amour sans tabou

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Mardi 21 mars 2 21 /03 /Mars 14:40

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Comme d'habitude, après la douche, nous nous sommes allongés un instant sur mon lit. Il fait très chaud et nous sommes restés nus. Tom s'est allongé contre moi, sur le côté, sa cuisse relevée repose sur la mienne et il caresse mon sein. Mon bras le long du corps repose sous lui et du bout des doigts je peux à peine toucher le bout de sa tige ; instinctivement il se remonte et vient déposer sa bite et les deux couilles au creux de ma main.

 

- J'aime bien quand tu prends ma bite dans ta main

- Elle est tellement douce à caresser... et très dure, j'aime quand tu bandes.

 

Nous restons ainsi un long moment, moi lui caressant tour à tour sa bite tendue ou ses petites couilles rondes, douces, lui me pelotant un sein ou caressant ma chatte épilée, Nous nous sommes assoupis ainsi un moment ; je me réveille, il dort encore mais il a bougé dans son sommeil : il est maintenant sur le dos, sa bite a ramolli et repose sur son ventre plat. Je regarde avec beaucoup de plaisir mon fils de dix ans dormir nu auprès de moi. Nous faisons ainsi depuis deux ou trois ans où nous avons pris l'habitude de nous doucher ensemble, et comme je vis seule avec lui, je lui ai appris qu'il est normal pour une mère et son fils de se voir nus et se toucher. J'adore savonner son petit corps en m'attardant particulièrement sur ses belles fesses rondes et sa petite trilogie. Je nettoie avec une attention particulière le petit trou de son cul et le gland rose de sa bite que je décalotte doucement avec un immense plaisir. Il me le rend bien car je lui ai aussi appris à bien laver mon anus et ma chatte ; il semble y prendre aussi beaucoup de plaisir et s'applique de son mieux.

 

C'est pour lui un jeu innocent de jouer avec le corps de sa maman, mais moi, ça me trouble de plus en plus et je ne me lasse pas de tripoter les organes de mon fils à chaque occasion ; j'y trouve d'autant plus de plaisir que je les vois grandir lentement au fil du temps. Inconsciemment au début, je sais maintenant que ces attouchements innocents ont un but que je réaliserai un jour : me libérer sexuellement avec mon fils, l'aimer, le faire jouir et me faire pénétrer par cette merveilleuse petite bite pour en jouir à mon tour. Mais il faut pour ça que je passe à l'initiation, aux jeux sexuels et cette période de repos après la douche en fait partie. J'ai aussi pris l'habitude de l'embrasser maintenant sur sa petite bouche plutôt que sur les joues et il me le rend bien ; il m'a dit qu'il aimait mes lèvres sur les siennes. Quand nous parlons de sexe, je caresse sa bite qui durcit rapidement et il me caresse un sein ou la chatte. Nous ne parlons plus de zizi, de nénette ou de tétés, mais nous disons bite, couille, chatte, bander.

 

Mais revenons sur mon lit. Tom est là, à côté de moi endormi sur le dos. Je vais le réveiller doucement, le faire bander et après je le branlerai pour la première fois ; je ne sais pas s'il va jouir ni s'il sait déjà se branler tout seul. Je me penche sur lui dépose un premier baiser sur ses lèvres, je descends vers un téton que j'embrasse aussi, Tom dort encore. Ma bouche descend, je suis tout près de sa bite, je n'ai jamais été aussi proche. J'ai envie de la prendre dans ma bouche et sucer enfin ce petit bâton, mais je ne veux pas bruler les étapes. Je pose un léger baiser sur la bite molle qui commence aussitôt à s'allonger et durcir un peu. Tom sort enfin de sa torpeur et sent ma bouche embrasser sa bite encore une fois.

 

- Oh maman, tu me fais bander !

- Désolée, je t'ai réveillé ?

- Oui mais c'est si bon quand tu t'occupes de ma bite.

- Je vais le faire mieux que d'habitude, je vais te montrer quelque chose de nouveau. Je prends la bite maintenant dure comme du bois entre mes doigts, je décalotte doucement le petit gland et j'y dépose un baiser.

 

- Je vais te branler, tu sais ce que c'est ?

- Non maman, c'est agréable ?

- Oui, très agréable ; à la fin tu vas voir, tu vas peut être jouir, et tu pourras le refaire tout seul

- C'est quoi jouir ?

- C'est avoir un très gros plaisir avec plein de sensations délicieuses dans le sexe.

- Oui, alors vas-y, j'aime beaucoup que tu touches ma bite.

 

Lentement, tout doucement je commence à branler la petite bite ; Tom apprécie, quelques mouvements de bassin le montrent bien. Son gland s'est maintenant un peu lubrifié, je le branle plus facilement et j'accélère la masturbation ; les mouvements de Tom ne trompent pas il aime être branlé et j'espère qu'il va jouir. J'ai assez branlé les bites de mes copains et de mes cousins quand j'étais ado, je sais quand et comment faire jouir un homme et voir son sperme gicler ; mais là je ne sais pas comment va réagir mon fils de dix ans, s'il n'est pas trop jeune pour jouir sans sperme.

 

Tom se crispe un peu, ses mouvements sont plus saccadés, je sens que le but est proche. Je ralentis un peu la branlette, j'allonge la course de mes doigts... Tom est tout raide... mes doigts remontent lentement le prépuce sur le gland... redescendent en le décalottant... je recommence... Tom se crispe donne trois coups de reins vers l'avant comme s'il voulait enfoncer sa bite dans l'étui de mes doigts. –

 

- Maman, je jouis, je crois que je jouis !

- Oui mon Tom, jouis bien, encore.

 

Je le branle encore quelques instants. Puis Tom se détend se relève un peu pour embrasser mes lèvres,

 

- C'est ça branler et jouir ?, tu avais raison c'est délicieux, on le refera.

- Je te l'avais bien dit, faut toujours faire confiance à sa maman ! Tu as vu le mouvement, tu peux le faire tout seul, branler ta bite dans ta main, on appelle aussi ça se masturber.

- D'accord j'essaierai dans un moment, là, ça m'a fatigué. Mais toi tu n'as pas de bite, tu ne peux pas te masturber et jouir ?

- Mais si bien sûr, mais autrement, je peux caresser ma chatte et mon clitoris, tu sais le petit bouton que je t'ai montré hier. Je peux aussi entrer mes doigts ou un objet dans le trou de ma chatte et me faire jouir comme avec une bite.

- Alors montre-moi, masturbe-toi et fais-toi jouir, après je me masturberai aussi, puis tu pourras m'apprendre à te branler et te faire jouir à mon tour.

 

J'hésite mais je ne peux pas refuser, je dois me masturber devant mon fils c'est indispensable pour la suite et en fait ça m'excite beaucoup ; et puis Tom est si réceptif à mon éducation sexuelle ! Je m'allonge, j'écarte mes jambes pour qu'il voie bien et je commence à caresser ma chatte, le plaisir monte et j'en oublie la présence de mon fils. Mais non, je me branle pour lui, il faut qu'il me voie jouir ! Je dois rester bien consciente, j'ajoute un doigt dans mon vagin, je mouille comme jamais, je me branle, je me branle... Je me crispe, je crie, je jouis, je me détends. C'est merveilleux, je me suis masturbée avec mon fils comme spectateur, j'ai joui énormément et il a aimé, je le vois bien à sa splendide érection et son air satisfait. Je me redresse, prends son visage entre mes mains et dépose un baiser appuyé sur sa bouche, insérant ma langue juste entre ses lèvres douces pour la première fois.

 

- À moi maintenant, je vais me branler, me masturber comme tu m'as appris.

 

Et sans aucune gêne Tom s'allonge sur le dos, prend sa bite dans sa main et commence le va-et-vient de sa branlette, c'est normal devant sa maman. Ou il a tout compris ou c'est d'instinct, mais je vois que sa masturbation lui apporte beaucoup de plaisir, il semble un moment chercher le bon rythme accélérant ou ralentissant le branle de sa bite En peu de temps les signes du plaisir croissent puis il ralentit comme s'il voulait faire durer le plaisir et retarder la jouissance. Un dernier coup de rein, un petit cri et il se détend.

 

- Maman, je me suis masturbé et je me suis fait jouir, tu m'as appris quelque chose de super !

- Tu pourras te branler tous les soirs avant de t'endormir comme je le fais moi même.

- À toi, apprends-moi à te branler, on pourra aussi se masturber sur ton lit après la douche comme aujourd'hui.

 

Je montre donc à Tom avec conseils à l'appui, comment branler et faire jouir sa maman... et ses futures copines. Il faut dire que Tom doit être doué car ses doigts graciles font merveille, il ne lui faut pas longtemps pour me faire jouir et mes petits cris de plaisir l'amusent beaucoup. Il est quand même étonné de retirer ses doigts tout trempés de mon vagin. Je dois lui expliquer la nécessité d'une lubrification, pour un meilleur plaisir lorsqu'un garçon baise la chatte d'une fille ; mais il ne semble pas intéressé pour passer à ce stade, je suis d'accord, je veux le sucer avant.

 

Ce week-end Tom est parti dormir chez son copain Benoît pour l'anniversaire de celui-ci.

 

Je me sens un peu seule le soir sans mon petit mâle et sa bite ; heureusement j'ai fait quelques photos de nos branlettes et c'est en les visionnant que je me masturbe avant de dormir, et avec l'aide d'un gode dans l'anus et du vibromasseur dans la chatte j'atteins un très bel orgasme. Depuis ma complicité sexuelle avec Tom je n'avais pas ressorti ces deux compagnons et je les retrouve avec plaisir.

 

Le dimanche soir Benoît et son père raccompagnent Tom à la maison. Benoît a presque un an de plus que Tom mais il n'est pas plus grand, il est aussi beau garçon et je me demande s'il jute déjà ou s'il jouit encore à sec comme Tom, mais je suis certaine qu'il se masturbe car il me regarde drôlement.

 

Jacques, le père de Benoît est un bel homme, il remplacerait bien Tom avec une queue bien plus grosse ; mais je me suis promise de ne pas remplacer le père de Tom tant que je n'aurai pas fini son initiation sexuelle, c'est à dire tant qu'il ne m'aurait pas baisée.

 

Une fois Benoît et Jacques partis nous nous déshabillons tous les deux, nous nous retrouvons sur mon lit après une douche très "tactile".

 

- Ta jolie bite m'a manqué, je me suis masturbée deux fois. Mais toi tu n’as pas pu te branler avec la présence de Benoît, tu as dormi dans sa chambre ?

- Ils avaient mis un matelas par terre, mais très inconfortable alors comme Benoît a un grand lit dans sa chambre je suis allé avec lui.

- Dormir ?

- Non pas tout de suite, avec Benoît on a parlé d'un peu de tout pour finir par parler de sexe. Il m'a raconté qu'il s'était branlé cet été avec son cousin ; mais en fait c'était pour savoir si je me masturbais aussi comme lui.

- Tu n'as rien dit pour nous deux ?

- Non, t'inquiète ! On a commencé à se chatouiller, puis à se toucher alors j'ai compris qu'il était d'accord pour qu'on se branle. On a enlevé nos pyjamas, on s'est un peu tripoté la bite et les couilles puis il m'a proposé de me branler,

- Tu l'as laissé faire ?

- Oui, il sait très bien branler, j'ai bien joui. Et je l'ai branlé aussi.

- Elle est jolie, sa bite ?

- Très jolie, bien dure et droite comme la mienne mais un peu plus grosse et j'ai vu comme un peu de duvet au bas de son ventre.

- Il commence peut être la puberté, il a juté quand tu l'as branlé ?

- Oui, juste un peu de blanc sur le gland, comme tu m'as expliqué.

- Alors tu as passé une bonne soirée ? Continue à me raconter.

- Oui une bonne soirée ; après on n'a pas remis les pyjamas on a dormi tous nus, il a l'habitude avec son père.

- Ils font comme nous ?

- Son père est venu nous réveiller, il n'a pas eu l'air étonné de nous voir nus. Il a même soulevé les draps pour nous voir, il a dit "Ha !, vous ne bandez pas ? ". C'est là que j'ai réalisé qu'il était nu lui aussi avec sa grosse bite bien dressée.

- Il vous a touchés ?

- Il a rapidement passé sa main sur nos bites puis il est parti préparer les déjeuners en disant "Branlez-vous, je reviens"

- Vous l'avez fait ?

- Oui, Benoît m'a branlé le premier, puis son père est entré avec un plateau juste quand Benoît jouissait. On a déjeuné tous les trois sur le lit de Benoît, assis en tailleur, les bites dressées entre nos jambes écartées, ça faisait un joli spectacle !

- Jacques aussi était à poil ?

- Bien sûr, et il m'a parlé de Benoît, comment il faisait son éducation sexuelle, comme toi il lui a appris à se masturber et à le branler.

- Alors Jacques branle Benoit et Benoit branle aussi Jacques ?

- Oui, comme nous ! Ils m'ont montré...

- Leur branlette ?, Jacques a juté ?

- Oui, Benoît l’a branlé et l'a fait juter, c'est blanc, un peu visqueux, comme une crème. Après Jacques m'a branlé et pendant ce temps j'ai commencé à tripoter sa grosse queue et ses couilles.

- Tu as aimé ça, une grosse queue d'adulte pleine de poils ?

- Non, il se rase la bite et les couilles, pas un poil. Après m'avoir fait jouir il m'a demandé de le branler, je l'ai fait et il m'a trouvé bon branleur, il a joui en jutant du sperme sur ma main.

- Tu en auras bientôt du sperme, tu vois Benoît commence. Ils t'ont donc raconté qu'ils se branlent entre père et fils ?

- Ils m'ont tout raconté, ils ont aussi commencé à se doucher ensemble puis à se toucher et finalement Jacques a commencé à lui apprendre le sexe. Maintenant ils font aussi d'autres choses.

- Ha bon ?, lesquelles ?

- Ben. Jacques prend la bite de Benoît dans sa bouche et il la suce comme une glace jusqu'à ce que Benoît jouisse, il paraît que c'est le meilleur du sexe.

- Oui, dans la bouche c'est bien le meilleur, et Benoît le suce aussi ?

- Oui, mais Jacques ne veut pas jouir et mettre son sperme dans la bouche de Benoît car il est trop petit, alors il se retire avant et ça ne plait pas à Benoît. Il m'a dit qu'il avait gouté le sperme sur sa main que c'était trop bon, il lui tarde que Jacques le trouve assez grand pour avaler toute une giclée de sperme.

- Il a tort, c'est très bon le sperme, moi j'aime l'avaler et à son âge Benoît peut le faire, moi je le faisais à son âge. Et ils ne font pas autre chose ?

- Tu veux dire entre garçons, se mettre la bite dans le cul ?

- Oui, ou s'enculer si tu préfères !

- Si justement, après le déjeuner Benoît m'a tout raconté, comment il encule Jacques et comment Jacques l'encule malgré sa grosse bite maintenant ça ne lui fait plus mal mais beaucoup de plaisir. Il m'a dit pour me rendre jaloux "Tu n'as pas de chance, ta maman ne pourra jamais t'enculer" juste te sucer.

- Non, mais je pourrai te mettre un gode.

- Un gode ?

- Oui, une fausse bite en plastique, j'en ai plusieurs de différentes tailles. Et finalement tu as aussi raconté nos branlettes ?

- Oui, je te demande pardon, j'avais promis. Après avoir branlé Jacques ça m'a échappé qu'on se branlait ensemble, mais je crois qu'en réalité ça leur a bien plu, surtout à Jacques qui a eu un petit sourire mystérieux.

- Tu n’aurais pas dû, mais c'est fait ! Pour te punir je vais te sucer, Benoît et Jacques ne l'ont pas fait ?

- Non, j'aurais aimé, mais je préfère que tu sois la première.

 

Tout excitée par ses récits et la chatte trempée, je me suis penchée sur la bouche de Tom dont ma langue a pris possession, il a aussitôt répondu à mon baiser en mêlant sa langue à la mienne, un baiser passion comme, ça me manquait depuis longtemps.

 

- Tu veux un gode avant ou après que je te suce ?

- Après, suce-moi vite, je suis impatient.

 

Alors je me baisse, je prends la belle tige bien raide dans ma bouche, je la décalotte avec mes lèvres puis la suce longuement, d'abord le petit gland, puis la bite entière. Quand Tom jouit, j'ai cru qu'il s'évanouissait tellement sa réaction a été forte ; je sens un goût âpre sur son gland, avait-il juté un tout petit peu de sperme ? J'avais trop léché le gland il n'y a aucune trace. Une autre fois ?

 

Puis, comme promis, on passe au gode ; j'en choisis un plutôt long mais pas trop large que je juge idéal pour le dépucelage du petit trou de mon Tom. Avec une bonne dose de gel lubrifiant, j'introduis facilement le gode dans l'anus de Tom et je commence un va-et-vient tout en branlant la petite queue de Tom. Il jouit une nouvelle fois.

 

- C’est bon avec le gode, un peu comme si tu m'enculais

 

Après avoir ressorti le gode, je le laisse reprendre ses esprits, mais il a déjà avancé sa main vers ma chatte pour me branler.

 

- Non, ta punition n'est pas finie, c'est à toi de me sucer. En tout cas ta bite a bon goût.

- Comment fais-je ?

- Un peu comme quand tu me branles mais avec la bouche et la langue au lieu de tes doigts. Viens entre mes jambes.

 

Et Tom a déjà compris, il commence lentement à lécher la fente, les lèvres et le clitoris ; j'essaie de ne pas trop mouiller : Il n'est pas habitué au goût d'une chatte. Finalement, pour un premier cunnilingus Tom s'en sort assez bien et me procure un très bel orgasme.

 

- C’était très bien, mon Tom, une autre fois on essayera un 69.

- 69 ?

- Oui, on se met tête-bêche et on peut chacun sucer l'autre en même temps qu'on est sucé.

- Ha oui !, Benoit m'en a parlé avec son père.

- M : Ah, son père ! Je vais lui parler. Tu vas inviter Benoît à dormir à la maison le prochain weekend, il va sûrement l'accompagner.

- Mais on n'a pas de place !

- Mais si, comme chez Benoît vous dormirez ensemble dans ton lit, vous pourrez vous branler, je vous amènerai le petit déjeuner comme Jacques...

 

Jacques et Benoît arrivent plus tôt que prévu et avec Tom on s'est habillés pour les recevoir. Moi très légèrement, une jupe assez courte un haut plutôt décolleté et bien sûr sans sous-vêtements.

 

- Maman, tu es canon et très sexy, j'espère que tu vas faire bander Jacques et Benoît.

- Si j'écarte un peu les jambes, à coup sûr.

 

Les présentations sont vite faites, je pense bien plaire à Jacques avec ma tenue ; je les trouve, père et fils plutôt beaux, en tout cas bien à mon goût pour la suite. J'invite Jacques à rester diner plutôt que de rentrer seul tout de suite, il accepte et nous allons discuter de nos fils assis sur le canapé et devant un apéritif. Les deux garçons sont invités à aller se doucher pendant ce temps. La douche me parait longue et ponctuée d'éclats de rire. On continue nos discussions sur l'éducation avec Jacques qui m'appelle vite par mon prénom : Marion.

 

Les garçons déboulent dans le séjour après la douche pour prendre quelques biscuits d'apéritif, ils sont nus sous leur serviette de bain enroulée à la taille. Quand Benoît passe à portée de Jacques, il étend le bras pour saisir la serviette de bain et la défait brusquement en disant :

 

- C'est bien dommage de cacher de si beaux garçons avec de si jolis attributs, dit-il à son fils.

 

Je crois que c'est à ce moment que Jacques a lancé une soirée qui s'annonce bien ! À son tour Tom vient près de moi visiblement pour que je lui enlève sa serviette.

 

- Ils sont beaux, nos garçons ! Dis-je à Jacques.

 

Avec Jaques, nous contemplons sans gêne les deux adolescents qui s'exposent nus, debout devant nous les mains croisées derrière le dos et leurs petites bites tendues fièrement vers le ciel.

 

- Oui, on ne saurait lequel choisir, me répond Jacques.

- Benoît vous ressemble beaucoup, il a votre visage et il est un peu plus développé que Tom.

- Oui, il me ressemble de partout ! Et il commence bien la puberté, il jute un peu.

 

Ça y est, on a commencé à parler de sexe ! Je mouille un peu et je vois que le pantalon de Jacques se tend.

 

- Tom vous a raconté comment je m'occupe bien de l'éducation de Benoît ?

- Et aussi sexuelle, c'est important de parler de sexe aux enfants.

- Mais ce n'est pas facile de parler de ça.

- Le plus simple c'est par l'exemple.

- Oui, vous le savez c'est par l'exemple que j'ai montré à Benoît comment faire.

- Tom m'a raconté comment vous vous impliquez physiquement.

- Oui, vous aussi je crois.

- Mais en parent unique on ne peut pas tout montrer, je crois que vous êtes allé au fond des choses ?

- Oui, au fond... . On devrait échanger nos rôles, on se complétera.

 

C'est l'heure de préparer le repas, Jacques insiste pour m'aider, il se frôle à moi autant qu'il peut et je lui offre un maximum de perspectives sur mes cuisses et mes petits seins au travers du décolleté.

 

Puis, le repas prêt, nous allons chercher les garçons dans la chambre de Tom dont la porte est restée ouverte. Je m'attendais à les voir se tripoter mais le spectacle est bien au-delà. Les deux garçons sont sur le lit, couchés sur le côté, en train de se sucer en 69. En nous voyant arriver un petit signe nous invite à les regarder terminer leurs ébats. Tom jouit le premier puis Benoît jute dans la bouche de Tom, un peu surpris mais heureux de gouter enfin un peu du sperme de son ami.

 

- Très joli, on vous attend en bas pour diner, leur dis-je.

 

Nous redescendons, suivis de près par les enfants, toujours nus et j’entends Tom dans mon dos nous interpeller.

 

- Mais c'est indécent, vous n'allez tout de même pas manger tout habillés ? À poil comme nous !

 

Je suis leur hôte, je dois donner l'exemple ; sans hésiter et presque soulagée j'enlève le haut aussitôt, puis la jupe tombe et je me présente nue à la vue de Jacques et Benoît. Jacques a aussi vite fait pour enlever sa chemise, il a un beau torse musclé et imberbe. Il a défait la ceinture de son pantalon mais avec la pression de la queue gonflée en-dessous il a du mal à ouvrir la braguette. Benoît se précipite et d'un geste sûr il ouvre la fermeture éclair et sort la bite bien raide de son père. Puis nous passons à table pour un repas normal entre amis... sauf à la fin. Les garçons enlèvent les assiettes pour le dessert, puis ils reviennent de la cuisine avec une bombe de crème chantilly. Ils s'assoient sur le bord de la table, Benoît devant moi, Tom devant Jacques, leurs bites bien bandées et tendues vers l'avant et y déposent une bonne dose de chantilly ; je suis gênée.

 

- C'est le dessert, vous pouvez nous manger, nous lance mon fils.

- D'accord, vous aurais le vôtre après. Lui rétorque Jacques.

 

Et pour me mettre à l'aise, Jacques commence le premier à lécher la crème sur la bite de Tom.

 

- Allez-y, mangez aussi, m’encourage-t-il.

- Non, après, je préfère te regarder sucer mon Tom, il est aux anges.

 

Jacques sait y faire sans doute un long entrainement à sucer Benoît. Ou qui d'autre ? Tom ne tarde pas à jouir

 

- Jacques, tu suces presque aussi bien que maman.

 

Je ne fais pas attendre Benoît trop longtemps et je me mets aussi à le sucer, la chantilly d'abord puis la bite, lentement, longuement ; son père me regarde avec délice. Puis Benoît jouit enfin, il se retenait au mieux et je sens une goutte couler de son gland sur ma langue ; trop peu de sperme, mais il a sacrément bon goût !

 

- Je crois que c'est quand même ta mère qui suce le mieux, sort Benoît.

- Venez prendre votre dessert sur le canapé, les garçons.

 

Nous nous asseyons côte à côte au bord du canapé avec Jacques, les jambes écartées, bien accessibles. Nous avons droit à notre nappage de chantilly puis les garçons se mettent à genoux devant nos sexes et ils commencent à nous sucer. Benoît est un peu maladroit au début, c'est sa première chatte ! Tom a du mal à avaler la grosse queue de Jacques ; mais ils aiment le sexe, s'appliquent bien et nous font jouir presque ensemble. Seul Tom a du mal avec le sperme abondant de Jacques et il ne tente pas de tout avaler, il préfère le laisser couler de sa bouche sur la queue de Jacques.

 

- C'est bon le sperme, Jacques, j'aime bien mais il y en avait trop

- T'excuse pas, c'est normal, ça viendra avec l'habitude, tu le resuceras plus tard.

- C'est quand même très bon une chatte, très gouteux aussi, merci Marion.

 

Puis je me découvre la grosse queue de Jacques tripotant ses couilles rasées de frais, sa bite bien raide ; juste la bonne taille pour moi : assez longue mais de trop gros diamètre. Et au tour de Jacques de me tripoter caressant mes seins, ma chatte, il me complimente sur la rondeur et la fermeté de mes petits seins comme il les aime et la bonne lubrification de ma chatte.

 

La soirée se déroule ainsi entre tripotage branle et suce, au hasard des partenaires. Puis les garçons décident que Jacques et moi nous devons baiser ensemble et surtout qu'ils doivent regarder ce spectacle qui s'annonce magnifique. Alors on monte dans ma chambre, les garçons assis au bord du lit, nous commençons par quelques caresses.

 

- Vous pouvez vous branler en nous regardant, leur dit Jacques.

- Vous pouvez aussi nous caresser, nous toucher partout, ajouté-je.

 

Et ils ne se font pas prier pour exciter nos sens, leurs mains, leurs bouches et leurs sexes se baladant partout autour de nous. Nous baisons comme de vieux amants qui se connaissent bien sexuellement et savent se procurer des orgasmes simultanés et intenses. Nous retombons épuisés sur le lit couchés sur le dos, offerts à nos enfants qui se précipitent pour nous lécher, nettoyer nos sexes du sperme de Jacques et de ma mouille. Benoît vient lécher ma chatte en premier pendant que Tom nettoie la bite de Jacques. Puis avant de changer de place ils viennent nous faire goûter leurs trophées qui changent de bouche se mélangeant sans distinction entre homme, femme, garçon. Les baisers au goût de sperme sont délicieux sur les lèvres de mes trois amants, Tom et Benoît échangent leur premier baiser. Enfin Tom avale un peu de sperme de Jacques qui sortait encore de ma chatte et Benoît finit de sucer son papa.

 

La séance se termine par une douche collective avant d'aller se coucher, moi dans les bras de Jacques, Tom dans ceux de Benoît.

 

 

Finalement Jacques ne repart que le lendemain matin car il travaille l'après-midi. Cela nous laisse du temps pour dormir (un peu) et pour baiser, branler, sucer (beaucoup).

 

En fin de matinée je m'habille et sors faire quelques courses pendant que les garçons dorment encore, nus sur le lit de Tom. A mon retour ils se réveillent à peine, et étonnés de me voir habillée, ils ont tôt fait de me remettre à poil ! Deux pipes et un cunnilingus plus tard en guise d'apéritif et nous passons à table. Mais la nuit a été courte et agitée, une courte sieste sans sexe nous repose. C'est vers 15 heures que je suis réveillée par le gode que Tom et Benoît font jouer dans ma chatte ; en quelques va-et-vient je suis remise en forme, et bien mouillée je jouis vite. J'embrasse les deux jeunes bouches à pleine langue, puis ils se roulent une bonne pelle entre eux ; j'avais oublié l'éducation sexuelle de Benoît et l'adhésion de Tom à celle-ci.

 

- Ça avait l'air super quand vous avez baisé avec Jacques, il semble que vous avez énormément joui, me dit Tom.

- Oui, Jacques est un très bon coup, il se sert si bien de sa bite !

- Je la bien connais sa bite, lance Benoît, elle est super. Mais nous ce qu'on ne connait pas c'est la chatte, comment ça fait quand on baise dans une chatte.

- Je veux bien vous faire essayer, mais vous êtes puceaux, c'est important : comment et avec qui on est dépucelé.

- Tu avais choisi, maman, avec qui ?

- Moi, c'est ton grand-père, c'est sa bite que je voulais et grand-mère était d'accord, c'est elle qui m'avait appris à le branler et le sucer. Elle était là quand on l'a fait pour mes douze ans. Grand-père m'a dépucelée et il a joui dans ma chatte c'était une sensation merveilleuse. Puis grand-mère a versé du champagne sur ma chatte en recueillant dans une coupe le mélange de champagne, de sperme de grand-père et d'un peu de sang de mon pucelage ; ensuite on en a bu une gorgée à tour de rôle.

- Maman, ça serait bien que tu nous dépucelles aujourd'hui.

- J'attends ça depuis le premier jour où je t'ai vu bander. Mais toi, Benoît que va dire Jacques ?

- On en a déjà parlé : il m'a dit "je t'ai dépucelé du cul, je n'ai pas de femme mais tu sauras trouver la bonne".

- Et tu aimerais que ce soit moi ?

- Oui, tu es bonne !

- C'est ça, flatte ma mère ! Mais je suis son fils j'ai la priorité, en plus je serai le premier ado qui la  baise.

- Pfff, une p'tite bite qui ne jute pas ! Le taquine Benoît.

- Allons les garçons ne vous chamaillez pas. Ce sera Tom d'abord et Benoît ensuite.

- Je peux rester vous regarder ?

- T : Bien sûr, Benoît, tu seras mon témoin et regarde bien comment il faut faire !

 

On va d'abord prendre une douche tous les trois, six mains qui ont beaucoup à explorer, caresser, mais personne ne jouit, on se réserve.

 

On se retrouve peu après sur mon lit, l'impatience des garçons leur donne deux érections magnifiques, je suis gâtée. Je m'allonge sur le dos, jambes bien ouvertes et Tom vient sur moi. Un baiser profond commence à nous unir, je sens la petite bite dure contre mon ventre, mon cœur bat vite. Tom essaie maladroitement de pousser sa queue dans ma chatte, je la prends en main et je la guide dans mon vagin. La sensation est délicieuse, la bite trop petite glisse facilement à l'intérieur de mon corps, j'essaie de serrer mes muscles au mieux, Tom le sent et me sourit. Benoît nous regarde en se branlant lentement.

 

- Ça y est, mon Tom, tu es dans la chatte de ta mère ; donne-lui du plaisir et surtout prends en toi-même pour ta première baise.

- Oui maman, c'est tellement doux dans toi, je vais essayer de te faire jouir.

 

Puis il commence le va-et-vient tant attendu, lentement, doucement, il accélère, ralentit. La bite est vraiment petite, je ne sais pas s'il va me faire jouir mais je commence à perdre mon contrôle et j'y vais d'un mouvement des reins pour l'accompagner. Benoît s'approche, il a lâché sa queue pour caresser mes seins et les fesses de Tom, il glisse même une main entre nos corps pour toucher nos sexes unis, ma chatte, les couilles de Tom. Puis tout s'accélère, le rythme de nos respirations, les coups de bite de Tom, il s'arrête un instant, il va jouir, non il reprend lentement, puis en deux coups de queue il nous fait jouir tous les deux, il crie, je crie, nous sommes heureux. Enfin la tension retombe on se détend avec un immense baiser où se mêlent nos langues. Tom se retire doucement, à regret, Benoît et lui contemplent la bite de Tom et ma chatte humide et gonflée de plaisir.

 

- Benoît, tu nous nettoies ?

- Bien sûr, avec plaisir et je vais vous faire goûter.

 

Il nettoie d'abord Tom à grand coups de langue, la bite, les couilles ; puis il vient me lécher, il recueille la mouille de ma chatte et tour à tour vient nous embrasser en échangeant le précieux liquide, c'est délicieux. Mon fils m'a baisée et je déguste le fruit de notre amour, c'est extraordinaire. J'ai fait l'amour avec mon fils, mon envie d'inceste est comblée, et après mon dépucelage par mon père la boucle est bouclée.

 

Je prends un long moment de repos à caresser les deux corps des gamins impubères, et j'invite Benoît qui s'impatiente à venir baiser ma chatte à son tour. Il n'est pas plus adroit que Tom bien qu'il doive savoir guider sa queue en enculant son père, et c'est la main de Tom qui le guide dans la chatte de sa mère puis entre ses jambes, il lui caresse les couilles pour l'encourager. La bite un peu plus grosse est plus agréable que celle de Tom mais nous ne jouissons pas plus vite ; mon excitation est retombée et Benoît est plus maladroit mais c'est quand même un bel orgasme qu'il me procure. Benoît, lui, est tout heureux :

 

- J'ai baisé, j'ai baisé ! Marion tu es super bonne... J'ai juté dans ta chatte !

 

Et c'est au tour de Tom de venir nous nettoyer avec sa langue et échanger ma mouille avec les autres. Je lui trouve un goût un peu différent, peut-être le peu de sperme de Benoît ?

 

Mais les enfants sont toujours prêts et Tom propose une nouvelle expérience : Me baiser à deux, ce qui me plait bien, leurs bites sont petites et à deux ça devrait le faire ! Ils manquent d'expérience pour cette position mais je l'ai déjà fait avec mes deux cousins. Je mets Tom sur le dos, je m'empale sur sa queue, me penche en avant jambes écartées et Benoît vient glisser la sienne dans mon anus. Même sans lubrifiant la queue est fine et entre facilement pour mon grand plaisir, il y a si longtemps que je n'ai pas été enculée.

 

En fin de journée après son travail Jacques vient chercher Benoît, nous lui racontons nos expériences de l'après-midi, il me remercie d'avoir dépucelé son fils. Puis, c'est bien sûr encore l'occasion d'embrasser, caresser, peloter, branler, sucer et baiser. Toutes les combinaisons bite, bouche, chatte, anus y passent, tous nos trous sont comblés, toutes les couilles sont vidées. Puis, à regret Jacques et Benoît s'en vont après les derniers baisers langoureux.

 

Ce soir-là Tom et moi dormons enlacés mais trop fatigués pour le moindre jeu sexuel. Comme on se l'était promis nous avons passé de nombreux week-ends ensemble à baiser comme des fous, puis Jacques a été muté loin de chez nous et on s'est perdus de vue.

 

Je n'ai qu'un regret, c'est de n'avoir connu que des bites dans ces jeux sexuels, j'aurai bien aimé y trouver au moins une autre fille adulte ou de l'âge des garçons peu importe. J'ai encore le souvenir de bonnes séances de gouinage avec ma cousine, ça me manque un peu, maintenant que j'ai assouvi mon désir de Tom. Je vais chercher, je vais trouver, Tom aimera ça mais il ne le sait pas encore.

 

 

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Mardi 21 mars 2 21 /03 /Mars 14:22
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Jeudi 20 octobre 4 20 /10 /Oct 18:40

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Vous êtes dans le rêve,

Faites l'amour en famille,

Il n'y a rien de plus sain.

Sommes-nous des libérés sexuels. Les derniers tabous ne sont toujours pas tombés malgré une société qui se dit libérée. Un malaise souterrain règne autour de la question du sexe surtout lorsqu’il s’agit de l’amour consentant entre personnes  d’une même famille.


On ne trouvera cela sur ce blog ni inventaire des positions sexuelles, ni  assistance à l’acte, ni digressions sur la psychologie des femmes et des hommes.


Vous trouverez sur ce blog de belles histoires d’amour  entre des femmes, entre des hommes, entre des hommes et des femmes, tous les ingrédients nécessaires à de beaux moments d’extase. Vous trouverez aussi toute une variété de photos pour tous les goûts, pour tous les fantasmes et pour tous les désirs.


Alors que l’éducation sexuelle se réduit souvent à un triste recueil, ici les tabous sont tombés sans préjugé et sans limite pour le bonheur des femmes et des hommes, le sexe est libre.




Quelques exemples en images à abuser sans modération.

 

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                                              La maman, le papa, le fils et sa compagne

 

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                                                         Les deux frères et leurs compagnes

 

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                                                                 La mère, sa fille et son copain 

 

 

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                                                           La mère, sa fille et son copain 

 

 

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                                                   Le papa, la maman et leur fille adorée

 

 

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                                                             Le papa, la maman et leur fille adorée

 

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                                                      Maman, papa, le fiston et la fille

 

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                                Papa et maman donnent queques leçons à leur fille et ses copines

 

 

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                                                     Petite soirée d'anniversaire en famille

 

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                                                                     Papa et ses deux filles

 

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                                                  Maman et papa initient les enfants

 

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                                                             Notre fille veut un petit frère

 

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                                Ma fille, il faudra que tu me débroussailles légèrement ce joli buisson !

 

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                                                      Décidément nos filles apprennent vite

 

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                                                    Allez les enfants; petite démonstration

 

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                                                             Maman et ses deux fistons

 

 

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                                                          Nos flles s"amusent avec leurs copines

 

 

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                                                         Dans notre famille, on sait recevoir

 

 

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                         Ce soir c'est la fête à la maison nos enfants ont invités leurs cousins et cousines  

 

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Par amoursanstabou - Publié dans : accueil - Communauté : inceste
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Jeudi 20 octobre 4 20 /10 /Oct 18:26

 

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C'est un de ces moments fantastiquement langoureux. L'intensité de l'orgasme a laissé mon esprit vide. Mon corps est si faible que je reste allongé sur le canapé, de peur que je ne puisse juste m'écrouler sur le sol. J'ouvre les yeux et vois le dos de Manon, légèrement hâlé, ses fesses pâles, montant et descendant mécaniquement, automatiquement, sur mon pieu mollissant. Ma femme est encore en train de terminer son intense et puissant orgasme, je suis lessivé.

J'entends un bruit, et là, dans la porte j'aperçois Sarah, notre plus jeune fille. Elle a seulement  quinze ans, mais elle est tellement mature. Elle nous a regardé faire l'amour... observant ma longue et épaisse bite coulissant dans la chatte de sa mère jusqu'à ce que finalement nous avons tous les deux atteint le septième ciel. Sarah nous regarde avec passion, sa propre excitation frôle le voyeurisme. L'entrejambe de son collant blanc est plaqué sur les lèvres de sa jeune chatte et son excitation l'a souillé jusqu'à assombrir la mince bande de tissu tirée dans sa fente. C'est une magnifique fille, ses longs cheveux blonds en cascade sur son dos, ses longues jambes musclées et bronzées. Je ressens le besoin de dire quelque chose à ma femme, que notre fille nous regarde faire l'amour... la prévenir... mais je suis tellement exténué que je ne peux pas parler. D'une certaine manière, il ne semble pas que ce soit important... tout cela me semble si... si naturel.

Ma bite se ramollit et le nœud sort hors de sa chatte. Il est lubrifié avec nos fluides, brillant dans la lumière du feu qui brûle à côté de nous. Le mouvement rythmique de Manon est si subtil maintenant que je ne peux discerner les contractions de ses épaules, je ne peux pas détecter la petite montée et la chute de son corps. Elle me chevauche encore, et sous la fente de ses fesses je peux voir les gouttelettes visqueuses, résultant de notre friction, dégoulinant d'elle et se coller sur les poils de mes cuisses. Sa main droite passe derrière entre ses cuisses entrouvertes, et je sens les doigts de Manon s'enrouler autour de ma queue molle. Manon se relève, balançant sa jambe sur ma poitrine. Je peux voir ses cuisses briller de nos sécrétions. Elle se dirige vers la chaise où sont posées nos serviettes. De sa silhouette projetée sur le mur j'observe Manon qui se nettoie. Je regarde autour de la salle éclairée uniquement avec les flammes, mais elle ne peut voir Sarah. Manon quitte la pièce. Je me couche nu sur mon dos et ferme les yeux.

Sarah ne se retourne pas quand j'arrive dans la véranda, elle regarde dehors soit l'obscurité glacée du jardin ou les mouvements rapides des cumulus dans le ciel étoilé. Je sens que je dois parler à ma fille, lui dire quelque chose... lui expliquer... Je sens qu'elle est troublée par ce qu'elle a vu, mais je ne sais pas ce que c'est. Je m'avance pour poser mes mains sur ses épaules dans un geste paternel. Elle ne bronche pas, elle sait que je suis là. Je veux appuyer mon corps contre elle, mais elle est indubitablement bouleversée... il me semble qu'il est difficile pour nous deux de se réconcilier... retrouver notre intimité après l'acte dont elle a été le témoin. J'ai, tout à coup, un besoin irrépressible de partager avec elle. Sarah partage notre amour de parents, mais n'a jamais réellement été témoin de notre amour physique jusqu'à maintenant. Je peux comprendre qu'elle courbe son dos, et la façon dont ses épaules se dérobent sous mes paumes. Je demande à Sarah si elle veut revenir à l'intérieur à côté de la cheminée qui crépite. Il fait froid sous la véranda. Elle se retourne, et pour la première fois se rend compte que je suis toujours nu. Ses yeux semblent briller malicieusement dans la lumière des flammes et il me semble y détecter un petit sourire quand ma bite touche par inadvertance sa cuisse. Je frissonne à ce contact mais pas à cause du froid.

– Viens à l'intérieur, avant que ton pauvre papa n'attrape une pneumonie.

Lui dis-je avec un petit sourire. Je la fais asseoir sur le canapé en face du feu et pars à la recherche de ma femme. Manon est dans la cuisine. Je lui raconte tout, à l'exception du fait que l'idée de notre propre fille nous a vu faire l'amour m'a super excité. Mais Manon n'est pas une imbécile. Elle se blottit contre mon torse.

– Tu veux la baiser, non ?

Que puis-je dire. Je hausse les épaules évasivement et juste la regarde gauchement. Je ne peux jamais mentir avec succès à Manon.

– C'est bon... Laisse-moi faire.

Murmure-t-elle.

– Maintenant, va lui tenir compagnie pendant que je nous prépare à boire.

Je secoue la tête incrédule, mais je fais ce que dit Manon... d'ailleurs je le fais toujours. Sarah est toujours sur le canapé où je l'ai quittée, elle gigote d'inquiétude. Nous sommes assis à côté, séparés par la largeur d'une paume de main pour la bienséance, elle dans son justaucorps brillant pendant que le même regard que sa mère, serein mais avec un soupçon alléchant de malice. Les taches de rousseur sur ses joues brillent à la lueur des flammes. Je peux sentir la chaleur de la flamme. Il me tarde de savourer ce jeune petit animal, se régalant de sa chair tendre avec mes mains, mais c'est inapproprié. Manon entre dans la pièce. Elle porte un plateau avec une bouteille de vin et trois verres, elle le pose sur la table devant le canapé. Elle est vêtue d'une robe de soie translucide qui arrive à peine en haut de ses cuisses et qui avec les flammes cache peu de choses. Ses cheveux brun clair tombent sur ses épaules.

Cinq minutes se sont écoulées quand je reviens au salon, après avoir pris une douche. Du haut de l'escalier je peux apercevoir Manon et Sarah assises côte à côte sur le canapé. Leurs silhouettes sont pales mais la robe de ma femme fait une tache lumineuse sur la blancheur du justaucorps de Sarah. Je descends les escaliers et m'avance vers le canapé. Pendant un instant je pense que Sarah pleure. Sa tête est pratiquement enfouie sous l'aisselle de sa mère qui lui caresse le dos. Mes pieds nus me donnent une démarche silencieuse mais Manon me regarde comme je m'approche. Je saisis le message silencieux qu'elle m'adresse. Lentement les caresses de Manon descendent les bretelles du justaucorps des épaules de Sarah. Je pose mes mains sur le cou de Sarah, mes doigts demeurent sur sa nuque. J'aide à pousser les bretelles vers le bas des bras de ma fille et pose mes mains sur ses épaules comme je l'ai fait plus tôt dans la véranda. Encore une fois, je veux appuyer mon corps contre son dos. Manon caresse la joue et le cou de Sarah. Je regarde ma femme qui baisse lentement le haut du justaucorps. J'aperçois sa jeune poitrine ferme émerger à la lumière, les mamelons de Sarah sont tendus, presque aussi gros que ceux de sa mère et ils sont bien raides. Il me tarde de les pincer, ou du moins poser mes mains sur ses seins comme je le fais sur ses épaules, mais je regarde le nez et la bouche de Manon tracer une ligne de baisers et de pressions entre les seins de sa fille.

 

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Pendant un moment, je suis ravi. Regarder ma femme avoir une étreinte intime avec notre fille est difficile à croire, mais la vue est incroyable. Je regarde la poitrine de ma fille révélée dans toute sa splendeur. Elle est si jeune et si belle. Je me sens attiré par elle, contraint d'adorer son jeune corps de rêve que ma femme est en train de dénuder lentement, je me mets à genoux, je presse mon visage sous les cheveux de ma fille et l'embrasse dans le cou. Je sens le souffle. Je ferme les yeux et enfoui mon visage sur sa nuque et me noie dans sa chevelure blonde et soyeuse. A l'aveugle, ma main gauche commence l'exploration de son corps. Je descends lentement ma main sur son avant-bras et mon esprit imagine la scène, sa peau colorée par ses taches de rousseurs. Instinctivement, je sais que Manon a changé. Comme je l'embrasse les cheveux de Sarah ma main remonte sur ses côtes et mes doigts sentent le bas de son sein gauche. Mes doigts remontent sur son sein jusqu'à ce que je sente son mamelon entre mon majeur et mon index. Je serre mes doigts, serrant sa poitrine et pinçant son mamelon tendrement, doucement. Dieu, je caresse ma propre fille ! Quel bonheur.

Pour voir ce que fait Manon je recule mon visage des cheveux de Sarah. Celle-ci est presque à genoux sur le canapé. Le justaucorps de Sarah est baissé juste au-dessous de sa taille et repose sur ses hanches. Ma main droite glisse de l'épaule de Sarah et fait ce que fait ma gauche. Je prends son sein et pince doucement ses mamelons entre mes doigts. Enhardi par ses gémissements, ma bouche cherche la sienne, la trouve, et nous nous embrassons violemment. Les yeux de Sarah se ferment lorsque nos lèvres se touchent, je regarde vers le bas et regarde la langue de Manon tourbillonner autour du nombril de notre fille. Une partie de moi ne peut pas croire que ça arrive, que je regarde ma femme rendant hommage à notre fille avec sa bouche.

Manon maintenant tire le justaucorps vers le bas avec sa main gauche tandis que sa main droite caresse le dessus des cuisses. Presque imperceptiblement les jambes de Sarah commencent à s'écarter. Je l'embrasse plus fort, et je vois la tache humide sur l'entrejambe de son justaucorps s'agrandir. La vision est incroyablement excitante.

Manon relève la tête. Rapidement elle lève les jambes de Sarah et les dépose en longueur sur le canapé. Ce mouvement rompt mon baiser avec Sarah, dont la tête tombe sur le siège. Je me mets à genoux derrière le canapé. Manon tire sur le justaucorps de la taille de Sarah, et je regarde Sarah qui lève ses hanches de manière à permettre à sa mère de la déshabiller entièrement. Mes yeux se promènent des chevilles de ma fille jusqu'à son entrejambe. Sa fraiche pilosité est dans la lumière des flammes, la touffe blonde couvrant sa chatte dodue est pratiquement transparente.

Ma bite se dresse à la vue du sexe adorable de ma fille indécemment exposé. Manon pose sa tête sur le haut des cuisses de Sarah, et je souffle quand j'aperçois la langue de ma femme lécher timidement la fente de sa fille. Les jambes de Sarah s'écartent, instinctivement, et la langue de sa mère se promène sur son clitoris et entre ses grandes lèvres. Mes doigts touchent ses tempes et descendent sur sa pommette et jusqu'à son menton. Elle tourne son visage pour que sa bouche puisse atteindre mon index et le sucer. Elle lève son regard vers moi, Je vois dans ses yeux de la malice qui semble me faire comprendre qu'elle préfèrerait sucer la bite de son papa. Je sors mon doigt de la bouche de Sarah. Mes doigts de déplacent sur le galbe de ses seins. Sa peau est douce. Mes mains sont instinctivement attirées par ses seins incroyablement fermes. Je me penche sur le dos du canapé et saisit un mamelon dans ma bouche. Mes dents se serrent autour du téton bien bandé, je recule mon visage le serrant toujours, essayant de l'étirer plus, puis je fais la même chose à son jumeau. Ma langue danse autour des aréoles gonflées à la base de chaque mamelon. De sucer les mamelons de ma fille comme ça rend ma bite dure comme une roche qui essaye de s'échapper de mon pantalon.

Soudain, Sarah gémit bruyamment et je sens tout son corps frissonner. Quand je regarde vers elle je vois les joues rougissantes de Manon... toute la bouche de Manon est plaquée contre la chatte de notre fille et elle suce le jeune clito comme elle suçait ma queue un peu plus tôt. Bien que je ne puisse pas le voir, je sais que quand elle suce, sa langue travaille. J'ai déjà vu ma femme avec d'autres femmes avant et j'imagine sa langue frétillante sonder tous les recoins savoureux de la jeune chatte de Sarah, dardant profondément dans le petit vagin étroit de notre fille, effleurant pour exciter son clito engorgé. Je regarde les mouvements de hanches de Sarah, sachant ce que Manon est en train de lui faire avec sa langue, qu'elle fait jouir sa propre fille... notre fille... lui procurer un orgasme avec sa bouche.

Sarah se détend, ma femme stoppe son cunnilingus et me regarde, ses lèvres et son menton sont luisants des sécrétions de notre fille. Je quitte mon pantalon. Je marche devant le canapé après avoir déplacé la table basse pour nous donner un peu plus de place je me mets à genoux à côté de Manon, qui est en train d'embrasser et de la lécher entre son nombril et sa fente étroite. Elle tremble, et il est difficile pour nos lèvres de l'embrasser ensemble, mais je sens sa main instinctivement courir jusqu'à ma cuisse, doucement toucher mes couilles, puis placer son pouce et ses doigts autour de la base de ma bite. Je la sens remonter le long de mon pieu, s'arrêter sous le gland turgescent, puis le pressant doucement. Je ne peux pas croire ce qui m'arrive. J'ai eu beaucoup de femmes qui ont caressé mon pieu en érection avant, mais aujourd'hui c'est ma propre douce et sexy fille... ma fille... mon bébé... notre enfant ! Il me semble que c'est la première fois qu'une femme touche ma queue...

Les doigts de Sarah massent mon prépuce, en essayant de le tirer sur le gland. Je peux sentir Sarah m'attirer vers elle. Manon se déplace de côté pour laisser la place à notre fille et je rampe sur le canapé. Pendant ce temps, les doigts de ma fille sont serrés autour de mon pénis, le câlinant, le pressant. Je regarde ma fille dans les yeux et je vois mon propre désir bestial s'y réfléchir. Il n'y a pas besoin de demander... elle veut ce que je désire encore plus que moi ! Comme je me baisse Sarah guide la tête de ma bite contre les lèvres luisantes de son jeune abricot, en la frottant deux ou trois fois à travers sa fente avant de la faire entrer avidement dans l'anneau serré de sa chatte juvénile.

 

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Je pousse mes hanches vers l'avant, je rentre facilement. Comme tout père, je suis un peu déçu. Ma petite fille n'est plus vierge, et je maudis silencieusement celui qui a pris ce plaisir. Cependant, le sentiment de perte ne dure qu'un moment car ma bite est pressée par les muscles peu utilisés de ma fille. Les parois de sa petite chatte compriment bien ma queue, mais la laisse glisser facilement. Ce ne ressemble pas aux plaisirs confortable de la chatte de sa mère. Le sexe de mon bébé est chaud, humide et très, très étroit !

Ain de ne pas blesser son petit coquillage, je commence à faire de lents mouvements de va-et-vient. Je profite de chaque coin de sa jeune chair chaude, ondulant sur ma longueur. Ses cuisses enserrent mes hanches, se plaquent lentement contre mon corps, serrent ma taille puis le creux de mes reins. Je garde ma poussée. Je me retire pour mettre ses jambes sur mes épaules et la pénétrer de nouveau. Je n'accélère pas ce rythme délibérément lent, mais je sens que ma fille souhaite me voir la baiser plus fort et plus vite. Manon relève la tête de Sarah et se trouve maintenant sur le canapé, berçant sa tête dans son entrejambe. Sa robe est ouverte, et je vois ses mamelons roses bien raides. Je regarde le visage de ma femme me regardant baiser notre fille, elle est extrêmement excitée et murmure des encouragements dès que je commence à labourer la chaude petite fente glissante de Sarah avec de plus en plus de force.

– Baise-la ! Baise sa petite chatte... Elle est bien excitée !

Grogne Manon. Les mots de ma femme sont incroyablement crus. Je la regarde ses yeux emplis de désir sauvage pendant que je baise notre magnifique fille consentante. Dans un geste maternel, Manon essuie la sueur sur le front de Sarah. Son corps est légèrement secoué à chaque poussée de ma bite dans notre fille. Je sens l'odeur émanant de la chatte de ma fille qui semble émaner de tous les pores de son corps, mais mon regard est fixé sur ma femme. Je suis sur le point de jouir la bite bien serrée.

– Non, pas encore...

Murmure ma femme, elle secoue la tête. À contrecœur, je retire ma queue du petit abricot et regarde ses grands yeux, elle semble déçue.

Manon m'aide à me coucher et aide notre fille à monter sur moi. Je penche ma tête sur le bras du canapé et je regarde ma femme qui positionne notre fille sur mon pieu brillant, je sens son index à la base de ma queue comme elle dirige sa longueur encore une fois dans sa petite chatte. Les lèvres souples de sa chatte de gamine engloutissent mon gland quand elle s'abaisse sur moi. Sarah commence à monter et descendre sur ma bite à un rythme lent qui correspond au tempo paresseux que je prenais pour baiser sa mère plus tôt.

Les yeux de Sarah se sont fermés, sa petite bouche mignonne est ouverte et elle halète. Son pubis écrase le mien quand elle appuie ses jeunes hanches minces sur mon bassin. Les parois de sa chatte étroite pressent ma bite puissamment, elle est de beaucoup plus étroite que sa mère, mais en même temps cela m'apporte considérablement plus de jouissance. Ses petits seins sont écrasés contre ma poitrine, nous sommes tous les deux en sueur. Les mamelons raides de Sarah frottent contre les miens. Je ferme mes yeux et commence à la laisser me baiser. Notre belle et sexy gamine fait coulisser sa minette sur ma queue avec suffisamment d'acharnement pour me faire rapidement jouir. J'essaie de me retenir... Je veux faire que notre première baise  soit vraiment mémorable.

Les mains de Manon interviennent. Elle est derrière notre fille et empaume ses petits seins. Au début, je pense que c'est pour nous aider mais elle essaie de la tirer à elle sur le canapé. Ma queue se trouve avec un angle qui rend difficile notre coït. Dans une frénésie sexuelle ma femme tente de poser son entrejambe sur le visage de notre fille, mais je peux voir que cela rend Sarah mal à l'aise. Je prends la main de Manon pendant que je glisse sur le canapé pour être maintenant allongé sur le dos. Sarah attrape ma bite et me chevauche de nouveau, réinsérant mon long pieu de nouveau dans sa jeune chatte serrée. Bientôt, elle commence à monter et descendre sur la longueur de ma bite, jetant sa tête en arrière et gémissant de plaisir avec cette pénétration profonde. Sa chatte coulisse facilement. Je suis surpris par sa technique et je me demande combien d'autres bites l'ont déjà baisée comme ça... pas beaucoup parce qu'elle n'a seulement que quinze ans et elle est aussi serrée qu'une vierge, mais j'envie chacun d'entre eux avec la jalousie d'un père.

 

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Sarah a accéléré son rythme, elle sautille maintenant sur moi, comme elle a vu sa mère le faire à cet endroit même il y a moins d'une heure. Manon s'est assise sur le bras du canapé et baisse lentement ses hanches. Je tends la main pour la toucher. J'aperçois des gouttes de cyprine entre ses lèvres rouges et gonflées. Ma femme est très excitée. Elle abaisse son entrejambe sur mon visage de sorte que mon nez soit plaqué sur son anus et ma bouche et ma langue sur sa chatte. J'avance mes lèvres et ma langue sur elle, goûtant chaque goutte qui émane de son trou terriblement moite. Je ne peux pas le croire. Je suis couché sur mon canapé, avec l'abricot étroit de ma fille qui s'empale sur mon pieu de plus en plus vite. J'ai une main posée sur la base de mon pieu et le pouce de l'autre enfoncé dans le petit anus que je pense encore vierge. Il me semble avoir deux bites... baisé ou être baisé à des rythmes différents. Et toutes les deux sont sur le point de jouir.

Manon se penche en avant et embrasse sa fille. Une des mains de Manon caresse le point ou notre fille et moi sommes soudés, ses doigts caressent le clitoris de Sarah dans le même rythme. Manon titille les petits seins Sarah les serrant et en les pressant. Sarah pose une main sur le périmé de sa mère, ma langue suce l'index qu'elle a placé dans ma bouche. Elle le retire et caresse les fesses de sa mère, je sens monter le désir de Sarah. Manon frotte violemment sa chatte sur mon visage. Ma main gauche attrape celle de Manon, lui prends l'index et l'enfonce dans l'anus serré de ma femme. Manon gicle dans ma bouche. Je pense que mon bassin va se briser sous le martèlement de Sarah. Ma queue est aspirée par le puissant orgasme de ma fille, et comme en même temps mon éjaculation remplit sa chatte. Sarah se lève légèrement puis s'enfonce de nouveau. Manon plaque sa chatte sur mon visage, puis, avec un grand cri, elle jouit aussi et remplit ma bouche avec son jus. Notre fille se laisse glisser sur le tapis devant le canapé complètement épuisée. Nous poussons la table basse et nous vautrons sur le tapis devant la cheminée, nous caressant et tendrement et nous remettons de notre première baise familiale.

Nous avons pris une décision... un pacte de famille... pas de secret.. pas de portes fermées... et surtout pratiquer le sexe... sans tabous !

 

 

Sarah a vingt ans maintenant et est mariée à un jeune gars prénommé David. Heureusement, David vient d'une famille tout aussi large d'esprit. Sinon, il aurait claqué la porte de la maison le jour du mariage de Sarah quand il a trouvé Manon et moi lui souhaitant "bon voyage" en la baisant sur le même canapé où tout a commencé il y a huit ans. Il s'est contenté de sourire, se mit à poils, et a poussé son énorme bite dans ma femme plus que prête, l'a baisée et l'a amenée à jouir lui procurant orgasme après orgasme, à l'étage, j'ai fait de même pour notre fille jeune mariée. Embrasser la mariée n'a jamais été aussi amusant !

 

Sarah et David viennent régulièrement ici maintenant et le même pacte familial régit toujours notre famille. Parfois, Ils viennent en amenant une partie de sa famille tout aussi large d'esprit que lui...

 

Sans titre 30

Par amoursanstabou - Publié dans : Récits - Communauté : L'amour en famille
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Jeudi 20 octobre 4 20 /10 /Oct 17:59
Par amoursanstabou - Publié dans : vidéos - Communauté : inceste
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