire hurler par le plaisir qui revient. Fred n’en finit pas de me perforer. Soudain, je sens qu’il va éjaculer en moi, qu’il va m’arroser de sa semence retenue depuis une semaine. Ses mains se crispent sur mes hanches, il atteint le fond de mon vagin et projette son sperme dans mon corps qui n’attend que ça, j’ai l’impression qu’il n’arrête pas d’éjaculer, le temps est suspendu. Cela déclenche un nouvel orgasme qui me fait vibrer de la tête aux pieds, peut-être que je hurle mon bonheur et mon plaisir.

 

Fred se retire, il m’aide à me retourner et m’embrasse comme un amoureux. Il me regarde dans les yeux :

 

« Geneviève, je t’adore, tu es ma friponne adorée ! Je ne sais pas ce qu’il t’arrive aujourd’hui, mais tu devais être particulièrement excitée, j’ai le sentiment que tu as bien joui !

– C’est tout simplement l’amour, mon chéri, c’est pour te prouver qu’il n’y a pas que le boulot, il y a la vie !

– Tu es une vraiment une petite coquine ! Allez viens ! Je me serais bien occupé de ton petit cul, mais je suis fatigué par le voyage ! Ne t’inquiète pas, tu ne perds rien pour attendre !

– J’ai réservé une table dans ce resto où on allait dans le temps…, tu te souviens ?

.. Attends…, je dois faire pipi ! »

 

Je retrousse ma courte jupe sur mes cuisses, pressée de satisfaire mon besoin urinaire, Restant debout, j’écarte les jambes et je laisse fuser mon urine chargée de la semence de mon époux pour arroser le sol moussu. C’est la première fois, en vingt ans, qu’il me voit uriner de la sorte. Incrédule, il demeura sans voix, à fixer l’expulsion urinaire. Lorsqu’enfin, le jet se tarit, je vais pêcher dans un vide poche de l’auto un mouchoir en papier afin d’essuyer l’intérieur de ma fente toute imprégnée.

 

Pris d’un désir soudain, Fred s’interpose :

 

« Attends, laisse-moi faire ! » Se propose-t-il.

 

Étonnée par cette demande étrange, je laisse cependant mon chéri s’emparer du mouchoir de papier, trop surprise par cette exigence pour songer à la lui refuser. Il s’agenouille à mes pieds en prenant garde de ne pas poser ses genoux dans la mousse humidifiée par ma miction. Avec des gestes d’une extrême douceur, il entreprend d’essuyer ma chatte humide, la frôlant et la tamponnant délicatement à l’aide du fin papier. Il décide d’accentuer la félicité qu’il venait de me procurer en abandonnant le mouchoir de papier imbibé, il pince entre ses doigts mes grandes lèvres, les écarte délicatement l’une de l’autre. Il approche son visage de ma faille luisante afin de s’y désaltérer, il plonge sa langue dans les replis humides à la recherche de ce qui peut rester.

 

« C’est fini, mon Fred, laisse-moi, je suis à bout ! »

 

Je m’agrippe d’une main tremblante sur son crâne, toujours accroupi entre mes cuisses frémissantes. Je repousse le visage trempé de mon époux en me disant que cette fois, c’est sûr, il est bon pour accéder à notre plan.

 

Saisie par la tendresse et la passion qui brille dans ses yeux, j’encercle son cou et approche mon visage pour lui poser tendrement mes lèvres sur les siennes.

 

« Je t’aime… ! » Murmuré-je faiblement.

 

D’une langue souple et adroite, je vais chercher la sienne dans un baiser plein d’une passion amoureuse depuis longtemps oubliée. Peu à peu, la vie avait transformé les amants que nous étions en un couple comme tant d’autres, pris par les obligations professionnelles.

 

Encore une fois, je me distingue en me disant que j’ai encore marqué un point. Au restaurant, nous parlons bien évidemment un peu du travail, des enfants, puis il me complimente pendant que nos jambes se frôlent sous la table. Un vrai dîner d’amoureux.

Assez tard dans la nuit, nous arrivons à la maison en nous bécotant comme de jeunes tourtereaux.

 

 

Je ne pouvais en espérer plus, pour l’instant, tout c’est passé à merveille et j’ai repris goût de l’amour avec mon mari. Nous prenons une douche ensemble comme au bon vieux temps, puis enfilons chacun notre peignoir pour nous diriger vers notre chambre.

La porte de la chambre de Julie qui se trouve en face de la nôtre est entrouverte, Fred a l’idée de jeter un œil dans la demi-pénombre de la chambre et là… !

 

 

« Mais c’est quoi ce bordel, Geneviève, dis-moi que je rêve ? »

 

 

En effet sous le regard stupéfait de mon chéri, nos enfant sont allongés, nus sur le lit. A la vue de leur père, ils se lèvent pour venir l’enlacer. Jusque-là tout se déroule comme nous l’avons anticipé.

Julie l’enlace un peu plus fort que d’habitude pour l’embrasser sur les joues.

 

 

« Bonjour mon papa adoré ! »

 

 

Puis elle se détache pour laisser la place à son frère qui, à son tour, l’enlace et dépose également deux bisous.

 

 

« Mais que faites-vous à poil, tous les deux, dans le lit ? » S’interloqua mon mari, complètement ébahi sous l’effet de cette surprise inattendue.

 

 

– On t’attendait papa chéri… Nous sommes très contents de te voir, ce soir, nous savons que maman t’a bien accueilli, maintenant c’est notre tour, n’es-pas Fred ?

– Oui mais ça ne m’explique pas ce que vous faites, tous les deux, à poil. dans ton lit ? Répéta Fred d’un ton nettement plus élevé.

– Allons mon chéri, on a passé une soirée exceptionnelle et maintenant tu t’en prends aux enfants sans bonne raison… !

.. Tu n’es pas fier d’avoir une fille et un garçon si beau, si épanoui, qui sont parmi les plus doués de leur lycée… !

.. Tu n’es presque jamais avec nous, tu n’as pas vu qu’ils manquaient d’amour ?

.. Depuis quelques jours, j’ai repris mon rôle de mère sans pour autant délaisser le bureau ! »

 

Pendant ce temps, les enfants continuent à faire de gentilles politesses à leur papa en le cajolant et se serrant contre lui. Il est devenu silencieux certainement par le fait de la pure réalité de notre vie nourrie jusque-là uniquement du travail et sans aucune affection. Je vois bien que dans sa tête il cogite ne sachant absolument plus quoi faire, prisonnier de l’emprise des enfants et de moi-même. D’un geste synchronisé, nous l’entrainons dans notre chambre, chancelant, il suit le mouvement pour s’affaler sur le lit et dans cette petite chute son peignoir s’entrouvre laissant apparaître une verge en demi-érection.

 

D’un regard complice entre les enfants et moi, comme pour nous dire qu’il ne faut surtout ne pas abandonner ce que nous avions décidés pour rendre notre Fred un peu plus familier. Par de petits chatouillis quasi innocents occasionnés pas six mains mon mari est resté muet ne sachant certainement plus ce qui lui arrive, mis à part une bien belle érection d’où commence à perler quelques gouttes de liquide intime. La verge dressée n’échappe pas aux caresses où chacun y met du sien pour une excitation maximum de notre protecteur.

Emportée par la situation, à la fois fière et excitée de voir mon chéri se soumettre à notre complot, aussi je prends l’initiative par un doux massage sur le membre tendu pendant que Lucie et Loïc continuent leurs caresses de plus en plus voluptueuses. Il est un peu difficile, dans le demi- obscurité de la chambre, de bien voir ses yeux, mais je crois qu’il prend un immense plaisir, c’est un homme !

 

Mes propres sens me tiraillent, m’exaspèrent, je veux reprendre la marche triomphale vers son propre plaisir et le mien. Je me redresse un peu, approche une langue gourmande de l’organe impatient. Je pose délicatement ma langue sous la hampe de verge, escalade doucement le membre par le dessous, recueille, délicieusement gourmande, la perle de rosée et revient à la base de la queue, lèche d’une large langue râpeuse les couilles contractées, remonte sous le phallus, darde ma langue en stylet que je promène sur le dessin des veines saillantes. Prodigieusement sadique, je m’arrête à chaque fois juste avant d’atteindre enfin le gland, et reprend mon manège. Ce manège affole, transporte ce pauvre Fred qui n’en peut plus de toutes ces agaceries.

 

 

Lucie et Loïc, ont cessés leurs câlineries pour saisir chacun une main de leur père et la serrer au milieu de leurs cuisses, tant ils sont émerveillés par l’amour que je prodigue à leur papa.

Mes lèvres se posent enfin sur le gland congestionné, je l’avale brutalement, l’enferme dans ma bouche, l’y maintient avant que de le relâcher pour mieux l’avaler tout entier. Un coup d’estoc prodigieux, qui tend le corps de Fred dont je maintiens les fesses pour qu’il ne m’échappe pas. Je vais et viens sur le membre tendu, l’inonde de salive. Mais je sais bien qu’il ne pourra plus tenir très longtemps à ce régime, qu’il est proche de la rupture, son besoin de jouissance est trop fort pour être contenu. Je me redresse, le chevauche en amazone déterminée. Avant d’enfourner l’ardillon distendu, je prends le temps encore de jouer avec, juste pour faire plaisir à Lucie et Loïc. Je le frotte sur mon clito et le laisse glisser entre mes lèvres douloureusement gonflées.

 

C’est le moment que choisi Loïc pour venir derrière moi et prendre à pleine mains mes seins excités. Je sens la chaleur sourdre tout au creux de mes reins et décide de trancher dans le vif. Le bijou magnifique de mon fils, je vais me l’avaler, me l’engloutir dans mon petit couloir. Je me penche en avant, je mordille les lèvres de mon mari qui résiste de toutes ses forces à la tentation de lâcher son plaisir et laisse enfin le morceau de Loïc s’enfoncer dans mes chairs les plus intimes.

 

La verge pénètre doucement, millimètre par millimètre, le cercle étroit de mon fessier relâché pour s’introduire dans l’anneau qui l’étrangle. Jamais je n’aurais imaginé ou espéré une pareille aventure, deux membres virils se rejoignent au travers de mes chairs, ils se chevauchent, se superposent. J’entame un très lent balancement sur la verge de Fred, prenant le soin de laisser à Loïc le temps de se calquer sur le mouvement de mes hanches. Je profite au maximum du mouvement asymétrique des deux bites qui m’habitent. Je me sens chienne, impudique, et pourtant triomphante de contrôler ces deux membres qui me fouillent.

 

Ce qui est le plus étonnant c’est le silence même de cette danse, ou personne ne s’exprime par des mots ou râles de plaisirs.

Excité par ce spectacle plus ou moins improvisé, Lucie se cambre en maintenant la main de son père entre ses cuisses, comme si elle voulait s’en servir pour se masturber. Elle frotte les doigts sur sa fente au rythme de mes mouvements.

 

Les mouvements s’accélèrent, s’emballent, les pistons se dérèglent, les va-et-vient s’affolent, mais peu importe alors, le bonheur est bien là, à portée, je n’attends que l’explosion que je souhaite simultanée des deux chevilles en moi. Et le foutre jaillit, me brûle le cul et la moule, des jets puissants, ravageurs, qui me propulsent enfin dans l’éther infini et me jettent dans l’orgasme, me ballottent comme un fétu de paille dans une monstrueuse tempête libératrice pour me plonger dans un océan de douleur bienfaisante, extatique. Le bonheur me submerge.

 

À bout de forces, épuisée par l’effort, je perds mes dernières forces pour m’abattre sur le torse de mon chéri en sentant tout le poids de mon fils sur mon dos. Je réalise combien, oui. ô combien, je souhaiterais à cet instant, pouvoir plaquer mes lèvres sur celles de Loïc, combien je voudrais pouvoir le remercier de ce bonheur, lui couvrir le visage de petits baisers tendres.

Toujours amarrée à Fred, je glisse sur le côté, enfouit mon visage sous son bras libre. Je sens dans son vagin, la queue qui se dégonfle, perd de sa superbe, s’amollit. Je sens entre mes fesses, l’autre verge qui s’en va, se libère à regret. Mon fils s’écarte et s’étend sur le lit, renferme dans ses bras protecteurs sa sœur qui a dû également bien s’éclater et vient déposer sur sa joue un tendre et long baiser d’amour. Julie se tourne alors vers lui et leurs lèvres se joignent, se soudent et s’abandonnent. Des larmes de reconnaissance inondent son visage et noient son regard perdu.

 

En ce dimanche matin, j'ai l'impression que rien de tout ça n'est arrivé, que ce n'était qu'un rêve mouillé comme il m'arrive quand je suis en manque.

 

 

Je reviens, cependant, vite à la réalité, je suis nue dans mon lit et en sortant dans le couloir, c'est toute aussi nue que je croise ma fille. Sans plus de cérémonie, elle me souhaite le bonjour avec un petit bisou sur les lèvres. Elle m'apprend que son père est sorti avec Loïc. En un sens je suis soulagée que notre soirée se soit bien passée même mieux que nous l’avions prévue.

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Jeudi 10 mars 4 10 /03 /Mars 16:21
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